bilan 2`me phase New - Guineequatoriale

Transcription

bilan 2`me phase New - Guineequatoriale
Composante
Guinée Equatoriale
CAMEROUN
Océan
Parc National de Monte Alen
GABON
Guinée Equatoriale
créé en 1997
superficie 1.600 km2
administration de tutelle : ministère des forêts et de l’environnement
ECOFAC- Bilan seconde phase 1997/2000 - Page 147
Rappel des objectifs
• La conservation du parc national de Monte Alen comme réservoir de biodiversité
et espace de recherche;
• le développement socio-économique des populations des zones périphériques du
parc par le développement rural et la gestion durable d e s ressources naturelles
degré de réal.
• plan d’aménagement et de gestion du parc
• création d’une structure de gestion autonome
• système de production agricole et de valorisation des
ressources naturelles
• structure opérationnelle d’exploitation écotouristique du site
et des modalités de redistribution des revenus
• création d’un centre national de formation de gardes
forestiers
• programmes de recherche scientifiques et de suivi écologique
85%
70%
40%
100%
0%
90%
Contexte général
Le parc national de Monte Alen, par son relief, abrite une forêt primaire jamais exploitée, à
l’exception de ses zones périphériques utilisées par des activités villageoises.
Sa très récente création (officiellement par un décret datant de 1997) expliquait l’absence de tout
investisssement lors du démarrage effectif du programme sur le terrain.
La proximité de la seconde ville du pays (Bata) et l’absence de débouchés économiques en périphérie
du parc, ont imposé la mise en place d’une structure permettant en premier lieu de contrôler les
prélèvements effectués dans le parc.
Le développement de l’exploitation forestière en Guinée-Equatoriale impose, pour une conservation
de la biodiversité, le maintien des acquis des premières phases parmi lesquels le classement des
extensions du parc national de Monte Alen.
Le travail réalisé par le programme est essentiellement de terrain, un autre projet (CUREF),
également financé par l’Union Européenne, ayant pour termes de référence un appui institutionnel
pour une exploitation rationnelle et durable du massif forestier en Guinée. CUREF et ECOFAC
collaborent étroitement, CUREF bénéficiant de l’expérience de terrain d’ECOFAC.
La coopération espagnole, intéressée par les résultats obtenus au cours des phases précédentes a
apporté en 1998 un financement complémentaire à celui de l’Union Européenne. Ce financement court
jusqu’en 2000.
ECOFAC- Bilan seconde phase 1997/2000 - Page 148
Guinée Equatoriale
Résultats attendus
Activités engagées et résultats obtenus
au cours des précédentes phases
L’urgence consistait à mettre en place une structure de gestion pouvant assurer l’accomplissement de
la mission de conservation de l’administration equatoguinéenne des forêts et de l’environnement.
Cela se traduisit par la construction d’un quartier général à Moca, la mise à disposition de
l’équipement et des ressources humaines nécessaires, de l’appui à la formation du personnel de
surveillance.
Un plan d’aménagement a été préparé mais rendu obsolète avant son entrée en application par
l’extension du parc national de Monte Alen. Sa mise à jour est en cours.
Des actions d’accompagnement de sensibilisation en milieu scolaire et propositions d’activités visant
une amélioration des conditions de vie de la population installée en périphérie du parc ont été initiées.
ECOFAC a retenu le développement touristique pour la valorisation de l’aire protégée avec des
investissements complémentaires (infrastructures d’accueil, ouverture de circuits de randonnée dans
le parc, formation de guides, etc.). A l’heure actuelle, l’auberge de Monte Alen génère des fonds
couvrant son fonctionnement, et permettant le financement de réalisations communautaires (écoles).
Une promotion du parc a été faite auprès de tours opérateurs afin d’ouvrir la fréquentation à une
clientèle internationale, avec le développement d’un tourisme de vision de gorilles.
Le résultat le plus marquant des phases précédentes consiste en la dotation de l’aire protégée en
moyens matériels et humains, et en la reconnaissance par l’Etat équatoguinéen de l’importance de
cette mission.
Il importe de conforter ces acquis en dotant le parc des moyens nécessaires à la couverture de ses
récentes extensions.
