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Des nuages bleus, des pluies acides,
Les abeilles crient au suicide
Quelque soit ta confession
Devant Dieu tu passera pour un con
Car que tu portes une kippa ou un voile
Dans le ciel il n’y a plus d’étoiles
Mais à part ça, tout va bien
De toute façon ce sera pire demain
Cousteau a bien fait d’y rester
Car il n’ y a plus rien à filmer
Si les corbeaux volent à l’envers
C’est pour ne plus voir cette misère
On a déjà touché le fond
Dans la mer il n’y a plus de poissons
Mais à part ça, tout va bien
De toute façon ce sera pire demain
Tchernobyl, Fukushima, etc
Tous les jours on se tire vers le bas
On s’efforce à créer le vide
Il n’y a plus d’eau claire et limpide
L’homme est un loup pour l’homme
Mais pourquoi Eve a t-elle croquée cette pomme?
Mais à part ça, tout va bien
De toute façon ce sera pire demain
Bientôt le soleil se sera éteind
Avec nos dollars on aura l’air malin
Si Dieu était vraiment à nos côtés
Il y a longtemps qu’il nous aurait tous butés
Un abrî atomique comme future maison
D’la moisissure et des cendres comme ultime nation
Mais à part ça, tout va bien
De toute façon ce sera pire demain
VERSUS SKATEZINE & PLUS #100
(special 10 years / winter / hiver 2014 - 2015)
Un grand merci à toutes et à tous! Thank you all folks!
WWW.VERSUS-SKATEZINE.CA - [email protected]
Bib / photo: Sarah Covarel
“Wenn ich zurück blicke auf all das Erlebte seit ich Jey und somit Versus kennengelernt habe, dann habe ich natürlich unzählige krass geile Momente in Erinnerung.
Natürlich waren alle diese Momente überaus gut, nur kann ich nicht alles erwähnen,
denn das würde wohl ein ganzes Buch füllen. Bei mir heben sich hauptsächlich all
die Skatetrips heraus, die wir erlebt haben. Doch am meisten ist es der erste wohl
“beste Skatetrip in my life” - Der PASSION-TOUR - als wir zu viert (Jey, Claude, Charles und ich) im Opel Zafira von meinem Vater, eine Woche lang unterwegs
waren, ohne eine einzige Schlafmöglichkeit voraus zu planen. Einfach drauf los!
Lugano - Milano - Lyon - Genf - Lausanne und wieder back home! Hier machte ich
meinen ersten “richtigen” Covershot im Versus #49! Somit auch meine favourite Issue!
Cover, Backcover und Interview! Was will man mehr? Nein, eigentlich ist dies alles
Nebensache, denn diese Issue erinnert mich eben an die tollen Erlebnisse auf diesem Roadtrip. Gestartet in Lugano mit einem gebrochenen Board nach 5 Minuten,
mit Gemüse beworfen werden beim Skaten in Milanos Strassen, wildes Übernachten
auf einem Hinterhof eines Wohnquartiers, Bowlsession morgens um Acht, erster
Nollieheel ein Gap runter, Beer-Shotguns, Skaten der riesigen Lyonledge, kiloweise
Merquez-Würste grillieren, Chillen, Freude... pure happyness! Aber eben, dies ist nur
eine Erinnerung von Vielen, aber eben für mich eine von den Besten! Love you Guys!
VERSUS FOR LIFE!!!”
Michael “Mile” Widmer
Milä / photo: Sarah Covarel
Jé / photo: Sarah Covarel
“La seule chose qui va rester de toutes ces années passées à skater ben c’est Versus.
Versus c’est les sessions, les skate-trips, les rencontres, les soirées, les conneries parce qu’en skate on croit qu’on est bon mais en fait on ne l’ a jamais été... Même avec
15 ans de pratique. Donc juste pour ça un grand MERCI!! Heureusement que t’es là
parce que c’est pas avec les tricks qu’on fait qu’on allait passer dans Sugar!
Cette passion qui nous entretient depuis notre plus jeune enfance n’aurait jamais pu
être mieux décrite que par Jey !
Cette année on a fêter les 10ans, à la Maidzan bien sûr, y a pas meilleur
spot pour réunir tous les potes, skater la mini, faire la fête, des barbeks,
du son avec dj’s et concert privé des Sacs à Gnôle... Bref on s’est gavé!
Donc voilà pour terminer j’espère que tu vas continuer à nous régaler encore quelques années même si t’avais dit que t’allais jusqu’au 100 et après tu verrais...
VERSUS reste un des seuls seul fanzine français et ca serait dommage de s’arrêter
là donc garde la motiv’ mon Jey! PEACE”
Bib
Bib / photo: Sarah Covarel
Christ’Air / photo: Sarah Covarel
“Quand on parle de Versus ou du YCM, je me rappelle nos premiers tours de roue à
Villargondran...
On rêvait d un spot ou personne nous interdirait de rider, un spot fait par des
riders pour des riders... Devant l’incompréhension générale de tous les décideurs de
Maurienne, incapable de fournir une réelle structure skatable, le YCM emmené par
l’archi, décidèrent de combler ce vide en créant la rampe dans un lieu maintenant
culte : la Maidzan .
C’est pas là que l’aventure commence mais on peut dire qu’à partir de ce moment,
il y a eu un refuge pour tous les skateurs libres crevant de soif en Maurienne...
Je voudrais remercier tous les acteurs de cette aventures et surtout toi, mon Jé, qui
au travers de Versus entretiens l’âme de tous les rebelles à roulettes, insoumis et
libres que nous sommes... Vos lois ne sont PLUS nos règles ...
VOTEZ YACHTING !!!!!”
Jocko
MY FIRST OLLIE
“It’s been 19 years since that first one it’s the trick that got the ball rolling so to
speak it’s crazy cuz I can’t remember my first kick flip heel flip varial disaster 50 50
but that first Ollie is ingrained in my memory like it was just yesterday.
I remember my best mate got a board for his birthday an was just frothing out on
it so bad he had oldies an 180s dialled in after a couple of weeks. I remember being
super jealous and thinking fuck I gotta get this shit down! So for the next week every
afternoon I’d go to his place for a hour I’d just practice this ollie thing just all out.
After a couple of days I was starting to kinda get it but not really so I just soldered
on. After another couple of days practicing I was getting super close then something
just clicked an pop it happened OLLIE!!! My mates dad yelled out I turned around to
look at him he gave us a big grin I was so stoked! I’d finally done it an had a witness
hahaha So that’s how this addiction started 19 years ago yew!”
Ren
Jocko / photo: Sarah Covarel
La Maidzan / photo: Sarah Covarel
(Il faut prononcer les «S» à la fin de chaque vers! (verres?)
Vénéré, estimé, barbus et chevelus,
Est-il gourour, prophète, saint ou même Jé-sus?
Rassemblant «Sous l’toit» une belle bande de glandus,
Seul «Sacs à Gnôle» et «Sacs à vin» sont bienvenus...
Un mouton noir n’a pas un excellent curcus,
Skate aux pieds, pète au casque, il possède une astuce:
Kro, blanc, rouge, Jack, génèp’ pour donner du tonus
Avec le YCM, pas besoin de plus...
Traçant une voie libre de ces pourris venus,
Elle même dans un endroit fermé aux corrompus,
Zone refuge contre le système et ses abus!
Ici on ne donne pas la patte, on naît Versus,
Nous, on ne baisse pas la tête, on est trop couillus,
Et vos putains de lois vont droit dans notre anus!
Mélo
Bib / photo: Sarah Covarel
Bib & Bob / photo: Sarah Covarel
“Write something about my versus-warrior highlights yeah that’s a hard one. not that
i couldn’t think of any highlights “on contraire mon ami” if i would write them all
down i would end up writing a book. And as my english writing is even slower than
Sven Kilchenmanns (sorry for mentioning his name) skating, that would take till versus 1000. so i guess i’ll just stick to the one and try finish it “this try first try”.
So for once instead of droping this shit and “egal was passieren, stay on the board”
(oh crap my german writing isn’t any better then my english. God save the Queen) it’s
more like open that laptop and “egal was passieren stay on the chair”. and i`m pretty
sure this one going to be a beer try.
Ok. i think one of my biggest versus highlights was the versus video premiere or i
guess the whole versus video. As a no talent full passion, and even more a no flipin
in flipin out bastard it`s quite hard to get a video part this days. but i’m more then
happy and thankfull that i did get the chance to be part of something like “THE ONE
AND ONLY VERSUS VIDEO”. and it’s sure nice to hold something in your hand that
proofs that all your “blood, sweat and tears” weren’t for nothing.
so i’m looking forward to an other 100 issues of “easy gsi, pop värteli, mau öppis
freiiiisen, next try first try, inä inä inä, i dräiä dürüm, wosch ä schleglä, egal was
passieren stay on the fucking board, äs kökäli siäch, i was the only one not drunk,
aufpassen sehr geferlich, huärrrä nice 5-0, if i wouldn’t have tried i wouldn’t have
tried, wäxäd öi boards, baby bail, tequila suicide, überkonnt, i’m more talented at
having holidays then at working...
any way thanks a lot to all you guys for all the good times and a special thank to jey
for making all this possible and skating all this ramps, bowls and pools (an every
now and then a “no pop game of skate”) with me. and if you ever get tired of to soft
cheese, wine and la grand nation, your always more than welcome to pedal back here
to skate the new bäronx and maybe have a short, long B5 session.”
Charlie
Charlie / photo: Sarah Covarel
Versus Army / photo: Sarah Covarel
“Versus pour moi...
