JA 1820 Montreux - Fondation Franz Weber
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JA 1820 Montreux - Fondation Franz Weber
J.A. 1820 Montreux Fr 3 80 Ü U RNAL J| ‘¢ .w 2 ' „‘ ~“ ” V z? ~N·'. N N*N N_ NN 4;% N N ., N N V« N „V N N_?— N ·¤ .. ’; 1 V| |'^ P; ' · _ N, NN N _N N N V V ‘ . r. VV ·~ V V ,, :‘| J V Y: |'Ü ;; ·— «~ V V? N |'*| V |.· V V N- _, N __| |Ä,| . N ;" V éefl ä' LQ ~' js. N- _, NN ·* ngn MVV VV~ VN „„ V N NN { g N N N V V N N_ ‘* ·’ N ?·V ·1 ·« «« Z? ·‘| V N in N N V |NNN N J ,V |'F V? ,_ |„-| PZ -V V |V N' N N V |*‘ ,, _ N V ,„ V -_ VV · . V VV· . .. ·- ;„ _;| V; ., ‘ ·.| —|. |’|” N N N N N V , ,, *‘ N;| W- V _„ |1* V N .. ,V |"‘ |._ ’“ ’ 2 E N° 11 V jan./row./mors 1990 Journal Franz Wébéf DES |\/IANTIEHES N 1 Souffrirpo1_g_Ies PTT? th‘ Les 3 PTT ont les doigts Iongs 6 V E Le danger caché du nucléaire L'amour — force physique supréme 1 Une politique durable ne peut se bätir sur 8 La ttahrson dg Mm., Thatchot etlnque. M3]? l’eth1que, que qu est-ce que c est? Ce n est, dans le fond, rien d’autre que l’application de 1 V 2 18 1 l l’amour dans un sens élevé. L’éthique, dqst le mspgct de toute Vie' Cßsti le pI'1I'1C1p€ fondamental de la cond1t1on humaiua la Valcm: essentielle de l°hOmm€. E Le °°"*"="° "°"9'°"°*¤°"‘b° ä '”°°“ 26 Franz wo1totVt;t Strasbourg 28 Vaud: Franz Weber enfin blanchi 31 _ Peut-on encore sauver Ia coucho d'ozone? 33 Le parcours d’un tueur N 35 ' E N Pourquoi pas de trou d'ozone au Pöle Nord? _ Le temps est révolu ou 1,011 p0uva1t se permettre de gouverner en ignorant ee principe et cette valeur Les changements profonds et le départ nouveau qui bouleversent l’EstP autant V°"° °"'"'°" que Gressbach: frevre de reouverture Vessol, écologique ä travers le 1 V 39 E · V °’ ’ j· 44 N E monde en sont E · ~ N Symposium BU GTBÜdhÖt8I Gl8SSb8Ch (IBC dB BFÜGVIZ) N evolution pas seu1|emettt, comme pourrait le croire de prime abord,1 une percée vers la libeitéou vers une écgnomie Qrierrtée 5u1‘I’éCOl0gie, mais aussi et surtout une percée vers l’esSence méme 'de lsétre humain, C9€St_ a-dire vers la miséricorde pour tout ce ' est SEIIIS déf€I'lS€, VCTS le I°€Sp€Ct des Urbanisme et en Van ZGOO ‘*“6°"8""°‘ ‘°°° 4 Renseignements er documentation: · V 1 N HelvetiaNostrmcasopostala,182OMontroux Tél.021/9643737 oder 9642424. Fax: 021/9645736 mtotttt Ftmwooet pourla Fondation mttz wobotor 1-rervma Nostra plus faibles,Nle respect de la création. V La politique d’une T Mme sommot, moto to1tt„„„„„, pot. Thatcher ä Végard d¤sVé1é1:>h¤¤tS (wir page ‘ 18)VVVV„ 57 36 irréversible. C’est uI1€ politique ploiteur et d’oppresseur. La politique époque rév91¤@V Franz Weber I j mouvemem Coustam du 36 V __ V V A 1 V · V„„V V V _1.t V| . . V , N _ N 1 | V, V 1 E ‘t ‘‘ 11 . 11 . N NV Z J 1 V . ‘| N E V Yiilwill| E ” 1% NN |11 ” i? |Vi V' T"? E EJ 1 _ w V V , N T 1 _V 1·1Ü. |‘ NN N V E N EQ| 1 V .1ħl1.Ü Ö; 1·rr1 1* T _ '" 1 ¤~··"'| e';i"l.E;1.,g,;rt1'.ay*".*'~.t—' 1 ‘i" 1- * N1 1.. 1 *V · l i. f l N·‘ • I I1 N'? I Vue du Eigcnhuhel (('())7IV)llHI(’ de Riieggisbciq BE ) CH plurvuu, . (Ü/'(’<‘ff0H (lv /°<‘I71¢’f!€IH' Honsueli ./er/ro/1 Ü 0fltlt’V1‘ sur lu photo) rrvnr élecrrique, urilisé pour mesurer le rayomzemenr élecrromugnérique. ‘ /1* ])(Hl(I('}I(’ rlcfirrrrév. -·•¤~«•o·3«-eV•4-•„—•¤i1~%r••1bq•hn;~**•»·§•¤•5¤n·Qv~··^'—·1 1** ” ‘·' ' - rlroire (ti rr t‘0lU'feS lu de mum S(‘hM‘c1l'.1erIhuI‘g. Lr1N lu .tomlr· cl sialirm uu opparvrl de r‘rrr0ririr·e niesrrre u' ye rmuvé sur le rnrensiré de r1/itrnip 1 Le citoyen suisse a-t—il un droit a la vie et E1 Vintégrité physique et psychique, ou le droit des PTT 21 installer des émetteurs ä ondes courtes a-t—1l la priortté? Notre histoire 51 épisodes sur le theme "Le cancer sur ondes courtes ‘?" montre que cette question n’est pas aussi incongrue qu’il parait. Lisez ce qui s’est passe at Schwarzenburg et dans les y alentours depuis la parution de notre premier article en aoüt 1988 et comment la Romandie réagit ät un projet d’installation émettrice "tueuse" deux il quatre fois plus dangereuse N ! u.s.‘ Il est un peu plus de trois heures du matin. Comme des lndrens sur le sentier de la guerre, un en main un appareildc mesure extrémement sensible. Un silence de mort regne aux alentours; hommes et animaux sont plongés dans un profond sommeil. Dans la lumiére blafarde de la lune, on peut étoile; ilsont homme et une femme penetrent furtivement dans la zone dangereuse; au—dessus de leur tere, le ciel est voirl‘antennetournantelogarirhmi- que périodique tourner et se soulever sans bruit. Peu apres, Vaiguille de Vappareil de mesure réagit en faisant un violent écart. L‘homme et la femme se regardent:voila,Vinstallationesten train d'émettre. V N.N;N«=11j’ Cinq minutes ne . . . N i ‘ ‘‘V· 1 V. re écoulées _VVV . E ' 1· que 'l lui aussi,qui1te brusquement son gi- te et poursuit Hansueli Jakob et sa kilometrc envir0njusqu'i1 ce qu’ilsaier1t disparu de la "zone de danger", en faisant des femme pendant un mouvements totalemem anormaux ~VV .1. · N , c , _ N •. U11 A V _ 1 1 1 1 ° 1 N V E N, N l .1 ät 1 1" ‘ -· iVN N? V 1 ig f N N N N V Ii Ni ‘ „ V NN -V V _ NN 1 1, 1 _ 1| . N ‘ N La mesure de I’imensité du champ électrique eßevfue le 27 decembre I989 ä [3},48 „„ sommer du Ergerthubel (923 ml 61 ww ¢l'l$Tü'l¢“¢’ de 2¤8 km de N se sont pas enco— lumiere s‘aIlume · • I'ar1remre er pour une puisscmce d'£;IIlTSSl()ll de 150 kW est de 6 vo/rs tout rond par mérre. Dans leur consulrarion sur Ie pmjer du Jor·ar,N les PTT parlem de seulemem 3 volrs par mérre ri une disrrmce de I km de I clllferllle, · pour une purssamc d emzssro,1 de 500 kw $1 [es t-/rr rcs des PTT émieur N exacrs Tappareil de mesure urilisé au Eigenhubel ne devroir plus der/661rer aueune irrtensité de champ électrique. . la dans cinqmaisons voisines. Les vaches dans les étables se meinem 21 meugler et les chiens it aboycr. Un chevreuil de la foret voisine, · V · · 1 ' Vheure actuelle, les PTT depensent 16 mlllions de francs pour des travaux d’assainisse— ment sur Vémetteur de Schwarzenburg. En méme temps, on veut le détruire en 1995. Hans- ve etre definitivement enterre, les installations de Schwarzen- uell Jakobne croit pas un Afin que les choses n’en arrivent moi de C9 Que l’aC0ntent les PTT. "A mon avlNs, en annoncant que les installations émettrices seront demontées en 1995, les PTT ne Vrgpnt qlyä Venn- ä b0UtN de Ia resrslance de Ia populatron de Schwarzenburg. Dans le style: pas la Nperne de faire des hrstoires pursque émetteur sera de toute mamére detruit en 1995 D lcr a ce que le projet Jorat donI !’ NN _ N N N burg auront été depuis longrenforcées et assai- temps nies..." pas Ia, H. Jakob et Ia"liste Iibre de Schwarzenburg" ont dépose aupres de la direction des travaux publics du canton de Berne Un mcours dw?6 Ionguaur NNNNGNN mrnable. Ilespere que le Conseil exécutif de Berne lranchera en faveur de Ia population IocaleNet de sa sante et contre ce pur obiet de PrestiNQe q u'est Radio Suisse 1 i Internatronale. N N N° 4 ll ·jan./févr./mars et agressifs et 1990 en poussant des cris menaqants. Comme ° chaque nuit depuis de Radio nombreux les trayons du pis voque chez t milliers de nuits, Suisse Intcmationale a commencé Ses émissions ä Vintemion de l’Amérique du Nord et centralc, émissions qui sont cnvoyées sur ondes courtes depuis Schwarzenburg dans la région de Beme vers Ia moitié delaterre environ.Etrcshumains animaux ont été tirés d’un sommeil qui n’est de toute maniére jamais tres profond, par la misc en route des ondes électromagnétiques. ct T0utefois,en cette nuitparmitant d’auties, il y a lä un spécialiste dont Vappareil de mesure sensible indi- que comment Vémcttcur a ondes courtes de Schwarzcnburg pollue Venvironncmentde ses rayons électromagnétiqucs. Les chicns qui aboient, les vaches qui meuglent,-le chevreuil agressif, les hommes qui sont arrachés de leur sommeil, tous subisscnt ce que l’on appelle le stress électromagnétique qui se tra- au stade initial par une‘agressi— maux de téte, un épuisement nerveux inteme et de Virritation et ä un stade ultérieur par duit vité inexplicable, des des dépressions des états léthargiqucs erde gmvcs maladics cm.pm.cl_ les dont la plus fréquente est le canccr avec Ses variamw mum · J — - JÜUVÜÜI Franz . N_ ”‘ |, méme la mon. Tout cclauniqucmcmafinqucl’onpuisse quotidiennement recevoir en Union sovlénque, en Alasks cn Augtraljg, en Amérique du Nord ctdu Sud ainsi qu’au Proche- et en des sons tout frais venus de Suisse. cers précoces et N_ ‘ , - • fait forme en réceptrices du programme de Radio Suisse Inles gouttieres s"'emballer" les machinesä trairc qui arrachent alors tcmationale, ' fait | ,,N.N . .„ q _ _ | . 3 N. _|_|Q|;|Ä€|V| V A. hg .N.N_ J ’ _‘' J .,; 2 ll ll Pendant prcsquc cinquante ans, PTT ont pu, impunément, p0l· lucr deleurs rayonncments le paysage, les étrcs humains et les animaux. V:-\| IIV.V; j_ ll · A les T °' · ,·-1|1 _NN_N ' |V·|·.:|;|f|j|L|j|‘ |J| ll l Mais depuis qu’ils veulent augmenunc fojs dc plus la puissance d’émission, ils ont trouvé un adversaire qui luttc avec un grand idéalismc etendépensant une grande partie de son temps (de ses loisirs) et beaucoup d’argent pour la santé d’une " ter _; “ _ Y _ L \¤PPülf@ll df m@5¢{"€ de !“]¤"·Y“¢’[l Jakob moll"'?. lvl el ä d'autres ehdroits cien_de métier; Apres un accident de 4- sc cn gardc que nous a"°“S le Jwma] . . Pubhée Franz Weber “° 6 dfms “ est pas rcstéc Sans éch°· Peu dg lfmps aPr駷 le J°P‘mal laL{S“""°‘S 24 h?“V€S a Pubhé un amclc Sur de Pcmcs communcs du Plateau du Jorat,'dans le eantonrde Va“d· Oü la _Vé$*$laY\°¢ S °V88¤}$¢ contre une installation émettnce d° ““ °‘“."“l?1““}l?°“‘°‘s· wm d wc l‘é‘T°"é°S· FS Y°“l°$ e c°mm“‘]al°$_Pl°m°Sd? mds de P9"' 1 hsaüolls d eau äl aba“d°“ €““Sl‘l“° notolrement vides des ¢0mm¤¤¢S ¤¤F¤¤¢¤! bleu b€$0|l'l des ;_ les caisses ,,| ~ sommes que les PTT mjecteraient. N| Jal$°b ‘ Ä wm cinq nou- ulmd mmc °S° dßiugosst V‘S” Z _ Vaud n’aient .| _ légallqn velles installarions émenrices gi;] Séiriuéäfracgäcrc cations de H. Jakob suivies de la °“ d° V°ff‘“ P°“ d° ¤¢mPS ßvrés Tut f<>““颷 wmme le YaPP°“¢ H- J¤k<>b» l"'^—R—E·^·" régivnale d’颤d¢ d¢ Vimplantation dc nouvelles antene nes ondes courtes dans lg sectcur une aswcia* tion destinee äétudier et äempécher la 'éal‘?“"°“ du grand P'°J°‘ d°S PTT d’implamer cinq émetteurs ä ondes courtes d’une puissance de 500 kllowatts chacun dans le Jorat. _, „ d°_c°mP}°· les éC9l°S ayam [am bc' tours er le canton de gghwarzcnburg um dé”’ d mtcilocutcurs rarcmcm lmssl lmércssés (H'. Jakob) ct un lmcrpréw CCS mcssicurs V'°'T°m lustcnzicm de la ZÖÜC mcnacécl par °S On es ‘Y°“““· ‘lS cxmänc; mc“ä)S°°P"‘ä“°S “Ä""S °'l‘ cY’g°“. ag h E P'°J°‘· N C‘est égalcment H. Jakob qui savait que les PTT cherchaient secrétement du termin en Romandie pour planter sous le nez d’une population plus naive et moins "béte" qu’ä p E _ C est qu °“ fm , vßjen qne Znne menacée VV11 pamsans du _ _ · 1 · • V de l’installation·de stations d’_épuramm, dc Stations de pompagc pour Vapprovisionncmcnt en eau et du tmitcmcm de Vcau de man Tome cela sous le signe d’une technologie deux ä quatrefbisplus puissanres. Sa mi- V ä ~ avec fracture de la colonne vertébralc ä'l’äge de 30 ans, heureu~ scment sans paralysie permanente,il a dü sc recycler. Depuis dix ans, il dirigc ä Schwarzenburg son propre bureau d’ingénieur—électricien"Prcvotec" et est‘ un spécialiste reconnu travail wm! g _ ä 30 V/M). LG COQVIMISSION Ulf?/‘H61!IOH0l€ df pl‘0!€c‘t10rt contre les rgygnngm¢’"'~V (IRPA) VW"? de ’¢’¢"””'”“”d‘·’V des "“l"“’s‘['mÜ¢’—V l”fé"l@W‘@S ä 27 Wm- population terriblement mengcée Hansueli Jakob est électrotcchni- Schwarzenburg au _ 0** PÄ“S'@“"$ ¢¥0“Z¢'fl€s d ¢’"f“”'$ Pas-Ve"' °b[l8¤l0il'@m¢’¤f qüé/quvs héurvs P“’J9“"· des '"’¢"{$'_’¢’~lP?'°'"‘f"¢"""S {18 Cha"'? él¢’C”'i<i“@ aU¢WtjMSqM”ä 22 V/m (”'¢”l<'h@ $“P<’l"{’“'j¢’ d? I aPPa{'€'l· do"' I? dömqlüß de m@Sw‘@ va de l Un jodler les casscrolcs, trans- jl _. Ä , bre l988,deux voitures privéess’ar- qui ‘ VV1‘1 VVVVV .· Spéclallste Rappelez—vous : sous le titre "Le cancer sur ondes courtes ?", nous avons publié dans le Joumal Franz Weber no 5 (aoüt ä octobre l988) un article sur l ’émetteuräondescourtes NNN · „.,„. T — qui respecte l’environneme¤t. V |zi des vachcs et prohumain des can- l’étrc pas été d’abord consultés pur les PTT conccmam le jet J igamcs ue ro; de constructign, apres étre intervenuc, a pu obtenir que le projet de construction soit tout d’abord stoppé par le canton et „ que les 40 communes soient amené- Q| J , | ‘ es ä prendre position ä ce sujet lors d’une preeédure de Consultätion en · · bonne et due forme pour une fols, Ce pourrait étre une chance que leg moulini de Vadminlstration tour- . — 2 p |f : mms] cmemcm"' P°" ‘5‘? H“'?S“°l.‘ J"k°b °‘ ‘°‘ ““‘éS d° la °"“° ‘!b’° d° S°"""‘"°“‘°“'8 (7 d°S ‘¢S [WTS ad"°VSa"°$· Rlen d”é!¤¤¤¤¤!„ ÖÖS INS, que sa T¢HC0l1II‘¢ avcc un lieu §ll‘¢l<l“§$ S31?-?iS¢0rd&ntS. · En , I| am ä |ll de PF0JF* §¢$ VV!} Wemer „ Fritz, _; d¤$P°§alld lm dO$S1¢l°¢0¤tenantdes r ·l 2 ‘ · — .| .1 *6;* p p j 1 ~ ’¤ · . , in i ‘ IZ e Chiffre c°n$ldérab'e ·‘ > ., J »| , J| 8 * |’ " |1"’ i |E l ~··—· Mesure du 28 décembre 1989 ä 10h10 dans le préau de I’écoIe“’Tännlenen| L’anterme la plus proche, d’une puissance de 150 kW, est situé ä 500 m. Dans une expertise publiée en 1986 concernam Vimpacz des champs magnériques sur l’environnemem, le Prof P. Leuthold, de l’EPF Zurich, minimisait le probleme et aßirmaitque l’intensité des champs électrjques dans la region de Tännlenen ne dépassait pas 0,3 V/m. Pourtam, il n'y a _ qu’ä voir la photo. Entre temps,l’ass0ciationest passée A plus de 650 membres et réunit des habitants de 40 communes des alentours. C‘est lä un chiffrc considérable car lors d’une visitc dans les hameaux de Neyruz, Pailly, Thier- - zenburg. Un médecin de ‘ 9 Schwar- Zenburg a “¤¤Smis„ Sans l’¤SSentimems d¢S patients, ces informations f J | du äl’arbre le plus proche". Naturallemcnt, il existe aussi beaucoup de cemés de changer de , Z;| l 3| PTT) que ces maladies sont de natu— re psychosomatique, dono qu’elles sont le pur fruit de l’imagination. Qu’en est-il, en Voccunence, du se- l ’ SUP l¢SqUelles il est dans chaqne eas memißnné (ce qui arrange bien les Jakob Cut l’impression que "quiconque aftiche des idées vertes est immédiatement pentens et Boulens, H. ‘ Zrr _ 5 |l- l J| l ’| l J- j| cret médical ? "Entre—temps, j’ai conseillé a quelqucs patients con- toute urgence de médecin..." raconte H. Jakob. _ . J Joumal Franz Weber |es g; an I In 0 . «00°?|" · J pousser un tel messager dans Visnlement total et de le rendre ridicule. L0rsqu’il est réduit au silence, le A Schwarzenburgquelquesrivemins de Vémetteur om appris avec étonnemenr qu’en Romandie, une association comptant 650 membres venrempéoherlarépétitiondu désa— srre de Schwarzenburg ctontdécidé de créer, eux aussi, une association leurs rntérgts. pour la sauvegarde Au rand re ret dedlei.Jako ,si ge égaläment pärmi les membres du comité directeur un instituteur qui, pendant delongues années, est apparu comme l’allié des PTT... Rien d'ét0nnant, alors, it ce que l’on neJ · 4 |l| l A , · ' « A " " _J ’ ·|„_« ls ., -„=-Jf| ._,. ij ‘ „ | |“x:" |._ _ ~ ,, _ ; ‘ 1;, !¢ s' ier i, { "J;- l tf sl;| n ‘ Q .^~ |g; ' ‘ r ;s t A |t ,..» · - „ ~ A_ J - .. . . __ ·' * J J am . J — rs V |§|j J ~ ·· , AA . A ‘0 a deux reprises. Le Fonds national a avancé ‘0 fut rejetée ‘ J - „ _ comme raison le "manque d'argent" j Ä et l’Office fédéral de l'éducation et de la science n'a pas jugé non plus que cc theme méritait une étude. Ce que lechefdc projet WernerFritzde la direction générale des PTT a dé— claré a H. Jakob est vraisemblablcment exact J‘Dans ce pays, vous . A A ‘ · p l 1 0 i g A : *33- g av ' X — 0| |1,..| 1 · ‘ /9 > • »1" :[00f0l‘_J·ä,T “ i 0|lFL , 2; =i ¢ J. ~, V_„l' it umains" étres ‘‘< |lllll?lä¢'°0‘*?|‘l;¤;Ä; Ü,| 4 .|* H.| ~‘ "L’influence des c amps é ectromagnétiques (radiations rglon ionisuntes) sur le santé des tranain relative i!|‘ill—?:e , 1A A0 „_ i|“ ‘ ,‘ . . leurs.La requéte qu’il avait présen— tee en vue de mener une étude sur le y a quelque 20 ()00 uns, les Chinois anciens résolvaient leurs problemes en pendantsansautre forme de procesa l‘arbre le plus proche le messager porreurd‘une mauvaise "|si·l:# J explique H.Jakob. llaégalcmentdü essuyetdes tebuffades venantd’ail- il J :,,,,,,r,,._,~ |AA„3;-« |arwglifrs. _i veuille pas collirboreravecH.Jakob. "Si, €.\ · ~ Y|A',. 0|‘|„j|.|f’ tg}|;| _A ,„ . ,· J - ,1: probleme est alors résolu poureux", l ¤. ;, " nouvelle, les dirigeants de 8ch~warzenburg essaient aujourd hur de |l;;t.s;lI;.“l‘„2_i}l¢.lJ*gll:l°Fl;|i|{_| |ivtlctrl ‘~ ll l .. I! A =„ l ^=„\ li .. Jl J ·- A le, . l.r „.. l»~„tl'=é.··;.„ ‘ . »xiJlzklla'·?ilß~;‘€l'·l"Lll>:>$e-*t.T·T:~.-il.?rsllffanllälllllwlrli , y‘l0= " ‘t~ J ‘ J it J |lgl;l|ll ~»~ J =·~=* ... T · . l0 +|1* |il "= ‘ ·l- J 0’ 4 _| * - *~| 1 El JF? ·J J *~ ‘— =’| Jl ‘°· , 0 *J T0 J =~0l « . . l*‘— J wir- ‘ . . l .« Q p Ä|. „„| ’ |_|' "0 ‘ · |lll ~t| 0 -—-. ;. · |-:00ÜF*ÄT0’ sie , Ä |Y F |0| p‘ A p p ld; pyvpvß |r|p| Pnurse rr'rnc·t1r<·du stress ä/ertrontzagnétique, les enfants peuvenr renner Chez elgxle wir er les week-ends. Les arbres non. Ilssontobligés de i·esrgi· V des nomlnreux jeunes sapins malades ou morts dans les lmmédlats de l école de- Tännlenen (pres des support; ri vélr;_g)_ |l|J ‘ J 0 00000000| in 0 ”'l J 0 J “00 ~ i » 0 0 0 — Q 0 J 0 A A p ‘ ~ · · „ A r- . . „ J _ 0i |Zt .5-*|äi| „ A a) _ J ·.| a;·;.¤«.„<» 0*:00]; n‘obtiendrez amais de fonds our des recherche0s dont les résultaä ne Plus dangereuses que sontliésaaucun profit l”inuncier."H. pfévues Jakob emrepritdonc de pouvoir mcsurerlui-méme les valeurs ct tomba dans une histoire dignc d’un roman policier (Iire ai ce sujet Vencadré lllulé "Le glandss Olclllcs cl tongs doigts des Pw). in- _ Malglé Jako? “’“t· ll _ r de H· I l0l“PPPl_"“"~ l°““l€_* le <@¤¤r<= ·¤¤¤¤¤>> ls C¤¤>¤l l¤<l¤¤«¤ ·¤ . |ll - U I1 G m Que L| q LI b |‘|SQ 0%% @| |‘ l.00 · . J| an J|J0JJ·lJ J ' -‘ |-|If#1lrJ~ ‘|< J * J _ Ia rr ·i, |{T |1| II |ä I g__ q +· ¢··¤·-t—'~"l· |g|g| _ _ 00 4* =·¢ ;.«··· · e, |ray-; e _¤r,..„ i,.·· ._;};gg Ar? |J |ll |*_«AjA_;r 0| , J| P il J nä:| |· ·~T·| |;A;_____ · »J·«~•--··~r¢·«¢··*‘**‘°·** |.»-|fü,| ‘“"‘ ' 0 ‘*_ A |00| _! , _ J J r · lfenchevétrement _ m€mllllofl ¢" Irs _ de Schwarzenburg qui, en fin decornptesubitdans sa propre chair \Ies mfluences de Vémetteur a ondes courtes, ne monte pas sur les barrlcades contre les PTT avec courage et ‘ ‘ de _ __ _ "l""'“P’<’“'s r Q la : dépresslons. Unétre mann dépresslf hu_- s'est reslgné, il _ n'a plus |aforce'de s'opposera quot quece sont. 'C est pourcela qu’il est bon que les Vaudols s’élevent malntenant contre le projet d’émetteur dans le Jorat. ' Säßllääääää'§§0äE"'l";%?§ "" · rayonnement désastreux des ondes courtes. Qans le bulletin „r„s ‘/ ue an A "’ "€"'·_ ¢’$“[€”'€”’ voir I ‘·„Ä” b) d,ah_ est déconcertant que Ia popu- d,étermlnation.'C’est que la rare _· _ Volgnté Iatlon _,ÜTii—~—S.;___w .-| t |"”;;;é;| " l „ ~ I |W?’¥%"ls%llE??llßf<‘II.?|0 _ les l"‘”“""l d" _ I _ lesjours de brouillard et de froid, ä reduirefortement la plllSS(1flC€ d0émlSSl00H CHF sinon df.? déChGl'g€S (arcs é[€(‘Il'lqll€S) S? produiraient ä des endroits oritiques (isolateurs) et provoqueraient des dégäts lmp0I‘taH[S.L€S experts qui S0€mp[Ol€I1I ä mlliimlwr le probleme pratiquent leurs mesures de préférence les jours de brouillard er de froid. Pour des raisons de distances de prises de vues, il afallu altendre environ 1/2 heure aprés la dissolution du brouillardpour prendre ces photos. Photos: Katharina Jakob teclion delenvironnementfugusous les effets rent égalemenl, des rayormgmams éracrr-oma. gnétjqugg ngn jgnjgantg Sur |9S bjosystémgs (Bmw autres Véfrg humain), lgg trQub|95 Suivants ;··‘|'rOub|QS témg fonctionngls du Sysrrgrvgnx ogmra|„ modifica- (long du comporlgmgnlf 3 sa- . trop tard. . Les Vaudols seraient "derangés" sl °l" 'ls " a“""°"‘ plus nl Ia volontélm le courage de se battre expllque H. Jakob. LGS autres gnfluoncas Sgngsrras dg Cgg raygnngmgntsl anant de ra |gUCémi6 aux Cgnggstjons OU ag diabétg gn paggam par |gS diverses rormos dg cancer, figu. alors, _eux aussi, rom 3 la page 20 dn Joumal Franz Wobor no 5, . l N° 6 J ll jan./ren./mars 1990 - JOUl’l'l3l Fl‘6l‘lZ Wébéf l devoir se pencher sur ce probleme et dans ce cadre, celui-lä créa la 'Jcommission Krüger". Malheureuse— ITICHI, cette C0m1TlAlSSl01'l qui nom de son président porte le aboutit, elle aussi, aux mémes conclusions, a savoir que les radiations zone non ionisantes sont plutöt plus dan- maximale ne serait plus alors QUC 08 20 volts p21I' 1TlÖll'€ OU pl!-15 précisément de 200 microwatts par cm2. Récemment, dans la cour de Vécole de Tännlenen, H. Jakob a enregistré, selon les conditions météorologiques,desvaleurs de 20ä30 volts par metre, et cela dans un en- électromagnétique double presque pour chaque metre de hauteur! Mais ce n’est pas tout; I’étre humain luiméme devient un émetteur secon— droit oli l’on fait subir quotidienne- de g€I'€LlS€S, Dr. Krüger, directeur de 1’institut d‘hy— giene et de physiologie du travail de COmm€ mémé Ala plus proche de Vémetteur devraient etre évacuées. Car la va- leur Cl'l€l'- (JGS cheurs indépendants l’avaient déjä avancé antérieurement. le prof. l’EPF de Zurich, décida ensuite de renoncer ä ses propres travaux de recherche et de s’appuyer, pour son enquéte, sur les ouvrages existants publiés ä l’étranger. En décembre 1989, le rapport de la commission Krüger a été transmrs au Conserl fédéral. De source bien informée la commission propose au gouvemement de réduire la valeur limite maximale ä un cinquieme de la valeur · · · Condmons malsames En admettant que le Conseil fédéral ait le courage de suivre le conseil ment des experts et de rédurre de 80 pour J seraientinsupportablesetdangereuses pourla santédes adulteseux-me mes... de-chaussée lä I J l il l’autre, ? il l 1 i E ä de mesure dans l’air! _ sont encore pluß i réémet le rayonnement capté (comme une antenne) en multipliant sa puissance par deux. L’organisme humain est donc toujours exposé ä une charge de rayonncment considérablement plus élevée que ce que peutconstater un appareil sans scrupules a de petits "Au premier Cela signifie que d’un cöté, 1 fonctionne comme récepteur et que A fierait actuellement autorisée l La Commission intemationalc pour la protection contre les radiations (IRPA) daire. enfants un enseignement scolaire dans des conditions malsames, qur cent les valeurs limites, cela srgni- pour Schwarzenburg que le conseil municipal de Wahlem (Schwarzenburg fait partie de la commune de Wahlem) pourrait interdire aux P'] I de continuer ä exploiter Vémetteur ou qu’au moins quatre ä six maisons situées dans la et mes mggurqg" dit l-l, Jakob. Plus on s’éloigne du sol_ plus les valeurs augrnenrenrde rnaniere impressionHHHIC. L3 pUlSS2lIlC€du l'HyOlll1émCl'll étage, les Avaleurs Qu all l°Z· ou far pu effectuer §l<j=V¢¢S l |-——|.__ ‘ é § Sujgg gn page 39 ‘ . l 0 l é J 0 J 1 ·r2 A . 0 ’ • Une farce dzctee par la • vze. E l A I A.A A A A |A Les grandes orer Iles et 00 ll_; . py- { a#J· sl . . Hansueli Jakob veut acheter un appareil de mesure afin de pouvoir effectuer de maniere indépendante des mesures champs électromagnétiques de haute fréquence tels qu’1ls existent autour de l’emetteur ä ondes courtes de Schwarzenburg. Ce qui lui est alors arrivé, frise l’mvra1semblable. Pourtant ce n’est que la stricte vérité. Sujet A instantanées dans des pour un roman policier. . . 0 0 Au cours del’été A 0 —· .. A A J J AA 0 *J··‘ A. » A JJ . „ |;;_A A J ;| J |3 A|_„ AJ0| 0 AA | |Q A A A| ·.|;_ ·y· . J A AA |~v· l· AA _ .< longue quéte, la Fondation Binelli + Ehrsam ainsi que deux dames engagées versent ä Jakob un montant de l 1.000 francs pour son achat. Il n’y adans le monde entier que quelques rares sociétés qui produisent de tels aPPareils en Petitnombre.La société européenne RS, possédant une représentation en Suisse, est tres interessée par la livraison d’un tel appa— reil. Elle envoie immédiatement a H. Jakob des fiches techniques ainsi qu’une offre écrite. J . J Jill| QA - AA AA A ~‘ ··|;i| ‘ J — A 8 2 P de Schwarzenburg, latton A HOUTTIY Lorsque H. Jakob entreprend de JJJ|JJ|AA JJ»„_A A JJ'J|A| A · A commander Vappareil, dans un premier temps sa lettre de commande se ·J A Y perd, ensuite, | 1 il est impossible pen- dant plusieurs jours d’atteindre le responsable compétent, puis l’offre P pour la premiere fois le léger S0upcon que les P’I'I‘ ont placé S0¤ léléphone sur écoute. "MHISAHOH, S6 dll- les me fais des ldé€S-NOUS vivons tour de méme dans un Etat de qU0llS PHSS€raient il . . _ lalsser ä l’essai RA de lui se de la societé américaine un appareil de mesure de ce cntendre une commnnde pour quelques se- A0 ·, ff A· Il llég0Cl€ PHT téléphone Ales détails techniques, le pl’lX Gt le déläll de livraison. Il recevra son appatetl mi-novembre,c’estcequi figure sur Q J ·% A Qi ~ J est comA pratiquement d’occasion. H.AJakob est maintenant tres conde pouvoir entln cornnieneer 1 . maines Vappareil qui allair proehai- nement étre livré en Suisse, Tgutefois, les Pl J Ont ensuite retiré leur dßmande et le livreur est nn pen géné de foumirä H. Jakob un appareil qui type. mande. Néanmoins, Vappareil n’ar— . A li; laissé pour dix de ces appareils (em', 100.000 francs) si l’on pouvai; tenr prie alors la représenlation suis- la confirmationecrite de la — } ‘= l._raconte-t—11, se sont égale- lmllßdlälßmßflt ensuite, je Il IA {AA ul¢¤lA1Ill@f€SSés ä cet apparejl et ont livrer J Hansuglrjakob de retard, m1—mars 1989, apres p1u~ S1¢¤l'§ rappels et lettres peu aimables. $1 0¤ lll! 3, äAplusieurs reprises, éutußllßö PMA éttrtt que le retard dc llVr=}lS0¤ élüll dü au fabrionnt amé-t'tC¤l¤„ le llvreur a, lui, une version ¤0\1V¢ll€ 61 böaucoupplus plausible; Des cet instant, H. Jakob, citoyen respectable dont le seul "délit" est de s’en a er our la santé de la popu- _ , Instlucuon d en haut AA| . J|- . nl mt-féV¤¢{„ lTlälS avec quatre mois intéressée par cette affaire... r A J ri}/¢0ui mljd颢¤lbt‘e. ni mi-janvier, A |J e.-; . demeure introuvable et la société avoue finalement ä H. Jakob qu’elle agit sur des instructions venant de tout en haut et qu’elle n’estJ plus droit." A »r°.J A 1988, apres une . rent A; i. JOUVHEII l Franz Wébéf ses mesures. "Mais ämon grand dé- . N“ zenburg. H. Jakob fut entre autres offusqué par le fait que les profils de senchantement,j’ai dü constater que la faveur de la nuit, 25 jours avant le délai légal permis. H. Jakob avait alors clairement née ä du pylöne n’avaient que 24 metres de haut, aulieu des 29 metres que le pylöne devait mesurer. Le préfet de diSll’iCi féjéta l€ FCCOLITZ les profils avaient 29 métres de haut. lln’avaitpasété les mesurermais un °°"" "”°°“ ‘“‘ ‘“f“*“" ““""°"“’"" l’appareil avait été mariipulé et indi- construction quait des chiffres au moins 100 fois inférieurs aux chiffres exacts." Par chance, il n'a encore effcctué aucun paiement. Il retoume alors immédiatementl’appareilmanipulé. compris Mon ; téléphone est sur écoute. Sinon, comment expliquer cette action illégale dc démontagc ?". —————-— -—-——-Ä- —-i-———AI a faveur dE a nm-t ' I "Vavais compris ce qu’il en était. s’en tient strictement ä notre ordre juridique puissent étre possiblcs dans ce pays." Ades fins de sécurité, il mene de d’achat avec la société américaine en utilisant uniquement des lignes téléphoniques d’amis et le télé— copieur. La rcprésentation la plus HO proche de la société HO se trouve ä d’avoir ces soupcons." En - collaboration avec des amis, H. Jakob avait introduit un recours contre un nouveau projet des PTT l'installation d’un mät d'antenne : J NATEL dans le village de Schwar- maintenant qu’il petit tour aux PTT s’il maniere Sherlock Holmes, H. Ja- d’un appareil de mesure intact. la presse, est ainsi lancée. Motif cet hom: Lufthansa nal. "S’il se rendait Francfort. »<· En réalité, au tout demier moment, Vappareil est transféré ä New York sur un avion de la me est de surcroitprésidentdetribu— 1=;?w-,e=-~~·i A la kob, le citoyen respectable,convient par réléphone avec le foumisseur que Vappareil arrivera in Zurich par Vavion Swissair XY. Lu fausse piste coupable de la méme négligence lors d’un proces pénal, cela pourrait avoir des conséquences désastreuses pour quelqu’un qui serait, ä tort, suspect", déclare H. Jakob.