COREPS COMITÉ DE PILOTAGE - L`A. Agence culturelle du Poitou
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COREPS COMITÉ DE PILOTAGE - L`A. Agence culturelle du Poitou
COREPS Comité régional des professions du spectacle en Poitou-Charentes COMITÉ DE PILOTAGE Validé le 16 juin 2009 Compte-rendu synthétique du mardi 17 mars 2009 10h - 13h Salle sous charpente de la DRAC à Poitiers LISTE DES PERSONNES ET ORGANISMES PRESENTS Nathalie Pierre Jackie Pascale Maud Robert Simon Sébastien André Christian Elise Frédérique Vincent Jocelyne Jean-Paul Jean-Marc Jean-Pierre Vincent Francis Michel Isabelle Philippe Dominique Fred Pascal Raphaël Michel Jany France Didier Claudine Fernande BERTRAND Région - Direction Formation BLANC DRAC BOSVEUIL SYNAVI BOUËT Région Poitou-Charentes Cinéma BRUN Région - Vivre Ensemble CLAUDE DRTEFP CODET-BOISSE SMA COUTANT URF-CGT (SFA) CURMI Observatoire - ARSV DESAIVRES SYMPASE EDOUMBA Stagiaire DRAC EHRMANN DRAC GATEL SYNDÉAC GÉRARD DRAC GODDERIDGE DRAC GUILLEMOY SPFA HEINTZ DAC de France (Ville de La Rochelle) LEANDRI SYNDÉAC LEBARBIER URF-CGT LEQUERE Pôle Emploi LUCAS Pôle Emploi MANGIN Coordination COREPS MORIN Pôle Emploi MOUSSON URF-CGT (SNTR) PÉRENNÈS Région Poitou-Charentes Cinéma ROTURIER Région ROUDIER SNSP ROUGER ARSV RUAULT Région - Vivre Ensemble SIMONET Région TROUGNOU DRAC VERRON ARSV LISTE DES PERSONNES ET ORGANISMES EXCUSES Yves CHUILLET SNSP Paul FROMONTEIL Région Poitou-Charentes Christophe JANKOVIC APC 1 38 Gérard Edith Éric Maud Béatrice LEFEVRE LEYSSÈNE SPROGIS RÉGNIER DE FOUNOUX SNSP URF-CGT (SNAP) Région - Direction Formation Observatoire – ARSV Afdas I - ORDRE DU JOUR 1) Validation des comptes-rendus - Compte-rendu n° 36 du 17 novembre 2008 modifié avec annexes - Compte-rendu n° 37 du 8 janvier 2009 avec annexes 2) Fonctionnement du Coreps 3) Accord régional de développement (COT/EDEC) 4) Comité de veille / emploi 5) Préparation de la plénière du COREPS 2009 6) Divers II - COMPTE RENDU SYNTHETIQUE Jean Paul Godderidge, directeur de la Drac introduit le comité de pilotage et accueille les participants. Il rappelle l’importance du Coreps dans sa composante plénière et son comité de pilotage. La révision générale des politiques publiques (RGPP) a donné lieu à une large concertation (Entretiens de Valois) qui s’est traduite par un ensemble de conclusions, d’orientations courant janvier 2009. Le Coreps sera une instance essentielle associée à ce dispositif comme cadre de réflexion et de rencontre, cadre de construction d’échanges et de dialogue 1) Validation des comptes-rendus Le compte-rendu n° 36 est validé. Le compte-rendu n° 37 est validé sous réserve des corrections demandées p 5 et p 6 2) Fonctionnement du Coreps Pierre Blanc (Drac) rappelle les précédents échanges de courriels. Il souhaite que des avancées soient envisagées en termes de fonctionnement, d’organisation et de responsabilités entre l’instance Coreps et la structure Agence régionale du spectacle vivant. Didier Simonet (Région) rappelle l’attachement de la Région au Coreps, véritable outil de dialogue social, outil commun avec l’Etat. Le Coreps doit être doté des moyens nécessaires à son fonctionnement, notamment d’un chargé de mission. Jean Paul Godderidge (Drac) confirme l’engagement de l’Etat avec la Région : assurer la mission de coordination du Coreps. Il souligne l’importance stratégique de l’instance Coreps qui ne doit en aucun cas être confondue avec la structure Agence régionale. Fred Mousson (URF CGT) reformule l’inquiétude qui était à la fois sur l’articulation du Coreps avec l’Arsv et des modalités de son indépendance. Il repose une question, déjà 2 formulée lors de comités de pilotage antérieurs : l’observation du spectacle enregistré. Des hypothèses avaient déjà été évoquées : soit une extension des missions de l’observatoire de l’Arsv au