Emploi - Fédération PCF de l`Aude

Transcription

Emploi - Fédération PCF de l`Aude
Sommaire
Un référendum pour le TAFTA ! - Page 2
Consultation citoyenne du PCF - Page 2
Sanctions pour les fraudeurs fiscaux - Page 2
Conséquences de la loi NOTRe - Page 2
Mobilisations contre la loi «travail» - Page 3
Actualités de la Région - Page 3
Batailles du rail et de l’eau - Page 3
Echos de Carcassonne - Page 4
N° 31 - mai juin 2016
Emploi
EDI chômage
TO
ouvrir le débat en grand !
Les communistes lancent une campagne en direction des salariés et des
citoyens pour que s’ouvre un véritable débat sur une proposition de loi qui
serait déposée à l’automne. Dans le cadre de cette campagne nous faisons
des propositions de sécurité-emploi-formation pour sécuriser les parcours
de vie. Ces propositions, qui visent à éradiquer le chômage, s’inscrivent dans
la perspective d’émancipation humaine du projet communiste, « le temps
du commun ». Notre campagne « Zéro chômage, pour une société de partage » est en cohérence avec les mobilisations contre la loi El Khomri. Des
millions de manifestants dans la rue, «Nuit debout» partout en France, ce
mouvement social exprime, notamment dans la jeunesse, la volonté de se
réapproprier la politique et de refuser « la modernité » à la sauce Macron,
d’une vie faite de précarité et d’incertitudes. La volonté aussi de dire que
nous ne sommes pas condamnés à élire des majorités qui, sitôt élues, trahissent les engagements pris et de construire une alternative véritablement
ancrée à gauche. Notre projet, «le temps du commun» prévoit aussi le développement du ferroviaire, voyageurs et fret. Nous voulons lui donner les
moyens financiers de son fonctionnement et de son développement. Les
États Généraux du Rail et de l’Intermodalité initiés par la nouvelle région
s’inscrivent dans cette démarche citoyenne pour construire les transports
de demain, source de développement donc d’emploi.
Tous les gouvernements successifs ont juré qu’ils avaient des solutions et
qu’on allait voir ce qu’on allait voir... Ce qui est sûr, c’est que les 40 milliards
donnés au patronat sans aucune contrepartie n’ont pas réglé le terrible
drame des privés d’emploi. Ce qui assurera le succès de notre campagne, ce
sont les multiples dialogues que nous pourrons avoir avec les privés d’emploi, les salariés du public et du privé, les convergences et les réseaux que
nous pourrons faire vivre…
Congrès du PCF
Samedi 7 mai
Conférence de Section à Carcassonne
Samedi 14 mai
Congrès départemental à Lézignan
Du 2 au 5 juin
Congrès national à Aubervilliers
Fête de Coursan 2016
Alors, à bientôt !
Mylène
VESENTINI
Conseillère Régionale
communiste de la Région
Midi-PyrénéesLanguedoc-Roussillon
Agenda
Réunions publiques EGRI
( États Généraux du Rail )
mercredi 27 avril 18h
Limoux, Salle des Halles
jeudi 9 juin 18h
Carcassonne, Lycée Paul Sabatier
jeudi 7 juillet 18h
Narbonne, lycée Louise Michel (ex-Diderot-Eiffel)
Samedi 4 juin : Trebob
16h : Débats sur les Scop
avec La Belle Aude et les Ex-Fralib
Soirée : Le peuple de l’Orb et
Les Fatals Picards en concert
Dimanche 5 juin
12h : Banquet républicain
15h30 : Assemblée citoyenne à ciel ouvert :
« Quelle alternative à gauche »
Vignette : 5 €
Parti Communiste Français - Section de Carcassonne - 93 rue Aimé Ramond 11000 Carcassonne
TAFTA
Traité de
libre échange :
Grande
consultation
citoyenne
exigeons un
référendum
Depuis octobre dernier, les
négociations sur le partenariat transatlantique pour
le commerce et l’investissement (TAFTA) se sont accélérées entre la Commission
européenne et les Étatsunis, avec pour objectif de
conclure un accord avant la
fin de l’année 2016. Alors
que le 13ème cycle de négociation vient de débuter, le
débat public est toujours
inexistant. Les enjeux sont
pourtant fondamentaux.
