La trésorerie générale pour l`étranger et le réseau de la DGFIP à l
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La trésorerie générale pour l’étranger et le réseau de la DGFIP à l’étranger en 2010 (chiffres 2009) Londres Washington Berlin Nantes Rome Madrid Tunis Rabat Alger Pékin Dakar Ouagadougou Bamako N’Djamena Djibouti Abidjan Libreville Antananarivo MINISTÈRE DU BUDGET DES COMPTES PUBLICS ET DE LA RÉFORME DE L’ÉTAT Sommaire La trésorerie générale pour l’étranger et le réseau de la DGFIP à l’étranger en 2010 (Chiffres 2009) 1• Viser la meilleure efficience des opérations de dépenses et de recettes page 5 1• 1 • Les dépenses La dépense centrale organisée au sein d’un service facturier La dépense déconcentrée Les pensions au taux commun Les pensions cristallisées La paye page 5 page 6 page 7 page 7 page 8 1•2 Les recettes page 9 2• Contribuer à la qualité des comptes publics page 10 2•1 La qualité des comptes de l’Etat L'expertise de la cellule bilan La poursuite de la démarche de contrôle interne (la cellule qualité comptable) page 10 page 10 page 10 2•2 Les comptes des Etablissements dotés de l’Autonomie Financière page 12 3• Renforcer la qualité de service page 13 page 13 page 14 page 14 Aux ordonnateurs de l’Etat Aux organismes publics Aux particuliers 4• Chercher à figurer, au sein du réseau de la DGFIP, parmi les services de référence pour le management, le pilotage et l’audit ynamiser la gestion des ressources humaines D Développer le contrôle de gestion Adapter les missions d’audit aux spécificités du réseau étranger 5• Les moyens du réseau TGE 2 page 14 page 15 page 15 page 16 Les ressources humaines Les moyens budgétaires et logistiques Les moyens informatiques page 16 page 16 page 17 page 17 Les coordonnées des trésoreries auprès des ambassades Organigramme de la trésorerie générale pour l’étranger page 18 page 19 La trésorerie générale pour l’étranger et le réseau de la DGFIP à l’étranger en 2010 (chiffres 2009) L’édito du TPG L e réseau constitué de la trésorerie générale pour l’étranger et des trésoreries auprès des ambassades de France est devenu, depuis la mise en œuvre complète de la réforme engagée il y a une dizaine d’années, plus simple et plus cohérent. Il s’applique au sein de l’administration de la DGFIP à hausser le niveau de ses performances. Il cherche également à répondre aux évolutions de l’organisation des services des circuits et du traitement de la dépense à l’étranger. La RGPP concerne en effet, à l’étranger comme en interne, l’organisation, les enjeux et certaines procédures d’exécution de la dépense ; un nouveau système d’information financière et comptable doit également être mis en place à l’étranger. Dans ce contexte, le bon accomplissement des missions, mais aussi l’accompagnement des gestionnaires, l’information et le conseil, qui représentent une part importante des tâches des équipes, constituent une contribution essentielle à la qualité de la dépense. Le déploiement du contrôle interne comptable et l’appui apporté par la trésorerie en sont un nouvel exemple. La dépense de l’Etat à l’étranger s’exécute à travers 50 programmes et 24 missions appartenant à des ministères différents et qui comportent des enjeux de niveau très divers. Même si les opérations sont quelquefois de niveau modeste, elles se déroulent dans des environnements juridiques et financiers spécifiques et mobilisent la capacité d’adaptation et le professionnalisme des équipes. La trésorerie générale pour l’Etranger s’efforce donc, sous l’autorité de la DGFIP, de jouer un rôle de tête de réseau, conçu comme un pôle de compétence sur les problématiques à l’étranger, comme un moyen d’échange des bonnes pratiques et d’harmonisation des méthodes et des performances. L’exercice 2009 et l’exercice en cours nécessitent l’adaptation des prestations financières et comptables fournies par le réseau, à de nouveaux enjeux. Il s’agit d’abord du changement de systèmes d’information avec le passage à CHORUS pour les programmes du Ministère de la Défense au 1er janvier 2010 ainsi que le nouvel outil de traitement des pensions servies à l’étranger. Il s’agit ensuite des réformes issues de la RGPP pour le MAEE et qui concernent par exemple la création de services communs de gestion dans les postes ou de la restructuration du réseau des établissements à autonomie financière. Ces adaptations sont conduites en partenariat étroit avec les ordonnateurs et les trésoreries se mobilisent pour contribuer à leur bonne mise en oeuvre. La trésorerie générale pour l’étranger et le réseau de la DGFIP à l’étranger en 2010 (chiffres 2009) 3 Le réseau de la Direction générale des finances publiques à l’étranger en quelques chiffres Séminaire des adjoints et cadres A octobre 2009 5,84 Milliards € de dépenses Dont 4,7 Milliards € Pour le compte de l’Etat assignées sur la caisse du trésorier payeur général pour l’étranger ou des 17 trésoriers auprès des ambassades de France 9 502 Ordres de paiement payés pour le compte des comptables publics métropolitains et de leurs correspondants Ordonnateurs secondaires et ordonnateurs secondaires délégués de l’État 604 17.751 37.439 138.382 Au titre des dépenses du Ministère des Affaires Étrangères et Européennes Agents payés par la trésorerie générale pour l’étranger Pensionnés payés par la trésorerie générale pour l’étranger Dossiers de pensions cristallisées gérées