édito - Beijaflore
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édito - Beijaflore
B.Com ÉDITO Nous sommes heureux de partager avec vous cette première lettre des B-Communities ! Nos B-Communities sont des structures de knowledge management innovantes qui, tout en maintenant une expertise de bout en bout sur des sujets majeurs de nos secteurs d’activité, ont pour but d’apporter à nos clients, comme en interne, des compétences mûries et maîtrisées sur l’ensemble des métiers de Beijaflore. Plus de 160 personnes sont regroupées en équipes d’experts sur ces domaines. Les B-Communities nous permettent ainsi d’être toujours à la pointe de nos domaines d’intervention pour répondre rapidement et efficacement aux besoins d’expertise de nos clients, en proposant : – des savoir-faire sur des sujets aussi variés que les portails, les réformes réglementaires, la sécurité de l’information ou encore le contactless ; – des méthodologies en matière de : gestion d’appels d’offres, audit, études, validation, synthèse 12 B-Communities Refonte des processus en BFI Regulatory & Compliance Management La loi Chatel Les widgets contractuelle, pilotage ou direction de projet, industrialisation de processus, benchmark ; – notre vision sur chacun de ces sujets. Toutes nos filiales, nationales et internationales, y participent, nous donnant ainsi l’occasion de vous présenter un panorama aussi complet que possible. L’activité des B-Communities est soutenue par un programme riche de conférences, de publications, de formations, de participation à des salons… qui nous permet d’échanger et de confronter notre vision à celles des grands acteurs du marché. C’est également l’objectif de cette lettre : au travers de quelques exemples d’interventions et de réalisations, vous faire connaître nos domaines d’excellence et partager des informations pertinentes sur des sujets d’actualité. N’hésitez pas à nous contacter pour tout renseignement complémentaire, et bonne lecture ! 2 3 4 5 6 Methods and Tools Virtualisation et optimisation Autour du GSMA World Congress Information Security IT Service Management 7 8 9 10 11 English text Une publication du groupe Beijaflore. NOVEMBRE 2008 A GLOBAL VIEW OVER THE B-COMMUNITIES TRENDS PAGE 2 NOS 12 B-COMMUNITIES Réseaux haut débit Expertise autour des technologies des communications mobiles à très haut débit (HSxPA, Wimax, LTE…) Réseaux, stratégie et transformation Expertise autour des outils de gestion des réseaux, veille techno, architecture de réseaux VoIP/ToIP Expertise sur les services voix sur réseaux IP (IP Phones, PC softphones, multimode mobile phones & smartphones), les services mobiles et fixes (IPBX ou IP Centrex) Contactless Expertise sur les nouvelles applications et systèmes basés sur les technologies sans contact IT Service Management Expertise autour de l’évaluation de la maturité ITIL des organisations, organisation et performances des fonctions de support IT, benchmark des outils Consolidation et stockage Rationalisation des infrastructures dans un objectif de réduction des coûts d’exploitation Sécurité de l’information Management, conception de solutions ou d’infrastructures sécurisées, contrôles MÉTIERS Methods and Tools Les méthodologies appliquées à nos métiers : audit box, RFQ box, gestion de projet box et benchmark box DES PARTENAIRES GLOBAL PERFORMANCE Portail Expertise autour de la problématique de portails grand public : audience et monétisation – Web 2.0, challenge et opportunités Banque d’investissement Expertise autour des applications de la banque de financement et d’investissement SI RÉSEAUX ET SERVICES CRM Expertise autour de la relation client, vision à 360°, multicanalité, applications front-office – interaction avec les applications de back-office FIRST FINANCE Des conférences hebdomadaires Des formations longue durée Réformes réglementaires Expertise dans la mise en œuvre des réformes réglementaires au sein des applications PAGE 3 REFONTE DES PROCESSUS EN BFI ENJEUX ET OPPORTUNITÉS Dans un contexte exigeant en termes de productivité, de sécurité et de gestion des risques, la banque de financement et d’investissement doit aujourd’hui repenser son fonctionnement. Confrontée à une crise majeure des marchés financiers à laquelle s’ajoutent d’importantes évolutions réglementaires, la BFI est amenée à transformer et optimiser en profondeur l’ensemble de ses processus métiers. Les méthodes d’optimisation Les