Nous avions d’ailleurs tiré
la sonnette d’alarme dès le
début des négociations.
Après avoir défendu une
proposition de résolution en
mai 2014, rejetée par la majorité, les députés du Front
de gauche ont demandé que
les traités de libre-échange
soient à l’ordre du jour de
l’Assemblée nationale ce
mercredi 27 avril. Le cadre
foncièrement anti-démocratique des négociations, le
manque de transparence de
la Commission européenne
et du Gouvernement français qui tiennent à l’écart les
citoyens sont intolérables.
Pour leur part, les lobbies
des multinationales sont
invités à la table des négociations… La société civile
rejette massivement ce traité
du moins disant social, sanitaire et environnemental. En
témoigne le nombre de signataires d’une pétition, qui
a réuni plus de 3,4 millions
de citoyens européens.
La lutte anti-TAFTA-CETA
doit continuer ! Nous réclamons l’organisation d’un
référendum sur la participation de notre pays aux traités
transatlantiques, pour que la
démocratie ne soit pas bafouée et que le peuple puisse
décider de son avenir.
Groupe CRC au Sénat
Avril 2016
Question au
gouvernement
Sanctions à l’égard
de la fraude fiscale
Ma question porte sur les sanctions à l’égard de la fraude et de l’évasion fiscales.
Les Panamaleaks
révèlent la carence des moyens mis en œuvre. C’est une évidence, les fraudeur
s ont systématiquement un temps d’avance. Cela ne doit pas nous réduire à l’impuissance et
nous oblige à être
extrêmement offensifs et à utiliser tous les moyens possibles pour prévenir la
fraude fiscale et la
sanctionner durement.
Prévenir la fraude fiscale à l’échelle internationale, c’est d’abord être intransig
eant à l’égard des
États non coopératifs. C’est également définir une vraie liste commune, selon
de vrais critères et
sans faux-semblants. C’est aussi prendre l’engagement fort de travailler à accroître
la transparence
de l’activité des entreprises elles-mêmes.
Cela a bien fonctionné avec l’obligation de reporting pays par pays, qui s’appliq
ue aux banques. Il
faut étendre cette obligation à toutes les grandes entreprises, avec ou sans l’aval
de nos partenaires
européens. Les choses doivent bouger, car toute l’Europe est salie par ces scandale
s. Enfin, il nous
faut des sanctions effectives. La fraude des particuliers ne saurait effacer la fraude
des entreprises
qui est colossale. Nous proposons d’agrémenter les sanctions pénales de sanction
s financières
fortes et dissuasives, comme le remboursement des aides publiques en cas d’utilisat
ion des paradis
fiscaux, la majoration de l’impôt sur les sociétés, ou encore le remboursement
du CICE.
Voilà des pistes très concrètes et qui nous semblent efficaces.
Gaby CHARROUX
Député des Bouches-du-Rhône
Conséquence de la loi NOTRe
Les communes et les intercommunalités, qui votent
en ce moment leurs budgets, sont confrontées à de
graves difficultés financières en raison des baisses
du concours financier de l’État : 11 milliards d’euros
de moins jusqu’en 2017, soit une baisse cumulée
de 28 milliards d’euros pour la période 2014-2017.
Avec une diminution de 10 % des investissements
des collectivités, les effets sont immédiats sur
l’emploi. Mais d’autres périls sont devant nous, qui
concernent les intercommunalités. La loi portant la
Nouvelle organisation territoriale de la République,
dite loi NOTRe, prévoit le transfert optionnel au 1er
janvier 2018, puis obligatoire au 1er janvier 2020, de
la compétence «eau et assainissement». Sont concernés 25 000 services communaux, 2 300 syndicats
d’eau et 1100 syndicats d’assainissement. Les intercommunalités vont avoir à unifier des équipements
et des services qui ne sont pas tous aux mêmes
niveaux, ni aux mêmes tarifs. Cela risque donc de
se traduire par des coûts supplémentaires pour
les EPCI et par une flambée des prix pour les usagers. La loi NOTRe prévoit également, au 1er janvier
2017, le transfert de la gestion des zones d’activités économiques -les ZAE- aux intercommunalités.
