41 2011 Huws - FRAC Limousin

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41 2011 Huws - FRAC Limousin
Fonds Régional d’Art Contemporain
Les Coopérateurs impasse des Charentes F-87100 Limoges
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Bethan Huws
Films & Ready-mades
exposition du 24 juin au 29 octobre 2011
Bethan Huws
The plant, 2003
Ready-made
Dimensions variables
> Journées du Patrimoine : de 14h à 18h - entrée libre
le samedi 17 et le dimanche 18 septembre 2011
16h30 : visite accompagnée
> Lecture de l’exposition : de 18h30 à 19h30 - entrée libre
le jeudi 29 septembre 2011 par Yannick Miloux, directeur du FRAC Limousin
le jeudi 27 octobre 2011 par Bethan Huws, artiste
> Dernier jour ! : de 14h à 18h - entrée libre
le samedi 29 octobre 2011
à 16h visite accompagnée de l’exposition
Le FRAC Limousin reçoit le soutien de la Région Limousin et de l’Etat (Ministère de la Culture et de la Communication / DRAC Limousin)
« Sa première langue est le gallois, sa seconde l’anglais.
Elle vit en France. Ces clefs qu’offre sa biographie indiquent
l’aspect central de son travail : les traductions entre diverses
cultures, les traductions d’expériences en concepts et vice versa ».
Début du rapport du jury pour le prix BACA en 2006, cité par
Adrian Himmelreich, Bonnefanten Museum, Maastricht, 2006.
Depuis une trentaine d’années, le parcours artistique
de Bethan Huws s’appuie essentiellement sur le langage, même
si elle peut aussi faire des installations, des sculptures, des films
et des dessins aquarellés. Après l’éclatante démonstration de son
exposition à Vassivière ce printemps, le FRAC Limousin propose
une approche intimiste de la démarche de cette artiste qu’un
critique résume ainsi : « Une force silencieuse et persistante dont
chaque œuvre semble évoquer le commencement de l’art même »,
Hans Rudolf Reust, Artforum, july 2007.
La simplicité, le
doute, la remise en question
des mots et des phrases que
nous utilisons chaque jour
caractérisent la recherche de
Bethan Huws. Des textes peints
sur le mur, ou sertis dans des
vitrines administratives (Word
Vitrines) lui permettent de
s’adresser à chacun de nous
pour énoncer des aphorismes,
remettre en cause certaines
idées reçues (« Which came first
the chicken or the egg ? The
egg, as it’s the more primitive
form. That’s logic » 2001)(*),
Bethan Huws
Untitled (Ceci n’est pas un miroir), 2006
Aluminium, verre, caoutchouc et plastique
75 x 50 x 4,5 cm
faire des déclarations, rendre
hommage à certains artistes
(Yves Klein, René Magritte,
On Kawara, Richard Hamilton,
Andréas Slominski, Marcel
Duchamp,…) ou nous faire part
de ses interrogations (« Qu’est-ce que tu penses ? Je pense pas, je
regarde » 2006, « What’s the point of creating more artworks when
you don’t understand the ones you’ve got » 2006)(*).
Son intérêt pour Marcel Duchamp, père de l’art
conceptuel, remonte à de nombreuses années. Elle précise : « La
première fois que j’ai rencontré Fountain en chair (et en os),
pour ainsi dire, je ne l’ai pas reconnue comme une œuvre d’art;
j’ai simplement reconnu un urinoir sur un socle, et alors? C’est
seulement plus tard, avec un peu de travail en plus de ma part,
quand j’ai mis le mot « Fontaine » (réalisation) sur la chose « urinoir »
(reconnaissance), que la grande roue a commencé à tourner ». Elle
Bethan Huws
Singing for the sea, 1993
13mns, film 16 mm transféré sur HDCAM SR
En 2003, elle réalise un grand nombre de ready-mades,
dont certains ne sont pas des objets mais des éléments vivants,
périssables. En parallèle, elle produit également des poèmesobjets et des sculptures variées : ready-mades aidés ou assistés,
petits bateaux en jonc, objets agrandis, soclés, emboités sous
altuglass, sérigraphiés, moulés,... Les sculptures sélectionnées
sont surtout des ready-mades « frais », c’est à dire destinés
à flétrir, et irrémédiablement liés à l’idée de vanité. Ces deux
angles, cinématographique et sculptural, constituent l’armature de
l’exposition.
