Quand Maureen Dor vient raconter ses histoires Le plus gros

Transcription

Quand Maureen Dor vient raconter ses histoires Le plus gros
L’ex animatrice des émissions « jeunesse » de France 2, viendra bientôt visiter les cliniques
Vitalia. Depuis 2 ans déjà, Maureen poursuit son voyage dans l’enfance en inventant des
contes enfantins. A compter du mois de novembre, elle viendra narrer et même chanter
ses histoires dans nos cliniques. Les enfants hospitalisés seront aux premières loges.
Mais ce moment sera aussi l’occasion pour les cliniques de s’ouvrir aux écoles et à tous
les visiteurs extérieurs qui souhaitent venir apprendre à « construire » une belle histoire !
La Lettre : Vous vous
rendrez
prochainement
dans les cliniques du
Groupe ?
Maureen Dor : Oui, je
raconterai mes histoires aux
enfants hospitalisés ainsi
qu’aux petits des salariés et aux écoliers qui
seront présents. On chantera, on construira
ensemble de nouvelles histoires et des livres
leur seront offerts. Les dates ne sont pas
encore toutes définies mais je sais d’ores et
déjà que je me rendrai à Clermont-Ferrand,
Montluçon ou encore St Omer, cet automne
et cet hiver.
La Lettre : Vous vous êtes lancée dans
l’écriture de livres pour enfants. Ce métier
vous enthousiasme davantage que votre
vie d’animatrice ?
M.D. : Oui, et j'en suis la première surprise.
Je me suis lancée dans cette aventure sans
vraiment savoir à quoi m’attendre… Mais c’est
passionnant ! C’est formidable de pouvoir aller
au bout de son imagination, de voir l’idée qu’on
a dans la tête prendre forme et se transformer
en livre. Et le plus beau, c’est quand des
parents me disent que tous les soirs, ils lisent
mes histoires à leurs enfants et qu’ils écoutent
mes chansons. Pour moi, c’est un plaisir fou !
La Lettre : Et qu’est-ce qui est le plus
dur : écrire un livre pour enfants ou animer
une émission ?
M.D. : Écrire un livre pour enfants, sans aucun
doute ! On pourrait croire que, comme il y a
moins de pages, moins de mots, c’est plus
facile. Mais pas du tout ! On doit choisir le
juste mot, être précis et concis à la fois. Ce
n’est pas toujours évident.
La Lettre : Vous avez créé entre autres
la collection « Les Zygomots » : Vol à
la Bisouterie, Voyage en Autopuce, Le
Bêtiseur… Il y a toujours un jeu de mots.
Ce sont vos enfants qui vous les inspirent ?
M.D. : Exactement ! A l’école, mon fils Léonard
avait dit à sa maîtresse qu’il souhaitait devenir
Moi Super moi, pour les enfants de 3 à 6 ans.
Bientôt dans les cliniques du Groupe Vitalia.
« bêtiseur » quand il serait grand. J’ai trouvé ça
tellement marrant que j’en ai créé un livre.
Autre exemple : un jour, mon fils Gaspard
s’amusait à me faire plein de bisous et je lui
ai dit : « Mais tu es un vrai bisoutier, toi ! » Le
livre Vol à la Bisouterie est né comme ça. Je
m’inspire de tous ces moments passés avec
mes enfants.
La Lettre : Les cliniques Vitalia qui vous
accueilleront, recevront prochainement
votre nouveau livre « Moi, super Moi ». De
quoi parle-t-il ?
M.D. : C’est l’histoire de Victor, un petit garçon
qui rêve d’être magicien, footballeur ou pilote
d’avion. Il est persuadé qu’il ne peut pas y
arriver jusqu’au jour où il tombe malade. Il
devient le centre de l’attention. Sa maladie le
fait se sentir bien plus exceptionnel qu’il ne
l’aurait cru. Victor devient… Super Victor.
La Lettre : Cette histoire aussi s’inspire des
moments passés avec vos enfants ?
M.D. : Celle-ci s’inspire plutôt de ma propre
enfance. Mon petit-frère a été très malade à
5 ans. Il a été hospitalisé pendant plusieurs
mois. J’étais jalouse de l’attention que tout le
monde lui portait : il recevait de beaux jouets,
ma mère passait beaucoup de temps avec lui,
les infirmières étaient aux petits soins… Je ne
voyais pas la gravité de sa maladie mais juste
le côté positif de tout ça. Des années plus
tard, j’en fais un livre.
