Chapitre 17 - LES COULEURS - L`AIDE A LA

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Chapitre 17 - LES COULEURS - L`AIDE A LA
06-27-2014
Pulsologie - http://www.pulsologie.com
Chapitre 17 - LES COULEURS - L’AIDE A LA
THERAPEUTIQUE.
1 L’USAGE DES COULEURS EN MEDECINE : RETICENCES.
Nous avons abordé à plusieurs reprises les problèmes assez mystérieux que posent les couleurs. Le Dr
Nogier fut probablement le premier à constater les impacts que celles-ci pouvaient avoir sur le pouls. Il
les manipula toute sa vie et interpréta leurs effets de manières variées.
Ces instruments colorés, purement physiques, nous apparurent précocement doués d’influences
perturbatrices sur nos tests. Ils inspiraient donc une certaine méfiance lors du déroulement des examens
pulsologiques. Pouvait-on les admettre dans notre champ environnant ?
Le Dr Anne de la Brosse nous incita à prendre en considération les fréquences des stimulations
lumineuses intermittentes, et celles des couleurs. Nous avons déjà évoqué les 7 fréquences du GIR et les
couleurs de dilution (Chap. 16 – 3 dilutions et fréquences lumineuses).
Certains médecins de notre groupe de recherche poursuivaient aussi leurs études sur la capacité des
couleurs à faire apparaître ou disparaître des rebonds d’approche, à induire des points, à modifier, ou à
corriger par leur présence diverses informations pathologiques. Cette obstination était intrigante. La
polyvalence des couleurs l’était aussi.
Le contrôle d’observations de confrères me conduisit à cette constatation, concernant certaines couleurs :
chacune, posée sur le corps, voire à proximité sur la table d’examen, avait le pouvoir d’afficher sur la
peau des oreilles des points d’acupuncture (1 ou 2) et parfois une zone cutanée plus ou moins grande. Ces
Points ou Zones occupent des sites fixes, caractéristiques de la couleur.
2 DES FREQUENCES AUX COULEURS.
Nous avons alors posé l’hypothèse qu’une couleur Z pouvait projeter sur la peau des points
d’acupuncture analogues à ceux affichés par une salive.
Les nuanciers LEE puis ROSCO, aux couleurs numérisées, que le Dr Anne de la Brosse nous avait
procurés, fut analysé. Chaque nuancier comporte environ 200 couleurs ; chacune imprègne un support
transparent et est séparée de la suivante par une feuille de papier blanc portant sa courbe d’absorption ou
de transmission. Contrairement à ce qu’interprète l’œil, qui n’est qu’une perception de synthèse
monochromatique, chaque couleur est très complexe tant par le nombre des fréquences
électromagnétiques (EM) qui la définissent que par l’intensité très variable de chacune des fréquences
composantes.
Utilisons la méthode des autotests à partir d’une salive étrangère. Une salive-cancer, placée dans le
champ, permit de mettre en résonance une des couleurs des nuanciers LEE ou ROSCO étalés à droite et à
gauche de la têtière.
J’observai que cette salive cancéreuse entrait en résonance avecune couleur. En déposant cette couleur sur
la peau d’un sujet sain, il apparut qu’un point passivement affiché, reflétait un des points affichés par la
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salive cancer.
Les confrères de notre groupe m’adressèrent alors des salives aux diagnostics très variés. Un bon nombre
de correspondances entre couleurs et pathologies purent être établies.
3 LES COULEURS SONT D’ABORD THERAPEUTIQUES
Le procédé qui met en pseudo-résonance une salive et une couleur est le même que celui qui révèle un
remède favorable. Il faut donc bien comprendre que la couleur favorable est d’abord « thérapeutique ».
Elle peut être indiquée pour soigner les malades, leurs pathologies via les salives fixes ou oscillantes.
Les couleurs Neutres (A ou B) sont du type fixe ; elles soignent les pathologies fixes ; elles sont souvent
plusieurs à pseudo-résonner, ce qui offre la possibilité de les mixer.