En complément, des œuvres de langage sont également
présentées. Quelques Word Vitrines précisément choisies et un
texte en néon éclairent l’ensemble sous un jour réflexif (« At
the base of the brain, there is a fountain », « The ready-made,
a metaphor… »), énigmatique (« Ceci n’est pas un miroir ») ou
simplement poétique (« Il fait beau aujourd’hui »). Comme le
précise l’artiste dans une œuvre de 2008, « Le ready-made. Words
are equally ready-mades, but langage is not ».(*)
Yannick Miloux, avril 2011
approfondit notamment les jeux de langage de Duchamp, et son
étroite relation avec Guillaume Apollinaire, proposant une lecture
totalement renouvelée du fameux ready-made, sous l’angle de la
métaphore plutôt que du concept.
Notes :
(*)
« Qu’est ce qui vient d’abord, l’œuf ou la poule ? L’œuf, car c’est la forme la
plus primitive. C’est logique ».
(*)
« A quoi ça sert de créer plus d’œuvres d’art quand vous ne comprenez pas
celles que vous avez déjà faites ? »
(*)
« Le ready-made. Les mots sont des ready-mades équivalents, mais le
langage ne l’est pas. »
(1)
Un quatrième film, ION ON (couleur sonore 60’ 2003), dialogue en anglais
entre un commissaire d’exposition et un artiste interprétés par le même acteur
sur fond de paysage méridional, sera projeté lors de la dernière semaine de
l’exposition, le mercredi 26 octobre, dans l’amphitéâtre de l’ENSA, à la suite
d’une conférence publique de l’artiste.
En 1993, elle fait une apparition fulgurante sur la
scène britannique en réalisant son premier film, Singing for the
Sea , juxtaposition d’un choeur folklorique bulgare au rivage du
Northumberland, au Nord-Est de l’Angleterre. Dix ans plus tard,
elle réalise un autre film The Chocolate Bar , sorte de fable sur la
notion de concupiscence qui nous fait changer d’époque à travers
trois lieux et trois personnages interprétés par le même acteur
gallois Rhys Ifans. En 2009, un quatrième film, Fountain, reprend
les neuf étapes successives que requiert la vision détaillée de la
dernière œuvre de Duchamp Etant donnés : la chute d’eau, le gaz
d’éclairage comme principe de montage d’images de fontaines
filmées à Rome l’année précédente. « Comment ce que nous
entendons correspond à ce que nous voyons ? » résume-t-elle.
Ces trois films sont présentés dans l’exposition. (1)
Le ready-made (mot anglais signifiant littéralement « Déjà fait ») est un objet
trouvé considéré comme un objet d’art. L’attitude du ready-made consiste,
initialement, à simplement choisir un objet manufacturé et le désigner comme
œuvre d’art. Initiée par Marcel Duchamp (1887 – 1968), cette démarche a
donné naissance à une grande partie des pratiques artistiques actuelles,
qu’elles s’en réclament ou s’en défendent.
Le ready-made a remis en question un certain nombre de certitudes sur
lesquelles reposait l’art, comme les notions de virtuosité et de savoir-faire
ou encore d’œuvre, conçue désormais comme résultante de l’exposition et
l’acte de nommer.
Effectivement, les ready-made sont des œuvres d’art qui n’ont pas été
réalisées par l’artiste, ce dernier n’intervient en effet que pour les sélectionner,
changer leur contexte et leur statut par la désignation.
Marcel Duchamp définit le ready-made comme un «objet usuel promu à la
dignité d’objet d’art par le simple choix de l’artiste».