moteurs d’optimisation de processus Qu’il s’agisse de l’effondrement des prêts immobiliers de type subprime ou de la découverte d’opérations spéculatives aboutissant à la perte de plusieurs milliards d’euros, le contrôle des opérations, la sécurité et la gestion des risques sont, depuis plus d’un an déjà, au cœur des préoccupations. Les institutions bancaires, appuyées dans ce sens par l’Autorité des marchés financiers, ont ainsi dû multiplier les audits de leurs systèmes d’information et des processus associés. En découle un grand nombre de projets visant à améliorer la sécurité des chaînes mais aussi l’organisation et la maîtrise des processus métiers et des intervenants (revue de la politique de gestion des droits, urbanisation des systèmes, cartographie des processus métiers…). Cette crise est loin d’être le seul moteur d’évolution. La BFI fait notamment face, depuis quelques années, à une forte augmentation du volume de deals sur des produits de plus en plus complexes. Les équipes doivent à la fois s’adapter en proposant des chaînes de traitements élaborées et optimiser ces vitesses de traitements. Afin de juguler l’augmentation du coût d’un deal et de réduire le délai Time to Market, de nombreux projets voient le jour : plate-forme de trading électronique, automatisation des chaînes de Front to Back (STP), publication du PNL… Les problématiques d’optimisation des chaînes de traitements en BFI ressemblent par leur complexité aux besoins d’optimisation des chaînes industrielles. Des méthodes, jadis réservées à ce secteur, s’appliquent désormais parfaitement au monde de la banque d’investissement. La méthode Lean, autrefois utilisée essentiellement chez Toyota, voit aujourd’hui ses principes appliqués dans les banques pour gagner en efficacité. J.P. Womack et Daniel T. Jones définissent ainsi le principe de la méthode Lean dans leur ouvrage Lean Thinking : “In short, lean thinking is lean because it provides a way to do more and more with less and less—less human effort, less human equipment, less time, and less space—while coming closer and closer to providing customers with exactly what they want.” La méthode Lean n’est d’ailleurs pas la seule empruntée au monde de l’industrie, Six Sigma, inventée par Motorola dans les années 90, a également investi l’univers bancaire. Aujourd’hui, la BFI est donc à un moment charnière de son développement. Elle doit relever le défi de l’industrialisation afin de faire face à un marché de plus en plus concurrentiel où la capacité de traiter d’importants volumes de données devient critique. Les banques veulent davantage un travail de consolidation et d’optimisation que l’implémentation de nouveaux systèmes. On parle alors de lean-banking : recherche d’efficacité, rationalisation des processus. ■ corporate & investment banking PAGE 4 REGULATORY & COMPLIANCE MANAGEMENT Faut-il redire que des réformes réglementaires et leur mise en œuvre (compliance) sont un enjeu majeur pour les banques ? C’est pour répondre au mieux à ces contraintes que Beijaflore Finance a créé une communauté d’experts dédiée à ces problématiques et à leurs solutions. La B-Community Regulatory & Compliance Management rassemble des consultants qui participent régulièrement à des projets d’implémentation de réformes réglementaires telles que Bâle II, Mifid, Sepa, ou encore Sox. Nous avons ainsi identifié quatre points essentiels pour assurer la compliance : – une représentation/cartographie fonctionnelle détaillée des SI bancaires ; – une maîtrise approfondie des réformes réglementaires ; – la réalisation des Gap Analysis : compatibilité d’un système d’information avec une réforme réglementaire ; – la conduite de projet pour la mise en conformité du SI. Les deux exemples ci-dessous illustrent l’expertise nécessaire pour conduire ces projets de conformité. > De nouveaux moyens de paiement européens. Beijaflore a mis en place le Sepa (nouveaux moyens de paiement européens) pour une grande banque française. Cette réforme très lourde comporte de forts enjeux financiers, organisationnels et commerciaux. La prise de recul et la compréhension des interactions entre les acteurs réglementaires ont été les éléments déterminants dans la mise en œuvre de cette réforme et ont permis de l’appréhender de manière optimale. La troisième phase du Sepa est actuellement en cours de mise en œuvre. Après la carte bancaire et le virement, c’est au tour du