Grâce à Versus j’ai :
*rencontré des personnes exceptionnelles d’ici et d’ailleurs,
*passé des soirées mémorables par tous les temps et tous les lieux
*vécus des lendemains parfois difficiles et douloureux ;)
* vu mon vocabulaire se...transformer.. Il est maintenant beaucoup plus riche par
des expressions que nous seuls sommes en mesure de décrypter !
* des fous rires et des souvenirs plein la tête.
Versus ma permis de découvrir des personnes que je connaissais pourtant de vue
depuis presque toujours mais que j’ai appris à connaître et qui maintenant font
partie à part entière de mon entourage.
Il y a eu aussi des super rencontres; je pense en partie aux p’tits suisses !
J’ai également appris que je n’étais pas une grande skateuse mais alors pas du tout
mais que par contre en cas de reconversion je peux éventuellement me reconvertir
en barmaid du sous l’toit et en commerciale/vendeuse pour l’ensemble des articles
du YCM ! Merci à Versus, à toi pour toutes ces belles choses.”
Lolo
“Un soir de novembre pluvieux, je me dis tiens je vais passer à la Maidzdan, je
frappe, personne réponds, mais étrangement j’entends un bruit, un bruit inhabituel,
inquiet je me décide à entrer... Pas de lumière, juste une porte entre ouverte laissant
paraître un fin filet de lumière, une invitation à m’enfuir ? Tout cela me semble
louche et en même temps ne me surprend pas, la Maidzan, Versus, Trude, Chdoubi,
PF, Boulal, Boomsong et j’en passe, que des surnoms, on m’avait prévenu le jour où
j’avais comme mission d’infiltrer cette bande de fous: “Méfies toi, ils ont plusieurs
identités !” D’ailleurs ma première mission était d’intégrer un pseudo groupe de Rock
“les SAGS” mission réussie non sans quelques perte de neurones... J’ouvre, le bruit
se fait de plus en plus présent, et là à ma grande surprise, une imprimerie clandestine des Versus par milliers voir millions... Jey dors paisiblement au milieu de ce
vacarme, normal il a un sommeil de plomb, du coup je m’éclipse n’oubliant pas mon
précieux Versus numéro 100.”
JLVZ
Christ’Air / photo: Sarah Covarel
Sous l’toit / photo: The Boss
“C’est avec joie que je viens fêter le 100ème numéro de ton fanzine, création qui te
permet depuis (9-10ans?) d’exprimer ta passion pour le skate-board. Tu as consacré
ta vie à ce “sport-art de vivre” depuis l’âge de 13-14? ans, auquel tu as reçu ta 1ère
planche. Les mots d’ordre ne furent alors plus que SKATE-PARCS et SPOTS, qu’il
fallait absolument dénicher partout où nous passions. Tes lectures ne furent plus que
des revues de skate, la plupart en anglais , ce qui t’a permis de maitriser l’anglais
rapidement.
La petite ville de St Jean de Mne, où nous résidions n’ayant pas de skate-parc, tu as
lancé une pétition avec quelques copains pour en obtenir un , qui fut réalisé quelques
temps + tard mais qui malheureusement fut vite dégradé et insécuritaire. Tu as alors
écumé tous les skate-parcs de Savoie et des départements limitrophes: Hte Savoie,
Ain, Isère. Des séjours chez tes grands-parents à Paris t’ont permis de “skater Bercy”,
où tu as fait la connaissance d’un skateur suisse aussi acharné que toi, Jan, qui fit
désormais partie de ta vie.
Lors de notre départ au Québec en 2002, nouvelles recherches de spots et skateparcs, mais qui devaient être couverts pour l’hiver, ce qui nous a amenés quelques
dimanches à Trois-Rivières (100kms de Montréal tout de même!), jusqu’au jour où
tu as pu construire ta propre rampe dans le grand cabanon du jardin. Roland, un
papi québécois a mis son expérience à ton service et t’a permis de réaliser un de tes
rêves les + chers: que d’heures tu as passé dans ce spot, avec ou sans copain , où nous
devions aller te filmer lorsque tu manquais de caméramen. C’est là-bas aussi que tu
as lancé ton fanzine, au départ 6 pages, que tu allais imprimer chez le voisin, puis il
s’est étoffé au cours des années, pour devenir aussi un éxutoire à ta révolte contre
notre société.
Ton arrivée à Berne en 2007, chez tes copains “skateux”, comme je les avais surnommés gentiment, a renforcé encore ton goût de vivre pour ce sport. Skate après le
boulot, skate les week-ends, vacances où il y avait des spots de skate; à 27 ans , tu
avais posé les pieds (où plutôt les roulettes) sur les 5 continents grâce à ta passion.
Puis retour à la case départ, en Maurienne en 201?, où tu vas à nouveau embarquer
avec toi toute une bande de copains, à la “Maidzan”. Ce retour à la montagne t’a
permis d’élargir ta palette de glisse, avec le snow, le ski, et bizarrement, le surf...! Ce
sont certains de tes fidèles amis suisses qui t’ont initié à ce sport, et vous continuez
donc à “écumer” (ha, ha!!!) les spots de skate et surfs européens, ce qui alimente les
récits de Versus.
Le seul “bémol” à cette passion, est qu’elle t’a occasionné de nombreux traumatismes qui ont laissé des traces importantes dans ton corps, devenu aujourd’hui bien +
douloureux et enraidi qu’il ne devrait l’être à 30 ans !!! Ce n’est pourtant pas faute
d’avoir été prévenu, mais quand l’addiction vous tient, le sevrage est bien difficile.”
Christinette, ta vieille mère.
SAG / photo: The Boss
«En ces temps troublés : Déflation, chomedu, paralysie des institutions, triomphe de
l'inculture, de la vulgarité et de la vacuité, corruption de nos "Zélites " (Rigolons un
peu pour ne pas pleurer ni devenir fou), les temps qui s'annoncent sont pour le mieux
inquiétants, voire cataclysmiques...
L'économie, théoriquement à notre service, a habilement inversée la donne, et comme
disait l'autre :" Le passé était sinistre, le présent angoissant, heureusement qu'il n' y
a aucun avenir ! "
Dieu merci, tout là-bas dans nos montagnes, certains s' obstinent à résister envers
et contre tout, c'est pourquoi j'ai choisi de saluer le créateur de ce magazine qui,
refusant de faire le jeu du lobby militaro-industriel, de l'industrie agro-alimentaire,
des partis politiques et même des médias à la solde du pouvoir, a choisi la dérision,
la résistance et donc sûrement la Raison.
Pour lui, foin des bêtes à viande nourries aux OGM puis sacrifiées sur l'autel de
la grande distribution, refusant le pillage des réserves halieutiques de nos océans,
ignorant avec un souverain mépris les promotions attrape-couillons et les publicités
putassières de nos supermarchés; cet homme a choisi de se nourrir exclusivement de
Röstis (prononcez Reuchtis) et de pâtes (prononcez Spaghettis) à l'exclusion de toute
autre nourriture (Il faut bien le dire cette consommation quelque peu excessive,
répétitive et roborative mérite à tout le moins notre respect si ce n'est nos encouragements !)
Qu'il en soit remercié, car grâce à lui, nos petits veaux gambadent avec bonheur
auprès de leur maman, et nos thons rouges nagent en bancs serrés en medi(Salut
Boulal)terrannée. Seuls de temps à autre un porc ou un mouton, il en faut pour
toutes les chapelles, ont la satisfaction de nous accompagner avec un petit verre de
rosé !
Pour cet homme là, donc je lève mon verre, et, s'il veut bien baisser un instant le
volume de Motörhead, je dis : Bravo, continues et que le Bon Dieu te l'allonge !»
Philippe
“Growing up in a small town in cheese-country, I always had the feeling, I was too
late & far away from everything!
I best recall the feeling when - still as a lil boy - our family visited the “Verkehrshaus” (=museum of traffic) and we watched an early 3D movie bout Claude Nicollier, the 1th swiss astronaut.
After the show I was quoted like “That’s so unfair, everything is already done!”
Later on in high school I was all into Hardcore & Skateboarding. I spent lots of
time in my room, watching skate videos on vhs-tapes and checking Thrasher magazines and books of Glen E. Friedman. So far away from sunny California, the spots
under palms and years after Hardcore was raising, I had exactly the same feeling
again! I’m too late and in the complete wrong place! This crazy dude Glen E. Friedman was shooting Minor Threat, Black Flag, Fugazi coming up on crazy concerts,
shot the pioneers of street-skating and possed around with the Beastie Boys!
I really admired and hated that guy!
But then something happen!
And for once, I was there! I was there in the very beginning, witnessed the birth,
the first steps and the raising!
And even better, I took part of that new thing - a little bit at least!
Jey & I met 13 years ago in Paris - for the simple reason, that we were the only
idiots skating Bercy in the morning hours! So we started talking..then traveled to
spots in Paris..and kept in touch!
We met again the next summer in Geneva - which was halfway for both - and at
the GP of Lausanne.
Then Jey moved over to Montréal and it was time for both of us to get their first
eMail adresse, to inform the other ‘bout new tricks we did, tried or dreamed about.
The very next summer we met again in Paris, skating Bercy and other spots! Jey
unfortunately twisted his ankle and soon later - the days got shorter and rainy
again - I got the very first copy of Versus!
It had BERCY on it’s cover and I think, next to Jeys brother Nico, I’m the only guy
having a copy of it!
The years were we (the Goofy Boys) hit Barcelona in fall and Jey spent a few days
in cheese-country came and Versus became a regular Skate-Fazine.
Some how I not only was around from the start, but Jey was so gentle to give me a
cover once and there were a lot of photos I shot in that magazines.
Then GOOFY DAYS had it’s big premiere and Jey was there as a surprise guest out of Canada!!!
From there on Versus grew. It’s online issues got read by hundreds and the skaters
and their tricks in the magazine got numerous and superior!