La viabilité des actions engagées devrait trouver son aboutissement dans la poursuite du
développement de l’activité touristique, et dans une meilleure connaissance des besoins des
populations afin de lier ceux-ci à la présence de l’aire protégée.
Depuis 1999, la coopération espagnole appuie la composante en finançant son fonctionnement.
Perspectives pour la troisième phase
La mobilisation de moyens pour intervenir dans les extensions du parc supposera une réorganisation
de la structure de gestion de l’aire protégée, basée sur le plan d’aménagement.
ECOFAC- Bilan seconde phase 1997/2000 - Page 149
Guinée Equatoriale
Une étude de l’utilisation des terroirs en périphérie du parc a été réalisée et a permis de délimiter
les zones d’utilisation villageoises pour le plan d’aménagement.
Le parlement de Guinée-Equatoriale a approuvé
une nouvelle législation pour les aires protégées
qui classe la zone du Monte Mitra dans les
limites du parc national de Monte Alén. Cette
zone bénéficiera du même statut de protection
que Monte Alén, conférant au parc une surface
totale de 200.000 ha. La zone de Estuario du
Muni, également proposée comme parc national,
est devenue zone protégée, avec un statut
cependant différent de celui de Monte Alén.
Désormais, la zone à partir de la rivière Uoro
jusqu’à la frontière avec le Gabon, soit plus de
300.000 ha, constitue une seule et même aire
protégée. Celui était un des objectifs du projet
en 1992.
Cette même loi classe d’autres zones protégées,
totalisant ainsi en Guinée 2 réserves
scientifiques (Sud de Bioko et Plage de Nendyi),
3 parcs nationaux (Monte Alén, Altos de Nsork
et Pico Basilé), 4 réserves naturelles (Monte
Temelón, Rio Campo, Estuario del Muni et
Corisco et Elobeyes), et 2 monuments naturels,
(Piedra Bere et Piedra Nzas). Ces zones classées
couvrent plus de 700.000 ha, soit 25% du
teritoire national . Elles regroupent tous les
écosystèmes naturels présents en Guinée.
Un des objectifs de la deuxième phase du
programme était la recherche d’autres sources
de financement pour assurer le futur du parc.
Depuis le dernier trimestre de l’année 1998,
l’Agence Espagnole de Coopération International
finance le projet, et jusqu’à la fin de l’année 2000
a contribué à hauteur de 360.000.000.FCFA.
Après une évaluation du projet, elle souhaite, si
cellec-i est concluante, poursuivre son
financement pendant la troisième phase
d’ECOFAC.
De son côté, le gouvernement de Guinée
Equatoriale a contribué pour un montant total de
64.000.000 de FCFA, et souhaite également
financer la troisième phase.
Toutes les activités développées à Monte Alén
ont pour objectif la conservation de la zone.
Aménagement de l’aire protégée
Mise en place d’infrastructures
Lors du démarage du programme, il n’existait
dans la zone de Monte Alén que très peu
infrastructures.
En huit années, la composante a construit :
- un hôtel de 10 chambres, (capacité de 20
personnes), avec restaurant, entièrement équipé
et fonctionnel;
- un bâtiment pour les bureaux et laboratoires;
- un centre d’interprétation;
- 2 logements pour les chercheurs.
- 13 logements pour les travailleurs.
- divers bâtiments techniques pour l’élevage des
aulacodes, escargots, chèvres…
- 12 économats dans les villages;
- 3 logements pour les écogardes dans le
village;
- 5 campements à l’intérieur du parc pour les
touristes , écogardes et chercheurs;
- 8 postes de santé dans les villages.
Par ailleurs, pour améliorer l’accès à l’intérieur
du parc, et dans sa périphérie, 4 ponts ont été
construits, 35 km de pistes réhabilités, et
plusieurs sentiers ont été créés à l’intérieur du
parc.
Surveillance et anti-braconnage
Une équipe d’écogardes a été formée par le
programme, recrutée parmi les anciens
chasseurs de la zone.