Bethan Huws : liste des oeuvres exposées
The Plant, 2003
(«Plant» veut dire «Enfants» en gallois)
Pot de menthe fraîche
Prêt de l’artiste
Untitled (Nu descendant un escalier), 2005-2006
100 x 75 x 4,5 cm
Aluminium, verre, caoutchouc, lettres en plastique
Prêt de la galerie Yvon Lambert, Paris
Fountain, 2009
(Fontaine)
Film 16 mm transféré sur HDCAM SR,
7,30mns
Prêt de l’artiste
Ecrit et réalisé par Bethan Huws, avec
le soutien de : Dieter Association Paris /
Berliner Künstlerprogramm / DAAD / Museum
of Contemporary Arts Serralves Porto / A Dieter Association Production © 2009
> Script pour le film Foutain dit par Bethan Huws :
ETANT DONNES/ 1° LA CHUTE D’EAU / 2° LE GAZ D’ECLAIRAGE, 1946-1966
En d’autre termes : comment ce que nous entendons correspond à ce que
nous voyons.
Etant donnés est arrangé en une séquence filmique de neuf expressions
idiomatiques françaises.
D’abord, nous rencontrons une grande porte en bois qui est fermée
Et le 1er idiome correspondant : « Entrer par la grande, la « bonne » porte ».
Mot-à-mot : entrer par la grande, la bonne porte
qui signifie : de façon la plus honorable.
Il semble que les innocents sortaient de la cour de Paris par une grande
porte, dite « belle porte ».
Dans la porte, à bonne hauteur, il y a deux trous ménagés pour les yeux : ce
que Duchamp appelait ironiquement « trous de voyeurs », dans son manuel
d’instructions.
« Cul » veut aussi dire chance en argot français.
La pile ou le lit de branchages sur lequel est étendue notre « Belle au bois
dormant »
Et le 6ème idiome correspondant : « Faire feu de tout bois »
Ce qui veut dire : utiliser tout ce qu’on a à disposition
La scène de forêt où elle est étendue
Et le 7ème idiome correspondant: « Les arbres cachent la forêt »
Ce qui veut dire : que ce sont les détails qui cachent le tout (Vous ne pouvez
prendre le bois pour les arbres)
Son bras est levé, et dans la main, elle tient une ancienne lampe à gaz
dite « Bec Auer ». A l’arrière-plan, on voit la petite chute d’eau qui scintille.
Et le 8ème idiome correspondant : « Tomber sur un bec de gaz »
qui signifie : rencontrer une importante difficulté.
Ce que nous ne voyons pas, mais nous l’apprendrons plus tard en regardant
son manuel d’instructions, est que tout cela a pris place sur des dalles de
linoleum noir et blanc.
Et le 9ème idiome correspondant : « Noir sur blanc »
Qui veut dire : de manière visible, claire, irréfutable; avec la clarté des signes,
des mots tracés à l’encre sur une feuille de papier. L’expression est proche
de « mettre du noir sur le blanc », écrire.
Pour ceux d’entre vous qui l’ignorent, Duchamp était un joueur d’échecs
accompli.
Le chiffre neuf est un multiple de trois, qui étymologiquement a un second
sens figuratif qui signifie simplement un petit nombre, une petite quantité :
« trois fois rien ».
Untitled (The ready-made a metaphor…), 1999
100 x 75 x 4,5 cm
Aluminium, verre, caoutchouc, lettres en plastique
Prêt de la galerie Yvon Lambert, Paris
Et le 2nd idiome correspondant : « avoir les yeux en face des trous ».
Mot-à-mot : avoir les yeux opposés aux trous, généralement dit dans la
négation : « Il n’a pas les yeux en face des trous »
qui veut dire : ne pas avoir de vision claire pour avoir trop bu, ou s’être levé
de mauvaise humeur.
Aujourd’hui, une marque de graisse entoure les deux trous, un peu le Suaire
de Turin.
Le ready-made une métaphore
Pas un concept seulement une
métaphore
La naissance de Marcel Duchamp
Compte-tenu de son nom
A vu une fontaine dans
l’urinoir La source
de son inspiration
une femme
Figure du discours
Quand nous mettons nos yeux en face des trous, la première chose que l’on
voit est un espace totalement sombre : « pitch black » comme diraient les
Anglais, « Yn dywyll fel bol buwch », les Gallois.
Et le 3ème idiome correspondant : « Etre dans le noir »
qui signifie : Ne rien comprendre à quelque chose, ne pas savoir où trouver
quelqu’un.
