humeurs - Mairie du 11e

5, passage Louis Philippe, 75011 Paris
Tel. 01 47 00 57 59 Fax. 01 48 05 65 22
www.cafedeladanse.com
Email. [email protected]
“Du Bouge au Conservatoire”
1er festival d’accordéons à Paris
Samedi 11, lundi 13 et mardi 14 novembre 2006
Le tango est né à Buenos Aires,
Le blues à Chicago,
Le jazz à la Nouvelle Orléans,
… Le musette à Paris !
Contact presse : kamsa 01 47 00 57 59 [email protected]
- -
INFOS PRATIQUES :
Café de la Danse – 5 passage Louis Philippe – 75011 Paris
Métro Bastille
Tel info line : 01 47 00 57 59
Fax : 01 48 05 65 22
www.cafedeladanse.com // [email protected]
Ouverture 19h30 sauf :
• La visite guidée : de 10h00 à 12h00
• Concerts : 20h
Tarif pour les concerts (hors frais de locs):
• 20€ en tarif plein
• 15€ en tarif réduit (étudiant, chômeurs, - de 26 ans)
Sauf :
• le 14 novembre : 15€ en TP et 12€ en TR
• visite guidée: Gratuit
Billet en vente : Fnac – Carrefour - 0 892 68 36 22* - www.fnac.com
Virgin Megastore – Auchan – Cora – E.Leclerc – Cultura – 0 892 390 100* – www.ticketnet.fr
*0.34 € TTC/min et points de vente habituels
- -
Paris et l’accordéon… Une longue histoire
Dès 1830, l’accordéon résonnait dans Paris, d’abord sous une forme
bourgeoise. L’instrument était en effet un nouvel objet musical qui imitait
la voix humaine. Fait de bois précieux, de nacre, de cuivre et
d’incrustations
spectaculaires,
il
était
joué
uniquement
par
les
demoiselles en crinoline dans les beaux salons parisiens.
Les jeunes gens venaient écouter l’égérie de l’accordéon romantique Louise
Reisner. Il n’était pas rare que certains s’évanouissent à l’écoute des
sons si humains, incroyablement beaux. Nous étions en pleine période
romantique.
Puis l’instrument tomba en désuétude. Le piano prit sa place dans les
salons bourgeois.
Mais, dès les années 1870, l’accordéon revint dans la capitale entre les
mains ouvrières des immigrés italiens et au travers de la communauté
auvergnate, principalement installée dans le onzième arrondissement de
Paris. L’accordéon s’imposa rapidement comme l’instrument populaire pour
faire danser dans les bals de familles.
Au tournant du siècle (1900), l’accordéoniste Émile Vacher révéla à tous un
nouveau genre qui allait enflammer Paris et le monde entier : le musette et
une de ses danses emblématiques : la java.
Aujourd’hui, l’accordéon est reconnu malgré sa courte existence (un siècle
sous sa forme chromatique) comme un instrument de musique à part entière.
On le trouve aussi bien dans la chanson, le bal, le rock, le jazz, le
classique et dans de nombreuses musiques des peuples du monde. Paris se
devait de posséder un événement pour commémorer l’accordéon : “Du bouge au
conservatoire” se veut un festival ouvert, exposant chaque année tous les
courants et la vie de ce fantastique
instrument que le monde entier
reconnaît comme étant avant tout d’origine française et principalement
parisienne.
En 2006, la capitale résonne enfin d’un événement consacré à l’instrument à
anche libre !
Philippe Krümm
- -
Demandez le programme !
Samedi 11 novembre à 20h00
Café de la danse
“Nuit des maîtres”
Marcel Azzola, Lina Bossati, Jean Corti, Armand Lassagne
Accompagnement : Dominique Cravic et Thomas Dutronc : guitares
Lundi 13 novembre à 10h00
Au départ du Café de la Danse
Visite guidée : “Le 11e, terre de bals”
Promenade historique, commentaires « Histoire des bals autour de la rue de Lappe » : Claude
Dubois, Lucien Lariche
Lundi 13 novembre à 20h00
Café de la Danse
Remise des 3éme Prix Gus Viseur 2006
+ Hommage au swing : Carte blanche à Stéphane Sanseverino.
Le prix Gus Viseur, du nom d’un des créateurs du swing à l’accordéon, est un prix récompensant les
personnes ayant œuvré pour l’accordéon, toutes disciplines confondues.