par la trésorerie générale pour l’étranger et son réseau 301 Millions € de recettes 242 Millions € 59 Millions € De recettes recouvrées par la trésorerie générale pour l’étranger, directement ou par l’intermédiaire des régies diplomatiques et consulaires De recettes recouvrées par les trésoriers auprès des ambassades de France 407 Régies diplomatiques et consulaires rattachées à la trésorerie générale pour l’étranger Régies rattachées aux trésoriers auprès des ambassades de France (régies diplomatiques et consulaires et régies de divers ministères) Comptes de dépôts de fonds tenus à la trésorerie générale pour l’étranger 143 Comptes de dépôts de fonds tenus par les trésoriers auprès des ambassades de France 843 Comptes de caisse tenus à la trésorerie générale pour l’étranger 188 107 Créée par décret du 15 décembre 1966, la Trésorerie Générale pour l’étranger (TGE) appartient au réseau des comptables de la Direction Générale des Finances Publiques (DGFIP) et sa compétence s’étend à l’ensemble des pays où la France est représentée à travers les ambassades et les consulats. Les trésoriers auprès des ambassades de France sont comptables publics. Placés auprès des 17 pays à enjeux (11 pays africains, 4 européens, Etats-Unis et Chine), ils exécutent directement les recettes et les dépenses et centralisent les opérations des régies qui leur sont rattachées. En qualité de comptables secondaires de l’Etat, leurs opérations sont intégrées dans le compte de gestion du Trésorier-Payeur Général pour l’Etranger (TPGE), sous le contrôle duquel ils exercent leur activité. La TGE et son réseau, pleinement inscrits dans la stratégie de la DGFIP, réalisent les opérations de dépenses et de recettes dans un souci d’efficience et de qualité comptable, en veillant à renforcer la qualité du service rendu. Par ailleurs, ils cherchent à figurer parmi les services de référence pour le management, le pilotage et l’audit. Afin de mener à bien ces missions, des moyens humains et logistiques sont mis en œuvre selon des règles spécifiques. 4 La trésorerie générale pour l’étranger et le réseau de la DGFIP à l’étranger en 2010 (chiffres 2009) 1 Viser la meilleure efficience des opérations de dépenses et de recettes 1 - 1 • Les dépenses L'exécution de la dépense publique par la trésorerie générale pour l’étranger a représenté plus de 5,8 Milliards € sur l’année 2009. Ces dépenses ont été payées par le service facturier à hauteur de 58%. dépense centrale organisée au sein d’un service facturier La Créé en 2005, le Service Facturier (SFACT) réceptionne les factures de l’ensemble des services centraux du Ministère des Affaires Étrangères et Européennes (MAEE) et procède à leur paiement. En 2009, la quasi-totalité des dépenses d’administration centrale du MAEE est désormais traitée en mode facturier. Ainsi, la trésorerie générale pour l’étranger procède au paiement de l’essentiel des dépenses du MAEE (4,7 Milliards €). 5pSDUWLWLRQGHVGpSHQVHVGX0$((SDUSURJUDPPH0LOOLDUGV¼ Répartition des dépenses du MAEE par programme (4,7 Milliards €) Dépenses du MAEE payées par la TGE et son réseau (4,7 Milliards €) TGE : Dépenses déconcentrées 2% Programme 209 : Solidarité à l'égard des pays en développement 46% Programme 151: Français à l'Etranger 7% Programme 105 : Action Extérieure de l'Etat 34% Programme 185 : Rayonnement Culturel et Scientifique 13% TGE : LiaisonsRémunérations 18% Régies diplomatiques et consulaires 5% Trésoreries d’Ambassade 2% TGE : SFACT 73% L’atout majeur du service facturier réside dans la rapidité du paiement de la dépense publique. Ce nouveau mode d'organisation centralise le suivi et le traitement des factures sous l’autorité du comptable. Le délai global de paiement du service est de 17,44 jours. Pour mémoire, le délai global de paiement au plan national est de 19,51 jours. La trésorerie générale pour l’étranger et le réseau de la DGFIP à l’étranger en 2010 (chiffres 2009) 5 1 Viser la meilleure efficience des opérations de dépenses et de recettes La dépense déconcentrée Dépenses déconcentrées effectuées par la TGE (913 M €) Dépenses effectuées par les régies diplomatiques et consulaires prises en charge par la TGE 34% Dépenses payées directement par le Service Dépense déconcentrée de la TGE 10% Répartition des dépenses assignées sur la TGE par ministère (hors MAEE et dépenses effectuées au titre des pensions et du CAS immobilier rattachées au Ministère du Budget) (570 M €) Autres Ministères 4% Premier Ministre 3% Ministère de l'Intérieur 6% Ministère de l'Economie 19% Dépenses des Trésoreries d'Ambassade 56% Ministère de la Défense 62% Le personnel de la TGE (direction et cadres A) Ministère du budget (hors Pensions et CAS immobilier) 6% Depuis le 1er janvier 2004, tous les ambassadeurs sont ordonnateurs secondaires de l’État dans le pays où ils sont accrédités et peuvent déléguer leurs compétences aux ordonnateurs secondaires délégués des ministères représentés à l’étranger. Leurs dépenses sont payées directement par le TPGE après mandatement (94,8 M €), ou par le réseau des 188 régisseurs diplomatiques et consulaires et assignées sur la caisse du TPGE (311,1 M €). S’agissant des 17 pays à enjeux, ces dépenses sont payées et assignées sur la caisse des trésoriers auprès des ambassades de France, comptables secondaires rattachés à la TGE (506 M €) dont dépendent 107 régies. Le contrôle financier déconcentré : Dans les 17 pays où est installé un trésorier auprès de l’ambassade de France, ce dernier exerce un contrôle financier déconcentré par délégation du TPGE. Ce contrôle est le corollaire de la déconcentration des crédits. La TGE intervient soit en appui des trésoriers, soit pour prendre la décision en ce qui concerne les dossiers les plus importants. 