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Par Marie-Hélène Courtat
Les "pouvoirs inexpliqués"
des animaux
selon Rupert Sheldrake
Carte ancienne de la série :
"Les gens dans les bêtes"
d'après Grandville.
UNE SCIENCE RÉTICENTE
Toutefois ceci a été ignoré de la science
institutionnelle à cause du tabou qui empêche,
dans nos sociétés, de considérer les animaux familiers avec sérieux et attention. Cette attitude
résulte de l’écart qui nous sépare de plus en plus
du monde animal. Stimulées par la science et la
technologie, nos sociétés ont généré une conception mécaniste du vivant, une vision qui est issue
de la théorie cartésienne selon laquelle l’homme
et le monde fonctionnent comme une machine.
Les animaux et les plantes passant pour génétiquement programmés, leur exploitation est
considérée comme allant de soi. De retour chez
eux, les travailleurs humains retrouvent pourtant
leurs compagnons à quatre pattes, mais leur observation demeure une affaire purement subjective ou privée. Les expériences menées avec eux
ne relèvent pas du monde réel objectif. Le tabou
mentionné plus haut ne constitue qu’une des
raisons pour lesquelles l’objet de ce livre resta
négligé par la science institutionnelle. Il est un
autre tabou qui entoure les phénomènes psychiques, qui sont plus fréquents qu’on ne le
pense. Ils sont appelés «paranormaux» du fait
qu’ils n’entrent pas dans les catégories traditionnelles de la science et sortent du cadre de
la théorie mécaniste du monde.
DÉMARCHE EXPÉRIMENTALE
DE RUPERT SHELDRAKE
C’est toutefois en scientifique convaincu que R. Sheldrake choisit d’ignorer ces
tabous. Pour lui, est réellement scientifique
toute méthode d’investigation non restrictive,
attentive aux preuves permettant de confirmer
les ehypothèses possibles au moyen d’une démarche expérimentale. L’investigation participe, en effet, davantage du véritable esprit de
la science que la négation systématique.
Au cours de ses recherches, trois types
d’approche complémentaires furent utilisés.
En premier lieu, des centaines de personnes
familières des animaux, souvent pour des raisons professionnelles : maîtres-chiens, vétérinaires, employés de zoos, éleveurs, etc., ont
été interviewées. Plus de deux mille témoignages relatifs à des comportements susceptibles
d’accréditer l’existence de facultés perceptives
inhabituelles ont été ainsi recueillis. Dans un
deuxième temps, des sondages réalisés au sein
de familles, en Grande-Bretagne et aux EtatsUnis, afin de mesurer la fréquence des divers
types de perceptions manifestées par les animaux ont été méthodiquement analysés. Enfin en troisième lieu, le bien-fondé du crédit
accordé à leurs animaux par les personnes interrogées a été examiné au moyen de procédés
expérimentaux rigoureux.
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ÉNIGMES DE LA SCIENCE
Rupert Sheldrake
n’est pas
seulement le père
de la théorie
des champs
morphiques,
il s’est aussi
beaucoup
intéressé aux
comportements
des animaux,
dans lesquels il
observait une
confirmation de
l’existence de ces
champs .
L
es animaux possèdent des facultés depuis
longtemps perdues par l’être humain.
Dans cet ouvrage paru en 1999, Rupert
Sheldrake fait état de cinq années de recherches
sur les pouvoirs de perception des animaux, effectuées grâce à plus de 2000 propriétaires d’animaux de compagnie et de dresseurs.
Les pouvoirs inexpliqués, mystérieux, propres à l’espèce animale, ne sont pas une nouveauté. On compte par millions les détenteurs
d’animaux familiers qui en ont fait l’expérience.
Chiens anticipant le retour de leur maître, chats
«répondant» au téléphone lorsqu’une personne à
laquelle ils sont attachés est au bout du fil. Chevaux regagnant leur domicile en empruntant des
itinéraires qui ne leur sont pas familiers, animaux
pressentant l’imminence d’un séisme. Autant de
comportements qui suggèrent l’existence, chez
eux, de certaines formes de perceptions dépassant les critères scientifiques reconnus à ce jour.