prélèvement de faire l’objet de ce déploiement du Sepa. Ces contraintes réglementaires vont devenir de plus en plus exigeantes, comme le laisse entendre l’évocation d’une réforme Bâle III. Cela souligne la nécessité de maîtriser son SI et le contenu des réformes afin d’être en mesure d’identifier au plus tôt les enjeux et les impacts à gérer. En se donnant les moyens d’anticiper les chantiers à mettre en œuvre, l’entreprise optimise sa gestion des réformes réglementaires. ■ > Un nouvel outil de notation et de segmentation des clients. La filiale d’une grande banque française spécialisée dans le crédit pour les promoteurs immobiliers nous a confié la mise en place de son nouvel outil de notation et de segmentation des clients, ainsi que la notation du bien financé. L’objectif est d’évaluer la solidité financière de la contrepartie et la qualité du bien en conformité avec les normes Bâle II. La réalisation du référentiel de données a constitué le plus grand défi de ce projet. La connaissance du SI bancaire a permis de déterminer où se situent les informations pertinentes nécessaires à la notation et de les extraire ainsi de façon optimisée. Les évolutions apportées sur la gestion des incidents, les moyens de se couvrir et le suivi des engagements répondent aux exigences de la commission bancaire sur la gestion du risque et le respect des normes Bâle II, dans les délais imposés par les entités de régulation. regulatory & compliance management PAGE 5 LA LOI CHATEL IMPACT SUR LES SI DANS LES TÉLÉCOMS Suite à la publication de la loi Chatel, le nouveau projet de loi pour le « Développement de la concurrence au service des consommateurs » est entré en vigueur le 1er juin 2008. À travers cette législation, le gouvernement poursuit trois objectifs majeurs : réformer la loi sur les prix et les « marges arrière » dans la distribution ; réguler les opérateurs de communication électronique ; améliorer l’information des consommateurs en matière bancaire. Les conséquences de cette loi sur les télécommunications et la vente par correspondance sont multiples. Cadre juridique La nouvelle législation impose des contraintes très précises. • Les contrats. Ils ne doivent plus excéder 24 mois, et les conditions tarifaires de rétractation, restitution du dépôt de garantie ou résiliation au-delà de 12 mois sont formalisées. • Les hotlines. Certains services sont désormais accessibles par l’intermédiaire d’un numéro non surtaxé, et la gratuité du temps d’attente devient la norme. • La livraison. Une date limite, contractuelle, de livraison doit être indiquée en cas de vente par correspondance. • La clarté de l’information. L’information du client doit être accrue. Cela inclut, outre les hotlines, les durées d’engagement, les options qui deviennent payantes ou plus chères, etc. Enjeux et impacts La prise en compte de cette loi influe sur une grande quantité de problématiques métiers. Parmi celles-ci, citons : – la modification de la facturation, des contrats ; – la mesure du délai depuis la chaîne de provisioning jusqu’à la livraison du client ; – pour les offres multiservices, la gestion de la cohérence entre partenaires (exemple : TV sur Internet) ; – une nouvelle modélisation des promotions dans les catalogues… Cette complexité nécessite la mise en place d’équipes transverses : départements juridique, marketing, MOE et billing notamment. Les juristes formalisent les corrections liées à la nouvelle loi, le marketing propose des systèmes remodelés, et les maîtrises d’œuvre applicatives en étudient la faisabilité et la mise en place. Le cas échéant, les points bloquants sont remontés et toute cette chaîne de réalisation est à nouveau sollicitée. Les impacts sur le domaine de la relation client sont nombreux et coûteux. Pour accompagner efficacement ses clients, depuis les aspects marketing jusqu’à l’implémentation dans les solutions de CRM, self care ou facturation, Beijaflore structure son expertise et ses savoir-faire sur l’ensemble des sujets et propose des offres complètes. ■ CRM PAGE 6 LES WIDGETS Le widget n’est pas qu’un simple phénomène de mode, c’est un nouveau canal de communication qui mérite que l’on s’y attarde un instant… Un widget est une microapplication communicante que l’on peut insérer sur le bureau de son ordinateur (desktop widget) ou sur une page Web, qu’il s’agisse d’un blog, d’un profil de réseau social (Facebook, MySpace) ou d’un portail personnalisé (iGoogle, My Yahoo! ou Netvibes). Les mobile widgets se développent, en particulier sur l’iPhone dont l’interface a été pensée comme un réceptacle à widgets. Le principe est simple : le widget lit et interprète un flux externe de données, continu ou non, et le restitue dans un format graphique agréable dans le but de rendre un service pratique à l’internaute. Les widgets les plus répandus affichent l’heure, l’actualité, la météo, le trafic, etc. D’une manière générale, toute information est exportable en widget, quitte à en simplifier le format. D’où une incroyable diversité de l’offre ! Fidéliser l’audience : placé à des endroits stratégiques, le widget est constamment sous les yeux de l’utilisateur. Celui-ci aura tendance à venir sur le portail plus régulièrement. Accroître les revenus : les taux de transformation constatés lors d’opérations de push marketing reposant sur les widgets sont bien supérieurs à ceux des campagnes e-mailing classiques. En somme, les widgets séduisent les utilisateurs par leur simplicité et le service qu’ils rendent. Dans un contexte de foisonnement de l’offre, on sait que l’innovation est un facteur clé de succès. Le widget serait-il la nouvelle killer application ? Nous ne le croyons pas. Malgré tous ses avantages, il ne faut pas considérer le widget comme une fin en soi mais bien plus comme un levier intégré dans une stratégie globale. ■ On peut distinguer deux types de ces micro-applications : les « fonctionnelles » qui exposent un service ou un contenu de l’éditeur (Airparif et la qualité de l’air) ou les « prétextes », pour qui le service est un simple alibi (un widget aux couleurs d’une marque de luxe). Pour les annonceurs, et en particulier les éditeurs de portails Web, les widgets ouvrent de nouveaux horizons business et marketing. Les débouchés s’annoncent multiples… Servir l’image de marque : grâce à une communication de type « bellow the line » qui place l’utilisateur dans une relation discrète mais positive et durable avec la marque. À condition, évidemment, de proposer un modèle attrayant. Développer le trafic : le widget est un point d’entrée supplémentaire vers le portail de l’annonceur. En se répandant sur un mode viral, il permet d’attirer rapidement de nouveaux visiteurs, augmentant ainsi le « reach » du portail. portal L’accroissement de résultats imposés aux systèmes d’information en matière de flexibilité, réactivité et qualité de service conduit naturellement les acteurs de nos métiers à repenser leur façon de travailler, à s’appuyer sur des frameworks éprouvés et partagés, à intégrer simultanément processus, organisation, gestion du changement et évolutions technologiques, cela dans un cadre budgétaire défini et maîtrisé. Notre compréhension de la démarche projet s’appuie sur le triptyque managérial « Valeur – Risque – Performance » (cf. schéma ci-contre). La qualité d’intervention repose, bien sûr, sur des qualités humaines, mais également sur l’expérience enrichie par la maîtrise des outils et les bonnes pratiques aux standards du marché (Itil, CMMI, Cobit, Six Sigma, PMI, Iso, Prince2, TCO…) et une dose raisonnable de pragmatisme. Au-delà de la formation initiale de ses consultants, Beijaflore met particulièrement l’accent sur le développement des compétences, la certification et la mise à disposition d’outils et méthodes de gouvernance. • Les fondamentaux (définition, cycle en V, phasing). • Démarrage – cadrage d’un projet. • Planification et optimisation. • Gestion des risques. • Conduite de réunion. • Dimension managériale d’un projet, rôle et responsabilités des acteurs du projet. • Management et motivation. • Organisation MOA/MOE. • Pilotage (par les coûts, par les délais…). • Gestion d’appels d’offres (du RFQ jusqu’à la mise en œuvre du contrat). • Gestion du changement. • Conduite d’entretien d’audit. • Gestion des conflits. • Gestion de la valeur. • Reporting, tableaux de bord. • Retour et partage d’expérience. audit & RFQ & project management Pour une bonne gouvernance IT… PAGE 7 METHODS AND TOOLS Définir / Communiquer la stratégie Créer de la valeur Succès et atteinte des objectifs Concentration sur le management de la valeur Concentration Concentration sur le management sur le management de la performance des risques Résoudre les problèmes Préserver la valeur Écueils / Échecs évités Apprentissage / Améliorations continues Nos axes de veille technologique et de progression des