spectacle enregistré, soit de nouveaux moyens pour Poitou-charentes cinéma. Fred Mousson (URF CGT) et Jean Marc Guillemoy (SPFA) insistent sur l’importance stratégique de l’observation du spectacle enregistré. Il est fondamental de se doter d’une capacité d’anticipation ou d’une capacité d’une meilleure lisibilité des flux d’argent public. Jean Marc Guillemoy (SPFA) rappelle le travail d’observation mené dans le cadre de Magelis en Charente par Crescen2o. Jean Paul Godderidge (Drac) explicite la position de la Drac concernant le spectacle enregistré : il n’y a pas de financement spécifique sur le champ du spectacle enregistré. Il est nécessaire d’en mesurer le besoin, d’en évaluer le budget. Francis Lebarbier (URF CGT) remercie des réponses apportées sur le fonctionnement du Coreps. Il complète la question de l’observation par la question de l’évaluation : quelles incidences des financements publics sur la culture et l’emploi ? Il interpelle Jean Paul Godderidge au sujet de la circulaire du 8 décembre 2008 relative à la modernisation de la consultation. Quelles incidences de cette circulaire sur les Coreps ? Jean Paul Godderidge (Drac) et Pierre Blanc (Drac) apportent les réponses suivantes : cette circulaire concerne les commissions consultatives de l’Etat dans laquelle des partenaires extérieurs sont associés. Des décrets fondent ces commissions. Le Coreps n’étant pas une commission consultative, il serait donc hors-cadre de cette circulaire. Didier Simonet (Région) rassure les participants en soulignant que l’ancrage du Coreps en Poitou-charentes est plus solide qu’une circulaire. Il apporte des éléments sur la question de l’observation et du questionnement de la région dans ce domaine. Il constate que les projets déposés chez Poitou-Charentes Cinéma sont en baisse et qu’une priorité est de maintenir l’activité en ramenant en Région des projets. André Curmi (Observatoire Arsv) fait état de la nécessaire articulation entre des chantiers d’observation de l’Etat et d’une observation plus proches des territoires. A ce titre, le collectif des observatoires, dans le cadre de la plateforme interrégionale des agences, participera au groupe 6 des entretiens de Valois. Fred Mousson (URF CGT) apporte une précision contraire. Lors de la dernière commission du film, les projets n’étaient pas en baisse. Depuis 2006, il y a une augmentation de 50 % des projets aidés. Jean Marc Guillemoy (SPFA) modère ces chiffres pour l’animation où leur baisse ne se voit pas encore, compte tenu de l’inertie de production (2 à 4 années). Fred Mousson (URF CGT) fait état de la baisse du budget cinéma du Conseil Général de la Charente qui passe de 2 à 1 millions d’euros. La région et le CNC risquent aussi de baisser leurs aides. Il explique le mécanisme d’aide : une partie de l’aide est versée à la signature de la convention, le reste des sommes est versé à la fin au rendu des comptes, avec une intervention du CNC en parallèle. Le retrait des financements est source d’inquiétude aussi bien pour les employeurs que les salariés. Simon Codet Boisse (SMA) rappelle l’importance de la définition du pilotage de l’observation : les acteurs concernés doivent impérativement y être associés. 3 Francis Lebarbier (URF CGT) confirme cette importance. Il rappelle les grandes étapes depuis la crise de 2003 qui révélait la précarité des métiers et la nécessité de comprendre l’articulation entre financements publics et les incidences sur l’emploi. La fragilité et la précarité des métiers perdurent encore malgré les politiques publiques mises en place. Il insiste sur l’attention qui doit être mise sur les très petites entreprises (TPE) pour les chantiers futurs du Coreps. Jany Rouger (Arsv) souligne l’ importance de la logique de mutualisation entre l’observation du spectacle vivant et enregistré, en particulier sur la