Les couleurs en 16 groupes sont oscillantes §§§ ; elles ciblent autant les pathologies fixes que §§§ ; une
seule couleur se manifeste dans le groupe pseudo-résonnant.
A priori, les couleurs sont aussi stables que les salives pathologiques et leur durée de vie indéfinie ;
chacune est une référence en soi.
Les avantages des couleurs semblent réels mais pour l’instant théoriques ; nous devons passer les
couleurs au feu de la critique.
4 UNE COULEUR EST UNE RÉFÉRENCE RELATIVE
Toute couleur est supportée par un film lequel est enfermé dans un sachet Minigrip portant ses références.
Nous avons étudié tous les problèmes de pollution que posent ces différents supports issus de la
pétrochimie (Chap.6 – 6 la solution de la citrine). Vingt pour cent des Minigrip sont plus ou moins
pollués par des cdtG parfois tenaces. Idem pour les films eux-mêmes ; ces films sont souvent faits d’une
triple couche de polycarbonates, seule la couche médiane porte les pigments. Avant de découvrir ces
anomalies, nous avons longtemps travaillé en vain sur des couleurs désinformées porteuses de messages
déformés.
S’il est vrai que l’on peut, à partir des trèfles G, éliminer les mauvais Minigrip, et les remplacer par des
neutres, il n’en va pas de même avec les films plus rebelles qui supportent les couleurs.
Grâce à la biologie numérique (Chap. 20 – 6 effet thérapeutique), nous avons pu bénéficier de
l’enregistrement numérique du cristal de Labradorite. L’exposition active à cette Labradorite numérisée
et amplifiée a pour effet de décontaminer films et Minigrip en leur imposant un Champ Biologique à la
fois neutre et polyvalent, non spécifique (Chap.6 – 6 recours à la labradorite numérisée). Les couleurs
purifiées peuvent alors être enregistrées.
Les couleurs à l’état pur nous ont conduits à découvrir d’abord qu’elles appartiennent à deux familles.
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Les Biocouleurs se répartissent en huit groupes et deux sous-groupes, comme les substances médicinales.
Les couleurs Neutres ne se subdivisent qu’en deux groupes A et B.
Non seulement les couleurs ne sont pas les clés d’une thérapie ou d’un diagnostic spécifique, mais, de
plus, elles sont polyvalentes, elles sont aptes à entrer en résonance avec plusieurs pathologies. Elles se
comportent un peu comme les homéopathiques.
5 CLASSIFICATION DES COULEURS BIOLOGIQUES
Cette polyvalence des couleurs nous a conduits à penser qu’il fallait une association, un mélange de
couleurs pour parvenir à la spécificité thérapeutique recherchée car le nombre des couleurs est limité.
Reprenons la définition des couleurs X : ce sont les couleurs qui, en regard d’un trèfle D ou G, génèrent
une résonance centrale, maximale au-dessus du centre du filtre X. On pourrait dire que ce sont les
couleurs féminines.
Les couleurs O : ce sont les couleurs qui, en regard d’un trèfle D ou G, génèrent une résonance en halo
circulaire autour du filtre O. On pourrait dire que ce sont les couleurs masculines.
Le feutre à WW permet de différencier les couleurs de Latéralité D ou G.
Les T BN inférés en cdtD et cdtG définissent les couleurs qui résonnent avec chacun.
Enfin, après hiérarchisation, on établit les sous-groupes de compatibilité A et B.
Soulignons que les 16 groupes de couleurs appartiennent à la famille des « médicaments » oscillants §§§.
Signalons, une fois encore, que pour marier, mixer, plusieurs couleurs, il est indispensable que celles-ci
appartiennent au même groupe et sous-groupe.
