L1 - Session 1 - 2007 Chaque question est notée entre

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L1 - Session 1 - 2007 Chaque question est notée entre
Méthodologie – L1 - Session 1 - 2007
Chaque question est notée entre -1 et +1 SAUF les questions 7 et 34 (notées de 0 à +1).
Le nombre de point maximum est donc de 43. L’examen est noté sur 21.
Les points de pénalités sont calculés à l’aide de la formule suivante : -2/nombre de fausses
propositions. Par exemple, pour un éventail de 4 propositions, dont 3 fausses, chaque
erreur = -2/3=-0.66. Pour chaque question, on additionne les points négatifs et positifs. Les
points négatifs ne peuvent pas dépasser -1 par question. Une feuille de calcul est
disponible sur le site : http://ureca.recherche.univ-lille3.fr/sparrow/metho.htm
Ce document est un corrigé commenté. Les propositions de réponse présentes sur le sujet
d’examen sont ici remplacées par des commentaires et les bonnes réponses sont indiquées
en gras. Par exemple, pour la question 1, la première proposition (parce que j’ai les preuves de
ce que j’avance) est fausse car cela ne dit pas « comment ces preuves ont été obtenues ».
PARTIE COURS :
1- A la question « Pourquoi devrais-je vous croire ? », le scientifique doit répondre : (voir III.1 : le
souci de la preuve, dans l’introduction)
a- Comment ces preuves ont-elles été obtenues ?
b- Ce n’est pas objectif
c- C’est le principe de la méthode expérimentale
d- ce n’est pas suffisant : les stats ne sont pas une « preuve »
2. Le défaut d’une position théorique trop naturaliste serait d’entraîner : (voir IV de l’intro et I.2.B de
la partie méthode expérimentale).
a- le réductionnisme ou aspect analytique des études expérimentales
b- ce n’est pas un défaut
c- aucun rapport
d- cela concerne la méthode clinique
3. La preuve scientifique est la plupart du temps apportée par les expériences parce que :
a- c’est plutôt une critique
b- non
c- validation empirique des systèmes théoriques
4. Le groupe contrôle est utilisé afin de : (voir IV.4)
a- = pré-test
b- Entretien post-expérimental
c- estimer le niveau de base des sujets à une épreuve donnée
d- c’est le contrebalancement
5. On parle d’effet « plafond » lorsque : (voir III.1.B)
a- c’est une image, ce n’est pas forcément vrai
b- l’échelle de la VD n’est pas assez discriminante dans sa partie supérieure
c- c’est le contraire
d- de nombreux autres facteurs peuvent entrainer cela
6. Après avoir analysé les résultats d’une expérience à 2 VI, les auteurs constatent qu’il n’y a aucun
effet principal significatif pourtant les 2 variables interagissent. Quel graphique correspond à ce cas
de figure : (Voir III.4.B.d)
a- graphique 1
b- effet principal d’une variable + interaction
c- effet principal des 2 variables + additivité
d- aucun effet
7. Pour neutraliser les effets d’ordre liés à l’utilisation de groupes à mesures répétées, on peut :
(IV.3, pas de point de pénalité pour cette question)
a- utiliser un appariement sujet par sujet
b- on ne neutralise rien du tout en calculant ces paramètres !
c- réaliser un contrebalancement partiel
d- utiliser une variable technique
e- aucun rapport
8. Une variable invoquée c’est une variable :
a- c’est le contraire !
b- dont on ne peut que sélectionner les modalités
c- aucun rapport avec le caractère invoqué d’une variable
d- bien sûr que non, il y a d’autres VI invoquées
9. Une hypothèse déduite est formulée à partir :
a- de principes généraux
b- c’est le contraire
c- bien sûr que non !
d- valable pour les théories
10. Lorsque dans un questionnaire, la personne interrogée doit soit accepter, soit rejeter tous les
items d’un éventail, on dit alors que la réponse est : (voir partie II du cours sur le questionnaire)
a- non
b- dichotomique à choix multiple simple
c- non
d- non
11. Lorsqu’on pose la même question sous deux formes différentes, de manière à ce que la réponse à
l’une corresponde à la réponse négative de l’autre et vice versa, et que l’on observe que le taux de
réponses positives de l’une n’est pas égal au taux de réponses négatives de l’autre, on parle alors de :
(voir III : orientation des réponses)
a- non
b- tendance à l’acquiescement
c- non
d- non
12. Si l’éventail de réponses proposé est trop long, les réponses peuvent être influencées par :
a- aucun sens
b- aucun sens
c- des effets sériels
d- aucun sens
13. Lorsque dans un questionnaire on demande le statut professionnel d’une personne, l’indicateur
utilisé est de type :
a- = faire
b- Formel
c- Ce n’est pas un type d’indicateur
d- N’existe pas
14. Ce qui différencie l’entretien de recherche de l’entretien thérapeutique c’est que :
a- C’est le contraire
b- Pas forcément
c- Dans tous les entretiens il peut intervenir !