A few weeks ago I witnessed a crazy 10 years anniversary party in Savoy.
10 years?! 100 issues? So amazing, crazy and honorable!
Since that very first issue, Thrasher - the Mag of all Mags - wrote about Versus,
friends got a Versus tattoo and you can find a good part of our youth in those
mags!
I’m really happy for Jey & Versus and kinda proud I was there - for once!
And if I find some time in the next days to go to my darkroom - or Jey is bit patient - there will even be a few photos I shot in that issue No. 100!
So long Jey - you fucking rock!!!”
Jan The Boss
La Maidzan / photo: The Boss
La liste
“100 numéros de Versus ? Ha ha, comment qu’il se fout pas de notre gueule le bellâtre
des montagnes ! Franchement, j’y crois pas une seconde. C’est énorme 100 numéros,
vous vous rendez compte ? Bien sûr, personne n’a pensé à compter. Tout le monde lui
fait confiance à l’autre punk-anarcho beau gosse du 73. Il peut vous raconter n’importe quoi, et vous buvez ses paroles comme s’il était le messie. Désolé de vous ouvrir les
yeux les mecs, mais vous planez complètement. Selon mes estimations, on est plus
près du numéro 60 (30 selon la police), ce qui est déjà très bien et je ne vois pas pourquoi vous le croiriez plus lui, le Jey, que moi qui ne cache pas une certaine passion
pour le merveilleux monde des chiffres. Par exemple, quand je me suis acheté mon
premier vrai skateboard avec mon argent de poche au siècle dernier, j’ai entrepris
de répertorier toutes les planches que j’aurai à l’avenir. Je n’ai pas comptabilisé les
deux planches en plastique que j’avais eu dans les années 70 (la bleue d’abord, puis
la rouge qui allait nettement plus vite), ni la Holy Sport achetée dans un magasin de
jouet au milieu des années 80, parce que c’était pas des vrais « skate américains »
comme on les appelait à l’époque. La première de cette liste est une Madrid, modèle
« concave », complètement plate, que j’avais rebaptisé « Mike California » parce que
je trouvais ça cool, et que j’étais donc un peu con. Je l’avais faite durer au moins un
an. Je me souviens d’absolument toutes les planches de cette liste, et je ne cache
pas une certaine nostalgie, voire même une larme à l’œil, quand je retombe dessus à
l’occasion. Dommage que je n’aie pas eu la présence d’esprit d’inscrire également les
dates, ça aurait fait encore plus de chiffres. Je regrette aussi d’avoir lamentablement
abandonné cette liste à la 42e. Parce que si j’avais continué, j’aurais aujourd’hui, près
de trente ans plus tard, une liste vraiment folle d’au moins 2 millions de boards. Et
il aurait moins fait le malin, l’autre, avec ses 100 pauvres petits fanzines.
Je me demande à quoi ressemblerait une liste d’un gamin qui commencerait le skate
aujourd’hui : 1. Jart logo 2. Cliché logo 3. Plan B Pudwill (parce que c’était à Noël)
4. Jart logo… Ça fait rêver hein ? Bon, assez de sentimentalisme, je demande un
recomptage des Versus. On me la fait pas à moi.”
Fred D.
La Maidzan / photo: The Boss
Versus and let the good times roll
“Jan” the boss” came up with Versus when I was in the beginning of my 20s. He told
me the story about how he met Jey in paris and that he’s doing his own fanzine about
his passion - “skateboarding”. In this time I started shooting pictures of the Goofy
Days crew. during the first years of Versus I never met Jey personally - apparently
we met each other the first time when we got chased and busted by the police after
a night session in bern - and then the second time at the Goofy Days premier in 2007.
However, in all this awesome and overwhelming years Versus became a huge influence in my life. Versus became more than just a magazin, it became friendship, love,
good times, inspiration, travel, philosophy, motivation, passion... All of it was created
by Jey and the people in and around Versus. we all got a connection to each other.
It didn’t matter how old you were or where you were living. it was and still is one
big family, doesn’t matter if you speak french or english, swiss or spanish, italian or
brazilian or something weird. Anyway, the last 10 years was the best time in my life.
We shared lows and highs sometimes a couble of beers and one or two bottles of the
good old Jack. In this time i learned that a simple easter brunch can escalate very
quickly or a raclette with a straight edge and two kids can be so mindblowing that
your mind (and stomach) actually blows. Thank you Jey to make all this happening,
for your huge effort and you endless passion.
For a neverending friendship
Claude “le düde”
In refer to this picture: this is Versus because we let the good times roll. Sometimes
you are alone together and sometimes you are together alone... Actually this doesn’t
really matter. The question about this picture is: who’s this guy standing next to me
and who made this picture??? I hardly don’t remember anything, buuuut you know
what??!? I was the only guy who wasn’t drunk!!! Ahahahahaha.”
Versus Army / photo: Fabio
The Dude / photo: The Boss
Sur la planche, sur la route...
Tout a commencé dans un petit square Saint Jeannais, où Jey et son frère me firent
découvrir le skate moderne, que l’on connait tous maintenant.
À l’époque, j’avais déjà eu une planche, pour descendre assis. Celle avec l’arrondi
devant, le tail relevé avec un énorme bout de plastique vissé dedans. Enfin dans ces
années là, le patin “en ligne”, était à la mode, comme la trotinette aujourd’hui. On fait
tous des erreurs, le roller en fait parti.
Mes parents n’étaient pas réceptifs à ce sport. Et grâce à la générosité de Fred
Lagléra, qui m’a offert une de ces anciennes planches (merci encore), me voilà parti
dans la folle aventure!
Premier montage: échec!!!
Les trucks à l’envers, c’est pas pratique pour tourner (mais ça à filé une bonne barre
de rire à Jey).
Premier vol de barrière en plastique au centre technique de la ville: échec!!!
Cassé le pied en resortant...
Gros squattage d’un garage souterrain, avec beaucoup de beaux moments.
Avec la descente vers ce lieu en plein hiver, avec les planches dans des sacs poubelles,
pour éviter la neige par exemple.
Puis vinrent les années où chacun est allé de son côté, jusqu’à ce que l’on se retrouve
tous dans notre pays natale.
Et voilà, le renouveau!!!
Avec la découverte de la pratique du bowl, la construction de la mini-rampe et la
fondation du YCM.
Merci à Versus de m’avoir fait redécouvrir le skate pour en devenir ma passion et
pour tout ces kilomètres d’adrénaline!!!
Sans parler des nombreuses soirées endiablées de la “Maidzan” autour d’un même
thème, le SKATE!
Longue vie au fanzine!
Jerwack
Olivia
Amanda / photo: The Boss
“Hi Jey!
Here’s my humble contribution:
“Asking for permission is like asking to keep the rock someone just threw on your
face.”
Cheers from Berne.”
U*
“Hey le putain de france!
I’ve just a short one...
Une saucisson avec du pression?
No thanks, I don’t do food.
Barcelona with you and the Boss years ago :)
Hope everything is fine with you and the world.”
Grufä
“Best people
Best concerts
Best genepi
Best bonfires
Best shoetree
Best ramp for the first drop ever on a skateboard
THANK• YOU
P E A C E • L O V E • R O C K ‘n’ R O L L”
“Sorry jay huere verhänget...
Malaga dez 2013:
The last trip with you crazy guys was awesome again. fuck, it`s 1 year ago!
What`s wrong!?!?
Chicken bone, versus army is on! the weather, spots, appartement and the city,
everything was beatuful. dinner on the roof from our appartement.
Hahaha easy gsi!
sanchos double set, buuum bang! what an ollie dude!
There was just 1 bad shit . At the first day, I smashed my back winemooore!
Damn huere schmörz, first day am arsch!
But easy gsi, bought some drugs and the pain was away! Aight!
So, I`m to rejoice for the next trip.
Fuck for forest”
Simu
“Versus
What it means to me.
Some Idiots how don’t know what to do.
No, serious now.
Some Idiots who follow their passion!
Everytime i went on a Versus-trip, it wos all about the good things in Life.
Beer,Friendship,Fun, Ollie,s and all the other Crap.
I Love to share time with the Versus-Family .
So many Up- Fuckded Stories that we share.
One Love One Versus
Sorry for the shit English
INÄÄÄÄÄÄÄÄÄÄÄÄÄÄÄÄÄÄÄ”
Mark Santos
Amanda
“My favorite cover??? NAKED Colin :-)”
Pia
“Für mich ist Versus kein normales Mag, jede Ausgabe ist ein Geschenk mit 100%
Jey Passion lifestyle skaneraction!
Eifach nume SCHGEEEEIL! Bestes Magazin ever :D
Hope to see you soon Idiot! :D”
Miro
Le Méchant & Jey / photo: The Boss
“After 93 already released Issues of Versus, I had the pleasure to do one on my own.
Pleasure? Not really, it was a pain in the ass, took me way too long and sometimes I
just wanted to drop it.
I still don’t get it how one guy can bring up all those ideas, this energy and time to
bring us all those other issues.
All this years, good times, memories, trips, pain and slams later... I would call it:
„The Passion of Jeysus“.
My only issue: sometimes, it’s in french.”
Mischou
“Les années passent et Versus est déjà rendu à son 100e numéro. Le projet est
parti de rien et continue à faire du chemin. Pendant que la majorité des gens
sont conditionnés par l’argent et le pouvoir, d’autres préfèrent suivrent leur passion pour s’accomplir tout en faisant quelque chose de bien pour leur ‘’communauté’’. Les skaters ont besoin de plates-formes pour se promouvoir et
Versus a toujours su s’approprier une approche fidèle aux sources pour développer ses numéros et continuer à capter l’attention de ses lecteurs au fil des ans.