méthodologie de travail. Il propose d’étudier la faisabilité en s’appuyant sur les travaux de l’observatoire en associant des acteurs du spectacle enregistré. André Curmi (Observatoire Arsv) expose les difficultés pour accéder aux sources d’informations que sont l’Insee et Pôle Emploi. Pour les DADS (Insee) une démarche est en cours par le collectif des observatoires via le DEPS. Pour les données sur l’emploi et les personnes indemnisées, il existe des freins. Dominique Morin (Pôle Emploi) propose d’étudier de manière plus précise ces freins, qui ne lui semblent pas insurmontables. Il suggère de faire évoluer la convention pour faciliter les flux d’informations. Philippe Mangin (Coreps) souligne l’importance que chacun porte à l’observation de l’audiovisuel. Il propose que la réunion prévue le 1er avril puisse mettre en forme les divers éléments. Cela devrait permettre au comité de pilotage de mieux s’approprier les problématiques et d’envisager les prochaines étapes. Pierre Blanc (Drac) souhaite que les débats sur le fonctionnement du Coreps reprennent en s’appuyant sur la proposition transmise d’ajout dans le règlement intérieur. 3) Accord régional de développement (COT/EDEC) Philippe Mangin (Coreps) rappelle les étapes précédentes. Un accord régional de développement pour l’emploi et la formation est en cours. Il regroupe deux démarches : celle de l’Edec (avec la DRTEPF) et celle du COT (avec la Région). La question de la forme du pilotage avait été posée dans de précédents échanges. Robert Claude (DRTEFP) rappelle les points importants constitutifs de l’accord en cours : - Champs d’application très large : spectacle vivant, audio visuel et spectacle enregistré ; - Souhait de la DRTEFP d’identifier des publics précis : techniciens et personnels administratifs et artistes ; - Entente entre la DRTEFP et la Région sur un axe commun et partagé de veille économique et sociale ; - Une volonté partagée de la Région et de la DRTEFP d’arriver à un cadre unique : aboutir à une convention régionale de coopération qui répondrait aux priorités habituelles d’un COT, et des priorité de la DRTEFP en matière de développement de l’emploi et des compétences. Il rappelle les éléments constitutifs d’un accord national ADEC en cours de signature qui regroupe dix actions réparties en quatre axes : - Axe 1 : amélioration de la connaissance du marché du travail avec le souci de renforcer le lien emploi/formation. - Axe 2 : optimisation des pratiques d’emploi - Axe 3 : adaptation et développement des compétences des salariés, et construction de parcours professionnels 4 - Axe 4 : développement d’une politique de prévention pour préserver la santé et la sécurité des salariés. Il sera nécessaire d’intégrer dans l’accord régional en cours ces données nationales qui prévoit à titre prévisionnel des financements. Francis Lebarbier (URF CGT) souligne l’importance de cet accord. Il résulte du dialogue social et du travail mené au sein du Coreps. Cet accord est une conséquence concrète des échanges. Il va permettre d’améliorer ou développer l’emploi, là où il est le plus fragile notamment les toutes petites entreprises. Nathalie Bertrand (Région) précise le point de vue de la région. Elle souhaite un accord cadre pour éviter plusieurs modalités d’exercices, plusieurs pilotages, pour avoir une meilleure lisibilité et évaluation, dans le respect des priorités de chacun. Concernant le pilotage, il faut éviter les redondances et privilégier l’efficacité. Il faut aller au plus simple pour éviter de se perdre dans une multiplicité de dispositifs. Robert Claude (DRTEFP) apporte des compléments sur le sujet de la gouvernance de l’accord. Il y aura un co-pilotage à construire entre les services de l’Etat et de la Région. Au delà des signataires, des structures devront être associées. Philippe Mangin (Coreps) reformule les échanges : lors de la prochaine réunion de travail spécifique sur l’accord régional, prévoir un temps de travail pour préciser la notion de pilotage et l’affiner en fonction des souhaits des différentes composantes. 