Le théâtre

Transcription

Le théâtre
PL9
parcours littéraire
Le théâtre
p. 144 à 161
Objectifs du parcours
Les nouveaux programmes accordent une place importante à l’étude du genre théâtral en
classe de sixième. À la fin de ce parcours, nous pensons que les élèves maîtriseront la
présentation d’une scène de théâtre.
Par ailleurs, ce genre convient idéalement pour atteindre les objectifs fixés en classe de
sixième en ce qui concerne l’expression orale. Ainsi, ce parcours littéraire a pour ambition
de faire comprendre à l’élève la diversité des situations de communication au théâtre, et
de les analyser. À partir de là, les textes proposés dans ce parcours permettent à l’enseignant d’entamer un travail sur la voix, l’intonation, les intentions de lecture.
Les textes proposés procèdent d’un choix thématique s’appuyant sur les auteurs au programme. Les ressorts comiques du personnage du médecin sont ici présentés aux élèves
à travers une farce de Molière et deux textes de Jean Tardieu.
Des activités grammaticales peuvent être mises en lien avec le parcours de la manière
suivante :
• On peut envisager de faire travailler aux élèves l’activité sur la mise en scène de
Dario Fo, ( p. 211) après l’étude de « Sganarelle démasqué ? » ( p. 152).
• « Un étrange médecin » ( p. 148) pourra être rapproché de l'activité sur « Le
Médecin malgré lui » ( p. 282).
• On pourra prolonger l’étude du comique de mot des textes « Le médecin malade »
( p. 154) et « Un jeu d’enfant… » ( p. 156) par les activités autour de Jean Tardieu
( p. 180 et 110) et Georges Feydeau ( p. 326).
Principaux points de langue étudiés dans le parcours
➜ Les types de phrases
Activité « Le médecin malgré lui » p. 282
➜ Le verbe
Activité « Un mot pour un autre » p. 210
➜ Les niveaux de langues
Texte 2 « Un étrange médecin » p. 148
Texte 3 « Sganarelle démasqué ? » p. 152
Texte 4 « Le médecin malade » p. 154
➜ Les homophones lexicaux
Activité « On purge bébé » p. 326
Lien utile
Le site Educnet (> ressources sur le théâtre)
Ce site propose une sélection intéressante de liens
vers des sites sur le théâtre. On y trouvera un site
très riche sur Dario Fo, malheureusement en italien. Les photographies des spectacles de Dario Fo
peuvent être exploitées en prolongement de celles
présentes dans le parcours.
➜ Vous pouvez accéder directement à ce site en
vous connectant sur
http://jdl.magnard.fr/liens6p
Le théâtre
© Magnard, 2009
1
Lecture
de l’image
p. 145
Image 1
Répétition d’Ubu roi d’Alfred Jarry, mise en scène
de Bernard Sobel, 2001.
Image 2
Répétition d’Amphitryon de Molière, mise en scène
d’Anatoly Vassiliev, 2002.
Découvrir la préparation
d’un spectacle théâtral
1 a. L’homme en noir n’est pas un acteur car il
n’a pas de costume.
b. Il montre ici aux acteurs, qui ont tous le regard
tourné vers lui, comment dire une réplique.
2 Le décor ne représente rien de particulier, il
s’agit d’un plateau dont les éléments démontés
font penser à un vague échafaudage sur plusieurs
plans.
3 Il s’agit d’une répétition.
4 On remarque l’architecture d’un théâtre à
l’italienne avec une fosse d’orchestre au premier
plan. Les deux personnages sont devant un décor
blanc. On peut voir une partie des coulisses côté
jardin. Côté jardin, on peut voir une baignoire :
c’est une loge arrondie qui surplombe ici la fosse
d’orchestre. Le metteur en scène se tient droit
dans le parterre.
5 Un grand voile bleu est tendu au-dessus de la
fosse d’orchestre. Derrière l’actrice, on peut voir
une voile blanche triangulaire.
6 a. Il s’agit du metteur en scène.
b. Il guide les acteurs, commente et corrige leurs
propositions, imagine le décor, pense aux accessoires.