Au nom des skateboarders, merci de mettre la main à la pâte pour promouvoir le
skateboard et longue vie à Versus. On n’attend avec impatience les 100 autres prochains numéros!”
Vincent Letellier
“There are many things to say about Versus, a lot to praise too. It could be said that it
is the first serious skatemag after big brother magazine. Or that it is raw - just check
out the hardcopies. No playing, no pretending. It’s true, it’s about skateboarding (and
what comes with it), no ad’s. And what I respect most: Jey has the balls to share his
opinions on skateboarding - even if that means he will never get Nike ad’s (not sure if he
would accept them anyway...). Congrats Jey, hope there are many more issues to come!”
So, that’s it...
Cyru
“Like you know, I’m not the man of many words. So I’ll keep it this way. And it would
be hard for me to pick a single story out of so many with THE Versus, or the guy
behind that crappy Fanzine.. ;)
It all started with your first time in Switzerland, when we went to the Airport in
Belp, had a funny Skate Session until I fucked up my knee.. On the way back get arrested by a “few” cops (ACAB!) went to the hospital to get some sticks to walk and
after that a quick visit in Deadend.. I could keep on for hours with all those funny,
fucked up, strange and adventourous stories! But it’s ok for now.
Anyway Mister Durand, I always enjoyed those Trips and the other “Trips” with you
and the bunch of idiotzzz! Keep doing what you’re doing, because you’re pretty damn
good in that!!
Let the good times roll!!”
Tom(ate)
Tomster Style / photo: The Boss
SAG / photo: Alban Pernet
La flamme...
“Jey vit pour le skateboard! Je ne vais pas vous compter son certain « talent » à faire
la fête, dont vous devez avoir autant d’anecdotes qu’il y a de jours dans l’année, mais
plutôt vous d écrire la galère du choix qu’il a fait que de vivre pour le skateboard,
EN Maurienne ! Putin mais qu’elle idée !!
Pour nos amis qui ne connaissent pas, la Maurienne est un coin perdu au milieu des
montagnes où certe il fait bon vivre, mais l’hiver y dur 6 mois et cela n’aide en rien
à s’améliorer dans la pratique du skateboard, loin de là ! De plus l’autorité publique
mauriennaise (nos impôt quoi!) étant plus au courant des attentes de nos drogués
invétéré de cycliste que de celles de sa jeunesse (jeunesse étant un gros mots en mauriennais). Les quelques divertissements autorisés sont la pratique assidu de sports
d’hiver compétitifs ou de courses de bicyclette sur-vitaminées !
Autant de vous dire que pour notre Capitaine de yacht mauriennais, la pilule n’ai
pas facile à passer au quotidien ! Surtout lorsque que monsieur le maire envisage de
ruiner sa ville sous une troisième piscine olympique ! Malgrés tout, la motivation ne
manque pas ! Nous avons réussi à construire une rampe digne de ce nom à l’aide de 4
pelés et un budget de « RMIste ». Allez pas nous dire qu’un service entier de fonctionnaire n’est pas foutu de débloquer un budget pour un park en béton ! Jey ne perd
pas espoir et continue de dénoncer la bêtise humaine, lorsque l’on est à son 100 ème
numéros réalisés, plus rien n’est impossible! Je pense que nous sommes loin d’avoir
lu le dernier numero et entendu le dernier cri des Sacs à Gnôle !!!”
Longue vie à Versus
Polpot
VERSUS ARMY 4 LIFE
“Finally! You made it Jey. 100 issues full of beer, chicks, Ryan Sheckler hate, fuck
the police, random funny inappropriate stuff, some more fuck the police but most
importantly pure skateboarding regardless of skill. First of all I’d like to say thank
you to you Jey for making Versus, creating something that unique and alternative.
Versus cannot be compared with any other skatemag. It’s not about gnarly skating,
it’s more about having a good time with your friends. That’s also why the “king of
Paris/Berlin/Malaga” issues happen to be my favorite ones because as far as I’m
concerned those issues capture best what Versus really is. These we’re the best trips
I’ve ever been on. I would not have these memories if it wasn’t for Versus and all the
great people i met through it. Besides that, seeing a picture of yourself in a mag is
a really cool feeling. Although it wasn’t like I really did something worth being in a
magazine, it always kept me motivated throughout the years. Holding my first cover
in hands, oh wait! You didn’t even print it hahaha but I know, times were tough back
then. You get what I’m trying to say. Hope I can make it on the cover once again one
day. No matter what I will always be backin’ Versus a 100%.
Can’t wait to see issue #1000 ;)”
Sancho
SAG / photo: Alban Pernet
On ne voulait que faire une visite PURE de Jey à la MAIDZAN...
Au milieu de l’été, les trois petits suisses voulait que simplement visiter Jey à la
Maidzan. Il pleuvait autant qu’on pouvait que seulement faire la fête (boire etc.).
Mais c’est connue que les suisses et surtout les bernois y sont très fort. La fête
a fini dans une guerre. La guerre de la petite Suisse (stratégiquement très fort,
puisque il avait le « Führer STAN de Man » dans leur équipe spécial force de
Berne) contre la grande Nation aka les oufs de sängjannedemarienne.
La guerre a fini avec une victoire glorieuse des petits Suisses, qui on finit à deux
(Thoma et Stan), voici le résultat en bref :
France : 2 / Suisse : 3
Les détails :
Suisse 3 points =
–
Permière Nuit :
o Boulal aka T4 perdu après une nuits (ps : j’adore vos drogues)
o Boris perdu après quelques heures, même avant minuit (ps : je vais me foncedé
la gueule ce soir)
–
Deuxième Nuit :
o Vincent, qui était Suisse, mais quelques stupéfiants et le génépi l’ont fait
converté (fuck Bern) en français et qui était accepter) à le point stratégiquement
très important pour la victoire Suisse.
“Versus”...der Motivator Nr.1 zum Skaten, Unsinn zu machen und die Zeit ohne Stress
dafür mit viel schmerzen in den Gelenken, einem Kater am morgen danach und
dennoch einem Glücksgefühl im Bauch zu geniessen..!!
Erinnerungsfetzen Skatetrips:
King of Berlin: Super Skatespots mit guten Sessions, Bitch mit Geburtstagstorte,
Zerstörtes Appartement, mau öppis freisn, kicked out of an irish bar, where is
Charlie (airport)??? F.F.F, BERLINDERET?!
King of Paris: Streetaction mit brutalen Gaps, Drops..etc.,Pain, Sonnenstich, Bercy,
Boule spielen mit Früchten, längste Kotzattacke in my life, Tequilla suicide, Auto
abgeschleppt, naked skateaction with pretty Versus-Cover
King of Kopenhagen: Christiania, Firefuckers, Christiania, Riesiger Skatepark,
Christiania, gute Streetspots, Fingerskateboarding, Christiania, Bicycles, Meer,
Police, Christiania, Shot-Gun, nice appartement and Christiania....
Thank you very much for every Minute full of rock n’roll, skateboarding, easy living
and happyness!!!
Thank’s for your PASSION you crazy dude!!!”
Pascal
“WE NEED MORE TITTIES IN VERSUS”
“La der des der à Bonneval pas dispo, Fête de la musique à St jean, idem, bordel la
prochaine date, je ne pouvais pas la louper, c’est acté le week-end du 12 septembre ,
je rentre au bled pour assister à la soirée à la Maidzan. La Maidzan ? j’y suis passé
tellement de fois devant en apercevant la rampe derrière et en voyant les autocollants du YCM que je pouvais y aller les yeux fermés. Mais le plus surprenant,
c’est de voir à quel point le monde est petit, car un des résident de la Maidzan,
Jey était un ancien Collègue de boulot . Donc feu pour le vendredi 12 Septembre,
après quelques installations et adaptation d’éclairages dans la journée sous fond
de bières , skate et de vin blanc, nous voici dans la soirée, la scène était en place,
les sacs à gnoles pouvaient jouer , c’était pour moi le premier concert des SAG,
quelques intros, puis SAG, enfin sors quand je fume, ma préférée . Une petite soif
? rien à craindre “sous l’toit “ est là pour ça ! Une petite bataille de pétards et feux
d’artifices plus tard, nous voilà à Noel, sans sapin ni boule, mais avec un arbres et
des chaussures, Original . Bon vu que je n’ai aucun talent d’écrivain ou autre, en
conclusion je remercierai simplement les sacs à gnoles pour cette belle soirée, et
finirai par “ Je revendique haut et fort, les Sacs à gnoles ne sont pas morts, et si
vous n’êtes pas d’accord et ben tant pis vous avez tort “
Stan The Man
Albin
France 2 points =
–
Permière Nuit :
o Toma qu’on avait perdu, parce que il n’était pas assez fort pour combatter le
CUBA
–
Deuxième Nuit :
o Stan, qui était très motivé à jouer aux jeux de paquet de cigarette. Stan, qui
était trop ambitieux et contre Jey un professionnel dans le jeu. On peut simplement
dire… Il en voulait trop !
C’était un leçon pure pour les Français, on ne joue pas avec les PURES de la
Suisse! on y peut que perdre !
Charlie / photo: Alban Pernet
La Maidzan / photo: Alban Pernet
“Avant de connaître Jé et d’aller à la Maidzan, j’étais en fac, je picolais pas encore
trop, je pensais avoir un avenir…
Depuis, je fais des saisons, j’essaie de travailler le moins possible pour skater le
plus possible. Aujourd’hui mes collègues ne pigent pas la moitié de mes phrases
(entre encolleteur, désencolleter, wané…), je ne peux pas m’empêcher de dire «vite
3 secondes »ou « saute-la » à chaque fin de phrase, d’ailleurs même plus besoin de
phrases, de simples mots suffisent (mal, faim, soif, peur, nul…).
