dossier de presse
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DOSSIER DE PRESSE présente Exposition TRIPLE LoMBRIC du 14 au 31 mai Paris, le 02 janvier 2009 Exposition de photographies contemporaines, sculptures, dessin, court-métrage,… détente à l’initiative de Eyes Wide Shoot. La soirée, reprendra la dynamique inaugurée en 2008 : démocratisation de l’art et animations culturelles. L’événement : nouveau thème et nouveau concept COMMUNIQUÉ DE PRESSE Truc-Anh, connaît depuis plusieurs années un fort succès dans le monde artistique international. Grâce à son style décalé et improbable, il nous invite à pénétrer son univers à travers deux discours : 88 Doors, 88 tirages de collectes d’objets représentant chacun, une porte ouverte vers son monde imaginaire ; L’Opéra de Stanley, série de photographies évoquant les différentes strates d’une personnalité aussi complexe que celle de Stanley et de son manipulateur : Truc-Anh. Eyes Wide Shoot met « l’art », sous toutes ses formes, au centre de la manifestation : court-métrage, récit plastique, art oratoire…Evasion garantit. Tous les bénéfices seront reversés au profit du programme d’aide aux artistes mené par Eyes Wide Shoot. Cet événement sera marqué par la présence de Miss Arti Mathur, Art consultant, marraine d’Eyes Wide Shoot. Vernissage « Triple Lombric » Jeudi 14 mai à partir de 19h Les Voûtes, Paris www.eyeswideshoot.com Programme de la soirée 19h00-21h00 : Vernissage de l’exposition « 88 Doors/Stanley » 21h00-21h30 : présentation de l’artiste et conférence autour de ses œuvres. 19h00-23h30 : Court-métrage sous voûte : « Stanley et la profondeur de champs», « Stanley s’éveille» de Truc-Anh. (2008) À propos de Eyes Wide Shoot Eyes Wide Shoot créée en 2008 à l’initiative de Mlle Rachel Marcovic. La société a pour double vocation de démocratiser la diffusion d’arts contemporains, par la promotion de jeunes talents de la scène artistique actuelle tout en facilitant l’acquisition de photographies d’art (tirages limités / prix accessibles). Cette aide est réalisée par le biais d’expositions insolites itinérantes et d’une galerie en ligne. Eyes Wide Shoot souhaite sensibiliser les populations aux meilleurs de la création photographique contemporaine. Parmi ces adhérents figurent à ce jour : Thierry Bardonnaut, Laetitia Ramseier, Julien Crusson et Rachel Marcovic.... Exposition TRIPLE LoMBRIC du 15 au 31 mai Vernissage le jeudi 14 mai à 19 h Les Voûtes 10 rue des Frigos 75013 PARIS CONTACT PRESSE Rachel MARCOVIC Directrice Création et développement 06 18 46 57 40 [email protected] Sandrine Van Campo Directrice Communication 06 81 16 89 41 [email protected] 2 bis rue Dupont de l’Eure 75020 PARIS www.eyeswideshoot.com DOSSIER DE PRESSE SOMMAIRE 1. Biographie de l’artiste….…......................….. 2. Présentation de l’exposition...................….. 3. L’Opéra de Stanley...................................... 4. 88 Doors...................................................... 5. Quelques visuels.…..................................... L’Opéra de Stanley 88 Doors 6. Un lieu d’exception : Les Voûtes........…..... 7. Eyes Wide Shoot…….................................... 8. Informations pratiques….……............…….... 9. Sponsors et remerciements.....