La suppression dans la loi des termes « à vocation
intercommunale » conduit, de fait, au transfert des
ZAE communales existantes. C’est une incroyable
sanction à l’égard des territoires qui ont misé sur le
développement économique. Avec quels moyens les
intercommunalités pourront-elles assumer de telles
compétences, sauf à accroître la pression fiscale ?
Les collectivités représentent 70% de l’investissement public. Tout semble fait pour tarir cette source
de croissance.
ECHOS COMMUNISTES - mai-juin 2016 - page 2
Patrice CARVALHO
Député de l’Oise
Bataille du rail
Mobilisation
contre la
loi Travail
les cheminots en grève
Malgré les vacances scolaires, le mouvement de
contestation du projet de
loi Travail a mobilisé 450
personnes à Carcassonne
et autant à Narbonne le
28 avril à l’appel de la CGT,
FO, FSU et Solidaires, de
la FIDL, l’Unef, l’UNL et
du Collectif « Touche pas
à mon avenir ». Le 1er mai
n’a pas désempli, puisque
200 à 300 personnes ont
répondu à l’appel de l’intersyndicale sur la Place
Carnot de Carcassonne.
Les organisations syndicales dénoncent l’entêtement du gouvernement à maintenir son projet de loi. Il doit entendre les revendications des salariés. Même si le gouvernement a présenté le 11 avril
des mesures importantes en faveur des jeunes, le désaccord sur le
projet de loi reste entier. Depuis le 31 mars, la mobilisation initiée
par la pétition « Loi Travail, non merci ! », signée par plus d’un million d’Internautes, ne faiblit pas. Les violences policières contre les
manifestants montrent que le gouvernement, à défaut du pourrissement, cherche l’affrontement.
L’action s’est poursuivie le mardi 3 mai devant la permanence du
député Pérez et se poursuivra jusqu’au retrait de la loi…
A chaque journée d’action, les communistes étaient largement présents.
Région
Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées
une région terre d’accueil des réfugié-e-s et hors TAFTA/TTIP !
Lors de l’assemblée plénière du 15 avril,
notre région, sur notre proposition, s’est
déclarée terre d’accueil des réfugié-e-s et par
ailleurs hors TAFTA…
Ce sont deux belles concrétisations de l’utilité de notre apport, de l’intérêt de notre
groupe dans la situation politique actuelle.
Nous avions décidé de proposer deux vœux
sur ces deux sujets forts. Dans la période de
préparation de la réunion, le groupe socialiste a proposé que nous travaillions ensemble pour que ces vœux soient communs.
Ce fut le cas en maintenant l’essentiel de ce
qui nous tenait à cœur.
Notre Région se déclare terre d’accueil et
d’asile pour migrant-e-s et réfugié-e-s sans
distinction de statuts, demande l’annulation
des accords de Dublin, l’intervention financière de l’État en partenariat avec les collectivités locales et mandate la présidente pour
saisir les institutions européennes concernées. Notre Région demande la diffusion
publique immédiate des négociations en
cours sur le TAFTA, refuse toute tentative
d’affaiblissement du cadre règlementaire
national ou européen en matière d’environnement, de santé, de culture, de protection
des travailleurs et des consommateurs, de
défense des services publics, mandate la
présidente pour saisir le gouvernement et
les institutions européennes pour exprimer
inquiétudes et oppositions concernant cet
accord…
Bien-sûr, cela ne règle pas la situation dramatique des réfugié-e-s, cela n’enlève rien
aux dangers du TAFTA, mais ce sont de vrais
points d’appui pour élargir les expressions
dans la Région, pour multiplier les initiatives de résistance et de solidarité.