Je sais désormais qu’il ne faut surtout pas se balader dans Grenoble avec un
sweet Volcom, un I-phone et des écouteurs sous peine de racket immédiat par des
racailles (bah ouais mec tu les provoques en faisant ça tu te rends pas compte) ou
bien encore que les wanis sont pires que les nazis… Je fais des shot gun et je tue
même quelques zombies sur Call Of maintenant (merci Leader et Diste !!).
Fin bref, depuis que je connais Jé et que je suis allé à la Maidzan, j’ai rencontré
des mecs complètement cinglés avec qui je me fends la gueule et c’est quand même
vachement mieux de skater, chiller et picoler avec des gars comme ça plutôt que
d’avoir le nez plongé dans des bouquins ou d’avoir le rythme de vie de « Monsieur
tout le monde » : boulot, métro, dodo…. Nul !
So thank you for everything Bro’ !”
“As a young child you have natural view on things in live. At example whoever it was
someone told you that a sidewalk is a sidewalk. But at this age you don’t know what
a sidewalk is. You don’t know if it walks talks basically what it is there for.
Then skateboarding came in our lives. A kind of freedom that the masses will never
get to know. Leaving safety and competition behind. There is unchained view on
things in live again. It’s a naturual thing even if it’s the city that is our playground.
As long as there is concrete there no limits. The only limits are in your head. Always
in search of a new challenge. It’s you against the trick. The more fear goes away the
more you get an open mind which blows your creavity. You get to learn in how many
different ways you can ride a piece of crap you found in the streets.
With your skateboard. Hanging high on concrete walls. Grinding this shit. Rolling
in to that shit. Shitting on someine elses shit. Going fast. Gettin drunk and stoned.
Sleeping in the dirt. Doing your own shit. Like Jey does with Versus this is the true
underground shit. Searching for true inspiration. Cool as Neil Blender. Stay simple.
I wished before this nonsense retarded technological way of existence. To travel to
experience is the only way not to be a product of your enviroment. Who likes a copie
from a copie? Let your nutts hang. Enjoy skateboarding.
Then you go to school and they try to break you. They tell you rules want and you to
fit in society. They destroy your childish view on live. They to make you follow the
herd. Surrounded by people that already do. No place for individuality.”
Darenge Polson (Eddy)
Max Shrädder
La Maidzan
La Maidzan / photo: Alban Pernet
“Peu importe qui tu es ou ce que tu fais, clodo ou star du porno, fais ce que tu aimes
et aime ce que tu fais!”
Jérôme Garin
“La Maidzan est la maison où mon frère Burt et moi avons grandit. Il se passait
toujours quelque chose et je suis content que Jey continue de la faire vivre de cette
manière. La Maidzan c’est la maison du Rock. Ma mère faisait la collection de belles
bouteilles de Whisky et de canettes de bières du monde entier, aujourd’hui ya une
nouvelle collection tous les WE ! La Maidzan n’arrête jamais de changer et il faut
vraiment que je fasse quelque chose pour la chaudière histoire que la flamme du
Rock ne s’éteigne jamais !!”
Gab’ Rivas
«Versus… Pourquoi ? Dans le mot versus, il y a ce thème d’opposition. Opposition à quoi ? À tout ce qui n’est pas marginal. C’est ça le skate. C’est ça Versus !
Chaque numéro risque d’être le dernier. En fait, c’est pas moi qui le
dit. Montréal, mars 2006 : premier numéro de Versus. Pas un sou,
quelques
exemplaires.
Un
secret
spot
quelque
part
au
Canada…
Mais Versus, ce n’est pas que le skate, c’est la libre expression, la vraie. C’est
un fanzine très particulier, tirant parfois sur l’étrange, mais aucun mensonge, que du vécu. Maintenant 100 numéros, mais toujours au volume 1, de 2006
à 2015 ! Des numéros qui ne se succèdent pas toujours. C’est en français… Non,
en anglais… Non, en allemand et oups… Il n’y a tout à coup que des photos.
C’est pas seulement du skate, mais c’est aussi toute la culture qui le rejoint et encore
plus. C’est un tour de l’Europe avec un angle de traitement jamais utilisé auparavant.
Ce sont des photos inédites, mais qui nous font rêver. Et des filles…
Et puis, de Montréal, on aboutit à Jean-de-Maurienne et à la Maidzan…
Avec Versus, on ne sait jamais à quoi s’attendre avant le prochain numéro. Mais ces
dernières neuf années de publications m’ont tenu en haleine. J’avais hâte ; hâte de
savoir à quoi allait ressembler le graphisme, les photos ; de quoi allaient parler les
textes ; allions-nous y décrier les dernières incongruités de l’actualité ? Bref, dans un
monde où on se demande où s’en va la liberté de penser, de parler, d’écrire, Versus a
compris ! Longue vie à Versus et à Jey ! « On garde la motiv’ » !
Je suis Versus !»
P@T
Interview réalisée au sommet du télésiège du Vinouve aux Karellis:
Jey: Pourquoi ne m’as tu pas encore envoyé ton texte?
Bruss: Tu ne m’as rien demandé!
JLVZ: Pourquoi n’as tu pas envoyé le texte Jey?!
Jey: Pauv’ con! Bon Bruss, t’es content d’avoir été 2 fois en couverture de Versus?
Bruss: ça été une grande fierté, du moins au début, j’ai cru que ce pauvre magazine allait m’apporter quelques chose... Pour la première fois, résultat des courses,
que des problèmes, un divorce, une gamine (et une pension)! La deuxième fois... ma
première convoquation à la gendarmerie!
Jey: Tu te rends compte que t’es payé à faire cette entrevue?! (Baptiste est au “travail”... Il est perchman)
Bruss: Tu ne m’as pas encore payé!
JLVZ: Aucune question pour ce connard... J’ai faim.. Ah si, en fait, tu peux me
laisser un peu de tabac stp?!
Bruss: Oh l’enculé!... Ben t’as qu’à prendre mon paquet, et tu me laisses une clope...
Putain il est fou ce type!
JLVZ: Ahahahaha (fier de lui)
Bruss: Soif! Et vite!
Jey: Ben tu vois c’est cool, ton texte va sortir de l’ordinaire...
Bruss: (entrain de manger des Mr Munch)
Un troublant silence s’installe, légèrement perturbé par le bruit des craquements des petits biscuits,
et une odeur familière embaume la pièce... l’haleine fétide de Baptiste... celle du vin blanc!
JLVZ: C’est quand tu vas écrire ta biographie Baptiste?
Bruss: Oh putain... C’est chaud ça... Ben le jour où je chopperai une merde comme
vous, je commencerai à y penser! VZ a fait une (fausse) crise cardiaque; Boulal une
(fausse crise) pour sortir par la grande échelle, le cirque Pander à côté n’était rien,
nous n’avons jamais vu autant de lumières et d’animation dans St jean; Jey, même
le docteur House ne peut pas se prononcer, et Nico avec sa “maladie d’amour.”.
Jey: Et si tu nous parlais de ton séjour à Berne...
Bruss: Aucun souvenir... Perte de de mémoire... Crise de foie... Crise d’angoisse...
Mais, quel beau pays!
JLVZ: Ahahaha (amusé)... Et sinon t’as préparé quoi à manger? Parce que j’ai toujours faim!
Bruss: Mais levez la barre putain!... Et toi VZ, vu que tu ne viens jamais me voir...
Ben... Ben voilà quoi, rien à manger, juste à boire, comme d’hab’ en haut du 6!
Jey: Bordel, pour un type qui ne voulait rien écrire, je n’ai presque plus de place,
va déjà falloir que tu fasses une conclusion Bapt’...
Bruss: Pourquoi m’avoir viré du groupe? Jean-Luc, je peux avoir mon paquet pour
me rouler une clope?
JLVZ: Ahahaha (content de lui) Ouais tiens, je te le prette, mais n’oublie pas de me
le rendre!
Jey: Prette...? Prète? Prête? Merde j’suis vraiment nul en orthographe...
T’as pas ton téléphone VZ avec le T9?
Bruss: Non c’est plus du T4 lui!... Merci à Versus, merci à la Maidzan, merci aux
SAG, sans eux je n’aurais pas eu cette belle vie de débauche!
JLVZ: Je ne sais pas si je ne vais pas me reconvertir en journaliste en fait...
La Maidzan / photo: Alban Pernet
Mini Polpot
La Maidzan / photo: Alban Pernet
What the f is wrong with j ?
“The head-editor-chief of this down-to-earth magazine is hard to track down and
confront in absolute sobriety.
Once faced the man himself, the confronter is inn for a very eye-opening experience
about all the fun things in this world.
This hairy head is filled with the good stuff about veggies, music, tits, beers, pools,
speed, seafood, ditches, mosaic-noises and wooden boards on wheels and a some
more music.
Long story short, rules are for fools made by fools, life is too crazy short, do it the
right way, do it the Jey way. Versus all the way down to pleasure town. I’m going!”
Colinsky
“Parmi les milliers de zines qui occupent les murs de la Fanzinothèque, VERSUS se
place dans le club très fermé des + 100. A un rythme effréné, Jérémy publie photos et
textes sur sa passion pour le skate, et force est de constater, au fil des numéros, une
passion grandissante pour le fanzine tout court, au point d’écrire parfois n’importe
quoi, et c’est ça qu’est bon !“
Marie Fanzino
REHABILITATION
Tout’ l’ monde s’ éclate autour de toi
Et toi tu pars au combat
Pendant qu’ la langue passe son oral
T’es victime du dommage colatéral
Evitant les rafales
Amusez-vous partout les trous !