Groupe VITALIA
5, rue du Cirque 75008 Paris
Tel: +33 (1) 58 56 16 80 Fax: +33 (1) 58 56 16 81
Email : [email protected]
www.groupe-vitalia.com
Formabloc : 13 nouveaux diplômés !
du Groupe Vitalia / n°30
Le 6 juillet dernier s’est achevée la
quatrième session de Formabloc, la
formation d’Infirmier(e) Diplômé(e)
d’Etat Circulant(e) (IDEC).
Durant huit semaines, les participants
ont ainsi appris le fonctionnement des
matériels (respirateur, scope, colonne
vidéo, bistouri électrique…), les règles
d’hygiène, les protocoles de prise en
charge du patient et la tenue du dossier
médical. L’enseignement a également
porté sur les différents types d’anesthésie,
les procédures en chirurgie vasculaire,
viscérale, gynécologique, urologique, en
orthopédie ou encore en ophtalmologie.
« Un grand merci à l’Université Vitalia
pour l’organisation de cette formation.
Les précieux conseils des formateurs, le
partage d’expérience ou encore les cas
pratiques : tout était intéressant ! » se
réjouit un infirmier.
INFORMATISATION DU DOSSIER PATIENT
Le plus gros projet informatique jamais
mené chez Vitalia !
Démarré il y a deux ans, le programme d’informatisation du dossier patient est le plus gros projet informatique jamais mené
chez Vitalia. Xavier Boutin, Directeur Général Adjoint du Groupe, fait un point sur ce dossier et sur le chemin parcouru, malgré
les difficultés techniques rencontrées.
La Lettre : En quoi ce projet
est-il si lourd ?
Xavier Boutin : Nous
informatisons
le
dossier
patient dans l’ensemble de nos
établissements. C’est d’abord
un changement considérable
pour les personnels soignants comme pour les
praticiens qui doivent modifier leurs habitudes
au quotidien. Et c’est également un chantier
extrêmement complexe techniquement compte
tenu de la sensibilité des données traitées.
Nous ne pouvons prendre le moindre risque
de défaillance dans le traitement des données
médicales des patients.
Wulfran Puget certifiée !
La Clinique Wulfran Puget à Marseille
vient d’être certifiée par la Haute
Autorité de Santé (HAS), sans aucune
recommandation. Un grand bravo aux
salariés et médecins de l’établissement
qui ont contribué à cet excellent résultat.
La Lettre : Pourquoi cette complexité
technique ?
X.B. : Elle est due à notre niveau élevé d’exigence.
Nous avons pris le parti de respecter à la lettre
les consignes du décret Hébergeur de Santé.
Cette contrainte est à la fois très forte et très
nouvelle. Notre souci de respecter les termes
de ce décret nous a donc confrontés, ainsi que
nos partenaires hébergeurs et éditeurs, à des
problèmes techniques inédits, qu’il a bien fallu
résoudre.
IRM flambant neuf à Troyes
La Clinique Montier-la-Celle à SaintAndré-les-Vergers, près de Troyes, et
le groupement de praticiens libéraux
viennent d’acquérir un IRM flambant neuf
et extrêmement précis. Pour acheminer
le nouveau mastodonte de près de huit
tonnes, une seule solution, pour le moins
spectaculaire : passer par le toit !
L'HAD de la Dracénie
Depuis le 16 août, le Dr Frédéric Bernard
est le nouveau médecin coordonateur de
l’Hospitalisation à domicile (HAD) de la
Polyclinique Notre Dame à Draguignan.
Créé en 2007, ce service permet de
dispenser au domicile du malade des
soins médicaux et paramédicaux de
qualité. En 5 ans, plus de 1500 séjours
ont été organisés pour le maintien ou le
retour à domicile des patients. L'HAD de
la Dracénie intervient dans 42 communes
de la région dracénoise.
La Lettre : Concrètement, comment se
traduit votre niveau élevé d’exigence ?
