JA 1820 Montreux - Fondation Franz Weber

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JA 1820 Montreux - Fondation Franz Weber
J.A. 1820 Montreux
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Journal Franz Wébéf
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Souffrirpo1_g_Ies PTT?
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PTT ont les doigts Iongs
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Le danger caché du nucléaire
L'amour — force physique supréme
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Une politique durable ne peut se bätir
sur
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La ttahrson dg Mm., Thatchot
etlnque. M3]? l’eth1que,
que
qu est-ce que c est? Ce n est, dans le
fond, rien d’autre que l’application de
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l’amour dans un sens élevé. L’éthique,
dqst le mspgct de toute Vie' Cßsti le
pI'1I'1C1p€ fondamental de la
cond1t1on
humaiua la Valcm: essentielle de
l°hOmm€.
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Franz wo1totVt;t Strasbourg
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Vaud: Franz Weber enfin blanchi
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Peut-on encore sauver Ia coucho d'ozone?
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Le parcours d’un tueur
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Pourquoi pas de trou d'ozone au Pöle Nord?
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Le temps est révolu ou 1,011 p0uva1t se
permettre de gouverner en ignorant ee
principe et cette valeur
Les changements profonds et le départ
nouveau qui bouleversent l’EstP autant
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que
Gressbach: frevre de reouverture
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Symposium BU GTBÜdhÖt8I Gl8SSb8Ch (IBC dB BFÜGVIZ)
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evolution
pas seu1|emettt, comme
pourrait le croire de prime abord,1
une percée vers la libeitéou vers une
écgnomie Qrierrtée 5u1‘I’éCOl0gie, mais
aussi et surtout une percée vers l’esSence méme 'de lsétre humain, C9€St_
a-dire vers la miséricorde pour tout ce
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est
SEIIIS déf€I'lS€,
VCTS le I°€Sp€Ct des
Urbanisme et
en Van ZGOO
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Renseignements er documentation:
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HelvetiaNostrmcasopostala,182OMontroux
Tél.021/9643737 oder 9642424. Fax: 021/9645736
mtotttt Ftmwooet pourla Fondation mttz wobotor 1-rervma Nostra
plus faibles,Nle respect de la création.
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La
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irréversible. C’est uI1€ politique
ploiteur et d’oppresseur.
La
politique
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élecrrique, urilisé pour mesurer le rayomzemenr élecrromugnérique.
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Le citoyen suisse a-t—il un droit a la vie et E1 Vintégrité physique et
psychique, ou le droit des PTT 21 installer des émetteurs
ä ondes courtes a-t—1l la priortté? Notre histoire 51
épisodes sur le theme "Le cancer sur ondes courtes ‘?"
montre que cette
question n’est pas aussi incongrue qu’il parait.
Lisez ce qui s’est passe at Schwarzenburg et dans les
y
alentours depuis la
parution de notre premier article en aoüt 1988 et
comment la Romandie réagit ät un projet d’installation émettrice "tueuse"
deux il quatre fois plus dangereuse
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u.s.‘ Il est un peu plus
de trois
heures du matin. Comme des lndrens sur le sentier de la guerre, un
en main un appareildc
mesure extrémement sensible. Un
silence de mort regne aux alentours;
hommes et animaux sont plongés
dans un profond sommeil. Dans la
lumiére blafarde de la lune, on peut
étoile; ilsont
homme et une femme penetrent furtivement dans la zone dangereuse;
au—dessus de leur tere, le ciel est
voirl‘antennetournantelogarirhmi-
que périodique tourner et se soulever sans bruit.
Peu apres, Vaiguille de Vappareil
de mesure réagit en faisant un violent écart.
L‘homme et
la
femme se
regardent:voila,Vinstallationesten
train d'émettre.
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te et poursuit
Hansueli Jakob et sa
kilometrc envir0njusqu'i1 ce qu’ilsaier1t disparu de
la "zone de danger", en faisant des
femme pendant un
mouvements totalemem anormaux
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La mesure de I’imensité du champ électrique eßevfue le 27 decembre I989
ä [3},48 „„ sommer du Ergerthubel (923 ml 61 ww ¢l'l$Tü'l¢“¢’ de 2¤8 km de
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se sont pas enco—
lumiere s‘aIlume
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I'ar1remre er pour une puisscmce d'£;IIlTSSl()ll de 150 kW est de 6 vo/rs tout
rond par mérre. Dans leur consulrarion sur Ie pmjer du Jor·ar,N les PTT
parlem de seulemem 3 volrs par mérre ri une disrrmce de I km de I clllferllle,
·
pour une purssamc d emzssro,1 de 500 kw $1 [es t-/rr rcs des PTT émieur
N
exacrs Tappareil de mesure urilisé au Eigenhubel ne devroir plus der/661rer
aueune irrtensité de champ électrique.
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la
dans cinqmaisons voisines. Les vaches dans les étables se meinem 21
meugler et les chiens it aboycr.
Un chevreuil de la foret voisine,
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Vheure actuelle, les PTT depensent 16 mlllions de francs
pour des travaux d’assainisse—
ment sur Vémetteur de Schwarzenburg. En méme temps, on
veut le détruire en 1995. Hans-
ve etre definitivement enterre,
les installations de Schwarzen-
uell Jakobne croit pas un
Afin que les choses n’en arrivent
moi de
C9 Que l’aC0ntent les PTT. "A
mon avlNs, en annoncant que les
installations émettrices seront
demontées en 1995, les PTT ne
Vrgpnt qlyä Venn- ä b0UtN de Ia
resrslance de Ia populatron de
Schwarzenburg. Dans le style:
pas la Nperne de faire des hrstoires pursque émetteur sera de
toute mamére detruit en 1995
D lcr a ce que le projet Jorat donI
!’
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burg auront été depuis longrenforcées et assai-
temps
nies..."
pas Ia, H. Jakob et Ia"liste Iibre
de Schwarzenburg" ont dépose
aupres de la direction des travaux publics du canton de Berne
Un mcours dw?6 Ionguaur NNNNGNN
mrnable. Ilespere que le Conseil
exécutif de Berne lranchera en
faveur de Ia population IocaleNet
de sa sante et contre ce pur obiet
de PrestiNQe q u'est Radio Suisse
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Internatronale.
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ll ·jan./févr./mars
et agressifs et
1990
en poussant des cris
menaqants.
Comme
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chaque nuit depuis de
Radio
nombreux
les trayons du pis
voque chez
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milliers de nuits,
Suisse Intcmationale a commencé
Ses émissions ä Vintemion de
l’Amérique du Nord et centralc,
émissions qui sont cnvoyées sur ondes courtes depuis Schwarzenburg
dans la région de Beme vers Ia moitié delaterre environ.Etrcshumains
animaux ont été tirés d’un sommeil qui n’est de toute maniére jamais tres profond, par la misc en
route des ondes électromagnétiques.
ct
T0utefois,en cette nuitparmitant
d’auties, il y a lä un spécialiste dont
Vappareil de mesure sensible indi-
que comment Vémcttcur a ondes
courtes de Schwarzcnburg pollue
Venvironncmentde ses rayons électromagnétiqucs. Les chicns qui
aboient, les vaches qui meuglent,-le
chevreuil agressif, les hommes qui
sont arrachés de leur sommeil, tous
subisscnt ce que l’on appelle le
stress électromagnétique qui se tra-
au stade initial par une‘agressi—
maux de téte,
un épuisement nerveux inteme et de
Virritation et ä un stade ultérieur par
duit
vité inexplicable, des
des dépressions des états léthargiqucs erde gmvcs maladics cm.pm.cl_
les dont la plus fréquente est le canccr avec
Ses variamw
mum
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JÜUVÜÜI Franz
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méme la mon. Tout
cclauniqucmcmafinqucl’onpuisse
quotidiennement recevoir en Union
sovlénque, en Alasks cn Augtraljg,
en Amérique du Nord ctdu Sud ainsi
qu’au Proche- et en
des sons tout frais venus de Suisse.
cers précoces et
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fait
forme
en réceptrices
du programme de Radio Suisse Inles gouttieres
s"'emballer" les
machinesä trairc qui arrachent alors
tcmationale,
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Pendant prcsquc cinquante ans,
PTT ont pu, impunément, p0l·
lucr deleurs rayonncments le paysage, les étrcs humains et les animaux.
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Mais depuis qu’ils veulent augmenunc fojs dc plus la puissance
d’émission, ils ont trouvé un adversaire qui luttc avec un grand idéalismc etendépensant une grande partie
de son temps (de ses loisirs) et beaucoup d’argent pour la santé d’une
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Plateau du Jorat,'dans le eantonrde
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contre une installation émettnce
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sommes que les PTT mjecteraient.
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Vimplantation dc nouvelles antene
nes ondes courtes dans lg sectcur
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tion destinee äétudier et äempécher
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du grand
P'°J°‘ d°S
PTT
d’implamer cinq émetteurs ä
ondes courtes d’une puissance de
500 kllowatts chacun dans le Jorat.
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tours er le canton de
gghwarzcnburg um dé”’
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lmssl lmércssés (H'. Jakob) ct un
lmcrpréw CCS mcssicurs V'°'T°m
lustcnzicm de la ZÖÜC mcnacécl par
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planter sous le nez d’une population
plus naive et moins "béte" qu’ä
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Znne menacée
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de l’installation·de stations d’_épuramm, dc Stations de pompagc pour
Vapprovisionncmcnt en eau et du
tmitcmcm de Vcau de man Tome
cela sous le signe d’une technologie
deux
ä quatrefbisplus puissanres. Sa mi-
V
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avec fracture de la colonne
vertébralc ä'l’äge de 30 ans, heureu~
scment sans paralysie permanente,il
a dü sc recycler. Depuis dix ans, il
dirigc ä Schwarzenburg son propre
bureau d’ingénieur—électricien"Prcvotec" et est‘ un spécialiste reconnu
travail
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ä 30 V/M). LG COQVIMISSION Ulf?/‘H61!IOH0l€ df pl‘0!€c‘t10rt contre les rgygnngm¢’"'~V (IRPA) VW"? de ’¢’¢"””'”“”d‘·’V des "“l"“’s‘['mÜ¢’—V l”fé"l@W‘@S
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population terriblement mengcée
Hansueli Jakob est électrotcchni-
Schwarzenburg au
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V/m (”'¢”l<'h@ $“P<’l"{’“'j¢’ d? I aPPa{'€'l· do"' I? dömqlüß de m@Sw‘@ va de l
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qui
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Rappelez—vous : sous le titre "Le
cancer sur ondes courtes ?", nous
avons publié dans le Joumal Franz
Weber no 5 (aoüt ä octobre l988) un
article sur l ’émetteuräondescourtes
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qui respecte l’environneme¤t.
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l’étrc
pas été d’abord consultés pur les
PTT conccmam le
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igamcs ue ro;
de constructign,
apres étre intervenuc, a pu obtenir
que le projet de construction soit
tout d’abord stoppé par le canton et
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que les 40 communes soient amené-
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es ä prendre position ä ce sujet lors
d’une preeédure de Consultätion en
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bonne et due forme pour une fols,
Ce pourrait étre une chance que leg
moulini de Vadminlstration tour-
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Mesure du 28 décembre 1989 ä 10h10 dans le préau de I’écoIe“’Tännlenen|
L’anterme la plus proche, d’une puissance de 150 kW, est situé ä 500 m.
Dans une expertise publiée en 1986 concernam Vimpacz des champs magnériques sur l’environnemem, le Prof P. Leuthold, de l’EPF Zurich,
minimisait le probleme et aßirmaitque l’intensité des champs électrjques
dans la region de Tännlenen ne dépassait pas 0,3 V/m. Pourtam, il n'y a
_
qu’ä voir la photo.
Entre temps,l’ass0ciationest passée A plus de 650 membres et réunit
des habitants de 40 communes des
alentours. C‘est lä un chiffrc considérable car lors d’une visitc dans les
hameaux de Neyruz,
Pailly, Thier-
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zenburg.
Un médecin de
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Zenburg a “¤¤Smis„ Sans l’¤SSentimems d¢S patients, ces informations
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du äl’arbre le plus proche". Naturallemcnt, il existe aussi beaucoup de
cemés de changer de
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PTT) que ces maladies sont de natu—
re psychosomatique, dono qu’elles
sont le pur fruit de l’imagination.
Qu’en est-il, en Voccunence, du se-
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SUP l¢SqUelles il est dans chaqne eas
memißnné (ce qui arrange bien les
Jakob Cut l’impression que "quiconque aftiche des
idées vertes est immédiatement pentens et Boulens, H.
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cret médical ? "Entre—temps, j’ai
conseillé a quelqucs patients con-
toute urgence
de médecin..." raconte H. Jakob.
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pousser un tel messager dans Visnlement total et de le rendre ridicule.
L0rsqu’il est réduit au silence, le
A Schwarzenburgquelquesrivemins de Vémetteur om appris avec
étonnemenr qu’en Romandie, une
association comptant 650 membres
venrempéoherlarépétitiondu désa—
srre de Schwarzenburg ctontdécidé
de créer, eux aussi, une association
leurs rntérgts.
pour la sauvegarde
Au rand re ret dedlei.Jako ,si ge
égaläment pärmi les membres du
comité directeur un instituteur qui,
pendant delongues années, est apparu comme l’allié des PTT... Rien
d'ét0nnant, alors, it ce que l’on neJ
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et l’Office fédéral
de l'éducation et
de la science n'a pas jugé non plus
que cc theme méritait une étude. Ce
que lechefdc projet WernerFritzde
la direction générale des PTT a dé—
claré a H. Jakob est vraisemblablcment exact J‘Dans ce pays, vous
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leurs.La requéte qu’il avait présen—
tee en vue de mener une étude sur le
y a quelque 20 ()00 uns, les
Chinois anciens résolvaient leurs
problemes en pendantsansautre forme de procesa l‘arbre le plus proche
le messager porreurd‘une mauvaise
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J
explique H.Jakob. llaégalcmentdü
essuyetdes tebuffades venantd’ail-
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veuille pas collirboreravecH.Jakob.
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Ilssontobligés de i·esrgi·
V
des nomlnreux jeunes sapins malades ou morts dans les
lmmédlats de l école de- Tännlenen (pres des
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n‘obtiendrez amais de fonds our
des recherche0s dont les résultaä ne
Plus dangereuses que
sontliésaaucun profit l”inuncier."H.
pfévues
Jakob emrepritdonc de pouvoir mcsurerlui-méme les valeurs ct tomba
dans une histoire dignc d’un roman
policier (Iire
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ce sujet Vencadré
lllulé "Le glandss Olclllcs cl
tongs doigts des Pw).
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de Schwarzenburg qui, en
fin decornptesubitdans sa propre chair \Ies mfluences de
Vémetteur a ondes courtes, ne
monte pas sur les barrlcades
contre les PTT avec courage et
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qu’il est bon que les Vaudols
s’élevent malntenant contre le
projet d’émetteur dans le Jorat.
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rayonnement désastreux des
ondes courtes. Qans le bulletin
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est déconcertant que Ia popu-
d,étermlnation.'C’est que la rare
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lesjours de brouillard et de froid, ä reduirefortement
la plllSS(1flC€ d0émlSSl00H CHF sinon df.? déChGl'g€S
(arcs é[€(‘Il'lqll€S) S?
produiraient ä des endroits oritiques (isolateurs) et provoqueraient
des
dégäts lmp0I‘taH[S.L€S experts qui S0€mp[Ol€I1I ä mlliimlwr le
probleme
pratiquent leurs mesures de préférence les jours de brouillard er de
froid.
Pour des raisons de distances de prises de vues, il afallu altendre
environ
1/2 heure aprés la dissolution du brouillardpour prendre
ces photos.
Photos: Katharina Jakob
teclion
delenvironnementfugusous les effets
rent égalemenl,
des rayormgmams éracrr-oma.
gnétjqugg ngn jgnjgantg Sur |9S
bjosystémgs (Bmw autres Véfrg
humain), lgg trQub|95 Suivants
;··‘|'rOub|QS
témg
fonctionngls du Sysrrgrvgnx ogmra|„ modifica-
(long
du comporlgmgnlf 3
sa-
.
trop tard.
.
Les Vaudols seraient
"derangés"
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°l" 'ls " a“""°"‘
plus nl Ia volontélm le courage
de se battre expllque H. Jakob.
LGS autres gnfluoncas Sgngsrras
dg Cgg raygnngmgntsl anant de
ra |gUCémi6 aux Cgnggstjons OU
ag diabétg gn paggam par |gS
diverses rormos dg cancer, figu.
alors, _eux aussi,
rom 3
la
page 20 dn Joumal
Franz Wobor no
5,
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l
N°
6
J
ll
jan./ren./mars 1990
-
JOUl’l'l3l Fl‘6l‘lZ
Wébéf
l
devoir se pencher sur ce probleme et
dans ce cadre, celui-lä créa la 'Jcommission Krüger". Malheureuse—
ITICHI, cette C0m1TlAlSSl01'l qui
nom de
son président
porte le
aboutit, elle aussi, aux mémes conclusions, a savoir que les radiations
zone
non ionisantes sont plutöt plus dan-
maximale ne serait plus alors
QUC 08 20 volts p21I' 1TlÖll'€ OU pl!-15
précisément de 200 microwatts par
cm2. Récemment, dans la cour de
Vécole de Tännlenen, H. Jakob a
enregistré, selon les conditions météorologiques,desvaleurs de 20ä30
volts par metre, et cela dans un en-
électromagnétique double presque
pour chaque metre de hauteur! Mais
ce n’est pas tout; I’étre humain luiméme devient un émetteur secon—
droit oli l’on fait subir quotidienne-
de
g€I'€LlS€S,
Dr.
Krüger, directeur de 1’institut d‘hy—
giene et de physiologie du travail de
COmm€ mémé
Ala plus proche de Vémetteur
devraient etre évacuées. Car la va-
leur
Cl'l€l'-
(JGS
cheurs indépendants l’avaient déjä
avancé antérieurement.
le prof.
l’EPF de Zurich, décida ensuite de
renoncer ä ses propres travaux de
recherche et de s’appuyer, pour son
enquéte, sur les ouvrages existants
publiés ä l’étranger. En décembre
1989, le rapport de la commission
Krüger a été transmrs au Conserl
fédéral. De source bien informée la
commission propose au gouvemement de réduire la valeur limite maximale ä un cinquieme de la valeur
·
·
·
Condmons malsames
En admettant que le Conseil fédéral ait le
courage de suivre le conseil
ment
des experts et de rédurre de 80 pour
J
seraientinsupportablesetdangereuses pourla santédes adulteseux-me
mes...
de-chaussée lä
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l’autre,
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de mesure dans l’air!
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sont encore pluß
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réémet le rayonnement
capté (comme une antenne) en multipliant sa puissance par deux. L’organisme humain est donc toujours
exposé ä une charge de rayonncment considérablement plus élevée
que ce que peutconstater un appareil
sans scrupules a de petits
"Au premier
Cela signifie que d’un cöté,
1
fonctionne comme récepteur et que
A
fierait
actuellement autorisée l La Commission intemationalc pour la protection contre les radiations (IRPA)
daire.
enfants un enseignement scolaire
dans des conditions malsames, qur
cent les valeurs limites, cela srgni-
pour Schwarzenburg que le
conseil municipal de Wahlem
(Schwarzenburg fait partie de la
commune de Wahlem) pourrait interdire aux P'] I de continuer ä exploiter Vémetteur ou qu’au moins
quatre ä six maisons situées dans la
et
mes mggurqg" dit l-l, Jakob. Plus on
s’éloigne du sol_ plus les valeurs
augrnenrenrde rnaniere impressionHHHIC. L3 pUlSS2lIlC€du l'HyOlll1émCl'll
étage, les Avaleurs
Qu all l°Z·
ou far pu effectuer
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Sujgg gn page 39
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Hansueli Jakob veut acheter un appareil de mesure afin de pouvoir effectuer de maniere indépendante des
mesures
champs électromagnétiques de haute fréquence tels qu’1ls existent autour de l’emetteur ä ondes
courtes de Schwarzenburg. Ce qui lui est alors arrivé, frise l’mvra1semblable. Pourtant ce n’est que la stricte vérité.
Sujet
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instantanées dans des
pour un roman policier.
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longue quéte, la Fondation Binelli +
Ehrsam ainsi que deux dames engagées versent ä Jakob un montant de
l 1.000 francs pour son achat. Il n’y
adans le monde entier que quelques
rares sociétés qui produisent de tels
aPPareils en Petitnombre.La société
européenne RS, possédant une représentation en Suisse, est tres interessée par la livraison d’un tel appa—
reil. Elle envoie immédiatement a
H. Jakob des fiches techniques ainsi
qu’une offre écrite.
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Lorsque H. Jakob entreprend de
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commander Vappareil, dans un premier temps sa lettre de commande se
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dant plusieurs jours d’atteindre le
responsable compétent, puis l’offre
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pour la premiere fois le léger S0upcon que les P’I'I‘ ont placé S0¤ léléphone sur écoute. "MHISAHOH, S6 dll-
les
me fais des ldé€S-NOUS
vivons tour de méme dans un Etat de
qU0llS PHSS€raient
il
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lalsser ä l’essai
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de lui
se de la societé américaine
un appareil de mesure de ce
cntendre
une commnnde
pour quelques
se-
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Il llég0Cl€ PHT téléphone
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détails techniques, le pl’lX Gt le déläll
de livraison. Il recevra son appatetl
mi-novembre,c’estcequi figure sur
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est
comA
pratiquement d’occasion.
H.AJakob est maintenant tres conde pouvoir entln cornnieneer
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.
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nement étre livré en Suisse, Tgutefois, les Pl J Ont ensuite retiré leur
dßmande et le livreur est nn pen géné
de foumirä H. Jakob un appareil qui
type.
mande. Néanmoins, Vappareil n’ar—
.
A
li;
laissé
pour dix de ces appareils (em',
100.000 francs) si l’on pouvai; tenr
prie alors la représenlation suis-
la confirmationecrite de la
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l._raconte-t—11, se sont égale-
lmllßdlälßmßflt
ensuite, je
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ul¢¤lA1Ill@f€SSés ä cet apparejl et ont
livrer
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Hansuglrjakob
de retard, m1—mars 1989, apres p1u~
S1¢¤l'§ rappels et lettres peu aimables. $1 0¤ lll! 3, äAplusieurs reprises,
éutußllßö PMA éttrtt que le retard dc
llVr=}lS0¤ élüll dü au fabrionnt amé-t'tC¤l¤„ le llvreur a, lui, une
version
¤0\1V¢ll€ 61 böaucoupplus plausible;
Des cet instant, H. Jakob, citoyen
respectable dont le seul "délit" est de
s’en a er our la santé de la popu-
_
,
Instlucuon d en haut
AA|
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nl mt-féV¤¢{„ lTlälS avec quatre mois
intéressée par cette affaire...
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A
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ri}/¢0ui mljd颢¤lbt‘e. ni mi-janvier,
A
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e.-;
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demeure introuvable et la société
avoue finalement ä H. Jakob qu’elle
agit sur des instructions venant de
tout en haut et qu’elle n’estJ plus
droit."
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»r°.J
A
1988, apres une
.
rent
A;
i.
JOUVHEII
l
Franz Wébéf
ses mesures. "Mais ämon grand dé-
.
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zenburg. H. Jakob fut entre autres
offusqué par le fait que les profils de
senchantement,j’ai dü constater que
la faveur de la nuit, 25 jours
avant le délai légal permis.
H. Jakob avait alors clairement
née ä
du pylöne n’avaient
que 24 metres de haut, aulieu des 29
metres que le pylöne devait mesurer.
