Tamtam produit du contenu multimédia

mEDiaS
+ d’infos sur www.intermedia.fr
LA UnE DE LA SEMAInE
Le Progrès lance un guide gastronomique. Intitulé Les bonnes tables du Progrès,
TÊTES DE COM
Geoffrey Mercier
pourrait intégrer
la Région. Le journaliste
du Progrès rejoindrait dès mai
le cabinet de Laurent
Wauquiez pour faire le lien
avec les élus locaux.
Dominique Largeron
reprend vivrevienne.fr. Déjà en charge
du contenu éditorial de ce site
d’informations locales, le
journaliste, associé à Thierry
Recors, veut lui donner un
nouveau soufle. Créé en 2010
par Atome Communication,
vivre-vienne.fr enregistre
15 000 VU/mois. Ses déclinaisons sur Valence, BourgoinJallieu, Villefranche et Lyon
pourraient aussi être relancées.
PRESSE
Le Dauphiné Libéré
déploie de nouvelles
éditions. Le quotidien vient
de lancer deux nouvelles
éditions à Valence, qui en
compte désormais trois. Le DL
a pour objectif de passer de 26
à 33 éditions cette année
(InterMédia no 1313).
Le Petit bulletin SaintÉtienne travaille
pour l’Euro 2016.
Le titre a été chargé par SaintÉtienne Métropole de s’occuper
de la mise en page, de la régie
publicitaire et d’une partie de la
diffusion d’un guide sur l’Euro
2016. Ce support de 150 pages
sera tiré à 100 000 ex. et
distribué aux supporters
(planning des animations, idées
de sorties…).
WEB
La sauce prend pour
Salade Lyonnaise.
Quinze jours après son passage
au payant, le site d’information
de Rosebud (Tribune de Lyon)
enregistre 130 abonnés payants
sans compter les collectivités
(abonnement différent).
Tamtam
produit du
contenu
multimédia
hangement de dirigeant,
mais pas de positionnement
pour Tamtam. Désormais pilotée par Grégoire Ducrot et Christine Caldairou, l’agence de production poursuit ses prestations
de communication didactique.
Concrètement, il s’agit de créer
du contenu audiovisuel et sonore pour les marques sous un
angle informatif, par le biais de
témoignages. « Nous suivons la
maxime de Jean-Pierre Kilian qui
a crée Tamtam il y a 33 ans : pour
vendre il ne faut rien dire, pour
convaincre il faut tout dire », rappelle Grégoire Ducrot.
© Éric Soudan | Alpaca
cette sélection des meilleures tables de Lyon et sa région sortira le 9 avril. Il succède à l’ouvrage
50 chefs et leurs recettes lancé en 2013. Tirage 7 000 exemplaires.
C
Annonceurs nationaux. Cette
année, ils vont démarcher des
clients en région (100 % de leur
clientèle est parisienne) pour
atteindre les 20 % de chiffre d’affaires en Rhône-Alpes.
Tamtam réalise uniquement des
Christine Caldairou et Grégoire Ducrot
interviews. Il peut s’agir d’interviews de collaborateurs, de dirigeants, de bénévoles dans le cas
d’une association… Ces interviews
deviennent ensuite des spots
radio, des vidéos courtes pour
les télés locales, des chroniques
pour les webTV… « En une seule
prise de parole, l’annonceur a du
contenu pour tous les supports »,
fait valoir Grégoire Ducrot.
Tamtam travaille pour des annonceurs nationaux tels que les laboratoires pharmaceutiques, les fondations (Apprentis d’Auteuil). Ses
deux principaux clients : l’INSEE
et les Paralysés de France.
Pour diffuser ces contenus multimédias, l’agence s’appuie sur
son réseau de médias locaux.
Il comprend plus de quinze TV
locales (8 Mont-Blanc, TVSud,
TV Tours...) et 500 fréquences de
radios locales.
Témoignages. Pour la dernière
campagne des Paralysés de
France, Tamtam a recueilli 15 témoignages de bénévoles qui sont
devenus des spots radio, diffusés
sur 10 locales de France Bleu.
Les bénévoles sont aussi venus
répondre aux questions des journalistes dans les locales. Tamtam
travaille surtout en lien avec des
agences parisiennes (DDB, Publicis, Ici Barbès), quelquefois en
direct avec l’annonceur. v MM
cFactuel traite l’actu sous forme
d’infographies
raiter un sujet d’actualité
par jour sous forme d’infographie, de vidéo ou de
quizz. C’est ce que propose
l’application cFactuel.
Lancée fin novembre par la
start-up du même nom (Lyon),
elle a dépassé les 1 500 téléchargements. Derrière ce projet, trois
Centraliens engagés, qui veulent
pousser les citoyens à s’intéresser à l’actualité.
T
Décryptage. Pour cela, cFactuel parie sur un contenu ludique réalisé par un journaliste
et une graphiste salariés. L’application traite de sujets de société,
d’économie et de politique méritant un décryptage (la primaire
américaine, la Loi Travail…).
Encore conidentielle, cFactuel
perçoit des revenus publicitaires anecdotiques (quelques
euros) via une régie externe.
« Nous sommes en phase de
test avant le déploiement
d’une campagne marketing sur
Google et les réseaux sociaux»,
explique Maxime Juramy, cofondateur et responsable de
la publication.
À terme, l’application entend
idéliser son audience en lui
proposant du contenu supplémentaire via un système
d’abonnement payant.
D’ici la in de l’année, la startup aimerait totaliser 10 000 utilisateurs quotidiens, ce qui lui
permettrait d’atteindre l’équilibre. v
n° 1334 I 6 avril 2016 I InterMédia Hebdo I 9