X.B. : Nous avons refait l’ensemble des réseaux
internes de nos établissements afin de les
sécuriser au maximum. Nous avons installé des
liaisons VPN afin de relier les établissements aux
plateformes d’hébergement nationales. Nous
avons mené pendant plusieurs mois un process
de sélection d’un hébergeur de santé. Nous
avons contracté avec un éditeur, CS3I. Nous
avons sélectionné et formé une équipe projet
dans chaque clinique. Nous avons paramétré
une configuration de référence pour l’ensemble
des cliniques du groupe. Tout cela dans 30
établissements. Parallèlement, nous avons
travaillé à la sécurité des données : cryptage
des bases, procédures d’identification des
© Yuri Arcurs
Quand Maureen Dor vient
raconter ses histoires
Brèves
Imprimé par IBL – 64700 Hendaye
VIE DU GROUPE
Octobre/Novembre/Décembre 2012
Informatisation du dossier patient : un projet ambitieux de plus de 8 millions d’euros.
utilisateurs, continuité d’activité en cas de
défaillance matérielle ou logicielle ou encore
respect absolu de l’anonymat.
La Lettre : Vous avez également mis l’accent
sur la formation des professionnels de
santé…
X.B. : Exactement ! Ce n’est pas la peine de
dépenser autant d’argent et d’énergie pour
déployer un tel système, si les professionnels
de santé ne l’utilisent pas, ou mal ! Nous avons
donc élaboré un plan de formation ambitieux
des utilisateurs, des référents métiers, des chefs
de projet. Et nous avons constamment veillé à
l’implication des praticiens. L’informatisation du
dossier patient demande beaucoup de temps
car elle amène des professionnels de la santé à
faire évoluer leurs habitudes quotidiennes.
La Lettre : Justement, êtes-vous dans les
temps ?
X.B. : Inévitablement, dans un projet de cette
ampleur, certains établissements sont en retard
sur le programme. Toutefois, dans toutes les
cliniques du Groupe, les bases sont d’ores et
déjà paramétrées, les formations se terminent
et les réseaux Wifi seront bientôt tous déployés.
Malheureusement la livraison de notre plateforme d’hébergement a pris trois mois de retard.
Cela impacte nécessairement le planning global
de plusieurs mois. Ces problèmes techniques
sont absolument inhérents à ce type de projets.
La Direction Générale de l'Offre de Soins
elle‑même reconnait que de très nombreux
projets SIH financés par Hôpital 2012 sont
très en retard.
La Lettre : Ne craignez-vous pas d’être
pénalisé par les ARS en cas de retard ?
X.B. : J’espère sincèrement que nous ne le
serons pas, compte tenu du travail considérable
que nous avons réalisé depuis quasiment deux
ans. Comment imaginer qu’un établissement
ayant fait de tels efforts soit pénalisé pour
quelques semaines de retard ? D’autant que
certaines de nos cliniques, si elles sont en
dessous de l’objectif au 1er octobre 2012,
seront largement au-dessus de cet objectif dès
le mois de janvier. Des pénalités viendraient
injustement alourdir le coût considérable (plus
de 8 millions d'euros) de ce projet.
Ce numéro de la Lettre de Vitalia a été imprimé à 11 000 exemplaires
LETTRE VITALIA 30.3.indd 2-3
9/24/2012 12:00:41 PM
CLINIQUE SAINT-OMER (BLENDECQUES)
La marche du ruban rose
A l’occasion d’Octobre Rose, la Clinique Saint-Omer organise pour la seconde année
consécutive : « La marche du ruban rose ». Le but ? Lutter contre le cancer du sein.
En partenariat avec la Ligue contre le Cancer,
et toujours épaulée par «Longuenesse Nature
Aventure » (LNA), la Clinique Saint-Omer
tentera le dimanche 14 octobre 2012 de
mobiliser un maximum de personnes contre
le cancer du sein. Un fléau qui concerne
53 000 nouvelles patientes par an.
Ainsi, le programme de la journée ne sera
pas sans rappeler la formule gagnante de
la première édition, qui avait rassemblé 400
personnes pour un don global de 2 000€
au profit de la Ligue contre le cancer. Les
randonneurs pourront donc choisir entre un
parcours en groupe de 12km ou un parcours
libre de 5 km. L'occasion de découvrir ou
redécouvrir les alentours.