Amourez-vous partout les trous !
Petit nez coincé dans ma raie
Travailleur de l’ombre s’ il en est
Petit nez coincé
A la merci
Du moindre
...
Manu & Clém’
“Tu sais très bien que je ne sais pas écrire!”
Hugo
“Shit, Versus has been around for 100 issues?! I know some people will sneer „that’s
99 issues too many!“. And such a reaction is exactly the reason why it’s so sick that
Versus has made it so far. Because Versus has personality. For me, personality is the
most important thing any skate-related thing should have, no matter if it’s a company, shop, zine, blog, skatefilm or skater. But ironically, finding skate-things with
a unique personality is so rare nowadays. If a skate-thing lacks personality, it’s just
one more item in an already over saturated mix of skate-things. Sure, you might be
impressed by the tricks in the case of a video or skater, or you might be impressed by
the selections of boards in the case of a shop, but if there isn’t something to it that
makes it unique, you’ll have forgotten about it soon and you won’t care about how it
developes in the future. However, if you have skate-things that stoke you out because
they’re unique, then you’ll remember the name and get excited when the next clip or
issue comes out. For me that would be companies like Antiz, Magenta, Polar and everything else by Pontus Alv, Enjoi, Emerica or those-crazy-ass-japanese Clips or the
„the Scene“ series by Kingpin just to name a few. Everytime something new comes
out by them it gets me excited! And when I’ve watched such a clip, I think: „skateboarding is THE SHIT! That clip just proved, that nothing is as fun and fullfilling as
skating is!“. Whereas if I watch the newest Clip of Plan B, DC, Berrics or pretty much
all other big skatecompanies, I just think: „wow, that was impressive“. And that’s all.
The same reaction as if someone jumped down El Torro on a poggo stick: Impressive.
But as always with unique things, some people will dig it, and others won’t. The more
unique, the more it will polarise. And fuck me is Versus unique! Haha! I don’t know
any other skatezine that is as unpredictable as Versus! One issue is filled with good
skatepics, packed with lots of text and a dense layout, then the next issue doesn’t
have a single skatepic, no text and has a completly new layout. But I like that. Everytime I get a link to a new issue sent by Jey, it’s like: „oh dear, what are we gonna get
this time?“. So of course some issues are great, and some make me wonder: „what the
fuck was Jey thinking this time?!“. And that’s good that way! Because it’s what keeps
me interessted in Versus and keeps it exciting. I admire Jey’s attitude: „fuck you’re
expections, I’m gonna do whatever the fuck I like“. So people who just want a certain
style of skate coverage, no matter if clean-tech shit or sketchy-DIY shit, definitly
won’t like Versus. But that’s fine, there’s plenty of such skatezines out there already.
Adding another one wouldn’t be an enrichment to our skateboard culture. Whereas
a unique zine like Versus definitly is. So Jey, enjoy the party, keep on polarising, and
keep on creating what ever the fuck you want!
Greetings from Bern.”
nIck
Christ’Air / photo: Alban Pernet
“Jeyjeyjey!
Nice to hear from ya. It’s really been a long time. I’m in south africa at the
moment. Surfing my ass off...
Already 100!? Goddamn, good work bru. What can I say about it!?
I haven’t read all the issues, but I think it does just represent skateboarding as it
really is, or should be. Fun, kinda random, free, not following any rules... Stuff like
that. I’m proud to be part of the Versus Video. I remember filming for it as a really
good time. That was mostly thanks to Nick and the other guys from the Bumblefuck
crew. Hope to see you around. Peace!”
Nico Hosek
“Todays world is fucked up all about money to buy fancy shit for recognition etc. Also
the newspapers and almost all magazines are just full of bullshit. It’s really hard to
get some inspiration out of the media because it’s 99% crap.... Buuuut in this fucked
up world where it’s reeaaly hard to find something good to read there is still a fanzine called versus which is 100% pure and every single issue is 100% pure !
When I read the old issues which tells the stories of all the great time we had with
the goofy and then dms Crew and you Jey even in boring serious switzerland i have
to smile and think how awesome it all was and how epic you all put this together in
versus! I mean i don’t understand shit about graphic design but I think versus looks
fucking the shit man soo good! Now all is a bit different some people have stopped
skating, others have started, some have left switzerland etc. But one thing hasn’t
changed: I can get inspired from all issues because there is soo much passion, spirit
and love in it, it’s just soo real! and this is sooo valueable in the todays!
So Jey I wanna thank you for all the inspiration you gave me and all the other people
reading Versus! Keep keeping it on bra! Cheers for an other 100 issues!”
Mini-Michi
“Je suis venu, et je suis reparti bourré un peu plus tard que prévu...
Merci pour toutes ces soirées!”
Colombo
“Kaum von indo back home, kam das entscheidende sms von the dud glödu!
Los frodo 10 years Versus party wir haben noch platz!! Spontan zu jey??!
Ja mann los!! Wupwup beides fuss auf brett!! Dort angekommen vin blanc (nocht
für mich;)), beer, bbq, skate, and blunt on the extention!!
Versus party rocks!!... and my english suck..”
Frodo!
VERSUS... N° 100... DEJA !
«Je ne pensais pas que cette « aventure » durerait si longtemps !
C’est avec nostalgie que je me revois jouer la « correctrice » des articles durant les premières années et recevant les numéros « papier », imprimés par je
ne sais quel miracle, car la trésorerie était vraiment « au ras des pâquerettes » !
Pour moi, ce « fanzine » ne durerait que peu de temps... c’était sans compter sur la
FOI DE JEY POUR LE SKATE !
Que de sacrifices financiers pour son VERSUS... mais c’est çà la PASSION!
Passions de la pratique du skate et l’envie de la faire partager par le plus de monde
possible... et c’est réussi... puisque voilà le n° 100 de VERSUS.
Bravo! Pour moi, un regret... l’abandon du français pour la rédaction du journal...
(c’est la rançon de la gloire pour être lu partout !), mais j’en suis réduite à regarder
les images! Dommage...»
Mamie Turbo
Bib & Bob / photo: Alban Pernet
Milä / photo: Alban Pernet
Wissenswertes aus dem Norden-ABC
Von den Dänen
Von den Norwegern
Alle dänischen Menschen sind unglaublich hübsch. Das hört man zum Beispiel in
Schweden nicht gerne und man versucht dort den physiognomischen Rückstand mit
Mode- und Magerkultur etwas zu kompensieren. Die südskandinavische Schönheit
reicht bis hoch oben ins Parlament, über welchem die Beauty-Queen und Premierministerin Helle Thorning-Schmidt thront. Wer in der Hauptstadt einen Abstecher ins
Regierungs- und Parlaments-gebäude Christiansborg macht, bekommt eine Ausstellung mit den beleuchteten Portraits aller dänischen Staatsparlamentarier zu sehen,
die ihresgleichen sucht. Eine ähnliche Präsentation im Bundeshaus Bern ist mit Leuten wie Roland F. Borer und Jacqueline Badran schlicht nicht möglich. Da nützen
auch Clooney-Amstutz und Lega-Legolas nichts. Natürlich gibt es die so-genannten
“Unfälle” auch im dänischen Schönheitsparadies, aber denen wird per Verordnung befohlen, ihre Visagen mit schwarzen Masken zu verhüllen. Diese vermummten Gestalten trifft man vermehrt im Freistaat Christiania, wo sie aufgrund ihres schweren
Schicksals ihre Hirne zu Brei kiffen. Im argen Gegensatz zur Ästhetik der Gesichter
steht in Dänemark die Ästhetik der Sprache. Verglichen mit der ziemlich wunderbar
wohlklingenden finnischen, schwedischen und norwegischen Sprache fühlt sich das
Dänische für den restlichen Norden so an, wie sich das Schweizerdeutsche für die
Deutschen etwa anfühlen muss: Ungefähr wie ein stumpfer Dolch in einem Meersäuli
mit ordentlichem Rumstochern. Aber während wir Eidgenossen immerhin zählen
wie kultivierte Araber, können die Dänen noch nicht mal das: halv tre bedeutet 2½,
tres ist 60 und die Abkürzung für tresindtyve (3 mal 20), deshalb ist 50 auch halvtreds (2½ mal 20). Christine Eggers guter alter Inspektor Logo lässt grüssen.
Die Norrmän sind allesamt stinkreich. Ihre Dreizehn auf der Liste der grössten
Erdölförderer posaunen sie von ihren Fjällen in die ganze Welt. Von den vielen Erdölfeldern trägt eines den Namen Troll. Weil Asbjørnsen und Moe 1841 einen Haufen
alter Märchen herausgegeben hatten und sich 21 von diesen Erzählungen um Trolle
drehen, wird der Norweger auch mehr als 150 Jahre später im Fachjargon als Troll
bezeichnet. Die Norrmän finden dieses Image richtig gut, denn wie sie selbst horteten auch die literaturgeschichtlichen Trolle ihre Schätze unter den Bergen. Wenn
jemand hier oben unanständig viel Zaster hat, sagt man denn auch han är rik som
ett troll (er ist reich wie ein Troll). Ein Sprichwort, von dem man in Erwägung ziehen
dürfte, es auch in der deutschen Sprache zu etablieren, da es ein bisschen knapper ist
als das in jenem Sprachraum gebräuchliche Er ist reich wie eine Cisterne, wenn es
lange nicht geregnet hat. Wenn grad keine Reichtümer zu vergraben sind, schwingt
der klassische Troll seine Magiekeule und richtet bisserl Schaden an. Dieser Fähigkeit haben wir hier oben das Wort für zaubern, nämlich trolla zu verdanken. Der
moderne nordische Troll hingegen geht ins Internet, wenn ihm nach Zleidwärche
ist. Er schreibt dann provokative oder falsche Behauptungen in Foren und BlickKommentare und amüsiert sich jeweils köstlich, wenn der Leserschaft darauf Angst
und Bang wird. Einen solchen Tunichtgut nennt die skandinavische Gesellschaft
internettroll und versucht den Kontakt mit ihm zu meiden.