Cette soirée est organisée par l’académie Gus Viseur présidée par Stéphane Sanseverino, assisté de
Philippe Krümm, Bintou Simporé, Jean-Pierre Bruneau, Marc Taraskoff, Michel Esbelin,
Dominique Cravic, Alain Raemackers, Bruno Dreux, Jonathan Duclos-Arkilovitch.
Pour la carte blanche, Stéphane Sanseverino sera accompagné de:
Hervé Legeay, Dominique Cravic, Hervé Pouliquen (guitares), GP Cemonini
(contrebasse), Xavier Tribolet (batterie)
Mardi 14 novembre à 20h00
Café de la Danse
“Accordéon d’ailleurs”
Kimmo Pohjonen, Mériadec Gouriou
Soirée performances, entre l’accordéon diatonique et le chromatique de deux musiciens surprenants.
Une incroyable évolution pour l’instrument à anche libre. Un spectacle unique.
- -
ARMAND LASSAGNE
Compositeur, pédagogue, concertiste, virtuose du swing, Armand est intrigué par
l’accordéon dès son plus jeune âge.
À l’age de 15 ans, il joue déjà régulièrement de l’accordéon dans une auberge en
accompagnant des chanteurs. À 17 ans, il participe plusieurs fois par semaine à des
émissions de radio « les cadets de l’accordéon « et « accordéon parade » avec des vedettes
de l’époque. Il se fait ainsi connaître et joue alors dans des bals parisiens, puis vient l’heure
de ses premiers enregistrements.
Il est par la suite reconnu comme véritable virtuose et se produit dans des hauts lieux
parisiens tels que de grands hôtels, la Comédie Française, la Salle Pleyel, ou encore la Fête
de l’Humanité.
Après plus d’un an d’armée, sa passion pour l’instrument ne l’a pas quitté, il remet sur pied
un orchestre et repart sur les routes de France.
Il aime multiplier les expériences et s’essayer aux divers genres musicaux, son tempérament
lui dicte de privilégier le changement : tzigane, musette, jazzy. Musicien de studio, il
accompagne plusieurs artistes en plus des galas ; il est l’accordéoniste de nombreuses
vedettes de la chanson, mais est aussi soliste dans différents ensembles.
Hormis toutes les émissions télévisées portées sur l’accordéon, il fut l’accordéoniste attitré de
“La croisée des chansons“ puis de “la chance aux chansons“ de 1982 à 1985. il participe
également à de nombreuses émissions de radios nationales et régionales.
Compositeur, membre de la Sacem, cet excellent pédagogue enseigne l’accordéon dans des
conservatoires jusqu’en 1996. Remarquable compositeur, il a aussi publié son album “le
tournis“.
Album : Tournis (Le Chant du Monde 2003)
- -
LUCIEN LARICHE ET CLAUDE DUBOIS
Sa profession ne destinait pas Lucien Lariche à devenir spécialiste des bals-musette. Un jour,
par hasard, il est tombé sur une collection de jetons de bal. Si la valeur sonnante et
trébuchante de ces jetons de l’As de cœur, de chez Bousca, ne représentaient rien, il en allait
différemment de leur valeur affective. Lariche est du haut de la rue de la Roquette : sur le
coup de ses 18 ans, il gambillait rue Basfroi et rue de Lappe. Une fois libéré de ses fonctions,
Larche a élargi sa collection, puis il s’est absorbé dans la recherche de la localisation des
bals. Cette année, le fruit de son travail a été édité : Les Jetons de Bal (1830-1940) – Lieux
de danses célèbres et petits bals de quartier (1).
En 1994, dans le Figarscope, Lariche avait lu un article de Claude Dubois, le Titi, sur les
guinches de la Bastille. Il lui a écrit : les deux ne pouvaient que faire la paire, une amitié est
née. Dubois oeuvrait alors à La Bastoche – Bal-musette, plaisir et crime (1750 – 1939) (Le
Félin). Il y a longtemps, il avait publié Céline en verve (Horay). En 1980, il s’est penché sur
Jaques Mesrine : La Mort à bout portant (SIPE). Avec Robert Lageat, le taulier du 9, rue de
Lappe, il a écrit Des Halles au Balajo, etc. Depuis, il a sorti d’autres livres, dont le célèbre
Paris gangster (Parigramme, 2004), et en 2005, Ca, c’est Paris ! – Les Chroniques du Titi –
1987-1990 (DIE)
Sur France 3, Dunois a souvent été l’historien d’ A vos quartiers, le samedi après-midi. En
2005, sur France 3 toujours, avec le réalisateur Jacques Baker, il a fait quatre
documentaires : Gueules d’atmosphère. Le Balajo y était à l’honneur. Actuellement, Dubois
achève un nouveau livre pour Parigramme : C’était le… Paris populaire (Histoire et
historiettes). La parution est prévue pour septembre 2007, dans un an.
