dictée fautive En arrivant près de la maison, nous apercevions
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dictée fautive En arrivant près de la maison, nous apercevions
Dictées 3 ème Travail sur les temps composés et sur les être sûr de l'heure à laquelle on serait (rentré, infinitifs rentrée, rentrer). Choix 1/ dictée fautive - Là, Françoise, disait ma tante, quand je vous le disais, qu'ils seraient (aller,allés, allée) du côté de En arrivant près de la maison, nous apercevions une forme sur le pas de la porte et maman me disait: Guermantes! Mon Dieu, ils doivent avoir une faim! Et votre gigot qui doit être tout (desséché, desséchée, - Mon Dieu, voilà Françoise qui nous guette, ta tante dessécher) après ce qu'il a (attendut, attendu, est inquiète; aussi nous rentrons trop tard? attendue). Aussi est-ce une heure pour (rentrée, rentrés, rentrer)! Comment, vous êtes (aller, allée, Et sans avoir (prit, pris, prie) le temps d'(enlever, allés) du côté de Guermantes! enlevée, enlevés) nos affaires, nous montions vite chez ma tante Léonie pour la (rassurée,rassurer, - Mais je croyais que vous le saviez Léonie, disait rassurés) et lui (montrée, montré, montrer) que, maman. Je pensais que Françoise nous avait (vu, contrairement à ce qu'elle imaginait déjà, il ne nous vus, vue) sortir par la petite porte du potager. était rien (arrivé, arriver, arrivées), mais que nous étions (allé, aller, allés) « du côté de Guermantes » et, dame, quand on faisait cette promenade là! Ma Marcel PROUST, du côté de chez Swann. tante savait pourtant bien qu'on ne pouvait jamais 1 Dictées 3 ème Choix 2/ dictée à trous - Là, Françoise, disait ma tante, quand je vous le disais, qu'ils seraient _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _du côté En arrivant près de la maison, nous apercevions une forme sur le pas de la porte et maman me disait: de Guermantes! Mon Dieu, ils doivent avoir une faim! Et votre gigot qui doit être tout _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ - Mon Dieu, voilà Françoise qui nous guette, ta tante après ce qu'il a _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _. Aussi est-ce est inquiète; aussi nous rentrons trop tard? une heure pour_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ ! Comment, vous êtes _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _du côté de Et sans avoir _ _ _ __ _ _ _ _ _ _ le temps d' Guermantes! _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ nos affaires, nous montions vite chez ma tante Léonie pour la _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ - Mais je croyais que vous le saviez Léonie, disait _ _ _ _ _ et lui _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _que, maman. Je pensais que Françoise nous avait contrairement à ce qu'elle imaginait déjà, il ne nous _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _sortir par la petite porte du était rien _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _, mais que nous potager. étions _ _ _ _ _ _ _ _ « du côté de Guermantes » et, dame, quand on faisait cette promenade là! Ma tante savait pourtant bien qu'on ne pouvait jamais être sûr Marcel PROUST, du côté de chez Swann. de l'heure à laquelle on serait _ _ _ _ _ _ _ _ _ _. 2 Dictées 3 ème Accord sujet/verbe présent, imparfait pas volontiers. Il le plaça contre le timon, attacha les traits, tourna longtemps autour pour assurer les Choix 1/ Dictée fautive En attendant la diligence harnais, car il ne (pouvait, pouvaient) se servir que d'une main, l'autre portant sa lumière. Comme il (allaient, allait) chercher la seconde bête, il Un rideau de flocons blancs ininterrompu (miroitait, remarqua tous ces voyageurs immobiles, déjà blancs miroitaient) sans cesse en descendant vers la terre; de neige, et leur dit: « Pourquoi ne (monter-vous, il (effaçaient, effaçait) les formes, (poudraient, montez-vous) pas dans la voiture? Vous (serez, poudrait) les choses d'une mousse de glace, et l'on serer) à l'abri, au moins. » (n'entendait, n'entendaient) plus, dans le grand silence de la ville calme et ensevelie sous l'hiver, que Guy de MAUPASSANT, Boule de suif. ce froissement vague, innommable et flottant de la neige qui (tombes, tombe), plutôt sensation que bruit, entremêlement d'atomes légers qui (semblaient, semblait) emplir