collaborateurs sous forme continue, événementielle et taskforce concernent un noyau de 20 experts qui supportent et coachent chacun entre 5 et 10 consultants, ce qui permet la diffusion et le partage des meilleures pratiques au service de nos clients. ■ Benchmark B-Community: Providing methods for further expertise More than performing basic comparisons, benchmarking became in the last 20 years a powerful – but also underrated – tool for performance evaluation and continuous enhancement: “what are the winning strategies and how can I get close to them?” could be the question to answer. The aim of Benchmark B-Community is to provide methodologies and processes on this very subject. Thus, establishing diagnosis, identifying the models to be followed, comparing performances based on predefined criteria and, finally, adapting those “best practices” to their own environment should help Beijaflore consultants and customers to improve skills and competitiveness. benchmark management PAGE 8 VIRTUALISATION ET OPTIMISATION Les enjeux pour les grands comptes L’année 2007 aura vu la montée en puissance des technologies de virtualisation et d’optimisation des ressources au cœur des datacenters de nos clients. Cette évolution est dictée par la volonté des grands groupes de mieux maîtriser leurs coûts d’infrastructure et d’accroître la flexibilité de leur potentiel technologique afin de mieux répondre à l’évolution de leur activité. Optimisation, rationalisation sont bien sûr à l’ordre du jour. Les technologies de virtualisation, en offrant une mise en commun des ressources matérielles (disque, bande passante, réseau, capacité CPU, mémoire vive), permettent aux entreprises d’augmenter de manière parfois importante le taux d’utilisation des équipements. Ainsi, il n’est pas rare de le voir passer de 20 % à près de 100 %. De plus, la mise à disposition des ressources s’effectue de manière plus rapide et plus adaptée aux besoins des projets tout au long de leur cycle de vie. Au final, cette évolution se traduit par d’importants gains de productivité. Des technologies arrivées à maturité Longtemps cantonnées dans l’univers des grands systèmes, les techniques de virtualisation se sont, depuis quelques années, déplacées vers l’utilisateur final. On pourra distinguer trois axes fondamentaux : – la mutualisation de l’espace disque (SAN/NAS) ; – le partage des infrastructures MAN/WAN au niveau des tables de routage (MPLS ou VRF Lite, majoritairement implémentés chez les opérateurs) mais aussi des réseaux locaux par l’emploi de VLAN ; – la mise en commun de ressources serveurs (CPU, mémoire). Virtualisation réseau Virtualisation serveur Virtualisation SAN FC DWDM, SDH ISCSI, FCOE FCIP VLAN, VPLS, VRF-Lite, VPN MPLS Comment mettre en œuvre une solution de virtualisation ? La mise en œuvre de ces technologies nécessite à la fois des compétences techniques pointues (VmWare ; Hyperviseurs Xen, HyperV, xVM ; Zones…) et une approche métier bien définie (chef de projet infrastructure, architecte système…). Fort de ce constat, Beijaflore apporte à ses clients des expertises techniques réseaux et systèmes ainsi que des savoir-faire dans ce domaine, et les conseille dans les choix d’optimisation de leur infrastructure. ■ Expertises techniques réseaux et systèmes Logiciels de contrôle Ressources invitées (OS, VLAN, LUN…) Logiciels de contrôle Visualisation ISCSI, FCOE FCIP FC DWDM, SDH Virtualisation sur infrastructures mutualisées => utilisation globale de chaque brique jusqu’à 100 % L’offre est maintenant vaste, tous les grands acteurs ayant développé des solutions (parfois complexes) à même de répondre aux attentes de leurs clients. Nous citerons VMWare, Cisco, Brocade, EMC, Netapp, Microsoft, Citrix via Xen, mais aussi Sun, IBM, HP. consolidation & storage Hyperviseur Matériel SAN/NAS : Méthode d’accès à du stockage via des réseaux, dédiés ou non. VLAN : Méthode d’implémentation de réseaux virtuels sur une interface physique. MAN : Extension haut débit de réseaux LAN sur moyennes distances. WAN : Extension plus faible débit sur longues distances. MPLS : Méthode d’implémentation de réseaux virtuels sur MAN/WAN. network strategy & transformation PAGE 9 AUTOUR DU GSMA WORLD CONGRESS Du GSMA World Congress – Barcelone se dégagent quelques tendances de fond ou frémissantes du monde mobile, tant aux plans des technologies que des services ou du business. C’est dans cet esprit de