— Malheureusement, le géometre n’eut pas l’occasion de mcsurerla hauteur exacte des profils. Peu de temps avant son anivée, ils avaient été démomés lors d’une action me- Francfort-sur-le-Main. "C’est peu avant l’arrivée de Vappareil de mesure que j’ai compris ä quel point j’avais eu texriblement raison sait il un dimanche aprés—midi, il commanda ä l‘un de ses amis géomemre cadastral une expertise ä dans avoir été manipulé. A Et comme il convient ä un citoyen respectable, H. Jakob dédouane en bonne et due forme l’appareil ä La destination de directrice de la repré- Car bien qu’il n’ait essayé Vappareil qu’en observant la plus grande discrétion et de nuit et J kob paquet scellé directement dans l‘avion de la Lufthansa ä Francfort et peut remcttre, a lui et äson épouse, l’appareil intact et non du direction des travaux publics Beme ou est actuellement examiné un recours contre Francfort qui va retirer pour H. Ja- l notre poste envoie sans y avoir été aucunement invitée et sans le moindre motif manifeste une expenise négutive détaillée sur Vappareil de H. Jakob au service juridique de la HO joue le jeu de maniere exemplaitransporteur dc i donc que les PTT n’aient absolument pas pu avoir eu connaissance de son existence de maniére légale, canton de comme un r racome—t—il. sentation allemande de la société re; tout ‘ de sité de ces mesures de prudence est apparue ä peine 16 jours plus tard" , outre, veut cette fois entrer en possession rict Francfon, uniquement pour éviter que les PTT puissent une fois encore, gräce a leurs liaisons, empécher que Vappareil arrive chez eux sans En Mais H. Jakob ne se laissa pas aussi facilement convaincre. Un ce sujet. C‘est le mercredi que devait avoirlieulu mesure exacte.H.Jakob avait convenu pur téléphone avec ses amis d’attaquer le préfet de dist— nouvelles négociations 7 jan./few./mars 1990 }~*‘°°§Ä’ä“if ?„ä‘„?;‘;‘lE?c‘I,° üIi‘ܧi a ° ° —““" H » A » viron 600 francs. L extreme neces- doit jouer Mais je n’étais toujours pas persua— dé que des écoutes téléphoniques contre un citoyen irréprochable qui · Röle de Sh¢r¤¤¤k H¤¤m¤S Ecoutes téléphoniques ' ll I’exten— sion del’émetteuräondescourtes de Schwarzenburg. le Ces demiers touché. s’étaient ren· dus au plus vite par le train ä Solution de Vénigme H. Jakob a eu avec le foumisseur quelques con: versations sur Vappareil et son ma- niement, Par téléphone, naturellemem,.. U. S. ‘ ~ ‘ v r g; _ «_ g r ,6 A Une prem 'ére J ‘ ‘ Le gouvemement vaudois est désormais officiellement contre Vimplantation, par les PTT, de quatre antennes ä ondes courtes dans le Jorat. Il s’est prononcéace aux 38 communes concemées, a déclenché une véritable levée de boucliers. Au vu des cette situation, le can· ton de Vaud s’est définitivement ‘ 22 décembre demier, par lettre,et le 16 janvier 1990, parune conference de presse.sujet le · PH- om poné leur choix Sur plu_ de trois: -Dangerpourla santé del’homme. Sur ce point, le gouvemement reste tres prudent. A propos des nuisances des- ondes électromagnetrquessur le metabolisme humain, la version officielle parle d’un "domame encore mécormu communes du GmS_dc_ oü les preuves,·dans un sens com- . l · Chctchant un cndroit oü ils polmaicm installer des émetteurs amore plus puissams que cclui de Schwarzcnbmg histoim d·é1argir Champ d•éc0utc des émissions 1c_ · de Radio SuiSScImcmationale’lcS sicurs A . A , I p ' J e l rangé du cöté des opposants, avec des arguments quasi identiques... Ces arguments sont au nombre Vaud. Quqls Om tcmé dächcm avant méme dclcur révélcrl•exac_ tc nature du projct Tcnucs ä Vécm de tout cc micmam ICS au_ qmités camonalcs om nm par réa_ gif cn cxigcam im plan Scctorid Lequel, um fois étabü ct soumis me dans l’autre,mar1quent". lleste que face ä ce doute et. au risque inlrérentpourlapopulatiornles autontés préférent s abstemr. Cette ragen d‘agir est suffisamment rare (rin yaqu aprendrel exemple du nucléaire...) pour qu on la releve. victo' - Perturbations techniques. Le Conseil d’Etat est ici beaucoup plus convaincu. Les nuisances électromagnétiques des émetteurs actuels de Sottens et Chapelle-sur- Moudon font référence. Ce ne sont pas seulement les appareils électroménagers qui sont touchés mais aussi les machines toujours plus sophistiquées utilisées dansl’agri- gouvemement reprendces préoccupations ä son compte. - Atteintes au paysage. bes dégäts esthétiques que causeraient Vimplantation de quatre émetteurs de 500 kilowatt chacun seraient irréparables. Le Jorat est un site protégé, et le canton ne s’est pas fait faute de le rappeler. culture, l’artisanat ou les entrepri- Or le Jorat est une region sensible, notamment sur Ie plan agncole. Et on ne touche pas impunément au sacro-saint déveses. loppement économique. Clest sans doute un des éléments qui pese le plus dans la lgalance. l.es opposants a_1ot1tentquel’on doit se faire du souci pour les personnes portantdes pacemakers(p1lespour la stimulation cardiaque) et les ’ équipemcnts d alarme en fonction chez certames personnes ägées. Le décision finale concemant Radio Suis- les quatre antennes de se Intemanonale appamemcepend8IlIälHCOHfédéf3Il0H.M3lSavec ' le préavis négatif des autorités vaudoises et l’opposition massive de la région, reveillée A l’époque parties avertissements parus dans leno5du Journal Franz Weber, les PTTserontobl1gésde reculer. Méme s’1ls essaient maintenant par tous les moyens de passer outre en mvoquant le droit fédéral. ~ 0.v.B 8 N 11 1990 Journal Franz Weber |.„ ‘ - -. . ‘ Z N · -. - .‘ V · x=,— ._ -=i .; .9,-.., g _, ,; |Ü:| -. |'* _. N 2 |E- %° ii a |V.| ‘~ "- .- · Z . i .1 , .. ·‘ ·· ··· „ v - V _„| w V .:- -. .> -’ ‘V ·- - -· .· -, J. N_ ·—| J ·. . --| 61%-gfifä = . 'V - |-. |r t- V- y, -- , ,_ 1 1- ·’ ‘· * |ät «,,, am . »,,_., _ -i P -· V; ._„.·,- N |ett:. = „ ,. —F wi V-u · , N NN n . r , «- -. -‘ 1 es J|- ,« V „ ,. . «. N- NN.NNNNN_ N ' -. ,- 2 ., -N er| j· Ü. '* ,- -9 ‘“ ·. w, . ·- ~* .!Q;. ’ '‘-' 3 Z- wr = Vu.| ZP ‘· P -. jr ,154 ·‘ * '- Z ’" *< Z -, 3.| ·‘ l' .‘ -- .· ,. . · _ ·’5. -· g |‘* ü' ·- |.|" V ._| - .. «· _,N · L,.| R' - *|4 -- .t -- _|_| N .. ' N.| N N Y rl °' ·“ giiilff '=€i;zt·-Z --| r. _- . «- .. "’ ^~ |N. NN N V 'ii‘ '« *' I *2- —· « ¥- "‘ ‘ V V "“ ii V -„ -- T i- ,. Ii .. V ·« g- ;- ‘;| N *4 _ N ‘. 7.- N- _. " V- -‘ I -- ~· ‘ Vi -«-.-- V. .„ · ,. . -- 2. -l n. i ‘ — ,-.,. -lr-‘ |·’ “; -., ,N l~-W- - ' x ,. ‘* ’. .. ·: ~- NN_ N ·.| ;„ -‘ N *, N NN_ r' -‘ '• ‘ ‘ -- . N -- - ,— -. ‘- „. N -- N N " _N ‘ . Q _ ·• N V |Öä Nt ,, V 'i rg J. ’ · ' V r , ·# . ., VV ., ~ - N. NN ·· . _„ . . N - .V N· ~. N NN| NN N V :N,N N NN V ~‘ N .- V . N _‘ . N N V -- .N= ~' N N N ·= if 7 N V V ~‘ - VV·' . W N N N V Z. .- -- Q N ; N N |N N V ~ . V .. E.- v- _|. N N N _ N NN .- "· N I-‘ 'VW--;| " I.-- r| t P! ir {kW' «V ‘ ;« . N ·- .. j“V "|> N-' .· stift| ·. *’ ir ;t ~— _:.-,,; es .. .N ._-5-| ...N- --| ä' .. -_ |,„ ‘ _« ii V ."| - N V · -· · l‘ _ “’ . .„ -. 9;; $1 -9 ' - ,: .. ‘· |Ä! ·; ·. .. -= BJ lx V "‘ ,9| ·’ ·‘2-’>.‘<=‘ _' „»| W: -- W ·" "°t 9- gr " V .. * 2. ·-| |.· -· ’” w *’ .-| « -. Ü .- ‘- VV n -‘ .· HY . i ‘V __| 'Ä--'—{=/f w N N ·‘ .- _V .iyN -; 7 Vi| - -7 .' egzgey |J| N , .-| -, JS- .- .. *"| · . · V 'T ‘- _ °Ü Ä. ·· -. ·‘ V L _- ,_ - V N| ..; .. . zi| _,_ |1 “‘ . Ä? .· 9- - - . N., ‘ . V- |T .- _; "· .- J ·· gz;| ’ ~; gg -. ., ’” . f' _· V · V· f. ‘ -- - - - , .„ V' jg V g 6 |i’lg6| 606 6 d| I1ll6|ül|€ l l La c‘w1trul6· nuclcatrc dc L(’I}7.\'fCIll'I, dans /6* canton d A2 gmw, est la plus rmportante de Surssc. JÜUl·nal i Franz N° Nombieuses sont les études de haut niveau qui mettent le doigt sur les risques de l’énergie nucléaire. Celle du cher- N N. tes aussi-‘j ll Ls sous-Cemité sst im- ~ 9 jan./févr./mars 1990 .|V’‘‘‘i '‘l‘ .*·*‘‘ — Qi? ._|.. cheur canadien Petkau a abouti, en 1972, ä cette découverte HUSSI révolutionnairequ’1nqu1étante:uneexpositiondurable N| Om, So„,p,éc·iSémcmccS„ch,g,_ ches que les organisations pronu- A de perites doses de radioactivité est plus dangereuse pour la santé de exposition l3I'ÖV€ Ä des (lOS€S plus élevées. Théorie qui a été confirmee par plusieurs scientifiqucs mais que les mlll€UX IlUClé3lI'¢S Olli . NN |[ | :.| Nm CNN ii miv; |Prcgliiic paghasliud cn ii irradia sous reau des membranes NNZVTC| .. - .N Ü N. _ mé‘ Ü Petkau", récemment traduit cn francais. Virradiation se passait dans un laps . de temps prolongé, N Les tenants du lobby atomique vous le soutiendront mordicus: chercheur canadien Petkau, lequel concluait en 1972 qu’uneexposition durable a de faibles doses de radioactivité peut rendre une cellule plus l’énergie nucléaire n’est pas dange— reuse. Et si Nvous leur parlez des déchets, dont ils ne savent eux-mémes pas trop quoi faire, ils vous répondront qu’en les enterrant dans du béton ou en les jetant dans la mer N fragile qu’une exposition breve ä des doses plus élevées. lndubitablement, les organismes et les spheres scientifiques pronu- enfermes dans desNfüts imperméables le rrsque d’accident est tres mi- a une N · N N N Celanga&eest1rresp0nSablc.Et1l. devient pamculrerement tordu lorsque l’on vous affirme, que vouloir renoncera I’énergie nucléaire, c°est CQ¤S€q¤¢l1l, de la mätllpllleffois deeplus, V' VV ” cmpéchem U¤¢ _ N La découverte de Peikau, au- N iourd hui directeur de la division de brophysique médicale de I Atomic intirmée. Que ce soit la Commission N Intemationale de Protection Radiologique (CIPR), le Comité scientifi- ‘ Le raisonnement de base qui pousse a l‘utilisation de Vénergie atomique est qu’elle est rentable et, donc, que l’on peut en consommer plus. C‘est le début d’un' cercle vicieux généré par la "productionnite" iuguödenotre systeme économique. Au lieu de produire m0inS„ et de ne que des Nations Unies pourl’étude des rayonnements ionisants (UNSCEAR) ou la Commission américaine de l’énergie atomique (USAEC), les instances les plus concemées par le probleme posé ont préféré l’éviter, refusant la discussion avec Petkau, ignorant méme purement et simplement ses recherche; Seule l'Académie des Sciences consommerque le strrct nécessture - ce qui signifie renoncer au confort Superflu mais pas ä tout conf0rt—- on pousse a Vexploitation, au rendement,Al’aeeumulationde fric et aux dépenses d'6nerg1e. Impossible, des américaineapris lechercheurcana— dien au sérieux et, s’étre |sans pner, a copflrmé sestbésultats. Le sous-comité de *Ißlf~äcadémle (BEIR lll, 1980) ‘u fßtétluqtte €'le fait dessour- ces'·essemielles de ce credo économico-indbstriel,basé surun pseudo- N_ N N si,Ndans tous les‘pays·industrialises, “ . milieux officiels; généralemerit proches du lobby nucléaire, ont mimmisé la portée de la découverte du les V . N ha; gee, une dose 5000 fois plus faible que lors d’une irradiation rapide suffisait ü détruire la membrane cellu- laire. Dans une 6 - [958 dé'ä | ves. ll pensait meme que ces retombees pourrulem- étre A Vorigiue d’une augmemagion de iqgmssivgié de cenains cellule vivante, la membranecellulaire(qui entoure en . -————V - am gi-aVcS_ ’t röleniigfzgie Fixeuliéu ii; les radieau: libres lors des retombées radioacti- RlSqU€S 8ÖUS·8Sll|'l1éS - N N dommages infligés au noyau de ÜSVBUX des Organisdébouché sur des conclusions mcompletes et arnené a des mesures de protection insuftiPetkau répéta ade multiples repri- santes. Des le moment oü l’on conses ses expérimentationslerésultat sidere que les théories de Petkau ne changea pas. En 1974i le profes- sont Touioui-S Ia méme résultat . mes N N seur américain E.J.Stemglass a été le premier ä prolonger cette recher- che ä l’échelle humaine et ä l’homme ont les faibles doses radiolo- l000 fois plus dangereuses‘qu’on ne l’admet en se basant sur des études médicales ou les sondages effectués _ quelques—uns: • ' N- En 1977, trois chercheurs américains ont constaté un taux de cancer tres élevé chez les employés de au plutonium de Hanmalgré une irradiation moyenne faible. Les trois scientifiques ont alors exigé une réduction substantielle de la valeurlimite maximale d’irradiation admise pour le personnel du nucléaire. Il leuraétéréponduqueleursrelevés la protection contre les Ces lois ne teposcnt en que sur une hypothese, celle |.1%-‘pl1lS$9¤¢¢ que les cancers par irradiation ne se des doses radioactivesfules forment qu‘apres une mutation tesdans des membmries‘,¤¤li1üaäes.. sournoise dans le noyau eenuiaiie. artificlelles extste bien" et Des recherches menées en labernconclu que "la possibxlité que de toire ont faitressortirque des radiohelles attemtes dans les .br0membt‘¤· isotopes tels que le stromium 89 et. nes provoquent la formation de can90 intiltrés méme a petite dose dans cers laisse augurer quete phénomela moelle osseuse provoquent un afne ·se produit dans le cas de faibles faiblissement du systeme immundoses, et de doses seules "recomitaire, suite aux atteintes des radimandées , _dans les cellules vivan- caux libres sur les membranes cellu- ~ . la centrale ford. Et ce évidence les carences des lois actu- pour été largement soäs- Sur ce point, Ralph Graeub cite dans son livre plusieurs exemples. Nous avons jugé utile d’en relever aupres des victimes japonaises des elles le estimés. bombesatomiqucs. Stemglass a également mis en radiations. on n‘a jamais démontré contraire), il faut bien reconnaitre que les risques réels encourus ar tirer la giques (comme les émissions ou les retombées des centrales nucléaires) peuvent, dans la durée, étre de l00ä · plausibles (puisqu’ä l°échelon offlciel N sonnette d’alarme. Ilaainsi montré que méme ‘ officiels ont — effet .l'¤pp0¤ im/¢l*S¢ ueuiieuesqitpsiiuanreetdangereuse.·Reeomm¤·eNeeterst de faitserait avuuerla faiblesse, et méme le non- Ce n’esttinalementpss,1¤iNhasard ' ' les Energy of Canada Ltd, dans l’Etat du Mamtoba, n’a ainsi jamais eté sens, de lg démarchgiN- dévelgppemgm de cancer-g_ En URSS, le regretté Andrei Sak- la cellule, les ‘ . atta- ßisgusgign ygfusée · lors, d’ueeepter que l’une laires (effet Petkau)_ 0;, im sait maintenant qu‘un tel affaiblissement joue un mie important dans lg Pour nNav0_ P pm - Ces derniers ‘ pI'll‘lClp8lCm¢Ilt la m¢lTlbl’3l'l€ pguvent un jugQmcn[ Objgcüf la de caux qui déiienncm cette puissance ou qui s’en Scrvem ab0n_ dammcnt_ _ dgnggrgusgs ,3 [mg ;g,·m€_ de préciser que si elle est endomma— gée, les conséquences pour la santé ' SO[|V@n[ psaudmbonhaur im livre qui gxpliqug pourquog [gs faibles radiations nucléaires sont ‘ Par [pop V 3__.. L'ingénigur chimigrg gu}|;| |atph G;·ggubN gurgurdg "[_'E}j¢g; Pg[kau"N Petkau chiffra sa découverte et estima que, par irradiation pr0l0n— paru en °‘ ‘i‘ llt- -‘é~"e-sa„ "§*‘Z-‘?$-"l?-‘ä* le? intéréts énoriineséa par le nucléaire livre, - cellulaire. allcmand en l985 déja, vient d'étre " ¢l, Ce V completement absorbée - bien plus faible que lorsque cette dose totale était donnée par une irradiation breve, ce qui est le cas lors d’une radiographic, par exemple. Le mécanisme? Assez simple, en quent des "Médecins pour la responsabilité sociale" (PSR/IPPNW-Suisse), dans son livre L’effet Petkau ou les faibles doses de radioactivité et notre avenir irradié. accepter de sc passer de tout confort. peur Chll‘l’llSlC suisse Ralph C«raeub,N membre du groupe de travail "Radroprotection" Bogaen se rompaient sous l’effet d’une dose radicauxN libres. N l”IngéI°tl¢Uf - - de Voxygene qui peut prendre, par irradiation, une forme haulement instable et toxique, qu’on appelle revélation. C’est ce Ntelle qUN”CXpllqUC _ ° N- membranes vérité: le liquide cellulaire contient cléaires avaient tout intérét ä se défiler dans un flou peu artistique face Hlmß- Pai, Oiiviei, Van ‘ les eisiemrauxt • :- · . V - En N 1978, toujours aux Etats-Unis, deux scientifiques ont décelé chez les ouvriers des chantiers nuvuls de ; i Portsmouth occupés a réparer des sous—marins nucléaires un taux de leucémie pres de 6 fois plus élevé que chez leurs collegues non expo- Ä ’ sés. i N“ 11 jan./lévr./man 1990 10 JOUI’ll8l FI‘8I1Z · - l _ est évident que n’importe qui peut il NN. _: q| ; NNNN. |l tion compte. C‘est également avec des ceilleres que Vestablishment nucléaire a con- méme q puisque, défenseurs de l’at0m¢ parlent de risque calculé, il est totalement impossible d’avoir un contröle précis sur Vévolution ä long de biologie allemand Günther Reichelt. Pour avoir osé affirmer que, |_i V E; A . |NN| J v V N gn gg 5; ;„|==V N . _ N NNN ij NNN_ .· ’aiutresdittédis a ice ä V 5 Comme “”$ l |· Ralph _ ni prévoir les de la croüte changements maténels des déchets et de leur emballaaltérations éventuelles terrestre, ni les , , le P¤'0C€SSUS d°éf0SlOl1. gßzm Paquet encombram ” le JoumalFran§Webern6EAl’heu— _*’ l l ce siujct aru ans ra u le . tres spécia- mmnqnc les". Graeub, on ne peut NN NN. terme de ces "ordures S<·=l¤¤scsrelevés.lesforétsproches N ·· indéfendable si les descemrales atomiques sont pamculierement mal en pomt, ce scien— tifique de haute tenuea été littérale— travail [nainé dans la niérltalt pourtant dc servlr de b3S§ ä . N du stockage. Une solution par- faitement sidéré les recherches du professeur i la solu- impuissance a conduit a te ge pmtéger de tous les maux et ä bon V q Wébéf _Ä Pmnnß vc rc ¤¤t··@*‘<=~ · ;.··- qU€l' ·‘ V , _ VN xi., ix N NNNNN . VF xi?| de le P"‘°?“‘?"‘e"° de "% .V Mais rets. NNNN V- Le atomique 56 retrouve dom aV<=¢¤¤ ¤¤q¤@¤¢¤¤¤mbr¤¤¤S¤r les bras. Et cherche ä s’en débanasser a Ollon ou ailleurs. Avec cet argument choc: "vous profitez de “‘°",d°$ f°‘ qu aucune est certain il défmlÜ' Öl lTl£ll”IlÖl'€ C€I‘lCHln€ NNNN - hypnthége ne doitétre exclue d’em- ~ .;~,'<f·;;;. NNN |in| V A gi N --;L} ~ blée, · , I - N énerälc nücléaire, acceptez-en aussi es nuisances." Mais, listel - V il ment, N l V kk: . _, · __ V _ "| ;eVViVF*· tl| “ V. N_‘‘ N $Jj L; gq| L2 · V e V ürggä _A= |__ ‘ ‘· v d’Oll0n a été le théätre d UNS VlV€ controverse ä propos de _;;•— ‘ ‘ · rl| NNNNN ·|i| qui recherchent un site nour l·’entrelposage de déchets radioacnfs. La mumcipaltté et les habntants d’Ql· jf ‘ · .|};.| V · V N| _ q _ _ ‘ _ gg) |_, ontmeme engag une véritable par_ _,,„€_,q}qn, ' ' ' Ollonfait de la résistance tie , de bras de fer „ _ ment ‘ avec , . ' <E¤ *98% des t==¤¤<2¤% ·¤*<·=¤z¢S du Depmemem emeneem del en"' le tuées aupres des ouvriers deldouze les es... gouvemejoumaux, ” dans la um meufs du P9““}°“· notam- _ ‘ $1** . e°“‘"}e 1 “$ed‘e"°“ “e‘“"ä§ .eS‘ me}“_S}‘PP°“e' des _°See e Ye ‘°' °°V"§a“ ef ägéläläesäggägägääziggjäcljgä; „ „ _ temee Cette recherche _de‘}“e eeeeelen de elenfler ee‘em‘ü' Mme eemme en ,„ I e dqe V“* le g;=Igg=;t§;r;;<};;jj ;gg¤;;j;g}; ggg; ggg; ggggijgrgääj radiations fai-· de prendfe en compte tous lee feeteure de nsquee Autre exemple: les centrales nucléaires laissent échapper du Cryp· ton 85,un élement radioactifqui met 10,76 années avant de se réduire de moitié. Il se trouve que ce Crypton 85 a des propriétés particulieresz incxte, il ne provoque pas de réac· , mms pmlengeee Des °bSer' vations radiobiologiques et épide- miologiques donnent ä entendre que ces risques se distinguent de ceux qui se basent sur les relevés faits avec des doses élevées mais sur un bref laps de temps, et sur l€Squ€lS reposent GHCOIC les calculs de risques habituels." Petkau et Stemglass n’auraient pas dit mieux. I ' Petkau, n’étai¢nt pas continuelle’ ment devaluées, 1l y a fort ä,paner_ que les pronucléaires seraient large- _ Comme des pronucléatras chacun le sait, nous vi- von; dans un bain de radioactivité ä elle et ont trouve un équilibre. Mais Vaccumulation des radiations Lt V_ . V I _ — Ü ’ _‘« V_ e ' · V· - l |". l l , ; e ' 7 _ \_ ä q ‘ V‘‘‘ ’ E- - V ·RHER;l6lL| |_» 1 .. Äie l..:~ —; ;;; /’ V ,/ gg g·V T V » n , V ,l „^ ._ { “ ‘ |ii; __A ;_ ‘ *n ‘ ‘ • . 6 _ · ‘· l —\ ’ V*‘ — „ . > . U 1;: ' V leute chosc ä faire cs! de HG pas mettre du Crypton 85 dans Val- _ \_ I g; V, Ä f ;‘|; _ l „ champs électnques, Au vu de ce bxlan, chacun convicndra que la tel discours,. ·» _ · Rmdumoe i ¤¤¤¤¤¤S g¤w1V¤¤¤d¤S ct sont int"1mes...Avec un de la theorie | de mécanisme naturel connu pour le prendre en charge. Par conséquent, il s’accumule, crée une ionisation mosphéres Lediscours pronucléaire répondä celaque les émissionsdeCrypton 85 comme ment minoritaires. Fou; marc, haas, les imbricamms cmmcs Beme lelobby atom]que et le pouvoir politlque hypothe— quent tout espoir de changement | ' Q ‘ ‘ V , · I l V ' ‘ naturelle.Depuis des millions d’années, les organismes se sont adapxés promettantes, de déchets rad1oact1fs,qu on ne sait toujours pas commentéliminer Cet- . supplémentaire, _peut tran§f0rm¢¤‘ L’aIibl la V; un prolongemgnt niers trouvalent est vicieux. des choses, ä savoir le probleme insoluble des dechets nucleaxres, elle méritetoute notre considération. Car il y a maintenant trente ans que„l’expl0itati0n de l·é„„glct qu- tionschimiques.Iln’yapasnonplu5’ · des SUSPICIOHS de ¤OmbI‘CuX SCl6m1- eingangofficiel,et si certaines données com- Waden per ge- si elle pouvaxt prendreconnaxssancle qultte ä Enrevanche,si_unepareillerésistance découle d’une vision plus globale cléalrc Sc ofticiels . bles ment ce misonnemem tree fa‘ble· __ résulter de doses de commune temtolre de la . . ~ u gie nucléaire a laissé apparaitre Sw} $¤¤¢i ¢S¥ d’éVi!¢F l’i¤Stalla— tiondune poubelle nuclealre sur le alors léigäiilgie gg 1 . . » _ dléncrgki Si la population bé_ néficiait dinformations cmnplegcs, lativisémmPommccdclaradi0acti_ —V i.„«é„„a„m de 1984 s„n·é„„- quqm Suisse Sur deux est comm cc Si, # ” ment égomc che { cléaire". ls V - s Pour justitier Vaugmentation du n1veau d irradianon des centrales nu- cette attitude, la jugeant N fort individuel "alimente par le nu- certainséditorialistesleurontrepro- =·· älevträecäaetnggeeieexlgäängligaeßc vés ue prévu- 9 des 12 études -q ¤V=¤¢¤*¤bS¢tVé dc 50% des eas de *¢¤1¤==m·<=-==¤·¤ eleve de t"' e l'autre on jouax , Pl¤S.d= la r¤d·$·6=¤¤Vue nemeeue fragmse eet eq“‘hbre‘ ¤t¤“<=¤=“=S gie mentionnant les études effec- . . . . Dans cantonal. N - de _ _ q e par des propos rassurantstantötpar des menaces.D’un cöté on occultait savamment les dangers de l’atome sous le convert d’un label "sécurité travauxexploratolresdelaCEDRA, -N.. y N l l ll l V ' commune <¢ N _, ' by atomique n'a-t-il pas déployé des efforts démentiels pour dévclopm ' · perune propagandequnn accssé de mafteler l 0plmon_ publique {amg; Dansl‘actual1té récente, le canton de Vaud, et plus précnsément la „N... NNN· · le _ · V 1 peuple a—t-il vmimeln pu qhoisir en toute objectivité? Le lob- 1* |iÄlÄ‘?„l.‘ÜÄfQ‘|n| l e l “ ~ J| t ’ - v' “ ’ ;· 1 ' " ‘ Z V " ‘ _ „ l ‘ =‘ ¤=#§*¢ä' ‘ l ‘ — ° · Tchcmollon . . fl . l _ I JOUI’Il8l N“ Franz Wébéf ll - jan./févr./mars 11 1990 ° Uinitiative "HMJE All BETONNAGE" SGI? S0l|I11l$B all le 1 avril |)Bl||llB 1990 I l Dire · OUI a cette initiative constitue une nécessité absolue! "Halte au betonnage - pour une stabilisation du réseau routier" Iexprime une volonté d’équ1l1bre et de moderation. Elle propose de limiter l’extension du réseau routier suisse, parce qu’une telle l1m1tat1on est nécessaire pour irremplacables auxquelles le peuple suisse est attaché. Ces ·valeurs sont d1rectement menacées par la croissance sans fin du trafic automobile. Car l’initiative |desyaleurs de nouvelles routes la oü elles sont njugées nécessa1res: elle réclame simplement que la densité globale du réseau n’augmente pas. Lorsqu’on ouvrira une nouvelle route, il faudra récupérer une surface équivalente sur le réseau routier existant. Qela n’1mplique pas de fermer ou de détruire des routes, mais de consacrer une partie de leur surface a autre chose qu’a la circulation. Ijinitiative n’e1npeche pas la construction · t · · OU I aux valeurs irremplacables que_sont, entre autres, la beauté des Dites paysages, le calme, la pureté de l’air, la d1spon1b1lité en terres agricoles suffisantes pour nourrir le pays en cas de crise intemationale. ‘ ~ des. L’acceptation_ de l’initiative apportera des progres décisifs pour la sécurité enfants, des piétons. Elle sauvera le centre des villes et des villages du bruit et de 1 la pollution provoqués par le trafic. _ ii Pour toutes ces raisons nous dirons O U I le ler _ avr11 s a _ Et nous Vdirons 0 U I aussi aux soumises au peuple le ler avrill · 1 · _ _ A_ l’1n1t1at1ve "HALTE AU BETONNAGE" initiatives "TREFLE" · y p _ . qui seront également HELVETIA NOSTRA p * 1 'e · ‘ · A‘ ..... ·— » g«1t·„%|:;AÄ,|A|,‘ I A A 9 V l { V ee. ’ e· V ~;, Q . V ‘ · md;| · , .V¤E ‘ ‘.|.| 1 |_, 1‘1·ll¤ |1|*|äln| T V - . 1-| I i 1 . A 1 l |„ V ci ‘ in 1 « .g IAQAEA? V1 * i ”l i >· Ö E — „ . ‘ l<~‘|i*|t|?l¤“ V1 :~| raenilrl| iz · ,..‘| |K?-<„”„Zi£?‘|.~·¤I| " ’ · V Ti ."“| ‘.| *1*1* 1· ml| · 1* .. ii ii ' ,.., „ in I l . i 1 |wi V j|l| ortglne VL V ;_ ‘ de Ia vie I , i 1 Aibgyi Einstein dgmandg "yaimerais savoir comment Dieu a créé ce monde." ; A ' . „„ : 1 «;V‘%$‘%’,| ¢‘;;eé;V?éT:;eger;?·:~ V". ,‘ „ «· im 2 i A ·~ siciens désabusés, c‘est |B5; #F*-.;'. ä · ·* ·?.s-‘ . ‘ . .. I 6 5 gene des machines ,1 ·iAiV*— j it survivre — des V ,_ 9V - Savollsäe nen comment ll est Vée lqmelll Car POPVAICS PhY$lcl€nS· e ‘ de ll @$l Pas le vente qm eempte -s « l0lll€S les lll1llll€l€S„ Ö UH Püllll de l llllll/¢_f$ 6* · · _ , vue ¤bs9l¤„ elle ¤’e><lSte PM <l*“" l¢¤l lmüge du m°nd¢· C6 ¢lUl¢OmPIe~ lé‘ P0lll GMX, Ce sont des modeles dllllß de Clweun S en lßbnque ¤n.vo¤dl;; aV0lVl€ PIUS böüll €l PlQllg¢? dans “ 6I_ miele les égofstcs appclécs géneg" Nous POLIVOHS I]21[Ul'€ll€lTl€nt sul} primer ici le mot "chemin de fer . Du reste, bon nombre de scienllnl (lll Ull C16 ll0UV¢a“ ¢l“l le nn ' ‘ · ,$ ij} 1 V . ‘ äcüdémlques que 9998 devons wen-·· dre la {éP°nS° ä le 8Va“d€ qlßsllon de le VlßNiels Bohr lui-meme dut recon llälllm que le PhY$lqU€ ne mins de glalldü „ par ‘ U VSU a S pie mann I I _ ‘ robots aveuglémentprogrammés en vue de la conservation des molécu- ’* I “' dnllc Vapanage de cceurs féminins romanesques battant aux accents d’une rengaine sentimentale Quelque chose d’un Peu pénible, méritant au plus un sourire désabusé. Comment pourrait-il en etre autrement puisque la science “a élevé le doute au rang de vertu" (Robert Merton). Ou encore que Richina Dawkins, dans son livre "Le ' __—4 Ce "C‘cst L’amour... Pourbeaucoup de phy- ‘~'' .’ eme 1 Friedrich Schiller répond l'amour qui dirige les spheres les unes dans les autres; les systemes mondiaux ne perdurent que grace a |f|; "L’0rigine de la vie reste l‘un d8$ grands secrets des sciences de la nature" reconnait sincerement le phy·V sicien anglais Paul Davies dans s0l’l guvrage "Dieu et laphysique mo· · ' ques honorables ne se conduisenul différemment de jßllnge é¢9ll¢l$ Pa$$lQllllé$ de mcldeles rg est vrai, pas i 1 - ·1 1 ‘ ·1 In l I A , .A „ V „ ‘ i 2 Merci bien Dans ce cas, nolls pouvons tout de suite nous faire tomber surlatételademiere pelletée de terre si c’est la tout ce qu’est ! I U i·amoI„__ d¤l!S de Chemmde fer, Ces ¢<>0lletS ne reyendiquelll Pag er lellf lllüdélß Fédllll Clü ll Plnese .m_ pliquer les secrets d un horaire l i 1| 11 “‘| 11| V 1 V.1 1 in| in I 1 TY V V V 1 |L|“ |1| V| >i I .VVV |Y| 1 <V ;1 V1i 1*’ 1 V1 |$3| 1 V V — L 1 V V1‘V' V 1 V .V 1 li ,V V V V V 1- 1 1 1· V V I A ·— 1 1 V| {1 1 11 V A« 1 V 1 us |#1. V V ._ ·— V V 1:;-e| V , V |V VV V I 1 1| ~e1 1 2 ,V AA VV |VV _AAA AA A A '” VV V AA AA|AA A z.1··1 V1 V |itt11‘ AA AA AA A A A 11 |i’ V 1 1 1 V V J V *1 I I V V .I VIII A A V Slqßremé licn (et pourquoi tout fonctionnc en cherchcr les étoiles au firmament comme voudraicnt parlois nous le tlcpitdul‘;titque11ie11ncfoiictionne). V. A faire croim an route lettres d'amour mais VV LBITIOUT €Sil3 FTIHÜÖTG bonnc il fait IA _AIAI A A A ° 1 11111 1 1 foi les que 1 T les 1 étoiles rcstent la ou elles sont. L‘amour fait que nos corps ne tombent en poussiere qu’apres avoir at- crigineiie V |me; ~ 1 V V A V. teint demeure. L’amour est la force qui atout créé. la puissance qui maintient la cohésion de Vunivers. L’amour est l‘essence de Dieu. ll jaillit en permanen- Nous prions donc les scientifiques de retoumer a leurs modeles réduits de chemin de fer tandis que nous essaierons ici de découvrir la trace du grand secret de la vie. A cet effet, nous n’avons besoin d°8UCun Sherlock Holmes, pas plus que d’une longue—vue ou d’un microscope, Jetons, par exemple, un regard sur la plante en pot qui orne notre intérieur, un joli palmier ä feu· illes effilées. C’est une créature de l’amour. Le papier joumal que nous malaxons nerveusement entre le P0LlCe et l’index: une créature de Vamour. Les pantoufles qui nous chauffent les pieds : des créatures de l’amour. Et pour ceux qui affichent leur derniere V Ü. 1 3 |; .. _ I |9; j j' j ' 1V| V P |U| 1 V 1 111V1 g 1 I des maintenant leur scepticisme, savez-vous ce qu’est vraiment l’amour? L’amour est la plus grande force physiquequi existe. Il ne va pas nous 1 14 N° 1990 ll ·jan./févr./mars JÜUrnaI Franz _ ce du coeur de la creation et s’épan— che dans l’univers, encore appelé Peut-étre y a-t-il derriere tous les hasards une loi si simple et si univer- deroulant, se rapproche du noyau noyau de entre autres "matiére originelle" ou "énergie originelle". d’immeubles de béton. Il n’est pas surprenant, des lors, que les enfants selle que les arbres cachent la forét ä ces messieurs constructeurs de l’atome attirait de plus en plus ä lui soient tous plus bétcs lorsque l'enseignant est sévere, insensible et chemins de fer miniatures. Le prin— cipe du chaos ferait-il vraiment rage sous la coupe arbitraire du roi ha- Retenons notre souffle Dgg gygtémgs s°|aiygg Iummeux - V V Dans ce cas, pourquoi notre n est-eläe pas dgputs longtemps some e son or 1te pour se „ lancer dans une course folie? Meme le h sicien Paul Da ies doitrecon.n naäry C que considwg Vétrc h al. l V .. V .. ' sont, entre autres, les électrons, les atomes,lesmoléculesetlescellules. Votre main, tout comme votre une a Crayomlc palmicrcnp0t0ul„airquc Vous rcsplrez est consmué d „ ammes, minuscules systémes solaires lumm°ux‘ car un atome estl’exacte réplique miniatu— re dqm Systémc Solairulc noyau de Vatomc mpréscme IC Soleil ct ICS electrons les planétes qui sont en orbitc amour du Solcüe V g n _ du °°““° ds Sans lclfr **1***** surtqé A · H ~ · · 8m0U|’ A doive necessäirement y avoir lä une force maintenant la cohesion du tout, une force ä partir de g °?mm”°Fm°m‘ • il Y_ a · de ~ ä dw i et ” ¤l‘?