les jeunes - Eco
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les jeunes - Eco
© J.-P.Woodland / Eco-Emballages COMMUNICATION CIBLÉE Sensibiliser les jeunes > Une attention toute particulière doit être accordée aux enfants. Ce sont les trieurs d’aujourd’hui et de demain… et d’excellents intercesseurs pour inciter certains parents à trier. > Un partenariat pédagogique constitue le meilleur moyen de travailler efficacement sur le long terme avec les écoles. > Ne négligez pas les 15-20 ans, cette tranche d’âge étant la plus réfractaire au tri. Enfin, les villes universitaires devront traiter le cas particulier des étudiants. > Qui ? Les jeunes Le public « jeunes » compte 11 460 000 élèves scolarisés dont l’âge va de 3 à 18 ans, soit environ 19 % de la population française (INSEE 1999). Ils se répartissent presque également entre les établissements du primaire et du secondaire. Il est recommandé de travailler en priorité un cœur de cible, celui des élèves de CE2, CM1 et CM2, soit le cycle III (8-11 ans). Primaire ▼ ▼ ❘ « Éco-junior » permet d’informer les enseignants. (À SAVOIR) N’hésitez pas à associer les parents d’élèves, notamment pour préparer des visites de site ou des animations d’ateliers. Secondaire Maternelle, 3-6 ans Élémentaire, 7-11 ans Collège, 12-15 ans Lycée, 16-18 ans 2 400 000 élèves 3 710 000 élèves 5 350 000 élèves 21 % 32 % 47 % L’Éducation nationale et les enseignants Un solide projet pédagogique s’inscrivant dans une démarche globale d’éducation à l’environnement, dûment validé par l’inspection académique pour le primaire (par le rectorat si vous vous adressez aux plus grands) peut vous ouvrir les portes de l’Éducation nationale.Votre objectif sera donc d’engager une collaboration à long terme pour que votre projet soit adopté comme projet de classe ou, mieux, comme projet d’école ou d’établissement. Les associations Un fossé générationnel Si 89 % des Français se considèrent comme trieurs, ce n’est le cas que de 72 % des moins de 35 ans. 40 % des 15-20 ans ne trient aucun emballage ménager. Les jeunes se démarquent du reste des Français en souhaitant davantage qu’on les informe sur les bénéfices environnementaux du tri. (Source : IPSOS / Eco-Emballages, novembre 2003) Les structures d’éducation à l’environnement sont des partenaires utiles : aussi bien pour la conception et la mise en œuvre d’un programme pédagogique que pour créer les animations pédagogiques, former enseignants et ambassadeurs du tri. Bien formés, ces derniers pourront prendre le relais de ces structures. Les structures extra-scolaires Conseils municipaux de jeunes. Centres aérés et de loisirs. Centres d’action sociale. Bibliothèques, médiathèques. Activités sportives, artistiques. Colonies de vacances, scouts… Qui ? Comment ? Quand ? Plan d’actions Sensibiliser les jeunes > Comment ? Les messages et animations pédagogiques doivent : être insérés dans une démarche d’éducation à l’environnement ; porter sur le recyclage et les bénéfices environnementaux. Ce sont les thèmes les plus concrets. À un stade plus avancé, il est intéressant de sensibiliser au thème de la réduction du volume des emballages, notamment à travers l’acte d’achat ; utiliser un vocabulaire et des formulations adaptés à la tranche d’âge visée. Pensez aussi à vous inscrire dans les codes propres à chaque âge : l’univers des plus jeunes est onirique, puis le caractère ludique prime, les adolescents et les étudiants sont sensibles aux discours plutôt décalés. Formulez une idée à la fois pour éviter toute confusion. L’enfant possède une mémoire visuelle développée : utilisez des photos, images, tableaux et, bien sûr, des emballages réels ; ▼ ▼ ❘ La communication vers les enfants se prête bien à des créations imaginatives, comme ici à Cannes. être élaborés en étroite collaboration avec les enseignants et les structures d’éducation à l’environnement ; s’inscrire de manière pertinente dans les orientations pédagogiques du cycle scolaire. © Eco-Emballages 1 ▼ ▼ ❘ La visite d’un centre de tri est d’autant plus