veille que Beijaflore a tenu à être présent. Dans le domaine du haut débit mobile • Le HSPA s’impose chez la majorité des opérateurs mobiles. Le stand GSMA dédié au HSPA souligne largement ce fait. Les nouveaux services qui exploitent pleinement les capacités de ces technologies sont bien connus : le téléchargement de gros fichiers, le streaming vidéo (avec une bonne qualité en encodage à 3 Mbps sur une cellule dédiée), la vidéoconférence, le jeu en ligne avec des temps de latence réduits, et le télé-working. Ces applications se tournent davantage vers un usage depuis un PC (exemple : ultraportables) que depuis un téléphone mobile. À ce jour, les plus hauts débits HSPA sont offerts sur réseau commercial par Telstra avec ses 14,4 Mbps, suivi de NTT Docomo avec ses 12 Mbps. Pour l’upload, les offres montent jusqu’à 3,6 Mbps. • Nortel, qui a vendu ses activités 3G à Alcatel-Lucent en 2006, promeut sa technologie « Evolved Edge ». Cette technologie, dont la vocation est de maintenir Nortel dans la course face à la 3G en attendant l’arrivée des technologies 4G, permet d’atteindre des débits de 500 kbps. L’avantage est que 98 % de la population française est déjà couverte en Edge contre 30 % pour la 3.5G. Il faudra cependant un renouvellement du parc de terminaux. • Enfin, notons la bataille apparente entre le Wimax et LTE en tant que technologies candidates à la 4G. Les démonstrations de TV HD tant en Wimax qu’en LTE (jusqu’à 60 Mbps) étaient omniprésentes. Ericsson, qui ne présentait aucune infrastructure Wimax, a cependant réalisé une première mondiale en révélant le premier terminal LTE de petite taille, alors que LG Electronics présentait un terminal de la taille d’une platine DVD et que Huawei convertissait, pour l’opérateur Vodafone, deux de ses stations de base en terminaux. VoIP/ToIP Autre sujet phare de ce congrès : les technologies et services sans contact embarqués dans les téléphones mobiles • Le NFC (Near Field Communication – technologie d’échanges de données par radio à une distance de quelques centimètres) s’affiche comme la technologie reine, plébiscitée par les fournisseurs de puces NFC comme NXP ou Inside Contactless, les fournisseurs de services comme Twinlinx et Mobilysim, en passant par les encarteurs comme Gemalto, Oberthur ou Giesecke & Devrient. Les stands mettent en avant des démonstrations de badging, de porte-monnaie électronique et de paiement, ou encore d’applications « peer to peer » comme l’écoute d’un morceau de musique sur sa chaîne à partir de son téléphone mobile. Notons la présence de Moversa, joint-venture de Sony et NXP, dont la vocation est de proposer des produits compatibles avec tous les systèmes NFC, dont Felica et Mifair. Un concurrent du NFC, d’ailleurs d’origine française, tente d’effectuer une percée face à ce déferlement. Il s’agit de Tagatitude, dont la technologie NSDTTM (Near Sound Data Transfer) utilise le canal audio pour transmettre à très courte distance, de manière sécurisée, des données cryptées sur le réseau GSM. Cette technologie présente l’avantage d’être disponible immédiatement et compatible avec l’ensemble des terminaux du parc existant. ■ Agenda Les B-Communities de Beijaflore étaient présentes au Global Congress 2008 du Wimax Forum à Amsterdam et au salon IP Convergence de Paris. http://www.wimax-vision.co.uk/global http://www.ipconvergence.fr mobile high speed contactless PAGE 10 INFORMATION SECURITY Information Security is a transversal topic with high impacts on Information Systems but also on People and Business Processes. We are addressing this topic on the Management, Operational or Control level. We are customizing our methodologies and feedbacks to answer to your requests or proactively proposing packaged fast offers to… … Diagnose a business alignment or maturity level Information Security Management Security of IT Infrastructures … Frame a topic Security SLA - Security Service Catalog Executive, operational or tactical dashboards Focus Security Due Diligence of IT infrastructures Are you facing to many operational concerns? Are outsourcing your IT infrastructures? Do you want to initialize a complete security risk management/control process? Thanks to strong experiences on security infrastructures, we have developed a solution to provide you a fast and external security assessment of your IT infrastructures: overview and scoring of security by domain, and in priorities for