Scénario catastrophe pour une manœuvre tunnel du grand jardin à
Transcription
Scénario catastrophe pour une manœuvre tunnel du grand jardin à
Le carnet NAISSANCES Intervention Scénario catastrophe pour une manœuvre tunnel du grand jardin à Lisieux Lundi 24 novembre 2003, il est un peu plus de 21h00 aux abords du tunnel du grand jardin non loin du boulevard Nicolas Oresme, lorsque les premiers engins de secours arrivent sur les lieux . C'est sous les yeux d'une population incrédule que se déploie un important dispositif de secours. La raison en est : un convoi SNCF transportant des matières radioactives arrêté sous le tunnel est la proie des flammes. Le ltn ALLARDIN donne les consignes aux hommes de la CMICR. Un scénario digne d'un film catastrophe pour cet exercice initié par la Préfecture et organisé en collaboration avec les services de police. I l est environ 21h15, ce lundi soir, quand le Centre de Traitement de l'Alerte réceptionne un premier appel des services SNCF lui signalant un départ de feu à bord de l'un de leurs engins localisé sous le tunnel du grand jardin sur la commune de Lisieux. La situation est préoccupante : le train impliqué achemine des matières radioactives. Quelques minutes plus tard, les premiers engins de secours quittent le centre de secours Principal de Lisieux pour se rendre sur les lieux du sinistre. 2 FPT, 1 VSAB, 1 VLCG, la permanen- ce 14 et la cellule mobile d'intervention chimique et radiologique du CSP Canada sont engagés en premier appel. A leur arrivée sur les lieux, les équipes sapeurs-pompiers effectuent une première reconnaissance. A 21h47, le secteur est bouclé sur un rayon de 500 m autour de la zone concernée et un SAS de décontamination est installé : toutes les personnes se trouvant sur le site doivent être contrôlées avant de sortir au moyen d'appareil mesurant la radioactivité. A 21h57, la première reconnaissance est achevée : aucune victime n'est à déplorer. Le convoi est stoppé à 250 mètres environ de l'entrée du tunnel. L'obscurité et la fumée n'ont pas permis aux équipes de sapeurs-pompiers d'identifier clairement le type de matières dangereuses en présence. C'est alors au tour des hommes de la CMICR sous le commandement du Lieutenant Allardin d'entrer dans le tunnel vêtus de combinaisons spéciales, ils procèdent à la vérification de l'état de la chape de plomb qui protège les matières radioactives. Ils vérifient ensuite le niveau de radiation et de contamination. 22h56 : aucune contamination n'est à craindre, aucune victime, l'incendie est maîtrisé : l'exercice touche à sa fin. Marius BEAUDOUIN fils des Sapeurs Martial et Aurélie BEAUDOUIN ( SPV au CIS Saint Rémy sur Orne), né le 16 novembre 2003 Yanis BOULAND, fils du Caporal Frédéric BOULAND ( SPV au CIS Saint Rémy sur Orne), né le 3 décembre 2003 Amélie LANGEVIN, fille du sapeur David LANGEVIN ( SPV au CIS Pont d’Ouilly), née le 26 décembre 2003 BIENVENUE Capitaine Nicolas THIVENT affecté au Groupement des Immobilisations en qualité d’adjoint au chef de groupement, depuis le 2 janvier 2004 CHANGEMENTS DE GRADE le lieutenant ALLARDIN, chef du CIS Caen-Ifs est promu au grade de Capitaine depuis le 1er janvier 2004 Le Lieutenant MOSTOWYK, chef du CSP Caen-Canada est promu au grade de Capitaine depuis le 1er janvier 2004 Le comité de rédaction de Com’ en 14 vous souhaite une bonne et heureuse année 2004 ! Bonne lecture à tous ! Une manœuvre de grande ampleur qui aura mobilisé près d'une soixantaine de sapeurs-pompiers. Un important dispositif humain et matériel qui aura permis entre autre de montrer la capacité de coordination des différents services en présence. A noter la présence sur les lieux du Sous-Préfet de Lisieux, Monsieur AUDRIEU, du Maire de Lisieux, Monsieur AUBRIL, du Chef d’Etat Major du SDIS, le Ltn-Colonel SOUFFLET. Journal d’information du SDIS 14 Directeur de publication : Colonel Olivier PINCEMAILLE Réalisation : Ingrid GRAINDORGE Comité de rédaction : Frédéric Moretti-Hervé