1. Définition de la Bioéthique: La bioéthique à pour fonction, la

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1. Définition de la Bioéthique: La bioéthique à pour fonction, la
1. Définition de la Bioéthique: La bioéthique à pour fonction, la réflexion
destinée a assurer la protection et le respect de l’individu face à l’évolution de
la science de la vie et ses applications expérimentale, par exemple :
l’euthanasie, le clonage ou encore le don d’organe. Les lois de bioéthique sont
les lois qui encadrent et surveillent les
recherches sur les vivant.
Clonage d’embryons souche humains
Réalisé à Séoul, par l’équipe Woo Suk Hwang.
La bioéthique est devenue un sujet d’actualité, suite aux manipulations génétiques
effectuées sur les plantes alimentaires, au clonage et à l’utilisation d’embryons
humains.
Les domaines qui couvrent la bioéthique sont :
• Le don et l’utilisation d’éléments et produits du corps humain.
• L’expérimentation sur l’homme.
• L’utilisation des données de santé à caractère personnel dans la recherche.
• L’assistance médicale à la procréation.
Don d’organe : Face au progrès de la transplantation, le pouvoir législatif a du
définir comment la pénurie d’organe doit être gérée. Une autre problématique
importante, le don d’organe entre donneurs vivants. Le don de cellules souche et le
clonage thérapeutique sont également des sujets sensibles.
Le clonage : Le fait de reproduire des organismes vivants, pour obtenir des êtres
génétiquement identiques. Cela peut s’appliquer sur de simples cellules, on parle
alors de « clonage cellulaire » ce phénomène s’applique aussi sur les êtres vivant
(animaux, végétaux, humains)
L’euthanasie : (du grec ancien: ευθανασία - ευ, bonne, θανατος, mort) est
l'ensemble des méthodes qui donnent la mort pour abréger une agonie, c'est-à-dire
abréger une mort douloureuse. L’euthanasie animale est effectuée en l’intérêt de
l’animal par opposition à l’abattoir. Récemment, la « grippe aviaire » était le principal
sujet d’actualité, Les volailles ont été euthanasiées pour éviter l'épidémie de la grippe
aviaire.
En France, c'est Le Comité Consultatif National d'Ethique pour les sciences de la vie et de la santé
(CCNE), composé de scientifiques, de juristes, de philosophes et de religieux, qui aide le
gouvernement à réfléchir sur les enjeux de la recherche sur le vivant. Le gouvernement s’aident et
s’influence de l’avis du (CCNE) pour révise, modifier et faire appliquer les lois bioéthiques.
2. L’empreinte Génétique
L’empreinte génétique d’un individu provient de différentes combinaisons
possibles des empreintes génétiques de ses deux parents. Mis a part le cas des
vrais jumeaux, la possibilité pour que deux êtres humains aient la même
empreinte génétique est nulle. Déterminer les caractéristiques d’une empreinte à
partir d'un échantillon d'ADN (sang, poil, cheveu, cellule de peau, salive, trace de
sueur, sperme …) permet, par comparaison, d’attribuer la paternité d’un enfant,
de vérifier un lien familial ou d’identifier un coupable.
Il est cependant important d’assurer la confidentialité
de ces analyses.
La probabilité pour que deux personnes aient la même empreinte digitale est très
faible, même à l'échelle de la population humaine (plusieurs milliards
d'individus). On estime en effet à 1/64 milliards la probabilité pour que deux
individus aient les mêmes empreintes digitales.