l'espace, couvrir le monde. L'homme reparut, avec sa lanterne, tirant au bout d'une corde un cheval triste qui ne (venaient, venait) 3 Dictées 3 ème Choix 2/ Dictée à trous autour pour assurer les harnais, car il ne _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ se servir que d'une main, En attendant la diligence l'autre portant sa lumière. Comme il _ _ _ _ _ _ _ _ _ Un rideau de flocons blancs ininterrompu chercher la seconde bête, il remarqua tous ces _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _sans cesse en descendant vers voyageurs immobiles, déjà blancs de neige, et leur la terre; il _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ les formes, dit: « Pourquoi ne _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ pas dans la _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ les choses d'une mousse de voiture? Vous _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ à l'abri, au glace, et l'on _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ plus, dans moins. » le grand silence de la ville calme et ensevelie sous Guy de MAUPASSANT, Boule de suif. l'hiver, que ce froissement vague, innommable et flottant de la neige qui _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _, plutôt sensation que bruit, entremêlement d'atomes légers qui _ _ __ _ _ _ _ _ _ _ _ _emplir l'espace, couvrir le monde. L'homme reparut, avec sa lanterne, tirant au bout d'une corde un cheval triste qui ne _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ pas volontiers. Il le plaça contre le timon, attacha les traits, tourna longtemps 4 Dictées 3 ème Accord des participes passés dans les temps (restée, rester, resté) une petite fille incapable de composés s'occuper d'un enfant. Choix 1/Dictée fautive Annie ERNAUX, La place Mon père nous attendait dans la cuisine. Il ne m'a pas (parut, paru) vieilli. Ma mère a fait remarquer qu'il était (allé, allée, aller) la veille chez le coiffeur pour faire honneur à son petit garçon. Une scène brouillonne, avec des exclamations, des questions à l'enfant sans attendre la réponse, des reproches entre eux, de fatiguer ce petit bonhomme, le plaisir enfin. Ils ont (cherché, cherchée, chercher) de quel côté il était. Ma mère l'a (emmenée, emmenés, emmené) devant les bocaux de bonbons. Mon père, au jardin, voir les fraises, puis les lapins et les canards. Ils s'emparaient complètement de leur petitfils, décidant tout à son propos, comme si j'étais 5 Dictées 3 ème Choix 2/Dictée à trous Mon père nous attendait dans la cuisine. Il ne m'a pas _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ vieilli. Ma mère a fait remarquer qu'il était _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ la veille chez le coiffeur pour faire honneur à son petit garçon. Une scène brouillonne, avec des exclamations, des questions à l'enfant sans attendre la réponse, des reproches entre eux, de fatiguer ce petit bonhomme, le plaisir enfin. Ils ont _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ de quel côté il était. Ma mère l'a _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ devant les bocaux de bonbons. Mon père, au jardin, voir les fraises, puis les lapins et les canards. Ils s'emparaient complètement de leur petit-fils, décidant tout à son propos, comme si j'étais _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ une petite fille incapable de s'occuper d'un enfant. Annie ERNAUX, La place 6 Dictées 3 ème Orthographe d'usage Elle s'arrêta de nouveau et commença de feuilleter mon livre. Choix 1/ Dictée fautive « Comme vous entrez donc peu avant dans l'âme « Savez-vous comment débutent tous nos (entretiens, antretiens)? Boris commence par me (racompter, raconter) ce qu'il a rêvé (pendent, pendant) la nuit […] et ces divagations d'un enfant m'instruisent bien plus que ne saurait faire la plus (untelligente, intelligente) (analyse, analise) du plus conscient des sujets. Bien des choses (humaine, umaine) […]; quand je dis: vous, j'entends: les romanciers. La (plupar, plupart) de vos personnages semblent (batis, bâtis) sur pilotis; ils n'ont ni fondation, ni sous-sol. Je crois vraiment qu'on trouve plus de (vérité, véritée) chez les poètes; tous ce qui n'est créé que par la seule intelligence est faux. » échappent à la raison, et celui qui, pour (comprendre, comprandre) la