6 La trésorerie générale pour l’étranger et le réseau de la DGFIP à l’étranger en 2010 (chiffres 2009) Les pensions au taux commun La trésorerie générale pour l’étranger gère au 31 décembre 2009 un portefeuille de 41 378 dossiers de pensions pour 37 439 pensionnés. Chaque mois, plus de 27 000 paiements ont été réalisés qui se répartissent en moyenne en 13 000 virements sur des comptes bancaires en France et 14 000 quittances adressées aux 17 trésoriers auprès des ambassades de France et aux 188 régisseurs diplomatiques et consulaires chargés d’en assurer le règlement dans la monnaie locale de leur pays. En 2009, plus de 330 000 paiements ont ainsi été effectués pour une dépense totale de plus de 339 millions d’euros. La procédure de la Gestion Electronique des Informations et des Documents de l'Entreprise (GEIDE), a permis d’intégrer le dossier administratif du pensionné dans l’application PEZ et la suppression de la manipulation des documents papier dans la gestion au quotidien. Répartition du portefeuille par nature de pensions (41 378 dossiers) Médaille Militaire/ Légion d'Honneur 4% Pensions Civiles et Militaires de Retraites 48% Pensions Militaires d'invalidité 13% Retraite du Combattant 35% Les pensions cristallisées La gestion des pensions cristallisées payées aux ressortissants des anciennes colonies ou protectorats français représente une activité importante. La TGE et son réseau gèrent, à ce titre, plus de 138.000 pensions (dont 29.000 dossiers suspendus suite à décès, annulation ou autres motifs) pour un montant de 140 M €. Ces pensions sont gérées : • par le service des pensions cristallisées (Algérie, Bénin, Cameroun, Centrafrique, Congo, Guinée, Maroc, Mauritanie, Niger, Togo) ; les paiements étant effectués en monnaie locale dans le pays de résidence par l'intermédiaire de régies diplomatiques et consulaires ou par les Trésors locaux ; • par le service des pensions (Comores, Laos, Liban, Syrie, Vietnam) ; les paiements étant réalisés dans les mêmes conditions ou en euros sur un compte bancaire ouvert en France, à la demande du pensionné; • par les trésoreries auprès des ambassades de France pour tous les autres pays qui procèdent au paiement soit directement en numéraire, soit par l’intermédiaire des réseaux des Trésors locaux. La trésorerie générale pour l’étranger et le réseau de la DGFIP à l’étranger en 2010 (chiffres 2009) 7 1 Viser la meilleure efficience des opérations de dépenses et de recettes La paye La trésorerie générale pour l’étranger gère deux systèmes de paye. Il est le seul comptable assignataire du traitement des agents de l’État affectés à l’étranger ainsi que de celui des agents du MAEE exerçant en France. Elle assure également, dans le cadre d’une convention de prestations de service, la liquidation et le paiement des rémunérations des enseignants de l’Agence pour l’Enseignement Français à l’Étranger (AEFE) ainsi que de quelques établissements publics français installés à l’étranger. Cette activité représente pour la trésorerie générale pour l’étranger en 2009, une dépense de plus de 1,5 milliard d’euros, dont 499 millions d’euros pour le compte de l’AEFE, y compris le décompte des charges patronales liquidées et payées par la TGE depuis le 1er janvier 2009. Répartition en nombre d’agents (17 751 agents) Autres Etablissement Publics 1% AEFE 37% Ministère des Affaires Etrangères et Européennes (métropole) 24% Ministères de la Défense 1% Ministère de l'Intérieur 1% Ministère du Budget 1% Ministère de l’Économie 3% Ministère des Affaires Etrangères et Européennes (étranger) 32% Répartition en montant (1,52 Milliards €) Autres Etablissements Publics 1% AEFE 33% Ministère des Affaires Etrangères et Européennes (métropole) 14% Ministère de la Défense 1% Ministère de l’Intérieur 2% Ministère du Budget 2% Ministère de l’Economie 5% 8 Ministère des Affaires Etrangères et Européennes (étranger) 42% La trésorerie générale pour l’étranger et le réseau de la DGFIP à l’étranger en 2010 (chiffres 2009) 1 - 2 • Les recettes Le recouvrement des titres de perception : il s’agit de titres assignés sur la caisse du trésorier-payeur général pour l’étranger (6 700 titres au 31 décembre 2009, pour une prise en charge de 65,5 M €) ou des trésoriers auprès des ambassades de France (3 938 titres au 31 décembre 2009, pour une prise en charge de 5,4 M €) relevant des créances étrangères à l’Impôt et au Domaine. La trésorerie générale pour l'étranger prend en charge l’intégralité des titres assignés sur les fonds de concours du MAEE. Dans ce cadre, les recettes du fond de concours au profit de l’aide d’urgence aux victimes des catastrophes naturelles à l'étranger sont assignées sur la caisse du trésorier-payeur général pour l'étranger. Le nouveau dispositif de gestion des titres de perception est fondé sur le principe de séparation des fonctions « comptabilité » et « recouvrement ». Mis en place le 1er janvier 2008, il consiste, pour les débiteurs résidant à l’étranger, en la prise en charge comptable des titres de recettes par les services