SPM
ÉNIGMES DE LA SCIENCE
TÉLÉPATHIE, SENS DE
L’ORIENTATION ET
SENS PRÉMONITOIRE
Trois grands types de perceptions inexpliquées rencontrées chez les animaux
ont retenu l’attention de R. Sheldrake : la télépathie, le sens de l’orientation et le
sens prémonitoire.
• La télépathie : certains chiens ainsi que d’autres animaux de compagnie sont
en mesure de «connaître» le moment du retour de leur maître à la maison. Des
vidéos l'ont prouvé en utilisant des heures choisies de manière aléatoire et par des
moyens de transport différents. Certains animaux répondent également par le
moyen de la télépathie, à des appels ou à des ordres silencieux. Certains «savent»
qui téléphone, d’autres réagissent quand leur maître se trouve en danger. Nous
supposons que ces communications télépathiques reposent sur des liens – qui ne
sont pas des métaphores mais des connexions réelles – existant entre humains et
animaux. Formé à partir d’une double racine grecque, le mot télépathie signifie
littéralement «sentiment à distance». Si les chiens répondent télépathiquement à
leur maître, c’est bien qu’ils captent, d’une manière ou d’une autre, les pensées
ou les sentiments de celui-ci.
• Le sens de l’orientation : Les pigeons voyageurs et les hirondelles sont parfaitement capables de retrouver le lieu d’où ils sont partis après avoir survolé d’immenses territoires inconnus, alors qu’aucun sens olfactif ne peut rendre compte
de cette capacité. Les chats, les chiens et les chevaux sont aussi capables de retrouver le chemin de leur domicile depuis des lieux non familiers très éloignés. Tout
se passe comme si un cordon élastique les attachait à ce lieu. Il arrive aussi que ce
lien relie l’animal à un être humain, certains animaux étant capables de retrouver
leur compagnon dans un lieu qui leur est inconnu.
• Le sens prémonitoire : Certaines prémonitions peuvent s’expliquer en termes
de stimuli physiques. Il en est ainsi probablement pour la survenue des tremblements de terre ou pour l’imminence d’une crise d’épilepsie pour le maître d’un
chien, mais il en existe d’autres qui sont plus mystérieuses.
Tout cela relève de perceptions extrasensorielles, c’est-à-dire qui s’établissent
au-delà ou en dehors des sens connus. La science ne peut progresser qu’en dépassant les limites courantes. R. Sheldrake espère démontrer avec cet ouvrage qu’il
est possible d’enquêter scientifiquement sur les pouvoirs encore inexpliqués des
animaux. Nous avons beaucoup à apprendre de nos compagnons animaux. Ils
ont également beaucoup à apprendre de nous.
LES CHIENS
Lorsque Edward rentre à sa maison de Wickword, ses setters irlandais se
trouvent toujours quasiment au portail pour l’accueillir. Sa femme raconte qu’ils
commencent à l’attendre entre dix et vingt minutes avant son arrivée, et en tout
cas bien avant qu’il n’engage sa voiture dans l’allée. Ceci l'intrigue d’autant plus
que son mari travaille à Londres, selon des horaires irréguliers, et ne lui donnae
généralement aucune indication sur son heure de retour. La capacité des setters
irlandais à percevoir le retour de leur maître est commune à bien des chiens. Au
cours de ses recherches aux Etats-Unis et en Europe, R. Sheldrake rassembla sur le
sujet, plus de 500 témoignages.
La première tentation fut d’attribuer ce comportement à des automatismes
routiniers acquis par l’espèce ou au fait que le chien est équipé d’un odorat très
performant et d’une ouïe très fine. Après étude, R. Sheldrake s’aperçut que ces éléments ne suffisaient pas à expliquer totalement le phénomène. Ce comportement
routinier pouvait être évoqué si les maîtres rentraient tous les jours à la même
heure. Mais dans nombre d’observations, ce n’était pas le cas, les allées et venues
des maîtres étaient aléatoires.