…………….... p.6 p.7 p.8 p.9 p.10-11 p.12 p.13 p.14 p.15 BIOGRAPHIE DE L’ARTISTE « If the doors of perception were cleansed, every thing would appear to man as it is: infinité » («si les portes de la perception étaient nettoyées, toutes choses apparaîtraient telles qu’elles sont: infinies ») William Blake. Truc-Anh HUA est né à Paris en 1983 d’une famille d’immigrés vietnamiens. Il entre à L’Ecole Boulle à Paris puis, à 19 ans, la Cambre, l’Ecole National Supérieure des Arts Visuels de Bruxelles, lui ouvre ses portes. En 2007, il valide un Master en Arts Visuels et obtient son agrégation. De 2005 à 2006, il entreprend une « Année de Perfectionnement en Arts Visuels » à l’ECAL, (Ecole Cantonale d’Art de Lausanne) où il peaufine la pratique picturale et reçoit à cet effet le Prix Manganel pour ses peintures. La collection de l’Espace Lausannois d’Art Contemporain (ELAC), fera, dans le même temps, l’acquisition d’une de ces peintures pour sa collection personnelle. Après « L’Opéra de Stanley », son dernier travail photographique exposé au BOZAR, puis à la galerie Rosendaal d’Amsterdam pour son ouverture en octobre 2008 et au White Hotel de Bruxelles le 6 décembre 2008, Truc-Anh nous offre cette fois-ci, une nouvelle porte d’entrée vers son univers. « 88 Doors » s’officialise par sa première exposition à la Librairie Saint-Hubert des Galeries Royales de Bruxelles. Ce travail photographique est le résultat d’une collection personnelle d’objets étranges ou parcellement identifiables entreprit dès son adolescence. L’idée est de nous faire redécouvrir, sous un nouvel angle d’approche matérialiste les objets qui nous entourent. Il sublime « l’infiniment » petit par « l’infiniment » grand ; nous met face à notre propre échelle. AWARDS 2008 2007 2006 Sélection POZE, Bozar, Bruxelles, B Sélection Prix de la Ministre de l’Enseignement, La Louvière, B Sélection Prix Art’Contest 07, Bruxelles, B Prix de la Fondation Manganel, Lausanne, CH CURRICULUM VITAE PUBLICATIONS 2008 2007 2006 04-12 L’Opéra de Stanley, Expo Revue, B Jeunes Talents , Mensuel KunstBeeld, NL Quotidien 24h, Lausanne, CH Osso No Bucco, l’Atelier, Genève, CH Neuf Vies, Edition de 9 cartes pour 9 artistes pendant 9 ans, F SOLO SHOW 2009 2008 2006 2005 L’Opéra de Stanley, Espace de la Librairie St Hubert, Bruxelles, B Narcisse, Albus Lux, Roosendaal, Hollande, NL L’Antichambre de Stanley, White Hotel, Bruxelles B iDéDo, Galerie du Moment, Bruxelles, B Exposition Momentanée, espace privé, Paris, F GROUP SHOW 2008 2007 2006 2004 2002 POZE autoportrait, BOZAR, Bruxelles, B Plastic, White Hotel, Bruxelles, B Impermanent, De Kleine Gallery, Rhode St Genèse, B Photographie Belge, Galerie M2N, Paris, F Abris rêvés, Centre de la Gravure de l’Image Imprimée, La Louvière, B Open Screen, Photogallery et View pour la Nuit Blanche, Bruxelles, B Exposition des sélectionés, Prix Art’Contest 2007, Bruxelles, B Photo+Peinture, CEAC la Centrale Electrique, Bruxelles, Belgique, B FF-F-IN, ELAC Espace Lausannois d’Art Contemporain, curated by Stephanie Moisdon, Lausanne, CH Green Piece, ECAL curated by Gloria Friedmann, Lausanne, CH Chat , La Médiatine, Woluwé, B Mythe Assassiné, Label Cédana, Festival Bxl BRAVO!, B Action painting, ULB Université Libre de Bruxelles, B Maison ouverte, espace privé, Ixelles, B PRÉSENTATION DE L’EXPOSITION Stanley &Co L’univers de Truc-Anh se déploie dans une forme éclatée dont les extrémités tiennent par une force vertigineuse de gravitation. Pour son exposition dans les voûtes, il a choisi de présenter des photographies extraites de deux séries en cours (la série des Doors et celle dite de L’Opéra de Stanley) et quelques sculptures agissant comme le liant qui donne sa forme à l’abrasif. On est d’abord frappé par ses Doors qui s’annoncent comme un compte à rebours infernal : traumatisé par une échelle inidentifiable, on ne peut que se faire happer par cette multitude de détails, de contorsions émanant d’un noir limbique. Cette série dont les occurrences sont répertoriées sous la désignation Doors # 88, Doors # 87, Doors # 86 (et ainsi de suite en décroissant) est constituée de photographies montrant chacune une babiole agrandie (les tirages carré font 150cm de côté) et transmutée en phénomène physique. Des bagues de