du contrôleur budgétaire et comptable ministériel à l’origine de la constatation de la créance de l’Etat et la mise en œuvre du recouvrement par la trésorerie générale pour l’étranger. La procédure de saisie à tiers détenteur à compter du 1er septembre 2009 permet, pour le recouvrement des produits étrangers à l’impôt et au domaine, d’appréhender, sur le territoire français, les sommes détenues par des tiers pour le compte du redevable sans avoir recours à un juge ou un huissier. Le recouvrement des droits au comptant : ces recettes concernent principalement les droits de chancellerie (passeports et actes divers délivrés à des français expatriés, visas délivrés aux étrangers), les intérêts des comptes bancaires ouverts par les régies et les trésoriers, les lettres de retenue pour pensions civiles et les remboursements d’avances du trésor. Les recettes se sont élevées à 238 M € en 2009. Le recouvrement sur « Poursuites sur Saisies Extérieures (PSE) » s’exerce pour le compte des comptables directs du trésor métropolitain, via le réseau des régisseurs diplomatiques et consulaires ou celui des trésoriers auprès des ambassades de France. Les créances concernées sont les créances hospitalières publiques, les amendes et les produits divers de l’État. Recouvrement effectué par la TGE et son réseau en 2009 (301 M €) Recouvrement sur PSE 1% Recouvrement sur titre 20% Recouvrement des droits au comptant 79% La trésorerie générale pour l’étranger et le réseau de la DGFIP à l’étranger en 2010 (chiffres 2009) 9 2 Contribuer à la qualité des comptes publics 2 - 1 • La qualité des comptes de l’Etat La trésorerie générale pour l’étranger tient la comptabilité de l’Etat pour ses opérations propres ainsi que pour celles du réseau qui lui est rattaché, qu’il s’agisse des opérations des régisseurs diplomatiques et consulaires, périodiquement intégrées aux comptes de l’Etat par les services compétents de la TGE, ou des opérations des 17 trésoriers des ambassade de France dont les comptes sont consolidés dans le compte du TPGE lors de l’établissement du compte de gestion définitif. Le TPGE, comptable principal des opérations du MAEE et des autres ministères à l’étranger est, par le biais de la consolidation sur chiffre des comptes des trésoriers des ambassade de France, comptables secondaires, l’unique responsable vis à vis de la Cour des comptes. L'expertise de la cellule bilan Rattachée à la division fonction comptable, la Cellule bilan a été créée en octobre 2007 afin de constituer un pôle d’expertise relatif aux opérations pratrimoniales. Elle assure la gestion et les opérations de bilan, d’inventaire et d’ajustement relatives au parc immobilier, aux autres immobilisations corporelles, aux immobilisations incorporelles et aux provisions pour litige. Au 31 décembre 2009, 1 623 biens occupés par les services de l’Etat sont recensés à la TGE pour une valeur de 4,7 Milliards €. La trésorerie générale pour l’étranger est, depuis le 1er janvier 2009, assignataire des biens du MAEE et des autres ministères situés à l’étranger. Le suivi des biens du MAEE situés en métropole a été transféré aux directions régionales des finances publiques du lieu d’implantation des biens (trésorerie générale de Loire-Atlantique et Recette Générale des Finances notamment). Par ailleurs, le suivi du parc immobilier est effectué dans le module CHORUS Re Fix depuis le 1er avril 2009. Nombre de biens valorisés à la TGE (1623 biens occupés) Immeubles des autres ministères à l’étranger 25% La poursuite de la démarche de contrôle interne (la cellule qualité comptable) La trésorerie générale pour l’étranger et son réseau mettent en œuvre la démarche de Immeubles du MAEE contrôle interne définie par la direction générale à l’étranger 75% des finances publiques. Outil de suivi et de pilotage, le contrôle interne se définit comme l’ensemble des dispositifs mis en œuvre par un organisme pour avoir l’assurance raisonnable de maîtrise des risques. Le 1er niveau de contrôle est exercé par les services de la TGE et les trésoreries, la cellule qualité comptable (CQC) exerçant un contrôle de 2eme niveau, garantie de la qualité comptable que le législateur a imposée au comptable de l'État. La cellule de qualité comptable (CQC) est chargée du pilotage et de l’animation de la fonction comptable non seulement au sein des services de la TGE mais aussi des trésoreries auprès des ambassades de France. Ces trésoreries utilisent le même plan comptable que les trésoreries générales et passent directement des opérations en comptabilité de l’Etat. Le Plan Départemental de Contrôle Interne (PDCI) est élaboré par la CQC sur la base du modèle national qu’elle aménage pour la TGE. Toutes les trésoreries auprès des ambassades de France à l’étranger disposent d’un PDCI suivi par la CQC. 10 La trésorerie générale pour l’étranger et le réseau de la DGFIP à l’étranger en 2010 (chiffres 2009) S’agissant de l’exécution du PDCI de la TGE au 31 décembre 2009, les objectifs par nature de contrôles ont été atteints à hauteur de : • 78% pour l’environnement comptable ; notamment par la réalisation de 4 diagnostics de procédures relevant du référentiel de contrôle interne "Trésorerie", • 72% pour les contrôles comptables obligatoires (comptes en anomalies, écritures forcées, rectifications d’écritures); • 56% pour les contrôles spécifiques. Les agents de la trésorerie à Madrid En outre, le Bureau du Contrôle de la Qualité Comptable (BCQC) de la DGFIP a transmis à la CQC 104 signalements pour analyse (contre 90 en 2008), qui se répartissent comme suit : • 46 concernant divers services de la TGE ; • 54 concernant différentes trésoreries auprès des ambassades ; • 4 relatives aux Établissements dotés de l’Autonomie Financière (EAF). 