C’est finalement la polyvalence des couleurs qui nous intéresse. Nous l’avons vu, chacune est en réalité
faite d’un spectre très ample de longueurs d’onde et cela avec des intensités très variables. Dire qu’une
couleur entre en résonance avec des pathologies différentes, via les salives, signifie que c’est une partie
différente du spectre de la couleur qui résonne à chaque fois.
Liste des couleurs Biologiques. Pour ne pas alourdir l’exposé, nous conseillons de consulter le
site « Remèdes Numériques » / Hautes Dilutions / Color Therapy. Nous y trouvons toutes les
biocouleurs.
Les noms des couleurs : GC pour la Gamcolor, L pour collection LEE, R pour collection ROSCO, WK
pour la Wratten Kodak ; suit le numéro de la couleur ; puis un z ou un p. Z signifie que c’est une couleur
R#, et p une R+, (les signes # et + n’étant pas admis dans les titres par le logiciel.
6 PROCEDE D’ETABLISSEMENT DES COULEURS
THERAPEUTIQUES
Une évidence : à partir de nuanciers de couleurs réelles, il ne serait pas possible d’établir des mélanges de
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couleurs. Il faudrait des bataillons de nuanciers…Mais nous avons découvert que certaines couleurs de
même dénomination, issues de nuanciers identiques, émettaient, malgré une dépollution poussée, des
informations différentes (Lee 217).
Il apparaît de manière assez évidente que, sans les couleurs numériques qui émettent une information
fidèle et qui peuvent être mixées, nous n’aurions pas pu réussir dans notre entreprise. Finalement sans
ordinateur nous n’aurions pu aboutir.
Les couleurs numériques sont les enregistrements de couleurs réelles dépolluées par Labradorite,
soustraites de leur Minigrip et de leur contexte de voisinage. L’information captée sous forme scalaire,
n’a aucun rapport avec la couleur réelle d’origine ; elle est invisible, elle n’est pas colorée, elle n’est
pas fréquentielle, elle n’a pas de longueur d’onde. Ce champ informatif, sans doute quantique, est aussi
complexe que le spectre de la couleur réelle mais d’une toute autre nature. Ceci étant, quand on manipule
des couleurs réelles on pense à tort utiliser des messages fréquentiels alors que ce sont les champs
scalaires, situés en amont, que nous manipulons ; du moins c’est à ces champs informatifs que le pouls
est sensible et non aux couleurs fréquentielles. Nous avons déjà démontré cela à propos de substances qui
ne réagissent pas aux détecteurs électromagnétiques mais réagissent aux trèfles, à la Labradorite ou au
feutre WW…
Pour un pulsologue, la preuve est assez facile à faire. Un film coloré émet un spectre EM constant au
cours d’une durée relativement longue, en revanche, le champ informatif d’amont peut très bien
être modifié par pollution, par inférence de champs biologiques opposés. Après dépollution, la couleur ne
change pas mais son champ informatif bien corrigé retrouve son état pur ; le point affiché sur l’oreille
n’est pas le même avant et après dépollution bien que la couleur soit inchangée.
Principes de ce procédé
Le SW salivaire et le SW témoin accolés, à partir desquels les couleurs thérapeutiques seront choisies,
sont initialement dépolluées par exposition à la Labradorite numérisée.
Il est aussi possible de travailler à partir de salives numérisées.
Les deux sandwichs, après dépollution à la LBD numérisée, sont disposés de manière controlatérale ou
mieux superposés sur la ligne médiane du corps et les couleurs numérisées sont affichée sur l’écran ;
leurs dossiers sont tous activés (en bleu).
Les heptatrèfles D et G jouent le même rôle de résonateurs que lors des tests de remèdes simples.
Les glissements du 7trèfle D recherchent une pseudo-résonance entre sandwich salivaire et couleurs, via
un détecteur. Un ODCO est autour des deux médius du praticien à Latéralité D (placé devant l’écran).
En pratique.
