Avec un chaud amour de l`humanité - Democratic People`s Republic

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Avec un chaud amour de l’humanité
Le personnel du préventorium No 3 saluant Ku Hui Chol à son départ, lui qui a été complètement rétabli.
En janvier de l’an dernier, le préventorium No 3 du ministère de la Santé a reçu un malade urgent, sensé
être inguérissable par la médecine contemporaine.
Diagnostic : une maladie incurable accompagnée des troubles consécutifs à elle.
Les indices de vie du malade étaient déjà au-dessus de l’extrémité.
Le personnel de l’hôpital se montrait embarrassé, d’autant plus qu’il allait s’occuper, pour la première
fois, d’un pareil malade.
Plus l’opinion publique s’intéressait au retour du malade à la vie, plus il se sentait responsable vis-à-vis
de ce dernier.
La répartition du travail pour ressusciter le malade eut lieu immédiatement et le traitement s’effectua de
manière sérieuse, nuit et jour.
Les médecins et infirmières se heurtèrent aux innombrables circonstances inattendues : ils s’étaient réunis
à plus de 200 occasions pour la consultation urgente seule.
Ils durent poursuivre des dizaines d’expérimentations pour obtenir une valeur numérique de contrôle et
passer des nuits blanches au chevet du malade.
Lors des opérations décidant de l’issue du traitement du malade, ils les ont effectuées fructueusement en
liaison étroite avec des unités concernées, ramenant ainsi le malade à la vie.
Incommensurables sont les efforts accomplis par les médecins et infirmières tout le long du traitement de
plus de 300 jours, en faveur du malade.
Au cours du traitement, le malade s’était offert des médicaments et fortifiants de grand prix de la part de
l’Etat.
Ce malade, il fut Ku Hui Chol, auteur de « Le ciel bleu de mon pays », chant favori du peuple coréen.
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Le personnel de l’hôpital était comblé de joie d’avoir guéri le malade jouissant de l’amour et du respect
du peuple.
Le malade a eu, lui aussi, une émotion profonde en bénéficiant directement du système des soins
médicaux gratuits.
« J’ai composé jusqu’à présent un bon nombre de chants dédiés à la patrie, mais je n’ai ressenti aussi
vivement que cette fois-ci combien elle était précieuse pour moi et combien était grande ma gratitude à
elle. Je remercie sincèrement les médecins et infirmières ayant mis toute leur bonne volonté à me soigner
tout le long de mon hospitalisation ainsi que le système sanitaire socialiste », c’est ce qu’a laissé entendre
Hui Chol de 70 ans, plein d’ardeur juvénile, avant de quitter l’hôpital en décembre de l’an dernier.
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