Ces écogardes ne sont pas assermentés, et donc
pas habilités à saisir ou dresser des procèsverbaux; leur tâche consiste à surveiller et
dénoncer les déliquants vus dans le parc. Les
autorités judiciaires se chargent d’adopter les
mesures nécessaires.
Pour le futur, il serait nécessaire d’officialiser le
statut des écogardes afin qu’ils puissent dans
des cas de flagrant délit intervenir
immédiatement.
Cartographie
Grâce à la présence du projet CUREF
(Conservation et Utilisation Rationnelle des
Ecosistème Forestiers à Guinée Equatoriale),
également financé par l’Union européenne, et à
une bonne collaboration avec ECOFAC, un travail
de cartographie du parc national de Monte Alen
a été réalisé, dotant le PNMA de cartes
ECOFAC- Bilan seconde phase 1997/2000 - Page 150
Guinée Equatoriale
Lors du démarrage du projet ECOFAC, à Guinée
Equatoriale, en août de 1992, Monte Alén ne
bénéficiait d’aucun statut de protection officiel. Il
était seulement proposé comme aire protégée,
sans que ses limites aient bien été établies.
En huit années d’existence, le programme
ECOFAC a permis de délimiter l’aire protégée,
puis à la faire cla sser en parc national d’une
usperficie de 80.000 ha. Plus tard, une
extension au sud faisait du parc national de
Monte Alen une aire de 150.000 ha placée sous
protection pour la postérité.
La base du parc de Monte Aken vue de l’hôtel : les bureaux, le centre d’interprétation, les logements des gardes, et
les logements des chercheurs
ECOFAC- Bilan seconde phase 1997/2000 - Page 151
Guinée Equatoriale
La base du parc de Monte Aken : l’hôtel (dans le fond), les bureaux et le centre d’interprétation.
topographiques, de végétation et d’occupation
des terres.
Recherche
Ces premiers résultats ont attiré l’attention de
chercheurs et d’institutions scientifiques, et des
collaborations ont ainsi été développées dans le
cadre de programmes de recherche bénéficiant
de l’appui logistique d’ECOFAC. Les travaux
doivent correspondre aux besoins de la
composante pour une meilleure connaissance du
parc dans sa tâche de gestion.
Si le protocole de recherche présenté intéresse
ECOFAC, celui-ci sollicite l’accord du Ministère
de tutelle pour son acceptation. ECOFAC fournit
l ’appui logistique, obtient les permis de
recherche, fournit un logement pour les
chercheurs à Monte Alen, le personnel d’appui,
le transport…
Lors du démarrage du programme, aucune
étude n’avait été réalisée sur Monte Alen et très
peu de données scientifiques étaient disponibles.
ECOFAC a entrepris une étude de la biodiversité
animale et végétale, ainsi qu’une étude des
populations de primates dans le parc.
Le musée des sciences naturelles de Madrid
souhaite démarrer une étude sur la faune du
parc après avoir visité le parc au cours des
derniers mois. Une proposition de protocole de
recherche est attendue qui devrait être
développé au cours de la troisième phase.
Formation du personnel
Même si quelques agents ont bénéficié de
formations extérieures, c’est essentiellement, au
cours des huit dernières années, la formation sur
le terrain qui a prévalu.
Celle-ci a été possible grâce aux nombreux
chercheurs intervenus sur la composante qui
systèmatiquement été accompagné d’agents
nationaux.
Collaborations avec les autres projets
travail
bailleur
- Biodiversité animale
- Etude et recensement des primates
- Etude tortues marines à Bioko
ECOFAC
ECOFAC
Asociacion
Amigos de
Doñana.
Zoológical
society of
London
ECOFAC.
ECOFAC.
Amigos del mar
et ECOFAC
Sociedad
española de
ciprinodóntidos
R. et F. Dowsett
ECOFAC/ULB
ECOFAC.
Jardín Botánico
de Madrid.
ECOFAC.
APTF/ECOFAC.