La plupart des chiens possèdent un sens olfactif plus développé que le nôtre ; ils sont donc probablement en mesure de flairer leur maître ou le véhicule
à une distance bien supérieure à la nôtre. Mais jusqu’où au juste ? Pour flairer
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Nous avons beaucoup à apprendre
de nos compagnons animaux.
Ils ont également beaucoup à
apprendre de nous.
Le saint-hubert, un chien au flair
particulièrement développé
Le mot télépathie
signifie littéralement
«sentiment à distance».
Si les chiens répondent
télépathiquement à
leur maître, c’est bien
qu’ils captent d’une
manière ou d’une
autre, les pensées ou les
sentiments de clui-ci
Le cheval du chaman
Peinture d'Annie Lauro
(Carte au chant
des toiles 05 53 50 74 40)
peuvent témoigner de la capacité de leur
chien à anticiper leur retour en l’absence
de tout bruit. Ainsi le mari de madame
Gavitt, habitant Morrow en Géorgie a pu
constater que leur chien commençait à
réagir au moment où sa femme décidait de
regagner son domicile et se dirigeait vers
le véhicule qu’elle avait choisi de prendre.
En fait, un certain nombre de témoignages
attestent que le chien «perçoit», quel que
soit le moyen de locomotion utilisé, le moment où la personne se met en route.
Pendant plus d'une année, R. Sheldrake
se livra alors à une série d’expériences qui
furent filmées, avec un chien qui montrait
cette faculté de pressentir le retour de sa
maîtresse : tout fut soigneusement consigné par écrit. Aucun autre animal n’a encore été observé aussi minutieusement, mais
plusieurs séries de vidéos ont été réalisées
avec d’autres chiens. Les conclusions sont
que les chiens semblent en effet réellement
savoir quand leur compagnon humain
rentre à la maison, même lorsque ce retour
s’effectue à des heures choisies au hasard et
dans des véhicules non habituels.
LES CHATS
Bien des chats semblent également savoir quand leur maître va rentrer à la maison, mais dans une moindre
proportion : 359 témoignages collectés
contre 585 pour les chiens. Il est probable
qu’une des raisons en est que les chats sont
plus indépendants et éprouvent moins le
besoin d’évoluer dans l’intimité de leur
Au moins 17
espèces animales
autres que les
chiens et les chats
paraissent capables
de prévoir le retour
d’un compagnon
humain. On y
trouve des oiseaux
et notamment des
perroquets et bien
sûr les chevaux.
ÉNIGMES DE LA SCIENCE
quelqu’un qui rentre chez lui, le chien doit
humer l’air. À supposer que le vent souffle dans la bonne direction, que l’animal
soit dehors, jusqu’à quelle distance est-il
physiquement possible à l’animal de sentir
l’approche d’une personne ? Les estimations les plus fiables considèrent que cette
distance est considérablement inférieure
à un mille (soit 1,6 km) avec un chien
saint hubert, le plus olfactivement sensible de toutes les races. Les spécialistes ont
constaté que cette race, placée vent arrière,
est capable de détecter la présence d’une
personne cachée dans une haie jusqu’à
800 mètres de distance, à condition que le
vent souffle dans la bonne direction et que
la personne reste immobile… Ceci peut
expliquer pourquoi certains chiens réagissent une minute ou deux avant l’arrivée de
leur maître, mais pas pourquoi certains le
font dix ou vingt minutes avant, et indépendamment de l’ouverture de la fenêtre
ou du sens du vent.
On sait également que l’animal peut
percevoir des sons émis à des distances
bien supérieures aux possibilités humaines ainsi que des fréquences auditives
inaudibles à l’oreille humaine. Des études
scientifiques menées en Angleterre par
Kevin Munro, selon la méthode du «Potentiel évoqué Auditif», ont établi que les
différences de perceptions entre l’homme
et le chien étaient quasiment identiques,
excepté pour la perception des fréquences
aiguës. Ceci écarte l’explication par l’acuité auditive.