Le préfet de diSll’iCi féjéta l€ FCCOLITZ
les profils avaient 29 métres de haut.
lln’avaitpasété les mesurermais un
°°"" "”°°“ ‘“‘ ‘“f“*“" ““""°"“’""
l’appareil avait été mariipulé et indi-
construction
quait des chiffres au moins 100 fois
inférieurs aux chiffres exacts." Par
chance, il n'a encore effcctué aucun
paiement. Il retoume alors immédiatementl’appareilmanipulé.
compris
Mon
;
téléphone est sur
écoute. Sinon, comment expliquer
cette action illégale dc démontagc
?".
—————-— -—-——-Ä- —-i-———AI a faveur dE a nm-t
'
I
"Vavais compris ce qu’il en
était.
s’en tient strictement ä notre ordre
juridique puissent étre possiblcs
dans ce pays." Ades fins de sécurité,
il
mene de
d’achat avec la société américaine
en utilisant uniquement des lignes téléphoniques d’amis et le télé—
copieur. La rcprésentation la plus
HO
proche de
la société
HO se trouve ä
d’avoir ces soupcons."
En
-
collaboration avec des amis,
H. Jakob avait introduit un recours
contre un nouveau projet des PTT
l'installation d’un mät d'antenne
:
J
NATEL dans le village de Schwar-
maintenant qu’il
petit tour aux
PTT s’il
maniere Sherlock Holmes, H. Ja-
d’un appareil de mesure intact.
la presse,
est ainsi lancée.
Motif cet hom:
Lufthansa
nal. "S’il se rendait
Francfort.
»<·
En
réalité,
au tout
demier moment, Vappareil est transféré ä New York sur un avion de la
me est de surcroitprésidentdetribu—
1=;?w-,e=-~~·i
A la
kob, le citoyen respectable,convient
par réléphone avec le foumisseur
que Vappareil arrivera in Zurich par
Vavion Swissair XY. Lu fausse piste
coupable de la
méme négligence lors d’un proces
pénal, cela pourrait avoir des conséquences désastreuses pour quelqu’un qui serait, ä tort, suspect", déclare H. Jakob.—
Malheureusement, le géometre
n’eut pas l’occasion de mcsurerla
hauteur exacte des profils. Peu de
temps avant son anivée, ils avaient
été démomés lors d’une action me-
Francfort-sur-le-Main. "C’est peu
avant l’arrivée de Vappareil de mesure que j’ai compris ä quel point
j’avais
eu texriblement raison
sait
il
un
dimanche aprés—midi, il commanda
ä l‘un de ses amis
géomemre cadastral une expertise ä
dans
avoir été manipulé.
A
Et comme il convient ä un citoyen
respectable, H. Jakob dédouane en
bonne
et
due forme
l’appareil
ä
La
destination
de
directrice de la repré-
Car bien qu’il n’ait essayé Vappareil qu’en observant la
plus grande discrétion et de nuit et
J
kob
paquet scellé directement
dans l‘avion de la Lufthansa ä
Francfort et peut remcttre, a lui et äson épouse, l’appareil intact et non
du
direction des travaux publics
Beme ou est actuellement
examiné un recours contre
Francfort qui va retirer pour H. Ja-
l
notre poste envoie sans y avoir été
aucunement invitée et sans le moindre motif manifeste une expenise
négutive détaillée sur Vappareil de
H. Jakob au service juridique de la
HO joue le jeu de maniere exemplaitransporteur dc
i
donc que les PTT n’aient absolument pas pu avoir eu connaissance
de son existence de maniére légale,
canton de
comme un
r
racome—t—il.
sentation allemande de la société
re; tout
‘
de
sité de ces mesures de prudence est
apparue ä peine 16 jours plus tard" ,
outre,
veut cette fois entrer en possession
rict
Francfon, uniquement pour éviter
que les PTT puissent une fois encore, gräce a leurs liaisons, empécher
que Vappareil arrive chez eux sans
En
Mais H. Jakob ne se laissa pas
aussi facilement convaincre. Un
ce sujet. C‘est le mercredi que devait
avoirlieulu mesure exacte.H.Jakob
avait convenu pur téléphone avec
ses amis d’attaquer le préfet de dist—
nouvelles négociations
7
jan./few./mars 1990
}~*‘°°§Ä’ä“if ?„ä‘„?;‘;‘lE?c‘I,°
üIi‘ܧi
a ° °
—““"
H »
A
»
viron 600 francs. L extreme neces-
doit jouer
Mais je n’étais toujours pas persua—
dé que des écoutes téléphoniques
contre un citoyen irréprochable qui
·
Röle de Sh¢r¤¤¤k H¤¤m¤S
Ecoutes téléphoniques
'
ll
I’exten—
sion del’émetteuräondescourtes de
Schwarzenburg.
le
Ces demiers
touché.
s’étaient ren·
dus au plus vite par
le
train
ä
Solution de Vénigme H. Jakob a
eu avec le foumisseur quelques con:
versations sur Vappareil et son
ma-
niement, Par téléphone, naturellemem,..
U. S.
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g;
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«_
g
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Une prem 'ére
J
‘
‘
Le gouvemement vaudois est
désormais officiellement contre
Vimplantation, par les PTT, de
quatre antennes ä ondes courtes
dans le Jorat. Il s’est prononcéace
aux 38 communes concemées, a
déclenché une véritable levée de
boucliers.
Au vu des cette situation, le can·
ton de
Vaud
s’est définitivement
‘
22 décembre demier, par
lettre,et le 16 janvier 1990, parune
conference de presse.sujet le
·
PH- om poné leur choix Sur plu_
de trois:
-Dangerpourla santé del’homme. Sur ce point, le gouvemement
reste tres prudent. A propos des
nuisances des- ondes électromagnetrquessur le metabolisme humain, la version officielle parle
d’un "domame encore mécormu
communes du GmS_dc_
oü les preuves,·dans un sens com-
.
l
·
Chctchant un cndroit oü ils
polmaicm installer des émetteurs
amore plus puissams que cclui de
Schwarzcnbmg histoim d·é1argir
Champ d•éc0utc des émissions
1c_
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de Radio SuiSScImcmationale’lcS
sicurs
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J
e
l
rangé du cöté des opposants, avec
des arguments quasi identiques...
Ces arguments sont au nombre
Vaud. Quqls Om tcmé dächcm
avant méme dclcur révélcrl•exac_
tc nature du projct Tcnucs ä
Vécm de tout cc micmam ICS au_
qmités camonalcs om nm par réa_
gif cn cxigcam im plan Scctorid
Lequel, um fois étabü ct soumis
me dans l’autre,mar1quent". lleste
que face ä ce doute
et. au risque
inlrérentpourlapopulatiornles autontés préférent s abstemr. Cette
ragen d‘agir est suffisamment rare
(rin yaqu aprendrel exemple du
nucléaire...) pour qu
on
la releve.
victo'
- Perturbations
techniques. Le
Conseil d’Etat est ici beaucoup
plus convaincu. Les nuisances
électromagnétiques des émetteurs
actuels de Sottens et Chapelle-sur-
Moudon font référence. Ce ne sont
pas seulement les appareils électroménagers qui sont touchés mais
aussi les machines toujours plus
sophistiquées utilisées dansl’agri-
gouvemement reprendces préoccupations ä son compte.
- Atteintes au
paysage. bes dégäts esthétiques que causeraient
Vimplantation de quatre émetteurs
de 500 kilowatt chacun seraient
irréparables. Le Jorat est un site
protégé, et le canton ne s’est pas
fait faute de le rappeler.
culture, l’artisanat ou les entrepri-
Or le Jorat est une region sensible, notamment sur Ie plan agncole. Et on ne touche pas
impunément au sacro-saint déveses.
loppement
économique. Clest
sans doute un des éléments qui
pese le plus dans la lgalance. l.es
opposants a_1ot1tentquel’on doit se
faire du souci pour les personnes
portantdes pacemakers(p1lespour
la stimulation cardiaque) et
les
’
équipemcnts d alarme en fonction
chez certames personnes ägées. Le
décision finale concemant
Radio Suis-
les quatre antennes de
se Intemanonale appamemcepend8IlIälHCOHfédéf3Il0H.M3lSavec
'
le préavis négatif
des autorités
vaudoises et l’opposition massive
de la région, reveillée A l’époque
parties avertissements parus dans
leno5du Journal Franz Weber, les
PTTserontobl1gésde reculer. Méme s’1ls essaient maintenant par
tous les moyens de passer outre en
mvoquant le droit fédéral.
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0.v.B
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11
1990
Journal Franz Weber
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dc L(’I}7.\'fCIll'I, dans /6* canton d A2 gmw,
est la plus
rmportante de Surssc.
JÜUl·nal
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Franz
N°
Nombieuses sont les études de haut niveau qui mettent le
doigt sur les risques de l’énergie nucléaire. Celle du cher-
N
N.
tes aussi-‘j
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Ls sous-Cemité sst im-
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9
jan./févr./mars 1990
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cheur canadien Petkau a abouti, en 1972, ä cette découverte
HUSSI révolutionnairequ’1nqu1étante:uneexpositiondurable
N|
Om, So„,p,éc·iSémcmccS„ch,g,_
ches que les organisations pronu-
A de perites doses de radioactivité est plus
dangereuse pour
la santé de
exposition l3I'ÖV€ Ä des (lOS€S
plus élevées. Théorie qui a été confirmee par
plusieurs
scientifiqucs mais que les mlll€UX IlUClé3lI'¢S Olli
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Petkau", récemment traduit cn francais.
Virradiation se passait dans un laps
.
de temps prolongé,
N
Les tenants du lobby atomique
vous le soutiendront mordicus:
chercheur canadien Petkau, lequel
concluait en 1972 qu’uneexposition
durable a de faibles doses de radioactivité peut rendre une cellule plus
l’énergie nucléaire n’est pas dange—
reuse. Et si Nvous leur parlez des déchets, dont
ils ne savent eux-mémes
pas trop quoi faire, ils vous répondront qu’en les enterrant dans
du
béton ou en les jetant dans la mer
N
fragile qu’une exposition breve ä
des doses plus élevées.
lndubitablement, les organismes
et les spheres scientifiques pronu-
enfermes dans desNfüts imperméables le rrsque d’accident est tres mi-
a une
N
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N
N
N
Celanga&eest1rresp0nSablc.Et1l.
devient pamculrerement tordu lorsque l’on vous affirme, que vouloir
renoncera I’énergie nucléaire, c°est
CQ¤S€q¤¢l1l, de la mätllpllleffois
deeplus,
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cmpéchem
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_
N
La découverte de Peikau,
au-
N
iourd hui directeur de la division de
brophysique médicale de I Atomic
intirmée. Que ce soit la Commission
N
Intemationale de Protection Radiologique (CIPR), le Comité scientifi-
‘
Le raisonnement de base qui
pousse a l‘utilisation de Vénergie
atomique est qu’elle est rentable et,
donc, que l’on peut en consommer
plus. C‘est le début d’un' cercle vicieux généré par la "productionnite"
iuguödenotre systeme économique.
Au lieu de produire m0inS„ et de ne
que des Nations Unies pourl’étude
des rayonnements ionisants (UNSCEAR) ou la Commission américaine de l’énergie atomique (USAEC),
les instances les plus concemées par
le probleme posé ont préféré l’éviter, refusant la discussion avec Petkau, ignorant méme purement et
simplement ses recherche;
Seule l'Académie des Sciences
consommerque le strrct nécessture -
ce qui signifie renoncer au confort
Superflu mais pas ä tout conf0rt—- on
pousse a Vexploitation, au rendement,Al’aeeumulationde fric et aux
dépenses d'6nerg1e. Impossible, des
américaineapris lechercheurcana—
dien au sérieux et,
s’étre
|sans
pner, a copflrmé sestbésultats.
Le sous-comité de *Ißlf~äcadémle
(BEIR lll, 1980) ‘u fßtétluqtte €'le
fait
dessour-
ces'·essemielles
de ce credo économico-indbstriel,basé surun pseudo-
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N
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si,Ndans tous les‘pays·industrialises,
“
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milieux officiels; généralemerit
proches du lobby nucléaire, ont mimmisé la portée de la découverte du
les
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N
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gee, une dose 5000 fois plus faible
que lors d’une irradiation rapide suffisait
ü détruire la membrane cellu-
laire.
Dans une
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[958 dé'ä
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ves. ll pensait meme que ces retombees pourrulem- étre A Vorigiue
d’une augmemagion de
iqgmssivgié
de cenains
cellule vivante, la
membranecellulaire(qui entoure en
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röleniigfzgie Fixeuliéu ii; les radieau:
libres lors des retombées radioacti-
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-
N
N
dommages infligés au noyau de
ÜSVBUX des Organisdébouché sur des
conclusions mcompletes et arnené a
des mesures de protection insuftiPetkau répéta ade multiples repri- santes. Des
le moment oü l’on conses ses expérimentationslerésultat
sidere que les théories de Petkau
ne changea pas. En 1974i le profes- sont
Touioui-S Ia méme résultat
.
mes
N
N
seur américain E.J.Stemglass a été
le premier ä prolonger cette recher-
che ä l’échelle humaine et ä
l’homme ont
les faibles doses radiolo-
l000 fois plus dangereuses‘qu’on ne
l’admet en se basant sur des études
médicales ou les sondages effectués
_
quelques—uns:
•
'
N-
En 1977, trois chercheurs américains ont constaté un taux de cancer tres élevé chez les employés de
au plutonium de Hanmalgré une irradiation
moyenne faible. Les trois scientifiques ont alors exigé une réduction substantielle de la valeurlimite maximale d’irradiation admise
pour le personnel du nucléaire. Il
leuraétéréponduqueleursrelevés
la protection contre les
Ces lois ne teposcnt en
que sur une hypothese, celle
|.1%-‘pl1lS$9¤¢¢ que les cancers par irradiation ne se
des doses radioactivesfules
forment qu‘apres une mutation
tesdans des membmries‘,¤¤li1üaäes.. sournoise dans le
noyau eenuiaiie.
artificlelles extste
bien" et
Des recherches menées en labernconclu que "la possibxlité que
de toire ont faitressortirque des radiohelles attemtes dans les .br0membt‘¤·
isotopes tels que le stromium
89 et.
nes provoquent la formation de can90 intiltrés méme a petite dose dans
cers laisse augurer quete phénomela moelle osseuse provoquent
un afne ·se produit dans le cas de faibles
faiblissement du systeme immundoses, et de doses seules "recomitaire, suite aux atteintes des radimandées , _dans les cellules vivan- caux
libres sur les membranes cellu-
~
.
la centrale
ford. Et ce
évidence les carences des lois actu-
pour
été largement soäs-
Sur ce point, Ralph Graeub cite
dans son livre plusieurs exemples.
Nous avons jugé utile d’en relever
aupres des victimes japonaises des
elles
le
estimés.
bombesatomiqucs.
Stemglass a également mis en
radiations.
on n‘a jamais démontré
contraire), il faut bien reconnaitre
que les risques réels encourus ar
tirer la
giques (comme les émissions ou les
retombées des centrales nucléaires)
peuvent, dans la durée, étre de l00ä
·
plausibles (puisqu’ä l°échelon
offlciel
N
sonnette d’alarme. Ilaainsi montré
que méme
‘
officiels ont
—
effet
.l'¤pp0¤ im/¢l*S¢
ueuiieuesqitpsiiuanreetdangereuse.·Reeomm¤·eNeeterst de faitserait
avuuerla faiblesse, et méme le non-
Ce n’esttinalementpss,1¤iNhasard
'
'
les
Energy of Canada Ltd, dans l’Etat
du Mamtoba, n’a ainsi jamais eté
sens, de lg démarchgiN-
dévelgppemgm de cancer-g_
En URSS, le regretté Andrei Sak-
la cellule, les
‘
.
atta-
ßisgusgign ygfusée
·
lors, d’ueeepter que l’une
laires (effet Petkau)_ 0;, im sait
maintenant qu‘un tel affaiblissement joue un mie important dans lg
Pour nNav0_ P
pm
-
Ces derniers
‘
pI'll‘lClp8lCm¢Ilt la m¢lTlbl’3l'l€
pguvent
un jugQmcn[ Objgcüf
la
de caux qui déiienncm cette
puissance ou qui s’en Scrvem ab0n_
dammcnt_
_
dgnggrgusgs ,3 [mg ;g,·m€_
de préciser que si elle est endomma—
gée, les conséquences pour la santé
'
SO[|V@n[
psaudmbonhaur
im livre qui gxpliqug pourquog [gs
faibles radiations nucléaires sont
‘
Par
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L'ingénigur chimigrg gu}|;| |atph
G;·ggubN gurgurdg "[_'E}j¢g; Pg[kau"N
Petkau chiffra sa découverte et
estima que, par irradiation pr0l0n—
paru en
°‘
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llt- -‘é~"e-sa„
"§*‘Z-‘?$-"l?-‘ä*
le? intéréts énoriineséa
par le nucléaire
livre,
-
cellulaire.
allcmand en l985 déja, vient d'étre
"
¢l,
Ce
V
completement absorbée - bien plus
faible que lorsque cette dose totale
était donnée par une irradiation breve, ce qui est le cas lors d’une radiographic, par exemple.
Le mécanisme? Assez simple, en
quent
des "Médecins pour la responsabilité sociale" (PSR/IPPNW-Suisse),
dans son livre L’effet Petkau ou les
faibles doses de radioactivité et notre avenir irradié.
accepter de sc passer de tout confort.
peur
Chll‘l’llSlC
suisse Ralph C«raeub,N membre du
groupe de travail "Radroprotection"
Bogaen
se rompaient sous l’effet d’une dose
radicauxN libres.
N
l”IngéI°tl¢Uf
-
-
de Voxygene qui peut prendre, par
irradiation, une forme haulement
instable et toxique, qu’on appelle
revélation. C’est ce
Ntelle
qUN”CXpllqUC
_
°
N-
membranes
vérité: le liquide cellulaire contient
cléaires avaient tout intérét ä se défiler dans un flou peu artistique
face
Hlmß-
Pai, Oiiviei, Van
‘
les
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En
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1978, toujours aux Etats-Unis,
deux scientifiques ont décelé chez
les ouvriers des chantiers nuvuls
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Portsmouth occupés a réparer des
sous—marins nucléaires un taux de
leucémie pres de 6 fois plus élevé
que chez leurs collegues non expo-
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NNNN.
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tion
compte.
C‘est également avec des ceilleres
que Vestablishment nucléaire a con-
méme
q
puisque,
défenseurs de l’at0m¢
parlent de risque calculé, il est totalement impossible d’avoir un contröle précis sur Vévolution ä long
de biologie allemand Günther Reichelt. Pour avoir osé affirmer que,
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changements maténels des déchets et de leur emballaaltérations éventuelles
terrestre, ni les
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terme de ces "ordures
S<·=l¤¤scsrelevés.lesforétsproches
N
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indéfendable
si les
descemrales atomiques sont pamculierement mal en pomt, ce scien—
tifique de haute tenuea été littérale—
travail
[nainé dans la
niérltalt pourtant dc servlr de b3S§ ä
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N
du stockage. Une solution par-
faitement
sidéré les recherches du professeur
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la solu-
impuissance a conduit a
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ge pmtéger de tous les maux et ä bon
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argument choc: "vous profitez de
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ggg; ggg; ggggijgrgääj
radiations fai-·
de prendfe en compte tous
lee feeteure de nsquee
Autre exemple: les centrales nucléaires laissent échapper du Cryp·
ton 85,un élement radioactifqui met
10,76 années avant de se réduire de
moitié. Il se trouve que ce Crypton
85 a des propriétés particulieresz
incxte, il ne provoque pas de réac·
,
mms pmlengeee Des
°bSer'
vations radiobiologiques et épide-
miologiques donnent ä entendre
que ces risques se distinguent de
ceux qui se basent sur les relevés
faits avec des doses élevées mais
sur un bref laps de temps, et sur
l€Squ€lS reposent GHCOIC les calculs de risques habituels." Petkau
et Stemglass n’auraient pas dit
mieux.
I
'
Petkau, n’étai¢nt pas continuelle’
ment devaluées, 1l y a fort ä,paner_
que les pronucléaires seraient large-
_
Comme
des pronucléatras
chacun
le sait,
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von; dans un bain de radioactivité
ä elle et ont trouve un équilibre.
Mais Vaccumulation des radiations
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mettre du Crypton 85 dans Val-
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tel discours,.
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sont int"1mes...Avec un
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la theorie
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de mécanisme naturel connu pour le
prendre en charge. Par conséquent,
il s’accumule, crée une ionisation
mosphéres
Lediscours pronucléaire répondä
celaque les émissionsdeCrypton 85
comme
ment minoritaires.
Fou; marc, haas, les imbricamms cmmcs Beme lelobby atom]que et le pouvoir politlque hypothe—
quent tout espoir de changement |
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naturelle.Depuis des millions d’années, les organismes se sont adapxés
promettantes,
de déchets rad1oact1fs,qu on ne sait
toujours pas commentéliminer Cet-
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supplémentaire, _peut tran§f0rm¢¤‘
L’aIibl
la
V;
un prolongemgnt
niers trouvalent
est vicieux.
des choses, ä savoir le probleme insoluble des dechets nucleaxres, elle
méritetoute notre considération.
Car il y a maintenant trente ans
que„l’expl0itati0n de l·é„„glct qu-
tionschimiques.Iln’yapasnonplu5’
·
des SUSPICIOHS de ¤OmbI‘CuX SCl6m1-
eingangofficiel,et si certaines données com-
Waden per
ge-
si elle pouvaxt prendreconnaxssancle
qultte ä
Enrevanche,si_unepareillerésistance découle d’une vision plus globale
cléalrc Sc
ofticiels
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bles
ment ce misonnemem
tree fa‘ble·
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résulter de doses de
commune
temtolre de la
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tiondune poubelle nuclealre sur le
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dléncrgki Si la population bé_
néficiait dinformations cmnplegcs,
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i.„«é„„a„m de 1984 s„n·é„„-
quqm Suisse Sur deux est comm cc
Si,
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ment égomc
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Pour justitier Vaugmentation du n1veau d irradianon des centrales nu-
cette attitude, la jugeant
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fort individuel "alimente par le nu-
certainséditorialistesleurontrepro-
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älevträecäaetnggeeieexlgäängligaeßc
vés ue prévu- 9 des 12 études
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dc 50% des eas de *¢¤1¤==m·<=-==¤·¤
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e l'autre on jouax
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gie mentionnant les études effec-
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cantonal.
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par des propos rassurantstantötpar
des menaces.D’un cöté on occultait
savamment les dangers de l’atome
sous le convert d’un label "sécurité
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efforts démentiels pour
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Dansl‘actual1té récente, le canton
de Vaud, et plus précnsément la
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1990
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"HMJE All BETONNAGE"
SGI? S0l|I11l$B all
le 1 avril
|)Bl||llB
1990
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Dire
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OUI
a cette initiative constitue une nécessité absolue!
"Halte au betonnage - pour une stabilisation du réseau routier"
Iexprime une volonté d’équ1l1bre et de moderation. Elle propose de limiter l’extension du réseau routier suisse, parce qu’une telle l1m1tat1on est nécessaire pour
irremplacables auxquelles le peuple suisse est attaché. Ces
·valeurs sont d1rectement menacées par la croissance sans fin du trafic automobile.