°*'! *!° , 9., Y r tn m "' ^ VKIUGV ¢ amülll de la UVP no"? °°“f°°"°““°“$ es b'S°“‘ tS_ de Noel Pour étre un bon P‘*{*°“a“¢· “°“$ raba°htm ICS PSY‘ sans se ’_ cathedrale est g # { ;ähéa“¢§· *‘_“?“S {a“*f““¢ P¢*i<>“¤¤· ‘t us (mc et q“‘_S°‘t a Plus }; Ä "°l°ma‘K° Possible car ¢¤_ fm de compte, il nous consume tiéjä suffr- A pr sammem cet amour qui est plus épulsant que trois courses de marathon quotidiennes et nous essouffle tant qu’il n’en reste A coup sur plus 6l hommes Om · mcamauon la moinclre bribe pour le reste de , - ÜÜ { t Vhumamte. p. · • · L amour doit jam"' de , I convergearent, leurs pensees toumées vers Dieu, et dont ils ressortalent réconfortes. lls étaiemhabitésd’un profond respect, désiätegme, qu°il»s’agisse d’amities, de plus en plus resserrées. comme la laine d’une pelote qui, en se de mariage, de relatrons entre pa- rents et enfants, d’automutes ou A AA , AA Voulorr produire de amour avec une "forte personnalité" est ä Z; peu pres aussi fructueux que la tende creation de Frankenstein, dont ilaresulte un monstre ;c‘est un ·—essai avorte qui n’engendre que le malheur et n'a rien ä voir avec un etre humain authentique et plus prectsément avec un amour authentr- d’adoration et d’amour lorsqufils passaient le—seuil de la maison de Dieu. Aujourd‘l1ui, ils apportent dans les cathédrales des appareils de photo, cies problemes de digestiouet bites eIliptiquesuniquesenleurgen+ re, ¤m§¤F•f¥ est VF¤lm¢;l¢ mwiiEV C°mP"g"'€“· Cm q"' "}é'°_ ·; tative ä , que. Sil’amourexige des efforts,s’1l est malvenu, alorsil n’est qu’un en- — · äcaglt _ · peme A ie fois unique et universelle. Observons un atomed’hydrogene.‘ll‘ un senttment de colere parce qu’1ls se trouve au debutdes elements avec trouvent le prix des souvenirs bien un seul "'solei1"/{le noyau de l’ato- trop élevé. H n’est donc pas surpreme) et„une seule "planete" (l'élec- nant que les cathédrales se desagreUQH)«“°°MQüÜ° ditle scicntifiquc patgem peu ä peu. Naturellßmeflt, les cequ·’i1;i‘i‘aApssFle don de voir comsubstances toitiques et les oscillament cetelectron décrit des orbites tions paräsites agressives rongent de plus eri plus rapprochées autour felles aussi leurs murs. Et il est vrai du n0yau qui est son soleil. Des or- que li eu lfamour manque, tout se _est q la vérite. Vostentatoiré mas- pmir de cette substance de Dieu qui ‘ pas resolue, enigmes qu’elle peut confortablement lui mettre sur le. dos. "Le hasard est la signature se; crete de Dieu." Peu!-étre ce prover· méme ‘ « ,La science d0it beaucoup 3U C0m· pere hasard. Sans lui, elle devrait avouer que plus d’une enigme n’est _ ‘ cotre sur le capot ont éte creés ll A siegesdecuir, sa boiteävitesse, ses pneus et . gs tfmmptg °“° ‘°“"°· de I3 $0lf df! p6I'f€C— tion. Dans leurlangage de pierre, les fenétres et les piliers élancés d’une cathédrale gothique semblent vouloir dire "Plus pres de tot, mon Dieu". Auparavant, ces cathédrales étaientdepuissants foyers delumiere, des points de force vers lesquels les de la benediction du prétre parce que sa carrosserie, ses beaux e ! cs? pqrfaitcmcrgt q · réjouit d°, “°“,d° Plus ‘l“,““° S““°” ‘°°‘d°"‘°“° d° mms ‘l“° le haäßd ° "°“l“ ““°‘ mimds 9*1** N¤¤v¤¢¤¤= d° B°°‘h°"F“ "°“°°"“:° ‘°“‘I°m°m f¤¤¤·t=, d_“¤¢ m“"““d° dc s°“S h‘“”m°° m¢“X· · qu’il poursuit sans Une nene du qcréateur, Oui, méme une chose aussi haie qu’une voiture se *“}SS‘· Qu “°P„ ~ , qui aspire constammentäapprendre et A serapprocher de la perfection. . rien d’autre que la substance origi- D°S awmcs qm Sc s°m°m rF“°°“' trés SUV ““° $°“° da déP°‘°“ p°'·“° f°"“°‘” ““ sY"ém‘ q'é“· Par h"”·'d· be tibétain exprime-t-il . ‘ ÜOYS a““°‘l'5‘ P"P’°d‘{"d“has”d· WQVÜFT V, l _ geh, V V fo er our Souäis’ aim - ment beaucouP demander L'aturance au sem de l’atome estle resultarde l’amour nous parvient du tréfonds de l’univers pour se manifester dans un étre humain, un arbre ou une pierre, et méme dans un refrigerateur, n’est 116 S§1'8l¢¤¥ ,, _ · A soucrs. Exrger encore de l’am0ur malgré tout cela* c’est vrai‘ laisser troubler. · main, aucun arbte ne seraitné. Toute 1'energie, toute la substance qui ¢¤°°V¢ Z $1 °$ a‘°m°S °“ m° s· Ü? d¢VF¤*¢méU’¢déP°““’“§ de °°“s? . - moum au ägéß DCS que des ' Vqniour. C’est,l• force de créattqn origmelle sans luquelle uucune étorle, aucune pierfe, aucun étfe hu- aussi pcrsonncs ' Au' P9“mm• l?‘SSP"S lä °°S s°m°“°S vicm cnün ä t · A V SGCTÖTB U6 Dleu il nous faudra encore Vaccucmir chez nous Si pcrsonnc nc „ „ „- : ·‘ A Le hasard’ signature scléros„ées qu développés que nous connaissions sur terre Vuranium. Chaque électmn 3, an comraire de Ibequcqup d’étres humains, un objectrf fixe Mais qu’est-ce que l’essence de Dieu ? C’est l’amour, la sagesse et __,_„ armes de grand_mém Som tcucmcm détruit lors de la fission nucléarrc l‘un des elements les plus hautement un cherninement de pensée long et sinueux’ Iuidonner un nom:DIEU. la puissance. des hcurcs Supplémemaircs?) ct les m8|'lqU8 I BITIOUI', ll p Sonpcc vraiment L’étre humain, soit dit en passant, laquelle toutaété creé, Max Planck, lui aussi,l’a reconnu et il aosé, apres V l'ep0u_x fait trop d’heures supplé— mcmwcs (mms tout S8 ÖÖSHQTÖQG V ' lm · OU ‘ ! ' II I · l..——..._.. Qu’iI place ä sa boutonniere une fleulf cueillie sur une couronne et quitte le Heu cn faisam un Salut ä la {Onda $°"¢“$· / pLä i f°¤¢ü°¤“¢· A]9*'S lß 1 _ que constitue UH ¢adHVf¢„ que le mort souleve le couvercle de son cercueil au beßu milieu de la plus est V » , te rwuvelle. Et il faudfailégaléméüf clouer le plus solidement possible le couvercle des CerCu¢ilS ¤ä!‘ Ü se POWTRÜ! que la Vi¢ f¤SS¢ Süudain ü'· mption d3llS l'amas d’atomes m0I‘IS G°¢‘h° “° ‘ II (d’expérimentati0n) morts afin qu’il en résulte une entité vivah- C I P l etape 79, rl représente donc un stade de développement relativement élcvé! Au COMMFHCBMOM, y 8 maux mnd exploser ses lrmttes. , dcmuction lopper sur des plans supeneurs. L’0r, par exemple, se trouve déjä ä ‘ I pour nous temr a nor, avec na de l·Cm,imnncmem’ phOmur ct a al-deur ou— que lc re_ gäfd S6 POSC- C”¢S! p¢¤!~ötfe un peu tmp dcmander que dc vou ou encoV8 ¤0¤$ f¤¤V¢ Fépändfé partout de pamour LC ms ne poursuitpas SCS études comme on S•y ammdaik faire, . __ V clence. NOS CQTPS _] ~ ¤l{0¤S autourd hu! §¤fflSamment ä a bd€““°°*;P : .il_..T wm belle des eérémonies f¤¤ébr¤s„q¤’i1 .l A Sa conclu• { 1 sron : "Ou bien nous voyonsl action de Dieu partout, ou bien nous ne la VOYOHS mmc Pan Un ßmmc est mo"- C° n est q“° lmsque de ammes mms révnis q¤¤ la vis ¤¤¢r•= <=¤ i¢¤» nous dit la science. Interessant, non? AMS, ihpy auraitplusi cn fait, qu•ä mettre en tas suffisamment d’ani- — q ‘ V est pratiquement nulle." <?¢» V trque, · p Pard0n,me d1re;—vous, mais nous une musiq ue com osée de huit sonS qui se manept bp ren I électrons Lies epiettent tous es spns argqnrqucä) a pamourä, cs Sep age ‘ äéqu; ve oppement une octave 0nda— mentale! Pourtantl atome d oxyge— ne, lui aussi, n'aspire qu’ä une seule chose croitre, apprendre, se deve- de pnc ame- un tel nombre de eombmatsons possibles de molecules que la perspective d une combmanson exacte due au plus pur des hasards sc‘°“- Valse °°“$C*°"°°· car P°“V l? nt' ent le exrste Il d° la m°‘“d‘“° P J fois fait mm · _ f‘SS‘°" [1 , . - apprisenc emm; atenie ogty ne représente un etre vrvantqurs‘gest dé'ädé asséseptfois uiadeäse t mentii ompts eäéno cu esüonte; Ongmc. CS mis. a m.a lb? presque tmmagma ement mmlme. ICgäggiélgfigfcnékégciifnäägälgaig • wg ADN, cette mo- l l , Coä ' le __ · , cfm S°'°'?‘° °‘ *3***$1. .‘g°Ii‘,°·‘ ‘°’““ simple montre 1mmedrate— tion spontanée del mventetirs de la pédagogre et de Ia ie, les Grecs anctens, le savarent dejä. pedophn . l’atome d’h tion Pl U Sél°vé nisltc wcnmé da énc _ prentissage sont minimes; cela, les . l · aimer et lä oü .il n’y a pas d’amour, les succés en matiere d'apsignifie A . Went qvc la Probabilité de l’appari- V V de deux planetesl. atome. les a pour amsr dire expr„ , , rees L atome d helium a une osc1l— ." äsfü P? surdrt statrsuque. _ne_sta- trstrque V V F peut-étre méme sadique. Apprendre : äesormars m du d “‘F d h com"? “" s’il l"'aspirait". lorsque la fusion est accomplie, nait Vélément suivant surl’échelle de Vévolution: l’hélium, un "s0leil" qui est entoure terre · comme l’électron, sard? H Nest absolumemricn de visible ou d,.mvtsr-ble qui n ,é mane de cette „ energie de Dieu Ses composams : c’est presque comme si le A fpnt de la peurprnais ce n’est pas de t ‘ l $m01¤'• l = !'¤§qlJl§?10l1§\8$¢ {_ ‘ lepersonnaltté humaine dit: "étten- donne mon amour let tu me donnes en echange la rnotue de tion, Je te _ . T .ton sulaire, ton nem, ton prestige, ta sécuntei et en plps un avemr . Der uombreux rnanages sont construrts surede tels sables mouvants. Deux · j q p · p Joumal Franz Weber N- 199015 11 __ 9 "Q9 9 r pv I 9 |~7 l| ‘ 9| 9 |99 9| |91, ,-| O ‘° 9 9 *e„ 9| 9 9,, ~ _ 9 _9 __ ‘ · 9 |,/ ‘ '_ , ‘ · 9 ‘ , |9/ Q?|9·9· ·~9 9 ‘- · I xy I ' |9K |V · - 9 „ 9 _. ' .° , · ‘; 9 - . ge. · 9 9, ‘ 9 , ’; 9, • -: |999 , . :9 B 9 ,» ·t ° ,} 9. 9 9 gi >_r ', q __ qq •« 1 ‘- 9 9 x‘| 9 ZE |Ci 9 " l -9 ·' l , - 9 h· ,- 9 0 Ä,| 9 9 9|4 9 |9 Lu lol nurtrrel/e ale lu .s‘6/vctiou selon lrtque//1* le p/us_/kart zlétruit toujours lv · / r/us Ui/J/v vs! ä t1ll.§'.S'l' etvst un zroduitz/e /61 >vns6e lzumuine err0n6v. Cette [7/10/0 HIOIIfl'(’ ('(IHH7Il’IlI Cette p/1010 mmttre ltIU!lÜl‘<’ ”H10I'fc’” HH tlluttultlf vu tout/v. 6mel tn1pui.s·.s·u111 [NIS tlv apparence sans vie,phoro_t;t·u;>/tiédans .’ lll H(lfIlI‘('. lIl'l‘(’(’ tl Cl/l’—I)I(’I)Il’, I’('(l_QIl l'I'tlIHI¢’Ilf qui 4/vui/lv 6/v l'll(I/(’_/ilI'l)I(’ quv/quvs /let!/‘t'.$‘ vt tl alt)/u' pet':/u [lI'(’.\'([ll(' Irßutv XUII individus angoisés se raccrochent l’unäl‘autre dansl’espoirde former cn ainsi une bouée de sauvetagc qui les empéchera de couler. Et ils s’éton- nentensuitc ue la chose finisse ar ,9 HC plus et pilf S CCh()UCl'2\i()[‘S l‘amour de sor. "Je ne me considere pas comme si im ortant ue e veuille me mettre ,9 (l[)])/'{)\'/.\'l(Il]II(' Vhypocrisic d’une personnalité qui Je C‘est lä La seule ä ouvoir arler ainsi est iration. Ne sacrifiertotalementpourlui '.Ce qui qui nc peut el ne pourru Jurnzus faire émaner d'elle-méme l’amour. Exiger de la personnalité inférieure SOHHC Sl noblc n’est HCH d°autl‘C que qu HC (ITC, , lc juge des tlivorces. jetcr des llcurs. ton prochain comme to1—méme .Et non Tu I €ii‘0rCCfzlS Ci ulmcr ION pf0— ll mon pour faire me sulfit me de partenaire, CC elle illme, Serzlll Ull l‘inspiration Au bout de deux minutes au plus, nous commencerions äétoufler. un ‘Llm0Ul‘ HOUS CIOLIÜC (ic mLll1'·" p€U C0m- 9 -999·:é| ‘“ I "Bien, as de re Pren9. , qu UHC seule [018, S€l‘3lt—C€ ' devant : t’avise . de tout Cgt) i poumon purtir ii .9 ill [)Cl‘S0l1nzlillC ll1i€TlCllrC, notre ii de la procliaine respiration, tu ahandonnes Vinspiration pour ne plus effectuer que l‘ex- faux martyre. p2lS lTlC ll 2lIlTlC mc de dire mon cher, pour que cela soit vrai. absolument se placer en dit trop 9 pfClTllCl' piälll, Cl‘l /(l en lutut un print rlv ltmtivre pur /'intvrm6cliui1'v cluquvl elle en 6nvrglv /u_/vuil/v de clroitv qui, vl/e 61 6t6 cuupév rlvpuis zmneuu de lunriere, cle lu lumlerv qui pm:/uit 4/vs [lll/St/ll()II.\’vt vst /' v.s·.tvnvv du CI‘é¢II(’ll/°, Ü .Ytl\‘0ll‘ chain et tu feras ainsi croitre ton amour de toi-méme", ll y a d’abord .’ c0up6vvtvstdmzv¢·1u‘1>1‘vplvInv1/'611vr4t5iv =9· ,· 99 --9 |rb -9. 99 "' ' ‘ · 9 Vi 9 4 9 *9| I Ü, 9 |9| 9' 9 |_t .9.; |*Ö| 9 9 99- ‘ , 9. ·· ” - jl |„, 9;·j 99 ,|99 9 ·; ‘* 9„' 9 |-·| 9· 99 ‘*‘‘·9 er 9 'A 9 TI '*| IK il l 9 4 9 9 Öl é„| -9 ’, ‘? 9 9 · 4· -’ °_| |l g g WET., Ü '9 3* 9, VÖ =“| 9 * f'| -‘ 9 9 |~; 99| _9 ,9, $6 il .9 9 „ -- ‘· 9 99 9,9_ 9 9 "|=| ·*| S |-9 #9 , *‘ 9 K". Ä 9~ i|l, 9 |9 *9, -‘ y ‘r r< ä“ 9 |9 5 19| 9 9 Vi| S| Ai 9, 9 gi 9 i v •„¤»« amd ·•·~· -;|99 nglße .„•„9„««t¤ * · 9 mw \ll•uu·• 9 9' '\ 9_ ,_ |mw| -* |f? j- |99 -’ in · 9 ‘_ - |g|" 999·9 ll wu P6/täüftf d¢’M9¥ mlVllll€5 ljgmgur es; Iumiére, Si l’on irradle une goutte 9 , la Iumié’,€ artwclelle au neon, eng (mg} un Iaygnngmgygf dg (h()( (pgtftg phgm)_ Son bigrgyonnement, de structures completement chaotiques. Deux minutes de lunuere solcure seuement gu isem ä remgzrre de l 'ordre dans C6 chaos ff G retabltr des t‘ay0tt$‘ harmonieux d’un beau bleu (grande photo). 9 9 . |wege|99.9 Cette |"* 9999 9 9 |9||9| pgrpuernür Sarnhkw WW 9k. 9 9 "|=| I, “1 |9|-* :·| .99— 4 ,9 9|99,9 9 l’l€l//6 [7/10fO *9 -9 'Z J .97 ·‘ 9 w999| 9 5,,. deux ce//ules vommzmiquent ensemble : sur le negatj, on von ä les 6/eux cellules ronc/es er au centre leur "ca leur de ru ons" en orme de lumiére au mo en du ue] elles Klfllütt ftIOHIt‘€ <‘0ttlmettt ec/zungen! leursavotr. s ‘ N“ 16 ll jan./few./mars 1990 - exactement identique |0rsqu’il ne peut jaillir d’abord de l’infini ne de coniiance... au avant vrai s’épanche sans in- tlexions. terruption, sans peine etäprofusion de la source originelle, du soleil 0riginel, également nommé créateur. puiser cet amour que dans la source originelle, ancrée gräce ä une étincelle divine dans le coeur de chaque étre humain. Et le laisser s‘épancher, sans aucun efsans peine et également sans fort, fierté. « Des que quelqu’un est fier de sa "capacité d’aimer", c’est que quelque chose ne toume pas rond. Vous est—il déja arrivé d’étre fier de ll en va de méme pourl’amour authentique. Sitöt que votre expiration '? l’on ouvre son coeur ä cet épanche— ment continu, l’amour apparait Y a de plus natuml au m°“d?- L am°¥“° fm **‘ “°“*° comme cc N chose “°“S Huch· "°“§_ °“"ch'$Sc *‘?*Sq“° “ écm Rmarda °ff*°“S ‘i“‘ * Nous " ax/ons autant tour- gjff Q __i'll i li| Ü Nous ° °i*¢ii‘‘ )„, |g|l ; respirons le divin, " 99l i ,99| |9| 9 5-:’ |_· in 4 |t "' · · · · :_ r V, . i _ ‘””” |1;;| „‘ ' ‘ „|* |‘j‘f| |‘ ‘ " '‘°°9 sie Ä ” ij} _. V Y_ · —· „ ‘ ' i ~' ~« ‘ ‘ '“· ‘ "’ g*j;?_,;p { ' °Y_— ‘1~_~’\§ |Y „ „_ “ |“‘_’ ‘ _;.,„94_9 Q Z A;Ü;% „_ le don de prophétie,laconnaissancede tous les mystéres et de toute la seien- ng Q {si; · . ‘ ’)' ”( t, ” quand faurais la foi la plus totamonta— gnes, s’il me manque Vamour, je ne ce, le, „ , 1 _ 9 “ celle qui transporte les ' _' ’ ig, _ _, suis rien" . 9 er| i pix ii li Naturellement, quiconque consi; dere l‘amour comme de. l’opium pour un coeur romantique ne s'0uv- L, (lllI0lll° — unc /1'ai.wm [))'(#ÖlI(I'(’, unc re pas au sens plus profond, vital de cette Vél·i[é_ P€u[..餷e nous faupil IYOITIPCT nOlI”€ E li i ' c · 9 — wnmzimauté r!'umrmes‘ . · . 9 _ de fCI”l']lT]C, battle les glne HOUS revlellt. AUSSI Sur que HOUS avons eu la ***?**** *¢S*¢· CHF €Hf?HtS ITIHISIUKLI _|Ol.lI°, **0**5 ****P*éE**°**$ Sur Cf*m***° ; * la Dom **0**** ****° $****2*** d¢*°***¢ S? 8*** °*°**° qe P*g°°** f*”a*Ch°m€*** é*cgamc ¤h¤m¤S¤ *¢P**$$¢°· · __ c€*a _ CH est IOTSQUC deux HKOHIICS S€ FCHCOHITFHI en VU€ de §C IT\HI°lCl° CH qllnli Ä une molecule, ***a**f***S· *°**f' Sa"°** · HS ?PP*°**“‘ _ P¤Vf¤**¢***¢¤* ******5é *916*-* ¢0¤S*§*¤¤* sance parfaite que lorsque nous incamerons l’am0ur parfait. **’¤¤SP0*’*é¢ SB f¢U0l*V¢f8*! ä ————-— COITIITIB UH de recevoir Vénergie divine dont el- boomerang lm H10- m¢*** 0** ä **¤ 3*****% devant ¤0tI¢ POP· §§§é„‘l°'*ä?1$;“3;f‘riI~;’§tfläläg : dans ta colére?" — Des que nous nous éloignons de ur survivre saine- ‘ "P¤r*§_ ¢¢*‘*- *3** ****** Q**f’>_Pa*'*¢**a**’¢$· **8 *¤_m0¤*äg¤¢ N €**§§mb*€• q**_|*$ $¢ $0*6***81 UMS „ Qu **5 $¢ _S¤*¢¤* tem F¤PPF0¤héS E**¢$•¢§$ *****6 **}**¤Q**Z*[** **mO***•J¢ CN r entl un del autre et leurs 1nfom1a— tions IÖCHUQUCS COHSUÜUQHI le pom de résonance SU]- lequel IIS S€ [EnC°“**°m·_ chacun °0***b*¢ 8Yf*¢¢ ä $0** $§V0*** ***}_P¢*'f§C**O¤ de} Gulf? J**S*l** ä C6 <l**_**S went t¤¤t ***0* ****$§* *V¢=***$P0*'*¢T fdqs ***0****** **¢ $$***8 *‘*¢¤·-- ‘ HS la sagesse parfaite·dansl’amourparfait et nous n'0btiendrons la puis* äzägägägÜoägiielägjffsfclfgsäii les ont besoin »*|* Ä méme "Quand j’aurais ä .1Qéf „ 'ii penser que nous sommes pieux), dans Ia Bible donc, plus d’une phrase semble ne pas avoir de sens bien précis. Saint Paul dit par exem— ple dans la premiere épitre aux Co2 H =·’‘’ |’ „ ii rinthiens I3;2 · »- i „— re "Le médecin de Stalingrad"; "A l’Ouest, rien de n0uVeau°° et ”LH deuxiéme guerre mondiale par le mot ct Vimage" (afin que les visi— pas ‘ |‘|s?””’ Bible que maints d’entre( nous dissimulent avec hbnte deiriela teurs n’en viennent tout de iQ"·_§ < un étre humain. Dans ' ‘ * stamment su l’échelle de la vie. Nous somrnesenfaitlä pour exercer. » · t ° *’*‘| ' deviennent malades, affamées, la communication avec les autres Cellules s’en trouve perturbée puis in- · A Ö i *¢*é de |,i V- i‘9”9 créateur épanche en lui et ä travers lui et de permettre ä cette énergle éommeälui-méme de s’élever con- fois ses . " ***'***§ *¢V*¢***¢**a*Sé° ¢S· “··* iigi ·4ät "| perfection touteénergievitale que le Une E , ' chaque cellule de notrc corps. -Sl nous ne respirons pas corrcctement, nous étouffons n0s cellules et la mitladie s’installe. Les cellules saines dém l · g entiérement personnel. Toute énergl€ QUG-HOUS souillons PHI HQITC lmQ€I°fCCtlOl'I, HQUS d€VOYIS UH JOUT OU * *******7 *** P******¢*' °* ä °°* °ff°*· §**° Vénergie du créateur. I · —» · mcntionncr briéytcmcnt pourquoi Vétrc humain est cn demier I-csson sur cette terre : il est lä pour s’élever, se développerjusqu’a la perfection. Tour comme chaquc minusculg élgcugn C’gS}_ q-[lg l’é[l·g humain, ä son Stade (féyohltion Supéricure, a le devoir de marquer du sceau de la “·¤*‘*=·“¢S T ‘ ;» Besoin d'a1-nour que (fair pour fcspircn L’essence du créateur, son amour se trouvent naturcllement aussi dans Vair qui emplit notre corps. Les Bguddhigtgg lg ngmmgn[_"Pranha°'_ Le pranha baigne Chaque électron, chaque atome, chaque molécule et terr0mpue.Chaquefois qu’iltiresur sa cigarette, le fumeur se coupe de 9 9 9| simple, laissez-vous aller sans et"fort, c’est la l‘amour qui ne connait pas de frontieres et ne se limite pas _ Nous ne pouvons · \” _ L’amour vrai, divin, est identique ä substance originelle de la vie qui jaillit de la source originelle et forme tom Ce am ""· inférieure.Cettedemiéreneposséde absolument aucune force créatricc. de nous expirons le‘divin... Et tout ä coup nous devenons amour. Soyez la Nous ne pouvons "faire" de l‘amour vrai avec notre personnalité et pleine ¤ ·· pi;4999- ! $8**9 tnterruptivn ’ in lieu d’étre pe- ments. Respirons l’amour de Dieu et faisons—le pénétrer dans nos coeurs ou luit une triple étincelle "Quiconque brüle d’un amour pur, le bon Dieu le reconnait" a een: Goethe dans le "Divan", le livre des ré- L’amour vrai s’épanche L’amour monotone nible, de nous envahir. ‘ Franz Weber JOUITIBI ont i ä§*¤¤¤¢F_€*äP*¢¤dY¢;**SQnfprütlqllé « *mP¤*S*0¤ __¢t l ßsplratlon. IIS ém@**<{¤* mälntßnent un Saveir Cem* “3&‘I$”?“ a 0ilälgääi,S22; om una chantantaiärnémer}ghme,préts a nmssangc un Syst mc enmm · * , ·T P*¤S C0*T*P**QUé et plus hautement r p plus Sguvgnt, gn appelle cola "oan- l’étatd'amot¤rpa1fait,‘n0usnepoupvons qu’aboutir ä des résultats im- cer". parfaits. Nous salissons les élecuons ment. Elles de}:/(iennent folles. Le divinement purs avec nos frustra— Tr ple éünceua tions, notre colere, notre haine tout - I comme avecle café matmal renver- Asseyez~vous, respirez profondé- ment et calmementlfamourdu créa· déjeunerde son maiue. Comme pu- tem et faites·le pénétrerjusquedans il est privé de repas du soir. en va exactement de méme avec toute substance que nous imprégnons : elle revient sur nous comme un boomerang. Naturellement, nous votre coeur. J’accueille·maintenant ton amour... laisse-le. m’envahir... sens ‘ Sé dans le stress. "Qu’importe ?" se dit Garfield le cliat en s'attaquant au comme mon chaud et ardent et coeur devient corps tout mon comme nition, Il la sommes completementlibresde du- vie devient amicalc, colorée et plei— per notre partenaire commercial, de léger et bouillonnant et „é"°*“é·A*m¢*·¢:€=$*%*Pl?*¢¤d*¢¢**¢S d_ *“‘**a**‘m Revenons a l’amour, ou plus précisément au juge des divorces. Nous lui.souhaiton,s^en toute amitié qu’il puisse bientöt etre au chomage, lors- humains auront com~ pris la nature de l‘amour vrai et qu«’ils ne le confondront plus avec une vache laitiere, une poule aux' oeufs d’0r ou une assurance-vieil— lesse et pas non plus avec une maison close. L’amour vrai, nous devrions pouvoir l’exiger de l'étre humain puisque chaque minuscule électron et atome sait exactement ce que les étres ’ — P¢“V¢m etre appris ausein d’un manage au- thentique, un manage qui ne reposc pas sur le fait d’avo1r et de recevoir mais sur le devemr et le don. _'Et s’il- amve un jour qu’un scien·t1fique nous Jette eet article ä la figure en criant "quelle absurdité !", alors, contentons-nous de l'étreindre. Peut-étre un quelconque électron chargé d’amour traverscra-t·il la haie d’épines sans roses de son coeur "fortitié" et sentira—t-il que ce demier est plus qu’une simple pompe. , u m_ „ ’ JOUTHGI Franz Wébéf N° ll Jem./few./mars - 1990 17 Annonce A vendre pour raisons Lamiluzles: O 1 V ROWLGHIZ M6 / / FO entourée de pres et deforéts. — • Superge vue sur la mer (ä I km de la plage). I5’000 de parc idyllique, ombragé, en terrasses. Construction ancienne, en terrasses, peute mazson d’an11s. Paysage protégé. m ’ ? )_ ° Ideal pour amateurs de nature et sites inviolés. . 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Ä ~ l ¤ . ee ;_ 11 '· 0* *‘ _Ä ,' ,j‘·‘_*j_“' _ *· i 1* ‘ 1 · ¢«;’Ü _ ·°“· __ ' ‘ ii, _ ·‘ '( · «" ' h’ ‘ 4 ii -·•,„ V 1 p N gl, |_fI_' V“ _ PH l, lf . in I ' _· TV “Ä";" .,_ V H ‘ - " ' ‘ i.T„‘Vf| ii ~ g W A " ‘ ·' _ ?‘ 1 V A Q' . ‘\’ · n 'Ü - . _ { l~{‘i " i •· ,4, "‘~ " y , '4 „_ 1 I-«,—V"T\„ V - ° ~ ' Ä " l \" . ~’i‘ y· V'] g ' ii 1 1_ , .i Il, 1 "' V 1 ‘ 1 ,1, · i .2 |ir}: 4 ; Im l * l _ ß ‘ ‘ ' f|g|, , H ‘ |gig, fin; if| • V _ vi ‘ ll ii tie ' ° 1 ,1 V! ,. _ .;.1 5 '·I „ V V °§‘*—*‘§"“” #:*|1| |?‘ *;”' er ~ —( |0| V' . : Ä -„ V‘ i g; 1 i L i' gie J 1 · Y , ‘ "‘:i·é-1 | _‘ {,4 V V., ‘# ‘ ' [_ ’ _ ; 18 N1 ll — JOUVHEII FI‘3I’lZ Wébéf jan./few./mars 1990 Latrahisun de Mme Thatcher 670 tonnes d’ivoire braconne sont stockees E1 Hongkong. Apres le moratoire sur le commerce de l’ivoire, adopte en octobre demier 21 Lausanne par CITES, cette marchandise honteuse et illegale ne pourra, en principe, plus etre commercialisee pendant deux ans au moins.1Mai·s1=les parties contrac- 1 _ tantes et surtout les protecteurs d’elephants |du ont Car celle—ci s’est droitde bafouerla volonte de son propre ministere fait leur calcul arroge le Mme. monde entier sans Thatcher. de lienvironnement Ä pour faire le jeu des speculateurs d’ivoi— re en permettant a ceuxeci de negocier, malgre l’accord COHCIU 0 LäLlS2lI111€, l€LlI° II'lOI“lS[I'U€LlS€ l’Il2lI“Ci’l21l”ldlS€. Par CGI acte incroyable, arbitraire, lement les Mme1Thatcher torpedie non seu- accords de Lausanne, mais elle ouvre egalement aux braconniers de tous poils. Car le commerce de encourage la demande| p1oVurl’ivoire, et aussi long- les portes l’ivoire [€IIlpS q\1€ i,lV0iI°€ est COII1IIl€I°Cl21ilSé SOLIS qll€iql1€ fOI‘II1€ ql1€ V elephants seront mass|acres. - Franz Weber a reagi Thatimmediatement apres la decision choquante de ce soit, les Mme cher. f Le 21 janvier 1990, il a adresse un telegramme de lui 9 S 1 protestation; 1 ? _’ _* 1 V S i i _ Franz Weber JOUVHEII Un N1 ll jan./few./mars 1990 - de Yäbattage Systématique des éléphants adultes pour leurs défenses: La tragédie de centaines de millionsd’hommes, de femmes etd’enfants en vous conjurant de revenir sur votre decision et de respec- des orphelins, ter Pésultali |t jlF|‘|5Q‘°| :1;|1 au moins pendant de officiel 1*| ÖL —1·1·1 le bien court moratoire Vengagemem Grande B·retagne la de lors la conference de C*TES-" —1·1' V ‘ _ 1* · ‘ 19 :| 1 es11 - 11ÄL l 1 1 11| 1| „ „ Massacre da 1¤¤ ¤¤¤ alaphaats |,1,1 | V1-|t 111·111' 1 ‘‘ En violation de l’accord survenu a Lausanne, Mme Thatcher veut donner ä Hongkong la permission de commercia-V 1 Z i ’ ZV;„t„ »— _:’’ V ,, V VV liser 670 5 '°*‘ VV VÖ;1111 T ii ’ °’’’ ‘ 1‘1 le |1-| 1 . ‘ 1 tante li VV Ä, 1 1 Q1 V V V „ .té trar a eté demontees et transferees dans la ville chinoise distante1 de 100 km seulement de Hongkong. V 1 r V - " , de cet.ivoire braconne devrai.t eAtre C anton, en Chine. Dans ce but, les usines installees ä Dubai et dont l’existence fut severement critiquee par la Cour Intemationale de Justice des Droits de l’Animal en juindemier, ont “‘ä| QY 1 tonnes d’ivoire braconne.Cette quantite represente massacre d’au moins l00’000 élephants! Une part impor- ~ ’ “" ii V .Z' |·’ sb|g| V V 1 V‘ ;: V V Une honte our I’Euro e f ‘ -¢^ · VV| VV · -1 V · ’ S1 on pouvait s attendre a des réserves a V ’ l accord de la 1 CITES de la part de certains pays africains,Vtel le Zimbabwe, VV VV ° V l’Afri‘*ue du Sud, le Botswana, la Zambie et le 1,, Malawi, ainsi que de la Chme, le revirement de la Grande Bretagne constrtue une surprise totale et une honte pour 1 Europe. D ores et deja, le cas de la Grande Bretagne est inscrita la prochaine 1. “ 1 , - V1 |-7 V | |VV 1 V 1 1 f7t_·g1}141| V '1 ' < 1 session des·Nations1Unies des , 1 VV V VV V V 1 · , ,~ Animaux (U.A._N , 1 - United , „ de Justice des Droits de l’Animal. V VV V , Animal Nations) qui risquent de saisir la Cour Intemationale VV VV T 1 — V1.1 V 1 VV V VV- Q ,_ V1V~ I V · V- V| 1 * 11· „,?I‘§=·*e,i- I |1V|V| |11 1·· 11| lgnablas I V VV ai| 1·1~ 1· .1 1 V ‘ , crdolefieents essaigig dlepterrgr ug éléphantejulmort dont mm? (Ill lILlN'€S, (1 Vl(‘lm€ GS 0MI‘I‘(’(1uX 6 (ISGWIIIF. 1 V , Le cas du Zimbabwe pourrait egalement figurer ä l’ordre du jgur de ]’UAN_ PI-Ofitam d’une aide humanitaire des 1 V s om s eau eurs pour attirer des élephants d’autres pays pendant les periodes de sécheresse. Sous pretexte que les élephants sont en sumombre au Zimbabwe, les autorites rocedent r frontieres 1 · 1 1 1 1 ainsi abattus est que nvotrc décisionu Souligne Franz Weber dans Son télé_ gramme, "est d’autant plus choquante que la Grande Bretag— ne était l’un’des promoteurs de l’abolition du commerce de l’ivoire lors des débats de la conference de CITES. Il est mol ? pin auljt ma {;n?;la;(§al?;€äfgätgedgaggä ’ · . . Aidez-nous ä lutter contre ces trafiquants! Aidez-nous par un don. 12 pays africains ont sollicite, apres la Conference de CITES ’ Vaide de la Fondation Franz Weber CCS a S desseinl extermination des élephants. Devant le faitque tant d’hommes et d’organisations sur tous les continents ont 1 ,„ 1 1 1 . V . — 1 .. sont prets ä proteger leur faune et particulierement les elephants. Mais ils ont besoin de notre soutien dans lequel 1ls . . 1 PÄ ° „ . 1 vendue aux elevages de crocodiles, tandis chemm de Hongkong et de Canton... ivoire prend le ·°Aidgz-nous p°i“ ic; am an oeuvré corps et amepour obtemr enfin la protection totale . , , de l éléphant africam, et devant l effort moui.. qu ,.il leur a fallu pour arracher un moratoire de seulement deux ans ä la cornmunauté des pays impliques dans le commerce hideux l 1 1 placcm un immense esPOir . . ' 1 . V vous-memes, Madame, en tant Premier que Ministre, auriez tout ä gagner en revenant sur, une décision qui entachera ä jamais l’image de la Grande Bretagne dans le monde civilisé. Vexprime les sentiments de1l’ivoire, votre nation et “ 1 - ‘ - · V C_C_P_ 20 N° ll -jan./févr./mars JÜUVÜHI Franz 1990 A • Lutte pour laforet alluvzczle du l Dcmube 5 ans aprés |Ha'nb Wendelberger, Wien Prof. Elfrune A |‘* |r V l R, r , {V La foret vierge alluvuala ” , -:1% V 1 V que la forét alluviale soit volontiers comparée ä une forétviergetropicaleacausede Il " 'S : - M . _ V q ' »· _ jr ig " Q: |als __ f" . ‘ - «V |‘¤*' [| . |~. V _ >: ·« V s., |Q, „_ ,. M‘:;«_ Ü; ät ßgß 4,* _; ·! • _ * . J ‘· y:‘ * 7} T w|e?| _„| 11-— ¤” j,|‘Ä}‘ 5; ; q * if · „_·a · V V lr tt .„ —_, an „ |‘ |[ „ |S|11 K V1 "“| t · ‘ V J|VVV .