Sans doute dit en relation avec l’exclusion du Nu descendant un escalier de
Duchamp lors du Salon des Indépendants en 1912.
L’obscurité est métaphoriquement ce qui empêche l’appréhension d’un
phénomène, au contraire du jour et de la lumière.
De l’autre côté de l’espace en obscurité totale on voit un mur de brique
violemment percé d’un trou.
Et le 4ème idiome correspondant: « Ça ne casse pas des briques »
Qui signifie : ce n’est rien d’extraordinaire, de remarquable.
L’équivalent anglais serait : it’s nothing to write home about.
Sans doute dit en relation avec ce que l’on voit à travers le trou.
Devant nous, étendu sur une pile ou un lit de branchages dans une scène
de forêt, baigné d’une lumière brillante, il y a un modèle grandeur-nature
d’une figure féminine nue :
Le dernier nu de Duchamp.
Sa jambe gauche est écartée, elle nous expose son sexe qui est
complètement rasé - « faire table rase » - et n’est rien d’autre qu’une
fente ou un fold : il n’y a pas de sexe, seulement du genre.
Ce que nous voyons, cependant, c’est son anus.
Et le 5ème idiome correspondant: « Trou du cul »
Avec son équivalent anglais : arsehole
Qui est joliment universel.
Une désignation injurieuse au contenu imprécis.
Sans doute adressé à tous ceux qui ont lu son oeuvre en termes ouvertement
sexuels, mais spécialement pour Arturo Schwarz, l’auteur de son catalogue
raisonné qui élabora une théorie de l’inceste entre Duchamp et sa soeur Suzanne.
Apolinère, 2008
Impression sérigraphique sur emballage de
dentifrice
3,4 x 17,7 x 4,2 cm
Prêt de l’artiste
Laughter, 2003
(Rire)
Mannequins de bois mâle et femelle
Prêt de l’artiste
Untitled (Il fait beau aujourd’hui), 2008
75 x 50 x 4,5 cm
Aluminium, verre, caoutchouc, lettres en plastique
Prêt de la galerie Yvon Lambert, Paris
Untitled (Quoi de neuf?), 2008
75 x 50 x 4,5 cm
Aluminium, verre, caoutchouc, lettres en plastique
Prêt de la galerie Yvon Lambert, Paris
At The Base Of The Brain There Is A Fountain,
Dates are important, 2003
(Les dat(t)es sont importantes)
2008-2009
(Au fond du cerveau il y a une fontaine)
Dattes fraîches
Prêt de l’artiste
Néon, 56,5 x 247,5 cm
Prêt de l’artiste et de la galerie Yvon Lambert, Paris
Fig. , 2003
(Figue / en français, abrégé de figure)
Figue fraîche
Prêt de l’artiste
Untitled (Le ready-made…), 2008
(Le ready-made / Les mots sont équivalents aux ready-made / Mais pas le
langage)
100 x 75 x 4,5 cm
Aluminium, verre, caoutchouc, lettres en plastique
Prêt de la galerie Yvon Lambert, Paris
Untitled (READ RED), 2008
(Lu, rouge)
75 x 50 x 4,5 cm
Aluminium, verre, caoutchouc, lettres en plastique
Prêt de la galerie Yvon Lambert, Paris
The Toilet Role, 2003
(Le rôle de la toilette / le rouleau de papier toilette)
Rouleau de papier toilette
Prêt de l’artiste
Romeo & Juliet, 2003
(Roméo et Juliette)
Never had one, 2003
(Je n’en ai jamais eu)
Deux pilules
Prêt de l’artiste
Boîte de chocolat
Prêt de l’artiste
The Chocolate Bar, 2005-2006
(La barre de chocolat)
Film 35 mm transféré sur HDCAM SR, 4,25mns
Collection Bonnefanten Museum, Maastricht
Prêt de l’artiste
Ecrit et réalisé par Bethan Huws / Interprété par
Rhys Ifans / Produit par Chapter STIWDIO et
Dieter Association / Avec le soutien de The Art
Council of Wales, The Esmee Fairbairn Foudation,
The Elephant Trust, Chapter Arts Center Cardiff et
Dieter Association Paris
« The Chocolate Bar
D’où vient-il, de Mars?