Car
l’initiative
|desyaleurs
de nouvelles routes la oü elles sont
njugées nécessa1res: elle réclame simplement que la densité globale du réseau
n’augmente pas. Lorsqu’on ouvrira une nouvelle route, il faudra récupérer une
surface équivalente sur le réseau routier existant. Qela n’1mplique pas de fermer
ou de détruire des routes, mais de consacrer une partie de leur surface a autre chose
qu’a la circulation.
Ijinitiative n’e1npeche pas la construction
·
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·
·
OU
I aux valeurs irremplacables que_sont, entre autres, la beauté des
Dites
paysages, le calme, la pureté de l’air, la d1spon1b1lité en terres agricoles suffisantes
pour nourrir le pays en cas de crise intemationale.
‘
~
des.
L’acceptation_ de l’initiative apportera des progres décisifs pour la sécurité
enfants, des piétons. Elle sauvera le centre des villes et des villages du bruit et de
1
la pollution
provoqués par
le trafic.
_
ii
Pour toutes ces raisons
nous dirons O U I le ler
_
avr11
s
a
_
Et nous Vdirons 0 U I aussi aux
soumises au peuple le ler avrill
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l’1n1t1at1ve
"HALTE AU BETONNAGE"
initiatives
"TREFLE"
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qui seront également
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les égofstcs appclécs géneg"
Nous POLIVOHS I]21[Ul'€ll€lTl€nt sul}
primer ici le mot "chemin de fer
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Du reste, bon nombre de scienllnl
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dre la {éP°nS° ä le 8Va“d€ qlßsllon
de le VlßNiels Bohr lui-meme dut recon
llälllm que le PhY$lqU€ ne mins de
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robots aveuglémentprogrammés en
vue de la conservation des molécu-
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dnllc
Vapanage
de cceurs féminins romanesques battant aux accents d’une rengaine sentimentale Quelque chose d’un Peu
pénible, méritant au plus un sourire
désabusé. Comment pourrait-il en
etre autrement puisque la science “a
élevé le doute au rang de vertu" (Robert Merton). Ou encore que Richina Dawkins, dans son livre "Le
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Ce
"C‘cst
L’amour... Pourbeaucoup de phy-
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eme
1
Friedrich Schiller répond
l'amour qui dirige les spheres les
unes dans les autres; les systemes
mondiaux ne perdurent que grace a
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"L’0rigine de la vie reste l‘un d8$
grands secrets des sciences de la nature" reconnait sincerement le phy·V
sicien anglais Paul Davies dans s0l’l
guvrage "Dieu et laphysique mo·
·
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ques honorables ne se conduisenul
différemment de jßllnge
é¢9ll¢l$ Pa$$lQllllé$ de mcldeles rg
est vrai, pas
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Merci bien Dans ce cas, nolls
pouvons tout de suite nous faire
tomber surlatételademiere pelletée
de terre si c’est la tout ce qu’est
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pourquoi tout fonctionnc en
cherchcr les étoiles au firmament
comme voudraicnt parlois nous le
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lettres d'amour mais
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L‘amour fait que nos corps ne tombent en poussiere qu’apres avoir at-
crigineiie
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demeure.
L’amour est la force qui atout créé.
la puissance qui maintient la cohésion de Vunivers. L’amour est l‘essence de Dieu. ll jaillit en permanen-
Nous prions donc les scientifiques
de retoumer a leurs modeles réduits
de chemin de fer tandis que nous
essaierons
ici de découvrir la trace
du grand secret de la vie.
A cet effet, nous n’avons besoin
d°8UCun Sherlock Holmes, pas plus
que d’une longue—vue ou d’un microscope, Jetons, par exemple, un
regard sur la plante en pot qui orne
notre intérieur, un joli palmier ä feu·
illes effilées. C’est une créature
de
l’amour. Le papier joumal que nous
malaxons nerveusement entre le
P0LlCe et l’index: une créature de
Vamour. Les pantoufles qui nous
chauffent les pieds : des créatures de
l’amour. Et pour ceux qui affichent
leur
derniere
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qu’est
vraiment
l’amour?
L’amour est la plus grande force
physiquequi existe. Il ne va pas nous
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14 N°
1990
ll ·jan./févr./mars
JÜUrnaI Franz
_
ce du coeur de la creation et s’épan—
che dans l’univers, encore appelé
Peut-étre y a-t-il derriere tous les
hasards une loi si simple et si univer-
deroulant, se rapproche
du noyau
noyau de
entre autres "matiére originelle" ou
"énergie originelle".
d’immeubles de béton. Il n’est pas
surprenant, des lors, que les enfants
selle que les arbres cachent la forét
ä ces messieurs constructeurs de
l’atome attirait de plus en plus ä lui
soient tous plus bétcs lorsque l'enseignant est sévere, insensible et
chemins de fer miniatures. Le prin—
cipe du chaos ferait-il vraiment rage
sous la coupe arbitraire du roi ha-
Retenons notre souffle
Dgg gygtémgs s°|aiygg
Iummeux
-
V
V
Dans ce cas, pourquoi notre
n est-eläe pas dgputs longtemps some e son or 1te pour se
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lancer dans une course folie? Meme
le h sicien Paul Da ies doitrecon.n
naäry
C que considwg Vétrc h
al.
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sont, entre autres, les électrons, les
atomes,lesmoléculesetlescellules.
Votre main, tout comme votre
une a
Crayomlc palmicrcnp0t0ul„airquc
Vous rcsplrez est consmué d „ ammes, minuscules systémes solaires
lumm°ux‘ car un
atome estl’exacte réplique miniatu—
re dqm Systémc Solairulc noyau de
Vatomc mpréscme IC Soleil ct ICS
electrons les planétes qui sont en
orbitc amour du Solcüe
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"°l°ma‘K° Possible car ¢¤_ fm
de
compte, il nous consume tiéjä suffr-
A
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sammem cet amour qui est plus
épulsant que trois courses de marathon quotidiennes et nous essouffle
tant qu’il n’en reste A coup sur plus
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hommes
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mcamauon
la moinclre bribe
pour
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Vhumamte.
p.
·
•
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L amour doit jam"' de
,
I
convergearent, leurs
pensees toumées vers Dieu, et
dont ils ressortalent réconfortes. lls
étaiemhabitésd’un profond respect,
désiätegme, qu°il»s’agisse d’amities,
de plus en plus resserrées. comme la laine d’une pelote qui, en se
de mariage, de
relatrons entre pa-
rents et enfants, d’automutes
ou
A
AA
,
AA
Voulorr produire de
amour
avec une "forte personnalité" est ä
Z;
peu pres aussi fructueux que la tende creation de Frankenstein,
dont ilaresulte un monstre ;c‘est un
·—essai avorte qui n’engendre que le
malheur et n'a rien ä voir avec un
etre humain authentique et plus prectsément avec un amour authentr-
d’adoration et d’amour lorsqufils
passaient le—seuil de la maison de
Dieu. Aujourd‘l1ui, ils apportent
dans les cathédrales des appareils de
photo, cies problemes de digestiouet
bites eIliptiquesuniquesenleurgen+
re,
¤m§¤F•f¥ est VF¤lm¢;l¢
mwiiEV
C°mP"g"'€“· Cm q"'
"}é'°_
·;
tative
ä
,
que. Sil’amourexige des efforts,s’1l
est malvenu, alorsil n’est qu’un en-
—
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äcaglt
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peme
A ie fois unique et universelle.
Observons un atomed’hydrogene.‘ll‘ un senttment de colere parce qu’1ls
se trouve au debutdes elements avec
trouvent le prix des souvenirs bien
un seul "'solei1"/{le noyau de l’ato- trop élevé. H n’est donc pas surpreme) et„une seule "planete" (l'élec- nant que les cathédrales se desagreUQH)«“°°MQüÜ° ditle scicntifiquc patgem peu ä peu. Naturellßmeflt, les
cequ·’i1;i‘i‘aApssFle don de voir comsubstances toitiques et les oscillament cetelectron décrit des orbites tions paräsites agressives rongent
de plus eri plus rapprochées autour felles aussi leurs murs. Et il est vrai
du n0yau qui est son soleil. Des or- que li eu lfamour manque, tout se
_est
q
la vérite.
Vostentatoiré mas-
pmir de cette substance de Dieu qui
‘
pas resolue, enigmes qu’elle peut
confortablement lui mettre sur le.
dos. "Le hasard est la signature se;
crete de Dieu." Peu!-étre ce prover·
méme
‘
«
,La science d0it beaucoup 3U C0m·
pere hasard. Sans lui, elle devrait
avouer que plus d’une enigme n’est
_
‘
cotre sur le capot ont éte creés
ll
A
siegesdecuir, sa boiteävitesse, ses
pneus et
.
gs tfmmptg
°“° ‘°“"°·
de I3 $0lf df! p6I'f€C—
tion. Dans leurlangage de pierre, les
fenétres et les piliers élancés d’une
cathédrale gothique semblent vouloir dire "Plus pres de tot, mon
Dieu". Auparavant, ces cathédrales
étaientdepuissants foyers delumiere, des points de force vers lesquels
les
de la benediction du prétre
parce que sa carrosserie, ses beaux
e
!
cs? pqrfaitcmcrgt
q
·
réjouit
d°,
“°“,d°
Plus ‘l“,““° S““°” ‘°°‘d°"‘°“° d°
mms ‘l“° le haäßd ° "°“l“ ““°‘
mimds 9*1** N¤¤v¤¢¤¤= d° B°°‘h°"F“
"°“°°"“:° ‘°“‘I°m°m f¤¤¤·t=,
d_“¤¢ m“"““d° dc s°“S h‘“”m°°
m¢“X·
·
qu’il poursuit sans
Une
nene du qcréateur, Oui, méme une
chose aussi haie qu’une voiture se
*“}SS‘·
Qu
“°P„
~
,
qui aspire constammentäapprendre
et A serapprocher de la perfection.
.
rien d’autre que la substance origi-
D°S awmcs qm Sc s°m°m rF“°°“'
trés SUV ““° $°“° da déP°‘°“ p°'·“°
f°"“°‘” ““ sY"ém‘ q'é“· Par h"”·'d·
be tibétain exprime-t-il
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Souäis’ aim
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ment beaucouP demander
L'aturance au sem
de l’atome estle resultarde l’amour
nous parvient du tréfonds de l’univers pour se manifester dans un étre
humain, un arbre ou une pierre, et
méme dans un refrigerateur, n’est
116 S§1'8l¢¤¥
,,
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·
A
soucrs. Exrger encore de
l’am0ur malgré tout cela* c’est vrai‘
laisser troubler.
·
main, aucun arbte ne seraitné. Toute
1'energie, toute la substance qui
¢¤°°V¢ Z $1 °$ a‘°m°S
°“ m° s·
Ü? d¢VF¤*¢méU’¢déP°““’“§ de °°“s?
.
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moum au
ägéß DCS
que des
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Vqniour. C’est,l• force de créattqn
origmelle sans luquelle uucune étorle, aucune pierfe, aucun étfe hu-
aussi
pcrsonncs
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P9“mm• l?‘SSP"S lä °°S s°m°“°S
vicm cnün ä
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il nous faudra encore
Vaccucmir chez nous Si pcrsonnc nc
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Le hasard’ signature
scléros„ées qu
développés que nous connaissions
sur terre Vuranium. Chaque électmn 3, an comraire de Ibequcqup
d’étres humains, un objectrf fixe
Mais qu’est-ce que l’essence de
Dieu ? C’est l’amour, la sagesse et
__,_„
armes de grand_mém Som tcucmcm
détruit lors de la fission nucléarrc
l‘un des elements les plus hautement
un cherninement de pensée long et
sinueux’ Iuidonner un nom:DIEU.
la puissance.
des hcurcs Supplémemaircs?) ct les
m8|'lqU8 I BITIOUI',
ll
p
Sonpcc vraiment
L’étre humain, soit dit en passant,
laquelle toutaété creé, Max Planck,
lui aussi,l’a reconnu et il aosé, apres
V
l'ep0u_x fait trop d’heures supplé—
mcmwcs (mms
tout S8 ÖÖSHQTÖQG
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place ä sa boutonniere une fleulf
cueillie sur une couronne et quitte le
Heu cn faisam un Salut ä la {Onda
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f°¤¢ü°¤“¢· A]9*'S lß
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que constitue UH ¢adHVf¢„ que le
mort souleve le couvercle de son
cercueil au beßu milieu de la plus
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te rwuvelle. Et il faudfailégaléméüf
clouer le plus solidement possible le
couvercle des CerCu¢ilS ¤ä!‘ Ü se
POWTRÜ! que la Vi¢ f¤SS¢ Süudain ü'·
mption d3llS l'amas d’atomes m0I‘IS
G°¢‘h° “°
‘
II
(d’expérimentati0n) morts
afin qu’il en résulte une entité vivah-
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l etape
79, rl représente donc un
stade de développement relativement élcvé!
Au COMMFHCBMOM, y 8
maux
mnd
exploser ses lrmttes.
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dcmuction
lopper sur des plans supeneurs.
L’0r, par exemple, se trouve déjä ä
‘
I
pour nous temr a nor, avec na
de l·Cm,imnncmem’
phOmur ct a al-deur ou— que lc re_
gäfd S6 POSC- C”¢S! p¢¤!~ötfe un peu
tmp dcmander que dc vou ou encoV8 ¤0¤$ f¤¤V¢ Fépändfé partout de
pamour LC ms ne poursuitpas SCS
études comme on S•y ammdaik
faire,
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clence. NOS CQTPS
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¤l{0¤S autourd hu! §¤fflSamment ä
a bd€““°°*;P
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Sa conclu•
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sron : "Ou bien nous voyonsl action
de Dieu partout, ou bien nous ne la
VOYOHS mmc Pan
Un ßmmc est mo"- C° n est q“°
lmsque de
ammes mms
révnis q¤¤ la vis ¤¤¢r•= <=¤ i¢¤»
nous dit la science. Interessant, non?
AMS, ihpy auraitplusi cn fait, qu•ä
mettre en tas suffisamment d’ani-
—
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est pratiquement nulle."
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trque,
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Pard0n,me d1re;—vous, mais nous
une musiq ue com osée de huit sonS
qui se manept bp
ren I
électrons
Lies
epiettent tous es spns argqnrqucä)
a pamourä, cs Sep
age ‘
äéqu;
ve oppement une octave 0nda—
mentale! Pourtantl atome d oxyge—
ne, lui aussi, n'aspire qu’ä une seule
chose croitre, apprendre, se deve-
de
pnc ame-
un tel nombre de eombmatsons possibles de molecules que la
perspective d une
combmanson
exacte due au plus pur des hasards
sc‘°“-
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dé'ädé asséseptfois uiadeäse t
mentii ompts eäéno cu esüonte;
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mis. a m.a
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presque tmmagma
ement mmlme.
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tion spontanée del
mventetirs de la pédagogre et de Ia
ie, les Grecs anctens, le savarent dejä.
pedophn
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l’atome d’h
tion Pl U Sél°vé
nisltc wcnmé
da
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prentissage sont minimes; cela, les
.
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d’amour, les succés en matiere d'apsignifie
A
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V
de deux
planetesl.
atome. les a pour amsr dire expr„
,
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rees L atome d helium a une osc1l—
."
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surdrt statrsuque.
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trstrque
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V
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:
äesormars
m
du
d “‘F d h
com"? “"
s’il l"'aspirait".
lorsque la
fusion est accomplie, nait Vélément
suivant surl’échelle de Vévolution:
l’hélium, un "s0leil" qui est entoure
terre
·
comme
l’électron,
sard?
H Nest absolumemricn de visible
ou d,.mvtsr-ble qui n ,é mane de cette
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energie de Dieu Ses composams
:
c’est presque comme si le
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fpnt de la peurprnais ce n’est pas de
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donne mon amour let tu
me donnes en echange la rnotue de
tion, Je te
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.ton sulaire, ton nem, ton prestige, ta
sécuntei et en plps un avemr . Der
uombreux rnanages sont construrts
surede tels sables mouvants. Deux
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qui
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l'll(I/(’_/ilI'l)I(’
quv/quvs /let!/‘t'.$‘ vt tl alt)/u' pet':/u [lI'(’.\'([ll(' Irßutv XUII
individus angoisés se raccrochent
l’unäl‘autre dansl’espoirde former
cn
ainsi une bouée de sauvetagc qui les
empéchera de couler. Et ils s’éton-
nentensuitc ue la chose finisse ar
,9
HC plus
et pilf S CCh()UCl'2\i()[‘S
l‘amour de sor.
"Je ne me considere pas comme si
im ortant ue e veuille me mettre
,9
(l[)])/'{)\'/.\'l(Il]II('
Vhypocrisic d’une personnalité qui
Je
C‘est
lä
La seule ä ouvoir
arler ainsi est
iration.
Ne
sacrifiertotalementpourlui '.Ce qui
qui nc peut el ne pourru Jurnzus faire
émaner d'elle-méme l’amour. Exiger de la personnalité inférieure
SOHHC Sl noblc n’est HCH d°autl‘C que
qu
HC
(ITC,
,
lc
juge des tlivorces.
jetcr des llcurs.
ton
prochain comme to1—méme .Et non
Tu I €ii‘0rCCfzlS Ci ulmcr ION pf0—
ll
mon
pour
faire
me
sulfit
me
de
partenaire,
CC
elle illme,
Serzlll Ull
l‘inspiration
Au bout de deux minutes au plus,
nous commencerions äétoufler. un
‘Llm0Ul‘ HOUS CIOLIÜC (ic mLll1'·"
p€U C0m-
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"Bien,
as de re Pren9.
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de tout
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notre
ii
de la procliaine
respiration, tu ahandonnes Vinspiration pour ne plus effectuer que l‘ex-
faux martyre.
p2lS lTlC
ll 2lIlTlC
mc de dire
mon cher,
pour que cela soit vrai.
absolument se placer en
dit trop
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pfClTllCl' piälll,
Cl‘l
/(l
en lutut un print rlv ltmtivre pur /'intvrm6cliui1'v cluquvl elle
en 6nvrglv /u_/vuil/v de clroitv qui, vl/e 61 6t6 cuupév rlvpuis
zmneuu de lunriere, cle lu lumlerv qui pm:/uit 4/vs [lll/St/ll()II.\’vt vst /' v.s·.tvnvv
du CI‘é¢II(’ll/°, Ü .Ytl\‘0ll‘
chain et tu feras ainsi croitre ton
amour de toi-méme", ll y a d’abord
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(pgtftg phgm)_ Son bigrgyonnement, de
structures completement chaotiques. Deux minutes de lunuere solcure seuement gu isem ä remgzrre de l 'ordre dans C6 chaos ff G retabltr des t‘ay0tt$‘
harmonieux d’un beau bleu (grande photo).
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les 6/eux cellules ronc/es er au
centre leur "ca leur de ru ons" en orme de lumiére au mo en du ue] elles
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ec/zungen! leursavotr.
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peut jaillir d’abord de
l’infini
ne de coniiance... au
avant
vrai s’épanche sans in-
tlexions.
terruption, sans peine etäprofusion
de la source originelle, du soleil 0riginel, également nommé créateur.
puiser cet
amour
que dans la source originelle, ancrée
gräce ä une étincelle divine dans le
coeur de chaque étre humain. Et le
laisser s‘épancher, sans aucun efsans peine et également sans
fort,
fierté.
«
Des que quelqu’un est fier de
sa "capacité d’aimer", c’est que
quelque chose ne toume pas rond.
Vous est—il déja arrivé d’étre fier de
ll en va de méme
pourl’amour authentique. Sitöt que
votre expiration
'?
l’on ouvre son coeur ä cet épanche—
ment continu, l’amour apparait
Y a de plus natuml
au m°“d?- L am°¥“° fm **‘ “°“*°
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tous les mystéres et de toute la seien-
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quand faurais la foi la plus totamonta—
gnes, s’il me manque Vamour, je ne
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Naturellement, quiconque consi;
dere l‘amour comme de. l’opium
pour un coeur romantique ne s'0uv-
L, (lllI0lll° — unc /1'ai.wm [))'(#ÖlI(I'(’,
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re pas au sens plus profond, vital de
cette Vél·i[é_ P€u[..餷e nous faupil
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sance parfaite que lorsque nous incamerons l’am0ur parfait.
**’¤¤SP0*’*é¢ SB f¢U0l*V¢f8*! ä
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COITIITIB UH
de recevoir Vénergie divine dont el-
boomerang
lm H10-
m¢*** 0** ä **¤ 3*****% devant ¤0tI¢ POP·
§§§é„‘l°'*ä?1$;“3;f‘riI~;’§tfläläg
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dans ta colére?"
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Des que nous nous éloignons de
ur survivre saine-
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entl un del autre et leurs 1nfom1a—
tions IÖCHUQUCS COHSUÜUQHI le pom
de résonance SU]- lequel IIS S€ [EnC°“**°m·_ chacun °0***b*¢ 8Yf*¢¢ ä
$0** $§V0*** ***}_P¢*'f§C**O¤
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J**S*l** ä C6 <l**_**S went t¤¤t
***0* ****$§* *V¢=***$P0*'*¢T fdqs ***0******
**¢ $$***8 *‘*¢¤·--
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la sagesse parfaite·dansl’amourparfait et nous n'0btiendrons la puis*
äzägägägÜoägiielägjffsfclfgsäii
les ont besoin
»*|*
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méme
"Quand j’aurais
ä
.1Qéf
„
'ii
penser que nous sommes pieux), dans Ia Bible donc, plus d’une
phrase semble ne pas avoir de sens
bien précis. Saint Paul dit par exem—
ple dans la premiere épitre aux Co2
H
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rinthiens I3;2
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re "Le médecin de Stalingrad"; "A
l’Ouest, rien de n0uVeau°° et ”LH
deuxiéme guerre mondiale par le
mot ct Vimage" (afin que les visi—
pas
‘
|‘|s?””’
Bible que maints d’entre(
nous dissimulent avec hbnte deiriela
teurs n’en viennent tout de
iQ"·_§
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un étre humain.
Dans
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stamment su l’échelle de la vie.
Nous somrnesenfaitlä pour exercer.
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deviennent malades, affamées, la
communication avec les autres Cellules s’en trouve perturbée puis in-
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créateur épanche en lui et ä travers
lui et de permettre ä cette énergle
éommeälui-méme de s’élever con-
fois ses
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¢S· “··*
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perfection touteénergievitale que le
Une
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chaque cellule de notrc corps. -Sl
nous ne respirons pas corrcctement,
nous étouffons n0s cellules et la mitladie s’installe. Les cellules saines
dém
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entiérement personnel. Toute énergl€ QUG-HOUS souillons PHI HQITC lmQ€I°fCCtlOl'I, HQUS d€VOYIS UH JOUT OU
* *******7 *** P******¢*' °* ä °°* °ff°*· §**°
Vénergie du créateur.
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mcntionncr briéytcmcnt pourquoi
Vétrc humain est cn demier I-csson
sur cette terre : il est lä pour s’élever,
se développerjusqu’a la perfection.
Tour comme chaquc minusculg
élgcugn C’gS}_ q-[lg l’é[l·g humain, ä
son Stade (féyohltion Supéricure, a
le devoir de marquer du sceau de la
“·¤*‘*=·“¢S
T
‘
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Besoin
d'a1-nour que (fair pour fcspircn
L’essence du créateur, son amour se
trouvent naturcllement aussi dans
Vair qui emplit notre corps. Les
Bguddhigtgg lg ngmmgn[_"Pranha°'_
Le pranha baigne Chaque électron,
chaque atome, chaque molécule et
terr0mpue.Chaquefois qu’iltiresur
sa cigarette, le fumeur se coupe de
9
9
9|
simple, laissez-vous aller sans et"fort, c’est la l‘amour qui ne connait
pas de frontieres et ne se limite pas
_
Nous ne pouvons
·
\”
_
L’amour vrai, divin, est identique ä
substance originelle de la vie qui
jaillit de la source originelle et forme
tom Ce am ""·
inférieure.Cettedemiéreneposséde
absolument aucune force créatricc.
de
nous expirons le‘divin... Et tout ä
coup nous devenons amour. Soyez
la
Nous ne pouvons "faire" de
l‘amour vrai avec notre personnalité
et pleine
¤
··
pi;4999-
!