·§ti”|’VV ‘ V — q| ° " V r -| ni ‘ · V" r [Ü d’entre elles sont ou ont été exploi- L f j · y _„_ J4, Ä; |tr Tt. E? 5, „-3* n’est pas étonnant sonépaisseurimpénétrableetdeson foisonnement de lianes, ä cause de ladiversitéde sa floreetde safaune. Mais, pour les scientifiques, une forét vierge est simplement une forét née sans intorvention humaine et , • que 1 homme n egeplorte pas et ne transforme pas. Si toutes les foréts des plaines fluviales sont nées sans intervention humaine, la plupart ¤„ '· . - . ,4 V x g_ V ., . g tées parl’homme d’une maniere ou d’une autre. L’analogie avec les fo- ” réts tropicales n’est pourtant pas Prof EUi·um· Wendclherger ~ * 'L r V hasard: dans les deux cas, le site . optimal, humide et fertile, pennet la croissance luxuriante d’une végétation variée et favoriu la pousse de lianes. Dans la forétalluvrale,lalumiere a du mal ät percer. C’est pour — ·;f’“;| g -» V p'‘' _;. y ‘A i ¤_}l„„$=g_;{; V {·-'~ ‘· ·’ ' V I gr} Q ;‘ * ,_ ‘ ·„; ” — -._“ F; , ' _ 4 _ ‘ *4 — '· *" #f._„ 'V‘ ‘ ' ' · ‘» _V ‘V ·‘ _ i ^ _ . _ S ja —, V „ y Ü · Q r A ‘ ·' ‘ ‘ ,_“";;¢„;;;@”:k- 6 ‘ · in V.‘tq· __ ·’ ^· _ t· V. _ $’ ;·?* gv-1§„7' „ .‘” fluviales, tres jeunes et ditions, leur durée niveaux et que les lianes, en cherchant a échapper a Vobscurité verte sont obligées de grimper le long des troncs pour atteindre les cimes des ' ‘ . che_s ploite l‘espace aérien sur plusieurs i- k ‘°| »~ jcuncs iles de gravier, le plus souvent des saules, constituent une forét VlC|’gC méme SI elles ne C0¤'CSp0ndent pas du toutä|’idée que le public s’en faitcouramment. Acelas‘ajoute le fait que les essences pionnieres dans la plaine, les saules et les peupli¢rs„n‘o¤tp¤S ¤¤¢l<>¤8¤¢ ¢$PéF¤¤· ce de vie,méme dans des conditions naturelles. Ce sont des "sprinters", qui croissent ä toute vitesse et sont mürs pour Vabattage vers 40 ou 50 ans; méme dans les meilleures con- V~ ‘ . ·· encore exploitép. prjgmggfeg plantes quel'ontrouvc surlest üfes que se crée une végétation en couches multiples qui ex- ‘ ri " · arbres ou elles trouveront air et soleil,Quoi qu’il en soit, on trouve des forérs vierges au sens scientifique ~ ' · dans les surfaces boisées des plaines entree du paradls sauve y a moins de il cent ans et les hommes ne les ont pas cette raison Y - en général déposés V ” · un souvent prodes rives. Ces terrains se sont de vie maximale V sommet divers. Ainsi, la forét de feuillus aux des monts de Hainburgla vaste plaine des foréts alluviales qui s’étend d’un seul jet ä leurs pieds, on a l’impression qu’il s‘agit d’une région sauvage uniforme. Mais ce n’est pas sous-bois touffus qui borde les bras paresseux ou morts du fleuve est entrecoupée de prairies humides et de grands marais;elleestmémeparfois intimement mélée ä des prairies seches et ä des colonies de buissons épineux. Il y a également l’habitat, completement différent, des parties du fleuve au courant plus rapide avec ses longues zones de contact entrel’eau et la terre ferme, ses bases de gravier parfois submergées, Si l’on regarde depuis le le cas. Cette plaine alluviale présente habituellement unc grande diver- sité. Depuis ses origines, elle con- nait des transformations incessan- auj0urd’hui limitées par la régulation du fleuve mais encore notables. Il arrive toujours qu’un morceau de terrain soit arraché ici et déposé la, qu’un bras mort se comtes, ble tandis qu’un autre, déchiré, disparait ou encore que des iles nouvelles apparaissent au milieu du fleuve. C’est ainsi que la force du courant donne ä la plaine alluviale une dynamique particuliere et crée des habitats nouveaux pour des groupements pionniers. Mais la plaine abrite aussi des habitats entrelacés, nombreux et tres ‘ ’ L ‘ ¢‘ V l„ll V ‘ » ”| t A _ “ M V . _ V __ ‘ ft;' V ¢,~=”’ ** 4 “ V „„ „ V” „ ’ *‘*x‘;— , V‘ ” ; , _ ‘_‘“ V ses iles et leurs saulaies, ses rives ' sur cette Liste rouge. l ~ ·„. ” empierrées et ses anses calmes. La diversité des habitats se retrouve dans la diversité des especes animales etvégétales. Les basses plaines du Danube abritentquelque 700 espéces de plantesafleurs,dont pres de l00figurentsurlaListerouge des especes en voie de disparition. Plus de la moitié des especes d’oiseaux couvreurs sont elles aussi portées ‘ ¤ __¤_ VV”V Ä « |V V { t |~·· ‘* · ..„ Q · lt V sm J V a- _ — s" #‘ { ..| ”' r" ‘ ” "‘ _ ub} l · __ {·; _ an ‘ ’ *· g -_; i ‘ ;·'VV\#’;_1 a _ · , V V „ ‘ ‘ r Q ilot du „ gw]-? " · iii V— _ V ·¢«— ‘ ‘ Canards sauvages sur un "‘;:a Danube V ~t~ JOUl’ll&l Fl’8l1Z . Wébéf V N° . ll - jan./révr./mars 1990 21 A l V 100 a 120 ans, äge auquel ils succombent aux cham i nons et aux tem étes. Les seuls Eailes ou peupliers Vde cet äge ue l’on rencontre sont en énéral des arbres isolés, omements gie parc ou rescapés d’une génération de foret dis ante de uis lon tem s, erdus aupmilieu di une jeäne fgrétpqui croitdepuis longtemps déja. est le plus souvent de V ’ 1 1 i · V , 1V V Le d0m3il'IG MBYZQBT était-il trop loin de tout pour que l’on robablement des raines de peupliers blancs et noirs, äui germerent immédiatement dans le substrat humide. A la crue suivante, les Puis la deuxieme guerre mon ia e avec sa de main pénuriAeAA d’oeuvre, et le domaine etzger ut e a cime 'un’ peup ier noir noueux, lorsqu’il détäusquqit une et late ses marcassms ans e sous- ors a nouveau épargné. Apres touffu trous hiculait -- i tion catastrophique et laissa deniere lui un gros banc de sable. L’air vé- puisse exploiter facilementson . arriva, . §Aague11·e,AaA;’automneA1945,lejeune orestier etzger prrt son servrce mais les arbrisseaux agirent comme un balai, ralentissant le courant et filtrant du sable et de la boue supplémentaires 5i bien que leur banc dans la forét domaniale. Prisonnier de guerre, il avait eu la chance de réussir a s’échapper des prrsons rus— ses, Pendant des 5emaine5„ il 5’était nourri de baies et de champignons, de racines etd'herbAes,dormantala V profondément. Les petites pousses issues de cette colonie de graines déposées par le vent arriverent bientöt ä hauteur d’homme cg; les jeunes arbrisseaux devaientAluäter pour se faire une place au so ei plus un büou · Or, la plaine de Hainburg qui aété l naguere l’objet de chaudes luttes, ssede une "authenti ue" forét Eierge en tous points comparable a l’image romantique maine Metz : il ui doit son er, nom et son existencg: mäme a un simple forestier qui, pour ce bout de forét, a dü accepter des difficultés professionnelles car il se refusait a abattre de vieux arbres depuis longtemps mürs pour l'abattage alors qu’on le · lui ordonnait. Les origines du domaine Metzger sont obscures. Elles remontent ä E I . i 1 i stait pas. 1 A l’époque, le fleuve enco- serverVune prédilection pour cela). des... un_homme aussi proche de mais il n’y arriva pas non plus l’annéeAd'apres.ACetteAfois-cr, une la notre éforestrer pouväit monäiegion l‘ava1t ernpeche qe me; ner ren sa mission purs 1 aval simplement "oublié", et ses superie- gräce sqdppltämentaxreau dornarqe cgi usses occuparent e etzger. es urs apssr. la scie s’y enfonce et la plupart avaient le tronc creux ou pourrr au coeur. occupants frmrent par quitter la régipn, le pays redressa peu a peu son économie, et le jeune forestier les Non Lorsqu’un arbre tombait, on le laissait la. AA son emplacement, le vent déposart des graines de fréne etd’or— me, le geai enfouissait ses glands et les jeunes arbres qui avaient échappé aux dents des chevreuils et des aurait valu cerfs remplissarent bientöt la petite recut l’ordre d’abattre les arbres du domaine Metzger, depuis longtemps en sursis. Mais il s’y opposa. pas ouvertement, car cela lui un licenciement immédiat, mais il s‘attacha ä fairertrainer ,les choses. Il fit ceque l’on appelle clairiere laissée par la chute du vieux géant. de la résistance passive. Lorsqu’il se Mais, de temps a autre, l‘un des immenses peupliers supérieurs de notre forestier se sou- blancs, dont les branches argentées s’envolaient vers le ciel, ‘lorsqu'jl venait du vieux bois et celui~ci rece- tenait sous les 2 De toAute fafon, lesdvreux peup1ersn’ava1entpus gran e va1eur;A ils étalent trop épais pour que secteur, on manquait de tracteurs, de machines et de main d’oeuvre. Mais _ assurait- il il, es ann es incertaines e l’apres-guerre consentirent un delai ca a étre transformée en une exploitation a caractere économique. Entre-temps, le domaine Metzger . année mais l’an prochain, qule · le;utilisée extensivement,commen- pas le courage de porter la main sur ces arbres. AUne année de plus s’écoula ainsi ! Ah, 1l y avait tant ä faire; il n’y était pas arrivé cette survivre. Lorsquel'Empereurdutabdiquer en 1918, la zone fut déclarée forét doinanlale et Vancienne chasse féoda- l‘époque ou le Danube n7étalt pas encore régulé, ä la fin*du siecle dernier, et ou il n‘existait pas de relevé de la flore des foréts car Véconomie forestiere au sens moderne n’exi- lorsqutil trouvait les gros noir daps des tropcs dAudE1c souven Ja creux,1 ne se sen ai belle ét01le. (il deva1td’a1lleurs con- nature Seuls les plus forts survécurentetles plus faibles s°éteignirent dgnsfgobsrent curité. Les survivants to alors leur feuillage a la lumiere tandis qu’a leurs pieds s‘établissa1ent les buissons et les herbes caractérrstiques des zones protégées de la lumiere. Les vastes plaines naturelles du Danube en aval de Vienne appartenaient alors a l’Empereur et servaient surtout pour la cbasse. ou rattraperaittres certainement son retard. 11 encarssait les réprunan- Seul . s‘agit du do- - de la fin pousäes d’u;e dizaine debcent1?etres urent nouveau su merg es, grandit progressivement et se fixa I observait les cigognes noires peugeupes dansgeur nid pprché en haut Sci;. vait une nouvelle injonctlon. Si le bois des vieux peupliers n’avait plus . I 1 beaucoup de valeur, on pouvait tout de meme planter ä leur place des peupliers hybrides en provenance de · ä · f A;,«·ké•„AV| A _ V $"V A A |AAA A AAAA, A A _ |‘ A V| " Q ‘ l J A; ~ ,. A|. " »' · i A, ‘* V ’ · A _ Vétranger, déja tres ä la mode et promettant des rendements fulgu- _ ‘1 V j T AAAA. A V A_ A AA| A |A.| A AAA VV ca} i·| rl AA A A égkl; A |AAA| V |V V |" ·V < 211. j~ A— .„- A ~“ ?‘ V Il était V V V A _, V ga · |‘ dam la guerre et par sa fuite épuisan- V ·· te, A ’ ° Wg? V? V tresA L’opin1onpubliquesemitachan- je · V,?‘,g§’ „ ger progressivement. La protection nature nlitait pluple hobby de que ques cingl smais a préoccupa- ·& V „; V. A Q t _, A A ’V A| 6 dc P=rS¤¤¤¢s ¤¤ Yi croissance permanente. Et le jour TZ A ,;| A arrrva ou le domaine Metzger fut le but tres admiré d’une excursion ä l‘occasion de la réunion d’une illu- V „. V VV‘‘ V · · __ _ A V' V Ö .· A ‘ qui lui avait d’ailleurs ruiné la H Matt la ¤¤m1>¤s¤*¤ de ¤¤- ¤¤¤¤é- ’ A_V f V particulier, V ’ ‘ V Un peu marqué par son long emprisonnement pentäche. ft V ' son gré, par ailleurs zélé et dur a la larsser Vobstrné faire selon Ag |.1 fg| V 1:* 1,| échapper les prrmes aux- eds bes Mu- Mm ¤¤ *°*··“ Pe L |r1r, g Z laissait quélles il aurait pu prétendre par ste- VA 9 |V. V A ;|V| — rants. D’ailleurs, le forestier subis· rbes deseS coAug.guescar 1 saitesquox .V {AA, :· streassociationforestiermquifélici— A ° V ta expressément le forestier ’V V V V ' ' ' V, ,v·f‘ ;}*A,* f A · — .V _ , pour avoir persévére de longues annees dans sa déS0bélSS8IlCC., ‘V V V · Le drama de Hamburg ’V . .V AAAA “ ’ t V VV ÜV V _ ”V ' · Dam lg domaine Metzger V V ‘ A Alors que ce danger-la semblait momentanément écané, une nouvelle menace bien plus sérieuse se 22 so Journal Franz Weber 1990 ll |V V 1 „-stääsa| V V ä-: V *1 Af *· _, TV ·~ ..‘$'¥t·’£‘| .° ,1* .1 ;s . ' .‘ V - A, . - ~r·~e—~.,.~V . A V ‘~ · A, ‘ 9 . , - *';.| . . V V V V. Y "!|" |Q; Vw VV: E 1*-· 1 ·, i"~ · .. ’ „ . A in z „ ,,*--31 -6 , ‘· VV .* ·‘ ' €*"Vf·V 1·’§ ~. A A V V! r ‘* V- V V V 4V 3 IV A—_ ~V ·~·•.AV 1 . ·—¤<·· .| .. . , gf gz VV ° ·e .7 ..,,9% " dj VA=·tA . E»\~· ' ·~|:V"|VV|;»::VVV 1,V| A| V _. d'eau' La beauté intime des anciens cours elle ne concernait plus seulement le petit domaine Metzger et sa forét vierge mais la totalité des plaines du Danube depuis Vienne présenta : jusqu’E1 la frontiere. Une civilisation .. •¤· , j 1„__A gg _;_1" A V V interrompue seulement barrages, par la vallée étroite de la Wachau. En Voccurrence, l‘enjeu était le dernier site fluvial en aval de Vienne, avec ses vastes foréts primaires, les possédée par la technique s’attaquait avidement ace demier site tluvial pour le dompter, l’excaver, le bétonner, le commercialiser. Les plans d’approvisionnement en éner— gie prévoyaient de construire une grande centrale au beau milieu de la forét alluviale, ce qui aurait signifié la fin rapide de cetécosysteme com- plus belles des rives du Danube et les demieres de toute l’Europc cen- pliqué aux multiples interdépendances. Les inondations vitales auraient Pourtant, la region était une réserve naturelle et devait étre protégée en Mais trale. mass-médias nous les prioritaire. hydraulique ouvrage · km V courantes auraient été sacrifiées a un barrage inerte. Il était prévu de détoumer le Danube sur une longueur V de 5 A ‘ A ~ _ 9 , . " A "A A V A 1 A VVV' A VV V ~ Chevreuil dans la rosée du matin _ , Bien entendu, des association de protection dela nature et des particuliers se déchainerent contre ce projet insensé. Pendant des dizaines d’armées, on avait contemplé sans agir, bien qu’avec un malaise croissant, la transformation du beau Danube bleu en une serie de lacs, de A V ä ·‘ . . A,. ; ‘ · V A . _Q AA V "‘V crues. . A ’ ‘ 9 9, , m ‘ . . V ger ? Il aurait servi de décharge de de gravier et son mamelon de 6 haut aurait supporté des baraques de chantier pour les mettre a l’abri des V · V’ canal de béton. Et le domaine Metz- ” At < perpendiculairement a la plaine et de transfomner ses rives aux structures les plus variées en un , A km ‘ cembre 1983, le rninistre compétent déclarait que le projet de centrale électrique sur le Danube était un été contenues par des barrages de 10 de large, les de haut et 40 fluctuations des eaux souterraines m · laisserenttotalementtomber,al‘ex— ception d’un seul journal, et, en dé- e A_ -«·VV |V V . __ “V V . AAV l 1 „-..VV - 1 ..;_ , A Le martimpécheur ‘ JOUlTl&ll F|‘8l'lZ W6b6l‘ tv ll 23 jan./ren./mais 1990 — ‘ ,VV QVVVV Ä i VV VÖ °VV b‘*·‘* ‘lTi]; -» Perspectives et espoir le parc national des Forexs du Danube a 2 r 1 ' __ tgl-;;_ , ·' .., ·t ¢— t T F q rp Cinq ans apres les dramatiques événements de la plaine de Hain- ~» Q A · .. p é | ’ i g .V é li _ ‘ { V S gr tr Y J burg. l’ensemble de la region doit ;A entm deyemr parc g _ ’* § A q f { § gw A ‘;»| I ‘.I&,„„*g’ $ AA · i ‘ ‘ V „ l fx contre la creation, la paix avec la _; peut engin cgmmencerz Par eureux asar , organisme charge de créer les parcs nationaux naturle ‘ un ” · i Ü ‘ _; E = » V äcqätégir nupües de Fartictfit " •¤• uviacsur a Danube,fem1antainsi e oreta a iers. „ , national, depuis Vienne ]usqu’i1 la frontiere. Apres des décenmes d’une guerre d'usure p V “ rive droite du V ä 'F l définitivement la porte aux projets, ··V=V ·· ß V $ Ira l encore rampants,de centrale électri— cn cela V€X°mP‘° dß Franz Weber, qui pratiqua cette tac- ät r V t.| ‘;V|V t ‘ - ä _i_ _ g ”* |}|¤| |··| =V- ’|VV‘ { ,& ’V‘VVV ‘**~»-V; \ -V|—|,äg' —_|‘l “” |Elli. 6 |*?| „ l T |in VVLK “|·l;|Q„| _ IV-| A V vgA Q J l ‘ A — ·t.;|t;|¥L‘|st;~’Y V V ,° F F depuis longtempsn, on n'entenda1t ·--|ä|A‘l‘ |_| V VV|V A sait froid. Leshérons étaient partis, les fleurs multicoloresétaientfanées i V ___;t’9“** Y tt; A ¥* V |;i§. wu A . AA.· ,2||é ‘ A ~gV$ä*°" ¤ „_I |AA ä =« ’ A is |p Vi| ‘ Q _V . |_:V AAA|_A i gg=·V AA |g|g a " 5 ans "aprés", jesuis retoumé dans la plaine de Hainburg avec Franz Weber. Le ciel était nuageux, il fai- ‘V· |ab R V ' ‘ V- ss |' { En décembre demier, exactement t. AA “ _|„t ' „'V‘ V.V iihafu Y- |‘ ' äet:voir.l_l:J1éanmoins, täotre ézoeäar |,| |ß·‘VVVV |’”“ |VVV 1* W l V’=V . |{ V A cédéen l984 mais vit!Les puissants géants de la forétvierge se dressent et lui font un monument que les . g' _ AA V hommes · d‘Etat pourraient lui en- Le ouvemement vier. fédéral ui voulait iräposer la centrale de Hacin- Franz Weber, emouré de manßestams, aprés son discours ertflammé f °“ Ludwig Metzger est dé- et joyeuse. · ;~ V °mP‘ a' T*"=^"“" “” I r nudés et ruisselants d’humidité. L¤rsq¤«= rwussommesarrivésaudomaine Metzger, il s’estméme mis ä g A ,on voyait es ar roui ar A ‘ MC ‘ · . { { ,‘’VV’ V ·¥ ·· j. ·=¤ änigadlne rl y a plus de 20 succeä _ Sr; ‘ AV vrsmiérs fois *¤ ,„ l A l pendant la crise de |‘hiver l984 a été écarté par les électeurs depuis longtemps, Aucun des ministres en place A Vépoquc n’est aujourdmui en fonction. Par contre, la plaine vit, ct avec elle les maning-péchgurg e[ les cormorans, les rossignols et les Aburg vertu de conventions internationales Hainburg bien culture} de toute “ sur la protection des zones humides (accord de Ramsar) et sur la protec- 2 policiercs dont la dureté allait croissant (en demier ressort, des matra- ’ l’Eur0pe. ques et des chiens .furem employés contre les manifcstants paclüqués), aprés UHC m3!'llfCSI&Il0Il de ITIBSSC A 2 tion des animaux sauvages (accord I de BCITIG). I _ I L8 d UH8 *""l'*l""' révolte i · t , H ‘ t t i . ‘ t - „ · ” Devant cette situation sans issue, nous avons demandél‘aide de Franz Weberä Montreux. ll est arrivé immédiatement, accompagné d’un groupe de joumalistes étrangers de choix qui, dans toute l’Eur0pe, sensibilisérent l’opinion publique contre la centrale électrique monstrueuse et en faveur des foréts alluviales du Danube. Apres une année de cal- meapparentcensénousendormir,le ministre octroya, début décembre l984„l’autorisation de déboisement pour la centrale de Hainburg. Une fois de plus, Franz Weber accourut anotre aide avec ses joumalistes. A son instigation, nous avions organi— sé une manifestation de masse dans la plaine, qui attira l2’0O0 protecteurs de la nature, la plupart déprimés et désespérés.FranzWeber, enflammé, les exhortaane pas abandonner, promit un soutien matérielet imellectuel et déclara la plaine de . , Ring ä Vicnnc qui sur le Phé“°' °" "° H°‘" dé°“’° ‘]“° comme la révohc d unc génémmn qui avait enlin compris de quoi il s’agissait. Une génération pour laquelle Hainburg devint le symbole de la nature déshonorée et maltrai- Wébéf BCCOUN ä l’alde A Qél’lé|'3t|0l'l S rélmit 40’000d§1an(;cip9nts;¤préSd§iT¢lä);' s es oumaux et ta es at - grcnouilles, les cerfs~volants ct les vi§ionäl’étran;cr,lcgouvernemcnt äearzigsnäe tinitparcéderetordonna une °'pause de réflexion" Les excavatrices fumppclécé to“* mm a 5 _ depuis longtemps un desert de bé'll' d wm mmm rc ” ‘ d cum"' ' _ V p -- tee} ” Des milliers de personnes de tous äges et de toutes categories sociales se rendirent dans la forét alluviale en · Y ’ „ | _ F | ¢| ' _ Ä|Q“<v§.lt;, i,y»—_’*‘ts_„:«t·| F · „|;,tp„· /, “ cavatrices et protégerent de leur am t „ », . ‘ ill „=6 A ‘ - _ x ‘ corps les arbres menacés par les scies a moteur. Lorsque le gouvernementenvoya la police frapper les manifestants et les jeter par-dessus les digues, les manifestants conservérem une discipline exemplaire et ppoursuivirent leur résistance exclusivement passive il ne jeterent pas une pietre, ne levérent pas une main et ne prononcérent méme pas une insulte. Apres des semaines de per- p Qt __ |”” t tl |gt ' J · ; *· _„ ’ [fg}| _r¤ · » , ,,s_;)___»_ |ww |_;r|‘-rEÖ‘¥f¢j *| ‘ u _ p [ ._ ' J o' |' i| q p ' , ‘·| g r F · -. Tenir bon par 20‘°au-dessous de zéro . Ö|‘~ · _ _ _ ‘ · » Q *,5, ’*_(*|_i. i &·ä)·;· V ' ja ‘ if 'Ü I ib _i |__ : sévérance dans la forét hivemale, par des températures inférieures a -20, apres plusieurs interventions q · t 4 ’ cet hiver, sejeterent devant les ex· ’?¤‘ |‘ _ F yu- · . l *_ ‘” ,4 QV _, QVV4, gl _. py U; *4 rn In 1A l nä At l Aw V Ac ·r |A 2 A ~ ~ 3. „ . „. l· er 4 .„ |F A. v i [_; .« * Ya · A V VV l- ·*~·* t V ~ ’ A; ä|l A V — ws , A ”*V V „A |}~ ," . ‘; 4 ?_‘ „. ‘_ ~A¢.;A ·{ ,V »A vu, „ 3 A A|ra A |1 3 Atgw~‘·éä„«t?;ä䑤;§AAzgilästt ·|· V "‘ 'Tä · ·‘ .· 'VAJJPT wv, A Mut Arm _· <« A; V f- _- A-| _A „-| |“· |„r g, __r-P _ A gp g A| A ' „ |~‘| ·‘| g ·‘ Q |A 17 .¥ .· ’ - _„ fl .. A- ‘ ’ v A ·· A aß A· |é A. „~ ’ ‘· t *15 V’ zu ~· *·· „ A V '“ A A- A |‘- ‘~ ·‘| ¢' V "*’:·: A V ‘ '· A ·,' · · A A- . ‘ A ‘ ‘: gr V ·= _· _i A ,. ' V · V Z. A VA A V V A A V‘ A A “— _|_| V A } wr A? 4 A V äi 4 ‘ 4 “ 4 A. O V 4 ¤t•·V l _ 'M A A |Ü A52; A . V . ~ 4,- |V AV A V A| |4 4 · A A E AA A AA I VV ,• Ö 4 .44 er AAA AAIA · A A M . V VV € A* A AAA V4 VV V V V A A V f‘ *3 AM- A 44 A VV A V V · A 4 A _ 4 A V 44 4 AA - A |4 4 |AAV . A A| A' 4 AA; gA" 4_ ·VV |My!AA' ,4 A‘· VV |5- A· A "AVV A· |A 4AA_A .AV -,AA „AAA 4,A,. A7}. ·‘~'#l*-A -AAAA |AAA A]·A |A .l—AA4 " |AA| A «A’ VV" '-A *’~ |A AAAVA:| 4 Y| 4. 4. A 4 A*"A 4 AAA-· —A 'AT|A-A·i iJA4 A| |4 *VV A- |4. A, ·A AA A 444.,44 AAA |A AAA A- V' V VV AA. A—AA A. A| A-- ,.AA |AA A A. A A,| VVVZ A .A ’VA" V A, VV| A4 -1 AAA. "V Al"-‘.VV AV ,,47.]. A 'AA AVÜFAWAA AA? A A 4AAA»AAA P A| -A ; Fr A AJA,4 'A-A Q V ^A A‘ tm. At A AV A AA’ 4- .4 A A 4-AA.1 V A; AAAA AA ·VVV AA AA L A' 2. VV .: AA J 4 V 4A A 4 J 4 _- -A — A ,'4 _ AV 4V AA4| A |V A· 44 44 ‘ . - , VV A4, AA- — L A_ A- A A -A·^ A 4A , ;A.v;4AA AA“ _ A A,. .tA 4 ·&- |svqsh .. ‘A. V' V |4 |4|,,| :A V V - V V « AA 4 A VV 4 ,4 4 AV ’ ‘A _44 !'?‘ JAM V 44. A4 · Ai t · —· .. AA Al A-- V |AAA V 4* 'V A . Amt|- A-. V V A A -A-A-A ,A AAVV -AA |A .4 A ‘j A A:4 - V A' A _ A 7. .» 4 4AA iA A A V" ^ 44 A 4 A — A 4· A A- i ~L’VfA‘·A' ‘ V 4 =AA ¢ V 4 V‘f ·* , 4A A VA; ,„A4 · 4A 4 A' ~A A A‘ VF-YVE7WVV"‘ ”’}V ' A. · 4 A A V , A A A A A 4 V - 4 VV AV 4 A 4V 4 A 4 A 44 A ’ A·V AA 4„« 4 ‘— AA.· •A. 4* A |A |AA V ..AA 44 4 V 44 V ‘ Y . A 4..44;;,44 "' 4444A~A 4 ,· .A ·»W‘¤ 4 4 -4 _ 4 4 4A A' V 4 44_V‘.° A 4-v A- AA 4. 4, VA Alb, VV 1- ÜAAJAA A 4 A 4 44444. 44 4A-WVÜAMAA .AA‘A'4447 A 4 'é ·-A ,A V 4 A 4 A A VV - AA . A · A A‘ E u V Q V 4 · ‘ V A V 0 26 No 11 - Journal Franz Wébéf jmxréw./mars 1990 Aprés Hainburg NagymarOS TOITIDB ä VBGUV En 1988, Le Parlement hongrois avait donné son fen ven. „ „ , Une anqee apreS* ll mvlent Sur Sa declsmm Ia centnéle hydraulique de Nagym3I‘0S H8 S6 féfa pas. C9 pl'0_|€l égjgräsä ßmglqi gigantesque, sans doute ä jamais oublié, est devenu un · » · ~ Symbole de la_democratISat“?q en Cours 3 Budapest Car {Ye sont essentlepement Iqs crmques e? les camlmgnes de§ €C0l0gISI€S, l]’l3}l1t€l'l3l'ltllbI‘€Sd’€Xpl°lm€I° l€LII‘S VUES, qu! ont permis ce retournement de Situation' Parmi eux ye, . „ . . . de e e pourvoyan seule 4,1 milliards de shillings (environ 600 millions de francs)." u apes e ea c sition au complexe de Nagymaros. En1985,lorsd’unedeuxiémeentre— uisse r _ ä<=¤¤§f<iiS arg a s¤r;¢‘$ir;€h<>¤}䤤S~ e rz ous ec ami: avons récolté 8000 signatures contre la cemralc, ce qui est énorme dans un pays communiste. Cela signifie que nous prenons le risquc d’étre arrétés ä tout moment. Si je suis Janus varghav qu: Franz Weber avait rencontre en 1984 l0I°S de S3 Cämpägllé COIltl'€ [3 C€I1tl‘3l€ de Hainburg, €|‘l Autriche. Le Danube peut désormais couler des jours plus tranquilles dans son m. · V V l „ mm I Cvgnmä la D¤K;«;¢airégal¤m<i¤¤ manre ‘oeuvre agymams, es e toujours enlibcrté,je le dois unique- banques helvétiques, via leurs consoeurs autrichiennes du consonium, auraient poné une lourde responsabilité dans la détérioration irréversi— ble des berges du Danube sur une longueur de 200 kilométrcs! ment au fait que méme dans les miliwx g<>¤Y¤m<=m¤¤w¤><„ il y a des ""*""'ll·—' V l S¤'é 0 ~ pour que le Danube soit canalisé et permcttc ä leurs cargos géants de nayiguer de la Mer Noire au Mann, puls au Rhin et enün ä la Mer du dumilliarddefrancs),aveclagarantie de l’Etat. Ce projet réellement fleuve. Nord." titanesque était divisé en trois étapcs. D’abord la construction de ca- la méme banques autrichiennes qui a assuré· l’investisscment de base (quelque 6 milliards de shillings, soit pas loin ‘ 7 . mouvement viétiques pressent le offreä ect endroit, Une plaie de 200 kilomexres _de long causée par des déboisements, du bétonnage, des déviations aniticielles du cours du C’est égalemcnt un consortium de Le de allemande, l’éditeur münichois avait résumé, aprés avoir évoqué la victoire de Hainbuyg, que la DoKw comptaitremplacerlacemrale autrichienne par celle de Nagymaros, queles capitaux nécessaires devaient étre cherchés en Suisse et que Franz Weber avait déclaré la guerre ä cet emprunt. l’époque de son intervemion dans l’Au, Franz Weber avait d’ailleurs rencontre Janos Vargha, un · A ‘ j_| ‘ E i ;_ A „ · ‘i::;“:i ' 0* - .· —_ ¤ · |‘ «|‘ —‘<‘ l l „ |E? b°l¢$ d¢ la dém°¢T¤*¤S¤¤¤¤ 8¤l0· P“m° cn Paß m°8Y?V- L¢ déP¤*'* d¢ Franz Weber dans son livre, ce syStémé ¤SI¤¢l¢¤X„ libétal, Sßumis au fameux secret, attire des milliards dans notre pays et les rend disponiblcs pour tous lcsinvestissements Ja“°§ Kadar cn mal 1988 a été *{“ P"°m‘°’ lal°“· L°$ Vens h°‘T8“?‘S Om Pu falw ¢m¢“$iV¢ l¢§*{$ V°lX» lls °m V°§“ d¢S aPP“‘$ P°h§¤q¤¢$ ä_“P _ ham ‘}*V°a“;Et¢¢ ¢l“}é‘*}“da“S‘ possibles et imaginables. Dans le bilan de la DoKw au 31 décembre 1983, les capitaux extérieurs sous forme d’emprunts, qui représentem - uqtlers dudit lqilgn. se moment ä_l0 m1ll1ards<le shillings (un peu moins { - ‘ ·A| » Y r » i . _ Ä_| _; ; ··|" i _ ‘ · „ _ l i _ ‘*EY{ T¢h颤Sl¤V§q¤l¢• Cßmme ¢¤ ¤¢ Sß l 1 a cn re. es eux pays r cament un dédommagement salé. La DoKw et le ministere aiirrichien du wmmercc cxigcnr le r¢mb¤¤r¤¤— » ment de leur misc de dépan. La Hon-- ;_ grie pourrait bien étre comrainte * Q;;.;Qig„ljj*, · W Pluslwrs mms $_°S‘ ¢°“¢*'é‘ **56 ll Y ¤<l¤¢lQ¤¢S S¢m¤1¤¢S¢l¢ Par‘°m°m a ä NaSYmaY°S~ 3 ¢¢¤!F¤ 6 ¤¢ $¢ W1 P¤S~ de 2 millxards de francs) dont 6,4 f ‘ · au dmuhque ät d€V¢““ l_““_d¢$ 5)/m' "Le systeme bancaire suisseßnote QT Q C°¤¤¤¢ ¤°¤$•¤l~Pf¤'l¢dß N¤8ym¤F<>S ongme helvétxque. _-|»»— ‘ Ö| _Q T ' i Ä’ |”·‘ ·· ‘ = ^g¤J¤¤¥d hw, I é°°l°8{S‘° **09* 8 Sans _d°“[° V¢PVlS ¢SP°“· Sms purement économi- Il n’est dösrlcre pas étonnpnt qlfune bonne part de Vargent mis ä idleppsxtxon de la DolcW alt eu une A ouvrage infligeaiiä coup sür une vilaine blessure au paysage idyllique que la vallée du Danube tel était que. Franz Weber. Elle est le theme de son livre "Le Paradis sauvé". Sur la page de garde de Véclition ‘ Un la tissante de - _ grammé demiere grande forét alluvialed‘Europe. Hainburg avait été le théätre d’une campagne reten- électricité. um male b餤¤¤ cane la l ¢mPV¤¤}$- $,*1 ^¤· m‘§h° °bÜ°f‘{ °“ Sulssc lalgem qu dig $°U*C“§» Na8YmaY°$ Süß les Ainsi ·ä Nagymaros comme äl Hamburg, ä l’Est comme ä l’Oues:, le véritable enjeu du massacre pro- de Nagymagos était de trempe que celui de Hain- projet burg, en Autriche, lequel auraitrayé naux de navigation A Gabcikovo (Tchécoslovacjuie) er Nagymaros. Ensuite, le creusemcntd’un canal de dérivation et d’un vaste lac de retenue. Enfin, la misc en marche et le raccordement des deux qentrales de Gabcikovo et Nagymaros. La premiere aurait libéré un imponant·vo— lume d’eau que la seconde aurait récupéré pour le transformer en C¢ n ¢$* Pas PQUV ¤¢¤ que J¤¤0S Vargha dcmandalt Ä Franz weberde ICUV Sccondc _f§“<f°f“F¢» !_°{S de ‘ ' gl. {_ » ~| |ig fg . E f,;_ _ ‘ Q; -.=i ..,. e| ·| _ -»vi»- e . ii|iig l, °’ I livrer ä sa voisine occidentale 12 000 GWh annuels de son réseau élecrrique. Er ce dumm 20 ans ä panir de 1996. · 1; iii ‘:”” ’ j .€ " i*.‘ ,; . j .».. · Ä: m|e; „|· |E|gäfä Q., |. ‘ Cöté tchécpslovaque, le ton aété Ä .. { =s tout d’abord menaqant. C’est que, . ii| Ä? I|i f ' |Y j ‘ * ‘?| » i |{|ig| |Ve , ·; fi ‘ élß ·|’| ;i ‘ ‘ ’ ‘ ’ _ ” »‘ ¢g ‘;>;.|r| C€I'Il|'8lBl|1UUl¢ |— ·· . L;. |-·: ;,| sans Nagymaros,lacemralede Gabcikovo, devient quasi inutile. Et comme elle est presque achevée...Les Slovaques ont donc laissé cntcndre qu’ils détoumeraiem le l _ · l 0 =::|„| 0 Danube de la frontiege hongroise pour pouvoir construire le lac de ~· { ’ „ e _ retcnue sur leur territoire. Par lädessus,·ilsontréclamé3milliardsde - J ÜUl0na T I WÜ ber F ranz 0 N° ll · · · Jan./fevr./mars 1990 27 , 0 0 Maisentre-temps ieseuttledela liberté a également weint la Tch餤 les écelvgistes de se manifester a mauquerout pas leur tour. Le llllgé concemant Gab, cikovo—Nagymaros n est, pour l‘heure, plus une préoccupatron es- 1 Q.; 0 0 0 · .=····· A3| ’ |., |=| %|:|;.|2|AA|j|;|r| V}„.„=·-· »-..-Viiii--„« „iii-- —-:~: .. . ,|,| A_ ··j—~j~··jAj·A·| AAAé 0 A • A - . Q Enfin, la peur de voir Vapprovisronnement en eau potable de Budapest et de sa region sérieusement altéré a fait le reste. ll est d’ailleurs sigmficanf de constater que les Tchécoslovaques étaient opposés ä la réalisation de la centrale de Hainburg parce que,selon eux,elle representan un danger pour sionnement en eau potable de BraH tislava. Faites ce que Je d1s,ma1s ne faites surtout pas ceque je fais...0' Dans le domaine de l’environnement, cetadage ne se vérifie que trop - "'“ I 0 0 ment ä Son endettement ¤¤mbr<= d‘h¤mm¤S politiques em estimé que Nagymares était wie dé- masy¤r—·· _iilii »· ~ sentielle ä Prague. - ~-rr-i A A .. _»»pA A Plusieursraisons ontmotivé lade‘ t ‘ i du Parlement hongrois d’abandonner le projet de ANagyma— ros.Les nombreuses et efftcaces actions des opposants ala construction ont joué un role tres important. Mais rl ne faut pas sous-estimer non plus Vargument financier. La Hongrie traversant actuellement une grave crise économique, due principale— e·e=····: cision „_;_ A 2 0 VrvluuAA Q j ·· 0: „ A_VV-|j.;.:·. A A _·r.i.. ~ . i,,_ A. |A A 0l;? EQ A -·| 0“’0 Nagymaros. .. · _ I Dans I I la forét alluviale de Hain- I l’eau. Le "gui blanc" a des feuilles persistantes d’un vert jaunätre qui mite occidentale de sa concentra- A burg, —d0nt la destruction par une A tion. om l'epp¤rencc·du·¢uir. tandis que 0 supe1feqnerelefutéyttéegrAcoi~l’m¤ · _A - _— .