Nombreux sont aussi les maîtres qui
Un fermier attentif à ses vaches
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ÉNIGMES DE LA SCIENCE
Art pictural des Bushmen - Les animaux y sont très présents.
maître. Les chats ayant la possibilité de vagabonder
librement à l’extérieur, ils adaptent généralement leur
comportement aux conditions météorologiques. Ces
fluctuations gênent la mise sur pied d’expériences filmées pour les chats, mais des observations écrites détaillées ont toutefois été réalisées. Elles ont amené à des
conclusions semblables.
À l’instar de celles des chiens, ces manifestations
sont de nature télépathiques et dépendent de la force
des liens unissant le chat et l’homme. J’avance l’hypothèse que ces liens s’établissent par le truchement des
champs morphiques et que ces derniers s’étirent mais
ne se rompent pas lorsque l’homme part et laisse le
chat derrière lui.
Les réactions des chiens et des chats anticipant le
retour de leur maître reposent sur de puissants liens sociaux noués entre les hommes et les animaux. Il existe
toutefois suffisamment de matériau permettant de penser qu’au moins 17 autres espèces animales paraissent
capables de prévoir le retour d’un compagnon humain.
On y trouve des oiseaux et notamment des perroquets
(Sur 33 témoignages reçus à propos des oiseaux, 20
concernent les perroquets) et bien sûr les chevaux.
ET CHEZ LES HUMAINS ?
Si les réactions anticipatives sont tellement
répandues chez les animaux, tout donne à penser qu’il
en va de même chez les humains. Ceux qui ont vécu ou
voyagé en Afrique connaissent bien les capacités de certains indigènes à pressentir le retour des leurs en dehors
de tout moyen de communication. Ainsi, Laurens van
der Post découvrit que les Bushmen du Kalahari étaient
en mesure de «savoir» que des membres de leur tribu
regagnaient leur camp après avoir tué une antilope à
80 km de là. Ils entendaient la mélopée entonnée en
de telles circonstances dès leur arrivée au camp. Dès
la mort de l’antilope, ils avaient été informés «subtilement».
Il est probable que le terreau qui fonde les sociétés
traditionnelles favorise davantage l’enracinement de
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Lien très privilégié du dauphin et de l'homme.
telles facultés. Nous citerons encore le célèbre «don de
double vue» des populations celtiques implantées dans
les Highlands d’Écosse qui incluait, entre autres, la
«perception» anticipative du retour de personnes provisoirement absentes. En Norvège, ce phénomène porte
même le nom de «Vardoger» qui signifie littéralement
«esprit avertisseur». Les personnes déclarent entendre
celui qui arrive dans la maison alors qu’en réalité, il
n’arrive que 10 à 30 minutes plus tard.
Analysé dans le contexte du comportement anticipatif chez les animaux, ce type de réactions s’intègre
dans une typologie beaucoup plus vaste. Le pressentiment de l’arrivée peut constituer un aspect important
de l’histoire naturelle de la télépathie. Le fait que ce
type de réactions peut affecter des bébés ou des personnes endormies montre qu’elles ne font pas appel aux
sphères les plus élevées du mental mais cheminent à
des niveaux plus fondamentaux.
TENTATIVE D’EXPLICATION
Il est à remarquer que ces phénomènes surviennent au sein de groupes dans lesquels sont établis
des liens sociaux. Les animaux sont reliés aux autres
membres du groupe par des liens invisibles. Il en va
de même pour les humains. À ces liens s’ajoutent aussi
les relations inter-espèces comme celles qui se nouent
entre les animaux de compagnie et leurs maîtres. Ces
liens d’interdépendance ne sont pas, selon R. Sheldrake,
de simples métaphores mais correspondent à une réalité très concrète, unissant durablement des individus
qui se trouvent séparés par la distance. Il n’est pas impossible que des connexions à distance constituent des
canaux de transmission télépathiques. Comme leurs
équivalents connus dans le domaine de la physique, ils
relient à distance des éléments entre eux. Ces champs
sociaux appartiennent à une catégorie particulière que
j’appelle les champs morphiques car ils ont la particularité d’évoluer et de contenir une sorte de mémoire.