Colibert-Philippe VerrollesSerge Marie-Yannick Gaudin-Johann Hebert Impression : Normandie-Information-Impression Un binôme effectue une reconnaissance sur la locomotive bloquée sous le tunnel... COM’en14 Janvier 2004 Pour les sapeurs-pompiers, l'objectif est atteint : tester les capacités de réaction des personnels et les procédures à respecter dans ce contexte très particulier. Crédits photos : service Communication Eclairage Evénement INTERVIEW DU LIEUTENANT ALLARDIN Violent feu industriel dans les locaux de Philips Composants Qu'est-ce que la CMICR ? Le point de vue du sinistre du sommet de la tour de séchage de Couvrechef... C'est à 9h16 le vendredi 12 décembre que le Centre de Traitement de l'Alerte reçoit un premier appel lui signalant un départ de feu dans le bâtiment D des établissements Philips Composants situés dans la zone industrielle du Mont Coco à quelques pas du périphérique, du C.H.U. et de la caserne Couvrechef. Une proximité qui permet une réactivité immédiate. Très vite, les premiers engins décalent : 1 puis, 2 FPT, suivis de l'échelle et d'un VSAB partent sur les lieux de l'intervention. U n épais panache de fumée noire s'élève dans le ciel et se dirige vers la côte… La caserne est en effervescence et l'on perçoit déjà le caractère exceptionnel de la situa- tion… A cet instant on ne peut s'empêcher de penser à la catastrophe de l'usine AZF de Toulouse… Bien que l'usine Philips ne soit pas classée SEVESO, les produits utilisés pour la réalisation de composants électroniques sont éminemment toxiques. Mais pour l'heure aucune information n'est encore communiquée sur la dangerosité des produits en présence et s'il existe un risque lié à l’incendie qui sévit. A 9h23, les premiers engins arrivent sur les lieux : les personnels procèdent à une reconnaissance. A 9h32, la VLCG de couvrechef passe ce message : " important dégagement de fumée établissement Philips, 4 PL établies et 1GL sur EPA. Les salariés de l'établissement. sont évacués. " Les renforts suivants sont demandés : 2 FPT, 1 PCM, 1 BEAR, 1 CMIC, 1 FDGP, 1 VSAB, 1 EPA. L'incendie est localisé dans les gaines d'aération au premier étage et se propage à la toiture du bâtiment. Au rez-de-chaussée, des produits avérés toxiques sont stockés. Compte tenu de cette donne, un large périmètre de sécurité est mis en place. La DDE est également mobilisée pour faire procéder à la fermeture des accès à l'échangeur n°5 Côte de Nacre sur la RN 814. Un certain nombre de mesures conservatoires sont prises à l'intérieur comme à l'extérieur de la zone du sinistre : la climatisation du CHU est stoppée, les personnes qui se trouvent au centre commercial Carrefour y sont momenta- N°11 JANVIER 2004 nément confinées. A 9h35, la CMIC arrive sur les lieux, elle procède à des tests de toxicités des fumées de l'incendie. Ces derniers ne révèlent aucun risque particulier. Cependant, l'équipe de la CMIC procèdera à d'autres tests sur le parcours emprunté par le panache de fumée qui s'avéreront également négatifs. A 10h45, le message suivant est passé : " le feu est circonscrit. 1600 m2 de surface sont concernées par le sinistre. 2 GL sont établies sur EPA et 6 PL sont en manœuv- Les échelles sont en action... re. Le panache de fumée se situe entre le CHU et Carrefour. Le dispositif en place fait état de 2 groupes incendie et d'1 groupe alimentation. Demandons un 3ème groupe incendie. " C'est aux alentours de 11h20 que les sapeurs-pompiers sont " maîtres du feu ". 