·„t,l i . A . — · Le mode d’ex1stence de ces deux variétés est celui de plantes sem1-pa- touffu vert foncé qui rasrtes qui prélevent l’eau et les sels nutrrtifs sur les arbres-hotes ä l’a1de tomneA: les arbres-hötes,eux-mémes dépoutllés en hiver, sont souvent de sucoirs·qu’elles enfoncentdans le bois de leurs hötes : gräce ä leurs en ltanes euro- feuilles Avertes, elles sont capables parsemés des ramifications singulierement noueuses du gui en lianes, totalement dépourvu de son feuillage en hiver. péen (en "loranthus europa- d’ass1m1lati0n, c’est-a-dire qu‘avec du latin "lorum" qui sigmfte ltane et du grec "anthos" qui sigmfie fleurs, en rarson de la fomte étrotte leur colorant ven (chlorophylle), el- eus" latin : : les sont capables mémes des Apétales) quel’on appelle encore gui de chéne", car on le trouve sur chénes (surtout sur les chénes rouvres)etplusrarementsurleschä- de de partir de l’air et l‘au- 00 #0 0 · r 0 . |A 1 . IW zi' album, envahit de nombreux arbresä feuilles caduques, et sous une for- .- 61; 00 mememit „, T V „ , MA „ A · stence particulierdesépiphytes dans la cime d’autres arbres a contribué a ¤<=¤h餤m<*=¤¤ ¤g·¢d ¤¤¤t¤¤¤<= .· . . A, i 0 Prof. Gustav Wendelbergor »»| · e 0i'¥l‘:FiL0‘0it‘70l0 *r r — i|E}#$i0¢|‘V~Ü'Ü‘?0€0 0 ' - . 0 ‘ 2**- ‘ .0 · 0 uv. ‘* Université de Vienne |‘ L ‘ ‘ . 0 0 |A . A · i A 0 {A ~ r i A .0 A . e . 0 A 0 A A · i - · A--. · .» 0 $#-52**| ~‘ ‘ ii t- r · ;· i A ·‘ *2. t „. ¤ ‘ le AE} -,;,|00 » _ A e| „ '· i AA.~ ·-3%; ijA«.— - ELA}; · A · « A‘,q5r„-V „ la .,, ,, , " ·; ». A A · A ‘ ¤ 7 . A. E i l, . t1cular1tédel’AAutt‘1cheonentale, est assez répandue dans le basstn de Vienne et le Weinviertel de Basse ,·„ ri- wu«1;---.......-n.:i :„„„..„ um in: — ,A.. ‘ . „ .„i N 0 A ' A ggg? N poussée vers le haut, en direction de la lumiere,dans les cimes des arbres ^ de la foret troAp1cale humide. On comprend des lors que seules les deux variétés évoquées soient présentes en Europe centrale tempéree, —umques représentants et surgeons d’un grand nombre de plantes tropicales de la méme familie : dans les tropiques, on compte en tout quelque450espéces apparentées au"gui ‘ . A. A i . ‘ 0 . A A AA 0 les éptphytes, les lianes suivent la „ ~ v t V mm ma .A „„,„„„„„„„„„:„. · Sembre de A ‘ AA ¥*” , A A ‘ - Q. —,;0 . 0 ~· r A AA A A 0 » |_; „ AA .g 0 · . · .Ag_,_ 0 la forét troplc al° la forét ne recoit pas plus d’un millréme de lalumieresolaire. Comme 0 0 Ä0 ru 0: M 0 d° Vlc adaptée ä h¤m¤d<=.<>¤ S¤¤v¤¤¤- le Sol ' . - On peut penser que le moded exi- A A Per F¤PP¤¤ eu gut bl.anc Qi-¤_¢S¥ répandu dans toute l’Europe, Jusqu’en Extreme Onent, le gut en " " l' est limité ¢ l¤¤}¢S OU gu idu ch^ne" A ä l Europe du sud et Ade l est, Jusqu’au sud de la Russre et au Kurdistan,doncaune zone contmentale et or1entaleAbeaucoup_ plus rédutteCette yanété porttrque -pannomenne, qui est en meme temps une par- en lianes est devenu un höte indésirabledans les foréts del’est de l’Autriche. Sa ramification fourle gui 0 0 A bre hospitalier’d’une telle quantité d‘eau que les branches s’épuisent et finissent par sécher. C’est ainsi que V .. ¢ · . · La prolifération du gui prive l’ar- A ·· T „ ., jAAAArA sur les sapins et les pins sylvestres!). . (la grive se · — , ,4 |xitra; 0 malum" ipec sibi cacat faitprendreäson propre piege). a la myrhelägae —tant germanaque que chez les drurdes celtes. - 0 .~ ,|}|i;;=qr„| 0 0 0 ’00 .. 00 A mais qui sert aussiäla fabrication de la glu : d’oü le vieux dicton "turdus chue, mais surtout sonfeuillage persistant ont fait que des les temps " anciens, le ui blanc" aété associé — taigniers.(Parcontre,le"guiblanc" eu"g¤ideserbresf¤¤itierS"„viseuni me modifiee, on le rencontre · 0 i 0 . tombe ä Les fruits du gui sont des baies ·jaunes pour le "gui en lianes" et blanchätres pour le "gui blanc".Les réaliser elles- synthese des substances orgamques ä les A la le sortes de baies contiennent un suc visqueux qui permet aux fruits disséminéspar les oiseaux de se tixer a d’autres arbres hospitalicrs, deux "guten hanes" aun feuillage d°été tervennon décisive de Franz Weber, en 1984- de vieux chénes isolés se singularisent A leur cime par des excroissances végétales bizarres : ces ramrfications noueuses dans les branches des arbres sont dues ä une variété de gui, le gui 0 souvent. I l . blanc" et plus de l300(!)especes de -„„ „— „ ;„ tr - „. „„ · 28 L 1~1“ 11 - Franz Wébéf 1 jan./revr./mars 1990 JOUl’l1&ll apparezl judrczczzre vaudois sur le bcrrzc des accuses cz Strasbourg ‘ Une' st0 ce Olivier van 0 s Bogaert 011 0 00 0 ^ ‘0. 1 ,1 1 1 - >-00‘0 01 .0 „- 0 0 1 1 1 11 1 .*0 1 1 1 0| 00 1 2 1· :- A A A 0 ·0 0 . ., 00 y .. 1 Ö3| 7* 0 0 0 1 · 0 .1 0 1 00 ‘_0 1 A.| A_· AA_ 1 0 fr 1 111« 1 11 AA 1 _„ __ A 1A 1 AA 1 . 1 A A A 1 1 1 1 ..0 __ 1 0 1 0 0 0 1 0 0 1-002‘0.0i 1 0 1 0 P 1 1 1 10 |11 11.1 1 fi AQ 00 0 .1 |1 ir. 1Yuri· , 0 00~ 1 1· - V 1 wr 1 1 .1 0 A 1 AA 0 A I 1* 1 1 0 1 1 1-- .0 1 11 AA 1' 111 1. 00 00 00 11 0 0 1 1 1 1 0 110 1; 0 0 1 |00 0 0 1 r |A1| 11 1 A.| A 1 A A1 110 |01| ^ AA AAAAA 1—· er ‘1 ‘”."’*^1 0|0 · ...1.1 0 Y lr 00 |jl|1_‘ 1 A |1|.1 0 I 0 AA 0 r A 0 0 1 1 A . _ A A A A 1 0 0 00 .010 1 0 A0 0 0000 · |1.|1 *0 •‘»>—·„-e-•¤w··· 01 1 . 1 „ ·~ -1 11 1 *0 0 00 0 AA| A 1 1 A 0 1 -. A A __ . 1 00 00 0 0 ii AA 11 _ 1 .|. 0 0| 1| .110 -· — -1 1 A.| er | _11· AA AA|AA A ..10001| .0 1 .1 1 11- te| .... 1 ., .1 T |00 0| 01000001000 000 0 0 0 1 0 0°0000|0 00| 0 s | 0 1 1-0 - 000 11. ..= 1 1 11 1 |y|e| ;-|1111 0 00000 00 1 0 1·1·1 .I0.00000000 00 .0 . 1·= A 1 _ La Cour Européerme des Droits de I ’H0mmes apprete a sieger Devant la Cour Européenne des Droits de 1’H0mine, la „ „ S“‘SS° a Placc Sur I? b‘{“° des a°‘E“S°S1· A_°a“S" des äUl0Tlt€$ JUdlClälT€$ avarent mfllgé ÖU äonfiations däis out une paignant. emarnerereraiemem1¤ee¤s11rut1e„„e11e, le juge cherchaitäfaire du plaignant . atre 1982 une amende de 300 francs, pour violation du secret de E1 Franz Weber. Celui-ci avait révélé ä la presse les methodes mconstitutionnelles employees contre lui par 1., 31 un accusé. :1| Belle Unanlmllé · ’ 1 · · · » ar-1 Sträiborrä devarétunedsalle 1c0m e, a ursse taut onc sur cAAA le banc des aeeusés, ce mardi 23 janvier 1990. Commel’avaitécritet1 maintes fois répété Franz Weber, ce . « . . - . . 1982, il était condamnéä300 francs . Cette ·C0ndamnati0n, agréée par le Tribunal Fédéral, soit clairement mis en évidence par la mour etcompétence les mécanismes grippés du Code de procédure péna— injuste 1 1 . e can °n Vaud A A . ge A- · d’amende par la Cour cantonale de cassation pénale pour avoir. Vrévélé Ades secrets de llinstruction". Au cours d’une conference de presse, • Franz Weber avait dénoncé les exces duA juge mformateur Tenthorey qui lux demandait de produrre les gäola n-931 Iqonie du sort,c’eqä un Hglgeäe, le pro esseur sa1nt~ga 01s t p ane Trachsel, qui décortiqua avec hu- Ilhaurafallupersévérerdurantpgés de ui anspour que e caract re · Face aux abus du pouvoir, la ténacité est l’une des meilleures armes. Franz Weber l’a bien compris, lui qui n’a jamais faibli devantcertains agissements pamculierement mesqtnnsde la Justice vaudorse. En avril 0 1 1 · 1 · 1’enquéte, le juge informateur Jean-Daniel Tenthorey. La Commission des Droits de }·HOmm€ aßstimé ä rllunanimité que la Simctlon constitue unc Vlolaugn du dmlt a la hbrepxpms_ SIOH- L3 Cour Töndra SOT! verdlet dans quelques mOl$· . 11 -·11 L1 *de Commission de la Cour Européenne des Droits de l’Homme: 13 voix contre 0, qui dit mieux? Une unanimité totale pour dire que1'arr1e1e l 10delaConven;;onEuropéenne des , Droits de 1 Homme (CEDH) sur la * . . l1bertéd’express1on aété violé. le _ 1 vaudois ayant conduit ä la viola- tion 0de l’article 10 de la CEDH. · 1 Mais iln'était Aas seulement que• stion del’artic1e110.L’article 6, 8a· notamment ä un proceséquitable,auraégalementété rantissant 1 le droit 0 I Joumal Franz Weber W1 |Ä j|A1_. l j0 aj|-| _. 111_ _A1 . W W 0 0|000| ‘ . W W W _AAAAA W·000 _ ‘ v 1„11é .1_. ‘°TW W. i|i| Ä W .W ‘ ‘W P ” _| W j‘·| · - i . ; t _. j ,„ Wi ‘ “Ä|. . . . . . _ _ P W ’ ‘ K »| _ _ j ». |Ä Q · ‘ ciaires et éviterque le proces ait lieu judiciairequecelle quidirigeaitl’in- nullement démuni face ä la justice vaudoise, qui lui a donné maintes stmction. . w · __ De plus, cette amende fois raison." Oblecuvité ä sens unique ' y 7 ‘ ‘ " W . ßyi . . * ·W W „ End De nature pénale _ I W W |—W '* ..,.,„„p»···; "Le délit reproché est une _. interfé- Me Schaller. llne j la julstice, ztjoutc s‘agit donc pas de Vmobservatton d’une regle de procedure relevant de ggjjéy| j ‘ ‘*”|‘·"·| L “ ’ ’ ‘ ‘ _ Franz Weber ct son avocut Me Rudolf Sr'/1ullvr‘ . . . autres termes. sil on en croit discours de M. Boillat, seul le pouvoir exclusii Iaissé aux juges d'instruction d‘organiser des confesur une affairs cn rcnccs de cours peut oitrir une vision objective a l'0pmion publique. Comme le pointe judicieusement Stéphane Sur le Cours de .. . le .. ”“°”“ Mr Weber était tive etnon partisane. 1-l--l- ij . „» sur la place publique. Le besoin Ié— gitime d'information des jgens doit etre satisfait, mais de maniere objec- sanctionne un comportement qui ne se sttue pas dans le cadre de cette procedure mais en dehors de celle- ‘ j" |j r et l’instituti0n qui prononce. Enl’espece, cette relation particuliere ne pourrait résulter que de la procéduredinstruction. Or, l’amende mfligée a Franz Weber ne l’a pas été par la méme autorité ‘ ° Y mesure bit cette W j "La sanction administrative était W |Z W _ nécessaire, affirme—t—il, pour garantir Vimpartialité des autorités judi— · P W W W|= particuliere entre l’individu qui su- fendables'? W . que ses arguments sont indé- dire j " i W |i 29 Par ailleurs, les voix dissidentes de la Commission notent que le caractere disciplinaire d’une mesure suppose l’existence d’une relation la , ·jf; 1990 ii 00 0000 W Wde Ö W . 1| W~W W W W L . »WiW 1| t-=- Ü ’ « violé, - l’avis de la Commission, si de que l‘amende infligée a Franz Weber est une sanction pénaleet non disciplinaire. Mais sur ce point, la Commission est divisée et unc majorité (9 voix contre 4) penclie pourla sanctiondisciplinai- Cour la retient /·#>—>i|-a| al des autorités vaudorses ä l'égard de Franz Weber sait aussi que Icsdites W autorités auraient certainement con- l'amende en verti i‘’‘ ne s’il arréts W i»i’iW*>7"”‘ W Vavait pas payée. Surtout ‘ ” l’on se si ‘ · ~ . I W W remémore la violente arrestation de Franz Weber a son domicilc en ,„ ·» ' re." . · fpeler a faut ra ll La menace des arréts .- intervention l ProPos."ue de la police avait été ce ’ * · **{ ""' — M ‘ g · V _ W V l‘l87.décidécparlWautoritejudiciai— re. j · W W _, „. WW · j j _j ‘ , · ‘ \-·‘ »¢ |· W . l W V Avocat de Franz W¢b¢Y» M9 Schaller rejoint évidemment l,2lViS de la minorité: "La jurisprudence attache UHC certaine importance ä la gravité de la sanction et, en particulier, a la détention éventuelle concernée. Dans lr! de la CHS qui nous interesse, il est admis que l'amende aurait pu étre convertie en arréts. Pour qui connait Vanimosité signifié ( „ * • «· » j W ' · . ii J W l‘opinion publique. ‘ i · . , **4 Ä", . I nt „ ‘W Waii.i i mw · . tii im i _ ir| ·‘ l "’*”W“ dans,..„ criminalisation sa , 4 J _ i · W .— i , L _Aj · · infliger une peined'arréts,qui aurait -. · j) I __ A décidée pour obliger Franz Weber a se rendre a une audience fixée chez un jugg qui gavait pgrtingmmcm qu’une demande de récusation contrg lui avait éié déposéc au Tribunal Fédéral. Si Franz Weber a finalement payé la famcusc amende de 300 francs c’est par peur de se voir ‘ ii „·~ i I jl W i , , Franz WehwintervicwéäI'issuc'dv du grand quoditien rnmcmd "Lc Marin" ‘ - ?’* W:| i WW la police ’. de l’audience. Et lorsque de Vexté- W W als . . rieur, la sanction est de nature W péna— _ le. W |„ |, F · _ „ . . reg}; · 2) l j| p 4W _ ^ ^‘ ji|i| |'·;·i.Q| W j " r_ s W, 8 ‘ Q l H 'mgé W $;" j. ß |jj * js ,,.•_°° V ’zq 's W='*i ' l t Q -‘ ’ FE? .i LWWW =| . r _ |t| |f jl}, |. plus, les autres législations cantonales ne contiennent pas de regles disciplinaires semblables. On peut en dédurre quela publication de debats officiels secrets releve du En outre, la majorité delaCommissionpensequelemon— tant modeste - 300 francs - de la droit pénal." · -'. °*'““ De " sanction en renforce l’aspect disclplmaire. Me Schaller réplique qu’une amende peu élevée peut constituer une injustice tout aussi importante qu’une amende salée. l‘homme". Le rapporteurde la Commission s’étonne également du cöté caméléonique que l’on préte E1 la Cour de cassation vaudoise: "En somme, sel0nAles besoms, elle peut se muer tantot en autorité administrative, tantöt le. Cela ne me en autorité pénaparait pas tres sérieux..." La vraie question, poursuit le professeur saint-gallois, n'était pas de sayoir s’ilétaitnécessairede tenir une conférence de presse, mais s’il était nécessaire de la sanctionner." Q Si le représentant * .~—•‘ . ” ’| Trechsel, "on peut se dcmander si cela est conforme aux droits de ^ · ment du gouveme- suisse, Philippe Boillat, s’est Pour gée ia lui, l’utilité de l’amende int‘li- Franz Weber n'existe pas. Ce un peu soutenu dans le débat sur l’article 6, il ne cache pas l’iso— demier n'a en lement de sa position lorsque la discussion aborde l’article 10. Est—ce et bonne raison que le juge avait clos senti effet pas violé le se- cret de Vinstruction pour la simple W i U"? SGU? PM"? Ö ¢"‘¤¢1¤€"· · · Venquéte le jour précédant la confé- i. -t°——l" N° 3 ll ~ i ....,........... . ·¤ E W jan./févr./mars 3 3 W W .;WW ·|· W · . . .... W i| |WW|?|-—| |..|;i|. 3_ 3 |W|W 3 W W| §-..... ; W L . i ii W‘ ..Wii| ·3 . WWWWW W rence de presse. "Est-il alors nécessaire, dans une société democratique, de protegerle secret ‘d’instruction alors que celle-ci est terminée?" W |W |so 3 33| |;VWWW ii |W3| ..WWi’ .. ,3 3 ; W| WW ·W • "Non, repond la Commission, et s ca l est d’autant — ii 3,_j_ .| _W|W| |W|W°°’ ·W W _ , ·| , moins que Franz . . _ V _ .. Weber avaitdeja fait les meines declarations une · . W W _.| .3,j . W année auparavant, _, WW . W T3 W l0rS d’une précédente conference de =‘W | ’ W » |. ii ,..-‘ — , ui |V | I -- mnce m¤¤üW<=S¤<= dans Son lr de la "| -...’WWW WWWW "Ce raisonnement ne W 3W = . . Wi - g W| • .W WWW übmé d’¤¤i¤<=SSi¤¤—W' . W =:W -·W · Wi? WW’ ‘ f 3 W ....i-. ä W tient pas, W·»··· él-WW - . Y . prétend Philippe Boillat. La premiere conference de presse n’a pas eté W W |ij| WWWWWWWW . W .; i W * ,... ponée a _ Ä Des juges attcntnfs, suzpris par la Télévision suisse romande W ··Nc vencz pas anc que i•imcr_ Vonnon pubiiquo de Franz Wobei ä Beme csipassécinaparoucirénnnue Me Schaller. Tous les joumaux en ont arlé. Si vous n’étes as interv nuslla premiere fois, c’eI;t pour des raisons dc Stratégic· La dcuxicinc conference de presse intervenait a un ll étafiplus Oäpomm wur Voigs ° [ami? nlmagc C ma"' que de nmz we CL - Uri, ent une partie de divulguer les faits res annees touehaient des joumali- · des avocats ou opposants des q“° Franz w°b°‘” I histolm du dmlt ÄUi0l'it8|'iSlTl6 EXUBITIG W Juste avant que ne s’ouvre le proces de Strasbourg, l’agent du gouvemement suisse avait fait parvenir la Cour une modification du les changements apportes,on a vraimentl’impressionde se trouver dans un musée de l’histoire du droit, ironise Me Schaller. Alors que les autres cantons ont introduit, ou sont en u train d’introduire, l’enquéteW contradictoire, Vaud garde fondamentale- Leditsecretétaitdevenuun secretde gouvernement suisse ne peut faire absnaction de cela. "Cette maniere de ne retenir que l’application formelle d’une sanction montre que la loi européenne n’est pas encore rentrée dans les moeurs helvetiques", surencherit le ‘ Quant au nouvel article, il dit ceci: "Les parties, leurs proehes et leurs familiers,leursconseils,lescollaborateurs, consultants et employés de ceux-ci, ainsi que les experts et les temoins sont tenus de respecter le secret de l’enquéte envers quicon- que n’a pas acces au dossier." C’est dire que, desormais, un mari incareéré pourra révéler ä sa femme pourquoi le juge le maintient en détention, mais que si l‘epouse le repetea ticulierement restrictive, si on la compare aux dispositions prevues dans plusieurs autres cantons suis- contre certains agisse~ quelqu’un d’autre, elle est passible , de 5000 francs sesetnvn desmoindres- L indI$P€"$ab|° °Pmi°“ _ . ,"L°S autfmtés "a“d°lS°S Pm élßß gi le cercle des personnes visees par Vobligation de tenirle secretdel’enquéte, poursuit Me Schaller. L’agent du gouvemement helvéti-- der le secret, et Geneve a méme volontairemeritexclu ce type de disposition. Le Tessin est un peu plus nuancé: Vinrérerau respect du secret queasoutenudevantlaCommission que, en 20 ans, il y aurait eu moins de 10 condamnationspour violation du secret de l’enquéte. Ce la ne side Vinstruction es: exclusivement gnifie pas que la loi est bien respecprotégé par les articles de loi sur les tee, mais plutöt que l’on punit en délirs contre Vhonneur, sur le secret _premierlieu ceux qui, en révelant les de fonction et sur le secret profesfaitsd’1me instruction,posentunregard critique sur le fonctionnement publlquß W W3 Dans ces conditions, il va presque de soi que Franz.Weber doive alerter l’opinion publique pour défendre son image et ses causes. Il ne faut tout de méme pas oublier que son combat pour un monde vivable fait appel au concours et ä·la génerosité Wdu public. Franz Weber doit*donc impérativemem présenter Vtmage d’un homme crédible et au-dessus de tout soupcon. Ses détraeteurs les · i i ciici. Rosa Luxcmbuigi ••i_u iiocnc nous les scuis oanisans d’un _ gouvcmcmcnt, bour ics scuis mein, l oics d’un Patti, quelque nombl-eux du•iis soicnij n•cst pas unc iibcnc_ { Wi La libcrté, c•csi toujours la iiocnc de cciui qui pcnse auncnicnn Non cn raison du fanatisinc de la ··iusiicc·· g i mais naicc duc ious les asoccts vi, i vantgs snlugniros og purifiongcurs de la iibci-ic ooiitiquc dcpcndcni de cc surrealiste! Meme l’ancien Procureur Genéral du canton de Vaud s’est implicitement etonne, dans un preavis de mars 1982, de la légereté W 3 W Et de fimiation de M. Boillatcomme quoi Franz Weber n’est nullement demu- avec laquelle une partie de Vappareil judiciaire a apporte son soutien a un opposant de Franz Weber. Si ce demier a tqut de méme fini par gag— ner ses batailles juridiques, c’est a force de se battre, de reeourirchaque fois qu’il aestimé une décision arbitraire. Et si un juge finit par lui donner raison, c’est le plus souvent pour réparer une erreur commise auparavant par unde ses pairs. 5 · si ionncincni seront cn dangci_·· ments des juges informateurs. En effet, s’agissant de mesures "disciplinaires", il n’ y a pas a donner la garantie d’un proces équitablea la victime de la repression. Tout sera ä huis clos, l’opinion publique ne pourra jouer le röle de contröle et de ni faceälajustice vaudoise est quasi _ Il faut ajouter que la loi vaudoise en matiere de secret de Venquéte dans le sens de Vinterdiction faite a une partie d’informer des tierces personnes sur les faits d’une enquete ou d’une instruction penale-est par- Me Schaller, ce type de sanction critiques W=b¤ü däs on Vcmpéchc dc oicndic la oaioic_ scs aciions niuiiinics dans lc doinainc dc la protection dc i·cnvi_ ic est assez efficaee pour faire taire les modification est de de 500 francsä5000 francs!" ~ re F}Wa“Z gi enco- garantie contre Varbitraire." L‘af- taille sléqiis die "Dans le cas de l’autoritaire appareil judiciaire vaudois, estime ment son systeme inquisitorial. En ce qui concemc le secret del’enquéte, on n’en croit pas ses yeux. La puisque l’amende est augmentee d’un coup Me Schaller. sionnel. Plus loin, ni le Valais, ni ä _ g bl¢ au . Stephane Trechsel veut bien distribuer un satisfecit aux dispositions générales du Code de procedure penale sur le secret de Venquéte. Mais c’est leurapplicationconcrete, au vu. du cas present, qui est contestable. pagne n’oblige aucune partie a gar- j HLa rb d_ OP*m0“ ¢“ [ l erté an t que Pmcr f<>¤d¤m<=¤¤¤l de I? qémocmtlc est égalemem une condition preala- v Un musée W W (tel que defini plus haut), Bäle-Cam- i » non sur celui des idées. _ Sggygt de Ainsi Bäle—Ville et Beme nc con- et r · - naissent pas le secret de l’enquéte plus decidés savent cela mieux que quiconque puisqu’ils l'ont toujours combattu surleterrain de la moralité stes, Code de procedure penale vaudois. "A lire _ - . de Vappareil judiciaire. Les condamnations prononcées ces demie- del enquete penale. a _ Q W Obwald ou Nidwald n’interdis- 3 polichinelle, et ‘ . Neuchätel, pas plus que Lucerne, _ i WW Connaissance du juge. Si la loi a éte violee une premiere fois, on ne peut tout de méme pas continucräla Violet la l ' conccnicinngisscntoiusioisnuoia iiocnc dcvicnt un oi.iviiagc_·· I i i . Un autre idéal , Aujourd’hui, "nous W sommes con- sidéics connnc les icccicuis du mOnde", pour icpicndic le titre d·un rcponagc du Tages Anzeigen Qui n·a pas honte de Voir i-ai-gcni Sale W i dcs Marcos, Noricga, (jcauccsciu Duvaiici- ou des uafiouanis de dmguc affiuci dans ics coffrcs de nos banqugs ci jouiy de [gui- sccrci? Ei qui n’a pas honte de tout ce petit « _ monde de protiteurs, de speculaou de raiders qui eouvrent parciiics manocuvrcsy (jcs dncsiions, yavocatdc Franz wcbciicsaposécs devant in Cguy, avant de concjnrc; "celui. qui dcmnndc vom pmtcction, c’est nn Suisse qui npour son pays un idéa] different; er qui, avec teurs W d’autreshabitants,aimeraitlé,rendre plus ouven ä l'Europe ct plus solldaire avec les autres pouples," 3 La com Ein-npécnnc dcs Droits dcygomme ygndpg Son vcrdicgdqci qiiciqucs moin g W W — _ Journal Franz Weber N« 11 n . jan./féw./mals 1990 31 ~ \ • Egzlogue du proces de Vevey l I · « „ Franz Weber hlanchu. ' recours que Franz Weber ava1t déP osé aPres le J uÄement scandaleux du President itinérant Daniel Hofmann, lors du proces de Vevey en jum 1989. Le Tnbunal cantonal vaud01s adm1s an le ' . l La date du 22 janvier 1990 restera marquee par une fantastiquevictoire de Franz Weber dans la lutte qu’il avait conduit Vaudiencc. Mais il nu- que le choix de ce jour par le Tribu- anqait aussitöt en admettam que "le jugement a été marqué par l’empreime du président Hofmann, et que ce demier n’était de toute évidence guére favorable ä Franz We- nal cantonal, pour examiner et ren- ber." dre son verdict sur le recours de Franz Weber consécutif au scandaleux proces de Vevey, était véritablement le fmit d’un hasard qui fai— sait trop bien les choses. moins que l’on puisse dire. En précisant que la dureté dont afait preuve le magistrat en question ä Végard de Vaccusé durant les trois jours du proces, laissc supposer que le as sé arant Vinimitié de la méne face ä ses détractcurs les plus achamés. Et pourtantce 22 janvier avait été auparavant maudit. Parce C‘est , , 4. quglgtääghßä tion, spaäaägäpgg ä la consmution aux méghodes ct aux conclusions au Tribunal ncutm appclé äjugcr la dcmande de récw Sation de tous les mcmbres du Tribunal camonalEnsumä on avait fixé Vaudicncc de la com dc cassation ä moins de 24 hcurcs du procés de Strasbourg Oü cmains pmcédés de la justicé vaudoise passaicm Cour Europécnnc des VDroitS de l,HOmmc (Voir Vamclß ä cc sujet). I _ - incident pour appuyer le rcfus sont sans fondement." Roland Bcrsier Mme moins catégoriquc. ' Sa premiere erreur évidente, aux yeux de la Cour de cassation, a été de refuseräI’accusé d'a orter des Una rép0nse aux attaques Weber preuvcs libératoires. Frgrgz tres facile voulait montrer que ses attaques contre son ancien collaborateur . Cour de cassa- Roland Bersier, n’hésitait pas, re_contre Franz ‘ partage totalement ce point de vue, alors que Martine Benedict, troisieme membre de Ia Cour, est Une erreur évldeme Heinz Zweifel étaicnt fondées, et que ce demier avait bel et bien eu ä faire avec des tritgunaux alémanIQUFS pour des déhts ünanciers. Il etalt faclle de procédeg aux vér1f1ca— nons HUPFÖS des es. Pourtant une premiere réquxsl- Slmplßmém SHHS Still?. UHC ÖCUXIÖITIQ QSSLIYH UH refus clalr et net; plége qui COHSISIC ä se monlrer sévé- Weber Unlqüqlhénl La des faits. Par ailleurs, Zweite! es: ‘ sortide son anonymaten participant ouvencment ä la campagne de Ia Vlfcltwoche contre.Franz Weber. Il Il y QYGII p2\S (16 FHISOH que Cclui-Ci n’ut1hse pas non plus la voie publ- QUC p0Ul' l'épOI‘ldl‘€ QLIX attaques." L6 ]Ug€-I’3pp0I°I€LlI' I'€_|€lI€ d0l’lC Vafgu- ment selon lequel Heinz Zweifel a posée^lors du proces de Vevey, au- éte attemt Qens sa sphere pnvée, alglllhßnl qu ll quélllflé de "S0mITl3l- CIT6 la le pI‘éSl- gent Hofmann en décxda-autrcmen}. estälortquc les prenuéres réqulSlll0l'lS Il ont PBS élé pl°lS€ES Cl'} d¢!'3ll0l'l. En l:CfUS3l’l! RCCUSÖ, et cela sans motlf, le dront de présenter de nouvelles pieces, le juge de pre- collégue sur le gnef de pamahté - le pire sans doute que l’on puisse faire Laurent de Mestral poursuit: "Les pieces requises étaient de nature ä avoir une influence sur la lumiere tronsnéme, dé- fällt dll ä cause (le son comportement. est justement aprés cet orage toumé. COITIITI6 llllilßl QUC le vent llbél'éS par le SOUFICII app0l:té'ä leur — de. maux. - du TCQOUTBHI. MZIS, ä SOI1 [OUI', ll m€tI8lI UH bémol Ä EO!} COITll'l’lCl1{8l· re, en refusanl de tomber dans le , _ Et Le contenu des réquisitions n'était pas cxcessif. En revanche, les arguments invoqués dans le jugement le extraire tous les Iä, celui qui avait condamné Franz Weber en a pris pour son gra- bIcs ·c¥ POUVBICITI I3 crédnbxhté des'argun1cnts}und1ques ' jugemem Hof- pour disséquer quantäluißapasscrun savonä Franz Weber, arguantque ;'les accusntions mettent en doute l lmpzlmallte cle Daniel Hofmann étalcnt maomxssn- recours déposé par?/ic SGML lenavocal dc Franz Weber etrclatif , malgré tout äflnanchgrä e pr si ent de I a _ évidente, reléve Laurent de Mestral. mann et cn ‘ PET ÜIIVIGT VGH BOQGGIT miere instance a commis une erreur un beau duo - sident se sont unis dans le partqalité eg: · _ le rapporteur et le pré- ä un jugc... Hofmann, Daniel dent-itinérant . re . N ' Par lä-dessus, ll oonstate que le Sur Céftal- estlrés dlSCl’¢I ÖISQOSIIIOIIS C0\’l!€l’lUCS mstructxon et dans Heinz Zweifel admgt I dans lesquelles um Panic des ' Débm ggvgnngux accusations de Franz Weber". Que- _ __ -·¤: ,_| _; W donnérent d’ailleurs Pimpression que l’affaire allait étre rapidement classée. Laurent de Mestral,lejuge- | Sous pmssmn ’ ’ - |{ W üons iniriales du recours de Franz Weber: il estimait que le poser de deux nvocats est réservé °“X ¢““S¢S ¢“m*“¢"¢S 8““’°S °‘ ä ¤¤ Simpk ¤ib¤¤¤l dß r><>ü¤¤~ ¤¤• l 33W W3WWW · < zu u 3 ‘ Ia matiére de violation de l’article . . 3.,,_„ 3,,.... j „ |9 |°‘ , j| „ l « ‘ ‘ A effectivement le droit de se sentir sous pression, attaqué qu’il était de route pan: "On ne peut des uns con- · ’ ~ ‘ ·· , q Le Tribunal cantonal a en dénmque Franz Weber avait tive cstimé I ..3 ° ’ _. l _ _ WW 33 ‘ u’1WWW ” · l jl: selon lui,§ranz V~;e§§ auraitäuqsi enscur. contenter ’un seu Y ¤¤ air ¤¤ rwis du cöré des plaignants représeme,äson gré,un cas de figure rclarivemcm courant- Br<=f„ "H ¤’y ¤ pas ·=¤ ¤¤ S¤¤ ~ * · droitädis-W l „ ° ==WWW balayair les <=¤¤¤idér¤— · n. , |, WW3W3 W un signe de partiali1é?... |¥ ;;;, Les premiéres minutes des débats _ „ Le jugement doitétre annulé sur ce Point." sa le president Hofmann s’cs1 es -¤ „. a_,u_~ q · V .· ·· _j‘ ·.| _j __ v ..3 · ¢3·WW _...= 3_W fourvoyé dans le cas Zweifel, il n’a guére 6:6 plus brmam dans l’affaire EOS- Les r>r¤¤<>s ¤¤¤¤s par Franz Weber au cours d’une conference de -W __ ; } ‘ · 6.WWW I q WWWWW ‘ · .11;.33 ¥=;g_?; 333, _„ {3_3__ l §“ d¤ la Droits de l‘Homme." .,1* ‘ ig pmiales dans la maniére dont le ju- {gi gg de premielje instance, cememdela campagne poumnanative ··s¤¤v¤Z La cnc-- „·„„„ jamaig |ä‘ L¤¤r<=¤¤d¤ Mestral te qu’il ne décelait pas de pratiqvcs n ‘ stiont cette discrétion n’est-elle pas '° |E:| ‘ ' le présix éré zranscrizs de maniere exacte, Das ' ‘|· - Laurentde Mestral eur: juge vaudoispourqui Ia justicc n’e·stpas unefarce. lors, c’est la version qui lui est la plus favorable que l’on doit rclcnir, · - 32 Nr ll A "Nos adversaires de tout savoir: jan./ten./mars 1990 - JOUTTIHI 1 fameux bordereau le "avait toute provoquer des coupures de courant pour faire prespoil s’apprétent ä sion sur l’opinion publique..." Le nom de l’EOS n'apparait nullement ‘ dags pette déclaration. as em éché Daniel e a n’a Hoffmann depstigmatlfser, dans son jugement, le "comportement vil et lache" de Franz Weber en la circon— _ - Deux poldsi deux mesures y avait effectivement des rumeurs de coupures de courant." En tant qu’ancien président de Tribunal de district Sur la Cöte, Laurent de Mestral sait assurément de quoi il parle. Conclusion du rapporteur: Franz Weberaagi dans le but de défendre son initiative et non dans celui de vagues, ies étaient dire il pour des juges intede ne pas reconnaitre les erreurs de leur collegue. Mais on peut était difficile, gres, par conséquent, d’évitcr une escalade qui a en définitive coüté beaucoup de temps, d‘énergie et d’ar- 1· ce choix releve de la inteme entre les Prési- dents du ressort et le President itiné- ram. J; Reste que Vanimosité du juge Hofmann ät l’égard de Franz Weber 1 , 1 1 1 1 D’annuler le jugement dans l’affaire Zweifel et de rejuger celleci devant le Tribunai.d‘Aigle. 