Les champs morphiques maintiennent et coordonnent toutes les parties d’un système dans l’espace et
Rakham, un labrador éduqué à l'assistance. Plus qu'une belle complicité de tous les instants,
Rakham est indispensable à Guillaume qui peut vivre "autonome" dans sa maison.
dans le temps. Ils intègrent une mémoire des systèmes similaires antérieurs. Chacun d’entre nous est calé sur la fréquence d’une mémoire
collective, fort semblable au célèbre «inconscient collectif» de Jung. Les
animaux sont reliés les uns aux autres par des champs sociaux caractéristiques du groupe auquel ils appartiennent. Les instincts ressemblent fort
à des habitudes collectives, propres à chaque espèce, acquises au fil des
générations. Le processus par lequel cette mémoire se transmet du passé
au présent se nomme la résonance morphique. Un champ morphique
réunit en son sein tous les membres du groupe et un élément qui s’éloigne demeure toujours connecté au groupe par le biais de ce champ qui
est élastique. Les champs morphiques permettraient ainsi à une gamme
d’ondes de nature télépathique de se propager au sein d’un groupe d’un
humain à un autre ou d’un humain à un animal. Semblables à d’invisibles faisceaux de caoutchouc, ces champs constituent de véritables
canaux de transmission télépathique quelle que soit la distance.
Les sociétés animales offrent un moyen simple de tester directement
l’influence de ces champs car les individus peuvent être séparés et donc
empêchés de communiquer par des voies sensorielles. Si dans ces conditions, l’information continue de circuler, c’est qu’il existe entre les
individus des connexions de même nature que celles fournies par les
champs morphiques. Les liens unissant hommes et animaux domestiques constituent une voie particulièrement prometteuse pour ce type
de recherche. Nous sommes au seuil d’une révolution dans la manière
d’appréhender l’esprit. C’est ce que démontre l'ouvrage de Rupert Sheldrake.
Pour aller plus loin :
«Les pouvoirs inexpliqués des animaux - Pressentiment et télépathie chez les animaux sauvages et
domestiques» de R. Sheldrake
L’ouvrage regorge de témoignages et d’histoires plus
extraordinaires les unes que les
autres sur le monde animal. Expériences qui mettent en évidence
des «capacités» que l’homme, qui
partage une partie de son héritage
avec l’animal, devrait théoriquement posséder également.
Il offre la possibilité d’être lu
à plusieurs niveaux. Les amoureux
des animaux y trouveront d’émouvantes histoires sur
leurs amis à quatre pattes. Le scientifique sera séduit
par une démonstration claire et logique. Quant à
celui qui a des préoccupations plus philosophiques, il
y trouvera d’intéressantes pistes de réflexion sur la
nature de la vie. Le monde animal, resté plus proche
de ses racines, a beaucoup à apprendre, en toute simplicité, à l’Homo Technicus d’aujourd’hui qui touche
ses limites et recherche sa véritable nature et les
raisons de sa présence sur terre. Un ouvrage à mettre
en toutes les mains…
BIBLIOGRAPHIE
• Dans notre boutique p. 54 :
- Perles de sagesse du peuple animal
de Dawn B. Brunke
- La connexion perdue, retrouver la
communication intuitive avec les animaux
et la nature de Marta Williams en
collaboration avec Chantal de Foleville
- Le peuple animal de A. Givaudan et D. Meurois
- Communiquer avec les animaux de Laïla del Monte
- L’effet Mowgli de JL Janiszewski
- Ces animaux qui nous font du bien de J.-L. Victor
• Chez votre libraire :
- Les pouvoirs inexpliqués des animaux
de Rupert Sheldrake (Ed. J’ai lu Poche (encadré ci-contre))
- Fleurs de Bach pour les animaux de
Graham et Vlamis (Ed. Médicis)
- À l’écoute du monde animal de J.
Martin et C. Bouteraon (Ed. Le
temps présent)
- Ces chiens qui attendent leur maître
de R. Sheldrake (Ed. du rocher)
Rencontre inattendue entre un faon et une vache !
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Propos recueillis par Marie-Hélène Courtat
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