2- 2 • Les comptes des Etablissements à Autonomie Financière TAF Rome, locaux de la trésorerie au 5ème étage de l'immeuble Le Trésorier-Payeur Général pour l’Étranger est chargé de l’apurement administratif des comptes des 148 établissements et organismes de diffusion culturelle dotés de l’autonomie financière dans les conditions fixées par le décret n° 76-832 du 24 août 1976, dont les recettes ordinaires sont inférieures à 3 millions d’euros. Au-delà de ce seuil, qui est revu tous les 5 ans, il effectue la mise en état d’examen des comptes (13 établissements en 2009) avant leur transmission à la Cour des comptes. De leur côté, les 17 trésoriers auprès des ambassades de France exercent également la fonction d’agent comptable de 48 centres culturels et de 6 centres de recherche. Dans le contexte de la réforme de la politique culturelle extérieure de la France, il a été procédé au cours de l’année 2009 au regroupement des 10 établissements situés en Allemagne, des 2 établissements au Sénégal, ainsi que des 3 établissements en Turquie. Outre le paiement des recettes et des dépenses des dits organismes et la tenue quotidienne de la comptabilité, le réseau comptable est conduit à développer une mission de conseil concernant toutes les facettes de la vie de ces établissements : • Faciliter la décision financière ou budgétaire par la production d’études d’une grande diversité (analyses rétrospectives et prospectives notamment) ; • Fournir les éléments utiles à la gestion de la trésorerie ; • Apporter des solutions juridiquement satisfaisantes aux problèmes rencontrés par les gestionnaires ; • Préparer l’intégration des comptes dans la comptabilité générale de l’Etat. La trésorerie générale pour l’étranger et le réseau de la DGFIP à l’étranger en 2010 (chiffres 2009) 11 3 Renforcer la qualité de service Aux ordonnateurs de l’Etat Afin de rendre plus efficace la collaboration entre ordonnateurs et comptables, les trésoriers auprès des ambassades de France sont invités à élaborer et à signer avec les ambassadeurs des chartes de partenariat. Ces documents permetent d’identifier les attentes mutuelles des partenaires et les pistes d’amélioration de la coopération notamment avec les services administratifs et financiers de l’ambassade, en vue de perfectionner les procédures et améliorer le service rendu. Ces chartes concernent également les ordonnateurs des établissements à autonomie financière ainsi que ceux du ministère de la Défense. Signature de la charte de partenariat à Libreville C’est ainsi par exemple qu’en juin 2009, une charte de partenariat liant le trésorier auprès de l'ambassade de France au Gabon et le commandement des forces françaises a été signée. Les chartes de partenariat prévoient par exemple la production de restitutions périodiques des données comptables à destination des ambassadeurs (balances comptables, situations de trésorerie, délai global de paiement, restes à recouvrer, …). Les trésoriers des ambassade de france ont apporté leur appui aux services du Ministère des Affaires Etrangères et Européennes (MAEE) dans le cadre de la mise en place des dispositifs de contrôle interne au sein des services de ce ministère, et pour la préparation du déploiement des Services Communs de Gestion et de la création des Services Administratifs et Financiers Uniques Interministériels (SAFUI) dans les ambassades. Par ailleurs, la trésorerie auprès de l’ambassade de France à Djibouti a apporté son appui au Directeur des Commissariats d’Outre-mer (DICOM) pour les Forces Françaises stationnées à Djibouti dans l'adaptation des procédures d'exécution des dépenses induites par la mise en place du Groupement de Soutien à la Base de Défense de Djibouti (GSBDD). La plupart des trésoreries auprès des ambassades de France exercent par délégation de l'ambassadeur la gestion des affaires domaniales. Au 31 décembre 2009, seuls les trésoriers en Italie, Grande-Bretagne, Espagne, Chine et Etats-Unis n’avaient pas reçu cette délégation. Au Maroc et en Algérie, les trésoriers sont étroitement associés aux études initiées localement sur l’état et l’avenir de l’important domaine immobilier français. Les activités domaniales comprennent le suivi des baux, des conventions d'occupation des logements de fonction mis à la disposition des fonctionnaires par l'ambassade, les réformes et remises aux domaines transmises par les ordonnateurs MINDEF et MAEE. Les trésoreries effectuent également la mise à jour des valeurs locatives des logements domaniaux et peuvent être amenées à procéder à des ventes immobilières. 12 La trésorerie générale pour l’étranger et le réseau de la DGFIP à l’étranger en 2010 (chiffres 2009) Aux organismes publics • L e réseau tient 550 comptes bancaires de divers organismes (centres culturels, instituts français, régies, etc…), dont 196 comptes de dépôts « mission archéologique » destinés à recevoir les subventions versées par le Ministère des Affaires Etrangères et Européennes aux équipes de recherche. 