Soirées Joyce janvier et février 2012

Transcription

Soirées Joyce janvier et février 2012
dire Joyce, lire Joyce
La bibliothèque de l’École de la Cause freudienne, l’Association de la Cause freudienne Ile-de-France,
l’Envers de Paris, le CIEN et la Section clinique Ile-de-France vous invitent à participer à deux soirées
exceptionnelles autour de James Joyce. La première nous conduira au théâtre de l’Aquarium, à la
Cartoucherie de Vincennes, et la seconde aura lieu à l’ECF, rue Huysmans, à Paris.
Samedi 21 janvier 2012, à 20h30
au Théâtre de l’Aquarium
--------------------------------------
METTRE EN SCENE FINNEGANS WAKE
Représentation suivie d’une rencontre avec l’équipe artistique et des membres de l’ECF
C’est en effet le pari audacieux d’Antoine Caubet qui met en scène le premier chapitre de
Finnegans Wake. Pari intriguant aussi, qui ne pouvait manquer de nous intéresser, ce pour quoi
nous vous convions à la conversation qui aura lieu à la fin de la représentation avec le metteur en
scène Antoine Caubet, le comédien Sharif Andoura et l’équipe du théâtre ainsi qu’avec Jo
Attié, Jacques Aubert, Judith Miller et François Regnault, membres de l’École de la Cause
freudienne. Alors, réservez vite vos places pour la représentation du samedi 21 janvier, si vous
voulez participer à la rencontre-débat qui suivra.
FINNEGANS WAKE – Chap. 1
d’après James Joyce
Du 17 janvier au 19 février 2012
du mardi au samedi à 20h30, le dimanche à 16h
Réservations : 01 43 74 99 61 (du mardi au vendredi, de 14h à 19h)
Site : theatredelaquarium.com - Dossier pédagogique :
http://www.theatredelaquarium.net/Finnegans-Wake-Chap-1
Le Théâtre de l’Aquarium - La Cartoucherie - Route du Champ de Manœuvre – 75012 Paris
M° Château de Vincennes puis navette gratuite Cartoucherie (sortie n°6 du métro) ou bus 112 (zone 3)
La navette Cartoucherie circule 1h avant et après le spectacle.
&
Lundi 13 février 2012, à 21h15
à l’École de la Cause freudienne, 1 rue Huysmans 75006 Paris
-----------------------------------------
LIRE JOYCE, AVEC LACAN
Pour lire Joyce, nous nous aidons de Lacan et y trouvons enseignement pour la psychanalyse. Le
spectacle d’Antoine Caubet nous aura permis de l’entendre dire. Cette tension entre dire Joyce et
le lire sera certainement féconde pour poursuivre, avec le metteur en scène et le comédien, la
conversation engagée lors de la première rencontre et continuer à faire résonner ce texte, sur
différentes scènes.
*****************************************************************************