Texte 1
p. 146-147
« Mise en place de l’action »
Molière, Le Médecin volant, 1659.
3 a. Sabine donne toutes ces informations à
Valère.
b. Elles sont également destinées au spectateur
ou au lecteur.
4 On change de scène lors de l’arrivée ou de la
sortie d’un personnage.
5 La pièce est divisée en actes et en scènes. Les
paroles des personnages sont précédées du nom
des personnages et d’un tiret. Le texte n’est
constitué que de dialogue, il n’y a pas de narrateur.
6 a. Valère est amoureux de la cousine de
Sabine.
b. Elle aime Valère.
c. Elle doit cependant épouser Villebrequin.
d. Lucile fait semblant d’être malade pour retarder
le mariage.
7 Sganarelle va aider Valère à épouser celle qu’il
aime en se faisant passer pour un médecin et en
conseillant à Lucile d’aller prendre l’air à la campagne dans un pavillon où les amoureux pourront se
retrouver à loisir.
8 a. Sganarelle est appelé « maroufle » (sc. 1,
l. 22) et « lourdaud » (sc. 2, l. 11).
b. Ces deux noms présentent Sganarelle comme
un moins que rien, un homme sans qualité.
9 C’est la somme promise qui le décident.
10 Il affirme que le savoir des médecins est de
savoir faire mourir les malades.
11 a. Sganarelle ne sait pas parler philosophie et
mathématique, c’est un lourdaud.
b. Gorgibus est un homme « simple, grossier »
(l. 19). C’est un homme « facile » (l. 23).
c. Il a compris qu’il est plus malin que l’homme
qu’il doit duper.
12 Le spectateur sait qu’il va assister à la tromperie d’un homme stupide par un personnage socialement inférieur. De plus, l’absence de savoir de
Sganarelle risque de le mettre dans des situations
délicates.
Enrichir son vocabulaire
Reconnaître une scène d’exposition
1 a. C’est Valère. b. Son nom précède la réplique. c. Il s’adresse à Sabine.
● Lourd est le radical de « lourdaud ». Alourdir
est le verbe de la même famille.
● « Je vous réponds que » est synonyme de « je
vous assure que ».
2 On peut le supposer, la question de Valère
sonnant comme la conclusion d’une explication.
2
© Magnard, 2009
Texte 2
p. 148-149
« Un étrange médecin »
Molière, Le Médecin volant, 1659.
Enrichir son vocabulaire
Conquérir et enquête sont un nom et un verbe
de la même famille que « quérir ».
● Docteur est de la même famille que
« docte ».
● « Discerner » a pour synonyme distinguer,
connaître.
●
Découvrir le comique de la farce
1 a. Il se présente comme « le plus grand, le plus
habile, le plus docte médecin qui soit dans la
faculté végétale, sensitive et minérale » (l. 7-8).
b. Cela a pour but d’impressionner Gorgibus.
2 Le mot « espérance » est répété deux fois à la
ligne 3 et à la ligne 6.
Lecture
de l’image
p. 151
3 a. Quand une personne est malade, elle ne se
porte pas bien selon Sganarelle.
b. Il s’agit là d’une tautologie. Ce raisonnement est
totalement absurde.
4 Non, certaines ne veulent rien dire. Les paroles prononcées en latin n’ont aucun sens. La proximité de ces différentes langues dans le discours
ne permet pas de dégager une signification aux
propos de Sganarelle.
5 a. Le médecin parle du sang de Gorgibus.
b. Il semble vouloir prendre du sang sur Gorgibus
c. Il saigne Gorgibus parce qu’il estime que les
liens familiaux (liens « du sang ») lui permettent de
saigner un père à la place de sa fille : s’il découvre
une maladie dans le sang du père, alors il pourra
conclure que la fille est malade (l. 17-19). Ce diagnostic « familial » est évidemment absurde.
6 a. Il veut analyser l’urine de la malade.
b. Il le boit pour mieux en discerner « la cause et
les suites de la maladie » (l. 31).
7 a. Gorgibus est étonné. b. On aurait pu s’atten-
dre à une réaction plus vive de la part de Gorgibus.
c. Il est parfaitement crédule, peu réactif, sot.