efficace qu’elle a été préparée avec l’enseignant. À savoir : dans les programmes de l’Éducation nationale, parmi les compétences qui doivent être acquises en fin de cycle III – via l’éducation civique – figure celle-ci : « Avoir compris et retenu la responsabilité que nous avons à l’égard de l’environnement » (source : BO de l’Éducation nationale, hors-série n° 1 du 14 février 2002). > Quand ? La conception et l’élaboration d’un programme pédagogique avec les partenaires éducatifs doivent être achevées en juin pour que le programme se déroule à la rentrée scolaire suivante. Un délai minimal de six à huit mois est nécessaire à sa préparation. Le déploiement du programme de communication dans les écoles se fait à partir du moment où la collecte sélective est mise en place sur le territoire de la commune. > Plan d’actions ▼ ▼ ❘ Le SYDOM du Jura a créé un journal du tri à destination des enfants. En milieu scolaire, toutes les actions menées doivent s’inscrire dans le cadre du projet pédagogique mené avec l’Éducation nationale. Le « Guide du partenariat pour les actions d’éducation sur le thème des déchets » vous aide à construire ce projet, les ateliers Rouletaboule vous suggèrent des actions pédagogiques. La collectivité peut en proposer d’autres (visites, mise en place de la collecte sélective), mises en œuvre par des ambassadeurs formés à l’animation scolaire. Qui ? Comment ? Quand ? Plan d’actions Construire et mettre en œuvre un programme Préparer des actions éducatives dans le cadre d’un partenariat avec l’Éducation nationale. ( La préparation OUTILS > « Guide du partenariat pour les actions d’éducation sur le thème des déchets ». > Vidéo « Fred et Jamie se recyclent » (informations sur les produits recyclés). – Faire un état des lieux (nombre d’établissements scolaires sur le territoire de la collectivité locale, structures extra-scolaires existantes, projets d’école connus, partenaires à mobiliser). – Recueillir les directives des élus, associer l’élu moteur au comité de pilotage. – Élaborer un plan d’action, un budget, les moyens humains affectés. – Élaborer un préprogramme avec un professionnel proposant différents types d’activités, comprenant des animations dans les classes, des outils et incluant la formation des enseignants (mettre en valeur la qualité éducative du projet et la volonté de s’inscrire dans la durée). – Présenter ce préprogramme soit à l’inspecteur d’académie, soit au responsable qu’il aura désigné, et demander la désignation de membres de l’inspection académique pour participer à un groupe de travail. La mise en œuvre – Constituer et animer le groupe de travail. – Finaliser le programme et le mettre en œuvre. – Faire connaître le programme : en interne, à tous les élus ; en externe, auprès de la presse, des parents d’élèves… – Évaluer en fin d’année scolaire la satisfaction de chaque partenaire, les activités proposées, les résultats obtenus. – Acquérir les outils pédagogiques et d’animation pour les jeunes. L’EXEMPLE À SUIVRE ■ SMICTOM d’Alsace centrale : mise en place, en partenariat avec l’inspection académique du Bas-Rhin, d’un programme pédagogique principalement destiné aux maternelles, dont la vedette est la petite sorcière Pollua. En mettant en scène ses péripéties, quatre ateliers sensibilisent les enfants au tri, aux déchets et au recyclage. POUR EN SAVOIR PLUS, CONSULTEZ LA FICHE (3E PARTIE DE VOTRE GUIDE) ■ Communauté urbaine de Strasbourg : mise en place de la collecte sélective dans les écoles primaires des zones desservies (40 écoles en un an), élaboration du programme de sensibilisation Tricétop avec l’inspection académique, formation des enseignants et des personnels de l’établissement. ( Former les ambassadeurs et les enseignants OUTIL > Formation Eco-Emballages pour les ambassadeurs «Comment réussir vos actions de sensibilisation auprès du public scolaire?» (5 jours). On ne s’adresse pas aux enfants comme on s’adresse aux adultes. Il ne s’agit pas seulement d’employer un langage simple ni de transmettre des informations, de