Philosophie - LA LIBERTÉ

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Philosophie - LA LIBERTÉ
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Philosophie
LA LIBERTE
INTRODUCTION :
La notion de liberté est difficile à définir car est ce qui échappe à toute délimitation (infini) en
contradiction avec ce qui est limité(fixer des limites). Nous étudierons la notion de liberté
humaine qui pose des problème car tout le monde est égaux mais tous le monde est
différent(paradoxe).
Nous distinguerons deux grands domaines qui pose les questions relatives à la liberté : le
domaine social et politique et le domaine psychologique, moral et métaphysique.
I). La liberté sociale et politique.
L’homme libre est celui qui n’est pas esclave ou prisonnier : la liberté apparaît de ce point de
vue comme l’état de celui qui fait ce qu’il veut et non ce que veut un autre pour lui : la liberté
social et politique se définit donc par la négative : elle est l’absence de contrainte extérieures.
Dans la notions du droit et de la justice : certain affirme que l’organisation social exige que les
membres de la société renoncent à leur liberté(voir contrat social de Hobbes), d’autre comme
rousseau affirme que le contrat social repose sur le fait que chacun renonce à sa liberté
individuelle et personnelle mais retrouve une forme supérieur de liberté.
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Ils est évident que la plupart des lois constituent un obstacle à la liberté : mais d’autre part,
l’absence de lois rendrait impossible la vie humaine qui ne peut s’organiser que socialement.
-La liberté physique est la liberté de se déplacer sans contrainte :certain régimes politiques
limite fortement le déplacement en invoquant des raisons de sécurité qui cachent en général un
désir de contrôle de la population. En revanche cette limitation peut se comprendre en cas de
guerre ou de dangers.
-La liberté civile ou liberté individuelle :c’est le pouvoir d’agir à sa guise dans la limite des lois et
sans nuire à autrui : plus un état limite ces liberté plus il est totalitaire : le totalitarisme considère
tout ce qui n’est pas permis que ce qui est autorisé par les lois : le libéralisme considère que
tout ce qui n’est pas en contradiction avec la loi est permis.
-La liberté politique : c’est le pouvoir pour l’individu de jouir de ces droit civiques : les lois des
régimes despotiques tendent à être arbitraire et ne peuvent pas garantir l’exercice de la liberté
de tous les citoyens puisqu’elle concourent à garantir les privilèges de ceux qui sont au pouvoir.
Une loi établie dans une démocratie n’est pas forcement juste car La liberté politique fais appel
à la raison et non aux passions, aux préjugés, aux sentiments car seul la raison permet
d’obtenir un point de vue universelle.
- la liberté de conscience ; c’est celle qui garantit la liberté de se conduire selon ce que dicte la
conscience , notamment sur le plan moral et religieux ;plus un régime est totalitaire moins il
permet la liberté de conscience. Les principe du libéralisme : comment tolérer le
prosélytisme(développer une activité intense pour recruter des adeptes et imposer ses
idées)religieux moral ou politique lorsqu’on pense qu’il s’oppose à la liberté de ceux qui la
subissent et que, dans certains cas, il repose sur la manipulation et sur des formes de
terrorisme physique et moral.
- La propagande politique a rependre la haine et le mépris de certain couche de la population,
au nom du respect de la personne humaine. Certaine pratique amène a restreindre la liberté de
pensée et d’expression quand un régime s’appuis sur un régime libéraux.
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II). La liberté psychologique , morale et métaphysique
La liberté au sens le plus évident, est l’absence de contraintes mais les contrainte peuvent
provenir de l’extérieur- en particulier des exigence sociales.
La liberté serait alors la possibilité d’agir et de pensée.
1). Conscience, conscience de soi et libre arbitre
La vie animale est réglé par les instincts. La conscience humaine est capable d’intentions
réfléchies ; elle est dirigée par des besoins alors que la conscience humaine est capable de
faire preuve de volonté. L’homme possède, grâce a la volonté, la possibilité de refuser ce qui le
pousse spontanément à agir : la satisfaction de ses besions et de ses désirs , les préjugés, les
sentiments, les passions : on appelle libre-arbitre (ou franc-arbitre), cette faculté de se
déterminer uniquement par soi-même.
On peut déduire deux conceptions de la liberté selon Descartes :
- la liberté entre le choix entre plusieurs possibilités ;
- la liberté comme production d’une action émanant de son seul sujet, et ne dépendant
d’aucune cause extérieure.
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Si je considère qu’une action ou une idée sont bonnes, je n’ai plus la liberté d’affirmer l’inverse ;
dans ses deux cas, la volonté semble limité parce que m’enseigne l’entendement et la raison. Il
nous arrive en effet, de connaître la vérité le vrai et d’affirmer l’inverse. La vrai connaissance de
la Nature nous permet mieux de la maîtriser et de faire en sorte qu’elle serve nos projet : la
connaissance de la nature nous libère de son emprise sur nous. Une phrase de Francis Bacon
dit "on ne peut vaincre la nature qu’en lui obéissant ". En première vue les notions d’éducation
de contrôle et de d’obéissance semble s’opposer à l’idée de liberté.
2). Critique de la toute puissance de la volonté et du libre arbitre
Descartes affirme que la liberté repose sur un sentiment intérieur :; ce sentiment peur révéler
une impression que la liberté repose sur une illusion ; il se pourrait en effet que ce sentiment de
liberté ne repose que sur l’ignorance de ce qui nous pousse à agir.
Spinoza jette le doute sur la puissance de la volonté ; nous croyons être libres dans la mesure
ou nous ignorons ce qui est la cause de nos désirs ; nous ignorons ce qui nous détermine.
Par Marx, la reconnaissance par les classes sociales de la place qu’elle occupent dans la
société, permet de comprendre le sens de l’évolution historique et de s’y inscrire en toute
conscience…
3). La liberté comme réalisation du sujet par lui-même
La volonté éclairé par la raison est la source fondamentale de la liberté humaine ; l’autre qui
considère que la volonté n’est qu’une illusion reposant sur l’ignorance de ce qui détermine ;
seule la connaissance rationnelle de ce qui nous détermine permettrait de concevoir un
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processus de libération.
De ce point de vue , la pensée de Freud peut nous aider à concevoir une conception de la
liberté qui nécessite du sujet la capacité d’intégrer à sa vie certains aspects de son histoire
individuelle(personnelle) qu’il avait refusé d’accepter.
CONCLUSION :
Qu’il s’agisse de la liberté politique ou de la liberté au sens philosophique du terme.
On peut affirmer deux cas, dans les deux, la liberté ne peut être que le résultat d’un processus
dont on n’est jamais garanti qu’il aboutisse à la véritable liberté. Si la personne n’arrive pas à
dire " Je " pour parler de son sujet lui me^me, cela détermine qu’il n’arrive pas la possibilité
d’assumer tout ce qui le caractérise ; sa raison et sa volonté. Mais aussi ses désirs, son
caractère, ses passions. Mais la liberté de dire " Je "risque de prendre aux pièges de nos
illusions psychique. C’est ce que charge de nous apprendre ce que l’on nomme les expériences
de la vie.
L’homme est sans doute le seul être capable à se libérer ce qui le rend capable aussi des pires
conduites.
L’homme se définit par sa liberté, nous cherchons à dégager notre part de responsabilité dans
toute situation, en évoquant des causes externes, inconscientes ou maladives. Quelle que soit
la situation, un sujet, du fait qu’il est conscient, détient une part de responsabilité.
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