8 a. Une ordonnance rassemble les prescriptions écrites d’un médecin.
b. Cette phrase laisse entendre que le médecin
décide de faire mourir ou non son patient, et que la
mort est une thérapie pour faire disparaître la
maladie.
Le Médecin volant de Molière, mise en scène de
Dario Fo, 1990.
Comprendre l’importance de l’espace
et du costume au théâtre
1 Les personnages sont sur un plateau en bois,
une toile blanche est tendue en arrière-plan.
À gauche de la photographie, on distingue un décor
représentant une maison sans doute en bois lui
aussi.
2 a. Sganarelle porte une immense robe noire. Il
est aussi le seul personnage à être coiffé d’une
perruque.
b. La robe de Sganarelle est aussi longue que son
prétendu talent est grand. Cette robe confère au
personnage la solennité qui convient à sa fonction.
3 a. Tous regardent attentivement ce que fait le
médecin.
b. Cela renforce encore la supériorité du savant sur
Gorgibus, seul personnage de la scène à manifester du dégoût.
4 L’assurance et la maîtrise de son art se dégagent des gestes et du visage de ce personnage.
9 a. « Pisser », « pissative » et « pisseuse » sont
trois mots de la même famille.
b. Ces mots appartiennent au niveau de langue
familier.
10 Le comique de mot est présent dans le discours de Sganarelle, ainsi que dans le niveau de
langue utilisé à la fin de l’extrait. On rira aussi du
caractère de Gorgibus, de sa stupidité. On rira également de la situation où le valet dupe grossièrement Gorgibus.
Le théâtre
© Magnard, 2009
3
Texte 3
p. 152
« Sganarelle démasqué ? »
Molière, Le Médecin volant, 1659.
Enrichir son vocabulaire
L’antonyme de « digne » est indigne. L’antonyme d’« honneur » est déshonneur.
● Une brassée désigne ce que les bras peuvent
contenir. Un brassard est une bande d’étoffe
servant d’insigne que l’on porte au bras (ex :
brassard de capitaine). La brasse est une nage
sur le ventre associant des mouvements symétriques et simultanés des bras puis des jambes.
Il s’agit aussi d’une ancienne unité de mesure
égale à cinq pieds (environ 1,60 mètre).
● Ma grand-mère fait une délicieuse confiture
avec les fraises de son jardin.
Le dentiste m’effraie quand il met en route sa
fraise et qu’il l’approche de ma bouche.
Quand il est en colère contre moi, mon frère me
parle mal. Hier, il m’a dit « Ramène ta fraise,
frangin ! »
On pourrait ajouter les expressions contenant
les mots « fraise » : aller aux fraises, sucrer les
fraises...
●
Comprendre le rôle des didascalies
1 a. Sganarelle se trouve à la fenêtre de la maison de Gorgibus.
b. Cette information est apportée par l’expression
en italique qui suit le nom du personnage.
2 Gros-René et Gorgibus se trouvent dans la rue
sous la fenêtre de la maison.
3 a. Gorgibus demande à Sganarelle de faire
paraître son frère à la fenêtre.
b. Il prétend qu’il n’est pas digne d’être vu.
c. Il acceptera simplement pour ne pas déplaire à
Gorgibus, parce qu’il l’estime beaucoup.
4 a. Il utilise le pronom « vous » pour s’adresser
à Gorgibus.
b. Il utilise le pronom « tu » pour s’adresser à son
frère.
c. Il se trouve à l’étage, dans la maison de
Gorgibus.
À l’oral
5 a. Il est habillé en médecin.
b. Il porte son habit de valet.
c. Les phrases en italiques et entre parenthèses
apportent ces informations.
Si les élèves ont du mal à s’accaparer les deux
rôles à la fois, on peut commencer par une lecture
à deux voix : un élève peut jouer le Sganarelle
médecin, un autre le Sganarelle valet.
6 a. Il demande à Sganarelle de prendre son
frère dans ses bras (embrasser, au sens étymologique).
b. C’est Gros-René, son valet, qui est lui aussi plus
malin que son maître.
7 Il demande pardon à Gorgibus ; il promet à son
frère de bien se comporter à son égard.