corrective actions (with a roadmap). ■ Some examples of security business and their risks Communication and awareness Limited area Focus Information Security Management diagnosis Difficulties to implement the processes Are you thinking about certification… ISO 27001? What is your security posture after a major evolution in your organisation? Are you holding a new “C” position? Do you want a global and independent view of the security? We have developed a new solution (methodology, toolkits…) to establish a Security Management Maturity diagnosis with both the evaluation of the ISMS maturity and security alignment to business. Optimization of the security management processes Ignorance of the processes Operational missions of security Improvement tracks for ISMS Maturity level of the ISMS Business alignment Benchmark information security Security integration in business activities Difficulties and risks to implement in business activities Evolution of the security architecture Freezing of assets in production The IT Service Management (ITSM) strongly supports the performance and transformation of IT organizations. ITSM enables to measure, pilot and benchmark the performance of the delivery of IT services. It gives methods and best practises to define improvements and roadmaps towards a better quality while lowering costs. Thanks to ITSM, you will be able to: – provide your CEO and business managers with a good visibility on your performance (quality, costs); – align your service delivery and the quality of your services to the strategy of your business; – transform your organization in order to cope with important changes and legal constraints (Bale 2, SOX); – give flexibility improvements, methods and clues to address the perimeter of your service support, or to address the question of the outsourcing depending on your strategy; – offer ways to build new service support organization in order to find synergies in service delivery; – in a word, ITSM will provide you with a strategic and competitive advantage to face today’s growing market competition. Beijaflore has a strong community of ITSM experts who offer different services regarding service support topics as well as ITIL V3 maturity of organizations: – audit, diagnostics, analyses and benchmark of your service management processes; – definition of service management indicators and dashboards from the best practises and according to your goals, objectives and stakes; – building of post audit roadmaps scenarii in order to improve service management quality and costs; – definition of methods and means of evaluation of the progress regarding your objectives. ■ Unicenter example Global Informations • Editor: Computer Associates • Version: R11.2 • Homepage: http://www.ca.com/sm Price • Licence mode ? not communicated TCO for the standard PF ? not communicated • Competitors (Licensed): SRM (BMC ARS), HP Openview Service Center,IBM Tivoli Service Catalog • Market position: Intermediate Context • Historial business: US market • Ideal platform size: Medium/Complex Architecture/Technology • N-Tiers – Full Web both for end-user & administration interface • Supported Environments: • Server Windows – Unix/Linux to be confirmed • Web Interface: IE, Mozilla, Firefox Compatibiliy Interoperability • Tigh connection with companion complementary products: Unicenter products: Unicenter Asset Service Assure (SLA management) Management, CA CMDB… and Unicenter Service Accounting • Tigh connection with (for Billing/costing and budgeting) Functional Cover ❑ Service Desk ❑ CMDB ❑ Service Catalogue Management ❑ SLA & Billing ❑ Configuration Management ❑ BSM Quality Ease of handing (admin.): 2/3 Security topics considered: Ease of architecture increasing: 2/3 Modularity: Ease of implementation Ergonomics (Use interface): (deployment): 1.5/3 The tool covers the following functionalities: - Single point of contact for available services - Service Requests completed through the catalog (generic workflows) Define and map service to business model Single location to define and update services Service Dashboard and Reporting Maturity: Updates Regularity: Technical: IT service management Maturity 2/3 2.5/3 1.8/3 3/3 2.8/3 3/3 PAGE 11 IT SERVICE MANAGEMENT Beijaflore Pavillon Bourdan 11-13, avenue du Recteur-Poincaré 75016 Paris Tél. : 01 44 30 90 00 Nous contacter : [email protected] www.beijaflore.com BRUXELLES / PARIS / ZURICH