vie, y applique André GIDE, Les Faux-Monnayeurs seulement la raison, est semblable à quelqu'un qui prétendrait saisir une (flamme, flame) avec des pincettes. Il n'a plus (devan, devant) lui qu'un morceau de bois (charbonneus, charbonneux), qui cesse aussitôt de flamber. » 7 Dictées 3 ème Choix 2/ Dictée à trous « Comme vous entrez donc peu avant dans l'âme _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _[…]; quand je dis: vous, « Savez-vous comment débutent tous nos _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ ? Boris commence par me _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ce qu'il a rêvé _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ la nuit […] et ces divagations d'un enfant m'instruisent bien plus que ne saurait faire la plus _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _/ ________ j'entends: les romanciers. La _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ de vos personnages semblent _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ sur pilotis; ils n'ont ni fondation, ni sous-sol. Je crois vraiment qu'on trouve plus de _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ chez les poètes; tous ce qui n'est créé que par la seule intelligence est faux. » du plus conscient des sujets. Bien des choses échappent à la raison, et celui qui, pour André GIDE, Les Faux-Monnayeurs _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ la vie, y applique seulement la raison, est semblable à quelqu'un qui prétendrait saisir une _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ avec des pincettes. Il n'a plus _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ lui qu'un morceau de bois _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _, qui cesse aussitôt de flamber. » Elle s'arrêta de nouveau et commença de feuilleter mon livre. 8 Dictées 3 ème L'accord des verbes qui la mort (avais, avait) fait grâce de quelques semaines. Choix 1/ Dictée fautive C'était la saison tardive où l'on (coupe, coupent) ces Novembre (finissaient, finissait) dans un rayonnement tiède de ce soleil qui (s'attardes, s'attarde) toujours très longtemps, ici, sur les pentes pyrénéennes. Depuis des jours, dans le Pays Basque, (durait, durais) ce même ciel lumineux et pur, au-dessus des bois à demi effeuillés,au-dessus des montagnes rougies de la teinte ardente des fougères. Au bord du chemin, (montais, montaient) de hautes graminées, comme au mois de mai, et de grandes fleurs en ombrelles qui se (trompaient, fougères qui (formes, forment) la toison des coteaux roux. Et de grands chariots à boeufs, qui en (était, étaient) remplis, (roulaient, roulait) tranquillement au beau soleil mélancolique vers les métairies isolées. Les boeufs attelés, indolents et forts, coiffés tous de la traditionnelle peau de mouton couleur de bête fauve qui leur donne l'air de bisons, (traînaient, trainais) ces chariots lourds, dont les roues (son, sont) des disques pleins, comme celles des chars antiques. trompais) de saisons; dans les haies de troènes des églantiers (avaient, avais) refleuri, au D'après Pierre Loti, Ramuntcho bourdonnement des dernières abeilles; et on (voyaient, voyait) voler de persistants papillons, à 9 Dictées 3 ème Choix 2/ Dictée à trous C'était la saison tardive où l'on _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ ces fougères qui _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _la toison des Novembre _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ dans un rayonnement tiède de ce soleil qui _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ toujours très longtemps, ici, sur les pentes pyrénéennes. Depuis des jours, dans le Pays Basque, _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ ce même ciel lumineux et pur, au-dessus des bois à demi effeuillés,au-dessus des montagnes rougies de la teinte ardente des fougères. Au bord du chemin, _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _de hautes graminées, comme coteaux roux. Et de grands chariots à boeufs, qui en _ _ _ _ _ _ _ _remplis, _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ tranquillement au beau soleil mélancolique vers les métairies isolées. Les boeufs attelés, indolents et forts, coiffés tous de la traditionnelle peau de mouton couleur de bête fauve qui leur donne l'air de bisons, _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ ces chariots lourds, dont les roues _ _ _ _ _ _ _ _ des disques pleins, comme celles des chars antiques. au mois de mai, et de grandes fleurs en ombrelles qui se _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ de saisons; dans les D'après Pierre Loti, Ramuntcho haies de troènes des églantiers _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ refleuri, au bourdonnement des dernières abeilles; et on _ _ _ _ _ voler de persistants papillons, à qui la mort _ _ _ _ _ _ fait grâce de quelques semaines. 