223 déposants disposent du service de consultation de leurs comptes en ligne « DFT NET ». • L a trésorerie générale pour l’étranger s’est vue confier, au cours de l’année 2009, 672 provisions pour un montant de 5,9 M € destinées à faire face à des dépenses ponctuelles locales liées à des missions ou évènements particuliers financés par des particuliers ou organismes français (visites présidentielles se déroulant à l’étranger, participation à des colloques, etc…). • 9 502 ordres de paiement émis par les collectivités et établissements publics pour la réalisation de leurs dépenses à l’étranger ont été payés au cours de l’année 2009, dont 1 660 pour le compte de l’Office Français de l'Immigration et de l'Intégration (OFII) et 959 pour le compte de l’Agence Comptable des Services Industriels de l’Armement (ACSIA) par la trésorerie auprès de l’ambassade de France aux Etats-Unis. • L e réseau participe au recouvrement amiable des créances publiques de toute nature (hors créances fiscales) émises sur la caisse des comptables du trésor. Aux particuliers Pour faire face à certaines situations particulières, la trésorerie générale pour l’étranger tient 843 « comptes de caisses » permettant aux fonctionnaires expatriés d’effectuer des retraits en numéraire à la régie diplomatique ou consulaire ou à la trésorerie de rattachement après approvisionnement de ce compte de caisse. La trésorerie générale pour l’étranger assure le paiement des provisions versées par la famille ou des avances consenties par le Ministère des Affaires Etrangères et Européennes lorsque nos compatriotes sont en difficulté à l’étranger (santé, perte ou vol de papiers ou des moyens de paiement, incarcération…) : 608 provisions ont été mises en place au cours de l’année 2009 pour 319 000 € ainsi que 173 avances remboursables pour plus de 18 000 €. La trésorerie générale pour l’étranger et le réseau de la DGFIP à l’étranger en 2010 (chiffres 2009) 13 4 Chercher à figurer, au sein du réseau de la DGFIP, parmi les le pilotage et l’audit Dynamiser la gestion des ressources humaines es Commissions Administratives Paritaires Locales (CAPL) ont L été réunies 5 fois au cours de l’année 2009 sur des sujets tels que les listes d’aptitude, tableaux d’avancement et recours en notation. Par ailleurs, le Comité Technique Paritaire Local (CTPL) a été réuni à deux reprises afin de se prononcer sur différents points dont le budget (en prévision et exécution), la formation professionnelle ou encore l’hygiène et la sécurité notamment. L’activité de formation est soumise à des contraintes particulières, liées à la spécificité des activités du réseau « étranger » par rapport au réseau métropolitain et à l'éloignement géographique des postes. 754 jours-agent de formation continue et d’actions de préparation aux concours ont été dispensés à la TGE au cours de l’année 2009. Plusieurs sessions d’étude relatives à la TGE et à son environnement ont été organisées au bénéfice de tous les agents de catégorie B et C de la TGE. En outre, 3 sessions de formation destinées aux personnels nouvellement affectés à l’étranger ont été dispensées au cours de cette même année et ont bénéficié à 31 agents des trésoreries des ambassade de France et à 16 agents de la TGE. Ces sessions de formation s’étalent sur 5 jours et sont animées exclusivement par des formateurs appartenant à la TGE. Plusieurs actions de formations ont été réalisées au sein des trésoreries des ambassade de France et consacrées aux langues étrangères, à l’informatique, ainsi qu’aux activités de la filière Gestion Publique de la DGFIP (comptabilité, dépense, contrôle financier). Il existe par ailleurs une mutualisation des actions de formation entre la TGE et la trésorerie générale de Loire-Atlantique, notamment pour l’organisation des journées introductives de méthode pour les préparations aux concours internes. L’organisation de séminaires est l’un des moyens mis en œuvre pour assurer l’animation du réseau et répondre à ses besoins d’adaptation : 2 séminaires, destinés respectivement aux trésoriers des ambassade de France et aux adjoints et cadres A ont été organisés au cours des mois d’avril et d’octobre 2009. Formation des nouveaux arrivants – juin 2009 Développer le contrôle de gestion Le contrôle de gestion vise l’amélioration de la performance. En fonction des axes stratégiques définis par la Direction générale au niveau national et déclinés au plan local, des objectifs prioritaires, tenant compte des spécificités de la mission à l’étranger, ont été arrêtés, auxquels sont associés des indicateurs permettant de mesurer la performance. Le contrôleur de gestion apporte son concours à la définition et à la formalisation des axes stratégiques, par exemple par la rédaction du volet performance du BOP ou des lettres de missions adressées aux nouveaux chefs de poste ou de service. Il est également chargé de fournir les informations nécessaires au dialogue de gestion avec la direction générale et avec les unités dépendant de la trésorerie générale (postes et services) sur la fixation des niveaux d’objectifs ainsi que d’assurer le suivi des résultats. En 2009, deux lettres de mission ont été rédigées, une concernant un trésorier et une concernant la trésorerie générale (chef de service). 