convaincre, de faire faire, mais d’ouvrir l’esprit des enfants, de susciter leur curiosité et de leur permettre d’acquérir des savoirs qui engendreront un changement durable de comportement. Formez les ambassadeurs à l’animation en milieu scolaire. Qui ? Comment ? Quand ? Plan d’actions Sensibiliser les jeunes Formez et sensibilisez les enseignants. ( OUTIL PÉDAGOGIQUE > Les Ateliers Rouletaboule (Eco-Emballages/réseau École et Nature), écoles primaires (du CE2 au CM2) et collèges. Formez et sensibilisez les enseignants sur la collecte sélective. Ils pourront décliner cette question de manière transversale dans les différentes matières abordées. Demeurez à l’écoute de leurs besoins pour leur proposer des initiatives pertinentes. Motivez-les (abonnement à « Éco-junior », site Éco-junior). 1 À savoir : l’inspection académique organise des réunions pédagogiques d’information avec les enseignants. Informez-vous sur les thèmes abordés pour pouvoir saisir toute opportunité d’intervenir afin de parler de la collecte sélective et de l’éducation à l’environnement. Organiser des visites de sites L’ensemble du cycle de vie et de recyclage de l’emballage se prête à des visites. Les enfants en sont particulièrement friands… Faites visiter vos propres installations (déchetteries, centres de tri, plates-formes de compostage, une filière de recyclage ou encore un site de production d’emballages). Veillez à disposer d’un guide formé qui sache se mettre à la portée des enfants. Associez les enseignants à la préparation de ces visites. L’efficacité de celles-ci dépend étroitement de la qualité du travail effectué en classe en amont et du débriefing qui doit les suivre. L’EXEMPLE À SUIVRE ■ La Communauté urbaine de Dunkerque : création d’une « route du recyclage », où toutes les étapes du cycle de l’emballage peuvent être illustrées par une visite de site de production, de tri, de recyclage. Impliquer les jeunes dans des actions locales L’éducation à la citoyenneté et à l’environnement doit se faire dans un cadre de vie proche de celui des enfants Être acteur à l’école Un programme pédagogique sur le tri et le recyclage doit être accompagné au minimum par la mise en place de la collecte sélective dans l’école. Être acteur en dehors de l’école – Les adolescents ont besoin de projets impliquants, concrets. Proposez-leur de devenir acteurs de la collecte sélective en participant à des débats ou à des réunions dans le cadre de manifestations consacrées à l’environnement, d’organiser ou de prendre en charge des animations, des jeux, des concours. ▼ ▼ ❘ Ne pas oublier de parler de ses actions de sensibilisation auprès des jeunes dans sa lettre du tri… Qui ? Comment ? Quand ? Plan d’actions – Faites plancher votre conseil municipal de jeunes ou d’enfants sur les mesures pouvant inciter les habitants à trier leurs déchets ou sur un projet plus large en matière d’environnement. Mettez en valeur leurs propositions dans vos outils de communication (journaux municipaux, sites Internet, relations presse, guide du tri…) et en donnant une traduction concrète à leurs propositions. – Réservez une page dans votre journal du tri afin de valoriser ces initiatives jeunes. LES EXEMPLES À SUIVRE ■ Communauté de communes de l’Auxerrois : deux classes de CM1-CM2 ont écrit et mis en musique une chanson puis enregistré un CD audio et dessiné sa pochette (« Terre re-belle »), chantant le tri des emballages. ■ Communauté d’agglomération de Reims : élaboration d’une charte de l’éco-citoyen à partir des réflexions menées par deux classes. Elle figure en préambule des nouveaux guides du tri. Cette agglomération a aussi distribué aux enfants un cahier pédagogique (quiz, jeux, dessins) pour faciliter la mémorisation des messages débouchant sur l’attribution d’un diplôme, « As du tri sélectif ». ■ SIROM des 7 cantons (Somme) : organisation pour les jeunes d’un concours chaque année depuis 1997 : – 1997-1998 : la meilleure page du journal du tri ; – 1998-1999 : promouvoir aujourd’hui le recyclage des végétaux ; – 1999-2000 : concevoir un jeu de société sur le tri sélectif ; – 2000-2001 : créer un spectacle sur le tri sélectif (18 spectacles sur le tri réalisés par 600 élèves) ; – 2001-2002 : communication autour du thème « Comment faire pour avoir moins de déchets et pour économiser l’énergie » ; – 2002-2003 : à la découverte du centre de traitement des déchets de Thieulloy-l’Abbaye (réalisation d’affiches incitatives et informatives sur les quatre sites de traitement : déchetterie, centre de tri, centre de stockage et plate-forme de compostage). ■ Alençon : adoption par le lycée technique Mezen de la norme ISO 14001 enjoignant l’établissement à réduire les impacts sur l’environnement des activités du lycée. POUR EN SAVOIR PLUS, CONSULTEZ LA FICHE (3E PARTIE DE VOTRE GUIDE) ■ Communauté de communes de Compiègne : pour décourager le vandalisme, les enfants d’une cité ont décoré le local propreté à l’initiative du gardien de l’immeuble. © Eco-Emballages ❘ Sensibiliser les jeunes sur les lieux qu’ils fréquentent ; ici, la plage du Havre. ▼ ▼ ▼ ▼ ❘ Des collectivités ont créé des supports spécifiques pour les enfants. – Proposez des projets technologiques (création de pages Internet ou d’un CD-Rom sur la collecte sur le site de l’école), culturels (création d’une BD sur le tri, enregistrement d’un CD audio) ou artistiques (réalisation de fresques, de sculptures…). Qui ? Comment ? Quand ? Plan d’actions Sensibiliser les jeunes ( OUTILS > « Les défis du tri », jeu de l’oie. > Spectacle « Les Frères Rippetout ». > CD audio « Les Frères Rippetout ». > À partir de 9 ans : jeu de société « Éco-tri ». > Jeu « Détri tout ». > Quiz. > « Éco-junior », le magazine des jeunes éco-citoyens www.ecoemballages.fr/ juniors (informations, jeux et exercices autour de 10 thèmes). > L’Expo-kit, qui peut être installée dans le hall d’entrée des écoles, des médiathèques, des bibliothèques. Organiser des événements ludiques Vos événementiels sur la collecte sélective doivent comporter un volet jeunes, sans oublier les plus petits (concours, spectacles, défilés, goûters, rallyes, etc.). Entrez en contact avec les structures extra-scolaires : centres de loisirs, centres aérés, associations sportives, artistiques… LES EXEMPLES À SUIVRE ■ Communauté d’agglomération du bassin d’Aurillac : elle a lancé trois concours : sculpture avec des matériaux recyclés (maternelles) ; réalisation d’un tableau sur le thème des déchets, exposé ultérieurement au centre de tri (primaires et collèges) ; réponses à un questionnaire sur le tri et l’environnement et réalisation d’un dossier en ayant accès à l’espace multimédia. Prix : visioconférence environnementale avec une école du Québec, site Internet pour la classe. ■ SIREDOM : explication, à l’occasion des Recyclades 2001 à Évry, du tri aux tout-petits sous la forme de contes pour enfants, en faisant intervenir des conteurs. ■ En Haute-Vienne : pour les Recyclades 2001, la ville de Saint-Junien a organisé une fête populaire autour du tri : fabrication d’objets de jonglage en recyclé, puis cours de jonglerie, expositions d’œuvres en produits recyclés, ateliers de maquillage. ■ Syndicat mixte des Vosges : création d’un cahier de textes sur le tri et le recyclage, en partenariat avec l’inspection académique. Diffusé gracieusement depuis deux ans aux élèves du cycle II, il est utilisé quotidiennement par les élèves, enseignants et parents. Une nouvelle version est en cours de préparation. ■ Communauté d’agglomération périgourdine : développement, depuis 1999, d’un programme d’animations en milieu scolaire (de la maternelle au lycée) avec animations dans les classes, mise en place d’une exposition, visites de sites et formation des enseignants. Ponctuellement, les ambassadeurs interviennent dans les centres aérés ou lors des études du soir. POUR EN SAVOIR PLUS, CONSULTEZ LA FICHE (3E PARTIE DE VOTRE GUIDE) ▼ ▼ ❘ Les spectacles sont particulièrement pertinents pour les plus jeunes. ■ Angers agglomération : pour les Recyclades, sept animations ont été proposées sur la place