3. De réformer le jugement dans 2. äl|nzawg 1 1 1 q lsiilil-i 1 ’ |Y? .1‘‘ 1 ——;>l 111 1 1-.1.1 Q.? |1-| Q 1 { T f éi V 61 |1;;;| |-1 |1; IT 1 1 Ü 1; |in 1| « .1 J1='i 1ii1 |.1 L1 ä i T' ad]°“°‘l°“ lsiissisllss Franz Wcbsrns payaitpasd’im1>öts1 Daniel Hofmann aeu tort de consilllls -T T 1 i ’·_ ; ; _ l T; P ·,1 T: dérer que ce demieradélibérément voulu présenter Demaurex comme i |i' " „';Ü' - ”' Q;| ‘ ? TQ? [ Vaulcul dll islllll- Dans culaire distrlbuée ä ses sympathi-1 sants, Franz Weber avait rédlgé, SOUS liils photo. ia iégsiids SlilVߤl<‘>¢ .1 1 Y 11 lllls isllls sil- la g rcs... i’stllissi<>ll lsisvisss dll "Le document incriminé: ·«-· 1 T une serie de deducnons erronees. du bsldslsslll plsSuite ‘ avoir des raisons de penser que cerd’autains ont plus de chance que ommen .; mf d°S f""S,‘°‘}F" - 4 ' déraTav°el·tet’nentcr•ltiquées;or(péur devait] étie äoänäip däpuis Vatéaire tardes t1l eu s e o e. Csmms sisils _ ‘ ssis- is pissidsnl-ilinsrsnl s is sslliiass dsllls ss läsilsLaurent de Mestral "Ie juge de pre- laissilll n’a pas su se défaire ployé ou d’un collaborateur, serait lourdemcntsanctionné. Mais quand l’on sait que le juge informateur Jean-Daniel Tenthorey a continué ä rccevoirla bénédiction des autorités judiciaires vaudoises malgré des pratiques que mémele Tribunal Fé- elles, répartition Hofmann niel de ses préjugés lorsqu’il a statué. Dans bien des entreprises, un tel manquement, dela part d’un em- Les autorités judiciaires vaudoises comestent que le juge itinérant Hofmann alt été désigné avec les bons auspices du Tribunal cantonal. Selon porte ä Franz Weber. Cenes, de partialité, Mais ses conclusions mémes laissent Vimpression tl‘eS nette que Da- ‘ ber coupable non seulement de-dif_ fammation mais encore de calomnie contre le député libéral. Mais la en- 1 slrzlt elle rejette toute idée se demander s’il n’était pas possible de prévoir plus töt une telle issue et, 1 L "Dsli" sl qui ductions hätives, des oublis et des arguments sans fondement et admis que le ton du jugement laissait apparaitre le peu d’estime que le magi- 1988, était tellement grossiere qu’il Finalement, ä la majorité gie 2 voix contre l, la Cour de cassation du Tribunal cantonal adécidé: 1. D’accepter ie recours de Franz um lcaSt’ le-cas Dämgw ssllls isls ds Cour de La faqon dont le juge Hofmann a condamné Franz Weber, en juin Le verdlct Weber. 1 erreur professionnelle 'grave. La cassation a relevé des dé- T gent. TTOISIÖITIG blämé a que le juge Hofmann a commis une I - 1 ” ääémänä Ilressortde ce feuilletonjuridique‘ La eQ°n ä wer du mal. Le jugement doit aussi La;} bu: jugement sommaire, erroné et abusif, que le Tribunal cantonal a dü annuler pour une partie, réformer pourl’autre. version francaise. Le présidcnt est d'avis que le jugement des cas EOS et Demaurex doivent étre réformés. etre annulé sur ce point. 1 eut été par conséquent logique et sage d’effectuer une rocade et de confier le proces de Vevey ä un autre résident,afin de révenirtoute susäicion. Cela n’a gas été fait et l’on voit le résultat aujourd’hui: un taire. ll • gé par le president Bersier, lui aussi persuadé que rien ne pennet d‘affir— mer que Franz Weber a sciemment désigné Demaurex comme l’auteur du faux. D’autant que la traduction allemande du texte incriminé ne confirme pas les maladresses de la méme si el- étaittresmélectriquel Et maurex sur le plan politique et mili- lesdeux casmais necontenaientrien de calomnieux ou de diffammatoire. En conséquence, Franz Weber doit étre libéré de toute eine. Demaurex. sourire entendu qu’il arborait quels’était tranfor- coup parlé des 260 000 destinataires de la lettre de Franz Weber, mais tres peu des 300 000 téléspectateurs du "Défi"!" Son point de vue est parta- témoignage de Roger Masson. Il faut se replacer dans le contexte. A l’époque de Vinitiative, Vambiance bonnes relations avec André De- ber étaient contraires a la vérité dans et que six mois plus töt mé en rire jaune... fait une petite rétlexidn tres pertinente sur les "lacunes du jugement": "ll faut admettre que l’on a beau- Cette qualification ne repose sur aucun motif pertinent." Et d’ajouter: "Franz Weber a cru de bonne foi le ent sans nul doute pas ignorées ses EOS A la sortie de Vaiäiience, André Demaurex adoptait un profil bas. Le Au passage, il glisse vite fait bien stance. "Ou est le comportement vil et läche?, se demande Laurent de Mestral. Le juge de premiere instance est alle un peu vite en besogne. A savoir: les allégations de Franz We- les affaires Vapparence d’un faux et son usage toute Vapparence de l’usage d’un faux! On peut alors estimer que Franz Weber a agi de bonne foi." Franz Weber |1.11; ·1 i 1T 1 1 1 nt 11 phrase=1--| i °T ‘ 1-;: 1| 1 manuscrite ne figure pas sur la piece officielle délivrée par la Commission d’impöts du district de Olli Vs sslils? Lsissllss gsllsvslss Vevey._1.11 |*1 ~ ‘ 1 1 1 T T 1 1 - dsvls is dslsmlillsl-'V ·° ds Msslrsi ssl "Franz Weberaclairementlaissé un i-sillislll 1- 1 1 1 1 1 i 111| T1=-1 1 · 1 1 1 -‘ Psllll d’llllssls2sllsll- Aids; tlsrls lillsiisslsllirllsvsllssl ll’llll· illéllls ds ss fsirs lllls idss-" Mills Benedict dlvslss slll ss llsllll- Pslll siis» ss rsssllrs au psiill d’i¤ls¤ss1¤li9¤ ssl un artifice des le moment oü la mis- 1- 11—· 1 1 qllsslisll vsdsssi- Msllins Bsilsdisl lllsilllislll s1ll’ii Y a eu calomnie comm André Dgmaurex. Le juge-rapponeurrétorqueque :111-1111 11 L ‘"’i" |S .1 · - i -· 1 1 Szadmssall ädss “T’ 1 1.| T - -1 1111 T Le Tribunal cantonal, a Lausanne. 1 L 1 _ p _ Franz Wébéf N“ ll - jan./revr./mars 1990 33 - L CFC de la reductzorz des illusion l 1 l Ä ‘ Pßllt DI] BIIGOYB S3lIVBI‘ 1 Ia 00lI GIIB En UHC Convention pOUI‘ pays 1087, il reduire serieusement la production et la vente des chloro— fitwrssarbenss (CFC)• Prmclpaux Vesponsables ds la d€$‘ truction de l’oz0ne stratosphérique,qui nous protege des tres äglilgil fa lälägäifäiggcigtllf . Venvimnncmcmy Sc {mmm les mains, persuade que "cette Convention unique en son genre allait tentcr de prevenir une 'menace planétaire avant que celle-ci ne conduiseaune crise irreversible." Cette reaction illustre bien l'état d'esprit des signa- 1 SC S()l]i (,lOI]Iüfßide Montréal, n s onne conscience en renant unc décision concrete allantldans le 1 . N · En Europe. ltalie et en Grande—Bretagne, pays dans lesquels se trouvent de gros fabricants de CFC, les gouvemements ne se sont jamais emprcssés pFOblÖm€ (10 lll ÖCSITLICtion de la couchc d'ozone avec le sérieux voulu. Les mesuresadoptées I,. h. Pu 1cuscmcm I es geallts d €_ m d ustlelc C lmlque qu} fab n' qllenl les CFC. Les SlgrlLlI£ilI‘€S Om fall iii SOLll°d€ Of€lll€ GUX mises cn gardc des scientifiques ct les réductions rctenues „ sont cn défmmvc parfaltemcm lnSl}ftlSZlm€s' DcS9rmalh’ ld - ~ - 1 1 ~ . . —- 1 - _ „ 1 T grande nlargs ds nlalleeuvre ät i’in~ Convention de Montreal est un si ne su lémentaire de dustrie, et la “ ‘ · · Pal Olll/lei Van Bagaett 1 1 l 11- 1 un mecanisme maintenant connu gers gravissimesliésala production cette timiditégchronillue. (voir ci-apres). et consommation des CFC. ils rencontrerent un scepticisme cer- La Suisse n’echappe evidemment pas ä la critique. Ainsi le gouvemement helvétique n‘a pas juge bon accélérerle proeessnsdllmardgcnon des CFC, ne serait—ce que dans les sprays. Celle-ci n’entreraen vigueur qu’en l99l...A ce moment seulement, la consommation suisse de CFC diminuera de 40%, ce qui, au Soyons clair: les limitcs imposécs pax CFC lors de la conference sur 020ils ~ Stltlt faibles. Une fois de plus, ants 1 I des dirige- gouvemementaux ont mar- chande, ergoté, pese et sous-pese les dangers pour la same menalale d’un cöté et les intérets economiques de l‘autre. Pour finalement adopter un compromis faisant la part belle ä Vmdustrie, menageant cette demie— au mipris deäestimations scietäti— itle iques. esque es, compte tenu es donneeialairmantessurl'état de notre couc e 'ozone, exigeaient une reductionimmédiate etminimum de 85% de l'emploi global des CFC. p qui sfest traduit par quatre ans de léthargre. Ce n’est en effet qu’en 1978 que les Et&tS-UnlS se sont décidés ä interdire les CFC comme gaz l En 1988, l’industrie chimique a encore produit l million 2()0 000 tonnes de CFC. Ce qui représente un marché de quelque 2 milliards de dollars (3,5 milliards de francs). propulseurs des aérosols. Du coup, ce type de production a passe de 200 000tonnesä7000tonnesseulement. Mais les tenants de Vindustrie n‘avaient pas dit leur demier mot et contoumerent cette interdiction en Un pactole qui explique bien des reticences a1‘6ehelanotneae1. En 1974, la in 1tain, Un sacré pactola parfaltement insuftiSanles,p0urne pas dire ridiculement T trouvant rapidement d’autres débouchés pour l'emploi des CFC. lorsque les chercheurs americains Sherwood Rowland et Mario Molini avaient clairement mis en garde leurs autorites des dan- Dont laconsommation reprit de plus belle au debutTdes annees 80. 1 11 1 1_ ” T 1 11 1 1 11·11 _·1·TQ1; "S-1ÄjV11-;jÜÄ;;=;jÖ;g1§Ä§§§ 4 1QT 11*Ä ‘·‘‘ 1 ,, 1| |1 T1| 1' 1= 1| 1 · la 1 · 1 1 1 1- ,_- 1>e;j,1|_1»~ ·_ . T 1_T_ dix“1=1 1 p 1 _ {” 1 1 dp ceux d’undEn „}‘ment!all: pair exit? pe, es pays u iers- on eon e droit de n‘appliquer ee traité que ans apres sa signature. Quant ä l’URSS„ elle cgntinugra äconstmirc des installations de production de CFC tant que le plan quinquennal en cours ne sera pas terminé... Une fois de plus, et on en revient toujoursäcettefameuse case départ, 1 j|.,._| Mauvalse fqll 1 1 :1 Ä La mauvaise foi, dans le domaine d¢$ CFQ1 ßsl ddulanl Plus gmiidß g_ 1 T|, que les chlorofluorocarbones sont souvent inutiles,puisqu’il existe des 1i|.i|_|‘ ° -1**‘°T“ |7|-*;| de Vexpansion economique, au pouvoarau mereanniisme erderargem, ä ses phobies matétialistes. |11 I1 1 L‘ozone stratospherique continuera donc ä disparaitre pr0gressi— Mwlafd Tolba, directeur de I 'ONU pour l’envirormement, n’est plus aussi vemen; sous l’action des CFC, selon optimiste que lors de la signature de la Convention de Montréal. 1 _; ” Q;1 4 T 1 Z 1 sisnissanllssllsln·n1ssn¤l·l·a¤ss1 qui consiste ä prtvrlégier les profits ä sslln tstnls an nléptis is piss total des générations futures, cette ex- pression d’un ,egolsme detestable continuera de faire des ravages. Vhommeacedé au chant des sirenes z halons et des produits derivés. Ce ssnt slisslivsntsnl dss _désisi9ns d°° 1111 1 grande illusion des llsllllsiiss “9“T‘°S désldéss ä Msllr 'éal “° Sumsalt P?S· la de 1987 est truffee de trous dlgnes Récemment, une association bap"Action pour la protection de la couched‘ozone"alance une petition ourdemander au Conseil lederal eil)au Parlement l‘interdiction imme iate del‘im rtation etdel’u Iisation en Sugge des CFC, des f 1 Comme si sym- ' ’ 11 Dlgne d’un Emmental 1 la situation actuelle, est bolique. T 1- 1_ T g . vu de tisée 11: $1 T 1 et plus particuliere— ment en France, en Allemagne. cn ménagc SCm_ dangcl-eux I-ayons um-aViO}€tS_ Mais Cc U-aité , chr0nique ————-————l-— posent cette terrible question: "Y a-t-il encore quelque chose ä Sauvcr?" ment. ' OZOIIB . tl Pmdulls dl? snbstitntisn Pas (¤¤ moins) dangereux pour l’environnement- Cfnaéns fabrésants ds CFC. S ant am fisßiil Du Pont de Nemours, ont meme investi des rnil·li0nS de dollars pour promouvoir ··¢¢S SllbS¢¤¤¢¢S ds l‘¢mPl¤C¢merlt. T 34 N“ JOUI'll&l t ll — jan./few./mars 1990 Ce qui est cependant affligeant dans la démarche des magnats éco- Ainsi, il faut savoir que les CFC ‘ entrent dans la composition des em- ballages alimentaires ä base de nomiques,c’est cette constanceäne mousse, comme les "boites" des faire des concessions que si cela hamburgers ou les "barquettes" de peut également rapporter des béné_viande des supem1archés.„Et avant fices faramineux. d’envoyer votre vieux réfrigérateur Reste que le remplacement (et ä la décharge oü, immanquabledonc la suppression) des CFC est ment, les fréons qui permettaient toutäfaitp0ssible,etcedepuisquelson fonctionnement s’échapper0nt que temps déjä. Si les produits de dans Vatmosphére, veillez ä ce qu’il substitution prönés par certains, notamment pour les sprays, présentent fasse un crochet par une installation de récupération des CFC des appades inconvénients - le butane et le propane sont inflammables, voire ’ - explosifs comprimé ou reils frigorifiques. Ces l’air commencent ä l’alc0ol, sont sans agglomérations importantes. voir le jour dans les tres que les signataires de la Convention folantes. Beaucoup de SUiSS¢, la MÜSYGS H banui de · Ha b·tUdE n°cN€ I ses rayonsles aérosols contenantdes CFC depuisjuin l988.Preuves’ilen est que l’on peut sans autre s’en passer. Car, jusqu’ä nouvel avis, le Autre responsable de la destruction du bouclier d’ozone pur les chiffre des ventes de genre d’articles CFC: l’industrie électronique. La- par la Migros n'a pas chuté... quelle utilise les chlorofluorocarbones essentiellement pour le nettoya- Le devoir de chacun Chacun devrait renoncer de lui- méme aux sprays nocifs. Ce boycott, qui anticiperait judicieusement sur les lentes intcrventions officielles, s’impose encore plus si l’on songe que la moitié des CFC utilisés cha- que année en Europe provient des bombes aérosols. ll est interessant mousses, comme fluide réfrigérant des congélateurs et des armoires fri- plus de l00000tonnes. comme gorifiques, nettoyant CFC de 17% seulement. Si cesnrapports peuvent éventuellement jouer dans les pays qui ne produisent et ne consomment pas (ou tres peu) de CFC, il en va tout différemment dans les autres. En Al- . - · lemagne, par exemple, oü l’on recense les deux plus gros fabricants de CFC de la plunéte aprés l‘intouchable Du Pont de Nemours. Ensemble, Hoechst AG et Kali-Chemie produisent bon an mal an 110 SP? tiers sont utilisés dans le „ A __; ¤¢¤ ä S¤¤V¢F--- En fall, ¢¢ qu! d駢· - · 700 tonnes annuelles. Pour l’ensemble du globe, elle s’éléve ä ‘ les SP€F¢ les ¢h¢F§h¢l{fS ·_¢!S¢mbl¢ l§lS· $¢F les mdüslflßls ¤¤dlfféF¢¤!S · ¢ ¢S! l0¤· la d¤¤‘é¢ d¢ V¤¢ g¤¢ d¤S CFC- Elle S¢ $llU€ ¢¤!f¢ 50 ¢! 100 HHS- Cßmmß les ¢hl0F<>ܤ¤- partir CFC aurait la méme influence sur de serre que 580 mtlltons de tonnes de dioxyde de carbonc. l’effet m°m¢m ués l°“‘¢m°m dans 1*} $*Y8*°$Ph¢F¢ ‘ ¢mT¢‘ 15 ¢¥ 50 "0¢aYb°“¢$ t @5 Suwam l¢$ d*fféF¢m¢$ °b$¢YY8' mms ‘ la PIUPM nfmt que ks a“°‘“‘°S_ä lafolfche °Z°“€ mcsurées a“.|°“Vd hw nc d be recours aux CFC dans des do-. GW la conséqucncc des CFC Sfmt prola autres que industriels maines dans 1**8 amlées $°P‘am° °“ lrbérés duction de sprays est en constante méme soixante. Or entre 1960 et 1989, la consommation mondiale 21 augmguté dc___3()()%g pays méme. de ces chiffres, Vlnstitut Environnement et Previsions (UPI) de Heidelberg a établi unc comparaison qui donne ä réfléchir: la production (annuelle) allemande de MISS! EGW m9¤, ll ¤°)'_¤Pl¤$ ¢§=¤Yég¤¤Q¤¢¢ dans l’industrie électronique avoisi- comme solvant. re et les _ wu! ·En Suisse, la consommation des ou sponsables de ¢0¤S\¤l ßmßlä l?¤¢¤_Q¤¢ !¢l¤!é $f?¤€}“¤f¤QU€ ümeücöm Watson. CFC comme produits de nettoyage C CO2 étaient re50% de I'effet de ser- émissions de les Pflfßgé ä changions nos installations avant ne l’on poursuit dans lu _ Cß V serre (phé—' de Veffct de le prochain Joumal Franz Weber): jusqu’ä présent, on considérait que 2030 ' noméne dont nous reparlerons dans QUQI 9$p0I|'? "Des le moment oü nous sommes équipés gour utiliser des CFC, il n’-y a pas de raison que nous qu’elles soient amorties!" scientifiques sont industriel qui trouvera son salut sur une ile déserte." incensee: ~ bone. Ces données, repriscs d’ailleurs par la commission d’enquéte du Bundestag, sont de nzitureächanger completement Vexplication tra- dbzone aura diminué de 40% en d’un dérivé du savon, nettoie aussi bien, voire mieux - et pour un coüt nettement inférieur - que les CFC." On se demande vraiment pourquoi les fabricantsd’électronique ne de constater que les Américains "eonsomment" annuellement plus de CFC que les Européens (respectivement 1000 et 800 grammes par personne) alors méme que les sprays maudits sont interdits sur leur temtpire. C’est dire si l’industrie chimiqueaplusd’une cordeäson arc pour propager le poison chlorofluorocarbonnél En effet, ce poison, on le manie en grande quantité dans plusieurs autres domaines. En particulierdans la fabrication d’agents gontlants des Elles concluent qu’une molécule de CFC est 17 000 fois plus dangereuse qu’une molécule de CO2, le tristement fameux dioxyde de car- ditionnelle si „ gements climatiques, causes d’in— nombrables catastrophes naturelles. Les plus récentes données venues d’Allemagne sont, sur ce point, af- voie uetuelle."Pluspersonnene peut arréter la catastmphe éeologique, clamait haut gt fmt un chgycheur soviétique lors du congrés de La I-[aye (Hollande) en oqtgbre 1988, Il n’est pas un chef d’Etat qui pourra survivre dans un bunker et pas un ge des circuits itnprimés.Or, pour ce genre d’0pératt0n, d’autres méthodes sont tout aussicfficaces. Si l’on en croitcertainesétudes del’Agence américaine pour l’Envir0nnement, "l'eau,additionneedans certains cas recourent pas plus souvent äee procédé tout simple. Quand vous posez la question aux principaux concer— nes, la réponse la plus courante est et provoquera toujours plus de chan- encore plus pessimistes. Et tombent d’aeco;d pour estime; que la couche l’an ‘ — mene d’effet de serre, qui provoque doivent aller encore plus loin (et plus vite)que les dispositionsprévues par le traité. Lui—méme pense que danger. EH largement ä aggraver le phéno- augmentation. Certaines données américaines prévoyent que Ia concentration des chlorofluorocarbones seratripléeces pr0chainesannées,et cela malgré les accords de Montréal. Meme Mostafa Tolba, si optimiste en 1987, reconnait aujourd’hui Vagrandissement du trou d’ozone a engendré, ä l’échelle mondiale, une hausse de 3% des cancers de la peau et des maladies des yeux ces toutes demiéres années. installations comme d’autres, _ Franz L h0lTl|Tl8·p0mpIB|‘ _ _ Mm cc ,_ , Fl est Pas l_ ‘“' _ gémcur PM'? ¤—¢hm¤¤¤ (S°c‘été d Ewdc d=-l E¤v¤¤·1¤¤ms¤·- V°° v¢y)„ }¢ mé¥h¤¤¢ ¢S! lu! ¤¤SS¤„¢! plus ¢{l¢O¤'€ <l¤¢_}¢$ CFC, Y¢SP<>¤S¤bl¢ de C e . ' „ « 11-11 _ 11‘· 1--13- .111- 11.· . == _ ä zfßfa l’est - =TT A A , S1 ce temble raisonnement est pertinem - et tout porte äcroire qu’il · -11·i' cela signifie que Ciiii l | arrét total et ‘· · jf|;1,,,11| -T11Q,}| tion Y · 1 tg; 1 _ 1' -3 gl t_ 1 »l‘l'‘‘=e···‘ v_ immédiat de la produc- CFC n’aurait d’effet qu’ä ‘ moins que l’on écarte le risque de vu plusieurstmilliers de métres cu- Cela pour montrer que méme si le CFC trouvait une ~~ S0l¤t¤0¤ raptde, l Homme ne seratt pas au boutde ses petnes. Car on en mal emptrer. ‘ ‘· s Ce qui est loin d’étre le cas: récemmem encore, en France, on a fuite. ment montré que les gouvemements les plus eoncemés par le probleme préférent fermer les yeux et latsser le . l ’°·V°".ä d? q“°‘J°‘°’“"° Vexplottatton du gaz nature}, ä bes de méthanes’échapperdansl’atmosphere, suite ä une défaillanee dans une usine. °' es bien des mtseres dans Ia stratosphe- tres long terme,et peut-étre lorsqu’il seradéjätroptard. Bien entendu,un tel arrét est peu probable, puisque la Convention de..M0ntréal a claire- Ä ·· " de méme un „ · probleme- des est rédutt au_;ourd’hu1 ä_ · · · jouer les ’ ·· C .. „ ‘ · Q Données BÜOIBMBS .1, * jj§=¥?§w ’ ‘‘· « . Et \_ .;,l; V il ‘ — ’ a' Äy détruire la _ pompiers pour éteindre des foyets 8ll¤m§S par négltgence alors qu’1l faudratt en fatt éhmmer les causes deces incendies. Autrement dit: re- pire encore. Avant de couche d’0zone tosphérique, tes CFC stra— contribuent staurer Véquilibre du systeme, tnerveilleusement autorégulé, de la _ C Nature., · C. _ i - JOUTHQI Franz Weber N° 1 1 ll 35 jan./few./mars 1990 1 I E p&|’COUl‘S 1·· ät de nouvelles molécules d’ozone, et 1 1 Ä ” · 1;; ¤i 1 » V 4 ” ·- 11 ' 11:V| 1 _ ' ·· 1* 1; V ‘ ‘ 1 1 |·| V1 gc 1 1 |·ÄÄ1“1~1 1 ’ il ‘ 1‘ 1 1*1 1| ,1 1 1 _ |-1 f _1 seele 10 ~ ?‘ Ö1 1 |1 11 #1 ‘ jh 1 |*14 A111‘11=·11 1 11 peut provoquer des brülures, des asphyxies, de la toux ou de l‘asthme et des/douleurs thoraciques. Inutile P°"“· 1 areils i orüiqucs sont dartgereux pour I·€HVÜ'0fll1€I’N(.’I1fune foisä la déglgargc, lgrgquc les ß‘é0ns qu’ils c‘0nti@r1r10H!, s°éChapp@r1t dans Val”Ph0t0.' Keysflme mosphére. , i11 _ La b°n et Ia mé°h°“l ' _ Pour mémoire, il convient tout de meme de rappeler quel'ozone n’est pas toujours bon! Il nc fam pas com iii 0 ‘ ' ;1 „ _ #*11 —· 0 V, 11 ‘ sol, Smce äl atmesphérecette °“V°l°P' .P“}‘°°‘°“V_ P°“‘ P l °"‘§°mbl° d°s °"8‘““s'T‘°$ "“’°“*S P°—8“Z°“$° (lll! °('t°“l’¢ la Planéß ¢l assum $3 rés¤¤¤¤¤¤ !h¢Ym1Q¤¤- Ses V sieurs V couches et Véquilibre subtil ‘ entre ces différentes strates assure la bonne marche de notre "thermome- 1 trc". V1 T La premiere de ces couches est cn la aux 1 du premwrs k¤!¤me— tres au-dessus de nos tetes. Puts, en- 1 le dixieme et le cinquantieme kilometre environ, nous sommes trc 1 ’ _ une couche umforme de 31m1l- Si l’on peut vnvre sur la Terre et Pa§ Sur VMMS °“ S"' Vé““$· C est deux C0mpOSante$ essentielles sont l'aZ°t° (78%) ¢* l°¤XYSÖ¤¢ (21%)L’atmosphere est divlsée en plu- 1 · de precrser que les enfants et les plus senVll€lll€S personnes sont les S‘b"?Sä"° g°‘“° de ‘°"‘°"é· Bien entendu, Fozone troposphéri ue contribue de la méme maniere ägggraver l‘effet de serre, En 1987, lors d’un symposium or- 1·1 Lcsa ? : au patrimoines géné- par Vupparrtrorr de tumeurs, et plus particuherement de cancers de la *1| · dose, leur nocivité peut causer des Chezl‘homme,_11lag1tprincrpale- ment sur les muqueuses, qu’il itrite fortement. Dans les cas aigus, cela tique des cellules que cela se traduit V1 1\_V__V~·· _ 1·¤|VV_V VV11| = phénomene de la mort des forets. _ |11„11V1.;__VV V- se développe chez les ammaux et chez l’homme), ils peuvent provoquer des brülures graves et répétées lorsqu‘ils sontconcentrés.Etähaute atteintes telles 1 „1„|;|_E|„ d Maß Fondation Franz Weber a montré que le gmvc probleme de I1 ozom nc - éPa‘§$°“V· fondre l’ozone stratosphérique dont lalaissaitpasindifférente(voirJour- mh? nous venons de parler,1¤vecl'ozone nal Franz Weber n3). Une résolution avait méme été adoptée, demandant $0** ¢$t mV°’$ém¢m PV°P°m°““°l ä °° volume. Au contact d¢$ UV• les m0' troposphérique quiest, lui, malsain. Ce demier se fonne, généralement dumm [gs jgumégs chaudgs, dans lg lé°“l°s d,°Z°“° é<>¤¤=¤¤¤¤¤1_r>¤¤d¤¤¤ le rayonnement de fatble lon- couche de Vatmosphere ou nous vi- que Vexamen, par des scientifiques indépcndams des milieux écgngmiques et industriels, de tous les fuctcurs pouvant amencr ä la pmduc_ tion de yozone nocif. Le Conseil vom gueur d’onde des UV se transforme en energie calorifique qui augmente latempérature de la stratosphere, les atomes VdV'0X)’gén€ l$§U$ de I? dé' C°mP°$‘“°“ dc? molcculcs d °XY‘ gene (02) et d <>Z9¤e (O3) referment de l‘ozone en réagissant avec d’autres moléculcs d’oxygene. Ce mécanisme pemtet de mairrterrir un Sous Vcffct d’un fon cns0lcill€_ mcn[‘„lcS oxydes d·aZOtc ct [cs hy_ dmcarburcs _ Hbérés par Fédéral a répondu, POIimcnt‘ par yimcmlédiaim de Flavio cont n”av0ir pas attendu cette I'éS0lU!iOl1 échap_ ICS pemems des moteurs, les chauffages pour étudier le probleme. Et, s’agisssmdescrc,r1er1enemreprem1re1.1 OV ,._ B_ et les industries — produisent par ré- aeuon de toume. or, mm est nujsibrc owners cer seulement pour 1 la 1 1| 1 V équilibre idéal entre ladestruction et la régénération de l‘ozone. la stratosphere. X 1 Ä _* ” 1 1 Q1ij 1| |;|1«-1»1-.1- 3 1 1 |1| 1 · ——·-——···—— Petit 1 _ mals indlspensable 1 1 V 1 Impntoyable 2 1 1 La stratosphere a la pamcularité d’etre plus chaude que la tro— gl posphere. En effet, äune altitude de 10 000 metres, latempérature descend ä moins 60 degrés, pour remonterjusqu’au zero degréä50000 metres.' L’explicati0n est relative- · ment simple: c’est dans la stratosphere que se trouve la couche d’ozone.Celle-ciseréchauffe en ab- |W|Ä sorbant une partie des rayoris solaires ultraviolets. UV les Cette faculté d’arréter les plus dangereux rend la couche _ @1*;| i |Ü 1 sg| “1l1j A1 1 L 3 |1{ |‘, j '= 1 , d‘ozone indispensable. Pourtant, l’ozone est un gaz tres dilué. Sa masse ne correspond guere plus qu’au millionieme de la masse atmosphérique. Et son volume est si minime que, ramené ä des conditions de pression et de températures normales, il représemefßiß Hu niveau du V1 V_ 11 _ carbones (CFC) dans la stratosphere a troublé cette belle ordonnance. Alors qu’ils sont considérés comme inoffensifs dans la troposphere, les CFC se disloquent au contact Ädes UV et liberent des atomes de chlore, qui vont se révéler étre des tueurs impitoyables pour les molécules d’ozone. Les experiences, menées notamment par la NASA, ont montre qu’un atome de chlore pouvait ä ‘* ‘°1· ' __| ii| W · _ “ j VV ” Hélas, Varrivée des chlorofluoro- __ 1 _VVV 1; °’ : _VV__ _· J | AVVV 1il”” -1| ·“§=s; :1- 1·1 1 _1| |ii| · _” ‘e;;1V{: |~ VV| V| |is 1 ;__ ‘ ii ·· 1 1111 |11 1 1 V 1 _ __ 1 1 1 ’ jl 11_. _1 1 une moyenne de 20 000 molécules d’ozone, par un Iut seul détruire 1 I 1 ° · 1 _1_1 1f _|1111111111= Si l’on se réfere ä Vexplication Tadlfßßlemenl la synthese 1- 1 germ! les atomes d'oxygenelibre.111111 ¢mPÖ¢h¢ :‘·1‘ 1- pl'0f>édé_paH1culierement soumois: tld1ssoe1eles molécules tout en pié- pl'é¢éd¢m¢ $UTVéqUÜlb!‘8 dyl’ozone, on voit que l’atome de chlore H 1 V§1;Ü' · 1 .0 ‘ _' _ ‘ =? 1: . ganisé par ses soins a Giessbach, la i dans Y. 1 des arbres, ce qui a des conséquen— ces néfastes pour la photosynthese. Raison pour laquelle il ne fait pas de doute que l’ozone troposphérique a une part de responsabilité dans le (c’est gräceäeux que la vitamineD 1 1 __ tectrice des feuilles et desaiguilles sont nécessuires aux étres vivants 1, 1 des animaux il trouble le métabolisme. Il attaque par exemple la couche pro- ultraviolets.Si les UV,äpetite dose, __= e —1 et celle des plantes, dont est altérée. i 1 de l’homme mais aussi pour ’ tosphérique suffit ä laisser pénétrer presque deux fois plus de rayons 1 |QM M »··«··"”|11 „ 1 1 _ *1-1V 1 fil ·=‘‘ · » _ | du la régénération Or, on sait maintenant qu’une disparition de 5% de l’ozone stra— 1 ” “”'iil 1 ,|15;=··' 1 V| r.V donc toute précieux gaz qui c’est 1 ltltl _ ‘ santé V VV $%ä’|„1g| ,?5” U€UI’ UI"! Ü J 1 ' Lesn emballages des hamburgers sontfabriquésäbasede CFC 1 » 1 — Photo: AIR. _ 36 tv 1 ll 1 jan./févr./mars 1990 I u Ü ¥ 1 1 1 |J « { M Q ~• ·•· 1 · 1 1 1 1 ‘ " x 1 1 ‘ 1 1 1 ~> , ' V V 1 V V Q 0 * r V', I { 1 W 1 s,] s ‘ 1 00 ‘ „ A 1 V J { 1} 1 Ü , · I JOUTHBI FI’3l1Z Weber 1 x 1 1 · 1 ,1 -\ ,1* V " I ‘ • 1,} 0i tt [ ' 01 "t1 VV 0 VV 0 1‘ 0 1 ·~ ¢ 1 " ‘ ° VV|V| VVV V VV| V 1 j |1 1 00|•-11 0|0 ·· 1,1,,, ‘*”*'*H1,„~V,,., 1 "'l‘·M0 1 11/|'|(|„ 0 I V |1 111 1 1,1111, 1 1, 1 , 1 tt V1111 Vä 111| ß' VV| 1 Ü V 11 V ' V rb, V|V| 1 1 1 /” ' Viil'1 111| ( ,| |1 V V ”' [ 1 VV V‘ I 4 11 1 V, V ’ ·^"“ L ‘ *.00, 00 00| L *• VV { VVV ! 1 { * "~ ,1 VVVVV 1 '•· 1 lr _~ _QI'(l[7/1I~5Hl(’ (I' !)/'(]lIlLlf(’IlI' il/rrstrv , la c0nt·entruti0n d'0:0m» sur la carte mondiule. E11 rouge: les :0nvs dv (‘{)H('L’IlII’(lIl()II élvvéc. En bl¢’ll€.' les zmtvs de · . Tmu d 0Z0l’l€. j :1 , q I, dwzsiré f "”‘ l 1 _/bi/1/6 Ya ,» 5 1 _ VV 3 Ä r/' 0:0nc·. .