La table basse Kineti plébiscitée par le géant américain
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La table basse Kineti plébiscitée par le géant américain
LE JOURNAL DE SAÔNE-ET-LOIRE MARDI 12 JUILLET 2016 08 ACTU SAÔNE-ET-LOIRE ET RÉGION MÂ C ON É CONOMIE La table basse Kineti plébiscitée par le géant américain Amazon Ce mardi, le géant américain du commerce en ligne Amazon lance la deuxième édition du Prime Day. Lors de ces soldes virtuels, l’innovation a été mise à l’honneur, dont la table Kineti made in Mâcon. L es membres Amazon Premium pourront profiter dès ce mardi de la technologie connectée, imaginée par la start-up mâconnaise Kineti Technologies. Récemment distinguée par le prix “Publicis90” lors du salon “Viva Technology”, cette société a développé du mobilier interactif tactile pour les professionnels et les particuliers. « La société Amazon est depuis toujours très attachée à l’innovation, souligne Frédéric Duval, directeur France d’Amazon. Mettre en avant des entreprises visionnaires comme Kineti Technologies nous semble naturel. » 3 897 € au lieu de 5 000 € Lancée à Cannes en mai, la table Kineti est une vraie table basse qui permet de se réunir en famille ou entre amis et sur laquelle il est possible de poser ce que l’on souhaite, comme n’importe n Fabian Humbert, P.-D.G. de la start-up mâconnaise Kineti, et son associé Guillaume Merrouche lors d’un salon à Paris où ils ont exposé leur savoir-faire. Photo Laurent BOLLET quelle autre table basse. En un simple geste, vous pouvez envoyer depuis cette table des photos ou des vidéos, regarder des films, écouter de la musique, surfet sur internet, échanger avec des amis en visio-conférence ou encore contrôler la maison et ses appareils connectés. Au lieu des 5 000 et quelques euros, cette table sera proposée lors du Prime Day au prix de 3 897€ aux clients du géant américain du commerce en ligne. « Avec la puissance et le sérieux d’Amazon, explique Fabian Huma- bert, fondateur et P.-D.G. de Kineti Technologies, nous sommes certains que cette journée va nous apporter un coup de pouce formidable, quelques mois seulement après le lancement de notre table tactile. » Nicolas Desroches FRAGNES -L A LOYÈRE ENTREPRISE Les salles de sport Amazonia rachetées par son fondateur Les quatre salles de sport Amazonia, situées à Dijon, ainsi que le Gigagym de Chenôve ont été rachetés en début d’année par Alain Benoit. Cela n’est pas franchement l’œuvre du hasard quand on sait que ce dernier n’est, ni plus ni moins, que le fondateur de ces deux franchises. Depuis 1994, Alain Benoit, Dijonnais d’origine, dirige la holding Nextalis, dont le siège est installé à Fragnes-La Loyère, dans le département de Saône-etLoire. Cette société regroupe trois marques : Amazonia (70 salles de remise en forme dont quatre en Côte-d’Or), Gigagym (19 salles) et Wideclub (7 salles). Les salles de l’agglomération dijonnaise appartenaient à un seul et même propriétaire. « Ils sont partis à la retraite », raconte Gwendoline Cornu, coresponsable de l’une de ces salles de sport. Alain Benoit s’est donc porté acquéreur et les établissements ont changé de main « courant féwww.lejsl.com vrier », rapporte la responsable. Le nouveau propriétaire a décidé de fermer l’un des quatre Amazonia. Celui qui était situé à proximité du parc des Expositions n’est plus ouvert au public depuis le mois de mars. Il reste le club qui est installé près de la Toison d’Or, un autre dans le quartier des Bourroches et le troisième, boulevard de Brosses. Des travaux pour rafraîchir l’intérieur n Originaire de Dijon, Alain Benoit dirige la holding Nextalis, qui gère les franchises Amazonia, Gigagym et Wideclub. Photo archives LBP Alain Benoit a décidé de faire quelques travaux, histoire de rafraîchir l’intérieur des établissements. « Les anciens franchisés n’avaient pas les moyens de rénover les salles et les clubs manquaient de modernité, juge Gwendoline Cornu. Le nouveau propriétaire a tout remis au goût du jour. » Le Gigagym de Chenôve aurait même été entièrement refait à neuf. De nouveaux équipements sont également venus enrichir l’offre d’entraînement physique auprès des clients. « Nous avons une nouvelle version de la gamme cardio et le propriétaire a équipé ses salles d’une gamme poids libre. » Autant d’investissements dont le but est d’apporter une touche de dynamisme pour séduire de nouveaux clients. « Nous sommes un peu plus chers que les autres parce que nous visons une clientèle haut de gamme. Cela nous permet donc d’être au niveau », estime la responsable. Anne-Lise Bertin 4 Alain Benoit possède désormais quatre clubs de sport dans l’agglomération dijonnaise, trois Amazonia à Dijon, ainsi que le Gigagym de Chenôve. SAO - 1