marché aux puces deviennent des maelstrom ou s’approprient tout à coup la sophistication d’un anneau des Nibelungen… Il y a bien un passage, un franchissement de ces portes qui nous conduit du toc pour touriste au sublime. La deuxième série met en scène son pseudo-héro, Stanley, personnage solitaire évoluant dans des espaces vampirisés, vidés de toute présence humaine, se détachant lui aussi de fonds quasi wendersien : Truc-Anh, paré de sa grenouillère rose, a effectué ces autoportraits aux États-Unis et en Norvège… On pense au personnage muet et amnésique de Paris-Texas. C’est qu’il faut demeurer isolé, délibérément, pour développer le fameux syndrome de Peter Pan et promouvoir (et incarner) aujourd’hui un super-héro dont les aventures désuètes ne sont pas dépourvues d’une note existentielle. Les photographies de Stanley sont réunies sous l’appellation d’Opéra : Truc-Anh souligne, par ce titre générique, la dimension narrative et la polyphonie de cette série inaugurée en 2007 qui s’attache à « la représentation de quelques vies et de quelques morts ». La rime visuelle qui assujettit Stanley à ses multiples réapparitions en milieu décalé est la même qui, à la manière d’une « incantation » affirme Truc-Anh, travaille à la perte des repères dans la série des Doors : leur motif répété fatigue l’œil toujours à la recherche d’un terrain stable où se reposer tel Stanley dans Stanley regarde les WSOP (couché sous le sofa qui lui permettrait de regarder, en position assise, les World Series Of Poker) ou Stanley chez les Incas (allongé,à l’aube, parmi une armée de transats sur quelque plage désertée). C’est paradoxalement leur exacte définition qui permet à ces Doors (en fait, pour la plupart, des objets familiers), d’acquérir cette sorte d’inquiétante étrangeté. En restant le plus fidèle possible dans leur rendu, Truc-Anh arrive néanmoins à révéler de ces pacotilles des aspects inattendus, surréels et déroutants. Pour la première fois présentées conjointement, ces deux séries se réfléchissent et sont appuyées ici d’une sculpture intitulée Queen Mother qui, dans sa manipulation possible (une vidéo qui l’accompagne, mais qui vaut comme œuvre à part entière, nous montre les mains de l’artiste la retroussant), semble poser comme l’antidote d’un trop-plein d’ésotérisme et timorer le spectaculaire envoûtement des Doors : Truc-Anh, magicien peu soucieux de révéler ses habiletés nous dévoile ses effets d’optique dans du faitmain. Le pliage et le mouvement réel cette fois-ci ramènent aux surplis des Doors et à l’impression d’expansion qu’ils procurent. Ces pliages peuvent aussi évoquer les différentes strates d’une personnalité aussi complexe que celle de Stanley et de son manipulateur : Truc-Anh. Frédéric Chapon, rédacteur de Frog et Code Magazine L’Opéra de Stanley THÉMATIQUE 1 : L’OPÉRA DE STANLEY ou la représentation de quelques vies et de quelques morts L’Opéra de Stanley est un ensemble d’autoportraits photographiques débuté en 2007 et réalisé en divers lieux de France, des Etats-Unis ou encore de Norvège. Mais la référence exacte des lieux importe généralement peu. Dès lors que ces derniers sont utilisés pour leur potentiel narratif, ils deviennent « décors » ; étrangers de toutes cohérences géographiques ou historiques. Le franchissement de ces limites par le personnage produit un effet de « mirage obsessionnel ». Une sensation visuelle plus largement développée dans la série 88 Doors. Stanley est vêtu d’une grenouillère rose. Elle formalise d’une part, le costume d’un super héros bas de gamme et d’autre part, un refus de maturité appelé « Syndrome de Peter Pan ». L’irruption du personnage dans différents décors vides de toute population produit une forme d’incongruité. Il a l’air, somme toute, assez