°*‘ r . Lv „ VVVVV 00 • { 0 i ‘ 0 ,1 f I ° Et sz la • / / ° vente etazt t0ut autre? |' Po d La théorie actuelle sur le déchirement de la couche d’0zone est cudeux égards. Tout d’abord, la source universelle de vie qu’est notre soleil, sans lequel aucune vie rieuse a ne serait possible sur Terre, émetune lumiere néfaste pour la vie. trait Ensuite, le déchirementde la couche d’ozone au-dessus du Pole Sud se- dü, d’apres les accusations des scientifiques, aux chlorofluorocarbones (CFC) alors que bien 90% de rait ces substances sont produiteset consommées dans Vhémisphere nord. Comment donc ces gaz propulseurs passent—ils de Vhémisphere norditl’hémisphere sud et pourquoi ne provoquent—ils pas un trou dans la couche d’0zone au Pole Nord? Et comment le soleil peut-il envoyer E1 la fois des rayons bénéfiques et des rayons néfastes sur la Terre? D’ailleurs, pourquoi le fait—il? Il est clair qu’aucun scientifique traditionnel ne pourrait répondre ät ces questions. Car elles sont trompeuses et absurdes. Elles jouent sur des notions qui n’ont pas cours sur la scene du grand jeu des énigmes scientifiques, qui semble avir des réponses tout ä fait plausibles. Lä _ encore, la science échafaude de pures hypotheses tout en prétendant qu’il s’agit de faits solides. t Rien dans la théorie sur l’ozone n‘a de fondement scientifique, et cela n‘empéche pas les représentants des gouvemements du monde entier de se réunir dans des conférences apparamment importantes pour, en fait, construire des chäteaux de cartes sur du sable. L'hypothese selon laquelle le trou dans la couched’oz0ne seraitdü aux CFC (par ex. les aérosols) ne peut pas etre démontrée scientifiquement. Son seul fondement réside dans des observations effectuées par des satsllites. Le reste n’est que conjectures et devinettes scientifiques, qu’on fait avaleraux gens comme s’il s’agissait de conclusions défini- tives. Les processus qui se déroulent dans la couche d'ozone n’ont méme pas pu étre reproduits en Iaboratoire. Mais les tests en laboratoire ne pouvaient qu'éch0uer car la science ne veut pas voir qu’on ne peut faire avec des pommes pourries une tartc aussi savoureuse qu’avec de belles pommes. C’est exactement cela: tant que la science traditionnelle refusera d’admettre que la qualité d’une substance détermine ses effets, elle réalisera allegrement ses expériences avec des pommes pourries et s’étonnera que la tarte ne soit pas bonne. JOUVHHI F|‘8I1Z Wébéf N‘· ll - 37 jan./few./mars 1990 t Concrétcmcnt, l’ozone fabriqué artificicllemcnt a, hormis sa composition chimique, aussi communs avec pcu dc points l’0zonc naturel qu’un chien avec un homme alors que l’un ct l’autre ont la méme composition du point dc vue purement chimique. D6 méme, les rayons ultra-violcts produits tcchniqucmcnt ct utilisésqdans les études de labora- unc gamme dc fréqucncc, unc longueur d'ondes ct des amplitudes différcntcs de celles des rayons uItra—vi0lcts du soleil; certes la difference est ténuc, mais les premiers ct les seconds nc sont pas partoire ont t faitement identiqucs. Il méme cn va dc des tomates cultivées sur lainc dc vcrrc avec des dc substanccs nutritivcs, qui nc sont qu’un ersatz dérisoire injections des tomates cultivées cn plcinc terre et lcntcmcnt müries au soleil. La différcncc dc la qualité est tellement flagramc que méme un palais insen- ; A Ccpcndam, ces sible la remarque. différcnccs dc qualité n’cxistcnt pas l cn chimic! Dc méme, peu importc pour la science traditionnellc qu’une molé- cule d’0z0nc soit produite par photosynthése naturcllc ou issue dc l’cau. Ou encore qu’cIlc ait unc ori- La lumiérc infinie que nous cnvoic le soleil sc compose par c0nsé— quent d’un nombre infini dc rayons ginc élcctromagnétiqucs(élcctronsenvibration) froids (!)quip0rtcntcn cux la substance de toutes les choses de la création, du début dc leur évolution jusqu’ä leur retour ä la source dans la perfcction. Une "chosc" ou un étrc vivant contient le rayonnement, ou energie, corrcspondam ä son dcgré d’évoluti0n.‘Plus un étrc ou unc chose est dévcloppé spiritucllcmcnt, plus sa fréqucncc vibratoi- provicnne des oxydcs d’az0tc toxiques des gaz d’échappcmcnt, des motcurs ä comartificicllc ct bustion, etc. A lumiére de ces c0nsidéra— tions, on peut avanccr sans étrc audacieux que la science d’aujourd’hui méconnait l’ozonc. la Osons donc exprimer Vantithése dc lathéoric couramment répandue! La voici. Tout ce qui cxistc, le visible ct Un rc est élcvéc. pour "composant" Véncrgic que lc soleil nous envoie sans rclächc depuis le cocur du cosmos (lirc égalcmcnt l’article sur Vamour, page I4). Qualifions cette energie dc "lumiérc". La lumiérc consiste cn un spectre infini dc rayons qui commence ä la fréqucncc 0 (ou 2) ct ä la longueur d'ondes 0. La lumiérc que nous voy— ons rcpréscntc unc toute pctitc fraction de cc spectre: un domaine de a l'invisible, fréquencc situé entre 2,47 ct 2,5 ou cncorc entre environ l50’O00 ct l million de gigahcnz. humain émis par le soleil qui soit dcstructcur en soi. La seule raison pour laquclle la science peut parlcr d‘ultra-violcts "dcstruccurs" est qu’elle n’admct pas que toute éncrgic a unc originc spirituelle. Ainsi, Vozonc n'a pas pour but de nous servir dc rampart contre la lumiérc ultra-violcttc. Au il cn est issu! C’est gräcc aux rayons ultra-violcts que l’ozone peut sc former. Les déchargcs d’élcctricité dans l’air (par cx. les éclairs) produisent aussi de l’ozone. Sa molécule tri-atomique se compo- comraire, trés sc·d’oxyg€:nc m0no—at0miquc ct bi- avancé est capable dc recevoir des "dons" du soleil alors qu’une ämc moins avancée n’a pas encore de résonancc. Qui plus est, pour fran— chir des dcgrés d’évolution, un étrc doit recevcoir ct pouvoir absorber unc quantité croissantc d‘énargics. atomique, L‘ozone monte depuis le sol jusqu'ä 30 ä 50 kilométtcs d’ai- étrc titude. Comme altitudcs, dans la rcs glacialexlatencurcn ozone rcstc relativement stable. Il C’est Iä que la science intervient pour racontcr que nous avons besoin ment ä proximité du de la couche d’ozonc pour nous protégcr d’un certain rayonnement solairc dangcrcux! Du point de vue des sciences de Vcsprit, cette affirma- tiquement impossible en va autre- sol, oü la cha- leur déstabilisc l’ozone ct rend prala mesure dc sa tcncur. L’éncrgie des rayons ultra-violcts aidc les moléculcs m0n0—atomiqucs ct bi-atomiqucs ix sc combiner pour tion est absurde. Toutcomme l'idéc qu’il puisse exister un rayonnement q ä ces stratosphére. il régnc des tcmpératu— former des moléculcs [fl-ZlIOmiL]U€S. tg E ‘,f , Ä. mlh · ‘ u q 1 ‘ ‘.,, ,« |,„,}.| . V “ «•' ~ 111 t 0 , · IN 'L | ·— „. · . |V|i| jl Ä|d Ü ;' „ M \=l¤| z s |" ‘ |„ 7| ‘ ‘ ~ AV „ t Ä| |# t q “* 0 ” Gl tlg V ·w „ ‘ ,111 , |es ‘1’ ut t • l Q nv „„ t * ‘ Q E · t| crt * t |"l{Ö«l#;' J |j 2:WlW‘h"* .. .· V _ Y" - |V i ,. ~ ' l 1111 j' ;~~ Q q "| " _ · ‘ · {If| |7V ‘ · _ A t ·111·. nö · [ ,. V ‘ |» , _; q A V V V A " A ’" „ t ‘ El Y, · t |~| t— ~ « %|,„| .11|‘ tw e t ; s ; - Depuis 1Q62 déjä, la science sait que la Iradioactivité inhibait le renouvellement Ia formatton des trous dans la couche d ozone. Lorsque loxtgéne est surchargé ” transformer en ozone., . de I 'ozone, que de radioactivité celle-ci est (”ionise'7, donc responsable de ne se laisse plus il ¤*’°“”T 38 N° V , . jan./fevr./mars · ll _ V . V _„t.;=t . · |‘ „ V V,V |·|‘|2-'¢"|ä’| ,,__.." I |_ ,,| |A| Cette "énergie ultra violette "absor— be la molecule et ne la restitue que lorsque celle-ciestréchauffée.Lors- ,Ä. #V—| j _ l i qui A,i .V . „ eagsej |Ai ä li i ‘ 3 g, A, « , Q A , AAA,} _' A ;„| . «" A |„· ‘ ‘ · . q de 2. .. ri ~ y 1 " V ’ ». *9} „§,§g,#*^*“‘° &,“AA_..— ·· *| •§' „ ‘ ‘ V ‘*¥·l,, V ' g| g .| J ‘ P‘“’*¤„ · A yß { %~ #5. '{ » V s __,| V ‘*;t‘ *¤¤ *¤<1¤@“¢ le CFC ¤¢r¤·¤¤¤ le seuls a attaquer la couche d’ozone._ Il est vrai que le gaz chloré, produit ‘~ ’‘=‘° J; · ‘ - z *" · |IF| + V— · |V|- AM|. .V · V V |VV |·| " “ ·«, V, »§V| V; | .|. ·· + P . • · — .·*” ·^ . ‘— ·. V • I 1 |..| ·V „ _AA A |V |tz| A A . _ . =‘ tm, ···~. . , .. A| V V V-: V · V _ A AA V =| .*:-rw _. |ie A ·=„| .-¤.|_ · . , _ V ’ ‘ ‘ ‘ _ A V „ . _ |f|. · |V V ' V V A |‘ P ’ ( AA ’ l I Photos d'ordinateur datant des annees 1980-1984. Elles annoncen: Vétendue de la catastrophe qui se dessinc et qui aujourd'hui déjä se many”este par des changements de cltmats. · ‘ · ' A · A laA couche d’ozone. La radioactivité mhibe la „ , formanond ozone neuf'.En effet, si Voxygéne est surchargé de radio- mation de trous dans la . _ activité("i0nisé"),ilne selaisse plus transformer en ozone. Ainsi, une at„ „ mosphere iomsee ne contient pas , d ozone. . A . . A A A De plus, il est prouve scientifiquement que ce sont justement les isotopesdelafissionnucléairequis’accumulent tout autour de la Terre dans Vatmosphere extérieure et io- nisent précisément les régions ou l’ozone devrait se former, ce qu’il ne peut plus faire. Ainsi onAcomprend pourquoi le plus gros dechirement de la couche d’ozone est situé au—dessus du Pöle Sud: parce que presque tous les es- de l’ozone. En 1962 déjä, un moratoire tests atomiques avait été décidé (ce qui n’est pas rien!) car l’on la radioactivité. inhibait le renouvellement del’ozone. Depuis bien 27 ans, la science preuves ä l’appui, que le rayon— nement radioactif, en particulier celui émis lors des tests des bombes atomiques, estresponsablede la for- ._ ., . . des sait, Ve·»—; V .q a véritablement le comportement de Jack l’Eventreur, et ses crimes abominables sont dissimulés non seulement par le brouillard mais parl’ensemble de l’élite politique et scientifique. Comme si l’on ne sa- apercu que .; ·r‘ • V ·— ll s’était .| .;· . A' V l |*3 »| A _ no ···· .. |Äl| Que vait pas quel est le tueur ä" A se passe-t—il, une fois de plus cn coulisscs? Oü Sc trouvcpautrcmeur dbzom qui doit donc néccssaircmcm Mister-, · |A r ” __| . V ’ -."|·| V * démesurement surevalue voire contestable. .··* VV - ·< pmbabimés d„éHc jusle H cs! Wap Semblablc que le rölc des CFC dans la dcstmction de la couche dbzone _ zi | these accusant les CFC a tres peu de est rs VV nes par an), dont la plus grande partie se redépose avec les pluies bien en-dessous de Vatmosphére exté— „ |’ · „, § ”' = V quantités d’aér0sols "pulvérisées" dans l’air (on parle de 500’000 ton- , VV| V " par la lumiere ultra-violette. Si l’on considere la disproportion qu’il y a entre Vépaisseur de plusieurs kilometresd’une couched’ozone gigantesque constamment renouvelée autour du globe, d’une pan, et les . . |V ‘ fg l _: " ’ L2| |V|.;·H;|.|¢—2» |m|t ·‘ .| . ’ .A| gt. . _| 1.| ¢‘ .V détruit la (raum pan on von que *·.V " A - , ·¤“ A Vuv| ..| molécule d ozone, Mais pour que la conche d’ozone disparaisse, il faudrait le gal ¤h¤<>ré vhaswytc coup plus d’0zone que les quantités mf"“€S Pmdmtes en ricum’ ggf |{AA 6 ·’ - V es AA XT " V |=·% . |p ‘ 6 se- |AA_ _.. ‘ ._ . AAAA| · „iVV;,t;;?··F~%.VV A V ~•«·;— VV |·•W .. .' _ U igüäsuß/4,* |A' |V* C . ä4’”é; ‘» , ' · ,_A A ‘” . . · V . „ ‘ ‘ , CFC, ~ A . ~ q A_ A · aléatoire des _ ’ %.s_‘Q* A2 gg. ;„;§'j”| . „ p Pi; _<..AA·' Ds · Ap * AA AA) A AA “” fait Mais revenons ä Vhypothese .„A, ms gf sp- ?‘ ment. Comme il "nait" du processus x violcnt d explosion du moteur a combustion ou encore des oxydes d’azote deja toxiques, il est chargé non pas de rayons ultra-violets mais d’une énergie destructrice. L‘ozone fabriqué par des procédés techniques pese environ 2,5 kg par metre cube. ll est donc deux fois plus lourd quel“airl Et probablement bien plus lourd aussiquel’ozone naturel.Voilit pourquoi il reste avec aulant de persistanceaccrochéäla surface du I S°‘ s . . l tousser et gene la respirat1on?C est - pardonnez-moi - une tomate pour- , A „, __; A.„„ A A· F er g_g*.¤V ‘ ‘ A g ‘ ‘ *0 V A st ‘ _; „„ . ’ ’ A' . sg i’A‘=§;AAV =A äjiäi t . 6 ""* ‘ | . __ Ps :| „,,,„4st•„„;;Q_ A Y eg •- de cet ozone cloué yeux. |. ‘ . |‘ ';;%¤V~“” V A ' ¤‘“ energie vitale irrite les gg'; ‘ _ g , A pilori, Ä bx 'YP V au .„§*”P$e‘ ""’ „, C est est-il · ¥~ „,<*" r t les étres vivants sur Terre! Et qu’en ..» _„ , ultra-vtolette. ' ‘ |·§ ‘ Xisagxi A ;·;VA P -• de tous V‘ ‘ V rechaultement se produit (parex.sousl’effetde Ia respiration) la molécule se décompose et libere Et nouveau Vénergie de la lumiere „ V V „_ ef · VV uns “%'.*·;.s „. qu un “ ‘ " sais nucléaires en atmosphére se déroulentdansl’hémispheresud! Malheureusement, la décision de l962, dictée par la raison, a été continuellement sacrifiée aux intéréts de I’industrie de la guerre, furieusement partisan du réannement. C’est ainsi que les Franqa1s,malgréle moratoi- vigueur, ont allégrement poursuivi leurs ex losions nucleaires en re , . atmosphere de I966 ä 1974 (sur l’atoll de Mururoa) avant de les reprende en 1986commel’on sait.Les ·Soviétiques et les Américains ne se sont pas non plus résolus äabandonner les tests de la bombe A. Leurs essais souterrains produisent des rayonnement tout aussi destructeurs que les centrales nucléaires en service et leurs "accidents".Quoi de plus normal que la couche d’ozone dimi- . niveaux per- . . . Comparativementlesdélais impoAsés aux aerosols paraissent denrel. soirement courts. Ainsi, la fission nucléaire, dont des esprits paniculiérement impu; dents continuentde louer la "propreté", abrite la mort en son sein dans bon nombre de ses variantes. La fission nucléaire est un crime contre toute vie. Sans le savoir, Vhumanité végete aujourd’hu1 dans un monde qui est étonnant, par contre, c’est que la science connatsse ces ne reste plus qu’a se demanderqui mhsele les sc1ent1f1ques.Car sinon, qu’est—ce qui les empécherait de diretoute la vérité et de dénoncer faits. Il inondé de conséquence tragique d’un état dA’esprit destructeur, qui autorise tout ce qui est faisable et promet argent et puissance. toutes les responsabilités? La situation est particulierement _ Ces rayonnements sont diamétralement opposés a la lumiere pure du soleil, ä l’énergie vitale divine. Ils i , mettant la fomiatton d ozone natu— Ce nue mais l’ozone toxique proche du sol augmente! Plus lontemps on mé— connaitra sciemment le probleme de l’ozone, plus il sera difficile de ré- „ siécles, ä revenir ädes nue continuellementl précaire car. jour aprés jour, non seulement la couche d’ozone dimi- . générer la couche d ozone, et l arr ue nous resPirons. Les isotoPes qui , contmuent de s accumuler jour aprés jour autour de notre planete mettront des décennies, sinon des en sontl’anti-lumiere. Paul Sommer (sur les indications de H. U. Hertel) V •.iOUl’l'1&i ·l ll Franz N° g _ ll · J an./févr./mars 1990 gl/tl0‘1/\ E *9*| - 1 m°'"S VPUS de « ce que vous la planete, tout é¤9VQl9 QQ9 V0!-iS dé ployez lour aprés lour, lnlassable- t<GS„ tQUt9 YA Vi| éveiller avertir, . |VV-; *i| ""a'S°"· Ca' la T°"° °S‘ “°*'° P'@· Sulei tu éS du conte "Regret" de Franz Weberdans/e JFWNo. 10 "Ou est allée I’äme de Regret? sujet Qui a-t-elle suivi?" C est labandoo total 6 oo enlam aprés la mvrt de Sa mére Vlgno- la ' . . . . . da CB qu’un ii‘idiVidU peut la||'6 pour la société dans Iaquelle vit. mus d°“"°Z P?aU°°Up ds ‘ ll A COUWQQ P9l)V P°U'$U'V"9 la contre l 9Spf|t de dG$li”UCliOn- |AV' A ‘ tum ~ Fovlnl-fggäggyg AQ 'P ‘ 1 nomme lnconsclence. Sa mare aimait les plantes, äC9 P<>l¤t¤rlm•¤9iP¤¤r¤f•aSS¤¢r9V maitles plantes.llestallerejoindre QUSSI 8bOm|Tl8biS de Vämg dgs san: d?fqq;eAAJ@ Sevals e c emals ommea rec de plus en plus je suis attrlstée par $¤¤ ¤¤¤äP¤ri9m9¤tV i'@¤ pleure d9 rage et impuissance, _ . hUmaln€ QUIHVSC bonté on V . V V V V V .. V , ·' H . al- anlté. C’est a désespérer de l'étre · h C ggägn d fäurgäxil renne l'a.b.c. de I’amour et de la charite. Sa N_ Gjndrah 1022 Chavannes-Renens . V . Symposium au Grandhötel Giessbach (lac de Brienz) ‘ _ _ _ A et “'Pa“'Sat'°" ' I I I . P°““i“°' Pas °“i'°'°' " ' "“ ° °“ B “”"‘ ‘°°° tel [ “’ |Q |.‘_A·« tait VV V A |;A .| ‘· mervellleuxarticle sur leVvégétaris- |1Qga‘[|V@|1'|@|‘]t , plus élevéa. l'Pr6n1l9r A · if}“ VV_ CBS boeuäs et lo? cochOrIASEU! 8t?Ar· 9 rssent ans es aSSl6 95 Giassbach nosont suremenl DHS moins privilégiés devant DIBU QU9 A |E ' . |;A las chevqäxdetleä é|épi'lantiV VGUS es xtraterres resAen avez par *2 ‘ référent auxA éylturöä d un Hermann llg. La aussi, llAest prédlt qu'aprés Ia ärgnsfoämatlqrl d6 la 6 no {9 P9¤· terre (c‘est- - ire V |' :. . Vinnommabla calvalre des animaux (notamment pat Vabattaga) prendre fin. Vous avez dlt un iour que le Journal Franz Weber longueur aura toujours une V A V .| YA| |.. davanca sur _ V* _. qu de porterune fourrur8 8lTlPrQlnt9 dB t¤ut6S lesA soufil'8i1C9$ endurées PST CBS anlmaux las autres ASOUFCQS QU6 d'informati6n. C’6StA alnSl AQ ]9 crois profarldßrrlant AqU°Ä C=ti9$§· bach aussi, vousdevrlez courlr|0ln · AA| · Ali soit sam QUI 9¤V9iOPP6i‘|t votre corps? · · . A V V nement. — JOHN Rubin, 1003 Lausanne I ¤ tendre dans son appareil que le programme de Radio Suisse lntematio— nale. La puissance du champ magnétique dans 1’appartement oü il habiteoscille entre 6 et 10 volts par metre. Et alors, disent les PTT, apres que personne n’ait réussi ä empecher que l’appareil de cet enfant capte ce programme radio, vous n’avez pasä vous plaindre, vous pourriez devoir supporter des intensités dechamp de V60 volts par nietre. Car la loi nous autorise (encore! la réd.) a aller jus- Méme un appareil d’audition peut étreila victime de ce rayonnement secondaire soumois. Il y a la par hasard un enfant de trois ans néavee un grave défautdel’ouie. C’est gräce a un appareil d’audition et a la capacité auditive qui lui reste qu’il doitétre introduit par une thérapeute dans le monde des sons. V Enfam iésé CQi¤dlt„ pensez-vous, Mesdames, l ,· C0ndltlOnS traQiqu9S Gt atr0— En revgnche, Ia fourrure synQU9 r pond Aet rayonne iaV0l’ab|ementä Vinterrogation du séa), ÄA |A ' ° V sw'? d¢’ il! P¢*8¢ 6 _ il vous ,; , ll‘l°8dl€ ces provoquent dans le corps et LQTG 09 i'anin’lBiA:ln dérapgémént IQ OQIQUQ, psyc IQUS 9 rnanta QUI 6¤V8i’1ItäjarrIaiS, Gn mal, toute la bét6„ Y compris sa fourrure. ggf la radlpsthqpie, estaisé de mon rer es 6 ets lrradiants néQatlfs de tous les vétements confectuonnés avec de la fourrure an- ner et sauver ici et abattre ai Aeurs. . 021/96437 37 oder 9642424. Fax: O2 1°/964 57 36 Les photos épouvantablesparues dans votre NO. 10, prOUV6r'It &V8C _Emetteur secondaire quelle cruauté on martyrlse les anMais l‘étre humain n’est pas le imaux pour satisfaire les besoins seul a fonctionner comme émetteur égoistes de Certaines dames secondaire problématique. C’est aveuglée parla nécessité de paraiégalement le cas, par exemple, des tra, etsontde nature aerlerjusqu'a pieces métalliques de grande surfaQual pOlnt on fait SOUifrlr d6S Ötl‘9S ce, des gouttieres, des couvertures lnnocents. Pendant des heures. de töle, des cuisines en acier chrodes tours. CSS 3¤lm8UX éPl'OUV9¤t mé, des installations électriques et la plrG sanitaires et aussi des machines ä ért AAAd6$ Ci‘l0A§6SAI VOIrAi? rnd0 approc er pour Ina amen GS traire qui multiplient facilement_de ilVr9l’ dö i”§['¤i9rV m8lS ä ClU9i Prix! trois acinq fois les valeurs de rayon- mg p airg, Aucun animal rl'8 m¤ln$ 99 V8i9Ul' qu’un autre. On ne peut P8iASOlQ- A Tél. _ Grandhötel de Suisse 9ntlél’SrTlSnt Véggärign"-ca ne saraltpaS p0ur · Helvetia Nostra, case postale, 1820 Montreux VoIl•t, 1214 V•rnl•r La TOLIITU T6 éthiqug * Ch. V_ se tout entier... dans votre numéro du mols de juln, vous avez publié ce grand et fréquentent I'h6tell ll faudralt avoir lg courage de leur SuppOS6l’ Urlß A V I'l*A6- me. Ne serait-ce vraiment pas core possible de n'offrlr que es plats végétariens ä Giassbach? Ne devrait-on pas, dans des choses aussi fondamentales, tendre vers une concordance absolue’i Ce sont los amis de Weber QUI V .V ‘ On märggondu qpe apropr t upeupesu s- Or, lg; FtG¤S6iQn6rTlGntS 9td0CUiTl€i°lt8TiO1'lZ un chlffre astronomiquel (tomment leur taire entendre raison'? ter ll ‘“gét§l·leq. |V ‘ 2ä“£i§l?„iL.°äZVi‘ä„'L?6l$a§lSt“$ä‘ää azzseaszlsst| fl-W °“ an ZOOP I y a quelque temps le lalt que Glessbach ne soit pas un ·mabllssementVcompletement véJ'3l crltlqué _i “ ll plantes. c'gg[-ä-dirg V A · Qznäqaqqägitäüäitnäluqgésjßg| „ Je Ial sulvl dans la nult dlsalt-ll de Ia plante Cast Vimage d,AAAA . A , V VV V mare. Pour moi cela est clalre petltsA-etres ' · .1 Ia méCi°la|”lCBlé Jg suis horrjfjég gn |j$an[ Vgtrg Aartgcle SU; ie massacre das anlmaux ä ißümllö- C}¤{Tlm9¤t 999**9** éilß d°Ur'16 faQOf1 :A L. V V ' trouve cette histoire épouvantable. blß A, l V Comme Iectrlce, commelemme,je Le vrai visage de ainsi Ia liste pal ' .·| AA ä C9 des innocents SS hOYTTTTTGS. M HIWQUG d'amOur manque de Compréh6n_ J sion, c est-a—dlre d intelligence, Voüä le résultat Et Cad dans Un msn nV 5 Commgla France a Zooaaäa Et cg pauwe 6n_ geant . Au „ V - ' Mem er aussi notre Domal- ' . 4; Aédacfo" esprits, miere · UNG lfagedle "OVG article A Glas-‘b“h· i°“'"im°U¥$°”i"°' $P°°‘é·°”ä le Page I-'sez les pour senslblliser et faire réfléchir vos semblables. ll y a aussi tout le domalneAde vos campagnes pour sauver notre Pas un cgntg mais le deviiizßssayädtk un"' 8 °· Rcthenbur9 i ment pour . ou a tout · ‘, VVV. — devant notre temps Jaimerais voAus dire cornblen je trouve salutalre pour Vensemble . . , malsen . comme le jour et les humains l'entourant n’y ont rien compris ou ont le coeur tellement dur qu’ils ne La t€I°I°€ I°lOtl‘€ |J Ou bien devoir payer la taxe radio puisque vous recevez la Radio que la! Suisse Intemationale! Alam cette constation macabre, le médecin spécialiste avait assuré aux parents de cet enfant que la capacité auditive restante était considérable er devrait absolument étre encouragée. "Maintenant, déclare Hansueli Jakob, face aux hauts responsablesdesP’l'l“, il se metäavoir peur et parle d’une ‘capacité auditiveirrécupérablei" Pour son malheur, habite a 2,2 kilometres de l"'émetteur perturba— il teur" de Schwarzenburg. Bien qu’on lui air fait porter les appareils d’audition les plus diverd et les plus mo-der-nes, cet enfantcontinue a n'en- · Un enfant qui restera pour toujours étranger au monde des sons, cela n’apparait pas dans le compte des résultats des PTT. Vive nale! Radio Suisse Intematio- ' ·4O NO ll * 4;,% JOUTHEII F|‘8l'lZ Wébéf jan./few./mars 1990 - \ AA ‘· ¤,_‘»_&_ i .«,| « T‘ .;| r ‘ », V . 9 | A |_, 2 AA »~ ‘°| ;„ _„ _} _ ,| e ÄVV.. AA 5*|* {Q, A *,*7** |- „„ H _ · gyyüz - ggf „ , V ,_ '^ —_ ' :-" „ , ,.| » ._ —- ' *3 '*¤=;= „ ,,g;, _ "' ;= ;" 'll j |—· ., ’ ·».”< ä *= ",, r ' ‘ —” »#· Ep ‘“ ;.>·‘° ; ‘ V F |__"’—;_, R, Q! , , V—-V .«| ;- ‘ 4; __ iV ·*V1 4. ._ , . A « >„ _ ·| ¤” ”‘ • *:3** « _ 4 AA_A ._ ; l fi| , V T .; _ > ‘ .;ß‘L‘·‘ V ·• ge. __ " - |*9 l QV . 1: +··‘ " .„ , _ - „. ‘ ” ‘ ·‘ L » -:::2:;|- A AA ,_|. . „ . "AA AA · · * · .4| , . « ‘ ' J; |, e r :„» |\ " ;|«, |”' ‘ ‘^'·|·<| *·— @,4‘ |J.;| |I-, |pg| ~ |AA| |l r |' ‘ .. V A| r|r · ·‘ *« r «, ‘ «« A "c ,· ‘ ‘ TW V , ’· «^< » 4« ” » ‘ „, » )_:~ r · 1 ”§=|'1|a ’ ’ $4, , gg| i' *4 *¢g~«-äh| ”*¥§*}§ ‘r$?”·V !·· EV' VV rk “ ;%° Ak. * ” gfjqä I. '”*·“Ü” ¤'_| -‘ , ~“°( }>«g Q| ,7¢* Ö 3* ;> _, |,;»‘#·*°”T |äsäw .|*"'=Ü? ”"”|~“°·¤ ‘ "* „_|” "| -5, {| l- . " " |-gl-"'” ""'·‘·"l’ · |·‘ |¥·|— |Q, |° —;| · „ ,\ w; · _ |T'?-|Ü| WW g " ‘} ä"‘ ’ ‘ * ·" ‘* wwzäe 5 A 4} Ä Q -‘ * Q MÜ„^ ·’ ·*“ 4 · — ; ° * ·' VVr 3*3 ä wä ,, :‘ ‘‘ = Y; ku;} T, · V . 4; er .¢' ,· 1::* ‘_ · Vi ”‘ §‘ r «é| ·, · . |‘ |·· r‘ "‘»?“2““"‘ 2»*§°~?‘?w‘“‘”Ü‘ §‘}r=¤~‘”„ „ ’= Yi Y |#4‘·VV Af f * V ’ ' „ ?·: «„ _, L “ ,, Mr , ‘ -r-Ü y·=.<„„ ~ _ :- I,,.ß"r»·|„ ” Ä , ”"‘| V' V _|' _; , süße ~, „ , ,,L „ l — _i»' . ‘ “ « —~‘ ~. A ~ _. " " " l « » { Y'? ¥ ‘ _ *" ‘ .“ ” l| · —*xl— · My ” " ' ‘ · “’ Ü }‘ · " f ¢ |%—- ’ w. „;H* “' ‘ ’ ·* * ·¢’ H , ‘ · » l, · „ · • mi¤,¢‘ ~*· 'Y i · ” Lu nature öl law aninzuzrx ont soä Borzrook ä läflrr de I '/river chaud er sec du Nord de l'Aus1raIic·. „ · ·. S "” AQ', .$ ¤| *^* V A “* 6* „» 1% ‘ " ‘ ·· “~_°-v<*"| ‘ V ,{“" xyf , rf |Q. " |,,4; " ß%%«"Ü??%§ää€ »'°M ,.y ’ ek „ ,‘{”lv |„_ .| ti · “¤_;"Z e* (| _ ’ l '- l M ‘ ‘· „ " |‘| |·¢«,g; k ,( Ä ‘· ¢ 2r*·* „- er V»”VÄ} Q, 9,: "'”*’Ü;%‘“ V $9 „.„ " V‘| rl| · I. ‘ W} r „ ’ ‘ 4 —«“Ä"*§*”i "?”’· ” |='1,„ . — *~ 5 “&° |?§·};ä·|·„ 1·11 ' 6: »,| , r |”$| W x V , ~ |‘ ‘ i · A ‘ „~ „ .,, } V |,_| |~ V| ·«‘ ‘ gg |.| m|y |'( A VVVV — . „ —„···=‘|-f·| V. er| -— r)| ; ” , r‘| A A r ~‘ « Äy ; gi s. A _ r Ä? |" „ .A A __ r r „¢. „ f. jj A A jw es „ · V ~· . _. AA „J ._ „» AA gp}! A ...«. . ‘ " l . ·| VVVV| ·· , ._ ._ ..... ‘ . ä A r |rw »‘| {T ‘”‘| ;,x’“‘ |·#«,„„| ;~| _ ' 4 gr |xt „ „| . ‘’‘‘V 3 „··\ ‘ Q » „ - ' I ‘ Juduth e . En Novembre, ä la fm de |:„ ·.„ l’hrver ‘ chaud et sec de l’Australie du Nord, les arbres ont flcun ä Bonrook! Ils fleurissaient dans les vastcs plaines , „ 0ul’hcrbe étaujaune et dure, ou les . . ¢"" #1| , ‘ _„ ‘~ ~, I sil;} d' |._,:„ * q « » r ‘~’ig ” 1, ~ .. [‘:;j_:g_', ‘ * » j 3v*”·I „ · . ~ _ V Ala recherche de eau _| I- · ‘_ ’· / Y ·—; ;.j ‘¢ h Äw , ‘ · , ‘ ._} P; \ ·« „.‘“· ‘ · _>. ,_ „ ¢*··‘:?·~j¤< " r _»~“‘· j„ g« ..’^ A ~ f ·L· ‘„. ;~ Q} Q > Cl lx.- ·' ,; .4 ) · , ‘ > , wr ^ '· · · ',· e __ ' F r L • ‘ ·- · ¢··»’*: ~ · ~ . .~ -’ I, 6 j;:':' '§:' é·;+»r~?,g ä dä ' •'- {_| i| ’"| ?“|_„··—^ Ä '> ·: * ‘ f: __5$_.·$~* .'* >_' ' ‘ ~ ~ LVÜ _f‘;" » I rl !x.,·/Q ·· V. esp| XJ! J ‘ ,, ’| res; «»¢%·» r *7 [^ * ' -~ _ V I *" —· ’ « ¤; ';‘ A}Al’£§\'i‘~:; ~, r«=m’; . — ‘ 4;, «.~ = ’ Ü ‘*l>§§°' · c ‘ .!.~?;? lb "'%;‘ ~,„ W ” 3; |·. ‘ Ä ·‘ ' TJ - _ " . 5 =r Q-W 2 r Mais le mois dejanvicr raménera Vabondance er Ia splendéur rropicales . w ~ „.r . ‘ ·-.«„.··¤ ' ., ‘ r ‘ ‘ =, ~| ' ·* j Tl r ‘* ‘? ·_ g ‘* ‘l _'.·g=g'£‘j gr; ¥;#»3v,?,? —«·WA ;„ X · des troupeaux farouches et sauvagcs VBHUS dß l0l¤ S’HPPF0¢héf¢¤! YOU- ;‘ ' ' Ö: ».*!·« I ‘ wßgr · ·7 __ ‘ ‘_ wb A,[_Q; ~, z‘^,• hg 4; 5 |" “;— -' ‘ =“%' Q :„ j __' ,:‘j ,§ ‘ ,.»„ ·„ 6 ·~„· " ‘<t- _„ |_r| -'| l„ „ r, ¥’~€•j‘ 4 W!| ,· 1, ·;_ ¢r . . ' "‘ » fi; ·· ·* _f“ ·= ·/‘ .;«j,. 74** , __ „‘ r_ ~·X · . ·i*';"—~ l· _, |·- |’f» ;»: TQ "l@· r'l;i*“ gi|f 1 · _‘ '— · . ‘ wg! »~ #.4 _ 1- —_ Z" ,· /' r -"| f ,/ ·, L? r .•*«'~-~ ‘¤.Ü;l;·‘ —;ää;<”*j_ . Y E ; · |_,$g:,g‘g°¥ „ _ 5*; » r.T·“·‘·?* ‘" " ,„, „_ ,g. · ;, »^.—·’ ;· _. f 1 ‘ NOVCITIÖIC flll BUSSI le tem S des grandes mxgratrons de chevaux. ., ·_ = v pr chaude et humide pour germer ; l€S de chanccs de Vic _ V/“ ' °” ¤xÄ;„m¢ ‘ ·‘:i·7; ;*§—°*· • rl«„;{« ' CCTIIUPIC, dotees ' ";,·* ~-‘ ¤. |_.f;_ä*»· Ah v~ »ij‘7·'§;A„Mf dre, all "' :;*3) ;‘ ‘}_:;‘;*‘b”{,' ;‘;,·“;;’%_‘;— · - • g| _|L| _ ,_ Zi l |_, /_· ', ¤ ,. ’ leurcohscienee immémoriale que la PIUIC Vl€l'ldI°Hl[. Et QUC lCUI'S CCS [OlTlb€I°3lC[l[ dans UHC ICITC [Cl']- 4;; e r |·= · r ~· ,'2·‘ ·» ; ·· —*. |,}„* __ 1— "|*;:,_V&’Q y="‘ Q_t·>‘$".ÖV_ „_ _ ., , =·. , ’· ·;;'l»x , {Ü |ga ,„. .•,= ~·=‘2" » fl| _- —gg . Q“€J°“V‘daVamßg€‘$a°ha“‘d‘=‘“Sd¢ . _ l „ ==; gv'·‘_4 „· · ‘ 3; 1* - _ ' |4, buissons craquaiem, tellement ils ou les cours d’eau étaientnans.Ilsfleunssanentsouslachag leur écrasante qui augmentait chaétaient secs, - , · _ ‘ ~~s · 3,, ggg; _ä.„\_j” .·_" »|‘>*‘:EÜ—ä; ·="r-gg! S;;Li,_-Q}* ä ·.; . - Ü r Weber . JOUVHHI Franz Weber jours plus pres de nos points d’eau. Et une fois de plus, le systeme astu— . Nr Schulz, l'un des nombreuxjournaIi— pu assister a Ia capture d’un troupeau particulierement farouche qui rödait dans les parages. ll raconte l‘événement dans un grand reporta— ge paru dans la revue australienne ' ° 1 _ A A. | 1 " 11 ‘T A _ A "Quand Ben broussaille de Digest": "Territory AAA,A.,1A_ A ,1 Srrub fonce dans la Bonrook avec son bulldozer destiné plutöt a la capture de boeufs, des troncs d’arbres se plient sous les roues comme des roseaux. Rassembler une horde de chevaux sauvages n’est pas une at'fairc pour petites natures. On ne s’étonne pas,des Des |0U|’I'|8l|SlB$ BU paradls 1,| 1; |l· |1„·j;,, ‘° 1 1 A1 Iggy 1 . mise il l’abri de chevaux sauvages ne se passe pas toujours sans histoires. Le reporter Dennis y , ‘ A . 1l ,,1, R gg,. A *1 |An; 1” A r 1 le passat- *,,.1 y V Abt 1 A 1 ,,’il‘ ' ' 'L ‘1 1 1. "'| | , . I 1 r A A A AA A A A u Ü · · A atl A tl ' 1111* nl l' Öl *1 1 1* •.' 1, A V l 1 .1 |1 1 A· — |11 _| AA v• A ' ’ in 1 A * ,> ‘ . · A ‘ . A _» " 11 A|, A 111/ 1 1 . 1 1 Y ‘ A AA ‘¢ 1 |11| 6|A ‘ ‘ ‘·A 1A %_1_ A 1A, , ' ,%_1 g_ 1 gc de ce cyclöne dans la brousse, quelques termites devront chercher un nouveau domicilc — mais les chevaux sont dans les enclos jus- la 1 A L 1 , par les hélicoptercs. Apres H A A lors, que le véhicule du tnattager suisse roule avec avgaz.lejus utilisé ~ J _ A des chgyaux l 41 jan./révi./man 1990 1 stes qui ont visité notre sanctua1re,a cieux des clötures ct des enclos, réalisé par l’équipe australienne sous les directives de notre gérant suisse, Ben Strub, a fait ses preuves. Les troupeaux, conduits par leur étalon aux abreuvoirs installési1l’intérieur de notre réserve, se retrouvaient immédiatementen sécuritédansles vastes étendues du sanctuaire: l’astucc des clötures leur permettaient bien de pénétrer dans la réserve, mais les empéchaient d’en ressortir. Mais ll A· L l 1· 1 . ' .1 · . A A 1 1, AA 3* ’| lt,11 AOJA l A. A 11 |LAAAAAAA A, A A· ·A ' l 1 AA , "" L l itä 1 * " W; ‘ 1 .1 „ . 1 1 , 1·· 1 11 A 1 A 1 ‘ „ ,1 ’“ ‘ ‘ ‘¤‘ 1 11 E 1l1 1 A · A ,, A A ., 1A . A |.|, Ä *'· l 1 ‘t |, A, A 1} AA A A ' ‘ , |·¥ . _ ll ' 1 Ö 1. 1.111 |111| 1 1 1 |1 11 1 „. 1 , 1 1..1| ‘ 1 .. Lu saison des pluws aussr a ses nzsrunrs dc lunncrv er dc (‘0lll('IH'.Y crime- 1A A A A “‘ A 1 1 1 1 li 1 1 1 3 _' 1 1- Condtnrpar/'éralon,ccrroupeuuimn1igrés'élanr·6verslc·p0inrd'c·auranr cwwniré. Dans quelques msranrs, ils seront cn sécuriré dans lvs grands Oragas d une Pl·ll$$al°lC€ espacesIib110sdc·Bonrook. l'|8llUCl|'|8|°|l€ 1- | 1% A_AAA A|1 1 1 1 |A1 _ A EH dßcemblle,lespretnteresplutes AAA1· A A ; A 1 · g A |· A A .1- A11 AAAA A |A tes d’un léger voile cours d’eau devant |' |g|p| A |A 1 A 1 1«1.,__A| A A 1 AA A 1, A A ‘ 1 transforma subitement en un torrent mms AVWOUVG tout S0n Calme quelmälönlß Pl¤S läfd SOUS les rayGHS du Sülßll- C’est Vers Noel que la mousson a vraiment commencé. Mais oü sont nos chevaux dans cette danse et't'rénée des élémcnts? ne viennent plus aux points d'eau, ils ne viennent plus manger dans les enclos pres du homestead, lls La nature leur ot’i‘1·c maintenanr 5 profusion tout ce qu’ils peuvent dé- 1 Au m0m€¤! AA11 1 |A 1l |1 Q? Q 1 1 , 1* 1* 1 1 ,1: ,«1§§1%,Q _. , 1_ ·:«1 1. ’ · |AA A A Atggygjégg er curreux, |AA1 AA postedobsérvamm- desp0ult1U1S _ A A Wal@VSMW@m l@S11@¢‘!