Un stand d’information permettra aussi aux
participants d'en apprendre davantage sur
le dépistage du cancer du sein. De plus, un
Mobilisons-nous contre le cancer du sein !
stand de maquillage pour les enfants, et deux
stands offrant des soins de relaxation seront
disponibles.
Pour finir, une tombola et un lâcher de ballons
roses clôtureront cet événement.
En bref
Trois établissements Vitalia
parmi les 50 meilleures cliniques
de France
L’hebdomadaire
Le Point vient
de publier son
palmarès 2012 des
meilleurs hôpitaux
et cliniques de
France. Dans ce
classement, trois
établissements
Vitalia
figurent
sur le tableau
d’honneur des 50 meilleures cliniques de
France :
• La Polyclinique de Gentilly à Nancy (13ème)
• La Clinique La Châtaigneraie à Beaumont
(19ème)
• La Clinique Océane à Vannes (27ème)
Parmi les 1200 établissements au banc
d’essai, plusieurs cliniques Vitalia sont
également bien classées dans les palmarès
par spécialité.
Félicitations aux équipes médicales et
paramédicales pour ces excellents résultats !
POLYCLINIQUE NOTRE DAME (DRAGUIGNAN)
La douleur n’est pas une fatalité !
Cet été, la Polyclinique Notre Dame à Draguignan a mené une campagne de sensibilisation à la douleur.
En France, la prise en charge de la douleur a
longtemps été négligée. Mais depuis 1996,
la douleur est devenue priorité nationale. Il
existe un arsenal thérapeutique suffisant
pour ne plus souffrir inutilement. La douleur
n’est pas une fatalité, on peut la traiter !
Pour informer les visiteurs, la Polyclinique
a fait le choix de créer des stands et des
espaces thématiques. Un stand était par
exemple consacré à la douleur chronique
animé par le Dr Benoit SYMENS,
anesthésiste. Pour qu’une douleur soit
qualifiée de chronique, elle doit évoluer
depuis 3 à 6 mois. Elle est rebelle aux
antalgiques usuels. Elle envahit même le
langage et retentit sur la vie quotidienne
et les relations familiales et sociales. En
France, environ 12 millions de personnes
souffrent de douleurs chroniques.
Un autre stand traitait de la prise en charge
de la douleur dans les établissements de
santé. « Il n’y a pas une, mais des douleurs
qui se distinguent par leur origine, leur durée,
leur intensité... Mais ces douleurs n’existent
pas sans raison, il ne faut pas les laisser
s’installer. Il faut en parler à son médecin
et à l’équipe soignante qui en chercheront
LETTRE VITALIA 30.3.indd 4-5
UNIVERSITÉ VITALIA
Les dentistes formés à la chirurgie buccale
Les dentistes exerçant dans les cliniques du Groupe ont désormais la possibilité de se former à la chirurgie buccale. A
l’initiative de cette formation, le Dr Daniel Gold, chirurgien maxillo-facial à la Clinique des Chandiots à Clermont Ferrand.
La Lettre : Pourquoi
avoir mis en place cette
formation de chirurgie
buccale ?
Dr Daniel Gold : La
stomatologie a quasiment
disparu du cursus médical. Cette spécialité
s’est orientée vers la chirurgie maxillofaciale mais les spécialistes préfèrent se
consacrer aux grandes opérations plutôt
qu’à la chirurgie buccale. Aujourd’hui, la
chirurgie buccale est laissée à l’abandon.
La solution : former les dentistes.
La Lettre : Mais les dentistes ne sont-ils
pas déjà formés à cette spécialité ?
Dr D.G. : Malheureusement, non. L'internat
qualifiant en chirurgie buccale pour les
dentistes vient de voir le jour et il faudra
encore de nombreuses années pour que les
praticiens obtiennent un niveau chirurgical
correct avec cette formation universitaire !
L’idée est donc d’apprendre aux dentistes
à opérer afin qu’ils développent leur
activité de chirurgie buccale dans les
établissements privés. C’est déjà le cas
dans de nombreuses cliniques Vitalia du
centre de la France (Nevers, Bourges,
Châteauroux, Montluçon, Guéret, Paray
le Monial, Aurillac, Vichy et Auch) où nous
avons recruté et formé des chirurgiensdentistes. Notre formation est unique en
France.
La Lettre : Concrètement, comment se
déroule cette formation ?