con. Stanley ne fait rien, il existe. Son apparition répétée fonctionne comme un running gag, soutenu par les titres répétitifs qui citent entre autres, les innombrables albums de « Tintin » ou de « Martine ». Stanley plie le coude, tirage mat sur dibon, 60 x 90 cm, 2008 J’ai voulu créer un personnage populaire dont les aventures soient dérisoires (Stanley fait du racket, Stanley plie le coude), existentielles (Le Purgatoire, Stanley éprouve la Terre), ou métaphoriques (L’œsphage de Stanley, Stanley est en réunion). J’ai toujours aimé me déguiser. Aussi, c’est par l’intermédiaire d’un alter ego masqué que je questionne aujourd’hui mon rapport au monde avec, je l’espère, tristesse et dérision. Truc-Anh VISUELS Stanley et le cheval nocturne, 2007 C-Print sur dibon 60 x 80 cm 2/8 Stanley s’insère, 2009 C-Print sur dibon 60 x 90 cm 2/8 88 DOORS Où peut bien mener une porte ronde? THÉMATIQUE 2 : 88 DOORS Je n’en sais trop rien. Je sais seulement qu’il y en a 88, chiffres qui appellent par leur forme à notion d’infini, et que le format de leur titre, Doors #XX, cite l’anonymat des chambres d’hôtel. Et si le spectateur a accès à toutes ces portes, c’est qu’il se trouve dans long couloir. 88 Doors est un ensemble fractionné, 88 fois, de natures mortes tirées en grand format : 150 cm sur 150 cm. La taille est importante. Elle permet deux lectures qui, d’habitude, sont contraires. D’un côté, la lecture hyper réaliste, chirurgicale même, d’un objet familier et d’un autre côté, sa possible métamorphose en objet de fiction. Talismans, planètes, constellations, vestiges d’une civilisation éteinte, trous noirs, trajectoires d’orbites, objets de culte, ADN vénusien, écailles de dragon, pupilles robotiques, cellules d’esprits revenants, apparitions révélatrices. Malevitch n’est pas loin. L’angle de vue frontal, déjà développé dans la série l’Opéra de Stanley (Stanley likes NY, Stanley fait la Dame Blanche), lui aussi devient ambigu. La décontextualisation d’un objet sur fond neutre rappelle, en effet, la mise en page des schémas éducatifs. Ceux-là même qui interviennent à chaque étape de notre apprentissage du monde. « Ceci est un zèbre. ». « Ceci est le monde. ». Il est pourtant difficile de référencer ou seulement de nommer ce que l’on voit dans les Doors. On voit sans pouvoir regarder. Il s’agit en réalité de parasiter la connaissance d’une chose en utilisant les codes visuels généralement utilisés pour la connaître. C’est d’ailleurs à ce jeu-là qu’a joué Renée Magritte dans ses célèbres peintures d’objets en changeant simplement le titre. « Acacia » pour titrer l’image d’un œuf. Bien que pris par l’impossibilité de qualifier ce qu’ils voient, les yeux continuent bizarrement d’être attirés par l’image. Cela pour deux raisons. La première, ils répondent naturellement à l’invitation Doors #87, tirage mat sur dibon, 150x150 cm, 2008 aptyque (envie de toucher ce qu’on voit) de l’image due à sa grande résolution. La deuxième, la répétition d’un motif demande un travail permanant de l’œil pour se reposer dans une forme stable. La rime visuelle incessante, elle, fonctionne comme une incantation qui, à l’encontre d’un savoir défini, mène à la perdition des repères. Truc-Anh VISUELS Door #82, 2008 C-Print sur dibon 150 x 150 cm 1/8 L’association « Les Voûtes » a pour objectif de sauvegarder quatre voûtes situées sous la rue de Tolbiac ainsi que la création, l’entretien et l’évolution d’un jardin attenant. Ce lieu alternatif où la priorité est donnée aux expressions nouvelles, nous est apparu comme le lieu idéal pour l’exposition du travail de Truc-Anh. « Les Voûtes » représente un cocon qui fait échos aux formes circulaires des « Doors » de Truc-Anh. C’est un îlot paisible et vert au cœur de Paris, une