100 sapeurs-pompiers et 100 policiers constituent alors le dispositif. De nombreux moyens humains et matériels sont venus en renforts des centres de secours de l'agglomération caennaise mais également des centres périphériques comme Courseulles, Creully et Bretteville sur Laize mais aussi de Bayeux et de Falaise. A noter également la présence sur le site de nombreuses autorités : le Directeur Départemental adjoint, Colonel HAMEL, Monsieur CULTIAUX , Préfet du Département, le Directeur du Cabinet, Monsieur GUEYDAN, Madame LEBRETON, Maire de Caen et Monsieur GARREC, Président de la Région. Le feu est déclaré éteint à 14H07. Le dispositif de secours est alors allégé. L'opération prend fin vers 15H21. La cellule de crise située à la Préfecture est levée. Restent sur place : 2 FPT et 1 BEAR pour assurer l'épuisement. Il sera ensuite procédé à l'assèchement puis au déblai des locaux. Une relève sera effectuée pendant la nuit et 80 salariés de l'établissement participeront aux travaux de déblaiement. Cette opération pour le moins exceptionnelle aura nécessité le concours de nombreux services comme la Préfecture, la Police, la Gendarmerie, la DDASS, la DDE et la DRIRE. C'est une coordination efficace entre les acteurs de cette intervention qui aura permis une parfaite gestion de la situation. Cette intervention aura démontré une fois encore le savoir-faire des sapeurspompiers dans ce qui reste le coeur de leur métier : la lutte contre l’incendie. Service Départemental d’Incendie et de Secours du Calvados C'est la Cellule Mobile d'Intervention Chimique et Radiologique. Elle se compose d'un véhicule et d'un matériel électronique spécifique permettant des prises de mesures. Elle se situe au centre de secours principal de Caen-Canada mais elle a une vocation départementale. Elle est armée de 3 à 6 sapeurspompiers ayant une solide formation dans les spécialités chimiques et radiologiques (unités de valeur RCH et RTN) Quel est son rôle ? Intervenir sur toutes les opérations mettant en cause des produits chimiques ou radiologiques Dans le cadre de l'opération Philips, quelles ont été les missions des personnels de cette cellule ? Dans un premier temps, les personnels de la CMICR ont effectué des prises de mesure de toxicité au niveau du bâtiment en feu pour évaluer si les produits stockés dans ce bâtiment étaient concernés par l'incendie. Dans le même temps, une prise de contact avec les ingénieurs sécurité de la société aura permis de dresser un listing des produits en présence et ainsi de recouper ce dernier avec la base de données de la CMICR afin d'évaluer leur dangerosité et par ce biais déterminer le type d'équipement à employer (tenue) par les personnels. Les premières mesures ont permis un constat rassurant : la fumée dégagée par la combustion du bâtiment ne revèle pas de toxicité particulière (pas de présence d'acide, de chlore , d'ammoniaque etc). Dans un deuxième temps, les équipiers CMICR ont réalisés des mesures à l'aide de tubes à différents endroits sur la trajectoire du nuage pour détecter la trace d'éventuelles substances nocives Tout au long de l'opération des prises de mesures régulières ont eu lieu à l'aide d'appareils électroniques. Enfin, au terme de l'intervention, des tests de nocivités et de PH ont été réalisés sur les eaux d'extinction avant leur rejet dans le réseau pluvial. En BREF Le CCDSPV du 20 novembre 2003 en chiffres... Dossier - 141 engagements - 59 rengagements Cérémonies du 60ème anniversaire du débarquement de Normandie : les sapeurs-pompiers seront sur la brèche En juin prochain, le département du Calvados accueillera sur son sol plusieurs manifestations commémoratives ayant trait au débarquement des forces alliées en Normandie il y a 60 ans. C et événement historique d'envergure nationale est piloté par une mission d'Etat présidée par le secrétaire d'Etat aux anciens combattants. Elle est composée d'élus, de Préfets des départements concernés, et de représentants des autorités militaires. A l'échelon régional, en parallèle de cette mission, une association baptisée " Normandie-Mémoire " présidée par l'Amiral Brac de la Perrière organisera différentes manifestations commémoratives en marge des cérémonies officielles. 