d- dans l’entretien de recherche, thème est imposé, pas dans l’entretien thérapeutique
15. Dans l’entretien exploratoire, l’attitude de l’interviewer est : (Voir I.1.A du cours sur l’entretien)
a- peu directive
b- aucun sens
c- pas une attitude, mais une intervention
d- aucun sens
16. La méthode des tests fait partie des méthodes d'observation : (questions 16 – 21 : Cours de M.
Gallina)
a- vrai
17. La méthode des tests est uniquement utilisée dans le cadre de la psychologie expérimentale :
b. faux
18. La méthode des tests est liée à l'émergence, à la fin du dix-neuvième siècle, d'une approche
scientifique des phénomènes mentaux :
a- vrai
19. La méthode des tests est née dans la mouvance de la psychologie différentielle :
a- vrai
20. Le premier test d'intelligence (Echelle Métrique de l'Intelligence) est l'œuvre de Binet et de ses
collaborateurs :
a- vrai
21. Le premier test d'intelligence (Echelle Métrique de l'Intelligence) est une réponse à une demande
institutionnelle :
a- vrai
22. Carl Rogers à théorisé et développé : (Questions 22-24 : cours de Mme Dupuis)
a- L'entretien non directif
23. La règle dite de "l'association libre" s'applique à la pratique
c. du traitement psychanalytique
24. La communication d'insight est spécifique à
b. l'entretien psychanalytique
Partie TD :
25. L’amplitude de du déplacement de la cible (en degrés) est :
a. bien sûr que non ! (âge, sexe etc.)
b. Une VI provoquée
c. Grosse bêtise !
26. La taille de la cible (en degrés) est :
a. non
b. Une VI provoquée
c. Encore une grosse bêtise
27. Quel est le statut des groupes de mesure :
a- Tous les sujets font la même épreuve
b- Groupes à mesures répétés
c- Aucun sens
28. Dans cette expérience, les auteurs proposent :
a- Une hypothèse concernant un seul effet principal
b- Deux hypothèses concernant 2 effets principaux
c- Une hypothèse d’interaction
d- Aucune hypothèse n’est formulée
29. Quel graphique correspond au tableau de données :
a- Graphique 1
b- Données inversées
c- Aucun des 2
30. Les facteurs manipulés par l’expérimentateur sont :
a- auto-observation (avec, sans) et relaxation (avec, sans) (+1)
b- la perte de poids est une VD
c- impossible de croiser ces 2 variables ! (relaxation/contrôle = avec relaxation, mais en
situation contrôle, c’est à dire, sans thérapie !)
31. Quel problème pose le choix de la variable dépendante :
a- ce n’est pas une VD !
b- on ne compare pas la perte de poids avec le poids initial
c- aucun rapport avec la VD !
32. L’hypothèse des auteurs est :
a- il manque la « potentialisation » des thérapies
b- validée car il y a une interaction entre les thérapies
c- pas d’hypothèse à ce sujet !
33. Le plan d’expérience est le suivant :
a- 2x2 = 4 GM et 1 groupe de sujets
b- 2x2 = 4 GM et 2 groupes de sujets
c- 2x2 = 4 GM et 4 groupes de sujets
34. L’hypothèse selon laquelle « les adolescents atteints de cancer, comparés à des adolescents non
malades, auront des scores moins élevés à l’échelle E.T.E.S. » est : (pas de point de pénalité pour
cette question)
a- Ce n’est pas une hypothèse générale
b- une hypothèse opérationnelle
c- une hypothèse d’effet principal
35. Quel (s) graphique(s) correspond(ent) aux données du tableau 1:
a- manque une légende
b- graphique B
c- les deux
36. les effets simples de la variable « malade/non-malade » sont, respectivement, égaux à :
a- ES garçons/filles
b- 37-37 et 39-33
c- EP garçon/fille
37. l’hypothèse suivante : « les adolescents atteints de cancer, comparés à des adolescents non
malades, auront une mauvaise estime d’eux-mêmes, plus particulièrement les filles » est vérifiée car:
a- Aucun rapport avec l’hypothèse
b- Aucun rapport avec l’hypothèse
c- cette hypothèse n’est pas vérifiée
38.: Le plan d’expérience est le suivant :
a- c’est un plan pré-test/post-test
b- il n’y a qu’un seul groupe de sujets !
c- il n’y a pas 8 GM !
39. Pour résumer cette expérience de façon précise et concise, on peut dire que:
a- l’activité théâtrale permet d’augmenter l’estime de soi de 78.53%
b- pas assez précis
c- pas assez concis
40. Le plan d’expérience comporte :
a- 2 VI : groupes (étudiants, policier) et estimation (personnelle, par autrui)
b- Il y a 2 VI
c- Modalités ? Nom des VI ?
41. On peut résumer cette expérience de la façon suivante :
a- On ne mesure pas l’ « autorité »
b- Trop vague
c- les policiers ont une image des étudiants proche de la réalité alors que les étudiants
considèrent les policiers comme plus sévères
42. Les facteurs manipulés dans cette expérience sont :
a- incohérent ! 2 fois la même variable !
b- paradigme expérimental
c- fréquence (forte, faible) et rappel (libre, indicé)
43. Pour limiter les différences interindividuelles, les auteurs doivent :
a- sur-apprentissage !
b- faire un pré-test d’empan ou de mémoire
c- bêtise ! On ne peut pas modifier ces relations !