14 La trésorerie générale pour l’étranger et le réseau de la DGFIP à l’étranger en 2010 (chiffres 2009) services de référence pour le management, Tableau récapitulatif des objectifs, indicateurs et valeurs cibles du BOP TGE Cible 2008 Résultat 2008 Cible 2009 Résultat 2009 Nombre de jours anomalies constatés dans la comptabilité de l’Etat 74 86 70 36 Délai global de paiement des dépenses de l’Etat (en jours) 28 18,27 25 17,44 2,45% 2,19% 2,23% 1,87% Objectifs et indicateurs associés Taux moyen d’indus sur les dépenses de rémunération Adapter les missions d’audit aux spécificités du réseau étranger ’activité d’audit au sein de la TGE en 2009 repose sur la mise en œuvre des L orientations stratégiques définies par le Directeur général de la DGFIP et par la programmation des missions. Elle appelle également une forte mobilisation des auditeurs en matière de démarche qualité. Plus qu’une simple normalisation des travaux d’audit, la mise en place de cette démarche, par la rigueur méthodologique qu’elle impose, constitue un élément clé de la fiabilité des audits produits. Le potentiel de l’audit renforcé en 2009 et composé de deux auditeurs et d’une assistante d’audit, s’élève à 493 jours, en très forte augmentation par rapport à celui de 2008 (291 jours). Conformément à la programmation initiale, 73 missions ont été menées dans 36 pays. Par ailleurs, la part consacrée à l’audit par les auditeurs est stable, elle s’établit à 90,26 % de l’activité. Le reste de l’activité concerne, pour l’essentiel, les travaux de supervision des rapports des auditeurs externes et la préparation et la participation aux séminaires du réseau. La trésorerie générale pour l’étranger et le réseau de la DGFIP à l’étranger en 2010 (chiffres 2009) 15 5 Les moyens du réseau TGE Les ressources humaines Répartition des effectifs par catégorie (422 agents) CADRE A 16% Contractuels 11% CADRE C 37% CADRE B 36% Au 31 décembre 2009, les effectifs du réseau à l’étranger s’établissent ainsi : • Cadre A : 67 agents dont 28 à la trésorerie générale pour l’étranger et 39 au sein des trésoreries auprès des ambassades de France. • Cadre B : 153 agents dont 88 à la trésorerie générale pour l’étranger et 65 au sein des trésoreries auprès des ambassades de France. • Cadre C : 154 agents dont 71 à la trésorerie générale pour l’étranger et 83 au sein des trésoreries auprès des ambassades de France. • Contractuels : 48 agents dont 3 à la trésorerie générale pour l’étranger et 45 recrutés locaux exerçant au sein des trésoreries auprès des ambassades de France. Il a en outre été fait appel à 55 auxiliaires pour 46,32 mois de crédits vacataires au cours de l’année 2009 pour des besoins ponctuels à la trésorerie générale pour l’étranger. Les moyens budgétaires et logistiques Formation Chorus – décembre 2009 Les moyens budgétaires sont répartis entre le Budget Opérationnel de Programme (BOP) de la trésorerie générale pour l’étranger pour un montant de l’ordre de 10 M € y compris les rémunérations de ses personnels, et le BOP de l’administration centrale auquel sont rattachés les budgets des trésoreries des ambassade de France (2,6 M € de crédits de fonctionnement délégués aux postes au cours de l’année 2009). Le montant des dépenses de fonctionnement, hors rémunération des personnels s’élève pour la TGE à plus de 1 M € et pour les 17 trésoreries des ambassade de France à 2,4 M €. Les moyens informatiques En complément du déploiement de RUBIS pour les trésoreries auprès des ambassades de France, une expertise sera conduite en 2010 pour permettre la réduction des délais de connexion et l’accélération des flux dans le cadre de la préparation du basculement à CHORUS. Les services de la trésorerie générale pour l’Etranger participent, en liaison avec le MAEE et la DGFiP, à la mise en place de nouveaux systèmes d’information financière de l’Etat, le projet CHORUS et le projet COREGE, tête de pont de CHORUS à l’étranger. Ainsi, dans le cadre de la bascule des programmes du ministère de la Défense dans CHORUS V 4 au 4 janvier 2010, 2 sessions de formation ont été organisées par la TGE à Nantes au profit, notamment, des agents des 6 trésoreries auprès des ambassades de France comptables assignataires d’opérations concernant le ministère de la Défense (Sénégal, Gabon, Djibouti, Côte d’Ivoire, Tchad, Etats-Unis). 16 La trésorerie générale pour l’étranger et le réseau de la DGFIP à l’étranger en 2010 (chiffres 2009) Par ailleurs, les services de la Trésorerie générale pour l’Etranger continuent de participer aux travaux de bascule à la version CHORUS V 6 qui devrait entrer en application au 1er janvier 2011, impliquant l’adaptation du logiciel budgétaire COREGE et le remplacement ultérieur de la CGL et d’ASTER, l’actuel outil informatique de gestion comptable des trésoreries à l’étranger. Les services de la TGE participent, en liaison avec les services du MAEE, aux Formation Chorus – décembre 2009 travaux d’interfaçage de l’application comptable de ce ministère, COREGE, qui doit être mise en place au 1er janvier 2011, avec CHORUS. Depuis le 1er octobre 2009, l’application NEPTUNE Version 1 a remplacé l’application PEZ pour le suivi des paiements des pensions au taux commun. Le déploiement de l’application de gestion des pensions cristallisées PASTEL a commencé au mois de juin 2009 et devrait s’achever au cours de l’année 2010. En outre, les services de la TGE continuent de travailler, en liaison avec le département informatique de la trésorerie générale de la Loire-Atlantique, sur la préparation des futurs modules