80 JOURS DE FESTIVITES Au total, les festivités dureront prés de 80 jours avec en point d'orgue la cérémonie du 6 juin 2004 qui se déroulera sur le site historique d'Arromanches en présence du Président de la République et de nombreux chefs d'Etat venus des 4 coins du globe. Le programme définitif est en cours d’élaboration par les ambassades, le Ministère des Affaires Etrangères et l’Elysée. L'accueil et l'organisation logistique de plusieurs manifestations dont la cérémonie très attendue du 6 juin prochain incomberont donc à notre département. Ainsi, des services de l'Etat dans le département comme la Police, la Gendarmerie, la DDASS et le SDIS se trouveront fortement impliqués dans la gestion de ces événements. En leur qualité d'acteurs majeurs de la Sécurité Civile, les sapeurs-pompiers COM’en14 Janvier2004 - 23 prolongations - 85 changements de grade - 20 changements d’appellation - 31 changements d’affectation - 60 suspensions - 9 réintégrations - 14 cessations -12 honorariats - 45 démissions - 34 résiliations d’office auront un rôle primordial à jouer dans le dispositif qui sera mis en place pour s'assurer du bon déroulement des cérémonies, de la sécurité des personnes qui y assisteront. et des secours classiques toujours marqués en cette saison. LE DISPOSITIF SAPEURS-POMPIERS Le dispositif sapeurs-pompiers dont l'intitulé sera pour l'occasion : " SECURITE CIVILE-SANTE-SECOURS " s'appuiera sur un centre de rassemblement des moyens (C.R.M.) qui sera localisé au parc des expositions de Caen (site de la Foire de Caen). L'intégralité des moyens propres aux manifestations du 60ème (environ 1500 agents) manœuvrera à partir de cette plate-forme en unités constituées. Le C.R.M. sera composé de moyens humains et matériels du SDIS 14 mais fera également appel, compte tenu de l'ampleur de l'événement à des renforts extra-départementaux et nationaux. DES RENFORTS EXTRA-DEPARTEMENTAUX Les équipes de secours qui viendront principalement des départements de la zone Ouest, seront des renforts ayant comme faiblesse intrinsèque d'avoir à évoluer sur un territoire inconnu. Aussi, une des missions qui incombera aux personnels du SDIS 14 sera d’aiguiller ces renforts. A l'évidence, ce ne sera pas la seule tâche qui leur sera confiée car, ils représentent un réservoir d'expériences et une capacité opérationnelle réelle qu'il convient d'exploiter. ASSURER NOS MISSIONS QUOTIDIENNES Tout au long des festivités et notamment pendant le pic d'activités qui se situera entre le 3 et le 7 juin 2004, chaque centre d'incendie et de secours devra comme à l'accoutumée, assurer ses missions classiques et intégrer à la demande et en fonction des posssibilités les unités stationnées au C.R.M. CREATION D’UN INSIGNE SOUVENIR Afin " d'immortaliser " notre participation à cet événement exceptionnel tant par son ampleur (personnels mobilisés, présence et participation aux manifestations de nombreux personnages de la scène politique internationale) que par son caractère symbolique (ce sera sans doute l'une des dernières occasions qui nous sera donnée de célébrer et d'honorer " ceux qui ont fait " le débarquement sur nos plages ce 6 juin 1944), un souvenir sera distribué à l'ensemble des sapeurs-pompiers du corps départemental ainsi qu’aux personnels des unités de renfort. UNE INFORMATION REGULIERE DANS COM’EN 14 Dans le but avoué de faire en sorte que chaque sapeur-pompier s'approprie l'événement, dans les mois à venir, vous trouverez dans " Com' en 14 " des articles abordant l'organisation des manifestations du 60 ème. FORMATION ET INFORMATION DANS LES CENTRES DE SECOURS Dès que possible, nous viendrons à votre rencontre pour d'une part, vous expliciter de vive voix les arcanes de l'organisation et, d'autre part, vous préparer à l'emploi de matériels spécifiques à mettre en œuvre dans le cadre d'un événement de type N.B.C (risques nucléaires, bactériologiques, chimiques). Vous êtes sapeur-pompier volontaire et vous souhaitez une information sur votre carrière, contactez le bureau des Ressources Humaines Sapeurs-Pompiers Volontaires : 02.31.43.44.47 ou 02.31.43.44.48 (secrétariat) CROSS DU MONT CANISY : 2ème édition Pour la 2ème année consécutive, la