$8**9 tnterruptivn
’
in
lieu d’étre pe-
ments. Respirons l’amour de Dieu et
faisons—le pénétrer dans nos coeurs
ou luit une triple étincelle "Quiconque brüle d’un amour pur, le bon
Dieu le reconnait" a een: Goethe
dans le "Divan", le livre des ré-
L’amour vrai s’épanche
L’amour
monotone
nible,
de nous envahir.
‘
Franz Weber
JOUITIBI
ont
i
ä§*¤¤¤¢F_€*äP*¢¤dY¢;**SQnfprütlqllé
«
*mP¤*S*0¤ __¢t
l ßsplratlon.
IIS
ém@**<{¤* mälntßnent un Saveir Cem*
“3&‘I$”?“
a 0ilälgääi,S22; om una
chantantaiärnémer}ghme,préts
a nmssangc un Syst mc enmm
·
*
,
·T
P*¤S C0*T*P**QUé et plus hautement
r
p
plus Sguvgnt, gn appelle cola "oan-
l’étatd'amot¤rpa1fait,‘n0usnepoupvons qu’aboutir ä des résultats im-
cer".
parfaits. Nous salissons les élecuons
ment. Elles
de}:/(iennent folles.
Le
divinement purs avec nos frustra—
Tr ple éünceua
tions, notre colere, notre haine tout
-
I
comme avecle café matmal renver-
Asseyez~vous, respirez profondé-
ment et calmementlfamourdu créa·
déjeunerde son maiue. Comme pu-
tem et faites·le pénétrerjusquedans
il est privé de repas du soir.
en va exactement de méme avec
toute substance que nous imprégnons : elle revient sur nous comme
un boomerang. Naturellement, nous
votre coeur. J’accueille·maintenant
ton amour... laisse-le. m’envahir...
sens
‘
Sé dans le stress. "Qu’importe ?" se
dit Garfield le cliat en s'attaquant au
comme mon
chaud
et ardent et
coeur devient
corps tout
mon
comme
nition,
Il
la
sommes completementlibresde du-
vie devient amicalc, colorée et plei—
per notre partenaire commercial, de
léger et bouillonnant et
„é"°*“é·A*m¢*·¢:€=$*%*Pl?*¢¤d*¢¢**¢S
d_ *“‘**a**‘m
Revenons a l’amour, ou plus précisément au juge des divorces. Nous
lui.souhaiton,s^en toute amitié qu’il
puisse bientöt etre au chomage, lors-
humains auront com~
pris la nature de l‘amour vrai et
qu«’ils ne le confondront plus avec
une vache laitiere, une poule aux'
oeufs d’0r ou une assurance-vieil—
lesse et pas non plus avec une maison close. L’amour vrai, nous
devrions pouvoir l’exiger de l'étre
humain puisque chaque minuscule
électron et atome sait exactement ce
que les
étres
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P¢“V¢m
etre appris ausein d’un manage au-
thentique, un manage qui ne reposc
pas sur le fait d’avo1r et de recevoir
mais sur le devemr et le don.
_'Et s’il- amve un jour qu’un scien·t1fique nous Jette eet article ä la figure en criant "quelle absurdité !",
alors, contentons-nous de l'étreindre. Peut-étre un quelconque électron chargé d’amour traverscra-t·il
la haie d’épines sans roses de son
coeur "fortitié" et sentira—t-il que ce
demier est plus qu’une simple pompe.
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entourée de pres et deforéts.
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I5’000
de parc idyllique, ombragé, en terrasses.
Construction ancienne, en terrasses,
peute mazson d’an11s.
Paysage protégé.
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Ideal pour amateurs de nature et sites inviolés.
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Situation unique, ensoleillée,
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C/1—I820 Montreux
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JOUVHEII FI‘3I’lZ Wébéf
jan./few./mars 1990
Latrahisun de
Mme Thatcher
670 tonnes d’ivoire braconne sont stockees E1 Hongkong.
Apres le moratoire sur le commerce de l’ivoire, adopte en
octobre demier 21 Lausanne par CITES, cette marchandise
honteuse et illegale ne pourra, en principe, plus etre commercialisee pendant deux ans au moins.1Mai·s1=les parties contrac-
1
_
tantes et surtout les protecteurs d’elephants |du
ont
Car celle—ci s’est
droitde bafouerla volonte de son propre ministere
fait leur calcul
arroge le
Mme.
monde entier
sans
Thatcher.
de lienvironnement Ä pour faire le jeu des speculateurs d’ivoi—
re en permettant a ceuxeci de negocier, malgre l’accord
COHCIU 0 LäLlS2lI111€, l€LlI° II'lOI“lS[I'U€LlS€ l’Il2lI“Ci’l21l”ldlS€. Par CGI
acte incroyable, arbitraire,
lement
les
Mme1Thatcher torpedie non seu-
accords de Lausanne, mais elle ouvre egalement
aux braconniers de tous poils. Car le commerce de
encourage la demande| p1oVurl’ivoire, et aussi long-
les portes
l’ivoire
[€IIlpS q\1€ i,lV0iI°€ est COII1IIl€I°Cl21ilSé SOLIS qll€iql1€ fOI‘II1€ ql1€
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elephants seront mass|acres. - Franz Weber a reagi
Thatimmediatement apres la decision choquante de
ce
soit, les
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Le 21
janvier 1990,
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lui
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Franz Weber
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N1 ll jan./few./mars 1990
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de Yäbattage Systématique des éléphants adultes pour leurs défenses: La tragédie
de centaines de millionsd’hommes, de femmes etd’enfants
en vous conjurant de revenir sur votre decision et de respec-
des orphelins,
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Pésultali
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au moins pendant
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de 100 km seulement de Hongkong.
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de cet.ivoire braconne devrai.t eAtre
C anton, en
Chine. Dans ce but, les usines installees ä Dubai et dont
l’existence fut severement critiquee par la Cour Intemationale de Justice des Droits de l’Animal en juindemier, ont
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tonnes d’ivoire braconne.Cette quantite represente
massacre d’au moins l00’000 élephants! Une part impor-
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l’Afri‘*ue du Sud, le Botswana, la Zambie et le
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Malawi, ainsi
que de la Chme, le revirement de la Grande Bretagne constrtue une surprise totale et une honte pour 1 Europe.
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et deja, le cas de la Grande Bretagne est
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Le cas du Zimbabwe pourrait egalement figurer ä l’ordre
du jgur de ]’UAN_ PI-Ofitam d’une aide humanitaire des
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pour attirer des élephants d’autres pays pendant
les periodes de sécheresse. Sous pretexte
que les élephants
sont en sumombre au Zimbabwe, les autorites
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frontieres
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ainsi abattus est
que
nvotrc décisionu Souligne Franz Weber dans Son télé_
gramme, "est d’autant plus choquante que la Grande Bretag—
ne était l’un’des promoteurs de l’abolition du commerce de
l’ivoire lors des débats de la conference de CITES. Il
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Aidez-nous ä lutter contre ces trafiquants! Aidez-nous par
un don. 12 pays africains ont sollicite, apres la Conference
de CITES ’ Vaide de la Fondation Franz Weber CCS a S
desseinl extermination des élephants. Devant le faitque tant
d’hommes et d’organisations sur tous les continents ont
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sont prets ä proteger leur faune et particulierement
les elephants. Mais ils ont besoin de notre soutien dans lequel 1ls
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vendue aux elevages de crocodiles, tandis
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oeuvré corps et amepour obtemr enfin la protection totale
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de l éléphant africam, et devant l effort moui.. qu ,.il leur a
fallu pour arracher un moratoire de seulement deux ans ä la
cornmunauté des pays impliques dans le commerce hideux
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vous-memes, Madame, en tant
Premier
que
Ministre, auriez tout ä gagner en revenant sur,
une décision qui entachera ä jamais l’image de la Grande
Bretagne dans le monde civilisé. Vexprime les sentiments
de1l’ivoire, votre nation et
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n’est pas étonnant
sonépaisseurimpénétrableetdeson
foisonnement de lianes, ä cause de
ladiversitéde sa floreetde safaune.
Mais, pour les scientifiques, une forét vierge est simplement une forét
née sans intorvention humaine et
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que 1 homme n egeplorte pas et ne
transforme pas. Si toutes les foréts
des plaines fluviales sont nées sans
intervention humaine, la plupart
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d’une autre. L’analogie avec les fo-
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réts tropicales n’est pourtant pas
Prof EUi·um· Wendclherger
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hasard: dans les deux cas, le site
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optimal, humide et fertile, pennet la
croissance luxuriante d’une végétation variée et favoriu la pousse de
lianes. Dans la forétalluvrale,lalumiere a du mal ät percer. C’est pour
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niveaux et que les lianes, en cherchant a échapper a Vobscurité verte
sont obligées de grimper le long des
troncs pour atteindre les cimes des
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ploite l‘espace aérien sur plusieurs
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jcuncs iles de gravier, le plus souvent des saules, constituent une forét
VlC|’gC méme SI elles ne C0¤'CSp0ndent pas du toutä|’idée que le public
s’en faitcouramment. Acelas‘ajoute le fait que les essences pionnieres
dans la plaine, les saules et les peupli¢rs„n‘o¤tp¤S ¤¤¢l<>¤8¤¢ ¢$PéF¤¤·
ce de vie,méme dans des conditions
naturelles. Ce sont des "sprinters",
qui croissent ä toute vitesse et sont
mürs pour Vabattage vers 40 ou 50
ans; méme dans les meilleures con-
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encore exploitép.
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plantes quel'ontrouvc surlest üfes
que se crée une végétation en couches multiples qui ex-
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arbres ou elles trouveront air et soleil,Quoi qu’il en soit, on trouve des
forérs vierges au sens scientifique
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dans les surfaces boisées des plaines
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cent ans et les hommes ne les ont pas
cette raison
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en général déposés
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souvent prodes rives. Ces terrains se sont
de vie maximale
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sommet
divers. Ainsi, la forét de feuillus aux
des monts de Hainburgla vaste plaine des foréts alluviales qui s’étend
d’un seul jet ä leurs pieds, on a l’impression qu’il s‘agit d’une région
sauvage uniforme. Mais ce n’est pas
sous-bois touffus qui borde les bras
paresseux ou morts du fleuve est
entrecoupée de prairies humides et
de grands marais;elleestmémeparfois intimement mélée ä des prairies
seches et ä des colonies de buissons
épineux. Il y a également l’habitat,
completement différent, des parties
du fleuve au courant plus rapide
avec ses longues zones de contact
entrel’eau et la terre ferme, ses bases de gravier parfois submergées,
Si l’on regarde depuis le
le cas. Cette plaine alluviale présente
habituellement unc grande diver-
sité.
Depuis ses origines,
elle
con-
nait des transformations incessan-
auj0urd’hui limitées par la
régulation du fleuve mais encore
notables. Il arrive toujours qu’un
morceau de terrain soit arraché ici et
déposé la, qu’un bras mort se comtes,
ble tandis qu’un autre, déchiré, disparait ou encore que des iles nouvelles apparaissent au milieu du fleuve.
C’est ainsi que la force du courant
donne ä la plaine alluviale une dynamique particuliere et crée des habitats nouveaux pour des groupements pionniers.
Mais la plaine abrite aussi des habitats entrelacés, nombreux et tres
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ses iles et leurs saulaies, ses rives
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sur cette Liste rouge.
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empierrées et ses anses calmes.
La diversité des habitats se retrouve dans la diversité des especes animales etvégétales. Les basses plaines du Danube abritentquelque 700
espéces de plantesafleurs,dont pres
de l00figurentsurlaListerouge des
especes en voie de disparition. Plus
de la moitié des especes d’oiseaux
couvreurs sont elles aussi portées
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100 a 120 ans,
äge auquel ils succombent aux
cham i nons et aux tem étes. Les
seuls Eailes ou peupliers Vde cet äge
ue l’on rencontre sont en énéral
des arbres isolés, omements gie parc
ou rescapés d’une génération de foret dis ante de uis lon tem s, erdus aupmilieu di une jeäne fgrétpqui
croitdepuis longtemps déja.
est le plus souvent de
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Le d0m3il'IG MBYZQBT
était-il trop loin de tout pour que l’on
robablement des raines
de peupliers blancs et noirs, äui germerent immédiatement dans le substrat humide. A la crue suivante, les
Puis la deuxieme guerre mon ia e
avec sa
de main
pénuriAeAA
d’oeuvre, et le domaine
etzger ut
e a cime 'un’ peup ier noir noueux, lorsqu’il détäusquqit une
et
late
ses marcassms ans e sous- ors
a nouveau épargné. Apres
touffu
trous
hiculait
--
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tion catastrophique et laissa deniere
lui un gros banc de sable. L’air vé-
puisse exploiter facilementson
.
arriva,
.
§Aague11·e,AaA;’automneA1945,lejeune
orestier
etzger prrt son servrce
mais les arbrisseaux agirent comme
un balai, ralentissant le courant et
filtrant du sable et de la boue supplémentaires 5i bien que leur banc
dans la forét domaniale. Prisonnier
de guerre, il avait eu la chance de
réussir a s’échapper des prrsons rus—
ses, Pendant des 5emaine5„ il 5’était
nourri de baies et de champignons,
de racines etd'herbAes,dormantala
V
profondément. Les petites
pousses issues de cette colonie de
graines déposées par le vent arriverent bientöt ä hauteur d’homme cg;
les jeunes arbrisseaux devaientAluäter pour se faire une place au so ei
plus
un büou
·
Or, la plaine de Hainburg qui aété
l
naguere l’objet de chaudes luttes,
ssede une "authenti ue" forét
Eierge en tous points comparable a
l’image romantique
maine Metz
:
il
ui doit son
er,
nom et
son existencg: mäme a un simple forestier qui, pour ce bout de forét, a
dü accepter des difficultés professionnelles car il se refusait a abattre
de vieux arbres depuis longtemps
mürs pour l'abattage alors qu’on le
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lui ordonnait.
Les origines du domaine Metzger
sont obscures. Elles remontent ä
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stait pas.
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A l’époque, le fleuve enco-
serverVune prédilection pour cela).
des...
un_homme aussi proche de
mais il n’y arriva pas non plus
l’annéeAd'apres.ACetteAfois-cr, une
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notre éforestrer pouväit
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simplement "oublié", et ses superie-
gräce sqdppltämentaxreau dornarqe
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usses occuparent e
etzger. es
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la scie s’y enfonce et la plupart avaient le tronc creux ou pourrr au coeur.
occupants frmrent par quitter la
régipn, le pays redressa peu a peu
son économie, et le jeune forestier
les
Non
Lorsqu’un arbre tombait, on le laissait la. AA son emplacement, le vent
déposart des graines de fréne etd’or—
me, le geai enfouissait ses glands et
les jeunes arbres qui avaient échappé aux dents des chevreuils et des
aurait valu
cerfs remplissarent bientöt la petite
recut l’ordre d’abattre les arbres du
domaine Metzger, depuis longtemps en sursis. Mais il s’y opposa.
pas ouvertement, car cela lui
un licenciement immédiat, mais il s‘attacha ä fairertrainer
,les choses. Il fit ceque l’on appelle
clairiere laissée par la chute du vieux
géant.
de la résistance passive. Lorsqu’il se
Mais, de temps a autre, l‘un des
immenses peupliers
supérieurs de notre forestier se sou-
blancs, dont les branches argentées
s’envolaient vers le ciel, ‘lorsqu'jl
venait du vieux bois et celui~ci rece-
tenait sous les
2
De toAute fafon, lesdvreux
peup1ersn’ava1entpus gran e va1eur;A ils étalent trop épais pour que
secteur, on manquait de tracteurs, de
machines et de main d’oeuvre. Mais
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assurait-
il
il,
es ann es incertaines e
l’apres-guerre consentirent un delai
ca a étre transformée en une exploitation a caractere économique.
Entre-temps, le domaine Metzger
.
année mais l’an prochain,
qule
·
le;utilisée extensivement,commen-
pas le courage de porter la main sur
ces arbres. AUne année de plus
s’écoula ainsi ! Ah, 1l y avait tant ä
faire; il n’y était pas arrivé cette
survivre.
Lorsquel'Empereurdutabdiquer en
1918, la zone fut déclarée forét doinanlale et Vancienne chasse féoda-
l‘époque ou le Danube n7étalt pas
encore régulé, ä la fin*du siecle dernier, et ou il n‘existait pas de relevé
de la flore des foréts car Véconomie
forestiere au sens moderne n’exi-
lorsqutil trouvait les gros
noir daps des
tropcs
dAudE1c
souven
Ja creux,1 ne se sen ai
belle ét01le. (il deva1td’a1lleurs con-
nature
Seuls les plus forts survécurentetles
plus faibles s°éteignirent dgnsfgobsrent
curité. Les survivants
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alors leur feuillage a la lumiere tandis qu’a leurs pieds s‘établissa1ent
les buissons et les herbes caractérrstiques des zones protégées de la
lumiere. Les vastes plaines naturelles du Danube en aval de Vienne
appartenaient alors a l’Empereur et
servaient surtout pour la cbasse.
ou
rattraperaittres certainement
son retard. 11 encarssait les réprunan-
Seul
.
s‘agit du do-
-
de
la fin
pousäes d’u;e dizaine debcent1?etres urent
nouveau su merg es,
grandit progressivement et se fixa
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observait les cigognes noires peugeupes dansgeur nid pprché en haut
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vait une nouvelle injonctlon. Si le
bois des vieux peupliers n’avait plus
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beaucoup de valeur, on pouvait tout
de meme planter ä leur place des
peupliers hybrides en provenance de
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seulement le petit domaine Metzger
et sa forét vierge mais la totalité des
plaines du Danube depuis Vienne
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jusqu’E1 la frontiere. Une civilisation
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interrompue seulement
barrages,
par la vallée étroite de la Wachau.
En Voccurrence, l‘enjeu était le dernier site fluvial en aval de Vienne,
avec ses vastes foréts primaires, les
possédée par la technique s’attaquait avidement ace demier site tluvial pour le dompter, l’excaver, le
bétonner, le commercialiser. Les
plans d’approvisionnement en éner—
gie prévoyaient de construire une
grande centrale au beau milieu de la
forét alluviale, ce qui aurait signifié
la fin rapide de cetécosysteme com-
plus belles des rives du Danube et
les demieres de toute l’Europc cen-
pliqué aux multiples interdépendances. Les inondations vitales auraient
Pourtant, la region était une réserve
naturelle et devait étre protégée en
Mais
trale.
mass-médias nous
les
prioritaire.
hydraulique
ouvrage
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courantes auraient été sacrifiées a un
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Bien entendu, des association de
protection dela nature et des particuliers se déchainerent contre ce
projet insensé. Pendant des dizaines
d’armées, on avait contemplé sans
agir, bien qu’avec un malaise croissant, la transformation du beau Danube bleu en une serie de lacs, de
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perpendiculairement a la
plaine et de transfomner ses rives
aux structures les plus variées en un
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cembre 1983, le rninistre compétent
déclarait que le projet de centrale
électrique sur le Danube était un
été contenues par des barrages de 10
de large, les
de haut et 40
fluctuations des eaux souterraines
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longtemps, Aucun des ministres en
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en fonction. Par contre, la plaine vit,
ct avec elle les maning-péchgurg e[
les cormorans, les rossignols et les
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vertu de conventions internationales
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sur la protection des zones humides
(accord de Ramsar) et sur la protec-
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l’Eur0pe.
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contre les manifcstants paclüqués),
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nous avons demandél‘aide de Franz
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groupe de joumalistes étrangers de
choix qui, dans toute l’Eur0pe, sensibilisérent l’opinion publique contre la centrale électrique monstrueuse et en faveur des foréts alluviales
du Danube. Apres une année de cal-
meapparentcensénousendormir,le
ministre octroya, début décembre
l984„l’autorisation de déboisement
pour la centrale de Hainburg. Une
fois de plus, Franz Weber accourut
anotre aide avec ses joumalistes. A
son instigation, nous avions organi—
sé une manifestation de masse dans
la plaine, qui attira l2’0O0 protecteurs de la nature, la plupart déprimés et désespérés.FranzWeber, enflammé, les exhortaane pas abandonner, promit un soutien matérielet
imellectuel et déclara la plaine de
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qui avait enlin compris de quoi il
s’agissait. Une génération pour laquelle Hainburg devint le symbole
de la nature déshonorée et maltrai-
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manifestants et les jeter par-dessus
les digues, les manifestants conservérem une discipline exemplaire et
ppoursuivirent leur résistance exclusivement passive il ne jeterent pas
une pietre, ne levérent pas une main
et ne prononcérent méme pas une
insulte. Apres des semaines de per-
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26 No
11
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Journal Franz Wébéf
jmxréw./mars 1990
Aprés Hainburg
NagymarOS TOITIDB ä VBGUV
En 1988, Le Parlement hongrois avait donné son fen ven.
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Une anqee apreS* ll mvlent Sur Sa declsmm Ia centnéle
hydraulique de Nagym3I‘0S H8 S6 féfa pas. C9 pl'0_|€l
égjgräsä ßmglqi
gigantesque, sans doute ä jamais oublié, est devenu un
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Symbole de la_democratISat“?q en Cours 3 Budapest Car
{Ye sont essentlepement Iqs crmques e? les camlmgnes de§
€C0l0gISI€S, l]’l3}l1t€l'l3l'ltllbI‘€Sd’€Xpl°lm€I° l€LII‘S VUES, qu!
ont permis ce retournement de Situation' Parmi eux
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pourvoyan
seule 4,1 milliards de shillings (environ 600 millions de francs)."
u apes e ea c
sition au complexe de Nagymaros.
En1985,lorsd’unedeuxiémeentre—
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avons récolté 8000 signatures contre
la cemralc, ce qui est énorme dans
un pays communiste. Cela signifie
que nous prenons le risquc d’étre
arrétés ä tout moment. Si je suis
Janus varghav qu: Franz Weber avait rencontre en 1984
l0I°S de S3 Cämpägllé COIltl'€ [3 C€I1tl‘3l€ de Hainburg, €|‘l
Autriche. Le Danube peut désormais couler des jours
plus tranquilles dans son m.
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Cvgnmä la D¤K;«;¢airégal¤m<i¤¤
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agymams, es
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toujours enlibcrté,je le dois unique-
banques helvétiques, via leurs consoeurs autrichiennes du consonium,
auraient poné une lourde responsabilité dans la détérioration irréversi—
ble des berges du Danube sur une
longueur de 200 kilométrcs!
ment au fait que méme dans les miliwx g<>¤Y¤m<=m¤¤w¤><„ il y a des
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pour que le Danube soit canalisé et
permcttc ä leurs cargos géants de
nayiguer de la Mer Noire au Mann,
puls au Rhin et enün ä la Mer du
dumilliarddefrancs),aveclagarantie de l’Etat. Ce projet réellement
fleuve.