10 Dictées 3 ème Travail sur l'orthographe d'usage les êtres, les (monumens, monuments) de son (imperceptible, unperceptible) toucher. Choix 1/ Dictée fautive Alors, j'ai envie de crier de plaisir, comme les J'aime la (nuit, nuis) avec (passion, pation). Je l'aime comme on aime son (pais, pays) ou sa maîtresse, d'un amour (unstinctif, instinctif), (profond, profon), invincible. […] (chouaites, chouettes), de courir sur les (toi, toits) comme les chats; et un impétueux, un (unvincible, invincible) désir d'aimer s'allume dans mes veines. Je vais, je marche, tantôt dans les (faubourgs, Mais quand le (soleille, soleil) baisse, une joie confuse, une joie de tout mon (caurp, corps) m'envahit. Je m'éveille, je m'anime. A mesure que faubours) assombris, tantôt dans les bois voisins de Paris, où j'entends (rôder, roder) mes soeurs les bêtes et mes frères les braconniers. (l'ombre, l'onbre) grandit, je me (sens, sans) tout autre, plus jeune, plus fort, plus alerte, plus Guy de Maupassant, La Nuit (heureus, heureux). Je la regarde s'épaissir, ma grande ombre douce tombée du ciel: elle noie la (ville, vile) comme une onde (unsaisissable, insaisissable) et impénétrable, elle cache, efface, détruit les couleurs, les formes, étreint les maisons, 11 Dictées 3 ème Choix 2/ Dictée à trous Alors, j'ai envie de crier de plaisir, comme les _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ , de courir sur les _ _ _ _ _ _ _ _ _ comme J'aime la _ _ _ _ _ _ _ _ _ avec _ _ _ _ _ _ _ _ _. Je l'aime comme on aime son _ _ _ _ _ _ _ _ ou sa les chats; et un impétueux, un _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ désir d'aimer s'allume dans mes veines. maîtresse, d'un amour _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _, _ _ _ _ _ _ _ _ _ , invincible. […] Je vais, je marche, tantôt dans les _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ assombris, tantôt dans les bois voisins de Paris, où Mais quand le _ _ _ _ _ _ _ _ baisse, une joie confuse, une joie de tout mon _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ j'entends _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ mes soeurs les bêtes et mes frères les braconniers. m'envahit. Je m'éveille, je m'anime. A mesure que _ _ _ _ _ _ _ _ grandit, je me _ _ _ _ _ _ _ _ _ _tout Guy de Maupassant, La Nuit autre, plus jeune, plus fort, plus alerte, plus _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _. Je la regarde s'épaissir, ma grande ombre douce tombée du ciel: elle noie la _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ comme une onde _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ et impénétrable, elle cache, efface, détruit les couleurs, les formes, étreint les maisons, les êtres, les _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ de son _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ toucher. 12 Dictées 3 ème Participe passés vallon d'Aubignagne; il est (venu, venus) alors la nuit, la vieille nuit qu'ils connaissent, celle qu'ils Choix 1/ Dictée fautive Ils sont (passés, passer) par la route de Saint Martin; ça fait raccourci. Il y a (eu, eut) d'abord un grand peuplier qui s'est (mit, mis) à leur parler. Puis ça a été le ruisseau des aiment, celle qui est toute brillante de poussière, celle qui porte la lune. On entend respirer les herbes à des kilomètres ai loin. Ils sont chez eux. Le silence les pétrit en une même boule de chair. Sauneries qui les a (accompagné, accompagnés) bien poliment en se frottant contre leur route, en Jean Giono, Regain sifflotant comme une couleuvre (apprivoisée, apprivoiser); puis il y a eu le vent du soir qui les a (rejoins, rejoint) et qui a (fais,fait) un bout de chemin avec eux, puis il est (revenus, revenu), puis