Formation agent de sécurité maritime contre piraterie Recrutement

Transcription

Formation agent de sécurité maritime contre piraterie Recrutement
Formation agent de sécurité maritime
contre piraterie
«Certificat Ship Security Officer, le brevet STCW95, le
Maritime Firearms Capacity Certificate (MFCC) »
Info:
Recrutement possible à la suite de votre
formation par nos partenaires.
Attention : anglais niveau basique nécessaire.
Objectifs de la formation sécurité maritime :
La formation à la sécurité maritime et la contre-piraterie a pour objectif de
préparer les stagiaires à prendre en charge la protection d’un navire
marchand contre les actes de piraterie maritime, et cela en parfaite
conformité avec les réglementations maritimes en vigueur. A l’issue de
cette formation les candidats auront acquis une solide
compréhension de la mission des équipes de protection
embarquées armées.
Lieu de formation sécurité maritime (MSO STCW 95) :
Côte nord de la Pologne. Les stagiaires ont à leur disposition un navire
marchand avec lequel ils vont pratiquer toutes les procédures de sécurité.
A la fois théorique et pratique.
Les cours intègrent également un module armes à feu (armes de poing,
pistolet-mitrailleur MP5 et fusil d’assaut M4) ainsi que des exercices
réalistes de combat à bord à l’aide de munitions non létales FX
Simunition®.
Durée de formation sécurité maritime: 9 jours
A l’issue de cette formation les candidats auront acquis une solide
compréhension de la mission des équipes de protection embarquées
armées.
Formation sécurité maritime 2600 euros tous frais compris:
Logement, nourriture, billet d'avion, frais de déplacement lors de la
formation et frais pédagogique.
Possibilité de financement
(Pôle emploi, Opcalia, Fongecif,
Région chèque qualifiant.....)
Programme de formation sécurité maritime
Obtention du certificat médical d’aptitude
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· Exercices de natation
· Procédures d’abordage, de fouille et de saisie
· La question de la piraterie maritime et son évolution récente
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· Premier secours
· Revue de l’équipement utilisé par les groupes armés de pirates
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· Etudes de cas : Goa, Mer d’Arabie, Océan Indien
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· Etudes des différentes règles d’engagement en usage
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· Tir : usage d’armes à feu depuis un navire(certification)
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· Equipement de protection et de défense des navires
· Défense passive et active (CQB, Close Quarter Battle)
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· Procédures et réglementation maritime (International Maritime
Organisation)
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· Code ISPS et autres textes relatifs à la protection du navire
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· Lutte anti-incendie dans le cadre du brevet STCW95
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· Spécificité des structures de navires
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· Techniques de survie en mer
· Sécurité individuelle et responsabilités sociales (dans le cadre du
brevet STCW95)
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· Examen final
Les Gardes Armés Désormais Autorisés Sur
Les Navires De Commerce Français
L'Assemblée Nationale vient de voter à l'unanimité le texte relatif à la
protection des navires contre les pirates.
• Cette décision était attendue, qui arrive avec retard, 11 des 15 pays
de l'Union Européenne disposant d'une flotte de commerce,
autorisant déjà les armateurs à avoir recours à des agents de
sécurités privés armés, pour défendre leurs navires.
• Ce texte fait suite au développement exponentiel des actes de
piraterie maritime, dans l'Océan Indien mais aussi en Afrique de
l'Ouest. En 2013, 230 attaques ont été recensées par le Bureau
Maritime International. Des attaques qui coûtent cher aux armateurs,
entre 5 et 8 milliards de dollars par an, du fait notamment des
dépenses de carburant supplémentaires engendrées par
l'augmentation des vitesses dans les zones à risque, mais aussi du
fait des primes d'assurance et des dépenses de sécurité.
• Le texte voté précise que le recours à des gardes armés ne sera
autorisé que dans les zones à risque et que l'usage de la force ne
sera autorisé qu'en cas de légitime défense, les armateurs ne
pouvant pas utiliser moins de trois gardes par navire et une seule
société privée. A terme, plusieurs centaines d'emplois pourraient
ainsi être créés.
• Il est à noter que l'Etat français mettait jusqu'à présent à disposition
des armateurs confrontés à ce risque près de 152 militaires,
notamment des fusiliers marins ou des commandos de marine.
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