Nord."
titanesque était divisé en trois étapcs. D’abord la construction de ca-
la méme
banques autrichiennes qui a assuré·
l’investisscment de base (quelque 6
milliards de shillings, soit pas loin
‘
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.
mouvement
viétiques pressent le
offreä ect endroit, Une plaie de 200
kilomexres _de long causée par des
déboisements, du bétonnage, des
déviations aniticielles du cours du
C’est égalemcnt un consortium de
Le
de
allemande, l’éditeur münichois
avait résumé, aprés avoir évoqué la
victoire de Hainbuyg, que la DoKw
comptaitremplacerlacemrale autrichienne par celle de Nagymaros,
queles capitaux nécessaires devaient étre cherchés en Suisse et que
Franz Weber avait déclaré la guerre
ä cet emprunt.
l’époque de son intervemion
dans l’Au, Franz Weber avait d’ailleurs rencontre Janos Vargha, un
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P“m° cn Paß m°8Y?V- L¢ déP¤*'* d¢
Franz Weber dans son livre, ce syStémé ¤SI¤¢l¢¤X„ libétal, Sßumis au
fameux secret, attire des milliards
dans notre pays et les rend disponiblcs pour tous lcsinvestissements
Ja“°§ Kadar cn mal 1988 a été *{“
P"°m‘°’ lal°“· L°$ Vens h°‘T8“?‘S
Om Pu falw ¢m¢“$iV¢ l¢§*{$ V°lX» lls
°m V°§“ d¢S aPP“‘$ P°h§¤q¤¢$ ä_“P
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ham ‘}*V°a“;Et¢¢ ¢l“}é‘*}“da“S‘
possibles et imaginables. Dans le
bilan de la DoKw au 31 décembre
1983, les capitaux extérieurs sous
forme d’emprunts, qui représentem
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uqtlers dudit lqilgn. se moment ä_l0
m1ll1ards<le shillings (un peu moins
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es eux pays r cament un dédommagement salé. La
DoKw et le ministere aiirrichien du
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cxigcnr le r¢mb¤¤r¤¤—
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ment de leur misc de dépan. La Hon--
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grie pourrait bien étre comrainte
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de 2 millxards de francs) dont 6,4
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"Le systeme bancaire suisseßnote
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Sms
purement économi-
Il n’est dösrlcre pas étonnpnt
qlfune bonne part de Vargent mis ä
idleppsxtxon de la DolcW alt eu une
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ouvrage infligeaiiä coup
sür une vilaine blessure au paysage
idyllique que la vallée du Danube
tel
était
que.
Franz Weber. Elle est le
theme de son livre "Le Paradis sauvé". Sur la page de garde de Véclition
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Un
la
tissante de
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alluvialed‘Europe. Hainburg avait
été le théätre d’une campagne reten-
électricité.
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m‘§h° °bÜ°f‘{ °“ Sulssc lalgem
qu dig $°U*C“§» Na8YmaY°$ Süß
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Ainsi ·ä Nagymaros comme äl
Hamburg, ä l’Est comme ä l’Oues:,
le véritable enjeu du massacre pro-
de Nagymagos était de
trempe que celui de Hain-
projet
burg, en Autriche, lequel auraitrayé
naux de navigation A Gabcikovo
(Tchécoslovacjuie) er Nagymaros.
Ensuite, le creusemcntd’un canal de
dérivation et d’un vaste lac de retenue. Enfin, la misc en marche et le
raccordement des deux qentrales de
Gabcikovo et Nagymaros. La premiere aurait libéré un imponant·vo—
lume d’eau que la seconde aurait
récupéré pour le transformer en
C¢ n ¢$* Pas PQUV ¤¢¤ que J¤¤0S
Vargha dcmandalt Ä Franz weberde ICUV Sccondc _f§“<f°f“F¢»
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12 000 GWh annuels de son réseau
élecrrique. Er ce dumm 20 ans ä
panir de 1996.
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sans Nagymaros,lacemralede Gabcikovo, devient quasi inutile. Et
comme elle est presque achevée...Les Slovaques ont donc laissé
cntcndre qu’ils détoumeraiem le
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Danube de la
frontiege hongroise
pour pouvoir construire
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Jan./fevr./mars
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Maisentre-temps ieseuttledela
liberté a également weint la Tch餤 les écelvgistes
de se manifester a
mauquerout
pas
leur tour. Le llllgé concemant Gab,
cikovo—Nagymaros n est,
pour
l‘heure, plus une préoccupatron es-
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Enfin, la peur de voir Vapprovisronnement en eau potable de Budapest et de sa region sérieusement
altéré a fait le reste. ll est d’ailleurs
sigmficanf de constater que les
Tchécoslovaques étaient opposés ä
la réalisation de la centrale de Hainburg parce que,selon eux,elle representan un danger pour
sionnement en eau potable de BraH
tislava. Faites ce que Je d1s,ma1s ne
faites surtout pas ceque je fais...0'
Dans le domaine de l’environnement, cetadage ne se vérifie que trop
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ment ä Son endettement
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estimé que Nagymares était wie dé-
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Plusieursraisons ontmotivé lade‘
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du Parlement hongrois
d’abandonner le projet de ANagyma—
ros.Les nombreuses et efftcaces actions des opposants ala construction
ont joué un role tres important. Mais
rl ne faut pas sous-estimer non plus
Vargument financier. La Hongrie
traversant actuellement une grave
crise économique, due principale—
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l’eau. Le "gui blanc" a des feuilles
persistantes d’un vert jaunätre qui
mite occidentale de sa concentra-
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burg, —d0nt la destruction par une
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tion.
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variétés est celui de plantes sem1-pa-
touffu vert foncé qui
rasrtes qui prélevent l’eau et les sels
nutrrtifs sur les arbres-hotes ä l’a1de
tomneA: les arbres-hötes,eux-mémes
dépoutllés en hiver, sont souvent
de sucoirs·qu’elles enfoncentdans le
bois de leurs hötes : gräce ä leurs
en ltanes euro-
feuilles Avertes, elles sont capables
parsemés des ramifications singulierement noueuses du gui en lianes,
totalement dépourvu de son feuillage en hiver.
péen (en
"loranthus europa-
d’ass1m1lati0n, c’est-a-dire qu‘avec
du latin "lorum" qui sigmfte
ltane et du grec "anthos" qui sigmfie
fleurs, en rarson de la fomte étrotte
leur colorant ven (chlorophylle), el-
eus"
latin
:
:
les sont capables
mémes
des Apétales) quel’on appelle encore
gui de chéne", car on le trouve sur
chénes (surtout sur les chénes
rouvres)etplusrarementsurleschä-
de
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la lumiere,dans les cimes des arbres
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de la foret troAp1cale humide. On
comprend des lors que seules les
deux variétés évoquées soient présentes en Europe centrale tempéree,
—umques représentants et surgeons
d’un grand nombre de plantes tropicales de la méme familie : dans les
tropiques, on compte en tout quelque450espéces apparentées au"gui
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répandu dans toute l’Europe, Jusqu’en Extreme Onent, le gut en
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ä l Europe du sud et Ade l est, Jusqu’au sud de la Russre et au Kurdistan,doncaune zone contmentale et
or1entaleAbeaucoup_ plus rédutteCette yanété porttrque -pannomenne, qui est en meme temps une par-
en lianes est devenu un höte
indésirabledans les foréts del’est de
l’Autriche. Sa ramification fourle gui
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bre hospitalier’d’une telle quantité
d‘eau que les branches s’épuisent et
finissent par sécher. C’est ainsi que
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La prolifération du gui prive l’ar-
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sur les sapins et les pins sylvestres!).
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faitprendreäson propre piege).
a la myrhelägae —tant germanaque
que chez les drurdes celtes.
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mais qui sert aussiäla fabrication de
la glu : d’oü le vieux dicton "turdus
chue, mais surtout sonfeuillage persistant ont fait que des les temps
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anciens, le
ui blanc" aété associé
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taigniers.(Parcontre,le"guiblanc"
eu"g¤ideserbresf¤¤itierS"„viseuni
me modifiee, on le rencontre
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Les fruits du gui sont des baies
·jaunes pour le "gui en lianes" et
blanchätres pour le "gui blanc".Les
réaliser elles-
synthese des substances
orgamques ä
les
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le
sortes de baies contiennent un
suc visqueux qui permet aux fruits
disséminéspar les oiseaux de se tixer a d’autres arbres hospitalicrs,
deux
"guten hanes" aun feuillage d°été
tervennon décisive de Franz Weber,
en 1984- de vieux chénes isolés se
singularisent A leur cime par des excroissances végétales bizarres : ces
ramrfications noueuses dans les
branches des arbres sont dues ä une
variété de gui, le gui
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souvent.
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blanc" et plus de l300(!)especes de
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Devant
la Cour Européenne des Droits de 1’H0mine, la
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Placc Sur I? b‘{“° des a°‘E“S°S1· A_°a“S"
des äUl0Tlt€$ JUdlClälT€$
avarent mfllgé ÖU
äonfiations däis
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le juge cherchaitäfaire du plaignant
.
atre
1982 une amende de 300 francs, pour violation du secret de
E1 Franz Weber. Celui-ci avait révélé ä la presse
les methodes mconstitutionnelles employees contre lui par
1.,
31
un accusé.
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Belle Unanlmllé
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ar-1
Sträiborrä devarétunedsalle
1c0m e, a ursse taut onc sur
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le banc des aeeusés, ce mardi 23
janvier 1990. Commel’avaitécritet1
maintes fois répété Franz Weber, ce
.
«
.
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.
.
1982, il était condamnéä300 francs
.
Cette ·C0ndamnati0n,
agréée par le Tribunal Fédéral, soit
clairement mis en évidence par la
mour etcompétence les mécanismes
grippés du Code de procédure péna—
injuste
1
1
.
e can °n
Vaud
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A-
·
d’amende par la Cour cantonale de
cassation pénale pour avoir. Vrévélé
Ades secrets de llinstruction". Au
cours d’une conference de presse,
•
Franz Weber avait dénoncé les exces duA juge mformateur Tenthorey
qui lux demandait de produrre les
gäola
n-931
Iqonie du sort,c’eqä un Hglgeäe, le
pro esseur sa1nt~ga 01s
t p ane
Trachsel, qui décortiqua avec hu-
Ilhaurafallupersévérerdurantpgés
de ui anspour que e caract re
·
Face aux abus du pouvoir, la ténacité est l’une des meilleures armes.
Franz Weber l’a bien compris, lui
qui n’a jamais faibli devantcertains
agissements pamculierement mesqtnnsde la Justice vaudorse. En avril
0
1
1
·
1
·
1’enquéte,
le juge informateur Jean-Daniel Tenthorey. La Commission
des Droits de }·HOmm€ aßstimé ä rllunanimité que la
Simctlon constitue unc Vlolaugn du dmlt a la hbrepxpms_
SIOH- L3 Cour Töndra SOT! verdlet dans quelques mOl$·
.
11
-·11
L1
*de
Commission de la Cour Européenne
des Droits de l’Homme: 13 voix
contre 0, qui dit mieux? Une unanimité totale pour dire que1'arr1e1e
l
10delaConven;;onEuropéenne des
,
Droits de 1 Homme (CEDH) sur la
*
.
.
l1bertéd’express1on aété violé.
le
_
1
vaudois ayant conduit ä la viola-
tion 0de l’article 10 de la
CEDH.
·
1
Mais iln'était Aas seulement que•
stion del’artic1e110.L’article 6, 8a·
notamment
ä un
proceséquitable,auraégalementété
rantissant
1
le droit
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nullement démuni face ä la justice
vaudoise, qui lui a donné maintes
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plus, cette
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d’une regle de procedure relevant de
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Franz Weber ct son avocut Me Rudolf Sr'/1ullvr‘
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discours de M. Boillat, seul le
pouvoir exclusii Iaissé aux juges
d'instruction d‘organiser des confesur une affairs cn
rcnccs de
cours peut oitrir une vision objective a l'0pmion publique. Comme le
pointe judicieusement Stéphane
Sur le Cours de
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Mr Weber était
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sur la place publique. Le besoin Ié—
gitime d'information des jgens doit
etre satisfait, mais de maniere objec-
sanctionne un comportement qui ne
se sttue pas dans le cadre de cette
procedure mais en dehors de celle-
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et l’instituti0n qui
prononce. Enl’espece, cette relation particuliere ne pourrait résulter
que de la procéduredinstruction.
Or, l’amende mfligée a Franz Weber
ne l’a pas été par la méme autorité
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mesure
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Par ailleurs, les voix dissidentes
de la Commission notent que le caractere disciplinaire d’une mesure
suppose l’existence d’une relation
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l’avis de la Commission, si
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que l‘amende infligée a Franz Weber est une sanction
pénaleet non disciplinaire. Mais sur
ce point, la Commission est divisée
et unc majorité (9 voix contre 4)
penclie pourla sanctiondisciplinai-
Cour
la
retient
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des autorités vaudorses ä l'égard de
Franz Weber sait aussi que Icsdites
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autorités auraient certainement con-
l'amende en
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Vavait pas payée. Surtout
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Franz Weber a son domicilc en
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Avocat de Franz W¢b¢Y» M9
Schaller rejoint évidemment l,2lViS
de la minorité: "La jurisprudence
attache UHC certaine importance ä la
gravité de la sanction et, en particulier,
a
la détention éventuelle
concernée. Dans
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de
la
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nous interesse, il est admis que
l'amende aurait pu étre convertie en
arréts. Pour qui connait Vanimosité
signifié
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décidée pour obliger Franz Weber a
se rendre a une audience fixée chez
un jugg qui gavait pgrtingmmcm
qu’une demande de récusation contrg lui avait éié déposéc au Tribunal
Fédéral. Si Franz Weber a finalement payé la famcusc amende de
300 francs c’est par peur de se voir
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plus, les autres législations
cantonales ne contiennent pas de regles disciplinaires semblables. On
peut en dédurre quela publication de
debats officiels secrets releve du
En outre, la majorité
delaCommissionpensequelemon—
tant modeste - 300 francs - de la
droit pénal."
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De
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sanction en renforce l’aspect disclplmaire. Me
Schaller réplique
qu’une amende peu élevée peut constituer une injustice tout aussi importante qu’une amende salée.
l‘homme". Le rapporteurde la Commission s’étonne également du cöté
caméléonique que l’on préte E1 la
Cour de cassation vaudoise: "En
somme, sel0nAles besoms, elle peut
se muer tantot en autorité administrative, tantöt
le.
Cela ne
me
en autorité pénaparait pas tres
sérieux..."
La vraie question, poursuit le
professeur saint-gallois, n'était pas
de sayoir s’ilétaitnécessairede tenir
une conférence de presse, mais s’il
était nécessaire
de
la sanctionner."
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cela est conforme aux droits de
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suisse, Philippe Boillat, s’est
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lui, l’utilité
de l’amende int‘li-
Franz Weber n'existe pas.
Ce
un peu soutenu dans le débat
sur l’article 6, il ne cache pas l’iso—
demier n'a en
lement de sa position lorsque la discussion aborde l’article 10. Est—ce
et bonne raison que le juge avait clos
senti
effet pas violé le se-
cret de Vinstruction
pour
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Beme csipassécinaparoucirénnnue
Me Schaller. Tous les joumaux en
ont arlé. Si vous n’étes as interv nuslla premiere fois, c’eI;t pour des
raisons dc Stratégic· La dcuxicinc
conference de presse intervenait a
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des avocats ou
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Juste avant que ne s’ouvre le proces de Strasbourg, l’agent du gouvemement suisse avait fait parvenir
la Cour une
modification du
les changements apportes,on a vraimentl’impressionde se trouver dans
un musée de l’histoire du droit, ironise Me Schaller. Alors que les autres cantons ont introduit, ou sont en
u
train d’introduire, l’enquéteW contradictoire, Vaud garde fondamentale-
Leditsecretétaitdevenuun secretde
gouvernement
suisse ne peut faire absnaction de
cela. "Cette maniere de ne retenir
que l’application formelle d’une
sanction montre que la loi européenne n’est pas encore rentrée dans les
moeurs helvetiques", surencherit
le
‘
Quant au nouvel article, il dit ceci:
"Les parties, leurs proehes et leurs
familiers,leursconseils,lescollaborateurs, consultants et
employés de
ceux-ci, ainsi que les experts et les
temoins sont tenus de respecter le
secret de l’enquéte envers quicon-
que n’a pas acces au dossier." C’est
dire que, desormais, un mari incareéré pourra révéler ä sa femme pourquoi le juge le maintient en détention, mais que si l‘epouse le repetea
ticulierement restrictive, si on la
compare aux dispositions prevues
dans plusieurs autres cantons suis-
contre
certains agisse~
quelqu’un d’autre, elle est passible
,
de 5000 francs
sesetnvn desmoindres-
L indI$P€"$ab|° °Pmi°“
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,"L°S autfmtés "a“d°lS°S Pm élßß
gi le cercle des personnes visees par
Vobligation de tenirle secretdel’enquéte,
poursuit
Me Schaller.
L’agent du gouvemement helvéti--
der le secret, et Geneve a méme
volontairemeritexclu ce type de disposition. Le Tessin est un peu plus
nuancé: Vinrérerau respect du secret
queasoutenudevantlaCommission
que, en 20 ans, il y aurait eu moins
de 10 condamnationspour violation
du secret de l’enquéte. Ce la ne side Vinstruction es: exclusivement gnifie pas que la loi est bien respecprotégé par les articles de loi sur les
tee, mais plutöt que l’on punit en
délirs contre Vhonneur, sur le secret
_premierlieu ceux qui, en révelant les
de fonction et sur le secret profesfaitsd’1me instruction,posentunregard critique sur
le
fonctionnement
publlquß
W
W3
Dans ces conditions, il va presque
de soi que Franz.Weber doive alerter
l’opinion publique pour défendre
son image et ses causes. Il ne faut
tout de méme pas oublier que son
combat pour un monde vivable fait
appel au concours et ä·la génerosité
Wdu public.
Franz Weber doit*donc
impérativemem présenter Vtmage
d’un
homme crédible et
au-dessus
de tout soupcon. Ses détraeteurs les
·
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ciici.
Rosa Luxcmbuigi ••i_u
iiocnc nous les scuis oanisans d’un
_
gouvcmcmcnt, bour ics scuis mein,
l
oics d’un Patti, quelque nombl-eux
du•iis soicnij n•cst pas unc iibcnc_
{
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La libcrté, c•csi toujours la iiocnc de
cciui qui pcnse auncnicnn Non cn
raison du fanatisinc de la ··iusiicc··
g
i
mais naicc duc ious
les asoccts vi,
i
vantgs snlugniros og purifiongcurs de
la iibci-ic ooiitiquc dcpcndcni de cc
surrealiste! Meme l’ancien Procureur Genéral du canton de Vaud
s’est implicitement etonne, dans un
preavis de mars 1982, de la légereté
W
3
W
Et de
fimiation de M. Boillatcomme quoi
Franz Weber n’est nullement demu-
avec laquelle une partie de Vappareil judiciaire a apporte son soutien
a un opposant de Franz Weber. Si ce
demier a tqut de méme fini par gag—
ner ses batailles juridiques, c’est a
force de se battre, de reeourirchaque
fois qu’il aestimé une décision arbitraire. Et si un juge finit par lui donner raison, c’est le plus souvent pour
réparer une erreur commise auparavant par unde ses pairs.
5
·
si
ionncincni seront cn dangci_··
ments des juges informateurs. En
effet, s’agissant de mesures "disciplinaires", il n’ y a pas a donner la
garantie d’un proces équitablea la
victime de la repression. Tout sera ä
huis clos, l’opinion publique ne
pourra jouer le röle de contröle et de
ni faceälajustice vaudoise est quasi
_
Il faut ajouter que la loi vaudoise
en matiere de secret de Venquéte dans le sens de Vinterdiction faite a
une partie d’informer des tierces
personnes sur les faits d’une enquete
ou d’une instruction penale-est par-
Me Schaller, ce type de sanction
critiques
W=b¤ü däs
on Vcmpéchc dc oicndic la
oaioic_ scs aciions niuiiinics dans lc
doinainc dc la protection dc i·cnvi_
ic
est assez efficaee pour faire taire les
modification est de
de 500 francsä5000 francs!"
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F}Wa“Z
gi
enco-
garantie contre Varbitraire." L‘af-
taille
sléqiis die
"Dans le cas de l’autoritaire appareil judiciaire vaudois, estime
ment son systeme inquisitorial. En
ce qui concemc le secret del’enquéte, on n’en croit pas ses yeux. La
puisque
l’amende est augmentee d’un coup
Me Schaller.
sionnel. Plus loin, ni le Valais, ni
ä
_
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bl¢ au
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Stephane Trechsel veut bien distribuer un satisfecit aux dispositions
générales du Code de procedure penale sur le secret de Venquéte. Mais
c’est leurapplicationconcrete, au vu.
du cas present, qui est contestable.
pagne n’oblige aucune partie a gar-
j
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d_ OP*m0“ ¢“ [
l erté
an t que
Pmcr f<>¤d¤m<=¤¤¤l de I? qémocmtlc
est égalemem une condition preala-
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Un musée
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(tel que defini plus haut), Bäle-Cam-
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non sur celui des idées.
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Ainsi Bäle—Ville et Beme nc con-
et
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naissent pas le secret de l’enquéte
plus decidés savent cela mieux que
quiconque puisqu’ils l'ont toujours
combattu surleterrain de la moralité
stes,
Code
de procedure penale vaudois. "A lire
_
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.
de Vappareil judiciaire. Les condamnations prononcées ces demie-
del enquete penale.
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Obwald ou Nidwald n’interdis-
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polichinelle, et
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Neuchätel, pas plus que Lucerne,
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Connaissance du juge. Si
la loi a éte violee une premiere fois,
on ne peut tout de méme pas continucräla Violet
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iiocnc dcvicnt un oi.iviiagc_··
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Un autre idéal
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Aujourd’hui, "nous
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sommes con-
sidéics connnc les icccicuis du
mOnde", pour icpicndic le titre d·un
rcponagc du Tages Anzeigen Qui
n·a pas honte de Voir i-ai-gcni Sale
W
i
dcs Marcos, Noricga, (jcauccsciu
Duvaiici- ou des uafiouanis de dmguc affiuci dans ics coffrcs de nos
banqugs ci jouiy de [gui- sccrci? Ei
qui n’a pas honte de tout ce petit
«
_
monde de
protiteurs, de speculaou de raiders qui eouvrent parciiics manocuvrcsy (jcs dncsiions,
yavocatdc Franz wcbciicsaposécs
devant in Cguy, avant de concjnrc;
"celui. qui dcmnndc vom pmtcction, c’est nn Suisse qui npour son
pays un idéa] different; er qui, avec
teurs
W
d’autreshabitants,aimeraitlé,rendre
plus ouven ä l'Europe ct plus solldaire avec les autres pouples,"
3
La
com Ein-npécnnc dcs
Droits
dcygomme ygndpg Son vcrdicgdqci
qiiciqucs moin
g
W
W
—
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Journal Franz Weber
N«
11
n
.
jan./féw./mals 1990
31
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•
Egzlogue du proces de Vevey
l
I
·
«
„
Franz Weber hlanchu.
'
recours que Franz Weber ava1t
déP osé aPres le J uÄement scandaleux du President itinérant Daniel Hofmann, lors du proces de Vevey en jum 1989.