ECOFAC
Universidad
Nacional de
Educación a
Distancia,
George
Washington
- Etude tortues marines au continent
- Suivi des gorilles (Marivi Sanchez)
- Etude des ongulés
- Vision des baleines
- Etude poissons
- Etude des oiseaux à Monte Alen
- Biodiversité végétale
- Etude phénologie
- Etude des champignons
- Etude des orchidées
- Etude du milieu humain
- Etude sur la chasse
- Etude archéologie
La composante a veillé à développer des
collaborations avec les autres instituts ou projets
de conservation, afin de dégager toutes les
synergies possibles.
Le projet CUREF a permis de dispenser
certaines formations au personnel ECOFAC, a
travaillé sur le terrain avec ECOFAC, et a
bénéficié de l’expérience de celui-ci lors de la
préparation de la loi pour les zones protégées.
Sur l’île de Bioko, ECOFAC a travaillé de concert
avec le programme d’étude et protection des
tortues marines, géré par l’agence Espagnole de
Coopération Internationale.
dans le cadre de la réalisation du projet de
santé, s’est appuyé sur le savoir-faire de FERS,
Fédération Espagnole de Religiosas de Santé.
Appui au développement
Ce volet a vu le développement de nombreuses
initiatives, mais sans les résultats escomptés,
malgré la consultation de la population et
l’association des autorités locales.
Les premières initiatives ont concerné la mise en
place d ’économats pour répondre aux
sollicitations des villages afin de se procurer des
produits de première nécessité.
12 économats ont été mis en place dans les
villages en périphérie du parc, la composante
fournissant un premier stock, dont la vente
ECOFAC- Bilan seconde phase 1997/2000 - Page 152
Guinée Equatoriale
Travaux réalisés pour l’amélioration de la
connaissance du parc national de Monte Alen
Des activités d’élevage ont également été initiées
(aulacodes, escargots, chèvres, etc.) mais n’ont
pas rencontré l’adhésion des populations. Très
rapidement, les élevages ont été délaissés par
les personnes qui en avaient pris a
responsabilité.
En effet, au cours des mois de juillet et août
2000, période d’occupation maximale du parc
(voitures à louer pour emmener au parc les
guides, porteurs, cuisiniers, entretien des
cabanes, femmes pour laver les vêtements aux
touristes….), ce sont au total presque 300
personnes qui ont travaillé, faisant de la sorte
bénéficier à 300 familles (plus de la moitié de la
population de la zone) des actions de
conservation.
La composante a également essayé de
dynamiser l’agriculture en proposant d’écouler,
en subventionnant un camion, la production vers
Bata. Dans la plupart des cas, le camion faisait
le voyage à vide et l’expérience a été stoppée.
L’objectif pour la troisième phase est de faire du
parc une destination visitée sur l’ensemble de
l’année afin d’accroître la fréquentation du site.
Pour ce faire, une diversification des activités
devra être envisagée.
Grâce aux revenus du tourisme, des écoles ont
été construites dans plusieurs villages de la
périphérie du parc.
Valorisation de l’aire protégée
Actuellement, un projet de santé, avec
construction ou réhabilitation de dispensaires,
équipement et formation des agents de santé
est développé par la composante.
Bien que le tourisme n’ait pas été une des
orientations prévues au cours de la première
phase pour Monte Alen, la composante a opté
pour le développement de cette activité et investi
dans la construction d’une structure d’accueil
pour 20 personnes.
Des sentiers ont été progressivement
prospectés et ouverts, et des campements (très
rustiques) construits dans l’aire protégée pour
proposer des nuits en forêt.
L’expérience des dernières années montre qu’en
termes de retombées pour la population, au delà
des emplois créés par la composante (68 au
30/09/00), la seule activité qui peut réellement
générer des revenus pour les populations et
faire clairement le lien entre amélioration des
conditions de vie et conservation des ressources
naturelles est le tourisme.
Développement du tourisme
Les guides et pisteurs ont été sélectionnés
parmi les anciens chasseurs de la zone, et ont
Observation de baleines : une activité à développer pour développer un tourisme international
ECOFAC- Bilan seconde phase 1997/2000 - Page 153
Guinée Equatoriale
devait servir de fonds de roulement. Après
plusieurs mois, l’expérience s’est arrêtée, suite à
des problèmes de vols.
Le tourisme est l’activité qui s’est le mieux
développée malgré les difficultés rencontrées.