¤¢‘l@ déßulf [9W 1 crets, les suivre ies1C’est une époque exaltante, élé— 11 A E Pouvoir surprendre leurs sedans leurs chevauchées éperdues - quel bonheur ce serait! Mais les chercher et les guetsirer. "Wel",dans le "mouillé". C'est-ädlV¢ ¢¤ Pl¢l¤ dans lß SaiS0n des plu- · 1; du le 11, 1 |{ la pärution J0umal,nous sommes en plein dans A L i de A1 |A1 emporter. Danse des élémems 1,| _| émcr- semblcnt vouloir tout noyer, tout vert-clair. Le la maison gc 1|· 1 l‘ocil de perles étincelantes, des spirnlcs de vapeur se levent et tonrnoiem doucement -lTI1ilS(lÖjÄl, une nouvelle paroi sombre obscurcit toute cette Clzlflé — Zt |10uv@;\L| IcAs caux 36 dévgrsent en trombcs toudroyantcs et tementaleäplaines dAures et fissurées autour u omestea se sontcouver- |,. 1 lumincux éblouisscnt AAA AAA A1 A om fait tenr apparition, et immédia- AAAA|1 A 11 . vcillé,a11bres et buissons ruissellcnt i 1 · , Cld€¤l1 11 , _ “' 1 . dcmlef sans perle et sans ac- ·· . ‘ . Pl~§ 1 4. . _ . ·· ,, 1 ' 11 1 1„#‘*11;111j.# ,_,1;i‘”1 A 1* [ 11— *’ ih 'A1 A mentaire.Desoragesd’unepuissan— ce inouie s‘abattent sur le Top End. mlägeä noires S3l¤FéS de pluie chaude pendent au—dessus des 3l'bl'€S €l SOU(l6lI1 explosent 611 cascades mugissantes. Puis, tout ä coup, le ciel se déchire, des coins d’un bleu déhrantet d’un turquorse terseraitnonseulementtresdifficile 1 mais aussi dangereux. Les branches d’arbreS peuvent tomberä n’imp0rte quel moment, le chemin peut étre Subllement emporté par les eaux, ct un torrent né spontanément peut provoquer notre perte. Lorgqtrau mors de mars, les pluies se remm 42 N“ ¤.* * |.111 Ä ‘ —· | · .“’ » t +;.„|._. , , _— ' , gif,| ‘—& —; _..„;1.E;;A é| ' 1% $2 y_·*?“.Q$·*;1 Q1? g' » ä ‘ 'F Ü 1*. -. ‘ heur pour les chcvaux-ct pour nous - commenccra alors dans le Franz „ Wcbcr—Tcrri10ry. (Lire le grand re- portage dans le prochain numéro!) ä _~ * A Ä F u P9 5 Q, ‘· .. __| ‘ . 11| ‘l .r==· W |?|_„ · =· r- ’ ^ ' . . . . M Ils rcvrcndrontrodcrautonos amns. ur du homcstcad ct nous cntcndrons leur hénisscmcntctlcurchcvauché— ‘· |. ;_=~» .t;.«g.| „_ \ AAAA ;;ä„( A1.1 Ä A_A__, ; A . ._1 °° ;_ .3;,, 1 irwvlß .i . . _i _ |f| |j . __ .__.1. ; cs dans la nunt, Et nous verrons sn les poulains de Vannéc dcmiérc ont grandi. Une nouvelle année de bon- plus rares, que les caux s ccoulcront lentement dans la terre et que la nature sc mettra 21 rcvivrc dans toute sa splcndeurtropicalc, nous reverrons „ \|,;§; __ ‘==1 ·*r§»z«; jy¥·‘~%;·~1e_;L r. gw ,_ „, *;_ . 1 ä)| |; A ,, ·> 1 |1. Üw . Franz Wébéf •.l0U|’I°1Ell 1990 ll -jan./few./mars ‘ Q 3 ata n 1. AA ala TV alemamque "' |¤«-/ ‘ ... . «. 111‘ Ä? A li ·E| »„ M , A v:« „ Ex u.| A| ‘ AA F * |‘”""| · |1.. 'V p -. . ig, 111 . 1 i ll _ |* ’ i|n *“l»1·1”1 i| . V l ‘“° é l1¥‘“?ll°”“‘ ‘ V d’une réserve Pour Ben Struh, notre gérant suisse ä Bonrook, la gestion en experience n'a son ll a fait secrets. de pas dans la brousse tropicale récemmentassas(hélas Adamson George lions sauveurde le chez Aßique — Ben n'a que 28 ans les travaux au Franz siné). Malgré son jeune äge T sous ses ordres et les troupeauxprospérent. train vontbon Weber—Terr1tory , { ""”””¤ V . M ‘ 3 |*1 .s i * |‘ 1 · ? VT? _ . ’ ,1 • _ 1 gi 1 __ .*‘°‘ · _,.‘_ .. 1.| |“ "’| { ,| |[ i | ‘ « 1. ~ . FHANI WEBER |., ‘} .‘ ja V 1. ““ ,, · „ · #‘1,·„ »w»• j . „ • 7*.* · „~.;" Fr . °‘ FV .« + W . Y; R|1 - «=·. ··*· 1* l»%·‘**·$ #·¥@;i?· ’$·rl$;·„ e„,,jl;. „ ‘;,;··_. ·_— A«_ „ ,. ‘ i j· , ·1•. 'j‘ _ |» ‘ ·r·äq·:}|$,| » „·.; lf, "' 1 ·¤ 1; g_ __ _. ä 5 .~ gi ggü}; J 3 4 fg ·· I in| Ä| »; ab 1 . · 3, _ A La fameuse chame de TV franqause, TF 1, a dnffusé une séqence de "30 millions d‘amis" 10 mmutes sur le Franz Weber-Territory dans La TV romande émission). cette (Les deux images sont extraites de également a consacré des mmutes précleuses ä nOtr6 réserve: dans I’un de ses TJ-soir (19.30). Aussu buen TF 1 que la TV romande om présenté notre réserve au Northern T0rrit0ry comme une oeuvre de pionnier.LaTV suissealémanique enrevanche n’enaquedu mépris. Ia "Nous ne sommes tout de méme pas assez fous pour faire de Zunch,.. dnt-on Weber!" ä publncnte a Franz ,1. .»· _‘ __ _ IÄ *‘~gg;§ Nav . ‘ ,.1 ‘ |<‘,;~¢+‘ ' .‘* -; Ä L l · Ü “‘ · F. •"JE:Js„ll ·· " •‘ ·au‘~‘¢-.,—Z,;"‘§.2 .t·.. am - . ·. ° t‘·0NDAX6ON itwqg lß .|11-¤W•'¢‘· r*u• ·. r ·~ 2 1 ß* du temps disponible Sur le terrain, les travaux sont arrétés, mais on proßte grands arbres du I'ombre des A s'attaquer ä d’autres besognes. pour 4 studios surélevés, ä la homestead, notre équipe est en train de construire ou collaborateurs logemaniere du Northern Territory. De futurs visiteurs simples maisplaisantes conditions des feuillage,dans ront ici,sous le toitde Y”°°”j’ et conforIables. , _. . T E ‘ ‘| „_ n .„ ; . "===* z, ;» .„ ß t — „ 1 1 |„„_ ,_ ; |«_ ° *1 .~ „—»’ < 1.; ;| *Tlf‘!#*@z‘I.;. ,, · =.| « fh . _' * . · |r|i|ß?| _ ä¤'“" . ’” |A j ‘ ·~·· ‘ T. ‘” 1 . UQIIEI _‘··@rA —~’ _*{‘1r_ . 1 r gi ‘— ‘ ,_‘ . 1 XX |I ‘ g H" |„Q ”° |. 1 " vll ’ { » „ i ÜA; · 1 —· ' ·’T '. ’° ~ _ Vi · . NM W ‘ an ° _ |. · , ix 1,; ’ _x |lp · . · · In r '| ~;}Y‘ _‘| ‘ ·=* =‘ ‘ Ä, 1 ~ « . ‘ , „ « ‘ =" · |_| _ . I · ‘ ll ‘ ’ $1 Ä \ {lg| ‘ . ; I| | » . » f ·|.£· - , |-¢·|i*¥@l| *°|*|”|*vsé-«»§.». '| ? » ·— ” .. |_| | l' " ‘ " ~ vv , ,, |1,... . |'|*|l '° ri ^ \ “ Piiäg ’ 1:¤··“??‘ä„3 l ‘ —; _, _~ . '{ ‘‘‘‘‘’‘ · ¤ „. 1 ‘· in F 1 ,1,, » ~ 1 ” x ‘ . Q ‘ · ' Le squelette d' acier est soudé sur place. 1 JOUl*l’l3l |V Franz Wébéf Nr pour le I| ll I| L'autorité des parcs du Natal h ||l0C€l'0$ . du _ Les denee de lee Selllle'LUele1 Une réserve de Nelal· en Alllqlle du $****1 $90* Vemlle dllllle mllle de llle“e· Ol Ces dlmes Sllmpeselll Comme llllll des habitats prétéres du rhinoceIOS non, espéca an voie d·eX_ |·. Ü 11| a par prévenu que Vexploitation ailleurs titane exigerait la construction d’un barrage et par conséquent l’inondation d’une surface lmporl de Ia foret historique du Dukuduku. Les opposants au projet ont cependant un soutien de poids aVGcI9S„SIaI„ grand J ° h en nesb ll 9* tante l’EPA. Selon les estimations de cet organisme, ce ne sont pas moins de 400 000 tonnes de déchets toxiques industriels qui sont déverses chaque année dans les égoüt municipaux. Parmi ces déchets, ontrouve du cyanure de l'arsenic Heureusement, ce projet de |S ' de Société d’Afrlque la la so- · |l. **90099 |I*· Les Amérlcains ne léslnent pas avec les déchets industriels. Il est vrai que chez eux le probleme a plls lm l°U'” calaSl'°PlT'qU°· 0029 $*8* l9u* 9lQ08*u*9· ^‘/99 385 spécimem le Natal §=tb**l9 ¤u9l· que 15% de la p°pl‘llall°n das mlnocéros notrs encore )/lV6Ql$ dan§ |'l |; villes, neselall calaslloehlque p°l‘ll ces eemlele 99 pll·le· l lmpeel sel lle"' ll plottatlon tourlstlque I s°l°ll lles llélasle |l l90$9*ll’$ 09 *9 I de *9* *99***9* ment dGS déßhéts t0xiqu9S r6|6téS par des usines situees sur leur ter- S90! ä l00Q *9009 plus l l"lé"°$$al**9$ · *1**9 99ll°9 P9UV8l}* |’l*0lT9· . P *9 9*090 9 *09** °l°le”e‘°'”le'°° '”e°°'”""‘°*'°* 1 — 9** a°°°F*‘ . leeellle s°" 'aPP°"* sel les tnctdences que le pro1et aurait sur Venvironnement, elle a aussi affir- 0*99***99 990**9 *99 **9l099 qul ä louverturß 96 Göllß *0*09S90 9*** 99* 9 99*8**99** ***809 90* 5 80$· 99 9*** *0* *8PP909*8** 3 mllllalds d9.l**=**lCS· C9 0**09*8* $9*8** 9><P¤**9 V9*S l9 C8- ment sans prendre William administrateur Fleily, ,: { I | |,..-zuaeä j ‘ |I “ sur de en croit |'irrigation ‘ un rapport mondial paru récemment a Washington, de nombreux pays " dans la prochaine decennie. Parmi eux, Ia Chine et les Etats-Unis. Selen les études de L‘lnstitut de surveillance mondiale, organisme subventionné par des fonds prlvés et des agences des Nations Unies, les changements de temperature TA METIBCB pOL||‘ IB ment modifier les mcessus de plule et dalimentallion pendant plusieurs dizaines d‘annees. Par-- _ mi les regions qui seront le plus touchees le rapport cite le nord de Sphynx Le plateau des pyramides de Guizeh est au centre d’une vaste polémique en Egypte, ou l’on préte au ministre de la Culture Farouk Hosni l’intention de developper un vaste projet touristico-commercial sur le fameux site. ll est notam- du Mexique, du MoyenOrient, et de grandes surtaces de parties de presque l'Inde et Ia tetaiite • l'Ouest americain. Cette pénurie d‘eau va bien entendu encore compliquer Ia tache des agriculteurs. _ I I | . I ,—. parrainage(s) «Brumby» +— · ai rs 260.-/1=1= 1040.-/DM 310,- , { (200 $ austr., cotisation 1990) , I _ I I parraimagets) «Ju¤to:» A FS 50;—/FF 200.-/DM 60,- 1 I I N I l · : ~ · „ „ I I I D***F¢ ._ Signature? I dc votrc vcrscmcngnous vous fcrons parvenir votre/tros ccrtiiicat(s) dc parrainagc. IMPORTANT: S’il s’agi; d’un cadeau, n’oublicz pas dc préciser le nom ct Vadrcssc du 'Tel. (021) 964 37 37 453177 Frwe ch, I a _ FONDATION FRANZ WEBER I Nom du chcval; · · , (cotisation 1990) N<>¤¤ V<>¤S rßmercwns! If Si l’on · (1000 $ austr., cotisation 1990) t : <?| Péttuflé dléau? sur le globe vont presque certaine- _. p«m1n«ge(«)«w¤1«» I . |i, egypllens 8 IC Commzmdc LI Comptc de chéqucs postaux 18-6117-3 Fondation Franz Weber 1820 Montreux «Augt1·g1ie» ne cadle A cnvoycr ä la Fondation Franz Weber, Case postalc, CH-1820 Montreux 1 ' |1;; l’l°*el BON DE COMMANDE *| l { 9 _ I Mais chaquc don, aussi modestc soit;-il, 9S* *mP°¥*90* P°“' la '°"l‘S"“°“ d? *:9* trc paradts des chcvaux cn Austrahc. |g I T8|'|'It0fy)) GII AIISUHIIB 1-—-—-———————--·------—----———-——-———————I _ · SU I Paradis de chevaux «Franz Weber |·l | aux cötés d’une panthere. Explication de la star: "Nous devions etre SuI·unmémpp1pdd*éga|11éItapanthere et moi. C‘est pour cette raison que j'ei pese rtu9,,," I notre sanctuazrel |I de d9$**09äl*0d**$***99*9 *8 P9*0*u*9· chevaux sauvages qui wenwir de S6 Vßfüglü dä'!-Y . risque sa_nctions severesiaainsidéclaré ·- ’ le 089% P°*lf_laPl**$_9*a0d9P9_***9»9* N"“’ ""”"°l'””·" “l‘*”""' mms pour de nombreux |I Ia plu- ra violer les |0iS Sur |'envir0nne- I |_ 09 "Nous envoyonsun message tres clair: aucun tndtvtdu. aucune industri¤„ aucune munlcipalité ne pour- *80* qlle efficacement leurs de· cnete et les rejettent, dans prix ·I SCIel ni L'AQ6¤¤9 pour la Pf¤l6¤tlOft traitent pas I ·*·| de cnannp ni d·numpuI p; p1a1dp pgur de npbies causes. Ne vient-elle pas de poser nue pour unu pub gn raveur de Ia sauvegar— que ”lä$"ll*llül’l) l¢lP'äll*ÜÜ“lf"°l$VÜYl?¥lä°”&9 lalll ds . dn · « La célebre et sensuelle actrice americaine Kam eesinger ne man- Ö9 l°E0Vl*¤009*090* (EPA) *90*9 depuis. lusieurs mals d‘obll er J — **0 m°l'*' *90* 99l9· 0*8lS ¤**l 0'8 *’08l09u*9u· sement pas ete précisé - pour ne Pas $léll°° °°°llPé9$ °°0V°0·?bl9' Ia régton Selen lee ee' **¤l*·**’9· parml lesquelles Detroit, °"l élé mlses · · · |line Slcnaccelelelle procässus enlslom S esllmem pal al euls animaux . a dep°$e elle pellllell que ee ooe P9*S¤009S 90* d'9*9S 9* **91** 98** |kl les IayOns q UG Nue p °ur les Onze Vlues a Yamgnde pour la vie sauvage, Keith Cooper, f.| SI de donner leurfeu ven: les r1ches— ses archéologiques du pays amenent en effet tou1ours plus de tou|'ISt6S et ÖG p|'éC|6USG$ ÖGVISBS. _ du Sud IIQIIGS Vents Chargés de sable aIn_ *9**990** 1 Fuchards Bay (RB ) rencontre une opposition importante. L'un des responsables 43 gOägI$I?§o?Il;2?;InJe?I?äedgonillä du cadnium et du plomb tinctionl |} jan./few./man 1990 ment question d’un amphithéatre 17 000 places et d’un complexe commercial. Or, les expens en ar- 'de · - E, I A - ll I L. l l J ‘ 44 jan./ren./mars 1990 - ll Wébéf FI*8l1Z 1.lOUl’lT3l Nr “ ' . G' IBSShHG h E IBVI‘B rt ‘ A chaque printemps, lorsque les demicrs ouvrters s’apprétentapart1r, lorsque les _ I équ11 ncttoyage rangent leurs ustcnsiles, pcs de II 1 lorsque les machines de chantier cncombran— l l 11| etque les demters tas de déCOmbI°€S sont évacués, nous jurons de ne plus _1ama1s entreprcndre de tes quittent les lteux liéremental’automne en train de Vaccueil de Vexposition perma— préparer des travaux, "lcs dcr- nentc de pcinture du muséc d’an III I Vaugmentation nombre de visitcurs exige toujours davantagc de l’hötclIet de hiver sont placés sous paI Judith Weber *’°“.* Comme C est S est Ptls qlll l3lSS€ p3S HC Sousle signe du de „_ .·1 tr Ill . lc signe du Giesshach dans son sommeil Iiiverual bicnétrc dc notre clicntéle de pensionnaires ct de vacanciers. A pattir de cette saison, lcs pen- · ‘°“‘€ "l"‘l°“ 1l“I” les travaux réalisés cet que dis ses prcstations. ""*‘f""" I de Beme, fut en grande partic concuc pour laclicntéle des banquets et les hötcs de passagc, tan- cst vrai "lt~ lt*"|‘ ‘ ' ‘ 1 g JI II 11* g .; · que constante du Glcssbach (I I , l; sionnaircs de Vhötcl ne seront °“ *<=S*e1**m·**<*¤ rare Pur serve ¤*· «» On lag ete amenagée dans un cadre de réve, avec sortic directc sur lcs La phase de construction des annees 19884989 avec la rc- jardins ct vue sur lcs I I I II 9 OO O9 9 **1*1:; l |*1 I„| I 1*;; '° —* 1* ·‘ tb §:1;'.?.:‘:.£":i’f2£%iZ£l’i§£’if”?5l;„„„„.„. rx| — OO cuisine-satelliteindépcndantc,a bien-etre *°| 1 .1 mais.aux "Arcades", dans l’aile ouest de Ia maiSOnI OÜ unc nOu_ d’une velle salle de rcpas,dotée tllte fépll. —*"**'*""""' ‘ ‘ VÜÖ l \ , Ä lÄ....J ''—‘’’''° T montagncs “ J ;, ; 1, I;“fg§" I I. , (U, J pi 9270 O 1 „ IQ ~· 21 ru 1:::::* l at? l ,,« I “' l 1 I M 9;},, l l *1 9 l ‘> ,|31* ., i 1 |^ » l * » W I· · . 1 17.*1 tippt —~ · O O *· 1 l l stauration des sallcs Davinet et Il ll| renovatton.ye Et nous nous retrouvons régu- niers, cette fois". 1I—> I,Q1|1|II l ge G:;l¤n—Jnr¤6?•;l ’ ' 7 Q ·‘ ‘· 1 * 1 1 ‘ —·~ ’ ‘* *°’ . 1 . 1;, *2* I II 1 I_ ~I reuse etenjouéc dela magnifique confortablc, ctt rcgnc Iunc at- salle, oméc dc fcnétrcs cintrées au fond dc niches profondes. rnosphére cord1ale,n’ar1cnäen- II -1 aux I I , ct lc lac. Ccttosallc elegante ct vtcr 1 sallcs somptucuses du Ainsi ces nouvelles installa- . I tions décongestionncront consi- I I·*·· III I I Ouvert Sutlesjardins ‘ ~ Q „ Ix I · 1 _I _ |'1 ’I1— I I ’_ 1 |III| .„ * II, I II I I I . Vue I* _ _ idyllique sur les jardins depuis I‘€S{3Ul'3I'll dll p21I‘C [I‘0p SOLlV€t’l[ {1 II I; "les Areades" quctconstammcntoccupécsetle Enété, lcs portes s’ouvrent sur clémala tcrrassc envahtc par la bondé, tout en soulageantnotre —pcrS0nncl, auquel le manque de tttcctsurlcsjardtnsenfleurs; par placcctdeliberté de mouvement imposaicnt jusqu’ä préscnt des beau temps, les repas sont scwis dchors. Et par temps frats, on se pclotonnc dans Vintimité chaleu- performances quasi surhumaines. x 1 I ". JOUl’l'l&l t N° Franz Wébéf ll jan./févr./mars 1990 - 45 r G' IBSSb30 l l G BIG B une cha ellel¤ p l Cnclavc du J ii Y y a sep: ans dans — — Ä me eriueuelifuriiutii... er so ” “’ ‘ |‘· premiére brochure,alors que leGr¤¤dhöt¤¤ét¤it@¤¢¤r@¢¤ ‘‘ · · ·‘‘* :*** .. Tg; g 5 ruines et que Vouvrage dé— |i ' " gj x .. I p A Sermaisaehevé ii i ’° ·¥ g i · · - ~ I t l ° ° · Aujourd’hui, Giessbach est p · aussi une enclave du futur, g que nous le souhaitons pour nous et nos enfants. Un |~|- telle IIII— d’arbres et peuplé d’animaux, avec des praiVcau ct des montagfies, nes, et une belle maison chaleureuse, ou l’on puisse en- futur __ '‘ ‘ « _ p = l _, •- — ;, _.; · „ . —-„„. h . core aprés le travail se réunir E' pour féter et chanter. Pour étre une véritable enclave, __ ' ‘ "l oü le paysage,l’architecture, p ‘ * · les traditions, la culture et _‘ ; · ne l’esprit qu’un, il fassent plus faudrait seulement une chapelle ä Giessbach . _ er Triangle parfaut ‘E ' —· Nous l’avons imaginée des t · - le début, cette chapelle 0ecu— ä_cct |ré|stiné pou| notre chapelle ve1lleux qui semble fait pour elle I Sur la bllüe Hötüfßlle; E — entourée de vieux arbreS,q¤i parmi les grangesvet les han- EXISl€·t-éllé gars, utiiisée comme tt dgmine |el 1*ane_ de jeux, au ; · | p· _|A leur signification profonde torrent Giessbach 6t revient et la gI'äC€ d0I1t jouit Giess-” dépöt‘ au point de départ, on obtient un triangle parfait, Vheureux bach revétira une fonne visi— cherchons unejpchapelle ancienne! Une chäpelle qui ait une ligne qui deseend 3U termes "Mariage ä Giessbach", "Bapréme ä Giessbach" trouveront alors ble. trigone qui reliele Créateur, · V entre- Grandhötel, puis remonte au Les la Création et VÜCUVTC de Vlgiomme, déjä Mais oü lI'OUV€I' I10[rc cha- pelle ? Est—elle quelque part qll€lCOI1(l},lC ? ‘ FONDATION GIESSBACH AU PEUP|E SUISSE chemm D“b°°h°‘ Nous lsés Clgrens Lmé place ‘ l · — ‘ um ämg_ A Gigggbach, trouvgya d’honneur. gllg . am démgitg pour céder lalplace ä un parking, une construction ou le tracé d’une r0ute?Ou g'it—ell le déjä en morceaux dans un sud, face au chalet et ä l’hÖ— rel. Partant de lä, si l’on trace {| 7 Don-e116 ' Ecrivez ä: _ V Si v()u5 pguvgz nous aidegg J,W_ Franz JÜUl‘n3.i N° · ll ·jan./févr./mars 1990 d’amoureux couple d’un vieux Sauvetage DF lorsqu’it l'été Tout a commence _. l9X7,l’HÖtelGiessbach,débarrassé de ses échafaudages et de ses bäches V '{ e · » Ä Egg F . ‘ ' ‘ ‘ de protection, se présenta enfin at visagc découvert a ses visiteurs. ·~5« Flumbant neuf, paré pour la fétc, en t‘0ugc el jaunc, avecf ses terrasses et surses balcons fraicheniem peints, monte de V ·' —_i·—;--Q; V_ |4-··v#| . ‘°"¥l'_I-Ä' ; , V. Vi| vii; ·' i V j ses trois tourelles d”argent ;· " ' V-- Pty, scintillantes. VV ’ ' §.~T ;'ä§Qj'j· VV i' ¤"'“ i · V_| /t V ‘ VV W Q! iq · {ty| ¢"V1_‘*; deux arbres gigantesques masquentI’hö- V V V VV __ _V 'F V_ .· l‘ait,que ces ·· ‘ i . — Se;| ·i V ‘f ‘ · ‘“ °- “ |Flw scret„ tantöt pénétrant et lancinant, entrecoupé de Iongs silences. "Dommage, en |fg WJ Ä, _ W V/X __ Cela a commence comme le ticvrillettes ILIC et le martelement des dldans la charpente, tantöt doux et i ‘ ·”«i i VTVV V V r i„„p j - ' , V ii Hä, p.p_V , ” ir ,‘i;‘ sibcau" tcl,alors qu'ilestredevenu "Dommage que l‘on ne voie prati· quement pas la belle faeade des tours depuis le Kurhaus. C‘est ce .‘ - V. ·. Qrtrli . é| V . V_ V j, bOLlChC toute la héll'€ dCVillll V . vue" _ l A . _.........--—— i < „·ij ¢ ii.| . . . V 3lsrtp i Tlc-tac et vrllle des vers de A ‘ j t i ii V ‘ A ~ bois au travall fi i' •„ Les deux magnßiques hétres devant Iafagade templer de tous cötés; c’est ce que tenir autant pensent les professionnels du bätiment, qui ont travaillé pendant des années pour la Fondation Giessbach soient-ils ? * · afin de préserver l’aspeet extérieur du Grandhötel et qui ont bien raison entendre leur A la fin _ R - ät vriller et ä faire tie-tac. plus de place". gés de la protection des arts, de · V i ar \ rf V 2;.,; ‘ J iV ,, gi j { V ~ ‘ ig, tection des sites s’est familiariséeprend tournure sur le papier, il est hedésormais évident que les deux J , V ' ‘ . 7- w |.; i. -„;¥·| «¤•~~ ””“ 4* Ä"' · · . . ; ·_;;M§L ’ ‘ Q . " ‘ ,|6| · » >· T; ey 7..: ‘ V ä' tres doivent disparaitre. , ‘ Vers la fin de Vété, le sujet est brusquement remis sur le tapis. La ät cuisine de l’hötel ne parvient plus nombre satisfaire une clientele en s’en faut de sans cesse croissant. ll bcaucoup On mzmquc dg place pour de prépara— les entrepöts, les salles réfrigération et de leschambres tion, ~__VV.·i.! ~ - „V V j VV ’«' Z ... i ‘ - ”“" rt; |"‘f???;,;¢_**%r ·· · F “‘$‘“?ll° "}“ C nor * c’fPl" On un Üpacc pra“q“c‘l‘°“t cette soluFmanciprement, rllimrte. US qnemusc que la s¤2¤1¤3·¤¤$· Et les cO“Sm‘_c“0_“ ‘l““°V"““?X€ déux hcmb métcm ’ « Creuser, creuser pour des chambresfroides si| . 2 ' i V "Dans ce cas,nous renoneonsal’extension,et continuonsainsi,sansrienchanger', Weber. réplique clairement Franz rit les milieux spécialisés, on sous cape. Evidemment, on ne veut Dans . V“°°l?‘“°“t_2‘ de I ‘m€"c“‘ quele „g Le ¢Q|,|pIe QSI sauvé I Voila notre couple d’arbres saule petit monde vél Et avec lui, tout qui ytrouve refuge et nourriture les : V " "Au une caverne dans le rocher. lieude créer une annexe en béton SÖ‘é ****:99 P°‘“‘P'°:i°‘:1$"’{"°“l$i“f* envtsage Voffice, etc..., etc... On d’agrandissement. travaux donc des Quand le projet -avec lequel la pro- ’ g · sera manne} est beaucouptrop petite,»tl it la cuisine de monte-charge que un . ‘ ~ ~ ras, ‘ - · débar— de congélation, les caves, les Véconomat; la salle du person- _ 5 . que vous allez trouver une solution" Tout juste deux scmaines plus creu— tard, la solution est préte. On Culsme comm hetres l pi chera pas aux deux hétres, sous aucun prétexte. A partir de la, je sais part- j , V projet" , ditions, je demande un autre "On ne toudéclare Franz Weber. l‘ar- chitecture et des monuments agent ce point de vue. Ils seraient _ . pas le contredire. mais le fait est que l’inspection sanitaire ne donnera plus son agrément ä la cuisine dans l’état actuel et avec l’ai“fluence que connaitGiessbach... "Dans ces con- . ‘ · es! se décider Zt enlever au moins celui l’aude devant. ll resterait toujours et soleil de plus méme aurait ll tre. „„,| _ er · ” perspective sur le monument cultuGiessrel que représente l‘Hötel bach. "On pourraitpeut-étre finirpar ‘ ’ „ · de Vautomne, les vers de ee,. ’ V jp ” opétout ä fait prets ä accepter cette l’on préserve la ration, pourvu que beaux -si Meme les services officiels char- Alors que la maison est entourée d’une forét ou poussent toutes sones d'arbres, comment peut—on V deux hétres "Ce serait le on abattra hiver, Cet moment. bon On de toute faeon du bois par ici. fois". une en faire tout pourrait tétu. ,..-~. ii bois se remettent dre pourquoi Franz Weber est aussi „ W . . vent tout simplement pas compren- . ‘”“' ‘ . d’étre fiers de leurtravail. ll ne peu- _ V ~_ bres, _. .. L’Hötel Giessbach est devenu somptueux; il ne faut pas qu’il se cache maintenant derriere des arqu’on puisse le conil faut chenilles et les msectes,Vles mésanges, les pmsons et les grimpereaux, les loirs, sans oules muscardms et bher les crapauds qui, pendant la joumée, se cachent dans la mousse et, en et les racines des deux géants, hiver, s’y blotissent pour hibemer, · J ‘ Weber JOUl’ll&l Fl‘8l‘lZ 1 tsr ÜL;.i |1=i|r ' ‘ "“ ‘ ’ ‘ ll " " jan./révr./mars 1990 #111 1 ’‘ " ia iia |V i °‘ ‘°‘‘ |1-| S?} 1 „ Ä |' ew L 1,, |TT‘=r·· r'| "| F; ) ’- . s. ä ei ‘ ” lr ~‘‘=‘ ieäieiiiizil ' ·'* ‘ ' ei.·‘’’ · =i·Ei$"i1E?ES1€*1*i°e* |" 1* ¢* " 1 —..;- ; i ° ' i :.|.‘ ii i Ü ' 1 1 ~ i er 2 1 1 1 ,• i 1 |· | Pyggrgmmg i des éVé11€Il”1€l1IS CUltLlI‘€lS €t mondains 1 VV'' l l 1. i Re Information et reservation GrandhötelG1essbach, 3855 Brienz Tél. 036/51 35 35, Fax: 036/51 37 07 - _ _ i V t' ·1 ,·~;···§»·1·¢;$„ ;;gg;1;Z·„§·“ 1 :„| |V · |,„| |1|* |1V| V |1 <1=¢| -1| —· 1 - .2 V . rochers, Vétablissement les dans les IHÖHC paitfé tous les -_]OllI'S OU qujil peuvent aller et venir a leur IIOUVCZIUX lOCHLlX C1’CUSéS guise, et VOII sa capacité augmenter dans deVs pas. Désormais, le panneau détestable qui annoncait :"en cas d’affluen— · ce, prévoir un délai d'attente", ne sera plus jamais de misc dans nos restaurants. Finics les difficultés V 1 de se la procurer au moment voulu et dans problemen; C"¢stl'offre qui doit de-_ terminer l’achat, et non l‘inversc. Cet obstacle,s’il en est un, peut étre surmonté si Vétablissement possede nous allons enfin pouvoir realiser l’un de nos voeux les plus chers a Gicssbach remplacer pro- suftisamment de chambres froides. Ce sera préclsémcnt le cas a Giessbach, la saison prochaine. Et grace gressivement la viande des élcvages im ‘“ “^“d° de aux nouvplles : animaux sont r specté8 Convert JGMIOM1 201130 1 Semaine «Tennis de prinremps» avec M. Grossmann, maitre de tennis meine Lieder,) _ Q La viande de päturage KAG provient de Vélevage traditionnel prati~ qué dans de5¢xplo1tat1OnSüde pctite ou moyenne dimension 0 lesVanimaux Som Soumrs ä des cmidmons qu’on de Vvie naturelles, c’est-A-dire 1 wm 1 Samcdr’ 231 _ _ { M ’été» Dimanchc, 1“juillct a Scmalnc «Tennis d ·· • l°‘J“‘“e‘ ¤V¤¢ M1 Grossmann Dimanchgi I5 juiugt Théägyg de ,„„;0„€„€sV [6h samedi, 21 juiuet aa! d’une ' i ·· 1,; · i ’ personne) i . Mcrcrcdi, 1•'aoüt FétepopuIa1re(Fr. 75.- par personne) Dimanche, 5 aoüt Concert de1’enscmble Ludus, l6h30 Samcdi, 18 aoüt Ba! «Soir de Paris» — i Soirée organisée par Franz Weber (Fr. 120.- par personne) i . r • V i 1 rrsommgr aufschross Haß) _ Serenade, 20h30 Dimanchq I9 aoüi I i 1 mm (Fr. 120.- par ‘ i Br i dim¤¤¢he„ 8,i¤ill¢t l ‘ i . Samedi, 1 „ „ , Fétepopulatre ä Gtessbach-See «Préludc» — concert de chambre, 201130 scpt. _D¤¤'¤¤¤¢h¢„ 2 scpt. 1 „„ -1 r ‘ 1 ‘ i Soirée de Gala «Chez Maxims» (Fr. 120.- par personne) Samedi, 15 scpt. , 1‘"""i ‘ _ _ _ Vk i i V i mm D““““ehe• V iii. é ° " Judnh Weber « . p p_ "P"""’ M“~“q“? dv N“"" ' ee“"'°$ de M°“"‘· 201*30 ' Pas d’huitres ni de moules, et pas de E! J8m¤lS„ GU PGISÜVOQWS gran jamais, c soupe de tortue. V é d, S V escargots. Pas de homards, Vpas dc langoustes ct pas de crabes vivants. r Sgjrée Franz $ehubert,20h30 l d 1 iuin —; ; (V i-; Dimarichc i ver une plus large place aux menus Vésérarrcrw Erifiri Giessbach rem fideie ä sq devigg Pas dg fogc d’ojg, er D88 P*}$ de ¢“l$$¢$ de 8F¢¤¤¤¤ll¢S B' V . V Dimanene, 10 juinä dimanche, 17 juin i :1 avec l amete pemtle Jean Gneb «Terrassc am Meer» — i i ee P " i _ Dimanche, 3juin • é ‘ i ' _ D‘ma‘l°he· 27 S¤m<=d¤1Z1¤·¤ i pour installations iQgr“g"‘°‘S , i ‘ ·' tre chose; i é ' utilisa— tm hotel posc donc des i . . S [ (Fr 95 _ par persomcr i tion dans res . . _ avons toujours rccherchéc- entre la cltentelc du restaurant et des ban= quets et les pensionnaires de l'hötel est devenue unc réa1ité.L‘cxtension de la cuisine nous procure aussi au- A Giassbach rrrmmorrerig mélodrw concert Frédéric Chopirr 20h30 i WVVWVV est difficile Son Dimanchmzo mar [ dustricllc", les quantités désirées. Cours de cuisine végétarienne avec lg chgfM_ Sugfan Lanz Samcd.‘* 26 i au buffet et les goulots d°étranglement dans le service. La cohabitation hamionieuse-que nous il Lundi, 14 mai a gamgdir [9 mai i encore plus savourcuse et bien plus saine ! Mais, contraircmentala"viande in- teil1ages" = que leur noumture estex- plus important, elle est bien d'approvisionnementdues au manque d’entrepöts, tinis les "embou- ‘ i empte de toute substance medrcamenteusc ou chimique. Le fait que cette viande coüte un peu plus cher ne surprendra personne. Par contre, elle rend davantagc et. ce qui est lon n imagmait proportions que 1 V ' Concert de prrntemps, 20h30, truvres de Johann et Joseph Strauss ‘ 1 · . . . Drmanche, 6 mai La cavemg 5 'élgygi; GI”äC€ BUX Ouverture officielle Dimanche, 29 avril 1 . 1| •' Ä| 1 .~ .· “’’‘= F} “ 1| |.r*““’” V V| • , i ' .. Dimanche, 16 scpt. Concert de 1’ensemb1e Ludus, l6h30 Dimanchc,23 sept.A Semaine«Tennis d’automne» dimanche, 30 sept. avec M.Grossmann i V 1 1 _ V r 1 , V Ä·|· V V V 1 _,11 6. . V .1 1 1 „ VV1 V V V | V ” 1 ,1 .1 1111 Dimanche, 70ct. { V 1 1 . 1*, 1 V ..„„. . ii = . V V V V V 1 i i «Bei einem Teeädeux»Thé et concert de 1’apres-midi, 16h . . i i |V, V .1 w. Semaine «Fitness» Lundi, 8oct.ä samedi, 13oct. . •. 1 . VrV V VV \ V V . V V; VV V Samedi, 130ct. . „V i V — V> . i V. V VVVVV| - i 1* "| 1 >f„1 VV1VVr VV| VV VVVV V V 1 V . _ VV V i V il V|V 1e e V ii i Dimanche,2l cet. «DiePuppenfee», concert et ballet, 17h Lundi,V22 oct.a samcdi, 27 oct. Coursdecuisinecompléte avec M. Stefan Lanz Samedi, 27 Oe!. . 1 „ 1. . · “V . *1 (Fr. 120.- par personne) . *L V r , VV ‘ ;§„VVV _i _ V ; · ¢<‘ V. V V.. V‘ V V; ‘ *:.g’ 5 "’Ü 7 il _ ' gp-‘ 1 Ä i ' , Fermeture ojjicielle a Dimanchc, 28 oct. V tg iiigién| Sousréservedechangementsmineurs ·· Anjmgux hgureux i 1711 ‘ ‘ V p Balde Fin de saison ‘ , I · Soirée Tzigane(Fr. 95.- par personne) - , - — - —— VV:—_é*}„ g NCE JA.\l8M•otr•u•• Fr131ߤ im A ‘ Franz Weber V ’ · 1 1 VV1.. VV V 1 11r· V E 1 VV 1 1 . . V 1.. V V V .”” Y _ J V V . 1 Ä _ I e |ee ~ |{ V T |1„1tQ„|i1|;'V ‘ L | V. |1 «, 4 Vi, 1 V V · . |1 . V| . VV 1, „= V » 1 1 .·„• ru .„ V i" V VV| L! V iiei{ VVV -1,. .. " 11 „ V V l 1....| 1|1| VV V 1| V V VV V . A I l cüf 1. . ql|'Il ÜOIIIIIIHQB SBUIBIIIEIII V 1. H8 _.___,_,__„„„--”"/Weil, {V |)8|‘Hl$$B [IHS |)llIS SOIIVBIII! est cha UB f0I$ C3 IIVHIII1 b0l|l8V8|’S3Ill1 Il .V BXifHOI‘dlIlü|I‘B.· _ I uf ÄSSIIYBZ-V0l|S IBS 4 CBIIB IIl|I'|I6|‘0S (IB EIIIIIEB pour 15 francs seulement (France rr 78.-) 1 (Bulletin 1 „ VV, ° El 1 1 pour moi personnellement { s.v.p.) prértom:+|_._ Nom et i_ 1 . . V. Nom et prénom:_,___,__,_.|.; i e l' · 1 { deux cases d'adresse I i ‘ rernplir les V _ z comme cadeau pour (dans ce cas, veuil— Iez 1 °”_·: ÄÖ_1·»Ügie 1 I . . { —{ ‘ .1 · E] V 1 i _ ° · 1 {1 V de versement annexé ä ce numéro.) _V—OIi-ixeezgnrmeridgub;ben_riei-n-eneethi {- V Adresse:| Adresse:| V V { V { NPLetloca1iré:._.__|_.___;_ NPLet1¤eal1ré:______..é_l · V V U { { V { ' El { 1 1 ¢ { i ‘ i V Je désire devenirmambre donateurde la Fondation Franz Weberetverse Fr. 25.- (ou plus). Däns ce prix, IaJournal Franzwabarast compris. Vauillez m'envoyervotre bulIetin de verssmarrti 1 V V i 3 I V i 1 ” 1 { Talonäretournerä: 1...--;*9!.“b'£&"E'i"3!"E§.E.E:·ä¤2·2·2*1¤1=;.¤.e.=:a¤:*221°.§‘l^£<a·¥:·e·>s.;.--J — 1 _ i 1 1 1 . 1 I Ö|