Le Tnbunal cantonal vaud01s
adm1s
an
le
'
.
l
La date du 22 janvier 1990 restera
marquee par une fantastiquevictoire
de Franz Weber dans la lutte qu’il
avait conduit Vaudiencc. Mais il nu-
que le choix de ce jour par le Tribu-
anqait aussitöt en admettam que "le
jugement a été marqué par l’empreime du président Hofmann, et
que ce demier n’était de toute évidence guére favorable ä Franz We-
nal cantonal, pour examiner et ren-
ber."
dre son verdict sur le recours de
Franz Weber consécutif au scandaleux proces de Vevey, était véritablement le fmit d’un hasard qui fai—
sait trop bien les choses.
moins que l’on puisse
dire. En précisant que la dureté dont
afait preuve le magistrat en question
ä Végard de Vaccusé durant les trois
jours du proces, laissc supposer que
le
as sé arant Vinimitié de la
méne face ä ses détractcurs les plus
achamés. Et pourtantce 22 janvier
avait été auparavant maudit. Parce
C‘est
,
,
4.
quglgtääghßä
tion,
spaäaägäpgg
ä
la consmution aux méghodes ct
aux conclusions au Tribunal ncutm
appclé äjugcr la dcmande de récw
Sation de tous les mcmbres du Tribunal camonalEnsumä on avait fixé Vaudicncc
de la com dc cassation ä moins de
24 hcurcs du procés de Strasbourg
Oü cmains pmcédés de la justicé
vaudoise passaicm
Cour Europécnnc des VDroitS de
l,HOmmc (Voir Vamclß ä cc sujet).
I
_
-
incident pour appuyer le rcfus sont
sans fondement." Roland Bcrsier
Mme
moins catégoriquc.
'
Sa premiere erreur évidente, aux
yeux de la Cour de cassation, a été
de refuseräI’accusé d'a orter des
Una rép0nse aux attaques
Weber
preuvcs libératoires. Frgrgz
tres facile
voulait montrer que ses attaques
contre son ancien collaborateur
.
Cour de cassa-
Roland Bersier, n’hésitait pas,
re_contre Franz
‘
partage totalement ce point de vue,
alors que
Martine Benedict,
troisieme membre de Ia Cour, est
Une erreur évldeme
Heinz Zweifel étaicnt fondées, et
que ce demier avait bel et bien eu ä
faire avec des tritgunaux alémanIQUFS pour des déhts ünanciers. Il
etalt faclle de procédeg aux vér1f1ca—
nons HUPFÖS des
es. Pourtant une premiere réquxsl-
Slmplßmém
SHHS Still?. UHC ÖCUXIÖITIQ QSSLIYH UH
refus clalr et net;
plége qui COHSISIC ä se monlrer sévé-
Weber Unlqüqlhénl
La
des
faits.
Par ailleurs, Zweite! es:
‘
sortide son anonymaten participant
ouvencment ä
la
campagne de
Ia
Vlfcltwoche contre.Franz Weber. Il
Il
y QYGII p2\S (16 FHISOH que Cclui-Ci
n’ut1hse pas non plus la voie publ-
QUC p0Ul' l'épOI‘ldl‘€ QLIX attaques." L6
]Ug€-I’3pp0I°I€LlI' I'€_|€lI€ d0l’lC
Vafgu-
ment selon lequel Heinz Zweifel a
posée^lors du proces de Vevey, au-
éte attemt Qens sa sphere pnvée, alglllhßnl qu ll quélllflé de "S0mITl3l-
CIT6 la
le pI‘éSl-
gent Hofmann en décxda-autrcmen}.
estälortquc les prenuéres réqulSlll0l'lS Il ont PBS élé pl°lS€ES Cl'}
d¢!'3ll0l'l. En l:CfUS3l’l!
RCCUSÖ, et
cela sans motlf, le dront de présenter
de nouvelles pieces, le juge de pre-
collégue sur le gnef de pamahté - le
pire sans doute que l’on puisse faire
Laurent de Mestral poursuit: "Les
pieces requises étaient de nature ä
avoir une influence sur la lumiere
tronsnéme, dé-
fällt dll
ä cause (le son comportement.
est justement aprés cet orage
toumé. COITIITI6
llllilßl QUC le vent
llbél'éS par le SOUFICII app0l:té'ä leur
—
de.
maux.
-
du TCQOUTBHI. MZIS, ä SOI1 [OUI', ll
m€tI8lI UH bémol Ä EO!} COITll'l’lCl1{8l·
re, en refusanl de tomber dans le
,
_
Et
Le contenu des réquisitions n'était
pas cxcessif. En revanche, les arguments invoqués dans le jugement
le
extraire tous les
Iä, celui qui avait condamné
Franz Weber en a pris pour son gra-
bIcs ·c¥ POUVBICITI
I3
crédnbxhté des'argun1cnts}und1ques
'
jugemem Hof-
pour disséquer
quantäluißapasscrun savonä Franz
Weber, arguantque ;'les accusntions
mettent en doute l lmpzlmallte cle
Daniel Hofmann étalcnt maomxssn-
recours déposé par?/ic SGML
lenavocal dc Franz Weber etrclatif
,
malgré tout
äflnanchgrä
e pr si ent de I a
_
évidente, reléve Laurent de Mestral.
mann et cn
‘
PET ÜIIVIGT VGH BOQGGIT
miere instance a commis une erreur
un beau duo
-
sident se sont unis dans
le
partqalité eg:
·
_
le rapporteur et le pré-
ä un jugc...
Hofmann,
Daniel
dent-itinérant
.
re
.
N
'
Par lä-dessus,
ll
oonstate que le
Sur Céftal-
estlrés dlSCl’¢I
ÖISQOSIIIOIIS C0\’l!€l’lUCS
mstructxon et dans
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I
dans
lesquelles
um Panic des
'
Débm ggvgnngux
accusations de Franz Weber". Que-
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donnérent d’ailleurs Pimpression
que l’affaire allait étre rapidement
classée. Laurent de Mestral,lejuge-
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Sous pmssmn
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üons iniriales du recours de Franz
Weber: il estimait que le
poser de deux nvocats est réservé
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ä ¤¤ Simpk ¤ib¤¤¤l dß r><>ü¤¤~ ¤¤•
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effectivement le droit de se sentir
sous pression, attaqué qu’il était de
route pan: "On ne peut des uns con-
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Le Tribunal cantonal a en dénmque Franz Weber avait
tive cstimé
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selon lui,§ranz
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Les premiéres minutes des débats
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Le jugement doitétre annulé sur ce
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Weber au cours d’une conference de
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stiont cette discrétion n’est-elle pas
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éré zranscrizs de maniere exacte, Das
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Laurentde Mestral eur: juge vaudoispourqui Ia justicc n’e·stpas unefarce.
lors, c’est la version qui lui est la
plus favorable que l’on doit rclcnir,
·
-
32 Nr
ll
A
"Nos adversaires de tout
savoir:
jan./ten./mars 1990
-
JOUTTIHI
1
fameux bordereau
le
"avait toute
provoquer des
coupures de courant pour faire prespoil s’apprétent ä
sion sur l’opinion publique..." Le
nom de l’EOS n'apparait nullement
‘
dags pette déclaration.
as em éché Daniel
e a n’a
Hoffmann depstigmatlfser, dans son
jugement, le "comportement vil et
lache" de Franz Weber en la circon—
_
-
Deux poldsi deux mesures
y avait effectivement des rumeurs de coupures de
courant." En tant qu’ancien président de Tribunal de district Sur la
Cöte, Laurent de Mestral sait assurément de quoi il parle.
Conclusion du rapporteur: Franz
Weberaagi dans le but de défendre
son initiative et non dans celui de
vagues,
ies étaient
dire
il
pour des juges intede ne pas reconnaitre les erreurs de leur collegue. Mais on peut
était difficile,
gres,
par conséquent, d’évitcr une escalade qui a en définitive coüté beaucoup de temps, d‘énergie et d’ar-
1·
ce choix releve de la
inteme entre les Prési-
dents du ressort et le President itiné-
ram.
J;
Reste que Vanimosité du juge
Hofmann ät l’égard de Franz Weber
1
,
1
1
1
1
D’annuler le jugement dans
l’affaire Zweifel et de rejuger celleci devant le Tribunai.d‘Aigle.
3. De réformer le jugement dans
2.
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Franz Wcbsrns payaitpasd’im1>öts1
Daniel Hofmann aeu tort de consilllls
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dérer que ce demieradélibérément
voulu présenter Demaurex comme
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Vaulcul dll islllll- Dans
culaire distrlbuée ä ses sympathi-1
sants, Franz Weber avait rédlgé,
SOUS liils photo. ia iégsiids SlilVߤl<‘>¢
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lllls isllls sil-
la
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rcs...
i’stllissi<>ll lsisvisss dll
"Le document incriminé:
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1
T
une serie de deducnons erronees.
du bsldslsslll plsSuite
‘
avoir des raisons de penser que cerd’autains ont plus de chance que
ommen
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mf d°S f""S,‘°‘}F"
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4
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déraTav°el·tet’nentcr•ltiquées;or(péur
devait] étie äoänäip däpuis Vatéaire
tardes t1l eu s e o e.
Csmms
sisils
_
‘
ssis- is pissidsnl-ilinsrsnl s
is sslliiass
dsllls ss läsilsLaurent de Mestral "Ie juge de pre-
laissilll
n’a pas su se défaire
ployé ou d’un collaborateur, serait
lourdemcntsanctionné. Mais quand
l’on sait que le juge informateur Jean-Daniel Tenthorey a continué ä
rccevoirla bénédiction des autorités
judiciaires vaudoises malgré des
pratiques que mémele Tribunal Fé-
elles,
répartition
Hofmann
niel
de ses préjugés lorsqu’il a statué.
Dans bien des entreprises, un tel
manquement, dela part d’un em-
Les autorités judiciaires vaudoises comestent que le juge itinérant
Hofmann alt été désigné avec les
bons auspices du Tribunal cantonal.
Selon
porte ä Franz Weber. Cenes,
de partialité,
Mais ses conclusions mémes laissent Vimpression tl‘eS nette que Da-
‘
ber coupable non seulement de-dif_
fammation mais encore de calomnie
contre le député libéral. Mais la en-
1
slrzlt
elle rejette toute idée
se demander s’il n’était pas possible
de prévoir plus töt une telle issue et,
1
L
"Dsli" sl qui
ductions hätives, des oublis et des
arguments sans fondement et admis
que le ton du jugement laissait apparaitre le peu d’estime que le magi-
1988, était tellement grossiere qu’il
Finalement, ä la majorité gie 2
voix contre l, la Cour de cassation
du Tribunal cantonal adécidé:
1. D’accepter ie recours de Franz
um lcaSt’ le-cas Dämgw
ssllls isls ds
Cour de
La faqon dont le juge Hofmann a
condamné Franz Weber, en juin
Le verdlct
Weber.
1
erreur professionnelle 'grave. La
cassation a relevé des dé-
T
gent.
TTOISIÖITIG blämé
a
que le juge Hofmann a commis une
I
-
1
”
ääémänä
Ilressortde ce feuilletonjuridique‘
La eQ°n ä wer
du mal. Le jugement doit aussi
La;} bu:
jugement sommaire, erroné et abusif, que le Tribunal cantonal a dü
annuler pour une partie, réformer
pourl’autre.
version francaise. Le présidcnt est
d'avis que le jugement des cas EOS
et Demaurex doivent étre réformés.
etre annulé sur ce point.
1
eut été par conséquent logique et sage d’effectuer une rocade et
de confier le proces de Vevey ä un
autre résident,afin de révenirtoute susäicion. Cela n’a gas été fait et
l’on voit le résultat aujourd’hui: un
taire. ll
•
gé par le president Bersier, lui aussi
persuadé que rien ne pennet d‘affir—
mer que Franz Weber a sciemment
désigné Demaurex comme l’auteur
du faux. D’autant que la traduction
allemande du texte incriminé ne
confirme pas les maladresses de la
méme si el-
étaittresmélectriquel Et
maurex sur le plan politique et mili-
lesdeux casmais necontenaientrien
de calomnieux ou de diffammatoire.
En conséquence, Franz Weber doit
étre libéré de toute eine.
Demaurex.
sourire entendu qu’il arborait quels’était tranfor-
coup parlé des 260 000 destinataires
de la lettre de Franz Weber, mais tres
peu des 300 000 téléspectateurs du
"Défi"!" Son point de vue est parta-
témoignage de Roger Masson. Il
faut se replacer dans le contexte. A
l’époque de Vinitiative, Vambiance
bonnes relations avec André De-
ber étaient contraires a la vérité dans
et
que six mois plus töt
mé en rire jaune...
fait une petite rétlexidn tres pertinente sur les "lacunes du jugement":
"ll faut admettre que l’on a beau-
Cette qualification ne repose sur aucun motif pertinent." Et d’ajouter:
"Franz Weber a cru de bonne foi le
ent sans nul doute pas ignorées ses
EOS
A la sortie de Vaiäiience, André
Demaurex adoptait un profil bas. Le
Au passage, il glisse vite fait bien
stance. "Ou est le comportement vil
et läche?, se demande Laurent de
Mestral. Le juge de premiere instance est alle un peu vite en besogne.
A
savoir: les allégations de Franz We-
les affaires
Vapparence d’un faux et son usage
toute Vapparence de l’usage d’un
faux! On peut alors estimer que
Franz Weber a agi de bonne foi."
Franz Weber
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manuscrite ne figure pas sur la piece
officielle délivrée par la Commission d’impöts du district de
Olli Vs sslils? Lsissllss gsllsvslss
Vevey._1.11
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un artifice des le moment oü la mis-
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Msllins Bsilsdisl lllsilllislll s1ll’ii Y
a eu calomnie comm André Dgmaurex. Le juge-rapponeurrétorqueque
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Tribunal cantonal, a Lausanne.
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jan./revr./mars 1990
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CFC
de la reductzorz des
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Pßllt DI] BIIGOYB S3lIVBI‘
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Ia 00lI GIIB
En
UHC Convention pOUI‘
pays
1087, il
reduire serieusement la production et la vente des chloro—
fitwrssarbenss (CFC)• Prmclpaux Vesponsables ds la d€$‘
truction de l’oz0ne stratosphérique,qui nous protege des tres
äglilgil
fa lälägäifäiggcigtllf
.
Venvimnncmcmy
Sc
{mmm
les
mains, persuade que "cette Convention unique en son genre allait tentcr
de prevenir une 'menace planétaire
avant que celle-ci ne conduiseaune
crise irreversible." Cette reaction illustre bien l'état d'esprit des signa-
1
SC S()l]i (,lOI]Iüfßide Montréal,
n s onne conscience en renant
unc décision concrete allantldans le
1
.
N
·
En Europe.
ltalie et en Grande—Bretagne, pays
dans lesquels se trouvent de gros
fabricants de CFC, les gouvemements ne se sont jamais emprcssés
pFOblÖm€ (10 lll ÖCSITLICtion de la couchc d'ozone avec le
sérieux voulu. Les mesuresadoptées
I,.
h.
Pu 1cuscmcm I es geallts d €_ m d ustlelc C lmlque qu} fab n'
qllenl les CFC. Les SlgrlLlI£ilI‘€S Om fall iii SOLll°d€ Of€lll€ GUX
mises cn gardc des scientifiques ct les réductions rctenues
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sont cn défmmvc parfaltemcm lnSl}ftlSZlm€s' DcS9rmalh’ ld
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grande nlargs ds nlalleeuvre ät i’in~
Convention de Montreal est un si ne su
lémentaire de
dustrie, et la
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Pal Olll/lei Van Bagaett
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1
l
11-
1
un mecanisme maintenant connu
gers gravissimesliésala production
cette timiditégchronillue.
(voir ci-apres).
et
consommation des CFC. ils
rencontrerent un scepticisme cer-
La Suisse n’echappe evidemment
pas ä la critique. Ainsi le gouvemement helvétique n‘a pas juge bon
accélérerle proeessnsdllmardgcnon
des CFC, ne serait—ce que dans les
sprays. Celle-ci n’entreraen vigueur
qu’en l99l...A ce moment seulement, la consommation suisse de
CFC diminuera de 40%, ce qui, au
Soyons clair: les limitcs imposécs
pax CFC lors de la conference sur
020ils
~
Stltlt
faibles. Une fois de plus,
ants
1
I
des dirige-
gouvemementaux ont mar-
chande, ergoté, pese et sous-pese les
dangers pour la same menalale d’un
cöté et les intérets economiques de
l‘autre. Pour finalement adopter un
compromis faisant la part belle ä
Vmdustrie, menageant cette demie—
au mipris deäestimations scietäti—
itle
iques. esque es, compte tenu es
donneeialairmantessurl'état de notre couc e 'ozone, exigeaient une
reductionimmédiate etminimum de
85% de l'emploi global des CFC.
p
qui sfest traduit par quatre ans
de léthargre. Ce n’est en effet qu’en
1978 que les Et&tS-UnlS se sont décidés ä interdire les CFC comme gaz
l
En 1988, l’industrie chimique a
encore produit l million 2()0 000
tonnes de CFC. Ce qui représente un
marché de quelque 2 milliards de
dollars (3,5 milliards de francs).
propulseurs des aérosols. Du coup,
ce type de production a passe de 200
000tonnesä7000tonnesseulement.
Mais les tenants de Vindustrie
n‘avaient pas dit leur demier mot et
contoumerent cette interdiction en
Un
pactole qui explique bien des reticences a1‘6ehelanotneae1.
En 1974,
la
in
1tain,
Un sacré pactola
parfaltement insuftiSanles,p0urne pas dire ridiculement
T
trouvant rapidement d’autres débouchés pour l'emploi des CFC.
lorsque les chercheurs
americains Sherwood Rowland et
Mario Molini avaient clairement
mis en garde leurs autorites des dan-
Dont laconsommation reprit de plus
belle au debutTdes annees 80.
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dp ceux d’undEn
„}‘ment!all: pair exit?
pe, es pays u iers- on eon e
droit de n‘appliquer ee traité que
ans apres sa signature. Quant ä
l’URSS„ elle cgntinugra äconstmirc
des installations de production de
CFC tant que le plan quinquennal en
cours ne sera pas terminé...
Une fois de plus, et on en revient
toujoursäcettefameuse case départ,
1
j|.,._|
Mauvalse fqll
1
1
:1
Ä
La mauvaise foi, dans le domaine
d¢$ CFQ1 ßsl ddulanl Plus gmiidß
g_
1
T|,
que
les chlorofluorocarbones sont
souvent inutiles,puisqu’il existe des
1i|.i|_|‘
°
-1**‘°T“
|7|-*;|
de Vexpansion economique, au pouvoarau mereanniisme erderargem,
ä ses phobies matétialistes.
|11
I1
1
L‘ozone stratospherique continuera donc ä disparaitre pr0gressi—
Mwlafd Tolba, directeur de I 'ONU pour l’envirormement, n’est plus aussi
vemen; sous l’action des CFC, selon
optimiste que lors de la signature de la Convention de Montréal.
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sisnissanllssllsln·n1ssn¤l·l·a¤ss1
qui consiste ä prtvrlégier les profits
ä sslln tstnls an nléptis is piss total
des générations futures, cette ex-
pression d’un ,egolsme detestable
continuera de faire des ravages.
Vhommeacedé au chant des sirenes
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halons et des produits derivés. Ce
ssnt slisslivsntsnl dss _désisi9ns
d°°
1111
1
grande illusion des
llsllllsiiss “9“T‘°S désldéss ä Msllr
'éal “° Sumsalt P?S· la
de 1987 est truffee de trous dlgnes
Récemment, une association bap"Action pour la protection de
la couched‘ozone"alance une petition ourdemander au Conseil lederal eil)au Parlement l‘interdiction imme iate del‘im rtation etdel’u Iisation en Sugge des CFC, des
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Comme si
sym-
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11
Dlgne d’un Emmental
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la situation actuelle, est
bolique.
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vu de
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et plus particuliere—
ment en France, en Allemagne. cn
ménagc SCm_
dangcl-eux I-ayons um-aViO}€tS_ Mais Cc U-aité
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chr0nique
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posent cette terrible question: "Y a-t-il encore quelque chose
ä Sauvcr?"
ment.
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OZOIIB .
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Pmdulls dl? snbstitntisn Pas (¤¤
moins) dangereux pour l’environnement- Cfnaéns fabrésants ds CFC.
S ant am fisßiil Du Pont
de Nemours, ont meme investi des
rnil·li0nS de dollars pour promouvoir
··¢¢S SllbS¢¤¤¢¢S ds l‘¢mPl¤C¢merlt.
T
34 N“
JOUI'll&l
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ll
—
jan./few./mars 1990
Ce
qui est cependant affligeant
dans la démarche des magnats éco-
Ainsi,
il
faut savoir
que
les
CFC
‘
entrent dans la composition des em-
ballages alimentaires ä base de
nomiques,c’est cette constanceäne
mousse, comme les "boites" des
faire des concessions que si cela
hamburgers ou les "barquettes" de
peut également rapporter des béné_viande des supem1archés.„Et avant
fices faramineux.
d’envoyer votre vieux réfrigérateur
Reste que le remplacement (et
ä la décharge oü, immanquabledonc la suppression) des CFC est
ment, les fréons qui permettaient
toutäfaitp0ssible,etcedepuisquelson fonctionnement s’échapper0nt
que temps déjä. Si les produits de
dans Vatmosphére, veillez ä ce qu’il
substitution prönés par certains, notamment pour les sprays, présentent fasse un crochet par une installation
de récupération des CFC des appades inconvénients - le butane et le
propane sont inflammables, voire
’
-
explosifs
comprimé ou
reils frigorifiques.
Ces
l’air
commencent ä
l’alc0ol, sont
sans
agglomérations importantes.
voir le jour dans les
tres
que les signataires de la Convention
folantes.
Beaucoup de
SUiSS¢, la
MÜSYGS H banui de
·
Ha b·tUdE n°cN€
I
ses rayonsles aérosols contenantdes
CFC depuisjuin l988.Preuves’ilen
est que l’on peut sans autre s’en
passer. Car, jusqu’ä nouvel avis, le
Autre responsable de la destruction du bouclier d’ozone pur les
chiffre des ventes de genre d’articles
CFC: l’industrie électronique. La-
par la Migros n'a pas chuté...
quelle utilise les chlorofluorocarbones essentiellement pour le nettoya-
Le devoir de chacun
Chacun
devrait renoncer de lui-
méme aux sprays nocifs. Ce boycott,
qui anticiperait judicieusement sur
les lentes intcrventions officielles,
s’impose encore plus si l’on songe
que la moitié des CFC utilisés cha-
que année en Europe provient des
bombes
aérosols.
ll
est interessant
mousses, comme fluide réfrigérant
des congélateurs et des armoires fri-
plus de l00000tonnes.
comme
gorifiques,
nettoyant
CFC de 17% seulement.
Si cesnrapports peuvent éventuellement jouer dans les pays qui ne
produisent et ne consomment pas
(ou tres peu) de CFC, il en va tout
différemment dans les autres. En Al-
.
-
·
lemagne, par exemple, oü l’on recense les deux plus gros fabricants
de CFC de la plunéte aprés l‘intouchable Du Pont de Nemours. Ensemble, Hoechst AG et Kali-Chemie produisent bon an mal an 110
SP?
tiers sont utilisés dans le
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¤¢¤ ä S¤¤V¢F--- En fall, ¢¢ qu! d駢·
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700 tonnes annuelles. Pour
l’ensemble du globe, elle s’éléve ä
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SP€F¢ les ¢h¢F§h¢l{fS ·_¢!S¢mbl¢ l§lS·
$¢F les mdüslflßls ¤¤dlfféF¢¤!S · ¢ ¢S!
l0¤·
la d¤¤‘é¢ d¢ V¤¢
g¤¢ d¤S CFC- Elle S¢ $llU€ ¢¤!f¢ 50
¢! 100 HHS- Cßmmß les ¢hl0F<>ܤ¤-
partir
CFC
aurait la
méme
influence sur
de serre que 580 mtlltons de
tonnes de dioxyde de carbonc.
l’effet
m°m¢m ués l°“‘¢m°m
dans 1*} $*Y8*°$Ph¢F¢ ‘ ¢mT¢‘ 15 ¢¥ 50
"0¢aYb°“¢$
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@5 Suwam l¢$ d*fféF¢m¢$ °b$¢YY8'
mms ‘ la PIUPM
nfmt que ks a“°‘“‘°S_ä lafolfche
°Z°“€ mcsurées a“.|°“Vd hw nc
d
be recours aux CFC dans des do-.