planète isolée qui aurait très bien pu être un des décors de Stanley, un lieu insolite et improbable à l’image des collectes de Truc Anh ou des lieux dans lequel il photographie son anti héro : Stanley. LE LIEU On y entre comme dans un lieu sacré, « Les Voûtes » créées l’intimité avec le spectateur, un rapport à l’espace et au corps très particulier, que nous recherchons pour la présentation de ces œuvres. De la même manière, « 88 Doors » nous renvoi à notre propre dimension humaine, on est face à des natures mortes de grand format (150x150 cm), à la taille quasi humaine, c’est Lilliput au cœur d’un cocon. L’association prend en compte la vie socio-culturelle locale en tissant des liens entre les Frigos, les habitants du quartier et les visiteurs. De cette initiative, nous souhaitons faire intervenir la vie associatives et commerçantes du quartier afin de créer un événement propre à son environnement. L’idée est d’encrer le travail de Truc-Anh dans cet environnement, de manière harmonieuse et cohérente. La société Eyes Wide Shoot, a pour objectif de sélectionner ses lieux d’exposition en fonction de la démarche artistique des artistes qu’elle représente afin de rendre cohérent l’ensemble des moyens mis en œuvre. L’association se charge d’entretenir et faire prospérer le Jardin, bien inestimable commun aux Frigos et aux Voûtes, et en espère la pérennisation et son extension. Conception et réalisation présentée EYES WIDE SHOOT Créée en 2008, à l’initiative de Mlle Rachel Marcovic, la société a pour double vocation de démocratiser la diffusion d’arts contemporains, par la promotion de jeunes talents de la scène artistique actuelle tout en facilitant l’acquisition de photographies d’art (tirages limités / prix accessibles). EWS souhaite vous sensibiliser aux meilleurs de la création photographique contemporaine. EWS propose un nouveau concept de diffusion artistique en mêlant édition et exposition, ORAGANISATION aide au développement en direction d’artistes contemporains, médiation artistique et communication. Notre action porte sur 5 axes différents complémentaires : DIFFUSION ARTISTIQUE : réalisation d’expositions itinérantes et insolites, galerie virtuelle, édition de collaboration mêlant images, textes, mises en scène sonores, performances, installations, etc. EWS propose un catalogue esthétique hétéroclite qui reflète son esprit, afin de promouvoir de nouveaux artistes auprès d’un public plus large. AIDE AU DEVELOPPEMENT : assister nos jeunes artistes dans la mécanique de production de leurs œuvres photographiques par le financement, en amont, de leurs frais de réalisation. MÉDIATION ARTISTIQUE : organisation d’événements artistiques hors du commun et du «déjà vu», afin de promouvoir le renouveau de l’art contemporain. En sortant du cadre conventionnel des galeries ou musées, EWS veut coller à la mouvance de diffusion artistique actuelle (cf. Explosion du « low cost » artistique : Art Génération, AAF, etc.). Nous ne sommes pas des « faiseurs d’images », nous voulons représenter les artistes contemporains et l’art au sens le plus noble du terme. COMMUNICATION : Eyes Wide Shoot se place en tant que prestataire de service en matière de communication et d’évènementiel pour les professionnels à la recherche d’innovations et d’évolutions, ainsi que pour les artistes qu’elle promeut. PLAN D’ACCES ASSOCIATION LES VOUTES 19 rue des Frigos 75013 Paris Lignes Métro : M 14 Bibliothèque • M 6 Quai de la Gare Lignes Bus : 89 - 62 REMERCIEMENTS Ce projet n’aurait pu se réaliser sans la bienveillance et l’attention des nombreux adhérents et la présence amicale des locataires des Frigos et de la Mairie de Paris. SPONSORS Remerciements particuliers à Mme Evelyne Bourgeois et Miss Arti Mathur. bétonsalon