En 1995, date d’inauguration de l ’hôtel et
quasiment du début des activités touristiques en
Guinée, c’étaient 8 personnes qui visitaient
Monte Alén. En 1999, plus de 500 personnes ont
séjourné dans l’hôtel.
L’hôtel est géré avec une comptabilité
indépendante du reste du projet, et depuis 3 ans,
non seulement il s’autofinance, mais il contribue à
la construction d’écoles et logements pour les
professeurs dans les villages en périphérie du
parc.
Il est désormais plus facile obtenir des visas
tourisme, et des tour-opérateur sont intéressés
par Monte Alén, ce qui était difficilement
imaginable huit ans en arrière.
Le développement du tourisme devra être
poursuivi en troisième phase en travaillant d’une
manière plus globale et proposer au niveau de la
Guinée diverses activités (observation des
baleines, des tortues, développement du
rafting.....) afin d’en faire une destination
vendable toute l’année au niveau international.
Pour ce faire, un travail d’encadrement et
d’appui de réceptif est nécessaire au niveau de
Bata.
Information et sensibilisation
Quand ECOFAC a démarré ses activités, Monte
Alén était inconnu au niveau international, voire
national.
Le travail d’information a commencé en Guinée
par une campagne auprès de tous les villages en
périphérie du parc, expliquant les objectifs du
programme ECOFAC.
De nombreuses émissions de radio ont été
réalisées, relayées par des distribution de Tshirt, posters, etc.
Fin 2000, l’essentiel de la population en Guinée a
entendu parler du parc national de Monte Alén
et du programme ECOFAC.
Beaucoup a également été fait pour la promotion
du parc à l’étranger. Deux documentaires ont
été réalisés par la TV espagnole et diffusé.
A la suite de ces documentaires, de nombreuses
média hispanophones (journaux, chaines de TV,
etc.) se sont intéressées à Monte Alen et l’ont
fait connaître.
Fin 2000, la composante finalise le guide du
parc.
Des programmes de sensibilisation en mileu
scolaire ont été développés en utilisant le
matériel didactique produit par ECOFAC.
Un centre d ’interprétation a été crée,
s’adressant à la fois aux visiteurs et aux
scolaires. Des visites scolaires d’enfants de Bata
Le centre d’interprétation à Monte Alen
ECOFAC- Bilan seconde phase 1997/2000 - Page 154
Guinée Equatoriale
bénéficié d’une formation pour l’encadrement
des visiteurs dans le parc, et le faire découvrir
Monte Alen d’un point de vue écologique.
et de Malabo ont été organisées.
L’impact auprès des autorités locales est loin
d’être négligeable, qui reconnaissent le travail
réalisé en termes de conservation et qui
apprécient l’ouverture au tourisme.
Orientations pour la
troisième phase
- démarchant de nouveaux partenaires pour le
financement de l’aire protégée (coopération,
espagnole, compagnies pétrolières s’installant en
Guinée-Equatoriale)
- achever le plan d'aménagement du parc dans
ses nouvelles limites;
- poursuivre les activités classiques de gestion
de l’aire protégée (surveillance, sensibilisation,
appui à la population, etc.) sur toute la
superficie du parc.
- Appuyer le développement du tourisme au
niveau national par l’encadrement de réceptifs, la
conception de circuits associant la forêt aux
autres ressources naturelles médiatiques de la
Guinée (tortues marines et baleines);
- Poursuivre le travail de recherche en
développant autant que faire se peut les
partenariats avec les institutions de recherche
internationales;
- Achever le guide de Monte Alen.