de l’application CORIOLIS, outil de centralisation des comptabilités des régisseurs diplomatiques et consulaires à la TGE. La trésorerie générale pour l’étranger et le réseau de la DGFIP à l’étranger en 2010 (chiffres 2009) 17 Coordonnées des trésoreries auprès des ambassades de France Pays 18 Adresse Téléphone Télécopie e-mail ALGERIE N. LANGE R. BERNARD (adj.) Chemin Abdelkader Gadouche - BP 144 16045 HYDRA-ALGER 00 213 21 98 15 80 00 213 21 98 15 83 [email protected] ALLEMAGNE . DAVIN T I. BOCK (adj.) Trésorerie Près l’ambassade de France Pariser platz 5 10117 BERLIN 00 49 30 590 03 94 80 00 49 30 590 03 94 95 [email protected] 00 49 30 590 03 94 81 00 49 30 590 03 94 94 00 49 30 590 03 94 82 BURKINA FASO S. LEGUENNEC T. DELMAS (adj.) Avenue de l'Indépendance BP 646 OUAGADOUGOU 00 226 50 30 67 87 00 226 50 30 67 88 [email protected] CHINE n° 3, San Li Tung Dongsanjie A.M. FOURMESTRAUX PEKIN, 100600 C. KHEDIM (adj.) République Populaire de Chine 00 86 10 65 32 77 21 (extension : 201) 00 86 10 65 32 30 14 [email protected] CÔTE-D’IVOIRE P. PERROTEZ R. GERARD (adj.) Boulevard Lagunaire BP V26 ABIDJAN 01 00 225 20 22 19 44 00 225 20 22 40 84 [email protected] DJIBOUTI J-J. FLICKINGER P. GERARD (adj.) Avenue G.Pompidou BP 15 DJIBOUTI 00 253 35 30 31 00 253 35 66 38 [email protected] ESPAGNE Marques de la Ensenada, 10 G.ZAOUI 28004 MADRID S.LEMARCHAND (adj.) 00 34 91 700 78 20 00 34 91 700 78 03 [email protected] ETATS-UNIS J.L. MARTIN C. BROSOLO (adj.) 4101 Reservoir Road NW WASHINGTON, DC 20007-2175 00 1 202 944 62 60 00 1 202 944 62 63 00 1 202 944 62 96 [email protected] GABON M. SAUVOY R. AMADE (adj.) Avenue du Colonel Parant BP 369 LIBREVILLE 00 241 74 29 79 00 241 74 77 99 [email protected] GRANDE BRETAGNE F. LAGOUTTE Y. LANGEVIN (adj.) 30 Queen's Gate Terrace LONDON SW7 – 5PH 00 44 207 589 49 09 00 44 207 581 13 60 [email protected] ITALIE B. VECCIA J. GALY (adj.) Corso Vittorio Emanuele II, 266 0186 ROME 00 39 06 682 10 178 00 39 06 682 10 114 [email protected] MADAGASCAR M. LABEYRIE J.P. NICOLI (adj.) 00 261 20 223 99 80 00 261 20 223 99 93 [email protected] MALI J.L. LALANNE O.IMBACH (adj.) 3, rue Jean Jaurès BP 225 AMBATOMÉNA ANTANANARIVO 101 Square Patrice Lumumba BP 288 BAMAKO 00 223 44 97 58 40 00 223 44 97 58 49 [email protected] MAROC M.S. SERRA N. GAGNIER (adj.) Quartier de l’Agdall, rue Aguelmane Sidi Ali BP 422 - RABAT 00 212 5 37 68 79 00 00 212 5 37 77 75 61 [email protected] SÉNÉGAL D. SCHAEFFER T. OLLAND (adj.) Rue Maunoury BP 402 DAKAR 00 221 33 889 80 50 00 221 33 821 64 70 [email protected] TCHAD BP 755 H. ORDITZ N’DJAMENA V. TOWO KAMGA (adj.) 00 235 252 24 03 00 235 252 36 90 [email protected] TUNISIE M. LEROY R. RENAUX (adj.) 00 216 71 782 336 00 216 71 793 628 [email protected] 11, rue Ibn Zohr 2, rue de Touraine - BP 132 1002 TUNIS-BELVÉDÉRE La trésorerie générale pour l’étranger et le réseau de la DGFIP à l’étranger en 2010 (chiffres 2009) Organigramme de la trésorerie générale pour l’étranger Standard Télécopie 02 40 16 12 00 02 40 76 28 43 Trésorier-Payeur Général Jean-Louis Bühl Inspecteurs Principaux Auditeurs 02 40 16 12 06 Lionel Rambert 02 40 16 12 97 François Guihéneuf Fondé de pouvoir 02 40 16 12 10 Jacky Labayen 02 40 16 12 03 Chargée de mission Pôle audit, Chargée de communication Stéphanie Le Page Cabinet-Secrétariat 02 40 16 12 55 Maryvonne Roué Chargé de mission CQC 02 40 16 12 05 Jean-Yves Euzenat 02 40 16 12 49 Fondé de pouvoir assistant Véronique Le Corre 02 40 16 12 08 Chef de division Affaires Générales Contrôle de Gestion Chef de division Fonction Comptable Chef de division Réseaux Chef de division Liaisons et Correspondants Catherine Dugardin Florence Pennou Nicolas Dextreit Pierre Gloaguen 02 40 16 12 09 02 40 16 17 67 02 40 16 12 57 02 40 16 17 77 Service Logistique et budget Service Comptabilité Générale Service animation et contrôle du réseau Service Liaisons paye Ghislaine Crenn Nicole Ligier 02 40 16 12 02 02 40 16 17 64 Service Ressources Humaines Service Dépense Centrale Jean-Michel Latimier 02 40 16 12 14 Chargé de mission Documentation, Audits Gilles de Maupeou 02 40 16 12 38 Soizic Corbal 02 40 16 15 99 Jean-Louis Cathelot 02 40 16 12 30 Service Comptabilité Régies Service Pensions Jean-Denis Pré Muriel Autin Nathalie Charlot 02 40 16 12 21 02 40 16 17 75 02 40 16 12 42 Service Dépense Déconcentrée Service Pensions cristallisées Service Facturier Service Recettes Fabrice Martin Laurence Uguen 02 40 16 17 41 Maryse Pivaut 02 40 16 14 41 02 40 16 15 85 Chargé de mission Formation professionnelle Michel Jamet 02 40 16 12 82 Cellule Bilan 02 40 16 15 54 02 40 16 15 72 Service des EAF Service Dépôts de fonds Martine Bolloré Thierry Sailly 02 40 16 15 50 02 40 16 15 64 Editique, Informatique, CMIB Yves Rival 02 40 16 12 33 Organigramme au 15/06/2010 La trésorerie générale pour l’étranger et le réseau de la DGFIP à l’étranger en 2010 (chiffres 2009) 19 Londres Berlin Nantes Rome Madrid Tunis Rabat Alger Washington Pékin Dakar Ouagadougou Bamako N’Djamena Djibouti Abidjan Libreville • CERTIFIÉE IMPRIM’VERT • SAINTE-LUCE-SUR-LOIRE • 02 51 13 50 50 • JUIN 2010 Création et réalisation 30 rue de Malville • 44040 Nantes Cedex 1 Tél. 02 40 16 12 00 • Fax. 02 40 76 28 43 [email protected] • CERTIFIÉE IMPRIM’VERT • SAINTE-LUCE-SUR-LOIRE • 02 51 13 50 50 • Septembre 2009 Trésorerie Générale pour l’Etranger Création et réalisation Antananarivo