section sport des sapeurs-pompiers de Touques organise le Cross du Mont Canisy. L’épreuve se déroulera le dimanche 29 février 2004 à partir de 13h30, site du Mont Canisy. Informations complémentaires et inscriptions auprès du centre de secours de Touques, Sapeur BONNO 02.31.14.60.50 FAE de chef d'agrès pour des sapeurs-pompiers professionnels du département. Infos pratiques Retour sur... FORMATION Une gestion rigoureuse a permis de réaliser des économies sur les différents stages organisés au cours de l'année 2003. La masse financière ainsi dégagée a permis d'organiser des stages supplémentaires (2 " formateurs LSPCC ", 3 " CFAPSR ", 1 " formateurs ARI " et 1 " COD 1 ") et de faire l'acquisition de documents et de matériels pédagogiques. En novembre dernier, le service formation du SDIS 14 organisait une FAE de chef d'agrès pour une quinzaine de sapeurs-pompiers professionnels venus des centres de secours de Caen, Lisieux, Bayeux et Vire. Encadrés par le Major Carroue, les stagiaires ont pendant trois semaines appréhendé les différentes unités de valeurs à valider pour prétendre aux fonctions de chef d'agrès. Désormais, chaque centre support de formation dispose : Photo de groupe... - D'un lot de 3 mannequins (adulte, adolescent, nourrisson), A u programme l'apprentissage des phénomènes liés aux incendies et aux techniques pour les combattre, des notions dans les domaines de l'hydraulique et la topographie mais également des enseignements concernant le cadre professionnel du SP. L'objectif de ce stage était d'inculquer des connaissances techniques et théoriques pouvant être mises en application lors d'une intervention. La pratique des différentes notions abordées pendant le stage en salle de cours a fait l'objet d'exercices sur différents sites du département. La session s'est achevée comme de coutume par une journée d'examen qui a salué la réussite de l'ensemble de la promotion. LE POINT DE VUE DE L’INSTRUCTEUR C'est la seconde FAE de chef d'agrès que j'ai la chance d'encadrer et je suis très satisfait à la fois de l'ambiance de travail et de la motivation dont fait preuve l'ensemble des stagiaires. J'ai ressenti une réelle envie d'apprendre et d'assumer leurs futures fonctions de chef d'agrès. Je profite de l'occasion qui m'est donnée pour remercier les centres de secours et les personnels qui ont collaboré à cette formation. - D'une machine à fumée, - D'un DSA de formation, - De 8 classeurs à destination des formateurs (ARI, LSPCC, manœuvres en binômes, Incendie de niveau 1, secours à personnes de niveau 1, CFAPSE, CFAPSR, transport de matières dangereuses) Le Major CARROUE, instructeur de la FAE... CE QU’ILS EN PENSENT... - De 2 visiographes (LSPCC et manœuvres en binômes), Que vous a apporté ce stage ? “Une véritable méthodologie pour appréhender une intervention en qualité de chef d'agrès, responsable à la fois de son équipe et de la réalisation tactique de l'opération.” Quel était l'objectif majeur de cette formation ? “Avant tout, responsabiliser les personnels vis-à-vis des fonctions qu'ils devront assumer en tant que chef d'agrès.” Quelles sont vos impressions au sortir de ce stage ? Sgt HUARD du CIS Vire Christophe LUCAS : “c'est une formation très complète et concrète.” “Je regrette néanmoins l'absence d'exercice en condition réelle notamment en ce qui concerne le risque incendie.” Bernard HUARD :”intégrer ce stage m'a fait comprendre qu'après 25 ans de métier, on pouvait toujours apprendre et c'est un point essentiel.” C/ch LUCAS du CSP Canada... COM’en14 Janvier 2004 - D'un mémento opérationnel, - D’une mallette de maquillage. Ces documents et matériels pédagogiques sont à votre disposition, n'hésitez pas à les utiliser dans le cadre de la formation de maintien des acquis au sein des centres de secours. Il est rappelé que les documents pédagogiques sont destinés à être projetés en salle d'instruction et ne devront en aucun cas être photocopiés pour être distribués aux stagiaires.