ECOFAC- Bilan seconde phase 1997/2000 - Page 155
Guinée Equatoriale
Il importera au cours des trois années à venir
de consolider la protection du parc en :
Total en EUR
Total
175
949
017
550
250
124
071
353
802
128
0
185
043
799
800
900
0
238 897
0
0
0
8 520 000
ECOFAC- Bilan seconde phase 1997/2000 - Page 156
Guinée Equatoriale
68 166
8%
12
13
58
1
2
1 EUR = 650 XAF
en 1997 et 1998
1 EUR = 655,957 XAF en 1999 et 2000
824 700
226 256
197 744
27%
24%
7 674 900
798
742
671
571
145
8 758 897
1 000 000
0
1 000 000
0
0
0
0
0
1 000 000
dépenses
1999
en régie
FCFA
34 955 000
21 725 000
0
13 230 000
44 713 897
50 000
10
12
60
13
14
87 480 727
5 019 500
60 000
4 959 500
3 324 500
7 500
1 492 500
0
0
135 000
dépenses
1998
en régie
FCFA
36 033 450
31 994 450
0
4 039 000
824 700 147 066 540 128 533 677
bureaux fonctionnement CFMA
véhicules
personnel
fonds d'appui villageois
fonds d'appui projet Tortues
Imprévus
*
*
*
*
*
400 000 111 928 941
Fonctionnement
11 758 749
100 000
11 658 749
9 576 649
1 750 000
0
161 100
151 000
20 000
dépenses
1997
en régie
FCFA
15 703 950
15 703 950
0
0
200 308
Budget CF
Phase I
Phase II
EUR
174 392
Equipement
* véhicule liaison
* équipement
matériel d'information -AV - phonie
matériel de bureau
matériel mécanique et technique
matériel recherche
matériel de sensibilisation
mobilier
Infrastructure
* bâtiments postes secondaires
* bâtiments des employés
* pistes
Nature des dépenses
Composante : GUINEE EQUATORIALE
Devise : F.CFA
Phase I & II
5 645
1%
3 702 835
0
0
0
342 500
0
0
342 500
123 410
92 750
30 660
30 660
0
0
0
0
0
43 574 159
25 925 250
17 648 909
12 931 809
1 757 500
1 492 500
161 100
151 000
1 155 000
total
97+98+
99+1s00
FCFA
89 929 325
69 423 400
3 236 925
17 269 000
161
813
367
374
794
257
992
316
350
150
39 137
5%
536 949
65%
25 672 500 349 689 449
7 674 900
23
25
119
15
24
0 208 511 065
25 672 500
25 672 500
dépenses engagement
1s2000
spécifique
en régie
FCFA
FCFA
3 236 925
0
0
3 236 925
0
629
714
637
653
026
536 949
11 808
35
39
183
23
38
320 659
66 663
39 525
27 138
19 895
2 704
2 296
248
232
1 763
total
97+98+
99+1s00
EUR
137 819
106 502
4 935
26 383
65%
24%
80%
33%
79%
%
Annexe GEQ.1
Annexe GEQ.2
ECOFAC
Comparatif prévisions/dépenses
Phase II
Avenant au budget-programme n°3 - régie 1999
Composante : Guinée Equatoriale
au 30/06/00
devise : FCFA
Infrastructures
C.F.
Coop.Espagnole
avenant
+ phase 1
pm
budget 1999
en EUR
en F.CFA
en F.CFA
174 392
0
10 000 000
dépenses
1s2000
en F.CFA
3 236 925
10 000 000
4 000 000
6 000 000
0
3 236 925
0
3 236 925
0
16 500 000
0
123 410
7 000 000
4 500 000
2 000 000
1 500 000
1 000 000
0
0
0
0
0
0
0
92 750
30 660
30 660
0
0
0
0
bâtiments
campement tourisme
bâtiments employés
pistes
Equipements
200 308
véhicules
équipement
matériel informatique
matériel musée
matériel bivouac
édition livre
5 000 000
Fonctionnement
400 000
CFMA
Bata
téléphone, fax
courrier
fournitures bureau
divers
véhicules
personnel
actions :
fonds d'appui villageois
fonds d'appui projet tortues
imprévus
Total
61 000 000
342 500
6 500 000
3 000 000
1 000 000
500 000
1 000 000
1 000 000
8 000 000
37 500 000
0
32%
n.s.
n.s.
342 500
5 000 000
4 000 000
50 000
0
824 700
77 500 000
10 000 000
3 702 835
15 245
2%
100%
5 645
1%
37%
1 EUR2000 = 656 XAF
Total EUR
%
Guinée Equatoriale
Nature des dépenses
824 700
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ECOFAC- Bilan seconde phase 1997/2000 - Page 157
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