GW la conséqucncc des CFC
Sfmt
prola
autres
que
industriels
maines
dans 1**8 amlées $°P‘am° °“
lrbérés
duction de sprays est en constante
méme soixante. Or entre 1960 et
1989, la consommation mondiale 21
augmguté dc___3()()%g
pays méme.
de ces chiffres, Vlnstitut
Environnement et Previsions (UPI)
de Heidelberg a établi unc comparaison qui donne ä réfléchir: la production (annuelle) allemande de
MISS!
EGW m9¤, ll ¤°)'_¤Pl¤$
¢§=¤Yég¤¤Q¤¢¢
dans l’industrie électronique avoisi-
comme solvant.
re et les
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wu!
·En Suisse, la consommation des
ou
sponsables de
¢0¤S\¤l ßmßlä l?¤¢¤_Q¤¢ !¢l¤!é
$f?¤€}“¤f¤QU€ ümeücöm Watson.
CFC comme produits de nettoyage
C
CO2 étaient re50% de I'effet de ser-
émissions de
les
Pflfßgé ä
changions nos installations avant
ne
l’on poursuit dans lu
_
Cß
V
serre (phé—'
de Veffct de
le prochain Joumal Franz Weber):
jusqu’ä présent, on considérait que
2030
'
noméne dont nous reparlerons dans
QUQI 9$p0I|'?
"Des le moment oü nous
sommes équipés gour utiliser des
CFC, il n’-y a pas de raison que nous
qu’elles soient amorties!"
scientifiques sont
industriel qui trouvera son salut sur
une ile déserte."
incensee:
~
bone. Ces données, repriscs d’ailleurs par la commission d’enquéte
du Bundestag, sont de nzitureächanger completement Vexplication tra-
dbzone aura diminué de 40% en
d’un dérivé du savon, nettoie aussi
bien, voire mieux - et pour un coüt
nettement inférieur - que les CFC."
On se demande vraiment pourquoi les fabricantsd’électronique ne
de constater que les Américains
"eonsomment" annuellement plus
de CFC que les Européens (respectivement 1000 et 800 grammes par
personne) alors méme que les sprays
maudits sont interdits sur leur temtpire. C’est dire si l’industrie chimiqueaplusd’une cordeäson arc pour
propager le poison chlorofluorocarbonnél
En effet, ce poison, on le manie en
grande quantité dans plusieurs autres domaines. En particulierdans la
fabrication d’agents gontlants des
Elles concluent qu’une molécule
de CFC est 17 000 fois plus dangereuse qu’une molécule de CO2, le
tristement fameux dioxyde de car-
ditionnelle
si
„
gements climatiques, causes d’in—
nombrables catastrophes naturelles.
Les plus récentes données venues
d’Allemagne sont, sur ce point, af-
voie uetuelle."Pluspersonnene peut
arréter la catastmphe éeologique,
clamait haut gt fmt un chgycheur
soviétique lors du congrés de La
I-[aye (Hollande) en oqtgbre 1988, Il
n’est pas un chef d’Etat qui pourra
survivre dans un bunker et pas un
ge des circuits itnprimés.Or, pour ce
genre d’0pératt0n, d’autres méthodes sont tout aussicfficaces. Si l’on
en croitcertainesétudes del’Agence
américaine pour l’Envir0nnement,
"l'eau,additionneedans certains cas
recourent pas plus souvent äee procédé tout simple. Quand vous posez
la question aux principaux concer—
nes, la réponse la plus courante est
et provoquera toujours plus de chan-
encore plus pessimistes. Et tombent
d’aeco;d pour estime; que la couche
l’an
‘
—
mene d’effet de serre, qui provoque
doivent aller encore plus loin (et
plus vite)que les dispositionsprévues par le traité. Lui—méme pense que
danger.
EH
largement ä aggraver le phéno-
augmentation. Certaines données
américaines prévoyent que Ia concentration des chlorofluorocarbones
seratripléeces pr0chainesannées,et
cela malgré les accords de Montréal.
Meme Mostafa Tolba, si optimiste en 1987, reconnait aujourd’hui
Vagrandissement du trou d’ozone a
engendré, ä l’échelle mondiale, une
hausse de 3% des cancers de la peau
et des maladies des yeux ces toutes
demiéres années.
installations
comme
d’autres,
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Franz
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v¢y)„ }¢ mé¥h¤¤¢ ¢S! lu! ¤¤SS¤„¢! plus
¢{l¢O¤'€ <l¤¢_}¢$ CFC, Y¢SP<>¤S¤bl¢ de
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immédiat de la produc-
CFC
n’aurait d’effet qu’ä
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moins que l’on écarte
le risque
de
vu
plusieurstmilliers de métres cu-
Cela pour montrer que méme si le
CFC trouvait une
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S0l¤t¤0¤ raptde, l Homme ne seratt
pas au boutde ses petnes. Car on en
mal emptrer.
‘
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s
Ce qui est loin d’étre le cas:
récemmem encore, en France, on a
fuite.
ment montré que les gouvemements
les plus eoncemés par le probleme
préférent fermer les yeux et latsser
le
.
l
’°·V°".ä d? q“°‘J°‘°’“"°
Vexplottatton du gaz nature}, ä
bes de méthanes’échapperdansl’atmosphere, suite ä une défaillanee
dans une usine.
°'
es
bien des mtseres dans Ia stratosphe-
tres long terme,et peut-étre lorsqu’il
seradéjätroptard. Bien entendu,un
tel arrét est peu probable, puisque la
Convention de..M0ntréal a claire-
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pompiers pour éteindre des foyets
8ll¤m§S par négltgence alors qu’1l
faudratt en fatt éhmmer les causes
deces incendies. Autrement dit: re-
pire encore.
Avant de
couche d’0zone
tosphérique, tes
CFC
stra—
contribuent
staurer Véquilibre du systeme,
tnerveilleusement autorégulé, de la
_
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Nature.,
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JOUTHQI Franz Weber
N°
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35
jan./few./mars 1990
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de nouvelles molécules d’ozone, et
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peut provoquer des brülures, des
asphyxies, de la toux ou de l‘asthme
et des/douleurs thoraciques. Inutile
P°"“·
1
areils i orüiqucs sont dartgereux pour I·€HVÜ'0fll1€I’N(.’I1fune foisä
la déglgargc, lgrgquc les ß‘é0ns qu’ils c‘0nti@r1r10H!, s°éChapp@r1t dans Val”Ph0t0.' Keysflme
mosphére.
,
i11
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La b°n et Ia mé°h°“l
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Pour mémoire, il convient tout de
meme de rappeler quel'ozone n’est
pas toujours bon! Il nc fam pas com
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P°—8“Z°“$° (lll! °('t°“l’¢ la Planéß ¢l
assum $3 rés¤¤¤¤¤¤ !h¢Ym1Q¤¤- Ses
V
sieurs
V
couches
et Véquilibre subtil
‘
entre ces différentes strates assure la
bonne marche de notre "thermome-
1
trc".
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La premiere de ces couches est
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la
aux
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du premwrs k¤!¤me—
tres au-dessus de nos tetes. Puts, en-
1
le dixieme et le cinquantieme
kilometre environ, nous sommes
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1
’
_
une couche umforme de 31m1l-
Si l’on peut vnvre sur la Terre et
Pa§ Sur VMMS °“ S"' Vé““$· C est
deux C0mpOSante$ essentielles sont
l'aZ°t° (78%) ¢* l°¤XYSÖ¤¢ (21%)L’atmosphere est divlsée en plu-
1
·
de precrser que les enfants et les
plus senVll€lll€S personnes sont
les
S‘b"?Sä"° g°‘“° de ‘°"‘°"é·
Bien entendu, Fozone troposphéri ue contribue de la méme maniere
ägggraver l‘effet de serre,
En 1987, lors d’un symposium or-
1·1
Lcsa
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:
au patrimoines géné-
par Vupparrtrorr de tumeurs, et plus
particuherement de cancers de la
*1|
·
dose, leur nocivité peut causer des
Chezl‘homme,_11lag1tprincrpale-
ment sur les muqueuses, qu’il itrite
fortement. Dans les cas aigus, cela
tique des cellules que cela se traduit
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1\_V__V~··
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1·¤|VV_V
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phénomene de la mort des forets.
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V-
se développe chez les ammaux et
chez l’homme), ils peuvent provoquer des brülures graves et répétées
lorsqu‘ils sontconcentrés.Etähaute
atteintes telles
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„1„|;|_E|„
d
Maß
Fondation Franz Weber a montré
que le gmvc probleme de I1 ozom nc
-
éPa‘§$°“V·
fondre l’ozone stratosphérique dont
lalaissaitpasindifférente(voirJour-
mh?
nous venons de parler,1¤vecl'ozone
nal Franz Weber n3). Une résolution
avait méme été adoptée, demandant
$0**
¢$t
mV°’$ém¢m PV°P°m°““°l ä °°
volume. Au contact d¢$ UV• les m0'
troposphérique quiest, lui, malsain.
Ce demier se fonne, généralement
dumm [gs jgumégs chaudgs, dans lg
lé°“l°s d,°Z°“° é<>¤¤=¤¤¤¤¤1_r>¤¤d¤¤¤
le rayonnement de fatble lon-
couche de Vatmosphere ou nous vi-
que
Vexamen, par des scientifiques indépcndams des milieux écgngmiques et industriels, de tous les fuctcurs pouvant amencr ä la pmduc_
tion de yozone nocif. Le Conseil
vom
gueur d’onde des UV se transforme
en energie calorifique qui augmente
latempérature de la stratosphere, les
atomes VdV'0X)’gén€ l$§U$ de I? dé'
C°mP°$‘“°“ dc? molcculcs d °XY‘
gene (02) et d <>Z9¤e (O3) referment de l‘ozone en réagissant avec
d’autres moléculcs d’oxygene. Ce
mécanisme pemtet de mairrterrir un
Sous Vcffct d’un fon cns0lcill€_
mcn[‘„lcS oxydes d·aZOtc ct [cs hy_
dmcarburcs _ Hbérés par
Fédéral a répondu, POIimcnt‘ par
yimcmlédiaim de Flavio cont
n”av0ir pas attendu cette I'éS0lU!iOl1
échap_
ICS
pemems des moteurs, les chauffages
pour étudier le probleme. Et, s’agisssmdescrc,r1er1enemreprem1re1.1
OV ,._ B_
et les industries — produisent par ré-
aeuon de toume. or,
mm
est nujsibrc
owners
cer
seulement pour
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la régénération de l‘ozone.
la stratosphere.
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La
stratosphere a la pamcularité
d’etre plus chaude
que la tro—
gl
posphere. En effet, äune altitude de
10 000 metres, latempérature descend ä moins 60 degrés, pour remonterjusqu’au zero degréä50000
metres.' L’explicati0n est relative-
·
ment simple: c’est dans la stratosphere que se trouve la couche
d’ozone.Celle-ciseréchauffe en ab-
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sorbant une partie des rayoris solaires ultraviolets.
UV
les
Cette faculté d’arréter les
plus dangereux rend la couche
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d‘ozone indispensable. Pourtant,
l’ozone est un gaz tres dilué. Sa masse ne correspond guere plus qu’au
millionieme de la masse atmosphérique. Et son volume est si minime
que, ramené ä des conditions de
pression et de températures normales, il représemefßiß Hu niveau du
V1
V_
11
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carbones (CFC) dans la stratosphere
a troublé cette belle ordonnance.
Alors qu’ils sont considérés comme
inoffensifs dans la troposphere, les
CFC se disloquent au contact Ädes
UV et liberent des atomes de chlore,
qui vont se révéler étre des tueurs
impitoyables pour les molécules
d’ozone. Les experiences, menées
notamment par la NASA, ont montre qu’un atome de chlore pouvait ä
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pl'0f>édé_paH1culierement soumois:
tld1ssoe1eles molécules tout en pié-
pl'é¢éd¢m¢ $UTVéqUÜlb!‘8 dyl’ozone, on voit que l’atome de chlore
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ganisé par ses soins a Giessbach, la
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des arbres, ce qui a des conséquen—
ces néfastes pour la photosynthese.
Raison pour laquelle il ne fait pas de
doute que l’ozone troposphérique a
une part de responsabilité dans le
(c’est gräceäeux que la vitamineD
1
1
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tectrice des feuilles et desaiguilles
sont nécessuires aux étres vivants
1,
1
des animaux
il trouble le métabolisme. Il
attaque par exemple la couche pro-
ultraviolets.Si les UV,äpetite dose,
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et
celle des plantes,
dont
est altérée.
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de l’homme
mais aussi pour
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tosphérique suffit ä laisser pénétrer
presque deux fois plus de rayons
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La théorie actuelle sur le déchirement de la couche d’0zone est cudeux égards. Tout d’abord,
la source universelle de vie qu’est
notre soleil, sans lequel aucune vie
rieuse a
ne serait possible sur Terre, émetune lumiere néfaste pour la vie.
trait
Ensuite, le déchirementde la couche
d’ozone au-dessus du Pole Sud
se-
dü, d’apres les accusations des
scientifiques, aux chlorofluorocarbones (CFC) alors que bien 90% de
rait
ces substances sont produiteset consommées dans Vhémisphere nord.
Comment donc ces gaz propulseurs passent—ils de
Vhémisphere
norditl’hémisphere sud et pourquoi
ne provoquent—ils pas un trou dans
la couche d’0zone au Pole Nord? Et
comment le soleil peut-il envoyer E1
la fois des rayons bénéfiques et des
rayons néfastes sur la Terre? D’ailleurs, pourquoi le fait—il? Il est clair
qu’aucun scientifique traditionnel
ne pourrait répondre ät ces questions.
Car elles sont trompeuses et absurdes. Elles jouent sur des notions qui
n’ont pas cours sur la scene du grand
jeu des énigmes scientifiques, qui
semble avir des réponses tout ä fait
plausibles.
Lä
_
encore, la science échafaude
de pures hypotheses tout en prétendant qu’il s’agit de faits solides.
t
Rien dans la théorie sur l’ozone n‘a
de fondement scientifique, et cela
n‘empéche pas les représentants des
gouvemements du monde entier de
se réunir dans des conférences apparamment importantes pour, en fait,
construire des chäteaux de cartes sur
du sable.
L'hypothese selon laquelle le trou
dans la couched’oz0ne seraitdü aux
CFC (par ex. les aérosols) ne peut
pas etre démontrée scientifiquement. Son seul fondement réside
dans des observations effectuées par
des satsllites. Le reste n’est que conjectures et devinettes scientifiques,
qu’on
fait
avaleraux gens
comme
s’il
s’agissait de conclusions défini-
tives. Les processus qui se déroulent
dans la couche d'ozone n’ont méme
pas pu étre reproduits en Iaboratoire.
Mais les tests en laboratoire ne pouvaient qu'éch0uer car la science ne
veut pas voir qu’on ne peut faire
avec des pommes pourries une tartc
aussi savoureuse qu’avec de belles
pommes. C’est exactement cela:
tant que la science traditionnelle refusera d’admettre que la qualité
d’une substance détermine ses effets, elle réalisera allegrement ses
expériences avec des pommes pourries et s’étonnera que la tarte ne soit
pas bonne.
JOUVHHI F|‘8I1Z Wébéf
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37
jan./few./mars 1990
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Concrétcmcnt, l’ozone fabriqué
artificicllemcnt a, hormis sa composition chimique, aussi
communs avec
pcu dc points
l’0zonc
naturel
qu’un chien avec un homme alors
que l’un ct l’autre ont la méme composition du point dc vue purement
chimique.
D6 méme, les
rayons ultra-violcts produits tcchniqucmcnt
ct utilisésqdans les études de labora-
unc gamme dc fréqucncc,
unc longueur d'ondes ct des amplitudes différcntcs de celles des rayons uItra—vi0lcts du soleil; certes la
difference est ténuc, mais les premiers ct les seconds nc sont pas partoire ont
t
faitement identiqucs.
Il
méme
cn va dc
des tomates
cultivées sur lainc dc vcrrc avec des
dc substanccs nutritivcs,
qui nc sont qu’un ersatz dérisoire
injections
des tomates cultivées cn plcinc terre
et lcntcmcnt müries au soleil. La
différcncc dc la qualité est tellement
flagramc que méme un palais insen-
;
A
Ccpcndam, ces
sible la remarque.
différcnccs dc qualité n’cxistcnt pas
l
cn chimic!
Dc méme, peu
importc pour la
science traditionnellc qu’une molé-
cule d’0z0nc soit produite par photosynthése naturcllc ou issue dc
l’cau. Ou encore qu’cIlc ait unc ori-
La lumiérc infinie que nous cnvoic le soleil sc compose par c0nsé—
quent d’un nombre infini dc rayons
ginc
élcctromagnétiqucs(élcctronsenvibration) froids (!)quip0rtcntcn cux
la substance de toutes les choses de
la création, du début dc leur évolution jusqu’ä leur retour ä la source
dans la perfcction. Une "chosc" ou
un étrc vivant contient le rayonnement, ou energie, corrcspondam ä
son dcgré d’évoluti0n.‘Plus un étrc
ou unc chose est dévcloppé spiritucllcmcnt, plus sa fréqucncc vibratoi-
provicnne des
oxydcs d’az0tc toxiques des gaz
d’échappcmcnt, des motcurs ä comartificicllc ct
bustion, etc.
A
lumiére de ces c0nsidéra—
tions, on peut avanccr sans étrc audacieux que la science d’aujourd’hui méconnait l’ozonc.
la
Osons donc exprimer Vantithése
dc lathéoric couramment répandue!
La voici.
Tout ce qui
cxistc, le visible ct
Un
rc est élcvéc.
pour "composant"
Véncrgic que lc soleil nous envoie
sans rclächc depuis le cocur du cosmos (lirc égalcmcnt l’article sur
Vamour, page I4). Qualifions cette
energie dc "lumiérc".
La lumiérc consiste cn un spectre
infini dc rayons qui commence ä la
fréqucncc 0 (ou 2) ct ä la longueur
d'ondes 0. La lumiérc que nous voy—
ons rcpréscntc unc toute pctitc fraction de cc spectre: un domaine de
a
l'invisible,
fréquencc situé entre 2,47 ct 2,5 ou
cncorc entre environ l50’O00 ct l
million de gigahcnz.
humain
émis par le soleil qui soit dcstructcur
en soi. La seule raison pour laquclle
la science peut parlcr d‘ultra-violcts
"dcstruccurs" est qu’elle n’admct
pas que toute éncrgic a unc originc
spirituelle. Ainsi, Vozonc n'a pas
pour but de nous servir dc rampart
contre la lumiérc ultra-violcttc. Au
il cn est issu! C’est gräcc
aux rayons ultra-violcts que l’ozone
peut sc former. Les déchargcs
d’élcctricité dans l’air (par cx. les
éclairs) produisent aussi de l’ozone.
Sa molécule tri-atomique se compo-
comraire,
trés
sc·d’oxyg€:nc m0no—at0miquc ct bi-
avancé est capable dc recevoir des
"dons" du soleil alors qu’une ämc
moins avancée n’a pas encore de
résonancc. Qui plus est, pour fran—
chir des dcgrés d’évolution, un étrc
doit recevcoir ct pouvoir absorber
unc quantité croissantc d‘énargics.
atomique, L‘ozone monte depuis le
sol jusqu'ä 30 ä 50 kilométtcs d’ai-
étrc
titude.
Comme
altitudcs,
dans
la
rcs glacialexlatencurcn ozone rcstc
relativement stable.
Il
C’est Iä que la science intervient
pour racontcr que nous avons besoin
ment ä proximité du
de la couche d’ozonc pour nous protégcr d’un certain rayonnement solairc dangcrcux! Du point de vue des
sciences de Vcsprit, cette affirma-
tiquement impossible
en va autre-
sol,
oü
la
cha-
leur déstabilisc l’ozone ct rend prala
mesure dc
sa tcncur.
L’éncrgie des rayons ultra-violcts
aidc les moléculcs m0n0—atomiqucs
ct bi-atomiqucs ix sc combiner pour
tion est absurde. Toutcomme l'idéc
qu’il puisse exister un rayonnement
q
ä ces
stratosphére. il régnc des tcmpératu—
former des moléculcs [fl-ZlIOmiL]U€S.
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inhibait le renouvellement
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Lorsque loxtgéne est surchargé
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transformer en ozone.,
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qui aujourd'hui déjä se many”este par des changements de cltmats.
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transformer en ozone. Ainsi, une at„
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De plus, il est prouve scientifiquement que ce sont justement les isotopesdelafissionnucléairequis’accumulent tout autour de la Terre
dans Vatmosphere extérieure et
io-
nisent précisément les régions
ou
l’ozone devrait se former, ce qu’il ne
peut plus faire.
Ainsi onAcomprend pourquoi le
plus gros dechirement de la couche
d’ozone est situé au—dessus du Pöle
Sud: parce que presque tous les es-
de
l’ozone. En 1962 déjä, un moratoire
tests atomiques avait été décidé
(ce qui n’est pas rien!) car l’on
la radioactivité.
inhibait le renouvellement del’ozone. Depuis bien 27 ans, la science
preuves ä l’appui, que le rayon—
nement radioactif, en particulier celui émis lors des tests des bombes
atomiques, estresponsablede la for-
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des
sait,
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a véritablement le comportement de Jack l’Eventreur, et ses crimes abominables sont dissimulés
non seulement par le brouillard mais
parl’ensemble de l’élite politique et
scientifique. Comme si l’on ne sa-
apercu que
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en-dessous de Vatmosphére exté—
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par la lumiere ultra-violette. Si l’on
considere la disproportion qu’il y a
entre Vépaisseur de plusieurs kilometresd’une couched’ozone gigantesque constamment renouvelée autour du globe, d’une pan, et les
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combustion ou encore des oxydes
d’azote deja toxiques, il est chargé
non pas de rayons ultra-violets mais
d’une énergie destructrice. L‘ozone
fabriqué par des procédés techniques pese environ 2,5 kg par metre
cube. ll est donc deux fois plus lourd
quel“airl Et probablement bien plus
lourd aussiquel’ozone naturel.Voilit pourquoi il reste avec aulant de
persistanceaccrochéäla surface du
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sais nucléaires en atmosphére se déroulentdansl’hémispheresud! Malheureusement, la décision de l962,
dictée par la raison, a été continuellement sacrifiée aux intéréts de I’industrie de la guerre, furieusement
partisan du réannement. C’est ainsi
que les Franqa1s,malgréle moratoi-
vigueur, ont allégrement poursuivi leurs ex losions nucleaires en
re
,
.
atmosphere de I966 ä 1974 (sur
l’atoll de Mururoa) avant de les reprende en 1986commel’on sait.Les
·Soviétiques et les Américains ne se
sont pas non plus résolus äabandonner les tests de la bombe A. Leurs
essais souterrains produisent des
rayonnement tout aussi destructeurs
que les centrales nucléaires en service et leurs "accidents".Quoi de plus
normal que la couche d’ozone dimi-
.
niveaux per-
.