Dans sa logique raciste et capitaliste, le FN
s’est opposé fortement à ces deux vœux,
montrant ainsi son vrai visage. Nous comptons bien poursuivre les initiatives politiques concrétisant l’ancrage à gauche de
nos choix, des idées que nous portons dans
la rue et dans l’hémicycle…
Mylène Vesentini
élue communiste
Nouveau Monde en Commun
La journée de grève des cheminots,
qui porte sur la question de la réglementation du temps de travail,
les salaires, l’emploi, connaît une
forte mobilisation. Ce combat qui
se mène dans l’unité, pose la question de la sécurité des circulations
ferroviaires. En effet, derrière la
destruction d’emplois, la dégradation des conditions de travail,
la diminution des moyens financiers, c’est la sécurité des usagers
et salariés de la SNCF qui se joue.
Le gouvernement et la direction de
la SNCF sont prêts à les sacrifier
au nom de la compétitivité et de
la rentabilité. C’est la logique de
la loi El Khomri adaptée à la SNCF.
Ce mouvement repose donc sur une
haute idée du service ferroviaire et
de l’intérêt général. Les communistes sont partie prenante de ce
mouvement, comme ils le sont des
luttes contre la loi travail.
Cette journée de mobilisation à la
SNCF comme celle du 28 avril puis
du 1er mai participent d’une même
mobilisation. Le PCF a rendu public
un manifeste pour un grand service
public ferroviaire d’avenir. Ce mouvement est l’occasion de le populariser, d’en débattre, de le proposer largement à la signature car il
s’agit là d’une grande question de
société qui doit tenir une place centrale dans le débat politique.
Bataille de l’eau
régie publique
pour l’agglo !
En 2017, la DSP ( Délégation de
Service public ) qui lie Véolia à
l’Agglo prendra fin. Les élus devront décider de prolonger la DSP
ou de passer en Régie publique.
Cette option est privilégiée par
les associations et Collectifs de
l’eau. « Nous souhaitons rencontrer
l’Agglo pour avoir une discussion
sur le sujet » indique Jean-Claude
Saint-Sauveur. Le passage en Régie
publique est aussi la revendication
pour l’Indecosa-CGT : « L’eau est un
bien commun », défend son président, Patrick Barbier.
« Toutes les études montrent que
le choix de la Régie publique est
meilleur pour la démocratie, la
transparence, la qualité et le coût
du service. »
Après les communistes de Conques,
c’est le collectif du carcassonnais
pour une gestion publique de l’eau
qui organisera un débat le 19 mai
à Carcassonne salle Joe Bousquet à
20h30 avec la présence de Gabriel
Amard.
ECHOS COMMUNISTES - mai-juin 2016 - page 3
États Généraux
du Rail et de
l’Intermodalité
Du 21 avril au 9 juillet, se déroulera la
première phase des États généraux du
rail et de l’intermodalité (EGRI). Il s’agit
de faire s’exprimer les ayants-droit au
transport, les professionnels, les organisations syndicales, les associations,
les jeunes, les élu-e-s, sur les attentes
et les besoins en terme de transport par
rail et sur l’intermodalité. C’est un engagement de campagne qui se concrétise…
C’est aussi un temps de l’intervention
citoyenne que nous portons comme
mode de fonctionnement des collectivités. Un questionnaire est disponible sur
le site de la Région (wwwregionlrmp.fr/
rail). Il est important que le plus grand
nombre de questionnaires soient renseignés pour donner du crédit à une
démarche qui donne la parole aux usagers, à celles et ceux qui en sont trop privés, une démarche qui vise à faire de la
politique autrement. Des contributions
Agglo
sont aussi attendues sur ces mêmes
pages du site Internet. Trente-six rencontres publiques dans les préfectures
et sous-préfectures sont programmées
( Voir l’agenda, p.1).