8 Sganarelle improvise une marionnette : La
phrase qui le prouve est : « Il embrasse son chapeau et sa fraise qu’il a mis au bout de son coude »
(l. 25-26).
9 Les didascalies permettent au lecteur d’une
pièce de théâtre de savoir où se passe l’action, de
comprendre quels sont les gestes, les attitudes du
personnage pendant sa réplique. Elles permettent
également de savoir sur quel ton il s’adresse à son
interlocuteur et à quel interlocuteur il s’adresse.
Les didascalies sont également destinées au metteur en scène et à l’acteur quand la pièce est mise
en scène.
Texte 4
p. 154
« Le médecin malade »
Jean Tardieu, La Comédie de la comédie,
« Une consultation ou les rôles inversés », 1961.
Percevoir un retournement
de situation
1 a. Elles appartiennent à un niveau de langue
soutenu.
b. Il utilise le pronom « vous ».
2 a. Il s’agit de phrases de type interrogatif
b. Ces questions expriment le doute, l’incertitude,
l’angoisse existentielle du patient.
c. Le médecin fait des suppositions sur les possibles maladies dont peut souffrir le patient.
3 Cette didascalie est : « Un soupir, puis pensivement » (l. 7).
4 Le médecin n’est nullement impressionné par
la maladie du patient. Il se comporte à son égard :
« Avec une bonne humeur rassurante » (l. 8).
4
© Magnard, 2009
5 a. Le médecin perd la tête car il fréquente trop
les patients : « Pourquoi je suis perdu ? Parce que
je vois des malades depuis ce matin » (l. 15-16).
b. Sa folie se manifeste par le fait qu’il crie « à tuetête » (l. 15).
6 a. Il s’agit de phrases exclamatives.
b. Ce type de phrase souligne la colère du
médecin.
7 a. Il s’agit d’un niveau de langue familier.
b. Cette phrase rappelle la phrase de la ligne 14 :
« Veuillez vous défaire ».
c. Il a totalement perdu le respect qu’il lui témoignait au début de la consultation.
8 Le patient est « terrifié » (l. 24) et « éberlué »
(l. 31) : la peur et l’incompréhension habitent le
patient.
9 Elles sont prononcées en hurlant.
10 a. Au début de la scène, le médecin se lève à
l’arrivée du patient, à la fin de la consultation, il
pousse le patient dehors et se roule sur le sol en
hurlant.
b. Ce changement va faire rire le spectateur.
11 a. Il cherche à savoir combien coûte la consultation.
b. Il prend la question dans un sens beaucoup plus
large, comme si le patient devait lui donner quelque chose.
c. La méprise repose sur le sens du mot
« devoir ».
12 C’est le médecin qui a besoin d’une assistance
médicale.
Enrichir son vocabulaire
« Je te cogne » a pour synonyme : je te frappe
(en langage courant) et je te moleste (en langage soutenu).
● Une voix blanche est une voix étranglée, privée de sa sonorité par la frayeur.
● Dé- et des- sont les deux préfixes. D’autres
verbes ont le même préfixe, on peut citer :
déplier, démonter, désarmer, déshonorer,
désherber.
●
Texte 5
p. 156
« Un jeu d’enfant… »
Jean Tardieu, La Comédie de la comédie,
« La mort et le médecin ou le style enfantin », 1961.
Faire rire avec un comique de situation
1 a. La scène est censée être écrite par un
enfant de huit ou neuf ans.
b. Cet enfant auteur est naïf et « despotique » (l. 4)
avec ses parents.
2 a. Le véritable auteur de ce texte est Jean
Tardieu.
b. Le titre est « La mort et le médecin ou le style
enfantin ».
c. Il s’agit donc d’un texte de théâtre écrit par un
adulte qui s’est mis dans la peau d’un enfant de
huit ans et qui a essayé de s’imaginer ce qu’un
enfant pourrait écrire sur ce thème de la mort et du
médecin.
3 a. Bonjour Madame / Merci et au revoir.
b. Oui, cette consultation est complète.
4 Il s’agit de phrases interrogatives qui correspondent au déroulement de la consultation. Le
médecin prépare l’auscultation de son patient.