.
.
Comparativementlesdélais impoAsés aux aerosols paraissent denrel.
soirement courts.
Ainsi, la fission nucléaire, dont
des esprits paniculiérement impu;
dents continuentde louer la "propreté", abrite la mort en son sein dans
bon nombre de ses variantes. La fission nucléaire est un crime contre
toute vie. Sans le savoir, Vhumanité
végete aujourd’hu1 dans un monde
qui est étonnant, par contre,
c’est que la science connatsse ces
ne reste plus qu’a se demanderqui mhsele les sc1ent1f1ques.Car
sinon, qu’est—ce qui les empécherait
de diretoute la vérité et de dénoncer
faits. Il
inondé de conséquence tragique
d’un état dA’esprit destructeur, qui
autorise tout ce qui est faisable et
promet argent et puissance.
toutes les responsabilités?
La situation est particulierement
_
Ces rayonnements sont diamétralement opposés a la lumiere pure du
soleil, ä l’énergie vitale divine.
Ils
i
,
mettant la fomiatton d ozone natu—
Ce
nue mais l’ozone toxique proche du
sol augmente! Plus lontemps on mé—
connaitra sciemment le probleme de
l’ozone, plus il sera difficile de ré-
„
siécles, ä revenir ädes
nue continuellementl
précaire car. jour aprés jour, non
seulement la couche d’ozone dimi-
.
générer la couche d ozone, et l arr
ue nous resPirons. Les isotoPes qui
,
contmuent de s accumuler jour
aprés jour autour de notre planete
mettront des décennies, sinon des
en
sontl’anti-lumiere.
Paul Sommer
(sur les indications de H. U. Hertel)
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du conte "Regret" de
Franz Weberdans/e JFWNo. 10
"Ou est allée I’äme de Regret?
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Qui a-t-elle suivi?"
C est
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aprés la mvrt de Sa mére Vlgno-
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pour la société dans Iaquelle vit.
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1003 Lausanne
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tendre dans son appareil que le programme de Radio Suisse lntematio—
nale. La puissance du champ magnétique dans 1’appartement oü il
habiteoscille entre 6 et 10 volts par
metre.
Et alors, disent les PTT, apres que
personne n’ait réussi ä empecher
que l’appareil de cet enfant capte ce
programme radio, vous n’avez pasä
vous plaindre, vous pourriez devoir
supporter des intensités dechamp de
V60 volts par nietre. Car la loi nous
autorise (encore! la réd.) a aller jus-
Méme un appareil d’audition peut
étreila victime
de ce rayonnement
secondaire soumois. Il y a la par
hasard un enfant de trois ans néavee
un grave défautdel’ouie. C’est gräce a un appareil d’audition et a la
capacité auditive qui lui reste qu’il
doitétre introduit par une thérapeute
dans le monde des sons.
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la bét6„ Y compris sa fourrure.
ggf la radlpsthqpie, estaisé de
mon rer es 6 ets lrradiants néQatlfs de tous les vétements confectuonnés avec de la fourrure an-
ner et sauver ici et abattre ai Aeurs.
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021/96437 37 oder 9642424. Fax: O2 1°/964 57 36
Les photos épouvantablesparues
dans votre NO. 10, prOUV6r'It &V8C _Emetteur secondaire
quelle cruauté on martyrlse les anMais l‘étre humain n’est pas le
imaux pour satisfaire les besoins
seul a fonctionner comme émetteur
égoistes de Certaines dames
secondaire problématique. C’est
aveuglée parla nécessité de paraiégalement le cas, par exemple, des
tra, etsontde nature aerlerjusqu'a
pieces métalliques de grande surfaQual pOlnt on fait SOUifrlr d6S Ötl‘9S
ce, des gouttieres, des couvertures
lnnocents. Pendant des heures.
de töle, des cuisines en acier chrodes tours. CSS 3¤lm8UX éPl'OUV9¤t mé, des installations électriques et
la plrG
sanitaires et aussi des machines ä
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approc er pour Ina amen GS
traire qui multiplient facilement_de
ilVr9l’ dö i”§['¤i9rV m8lS ä ClU9i Prix!
trois acinq fois les valeurs de rayon-
mg p airg,
Aucun animal rl'8 m¤ln$ 99 V8i9Ul'
qu’un autre. On ne peut P8iASOlQ-
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Tél.
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Grandhötel de Suisse 9ntlél’SrTlSnt
Véggärign"-ca ne saraltpaS p0ur
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Helvetia Nostra, case postale, 1820 Montreux
VoIl•t,
1214 V•rnl•r
La TOLIITU T6
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Ch.
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se tout entier...
dans votre numéro du mols de
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fréquentent I'h6tell ll faudralt avoir
lg courage de leur SuppOS6l’ Urlß
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vers une concordance absolue’i
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apropr t upeupesu s-
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radio puisque vous recevez la Radio
que la!
Suisse Intemationale!
Alam cette constation macabre,
le médecin spécialiste avait assuré
aux parents de cet enfant que la capacité auditive restante était considérable er devrait absolument étre
encouragée. "Maintenant, déclare
Hansueli Jakob, face aux hauts responsablesdesP’l'l“, il se metäavoir
peur et parle d’une ‘capacité auditiveirrécupérablei"
Pour son malheur, habite a 2,2
kilometres de l"'émetteur perturba—
il
teur" de Schwarzenburg. Bien qu’on
lui air fait porter les appareils d’audition les plus diverd et les plus mo-der-nes, cet
enfantcontinue a n'en-
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Un enfant qui restera pour toujours étranger au monde des sons,
cela n’apparait pas dans le compte
des résultats des PTT.
Vive
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Radio Suisse Intematio-
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JOUVHHI Franz Weber
jours plus pres de nos points d’eau.
Et une fois de plus, le systeme astu—
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Nr
Schulz, l'un des nombreuxjournaIi—
pu assister a Ia capture d’un troupeau particulierement farouche qui
rödait dans les parages. ll raconte
l‘événement dans un grand reporta—
ge paru dans la revue australienne
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plutöt a la capture de boeufs, des
troncs d’arbres se plient sous les
roues comme des roseaux. Rassembler une horde de chevaux sauvages n’est pas une at'fairc pour petites natures. On ne s’étonne pas,des
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sans histoires. Le reporter Dennis
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suisse roule avec avgaz.lejus utilisé
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stes qui ont visité notre sanctua1re,a
cieux des clötures ct des enclos, réalisé par l’équipe australienne sous
les directives de notre gérant suisse,
Ben Strub, a fait ses preuves. Les
troupeaux, conduits par leur étalon
aux abreuvoirs installési1l’intérieur
de notre réserve, se retrouvaient immédiatementen sécuritédansles vastes étendues du sanctuaire: l’astucc
des clötures leur permettaient bien
de pénétrer dans la réserve, mais les
empéchaient d’en ressortir.
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cwwniré. Dans quelques msranrs, ils seront cn sécuriré dans lvs grands
Oragas d une Pl·ll$$al°lC€
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mms AVWOUVG tout S0n Calme quelmälönlß Pl¤S läfd SOUS les rayGHS du Sülßll- C’est Vers Noel que la
mousson a vraiment commencé.
Mais oü sont nos chevaux dans
cette
danse et't'rénée des élémcnts?
ne viennent plus aux points
d'eau, ils ne viennent plus manger
dans les enclos pres du homestead,
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La nature leur ot’i‘1·c maintenanr 5
profusion tout ce qu’ils peuvent dé-
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crets, les suivre
ies1C’est une époque exaltante, élé—
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Pouvoir surprendre leurs sedans leurs chevauchées éperdues - quel bonheur ce
serait! Mais les chercher et les guetsirer.
"Wel",dans le "mouillé". C'est-ädlV¢ ¢¤ Pl¢l¤ dans lß SaiS0n des plu-
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Danse des élémems
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semblcnt vouloir tout noyer, tout
vert-clair. Le
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de perles étincelantes, des spirnlcs
de vapeur se levent et tonrnoiem
doucement -lTI1ilS(lÖjÄl, une nouvelle
paroi sombre obscurcit toute cette
Clzlflé — Zt |10uv@;\L| IcAs caux 36 dévgrsent en trombcs toudroyantcs et
tementaleäplaines dAures et fissurées
autour u omestea se sontcouver-
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lumincux éblouisscnt
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ce inouie s‘abattent sur le Top End.
mlägeä noires S3l¤FéS
de pluie chaude pendent au—dessus
des 3l'bl'€S €l SOU(l6lI1 explosent 611
cascades mugissantes. Puis, tout ä
coup, le ciel se déchire, des coins
d’un bleu déhrantet d’un turquorse
terseraitnonseulementtresdifficile
1
mais aussi dangereux. Les branches
d’arbreS peuvent tomberä n’imp0rte quel moment, le chemin peut étre
Subllement emporté par les eaux, ct
un torrent né spontanément peut
provoquer notre perte. Lorgqtrau
mors de mars, les pluies se remm
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prochain numéro!)
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cs dans la nunt, Et nous verrons sn les
poulains de Vannéc dcmiérc ont
grandi. Une nouvelle année de bon-
plus rares, que les caux s ccoulcront
lentement dans la terre et que la nature sc mettra 21 rcvivrc dans toute sa
splcndeurtropicalc, nous reverrons
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La fameuse chame de TV franqause, TF 1, a dnffusé une séqence de
"30 millions d‘amis"
10 mmutes sur le Franz Weber-Territory dans
La TV romande
émission).
cette
(Les deux images sont extraites de
également a consacré des mmutes précleuses ä nOtr6 réserve: dans
I’un de ses TJ-soir (19.30). Aussu buen TF 1 que la TV romande om
présenté notre réserve au Northern T0rrit0ry comme une oeuvre de
pionnier.LaTV suissealémanique enrevanche n’enaquedu mépris.
Ia
"Nous ne sommes tout de méme pas assez fous pour faire de
Zunch,..
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homestead, notre équipe est en train de construire
ou collaborateurs logemaniere du Northern Territory. De futurs visiteurs
simples maisplaisantes
conditions
des
feuillage,dans
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prévenu que Vexploitation
ailleurs
titane exigerait la construction
d’un barrage et par conséquent
l’inondation d’une surface lmporl
de Ia foret historique du Dukuduku. Les opposants au projet
ont cependant un soutien de poids
aVGcI9S„SIaI„ grand
J ° h en nesb ll 9*
tante
l’EPA. Selon les estimations de cet
organisme, ce ne sont pas moins
de 400 000 tonnes de déchets toxiques industriels qui sont déverses chaque année dans les égoüt
municipaux. Parmi ces déchets,
ontrouve du cyanure de l'arsenic
Heureusement, ce projet de
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Les Amérlcains ne léslnent pas
avec les déchets industriels. Il est
vrai que chez eux le probleme a
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385 spécimem le Natal §=tb**l9 ¤u9l·
que 15% de la p°pl‘llall°n das mlnocéros notrs encore )/lV6Ql$ dan§
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par des usines situees sur leur ter-
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un rapport mondial
paru récemment a
Washington, de nombreux pays
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dans la prochaine decennie. Parmi
eux, Ia Chine et les Etats-Unis.
Selen les études de L‘lnstitut de
surveillance mondiale, organisme
subventionné par des fonds prlvés
et des agences des Nations Unies,
les changements de temperature
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ment modifier les mcessus de
plule et dalimentallion pendant
plusieurs dizaines d‘annees. Par--
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mi les regions qui seront le plus
touchees le rapport cite le nord de
Sphynx
Le plateau des pyramides de Guizeh est au centre d’une vaste polémique en Egypte, ou l’on préte
au ministre de la Culture Farouk
Hosni l’intention de developper un
vaste projet touristico-commercial
sur le fameux site. ll est notam-
du Mexique,
du MoyenOrient, et de grandes surtaces de
parties
de
presque
l'Inde et
Ia
tetaiite
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l'Ouest americain. Cette pénurie
d‘eau va bien entendu encore
compliquer Ia tache des agriculteurs.
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(200 $ austr., cotisation 1990)
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964 37 37
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sur le globe vont presque certaine-
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A cnvoycr ä la Fondation Franz Weber, Case postalc, CH-1820 Montreux 1
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Paradis de chevaux «Franz Weber
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aux cötés d’une panthere. Explication de la star: "Nous devions etre
SuI·unmémpp1pdd*éga|11éItapanthere et moi. C‘est pour cette raison que j'ei pese rtu9,,,"
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notre sanctuazrel
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N"“’ ""”"°l'””·" “l‘*”""'
mms pour de nombreux
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Ia plu-
ra violer les |0iS Sur |'envir0nne-
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"Nous envoyonsun message tres
clair: aucun tndtvtdu. aucune industri¤„ aucune munlcipalité ne pour-
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qlle
efficacement leurs de·
cnete et les rejettent, dans
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traitent pas
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de cnannp ni d·numpuI p;
p1a1dp pgur de npbies causes. Ne
vient-elle pas de poser nue pour
unu pub gn raveur de Ia sauvegar—
que
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l¢lP'äll*ÜÜ“lf"°l$VÜYl?¥lä°”&9
lalll ds
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La célebre et sensuelle actrice
americaine Kam eesinger ne man-
Ö9 l°E0Vl*¤009*090* (EPA) *90*9
depuis. lusieurs mals d‘obll er
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parml lesquelles Detroit,
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pour la vie sauvage, Keith Cooper,
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ses archéologiques du pays amenent en effet tou1ours plus de tou|'ISt6S et ÖG p|'éC|6USG$ ÖGVISBS.
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du Sud
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importante. L'un des responsables
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du cadnium et du plomb
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jan./few./man 1990
ment question d’un amphithéatre
17 000 places et d’un complexe
commercial. Or, les expens en ar-
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II
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lorsque les machines de chantier cncombran—
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etque les demters tas de
déCOmbI°€S sont évacués, nous jurons de ne
plus _1ama1s entreprcndre de
tes quittent les lteux
liéremental’automne en train de
Vaccueil de Vexposition perma—
préparer des travaux, "lcs dcr-
nentc de pcinture du muséc d’an
III
I
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nombre de visitcurs exige toujours davantagc de l’hötclIet de
hiver sont placés sous
paI Judith Weber
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Sousle signe du
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pensionnaires ct de vacanciers.
A pattir de cette saison, lcs pen-
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les travaux réalisés cet
que
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ses prcstations.
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concuc pour laclicntéle des banquets et les hötcs de passagc, tan-
cst vrai
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réve, avec sortic directc sur lcs
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annees 19884989 avec la rc-
jardins ct vue sur lcs
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niers, cette fois".
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"les Areades"
quctconstammcntoccupécsetle
Enété, lcs portes s’ouvrent sur
clémala tcrrassc envahtc par la
bondé, tout en soulageantnotre
—pcrS0nncl, auquel le manque de
tttcctsurlcsjardtnsenfleurs; par
placcctdeliberté de mouvement
imposaicnt jusqu’ä préscnt des
beau temps, les repas sont scwis
dchors. Et par temps frats, on se
pclotonnc dans Vintimité chaleu-
performances quasi surhumaines.
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que nous le souhaitons
pour nous et nos enfants. Un
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telle
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d’arbres
et
peuplé
d’animaux, avec des praiVcau ct des montagfies,
nes, et une belle maison chaleureuse, ou l’on puisse en-
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le début, cette chapelle 0ecu—
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ve1lleux qui semble fait pour
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entourée de vieux arbreS,q¤i
parmi les grangesvet les han-
EXISl€·t-éllé
gars, utiiisée
comme
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de jeux, au
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leur signification profonde
torrent Giessbach 6t revient
et la gI'äC€ d0I1t jouit Giess-”
dépöt‘
au point de départ, on obtient
un triangle parfait, Vheureux
bach revétira une fonne visi—
cherchons unejpchapelle ancienne! Une chäpelle qui ait
une ligne qui deseend 3U
termes "Mariage ä
Giessbach", "Bapréme ä
Giessbach" trouveront alors
ble.
trigone qui reliele Créateur,
·
V
entre-
Grandhötel, puis remonte au
Les
la
Création et VÜCUVTC de
Vlgiomme,
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cha-
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d’honneur.
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pour céder lalplace ä un parking, une construction ou le
tracé d’une r0ute?Ou g'it—ell
le déjä en morceaux dans un
sud, face au chalet et ä l’hÖ—
rel. Partant de lä, si l’on trace
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couple
d’un
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lorsqu’it l'été
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l9X7,l’HÖtelGiessbach,débarrassé
de ses échafaudages et de ses bäches
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visagc découvert a ses visiteurs.
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t‘0ugc el jaunc, avecf ses terrasses et
surses balcons fraicheniem peints,
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entrecoupé de Iongs silences.
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quement pas la belle faeade des
tours depuis le Kurhaus. C‘est ce
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templer de tous cötés; c’est ce que
tenir autant
pensent les professionnels du bätiment, qui ont travaillé pendant des
années pour la Fondation Giessbach
soient-ils ?
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afin de préserver l’aspeet extérieur
du Grandhötel et qui ont bien raison
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brusquement remis sur le tapis. La
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nombre
satisfaire une clientele en
s’en faut de
sans cesse croissant. ll
bcaucoup On mzmquc dg place pour
de prépara—
les entrepöts, les salles
réfrigération et
de
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cO“Sm‘_c“0_“ ‘l““°V"““?X€
déux hcmb métcm
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Creuser, creuser pour des chambresfroides
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"Dans ce
cas,nous renoneonsal’extension,et
continuonsainsi,sansrienchanger',
Weber.
réplique clairement Franz
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les milieux spécialisés, on
sous cape. Evidemment, on ne veut
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de
I ‘m€"c“‘
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Le ¢Q|,|pIe QSI sauvé I
Voila notre couple d’arbres saule petit monde
vél Et avec lui, tout
qui ytrouve refuge et nourriture les
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"Au
une caverne dans le rocher.
lieude créer une annexe en béton
SÖ‘é ****:99 P°‘“‘P'°:i°‘:1$"’{"°“l$i“f*
envtsage
Voffice, etc..., etc... On
d’agrandissement.
travaux
donc des
Quand le projet -avec lequel la pro-
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manne} est beaucouptrop petite,»tl
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monte-charge
que un
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débar—
de congélation, les caves, les
Véconomat; la salle du person-
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que vous allez trouver une solution"
Tout juste deux scmaines plus
creu—
tard, la solution est préte. On
Culsme comm hetres
l
pi
chera pas aux deux hétres, sous aucun prétexte. A partir de la, je sais
part-
j
,
V
projet" ,
ditions, je demande un autre
"On ne toudéclare Franz Weber.
l‘ar-
chitecture et des monuments
agent ce point de vue. Ils seraient
_
.
pas le contredire. mais le fait est que
l’inspection sanitaire ne donnera
plus son agrément ä la cuisine dans
l’état actuel et avec l’ai“fluence que
connaitGiessbach... "Dans ces con-
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‘
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es!
se décider Zt enlever au moins celui
l’aude devant. ll resterait toujours
et
soleil
de
plus
méme
aurait
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bach. "On pourraitpeut-étre finirpar
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de Vautomne, les vers de
ee,.
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V
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opétout ä fait prets ä accepter cette
l’on préserve la
ration, pourvu que
beaux
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Meme les services officiels char-
Alors que la maison est entourée d’une forét ou poussent toutes
sones d'arbres, comment peut—on
V
deux hétres
"Ce serait le
on abattra
hiver,
Cet
moment.
bon
On
de toute faeon du bois par ici.
fois".
une
en
faire
tout
pourrait
tétu.
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bois se remettent
dre pourquoi Franz Weber est aussi
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vent tout simplement pas compren-
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d’étre fiers de leurtravail. ll ne peu-
_
V
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bres,
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L’Hötel Giessbach est devenu
somptueux; il ne faut pas qu’il se
cache maintenant derriere des arqu’on puisse le conil faut
chenilles et les msectes,Vles mésanges, les pmsons et les grimpereaux,
les loirs, sans oules muscardms et
bher les crapauds qui, pendant la
joumée, se cachent dans la mousse
et, en
et les racines des deux géants,
hiver, s’y blotissent pour hibemer,
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des éVé11€Il”1€l1IS CUltLlI‘€lS €t mondains
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Information et reservation
GrandhötelG1essbach, 3855 Brienz
Tél. 036/51 35 35, Fax: 036/51 37 07
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rochers, Vétablissement
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dans
les IHÖHC paitfé tous les -_]OllI'S OU
qujil peuvent aller et venir a leur
IIOUVCZIUX lOCHLlX C1’CUSéS
guise, et
VOII sa capacité augmenter dans deVs
pas. Désormais, le panneau détestable qui annoncait :"en cas d’affluen—
·
ce, prévoir un délai d'attente", ne
sera plus jamais de misc dans nos
restaurants. Finics les difficultés
V
1
de se la
procurer au moment voulu et dans
problemen; C"¢stl'offre qui doit de-_
terminer l’achat, et non l‘inversc.
Cet obstacle,s’il en est un, peut étre
surmonté si Vétablissement possede
nous allons enfin pouvoir
realiser l’un de nos voeux les plus
chers a Gicssbach remplacer pro-
suftisamment de chambres froides.
Ce sera préclsémcnt le cas a Giessbach, la saison prochaine. Et grace
gressivement la viande des élcvages
im ‘“ “^“d° de
aux nouvplles
:
animaux
sont r specté8
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1
Semaine «Tennis de prinremps»
avec M. Grossmann, maitre de tennis
meine Lieder,) _
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La viande de päturage KAG provient de Vélevage traditionnel prati~
qué dans de5¢xplo1tat1OnSüde pctite
ou moyenne dimension 0 lesVanimaux Som Soumrs ä des cmidmons
qu’on
de Vvie naturelles, c’est-A-dire
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Dimanchc, 1“juillct a Scmalnc «Tennis d
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FétepopuIa1re(Fr. 75.- par personne)
Dimanche, 5 aoüt
Concert de1’enscmble Ludus, l6h30
Samcdi, 18 aoüt
Ba! «Soir de Paris» —
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Soirée organisée par Franz Weber
(Fr. 120.- par personne)
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Soirée de Gala «Chez Maxims»
(Fr. 120.- par personne)
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Dimanene, 10 juinä
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Cours de cuisine végétarienne
avec lg chgfM_ Sugfan Lanz
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au buffet et les goulots
d°étranglement dans le service. La
cohabitation hamionieuse-que nous
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Lundi, 14 mai a
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plus savourcuse et bien plus saine !
Mais, contraircmentala"viande in-
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que leur noumture estex-
plus important, elle est bien
d'approvisionnementdues au manque d’entrepöts, tinis les "embou-
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empte de toute substance medrcamenteusc ou chimique. Le fait que
cette viande coüte un peu plus cher
ne surprendra personne. Par contre,
elle rend davantagc et. ce qui est
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Concert de prrntemps, 20h30,
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Dimanche, 29 avril
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Dimanche, 16 scpt.
Concert de 1’ensemb1e Ludus, l6h30
Dimanchc,23 sept.A
Semaine«Tennis d’automne»
dimanche, 30 sept.
avec M.Grossmann
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«Bei einem Teeädeux»Thé et concert de 1’apres-midi, 16h
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Semaine «Fitness»
Lundi, 8oct.ä
samedi, 13oct.
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Dimanche,2l cet.
«DiePuppenfee», concert et ballet, 17h
Lundi,V22 oct.a
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Coursdecuisinecompléte
avec M. Stefan Lanz
Samedi, 27 Oe!.
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Dimanchc, 28 oct.
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Soirée Tzigane(Fr. 95.- par personne)
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