Von den Finnen
Dass die Finnen zusammen mit den Esten, den Ungaren und ein paar Sami ein eigenes Sprachterrain besitzen, ist mittlerweile wirklich alter Käse. Bestimmt keinen
alten Käse erhofften sich die zwei Diebe, die dem Göteborgs Posten, der hiesigen Zeitung (kein Käseblatt) kürzlich eine Meldung wert waren. Laut dem Polizeibericht sind
die zwei Langfinger nachts um drei in einen Käselastwagen eingebrochen und haben
sich dann mit einem rechten Stapel Beute in einem Kleinwagen davongemacht. Es ist
davon auszugehen, dass im urbanen südlichen Schweden bei Käse erst ab mehreren
Kilo Diebesgut Bericht erstattet wird. Im ländlichen Norden hingegen, wo die action
etwas dünner gesät ist, reicht offenbar schon ein einzelnes Portiönchen. Hier die
wörtliche Übersetzung aus dem Väster-bottens-Kuriren vom 21. Januar 2014: “POLIZEI JAGT KÄSEDIEB IN UMEÅ. Umeå: Die Polizei fahndet nach einem Mann, der
in einem Geschäft im Zentrum einen Käse genommen hat. Der Mann betrat kurz vor
zwölf Uhr mittags das ICA-Geschäft beim Järnvägstorget. Die Polizei teilt mit, dass
der etwa 25-jährige Mann einen Käse genommen hat und wegrannte. Er trägt eine
blaue Thermojacke und eine grüne Mütze. Mehrere Polizeipatrouillen fahnden zum
jetzigen Zeitpunkt nach dem Mann.” Umeå liegt schon fast im Finnischen. Nach der
Lektüre dieses Zeitungsartikels kann man sich vorstellen, wieviel in diesen Gegenden passiert und deshalb gibt es von den Finnen auch nichts zu wissen, ausser dass
sie alle ganz verrückt nach Tango (der finnischen, sehr langsamen Variante) sind und
zusammen mit den Esten, den Ungaren und ein paar Sami ein eigenes Sprachterrain
besitzen.
Von den Schweden
Im Gegensatz zum relativ bescheidenen Umfang, in dem norwegisches, finnisches und
dänisches Kulturgut überliefert ist (über Island, Grönland, die Färöer und Åland ist
leider überhaupt nichts bekannt), findet man enzyklopädische Artikel über Schweden sogar in der hinterletzten italienischen Dorfbücherei. Ausführliche Landeskunde
muss hier deshalb zwei ganz interessanten Fakten weichen, die ihren Weg vielleicht
noch nicht in die Bibliotheken Italiens gefunden haben: 1.: John Alvbåge, der etwas
unsichere Torhüter des Fussballklubs IFK Göteborg lässt sich am liebsten mit von
seiner Frau selbst gemachten Pfannkuchen verwöhnen. 2.: Wenn man zu Fuss geht,
kann man auch sagen använda apostlahästarna (die Apostelpferde benutzen).
Verantwortung für den Wahrheitsgehalt übernimmt
mit freundlichen Grüssen
Glenn Robertsson
Jocko / photo: Alban Pernet
Värd att veta ut ur norden-alfabetet
Om Danskarna
Om Norrmännen
Norrmännen är allesammans stenrika. Deras tretton på listan av de största oljeutvinnarna basunar de från sina fjäll till hela världen. Av de många oljefälten bär ett
namnet troll. Eftersom Asbjørnsen och Moe år 1841 gav ut en massa gamla sagor
och 21 av de här berättelserna handlar om troll, betecknas norrmannen även mer
än 150 år senare som troll på fackspråket. Norrmännen tycker riktigt bra om det här
imaget eftersom likt dem själva, lade även de literaturhistoriska trollen sina skatter på hög under bergen. Om någon här uppe har oanständigt mycket stålar, säger
man då också han är rik som ett troll (er ist reich wie ein Troll). Ett ordspråk, vilket
man borde ta i övervägande att även etablera i det tyska språket för att det är lite
mer kortfattat än det i detta språkområdet vanliga Er ist reich wie eine Cisterne,
wenn es lange nicht geregnet hat. När det för tillfället inte finns några rikedomer att
gräva ned, så svängar det klassiska trollet sin magiklubba och ställer till lite skada.
Vi här uppe har den här förmågan att tacka för ordet zaubern, nämligen trolla. Det
moderna nordiska trollet å andra sidan går på nätet när han har lust att såra någon.
Då skriver han provokanta eller falska påståenden i forum och Blick-kommentarer
och roar sig alltid utsökt när läsekretsen därpå blir rädd och ängslig. En sådan skurk
kallar det skandinaviska samhället för internettroll och försöker att undvika kontakt med honom.
Alla danska människor är otroligt vackra. Det hör man inte gärna i till exempel
Sverige och där försöker man att kompensera det physiognomiska deficitet med
mode- och magerkultur. Den sydskandinaviska skönheten når även upp till parlamentet, över vilket beauty-queen och statsminister Helle Thorning-Schmidt tronar.
Den som i huvudstaden gör en avstickare till regerings- och parlamentsbyggnaden
Christiansborg får se en utställning med de belysta porträtten av alla danska statsparlamentariker som saknar like. En likadan presentation i Bundeshaus Bern är med
folk som Roland F. Borer och Jacqueline Badran helt enkelt inte möjlig. Då hjälper
även Clooney-Amstutz och Lega-Legolas inte. Naturligtvis finns det de så kallade
“olyckorna” även i det danska skönhetsparadiset, men dem befallades per förordning
att hölja deras trynen med svarta masker. De här förklädda gestalterna träffar man
mest i fristaten Christiania var de på grund av deras svåra öden röker sönder deras
hjärnor till mos. I stor konstrast till estetiken av ansikterna står i Danmark estetiken av språket. Jämfört med det ganska underbart välklingande finska, svenska
och norska språket känns det danska för den övriga norden som det schweizertyska
måste kanske kännas för tyskarna: Ungefär som en slö dolk i ett marsvin som petar
ordentligt. Men medan vi edkamrater åtminstone kan räkna som kultiverade araber,
kan danskarna inte ens det: halv tre betyder 2½, tres är 60 och förkortningen för
tresindtyve (3 gånger 20), därför är 50 då halvtreds (2½ gånger 20). Christine Eggers
goda gamla Inspektor Logo hälsar.
Om Finnarna
Om svenskarna
Att finnarna tillsammans med esterna, ungerna och några sami äger en egen språkterräng, är under tiden verkligen gammal ost. Säkert inte gammal ost hoppades de
två tjuvarna på som nyligen var värda ett meddelande i Göteborgs Posten, ortens
tidning (inget ostpapper). Enligt polisrapporten har de två långfingrade personerna
klockan tre på natten brytit sig in i en ostlastbil och har sedan stuckit med en rejäl
stapel byte i en småbil. Man kan anta att i det urbana södra Sverige rapporteras
det bara över flera kilo rov när det kommer till ost. I det lantliga norr däremot, var
action är sått lite glesare, räcker uppenbarligen redan en enskild liten portion. Här
är tidningsartikeln ur Västerbottens-Kuriren från den 21. januari 2014: “POLISEN
JAGAR OSTTJUV I UMEÅ. Umeå: Polisen spanar efter en man som tagit en ost i
en butik i centrum. Mannen kom strax före klockan tolv in i Ica-butiken vid Järnvägstorget. Polisen uppger att mannen, som är i 25-årsåldern, tog en ost och sprang
från platsen. Han är klädd i en blå täckjacka och grön mössa. Flera polispatruller
spanar i nuläget efter mannen.” Umeå ligger nästan i det finska landet. Efter lektyren av den här tidningsartiklen kan man föreställa sig hur mycket det händer i de
här områdena och därför finns det ingenting att veta över finnarna med undantag
av att de alla är helt galna i tango (den finska, mycket långsamma varianten) och
tillsammans med esterna, ungerna och några sami äger en egen språkterräng.
I motsatsen till den relativ anspråkslösa omfången i vilken norsk, finsk och dansk
kulturhistoria är bevarad (om Island, Grönland, Färöarna och Åland är tyvärr ingenting alls bekant), hittar man encyklopediska artiklar om Sverige även i det allra
sista italienska bybiblioteket. Utförlig realia måste därför vika åt två ganska intressanta fakta som kanske inte har funnit sin väg till Italiens bibliotek än: 1.: John
Alvbåge, den lite osäkra målvakten av fotbollsklubben IFK Göteborg skäms helst
bort med pannkakor, hemmagjorda av hans fru. 2.: När man går till fots kan man
också säga använda apostlahästarna (die Apostelpferde benutzen).
Ansvar för sanningshalten övertar
med vänliga hälsningar
Glenn Robertsson
La Maidzan / photo: Alban Pernet
Church Brigade patina por diversión
After eleven years living in Madrid I went back to the city where I was born, Oviedo.
A small city in the top north of Spain. When I arrived a friend asked me “do you
want to come to the church?”. I was stunned. “to the what?!” I thought. There is a new
place in the city for skating. An old church built near one century ago was transformed into a lovely skateboarding place. Two nice miniramps fill now what used to be
a temple for pray to the old weird stupidity of the human race: religion.
Every monday morning I go there with my friend Miguel. And after a nice session
in the miniramp we go to the kindergarden to pick up his daugther. This is the best
example for me. I know people change and they go in diferent stages in life but forget skateboarding should never be an option. When you combine skateboarding and
developing your life is when you are keeping the passion alive. Then you really enjoy
the skate for fun.