5 a. Le diagnostic du médecin n’est pas clair du
tout parce qu’il parle de la rougeole et d’un symptôme. Dans la même réplique, il annonce une maladie (« ça doit être la rougeole » l. 32) avant de
conclure « vous souffrez d’un symptôme » (l. 33),
ce qui ne désigne pas une maladie.
b. Il formule cela sur un ton de certitude absolue,
comme en témoigne le point d’exclamation.
6 Un symptôme est l’ensemble des signes permettant aux médecins d’identifier une pathologie.
Le médecin se trompe parce que le symptôme
n’est pas une maladie mais un signe de cette
maladie.
7 Le médecin utilise des phrases de type injonctif : « Éviter le bureau » (l. 43-44).
8 La première réplique de Madame doit être dite
sur un ton surpris : « Tiens, le docteur ! » (l. 7) Le
docteur surprend le couple alors que le mari ne
souffre plus de sa prétendue maladie. Ils sont pris
en flagrant délit de bonne santé.
9 Il utilise une couverture dont il se recouvre les
jambes.
10 Le patient lui montre ses chaussures puisque,
premièrement, rien n’indique qu’il s’était couché
auparavant, en pyjama, pour attendre le médecin.
Ensuite, Monsieur dit que s’il a les pieds noirs,
c’est à cause des chaussures, qu’il a donc encore
aux pieds.
Le théâtre
© Magnard, 2009
5
11 a. Il reproche à Monsieur d’avoir les pieds et
les mains sales.
b. On reproche souvent cela aux enfants.
c. Il a la langue noire parce qu’il suce des bâtons
de réglisse.
d. Les enfants mangent ces friandises.
12 a. Elle coûte cent mille francs, ce qui n’étonne
pas Monsieur parce qu’il accepte les règles du jeu
de l’auteur qui est censé être un enfant et qui n’a
donc pas d’idée précise de la valeur de l’argent.
b. Non, il le paie en lui remettant un morceau de
papier : « Il lui donne un bout de papier » (l. 48).
c. Toutes les prescriptions de l’ordonnance sont
fantaisistes, parfois contradictoires et sont en rapport avec le monde de l’enfance.
&
Vocabulaire
Expression
p. 159-160
1 1. courir. 2. poison. 3. prière. 4. voleur.
5. pansement. 6. stimuler. 7. gélatine.
2 1. robuste. 2. vaillant. 3. interdire. 4. sain.
3 1. habillé. 2. déguisement. 3. se costumer.
4. Costumes. 5. se maquiller.
4 1. infect. 2. seigneur. 3. dollar.
4. secours. 5. endormi. 6. diète.
5 1. patraque. 2. indisposé. 3. toubib.
4. médecin. 5. cachet. 6. médoc.
6 1. auscultation. 2. symptômes. 3. diagnostic.
4. ordonnance. 5. traitement.
Enrichir son vocabulaire
● On peut proposer jaunisse, roséole, rubéole
(qui vient de rubeus : rouge).
● « À jeun » : déjeuner, qui signifie rompre le
jeûne.
7 a. et b. Baignoires : loge de rez-de-chaussée
saillante et arrondie située au bord de l’orchestre
et sous le premier balcon.
Paradis (ou poulailler) : places les plus élevées et
les moins chères d’un théâtre.
Côté cour : côté gauche du comédien quand il
regarde la salle ; donc côté droit de la scène pour
le spectateur.
Côté jardin : côté droit du comédien quand il
regarde la salle ; donc côté gauche de la scène
pour le spectateur.
8 entrée des artistes / costume / loge / accessoires / coulisses / réplique / trac / trois coups /
rideau / salle / parterre / troupe.
9 a. planche ➜ plateau
comédien ➜ acteur
troupe ➜ équipe
metteur en scène ➜ réalisateur
scène ➜ prise
hors champ ➜ coulisse
b. La liste 1 appartient à l’univers du théâtre.
Sujet d’expression écrite
Pour que les élèves puissent retirer tous les bénéfices comiques d’une action située dans un pays
étranger, on peut évoquer avec eux la culture, la
gastronomie, les traditions de certaines civilisations.
6
© Magnard, 2009