il est (reparti, repartit) avec trois grosses abeilles. Comme ça. Et ça les a (amusés, amuser). […] Il est (venu, venue) alors la nuit et c'était au moment où, (sortis, sortie) du bois, ils allaient glisser dans le 13 Dictées 3 ème Choix 2/ Dictée à trous qu'ils aiment, celle qui est toute brillante de poussière, celle qui porte la lune. Ils sont _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _par la route de Saint Martin; ça fait raccourci. Il y a _ _ _ _ _ _ _ _ _ On entend respirer les herbes à des kilomètres ai d'abord un grand peuplier qui s'est _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ loin. Ils sont chez eux. à leur parler. Puis ça a été le ruisseau des Sauneries qui les a _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ bien poliment en se frottant contre leur route, en sifflotant comme une Le silence les pétrit en une même boule de chair. Jean Giono, Regain couleuvre _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _; puis il y a eu le vent du soir qui les a _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ et qui a _ _ _ _ _ _ _ _ un bout de chemin avec eux, puis il est _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ , puis il est _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ avec trois grosses abeilles. Comme ça. Et ça les a _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _. […] Il est _ _ _ _ _ _ _ _ _ alors la nuit et c'était au moment où, _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ du bois, ils allaient glisser dans le vallon d'Aubignagne; il est _ _ _ _ _ _ alors la nuit, la vieille nuit qu'ils connaissent, celle 14 Dictées 3 ème Travail du subjonctif et participes passés monseigneur Conrad, qui, sans faire semblant de rien, se promenait un fusil ou un livre à la main. » […] Choix 1 : dictée fautive Evrard et Rosamonde se regardèrent d'un C'était une histoire qui avait trop d'analogie avec la leur pour qu'Evrard et Rosemonde (n'écoutasses, n'écoutassent) point Jonathas avec la plus grande attention. […] mouvement subit, bien que l'obscurité les (empêchât, empêcha) de se voir avec les yeux du corps. C'est qu'eux aussi, (attirés, attiré) par un invincible aimant, s'étaient bien - Savez vous, dit Jonathas d'un air fin, quand et des fois (trouver, trouvés) dans le même comment j'ai (commencer, commencé) à chemin sans s'expliquer comment cela se m'apercevoir que monseigneur Conrad aimait faisait. […] Noémi? C'est en remarquant par quel obstiné hasard Alexandre DUMAS, le château d'Eppstein ils se rencontraient toujours l'un l'autre. Noémi avait une petite chèvre blanche qu'elle menait brouter elle même à la lisière du bois. Et bien, chose incroyable, quelle que (fût, fut) l'heure qu'elle (choisit, choisît) et quelque chemin qu'elle (prit, prît), on était toujours (assuré, assurée) de trouver sur sa route 15 Dictées 3 ème Choix 2 : dictée à trous monseigneur Conrad, qui, sans faire semblant de rien, se promenait un fusil ou un livre à la main. » […] C'était une histoire qui avait trop d'analogie avec la leur pour qu'Evrard et Rosemonde Evrard et Rosamonde se regardèrent d'un _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ point Jonathas mouvement subit, bien que l'obscurité les avec la plus grande attention. […] _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ de se voir avec les yeux du corps. C'est qu'eux aussi, - Savez vous, dit Jonathas d'un air fin, quand et comment j'ai _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ à m'apercevoir que monseigneur Conrad aimait Noémi? C'est en remarquant par quel obstiné hasard _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _par un invincible aimant, s'étaient bien des fois _ _ _ _ _ _ _ _ _ dans le même chemin sans s'expliquer comment cela se faisait. […] ils se rencontraient toujours l'un l'autre. Noémi avait une petite chèvre blanche qu'elle menait brouter elle Alexandre DUMAS, le château d'Eppstein même à la lisière du bois. Et bien, chose incroyable, quelle _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ l'heure qu'elle _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ et quelque chemin qu'elle _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _, on était toujours _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _de trouver sur sa route 16