In “la Iglesia Skate” everyone is welcome, we enjoy visits of people from all around
S-pain and from diferent countries… what the fuck is a country anyway? Let´s say
that you have to come and try it.
Ramon Aser
“Salut fils,
Voilà je t’écris un petit rien pour ton article, s’il n’est pas trop tard bien sûr!
I really don’t know what can I say about VERSUS SKATEZINE, YCM, SWITZERLAND skaters, JEY or the life around skateboard because you need to live it!
I just love skateboard because it’s skateboard! The life, the mentality, the respect, all
the things you can’t fine anywhere!
So thanks all skaters I met and specially Lio who was the first one to give me the
passion! SKATEBOARD FOR LIFE!”
Bob
«Certains journaux ont connu des attentats, qui vous dit que des journaux japonais,
on pas pris cher avec fukushima, ou les indonésiens qui ont souffert d’inondations,
on pourrait parler de « colère des dieux » . Avec Versus ont parlerait de « colère des
vieux », ajouté a cela les culs-bénis, les bien pensants, les autochtones Mauriennais,
les politicards.... Bref le fond du panier, mais il ne faut pas oublier qu’on tresse aussi
des paniers en Chanvre.
100 numéros c’est quand même fort, Jamais un Fanzine sur Justin Bieber ou sur
Christophe Lambert n’aurait eu un tel palmarès d’une part parce que le premier
aurait passé la puberté au dixième numéro et que le second a sorti tellement de
nanars, qu’a un moment lire un journal sur ce genre de personnage serait digne des
meilleurs pamphlets de la presse spécialisée.
100 numéros sans catastrophe apocalyptique (mise a part la perte des cheveux subite
de Jey) c’est aussi grandiose que retrouver Mimi Mathy dans une avalanche, sans
Saint Bernard, meme si certains prendraient plaisir a se retrouver ensevelis uniquement pour boire le tonneau que porte le Chien.
100 numéros sans être interdit de publication par les autorités, c’est la preuve que
la résistance s’organise, Jean Moulin aurait fait pâle figure face a ces mecs là, On a
déjà du les dénoncer plusieurs fois, mais aucun n’a subi la potence de l’envahisseur,
disons que si la Maidzan était un village Gaulois, ce serait un village d’irréductibles,
(on aurait pu les allier cependant a Babaorum, on les connait).
En résumé, le plaisir d’en profiter encore longtemps, des amis, de la Maidzan, des
Sacs à Gnole et qu’ils rendent Jaloux les publications ecclésiastiques, les publications
politiques et les bulletins d’information de la commune, Parce qu’au moins l’esprit et
le corps resteront entiers, et ça même radio Londres n’a pas reussi à le faire !»
Thib’
“Here’s my text for the anniversary issue, hope it’s not too late! I broke my collarbone
twice last year, so i just got on my board again. And i must say it feels damn good
to be back. Finally i’m re-gainig my passion, which brings me to jay and versus. Jay
taught me you don’t have to be the best skater in the world, you just gotta have passion. That’s what got me into skating and what kept me doing it for 19 years now.
With versus we could finally be in a mag, that meant so much to our little crew. And
our crew got bigger because of versus as well.For the versus video jay brought together all the skaters from bern, including the bumblefuck crew, the guys from thun,
burgdorf. That’s just something us swissies don’t get, we always have to form stupid
little groups instead of standing together as one big skateboarding unity.
And all the awesome trips i am truly happy to have been a part of, King of Barcelona, King of Copenhagen, King of Malaga. Can’t wait for my next best skatetrip
ever. We’re gonna have to rule out who is the real biggest skatenerd, Jay!!!
There’s so many things we still gonna have to do, including a skaterock festival with
both our bands! So here’s to you Jey, one hell of a skater, writer, innovator!
DIY or DIE, here’s the melody to funky town! BEEbEBEBEBEBBBEBBB”
Mädder
“My favorite Versus is issue #96: The Interview Issue, especially the 34 page photo
feature / interview with Sergej Vutuc. This is probably the longest interview a zine
has ever had and digs far deeper than any corporate skate magazine would dig. I
also like that the only ad in the whole zine is a political / awareness design drawn
for Hoax.”
Jonathan Hay
Par quoi commencer? Peut-être parler de Jey, le fameux créateur de toute cette
merde...? Je ne sais toujours pas pourquoi ce pauvre type s’est amusé à perdre autant
de temps, d’énergie et d’argent pour cette saloperie de Versus.
Bref, toujours est-il que ça fait 10 ans que ça dure!
En plus du skatezine, il est le leader des Sacs à Gnôle, le groupe le plus merdique
que je connaisse, et surtout, il est plus connu en tant que gourou du Yachting Club
Mauriennais. Forcément, il gère aussi la propagande de tout ce que je viens de citer.
Bref, beaucoup de postes à hautes responsabilités pour un seul homme, en somme,
ce type, est un dictateur en puissance, un Charvoz si vous préférez.
Non, plus sérieusement, je suis censé parler de Versus, et j’en ai déjà marre d’écrire...
Comment décrire ce torchon? Nul du début à la fin...
Faut quand même que je vous précise un truc, c’est que ce type là, c’est mon frangin,
et j’en suis fier! Versus est sa raison de vivre. Il a une passion démesurée, et inébranlable pour le skateboard, et le mode de vie qui va avec. Grâce à lui j’ai pu voyager,
rencontrer des gens, etc... Mais surtout me faire mal en skateboard!
Merci frangin, Vive Versus!
Chdoubi
PS: Si quelqu’un a cru un seul de mes mots, à part le dernier paragraphe, c’est qu’il
est complètement fou!
La Maidzan, haut lieu du grand banditisme auditif, n’est pas seulement un endroit
pour pratiquer l’art de la planche à roulettes; C’est aussi une grande famille qui pratique ou non le skate et qui partage le même esprit «Yachting». Je suis arrivé avec
un BEP street et j’en suis sorti avec un CAP rampe option bowl. La Maidzan c’est
surtout le meilleur lieu pour rencontrer des gens, faire la fête, skater... Personnellement je pense que Versus est un peu la Bible du skateboard Mauriennais et j’espère
que ce ne sera pas ma dernière photo dans se skatezine. À bon entendeur ;)
Flo
La famille !
”J’ai eu l’honneur d’être invité à écrire un petit article à l’occasion de ce Versus 100
et j’espère être à la hauteur... Ca fait un bail que je les connais tous ces lascars qui
font vivre le Yachting, vibrer la Maid’zan et qui usent leurs roues au quatre coin du
monde (et oui ya pas de skatepark à Saint Jean J) … En réfléchissant bien ça fait
quasiment 20 ans !! Dis comme ça ça fout la frousse ! On en a vécu des trucs ensemble même si ma pratique du skateboard est devenue plus qu’occasionnelle mais
pas moins douloureuse ! Mais peu importe ! Skate ou pas avoir des potes comme
ça ça n’as pas de prix ! Je m’en rends compte chaque fois que je remonte dans cette
mystique vallée de la Maurienne où le traquenard guette et la cuite entre copains
toujours à l’affut… arrivant du fond de la vallée telle une déferlante qui ferait chavirer n’importe quel rafiot du Yachting !
Et en Maurienne on n’évite
et il a adoré (comment pourDes
pas les déferlantes on les
rait-il en être autrement ???)
surfe! J’avais envie d’écrire
Y aurait pas la place pour rasur l’amitié dans cet article,
conter tout ce qu’il était ou
copaIns
sur les liens qui se créent au
tout ce qu’il a fait et ce n’est
sein d’une bande de potes
pas l’objectif de cet article.
qui se connaissent depuis
écrivant ces quelques ligMauriennais En
l’enfance…bref sur cette vénes j’aimerais que ceux qui
ritable famille ! Et quand
les lisent réalisent la chance
j’écris ça je pense à lui, à
qu’ils ont d’avoir une seconde
génIaux
Dim, qui est décédé cet aufamille : celle formée par les
tomne alors qu’il bossait en
potes ! Et ça je pense que
travaux accro… Malheureuc’est lui qui me l’a vraiment
sement pour la plupart des qui formenT fais comprendre ; le skate,
adeptes du Yachting et de
le ski, la varappe c’est trop
Versus vous ne le connaisbien mais en fait c’est pas ça
une vRaie l’important ! L’important c’est
siez pas mais cet article est
peut être l’occasion d’essayer
le partage ! L’important c’est
de vous le faire connaître un
les copains… Je suis triste en
famIlle
tout petit peu… Je dis malécrivant ces mots mais aussi
heureusement car vous aurassuré car je pense en avoir
riez eu tant de choses à partager… Parce
une grande famille (et ce bien que mes
que finalement il avait toutes les qualideux parents soient fils et fille unique)…
tés pour s’intégrer au sein de cette secte
avec des liens qui sont forts. On ne sait
visionnaire ; sa qualité première étant
pas de quoi demain sera fait alors prosa capacité à motiver les gens autour de
fitez de vos potes parce que tout peut
lui pour faire des trucs totalement débis’arrêter !”
les et essayer de rigoler le plus possible
en toute circonstance…Réaliser des choVincent (Potch)
ses incroyables sans jamais se prendre
au sérieux ! Aussi doué sur une falaise
qu’un Chdoubi sur un skateboard, aussi
motivé qu’un Jey pour mener un projet
à bout, aussi saoul (enfin presque) qu’un
Bruce lorsqu’il s’en donnait les moyens...
Il n’a vu qu’un concert des Sacs à Gnôle
“I said an hundred 100 times I should have die...”
Johnny Cash

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