Dr D.G. : Elle est constituée de 8 modules
qui allient la théorie et la pratique. On leur
apprend la chirurgie de A à Z. Ils sont
accompagnés pendant toutes les phases
des interventions chirurgicales : de la mise
en place du champ opératoire au passage
« Ces douleurs n’existent pas sans raison, il ne faut pas les laisser s’installer. »
les causes » explique Geneviève Dulac,
directrice des soins infirmiers. Traiter la
douleur peut prendre du temps mais cela
contribue à retrouver le bien-être, l’appétit,
le sommeil et l’autonomie.
Enfin, un stand était dédié à la sensibilisation
à la prise en charge de la douleur en fin
de vie. Les médicaments, notamment
les antalgiques, soulagent la douleur,
même s’ils ne la suppriment pas
toujours totalement. Il existe aussi
d’autres moyens qui peuvent améliorer
le bien-être des patients : l’hypnose, la
sophrologie, la relaxation, les massages,
des applications de poches de glace ou
d’eau chaude, la stimulation électrique
transcutanée…
Une formation de chirurgie buccale unique en France.
du patient en salle de réveil. Quand ils ont
terminé leurs modules, ils savent aussi
bien traiter les pathologies infectieuses,
qu'enlever les dents incluses, poser des
implants ou réaliser des greffes osseuses.
Ils sont également capables de gérer les
complications per et post opératoires.
La Lettre : Où se déroule la pratique ?
Dr D.G. : Au bloc opératoire et en salle
de travaux pratiques. Les exercices sont
réalisés sur des têtes de cochons et
d’agneaux. L’agneau est le seul animal sur
lequel nous avons trouvé des germes de
dents permettant de simuler l'intervention
des germes de dents de sagesse. Encadrés
par les formateurs de l'université Vitalia, les
gestes chirurgicaux sont répétés et réalisés
avec le même matériel utilisé pour les
interventions chirurgicales in vivo.
La Lettre de Vitalia félicite les 8 premiers
chirurgiens-dentistes diplômés de l'université
Vitalia :
Dr Stéphane Berlande – Les Grainetières à Saint-AmandMontrond
Dr Isabelle Cancel – Saint François à Montluçon
Dr Didier Castagna – La Roseraie à Paray le Monial
Dr Emmanuel Demars – Val de Loire à Nevers
Dr Joël Lanoux – Les Grainetières à Saint-Amand-Montrond
Dr Sylvain Picard – Val de Loire à Nevers
Dr Philippe Renaldy – Les Grainetières à
Saint‑Amand‑Montrond
Dr Patrick Thévenet – Saint François à Montluçon
La Lettre : Les dentistes doivent être ravis
de cette formation…
Dr D.G. : Vous les verrez lorsque vous
visiterez leurs cliniques, ils prennent goût à
la chirurgie. Au fur et à mesure des modules,
on les accompagne pour des interventions
de plus en plus complexes. Ils sont ravis de
pouvoir intervenir dans des établissements
qui offrent des plateaux techniques
extrêmement performants, assurant pour
les patients une grande sécurité, et pour
les praticiens le confort pour opérer
dans les meilleures conditions. Les pôles
d'excellence en chirurgie buccale ont vu le
jour chez Vitalia.
La Lettre : Quelles sont les prochaines
formations prévues ?
Dr D.G. : En 2012-2013, nous allons former
12 nouveaux chirurgiens dentistes dont la
plupart exerceront à la Clinique La Pergola
à Vichy.
... et adresse ses remerciements aux formateurs :
Dr Daniel Gold – Chirurgien maxillo-facial – Les Chandiots à
Clermont-Ferrand
Dr Philippe Brossier – Orthodontiste - Les Chandiots à
Clermont‑Ferrand
Dr Philippe Chassang – Chirurgien-dentiste - Les Chandiots à
Clermont-Ferrand
Dr Nicolas Davin – Chirurgien dentiste compétent en chirurgie
buccale - Les Chandiots à Clermont-Ferrand
Dr Stéphane Jacob – Chirurgien-dentiste - Les Chandiots à
Clermont-Ferrand
Dr Marcel Paniagua – Anesthésiste-réanimateur - Les Chandiots à
Clermont-Ferrand
Pr Georges Péri – Université de Clermont-Ferrand
9/24/2012 12:00:41 PM