Et bien, il en mange beaucoup.
Il ne peut pas manger Mars, c’est trop gros. Et dans tous les cas, il n’y en a qu’une.
Chocolat !
Où ?
Non, c’est une barre chocolatée.
Oh, je n’en ai jamais entendu parler. C’était bon ?
Quoi ?
Cette barre chocolatée où tu es allé ?
Quelle barre chocolatée ? »
The bone of contestation, 2003
(L’os de la contestation)
Gravure laser sur os
Prêt de l’artiste
Untitled (As selfish as a painter), 2002
(Egoïste comme un peintre)
100 x 75 x 4,5 cm
Aluminium, verre, caoutchouc, lettres en plastique
Prêt de la galerie Yvon Lambert, Paris
Untitled (Ceci n’est pas un miroir), 2006
75 x 50 x 4,5 cm
Aluminium, verre, caoutchouc, lettres en plastique
Prêt de la galerie Yvon Lambert, Paris
Singing for the sea, 1993
(Chanter pour la mer)
Film 16 mm transféré sur HDCAM SR, 13mns
Tate Collection, Londres
Prêt de l’artiste
Réalisé par Bethan Huws / Interprété par Bistritsa
Babi / Produit par Antwerpen 93, Capitale Culturelle
Européenne & Bethan Huws Paris / Avec le soutien
de Artangel, Londres / This film was made in relation
to : The Bistritsa Babi ; Bethan Huws A Work for the North Sea Artangel Sugar Sands,
Longhoughton, Northumberland 22, 23 and 24 July 1993 / Commissioned by Artangel, London
« Au début il y avait le monde ou la terre sans nous.
Ensuite nous sommes venus et avec nous vint le langage.
A la fin il y avait le monde ou la terre sans nous »
Bethan Huws
> Pour toutes les images : Copyrights Bethan Huws & ADAGP, Paris 2011
> Les échappées, art contemporain en Limousin : samedi 9 juillet 2011
En compagnie d’un guide, vous participez à une balade originale mêlant la création contemporaine à l’architecture, au patrimoine et au paysage.
10 h : visite guidée de l’exposition Bethan Huws au FRAC Limousin
11h15 : Circuit en bus au départ de Limoges, place des Charentes
12h30 : départ pour le Château de Rochechouart / Pique-nique
13h45 : visite du Musée Départemental d’Art Contemporain de Rochechouart
16h30 : visite de la Collégiale de Saint Yrieix
17h15 : visite et vernissage de l’exposition de Claude Rutault au Centre des Livres d’Artistes, Saint Yrieix
Retour à Limoges à 20h.
Circuit organisé par 5,25 - art contemporain en Limousin.
Infos et réservation : 06 58 22 90 06 - [email protected] - www.cinqvingtcinq.org
Aller-retour : 8€/pers. 5€ demandeurs d’emploi et étudiants. Gratuit : -12 ans. / Pique-nique à prévoir.
FRAC Limousin
Les Coopérateurs impasse des Charentes F-87100 Limoges
 05 55 77 08 98 -  05 55 77 90 70
 [email protected] - www.fraclimousin.fr
Horaires :
de mardi à samedi 14h - 18h
Fermé : dimanche, lundi & jours fériés
Visites commentées sur rendez-vous.
Tarifs des entrées :
Tarif plein : 1,50€ / Tarif réduit : 0,70€
Entrée gratuite pour les adhérents à l’Association des Amis du FRAC Limousin, les
chômeurs, journalistes, étudiants, scolaires…
Accès :
Le FRAC Limousin se trouve dans Limoges, à 5 mn à pied des places DenisDussoubs et Carnot, et du Centre Saint-Martial.
Bus n°1 , arrêt « Rectorat ».
Le FRAC Limousin dispose d’un accès pour les personnes handicapées.
Prochaine exposition au FRAC Limousin, Limoges :
Narrative, critique, libre, ...
18 novembre 2011 > 19 mars 2012
Le FRAC Limousin est membre des associations Platform, et 5,25 réseau d’art contemporain en Limousin.
Le FRAC Limousin reçoit le soutien de la Région Limousin et de l’Etat (Ministère de la Culture et de la Communication / DRAC Limousin)