Elles se dérouleront de 18 à 20 heures
et sont ouvertes à toutes celles et tous
ceux qui le souhaitent. Bien évidemment, d’autres rencontres peuvent être
organisées dans les villes et les villages.
Dans la mesure du possible, les élu-e-s
régionaux y participeront. Après cette
phase de concertation et d’écoute, il y
aura un temps d’analyse et de réflexion
pour présenter en septembre-octobre
les axes de la politique de transports
pour les vingt prochaines années en
région LRMP.
A vous la parole, prenez là !
« Nuit debout »
à Carcassonne
Larrat et Pérez unis
contre la hausse des impôts
Jean-Luc Gibelin
Vice-président
Région Transports
Le film « Ez Kurdim »
fait débat au Foyer de
Montredon
Le vendredi 29 avril, vers 19 h au square André Chénier, une soixantaine de personnes étaient présentes
pour la deuxième « Nuit debout » à Carcassonne. Parmi
elles, des jeunes, des moins jeunes, des militants... Au
programme ? Des débats sur la loi Travail, bien-sûr.
La participation aux élections revisitée par un intervenant qui, déçu d’avoir voté Hollande en 2012, ne voit
plus l’utilité de retourner aux urnes. Un autre remet en
cause la façon de faire de la politique...
Chaque génération fait sa propre expérience de la lutte
des Classes… Et celle-ci est d’autant plus difficile, que
les jeunes entrent dans le « marché » du Travail par la
précarité…
Le mouvement « Nuit debout », se développe partout
en France.
Il traduit la volonté de reconquérir la politique sur les
forces du Capital qui l’ont confisquée afin de pérenniser sa main mise sur les richesses produites…
Et les sociaux-libéraux au pouvoir ne sont pas en reste
pour maintenir cette domination...
Conseil Départemental
De l’argent public pour des Ehpad* privés
Le 4 mars, la Commission permanente du Conseil départemental de
l’Aude, à l’initiative d’Hélène Sandragné, conseillère départementale
PS de Narbonne, a pris la décision de financer des places en Ehpad
privés.
Ainsi, dans chacun des 21 établissements privés de l’Aude, 5 places
seront accessibles à l’aide sociale. Le coût de cette décision est estimé à 2 M€ par an, l’aide sociale à l’hébergement des personnes
âgées représentant plus de 17 M€ dans l’Aude.
Cette décision satisfait pleinement les actionnaires des Ehpad privés
qui voient d’un bon œil arriver dans leurs maisons de retraite sousoccupées des personnes bénéficiaires de l’aide sociale. Un seul bémol
toutefois, l’écart des tarifs. L’argent du contribuable va-t-il compenser
totalement la différence entre public et privé où les tarifs sont bien
plus élevés.., et donc bien plus rentables ?
Apparemment, oui, si on lit la publicité ci-contre...
*Ehpad: Établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes.
DEPUIS CENT DIX
ans, des journaux
indispensables à
la gauche :
LISEZ l’Humanité
et l’HumanitéDimanche
Lu sur Internet
Investir en résidence EHPAD
« Contrairement à bon nombre de
placements, que ce soit en immobilier ou en gestion d’actifs, l’Ehpad
s’avère être un excellent placement
anti-crise et un bon moyen pour
préparer sa retraite. En effet, le
marché de l’Ehpad ne subit en rien
la crise économique actuelle. La
dépendance des personnes âgées
et leur hébergement constituent un
marché où la demande est bien supérieure à l’offre de manière structurelle. Un investissement en Ehpad
permet donc de profiter de l’évolution très positive de ce marché
garantissant la bonne santé économique des gestionnaires impliquant
une garantie des loyers pour l’investisseur au travers du bail commercial signé avec l’exploitant. »
C’est beau le marché, quand il est
financé avec de l’argent public :
pile je gagne, face tu perds !
ECHOS COMMUNISTES - mai-juin 2016 - page 4
ECHOS COMMUNISTES
93 rue Aimé Ramond
11000 Carcassonne
04 68 10 32 20
[email protected]
aude.pcf.fr