centrale de la ville : jeu-concours défi tri (dépôt des emballages), totem et labyrinthe en balles d’emballages ménagers, exposition sur les déchets, cyberbus, vidéo, exposition-vente de produits recyclés, théâtre de rue, fanfare et jeu extérieur. ■ SMEDAR : pour les Recyclades 2001, 600 enfants des centres de loisirs ont participé à des animations (Rouletaboule, réalisation d’œuvres d’art avec un étudiant des Beaux-Arts) puis à un grand déjeuner (jeu du tri avec les emballages du repas), avant d’assister à un spectacle et de recevoir un prix. ■ Poissy : pour les Recyclades 2001, organisation des Récréations de l’emballage. Un ambassadeur du tri y sensibilise petits et grands à la collecte sélective et aux consignes de tri, et collecte l’emballage (celui-ci change à chaque récré) apporté par les enfants. ■ SYDED 46 : création, pour tous les scolaires du cycle III, d’un agenda qui présente les déchets ménagers, le tri et la collecte sélective. À chaque page, une question est posée sur le tri ou le recyclage des déchets. Qui ? Comment ? Quand ? Plan d’actions Sensibiliser les jeunes Sensibiliser les étudiants Cible difficile à saisir, et a priori plutôt sceptique, les étudiants nécessitent un effort particulier. Dans les grandes villes universitaires, ils constituent une part essentielle de la population.Allez vers eux… À l’université ou dans les écoles : lors des inscriptions universitaires, au restaurant universitaire, à la cafétéria (aide-mémoire, plaquette de sensibilisation, exposition, signalétique locaux propreté). © J.-P.Woodland / Eco-Emballages Dans les résidences universitaires : information et courriers aux résidants, partenariat avec le CROUS, formation des personnels. ▼ ▼ ❘ Les étudiants sont une cible difficile à saisir. En communiquant vers les représentants des étudiants : associations, élus à l’université et au CROUS. En montant des partenariats dans les lieux fréquentés par les étudiants : cinémas, cafés, bars et boîtes de nuit. Pour que les étudiants adoptent la « tri-attitude », faites preuve d’humour dans vos messages et n’hésitez pas à utiliser un ton décalé. LES EXEMPLES À SUIVRE ■ Communauté d’agglomération de Poitiers : pour toucher ses étudiants, l’agglomération a mené des partenariats avec le CROUS, les cafetiers (sous-bocks aux couleurs du tri), les boulangers (distribution des guides du tri) et a choisi une communication décalée : « Avec tes Superzamis, utilise tes super-pouvoirs pour sortir ton sac le samedi soir. » ■ Communauté urbaine de Nancy : un ambassadeur est présent aux inscriptions universitaires pour sensibiliser les étudiants. ■ CROUS Lyon - Saint-Étienne : un animateur environnement a sensibilisé les étudiants au tri dans les résidences universitaires. Un guide du tri est remis à l’étudiant lors de son arrivée en résidence universitaire. Dans sa chambre, une fiche mémo lui rappelle les consignes de tri. Les cuisines des foyers universitaires et les locaux propreté sont également équipés d’une signalétique collecte sélective. Des animations ont lieu régulièrement au restaurant universitaire. Éduquer et impliquer les enfants Huit enfants sur dix se sentent touchés par les problèmes d’environnement mais deux sur dix seulement se sentent impliqués directement dans ces questions. Si huit sur dix enfants ont déjà eu accès à des informations sur l’environnement, ils sont sept sur dix à en demander plus par le biais de mises en situations (participation à un projet environnemental) dans lequel ils vont pouvoir agir. Si sept enfants sur dix connaissent le mot «écologie», trois sur dix seulement connaissent le mot «éco-citoyen». 1 À savoir : « Guide pratique d’éducation à l’environnement – Monter son projet », École et Nature/Eco-Emballages. www.ecoemballages.fr/juniors Enquête « L’environnement à l’aube du 3e millénaire : comment les enfants l’imaginent-ils ? » Enquête « Dessine le lieu de vie dont tu rêves ». (Enquête Junior City / Eco-Emballages 2004) Contact > ECO-EMBALLAGES > SIÈGE : 01 40 89 99 99 – DR NORD-EST : 03 88 78 90 20