4) Comité de veille / emploi Fred Mousson (URF CGT) présente les rencontres qui s’étaient tenues avec Mme Vannobel, ancienne directrice des Assedic Limousin-Poitou-charentes. Ces réunions avaient permis d’aborder des questions au niveau des salariés et des employeurs, une meilleure compréhension du secteur par les Assédic. Il précise que le souhait est de mettre en place une cellule de veille sur l’emploi. Du fait de la fusion des ASSEDIC et de l’ANPE en Pôle Emploi, ce projet de cellule de veille n’a pas encore pu se mettre en place. Pourtant, les appels avec des salariés et des employeurs sont toujours nombreux concernant l’application des textes de 2003 et 2006. Il illustre la pertinence de la mise en place de cette cellule avec un exemple qui montre la confusion et l’incompréhension qui existent (documents demandés soit au salarié, soit à l’employeur). Vincent Gatel (Syndéac) appuie la démarche et la demande formulées par Fred Mousson (URF CGT). Il souhaite que cette cellule permette une meilleure appréhension de la réalité des métiers et évite des situations dramatiques pour des salariés qui travaillent régulièrement. Vincent Léandri (Syndéac) illustre cette confusion avec la nécessité pour les employeurs de fournir des documents pour justifier de l’embauche de personnes salariées notamment au moment des créations. Il explique que la licence est là pour prouver que l’employeur est en conformité avec un certain nombre d’obligations. Donc pourquoi en rajouter ? Jackie Bosveuil (Synavi) complète les propos. Il témoigne dans certains cas d’une réelle méconnaissance des agents publics du fonctionnement d’une entreprise de création du spectacle. Il témoigne de situations où les contrôles sont plus sentis comme de l’inquisition que de la compréhension d’une réalité. 5 Francs Lebarbier (URF CGT) reformule le sentiment général exprimé. Il explique que la refonte de 2003 a favorisé la déclaration du travail. Tous les partenaires sociaux ont joué le jeu. Beaucoup d’efforts ont été faits. Par ailleurs, des dispositifs volontaristes avaient permis de favoriser les résidences, des répétitions dignes, des rémunérations appropriées. Aussi le problème de la prise en compte des temps de répétitions, des temps de résidences de créations, avait déjà été abordé lors de rencontres préalables. Dominique Morin (Pôle Emploi) accepte sur le principe la notion de comité de veille, en tout cas la poursuite des rencontres régulières. Il précise que « l’univers réglementaire » et « la vie de tous les jours » doivent se rencontrer dans un esprit d’équilibre. Il souhaite que les dysfonctionnements ne soient pas uniquement posés, a priori, du fait de l’une des parties, que les échanges soient sincères et respectueux des compétences de chacun dans un climat de bonne volonté. Il rappelle que sa mission est l’application d’une réglementation qui a été, par ailleurs, élaborée avec les partenaires sociaux Fred Mousson (URF CGT) confirme qu’il est dans le même esprit. Il insiste sur le problème du statut de l’artiste lors d’une résidence de création : est-il salarié ou pas ? Plusieurs textes laissent planer un doute sur la réponse : annexes 8 et 10, code du travail. Des dysfonctionnements peuvent aussi apparaître au niveau des employeurs. Jackie Bosveuil (Synavi) rajoute qu’il y a urgence à clarifier les cadres réglementaires pour éviter des situations dramatiques pour des personnes. Didier Simonet (Région) explique que les problèmes et questions évoqués ont une réelle incidence avec les financements publics. La subvention régionale est calculée en fonction des salaires