Les deux heptatrèfles sont placés sur une ligne parallèle à l’écran, à plat sur le bureau. Le 7trèfle G est à
gauche de l’écran et regarde en bas, le 7trèfle D est à droite et regarde en haut. Lors du glissement de ce
dernier, une première pseudo-résonance se produit avec le premier écart; on recherche la couleur
« silencieuse » et on la désactive. Puis un second écart révèle la seconde couleur. Enfin un troisième écart
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révèle la troisième couleur. On peut trouver cinq couleurs résonantes. Généralement ces couleurs
multiples ne se retrouvent que dans les listes de Couleurs Neutres et on peut les mixer pour renforcer leur
action.
Les Biocouleurs sont classées en 8 groupes ou 16 sous-groupes. Ces derniers comportent alors trop peu
de couleurs pour que des résonances multiples se présentent. Une seule couleur pseudo-résonne au sein de
la hiérarchie circulaire.
Résultats.
Signalons déjà les rapports qui unissent salives et Couleurs. Pour une salive de Latéralité D et de
Compatibilité A, doit s’apparier une couleur de Latéralité opposée G et de Compatibilité opposée B. Ce
remède est trouvé avec les trèfles en pseudo-résonance.
Notons ici l’opposition de Latéralité entre Salive et Couleurs thérapeutiques (Article 17). Les couleurs
diffèrent donc des Homéopathiques.
7 LES COULEURS NUMERIQUES – LE ROLE DE LA
LABRADORITE.
A/ Dans le détail, les choses sont moins simples. Les couleurs réelles ne sont pas pures puisqu’elles sont
supportées par un film et contenues dans des sachets Minigrip. Ces supports, mêmes dépollués
comportent une information personnelle qui biaise un peu celle de la couleur pure contenue. Ceci nous a
conduits à enregistrer les couleurs puis à les soustraire de leurs supports.
Cette soustraction d’un « support Minigrip dépollué référent » vaut-elle pour tous les Minigrip porteurs
des couleurs ? Globalement oui, mais ceci n’est pas toujours vrai pour les supports ayant été hautement
pollués. Ceci est source d’hétérogénéité au sein de nos ensembles de couleurs. Et pour établir des
résonances, il convient que les ensembles tendent vers la perfection. D’où l’importance de la dépollution
intense par Labradorite numérisée et amplifiée.
Signalons simplement qu’actuellement la résonance entre salives et couleurs se fait à partir de couleurs
numériques soustraites et de salives numériques soustraites.
B/ Second obstacle à l’étude des couleurs numériques, les couleurs de voisinage. Nous avons dû convenir
que, d’un jour à l’autre, les 3 couleurs résonantes pour une même salive pathologique variaient en
fonction de la couleur du pull que portait l’analyste. Nous avons donc été amenés à placer dans le champ
deux sachets de poudre de Labradorite à la fois irisée et neutre (O&X, D&G, cdt D&G, s-g A&B) ; ces
sachets, mis en sandwich gris, sont déposés à proximité, de chaque côté de l’écran.
Nous venons de voir l’importance de la disposition des SW de Labradorite placés de chaque côté de
l’écran; lors de la classification des couleurs ils sont dans un plan parallèle à l’écran du PC ; ces sachets,
émetteurs de couleurs irisées, neutralisent les couleurs de l’arrière-plan de l’écran ou du voisinage. Mais
lors des tests de couleurs thérapeutiques, ils sont dans un plan perpendiculaire.
Une application pratique découle de cette observation : quand on fait des tests de remèdes en direct sur
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un patient, en salle d’examen, la présence de SW de LBD bilatéraux (à un mètre de distance) s’impose
dans le champ environnant du malade.
8 DIAGNOSTIC A PARTIR DES MÉLANGES COLORES ?
L’étude des « mélanges colorés thérapeutiques » était-il possible ?
