préservatif - SOS La Vie

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préservatif - SOS La Vie
PRÉSERVATIF !
Mon Petit Larousse définit ainsi le préservatif : « dispositif, en matière souple (caoutchouc,
matière plastique) utilisé comme contraceptif à action mécanique. Préservatif masculin :
également utilisé comme protection contre les contaminations vénériennes. Synonyme :
condom, capote anglaise, capote. Préservatif féminin : diaphragme.
Ce dispositif était conçu à titre anticonceptionnel ou prophylactique des maladies sexuellement
transmissibles, telles la syphilis.
Un rapport de l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) d’avril 2009, sur le sida, affirme « que
l’efficacité moyenne du préservatif n’est que de 80 à 90 %, » ce qui, en clair, signifie que 10 à
20 % des utilisations aboutissent à une contamination. Statistiquement parlant, si l’on
considère comme 100 actes la moyenne annuelle des rapports sexuels, 80 à 90 rapports
n’entraînent pas de contamination, mais 10 à 20 entraînent la contamination. Nous sommes donc
bien loin du taux d’efficacité de 97%, claironné ici ou là, par ceux qui, en début d’année
traitaient Benoît XVI comme ils l’avaient fait pour Jean-Paul II, de « criminel » parce que l’un
et l’autre avaient affirmé que «le préservatif n’était pas la solution au problème du sida. »
On observe trois causes principales de contamination.
Le préservatif se défait ou se déchire ; les « cratères » sont susceptibles d’éclater avec
l’élasticité ; la porosité du latex. Le virus du sida est de l’ordre de 100 nanomètres, soit 1/10°
du micron, soit 60 fois plus petit que la bactérie qui cause la syphilis, soit 450 fois plus petit
que le spermatozoïde.
En conditions climatiques normales de chaleur et d’humidité, les pores du latex, atteignent 1,5
micron, soit 15 fois la taille du virus du sida. La porosité est augmentée avec l’élasticité, la
finesse du latex et la chaleur. Les fabricants de préservatifs recommandent un stockage à une
température de 15 à 20 degrés centigrades qui, bien souvent n’est même pas respectée en
Europe alors qu’en Afrique le stockage peut atteindre 40 à 45 degrés centigrades. A cela on
peut ajouter la contrefaçon qui atteint une moyenne de 10 à 15 % dans tout le secteur de la
santé en dépit des contrôles très stricts.
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La politique unique du préservatif a causé une prévalence gigantesque du virus du sida en
Afrique Australe.
Ainsi, en 2001, on constate des taux :
- de 21,5 % en ZAMBIE
- de 33,4 % en ZWAZILAND
- de 31% au LÉSOTHO
- de 33,7 % au ZIMBABWÉ
- de 38,8 % au BOSTWANA
En 2005, ces taux ont fortement baissé dans certains de ces pays, mais le SWAZILAND reste
un taux record de 33 %, soit UN INDIVIDU adulte (de 15 à 49 ans) sur TROIS, infecté.
Inversement, les pays où l’on peut considérer que la religion catholique – et donc les propos de
Benoît XVI, - ont une portée significative, affichent un progrès considérable sur la même
période en 2001.
- Le Burkina est passé de 6,5 % à 2 %
Le Bénin de 3, 6 % à 1,8 %
- Le Cameroun de : 11,8 % à 5,4 %
La Guinée de 2,8 % en 2003 à 1,5 %
- Le Burundi de 8, 3 % à 3,3 %
Selon les chiffres de l’ONUSIDA, les anciennes colonies d’Afrique Occidentale Française,
telles que Le MALI (1,7%) ou le NIGER (1,1 %) sont toujours restées à des taux très bas.
Le Chef de l’Eglise catholique, constituant l’ultime rempart contre la « culture de mort », la
« police de la pensée unique » a recours aux pires mensonges pour l’abattre quitte à risquer
l’extermination des peuples d’Afrique !
Frère Auguste THEROND,
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