réellement versés aux artistes et techniciens. Une plus grande clarté sur l’emploi permettra une meilleure compréhension des modes de financements nécessaires. Jean Marc Guillemoy (SPFA) précise que les problématiques dans le champ de l’audio visuel semblent moindres mais l’esprit d’une cellule de veille est nécessaire. Il est convenu qu’un groupe au maximum de 10/12 personnes pour plus d’efficacité soit constitué. Il sera composé de Pôle Emploi, syndicats d’employeurs et salariés, Etat et Région. La date de cette réunion est fixée au mercredi 15 avril de 10h à 13h, dans les locaux du Pôle Emploi de St Benoît. 5) Préparation de la plénière du COREPS 2009 Philippe Mangin (Coreps) rappelle les éléments évoqués dans le bilan de la plénière 2008. Il est convenu que la plénière se déroulerait fin septembre ou début octobre. Jany Rouger (Arsv) propose que l’information soit dynamique d’autant plus qu’il y aura une forte actualité. Francis Lebarbier (URF CGT) pose l’enjeu de la prochaine plénière : restituer à l’ensemble de la profession l’état des réflexions, des chantiers en cours. Des interventions courtes pour aller vers les échanges et débats avec la salle. Jean Paul Godderidge (Drac) complète les propos et identifie un temps de restitution de l’information et un temps de débat pour se projeter. Ce débat apportera un processus dynamique. Jany Rouger (Arsv) rappelle l’importance de l’information en amont pour que chacun des 6 participants à la plénière puisse s’approprier les thèmes. Vincent Léandri (Syndéac) exprime le besoin de synthèse. Les comptes-rendus de 30 pages ne favorisent pas la lisibilité des enjeux. Pierre Blanc (Drac) propose que des éléments soient transmis aux participants au moins quinze jours avant la plénière. Vincent Gatel (Syndéac) expose les difficultés à réagir dans des délais courts à des sollicitations ou documents. Didier Simonet (Région) précise que la prochaine plénière sera la dernière de l’équipe exécutive actuelle. Il souhaite que la date puisse permettre à la Présidente de Région d’être présente. Cette plénière sera un moment clé avec une forme de renouvellement du paysage. Francis Lebarbier (URF CGT) interpelle Jean Paul Godderidge (Drac) sur la mise en place des Conférences régionales du spectacle vivant. Jean Paul Godderidge (Drac) témoigne des dernières rencontres avec la DMDTS. Georges François Hirsch, directeur de la DMDTS, porte ce projet essentiel à ses yeux. Un processus est en cours qui devrait aboutir d’ici un an à une nouvelle contractualisation sur les territoires avec les collectivités et les acteurs culturels, une refondation de leur partenariat dans les grands champs du soutien à la création, à la diffusion, l’éducation artistique et culturelle, des enseignements. Dans ce processus, les Coreps seront impliqués en accompagnement et en parallèle sur des apports en expertise ou de contenu. La Drac est en train d’organiser la venue du directeur de la DMDTS en région. Une rencontre avec la Présidente de la région sera importante. Didier Simonet (Région) précise la position de la Région Poitou-charentes. Les Régions dans le cadre de l’ARF sont en train de définir certaines conditions et positions communes. Jean Paul Godderidge (Drac) précise qu’il n’a pour l’instant pas d’écrit. Toutefois, les Coreps sont consolidés comme lieu de dialogue social et d’échanges, en accompagnement ou en parallèle de ce processus vers des conférences régionales. La DMDTS souhaite engager ce processus de manière expérimentale sur 3 ans (2009-2011 ou 2010-2012). Des régions pilotes seraient choisies : celles où les conditions, la volonté, le partenariat et les moyens permettraient de donner corps au projet. 6) Divers Philipe Mangin rappelle les prochains calendriers. Le prochain comité de pilotage est fixé au mardi 26 mai de 10h à 13h. Lieu à déterminer 7