Nous avons renoncé à cette méthode de diagnostic s’appuyant sur des ensembles de « mélanges
colorés thérapeutiques ». Il n’y a pas en effet de mélange possible car une seule couleur est optimale par
groupe ; à tout le moins toutes les couleurs du groupe (sauf une indifférente) sont à divers degrés
favorables…
Actuellement nous nous contentons d’employer des salives pathologiques de référence, de préférence
numérisées, pour évoquer un diagnostic. Souvent, pour l’écart le plus rapproché des trèfles retournés
correspond le diagnostic en résonance vraie le plus aigu et pour le plus distant le diagnostic le plus
chronique.
L’emploi des couleurs pour établir un diagnostic est encore à l’étude.
9 LES COULEURS DES DILUTIONS HOMEOPATHIQUES
Nous avons déjà abordé ce thème dans le chapitre portant sur l’homéopathie. Il existe une « couleur
dilution » spécifique de tous les remèdes en 5CH, une autre couleur pour tous les remèdes en 7 CH…Bref
toute dilution a sa couleur équivalente.
Les couleurs de dilution appartiennent aux couleurs Neutres. Elles ont été établies à partir de six remèdes
homéopathiques différents pour chaque dilution ; les six remèdes résonnent tous avec la couleur de
référence.
Lors des tests de remèdes homéopathiques devant écran, les couleurs réelles sont étalées devant le
moniteur. Leur présence dans le champ amplifie la réponse des remèdes homéopathiques indiqués et la
couleur pseudo-résonnante définit la dilution optimale. L’intrusion positive de ces couleurs neutres dans
notre milieu biologique pourrait faire question. En réalité ces couleurs Neutres entrent en résonance avec
la pointe Neutre d’une Labradorite qui est elle aussi de type O&X, Latéralité D&G, cdt D&G, s-g A&B.
Couleurs de HD :
5CH = R366 ; 7CH = R248 ; 9CH = R105 ; 12CH = L353 ; 15CH = R201; 30CH = GramColor 915.
Couleurs de THD (Kosakoviennes):
200K = R#25 ; 1 000K ouMK = Lee 203 ; 10 000K ouDMK = Lee 136 ;
50 000K ouLMK = Lee 115 ; 100 000K ouCMK= Rosco # 398.
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Couleurs de BD
4CH = Lee 441 ; 3CH = Rosco 363 ; 3DH = Lee 214.
10 LES COULEURS ET LA DÉFINITION DU GROUPE SALIVAIRE.
La dernière en date des applications est peut-être trop ambitieuse. Elle vise de fait à permettre à un sujet,
non entraîné à la prise du pouls, à se grouper, à définir lui-même le groupe auquel il appartient.
Les couleurs numériques sont ici indispensables (Chap.20). Le malade doit se placer devant les16 groupes
activés de couleur.
Pour définir son groupe, il devra écarter les trèfles à partir de zéro (les deux trèfles en contact) ; la pseudorésonance qui correspond à l’écart le plus étroit, lui indique son groupe. Elle ne lui indique cependant pas
ses couleurs thérapeutiques qui, nous venons de le voir, se situent dans les couleurs de Latéralité opposée.
CONCLUSION
L’étude des films couleurs montre ceci : les couleurs se subdivisent en couleurs Neutres et en
Biocouleurs. Les biocouleurs sont un peu moins de 200, les Neutres 120, ce qui est peu. Autre handicap,
beaucoup de films, faits de trois couches, sont pollués, ce qui nous oblige à les traiter.
En raison de leur large spectre, ces couleurs biologiques sont polyvalentes mais peu spécifiques. Les
couleurs Neutre peuvent être enregistrées et grâce aux logiciels, les couleurs numérisées peuvent être
mixées pour réaliser une véritable chromothérapie.
Nous avons montré que les couleurs n’ont pas encore trouvé leur place pour établir un diagnostic.
Nous abordons une application intéressante des couleurs neutres: définir les couleurs équivalentes des
dilutions homéopathiques.
Dernière application en date : possibilité pour un malade non entraîné à la prise du pouls, d’établir son
groupe et, partant, de cibler les ensembles de remèdes favorables à son état.
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