(1). Édité par l’association des Collectionneurs de Jetons-Monnaie (A.C.J.M) c/o R. Elie, 8, rue
Delabordère, 92200 Neuilly-sur-Seine.
- -
JEAN CORTI
Personnalité attachante, toujours le sourire aux lèvres, Jean Corti traverse les genres
et les époques.
Il est natif d’Italie et découvre l’accordéon à 9 ans mais il développe son art en France. Il
débute sur scène accompagné d’un orchestre d’amis à l’âge de 19 ans, ils animent alors des
bals de banlieue.
En 1953 il part en tournée aux cotés de George Brassens en tant que contrebassiste. 6 ans
plus tard, il rencontre Jacques Brel, ils sympathisent et un an plus tard Corti joue aux côtés
de Brel.
De leur complicité naît 5 compositions : Titine, les Taureaux, Les vieux, Les bourgeois,
Madeleine. Jean a accompagné nombre de grands noms français, de Barbara aux Têtes
Raides, ces derniers lui permirent d’ailleurs d’enregistrer son 1er album solo “cuka“.
Plus d’infos sur www.monslip.fr
Album : Couka (Mon Slip Production, 2001), sortie du nouvel album prévue le 17 novembre
2006.
- -
KIMMO POHJONEN
Kimmo Pohjonen - accordion, voice, effects with
Heikki Iso-Ahola – sound engineer, surround sound design, effects
Ari "Valo” Virtanen - light design
Kimmo Pohjonen est l’un des musiciens les plus respectés en Finlande. Né en 1964, il
commence l’accordéon à l’âge de 8 ans en abordant tous les styles musicaux.
Il réalise des études de musique classique au conservatoire d’Helsinki de 1980 à 1985.
Accordéoniste d’une abilité et d’une imagination exceptionnelles, l’histoire musicale de Kimmo
datent de plus de 20 ans que ce soit dans le rock, le folk, la musique avant-gardiste,
l’improvisation, le classique, la danse et les projets de théâtre musical.
Nommé successivement le musicien de l’année en Finlande en 1996, 97, 98, il a joué sur plus
de 75 albums durant les 10 dernières années.
Parallèlement, en 1996, il débute une carrière solo avec des compositions extrêmement
originales. Ces spectacles reçoivent immédiatement des acclamations qui le poussent à
continuer ses projets à travers le monde. Sa singulière mission est d’étendre l’utilisation de
l’accordéon pour obtenir des sons, des performances ni vues ni entendues auparavant.
L’Accordéon, la voix, les effets, le son et la lumière sont combinés pour réaliser un
événement unique et captivant. Ses projets les plus récents incluent des collaborations en
duo ou en quartet, et son dernier projet solo est appelé «animator » avec des graphiques
sur ordinateurs animés en live par des artistes multi-media.
Plus d’infos sur www.kimmopohjonen.com
Album : Kluster (Rockadillo, 2004)
- -
LINA BOSSATI
Musicienne confirmée, elle obtient en piano le premier prix du conservatoire National
Supérieur de Paris, une licence de concert et un diplôme d’Enseignement à l’Ecole Normale
de Paris.
En violon, elle intègre l’Orchestre Symphonique de C.N.M de Meudon et Louis Le Grand de
Sorbonne et différentes formations de Musique de Chambre.
Musicienne de « Métier », elle joue dans les plus grandes brasseries parisiennes, les cafésconcerts, les dancings, l’Eldorado, le Rêve, le Royalieu, le Mimi Pinson…
Elle accompagne également de nombreux chanteurs comme Bourvil, Tino Rossi, Philippe
Clay, Renée Lebas, Colette Renard, Annie Cordy, Mouloudji dans l’anthologie de la chanson
française (C.D. Déesse)
Musicienne de studios, elle enregistre de nombreuses musiques de films avec François
Rauber, Hubert Rostaing, Michel Legrand, Philippe Sarde, les Sex Pistols : Mon Oncle
(Jacques Tati), Le Juge et l’Assassin (Bertrand Tavernier), Les Bonnes Femmes (Claude
Chabrol), Les uns et les autres (Claude Lelouch), Le Fantôme de l’Opéra…
En 1983, elle créée un duo avec Marcel Azzola. Elle a alors un tout nouveau répertoire, des
compositions originales écrites spécialement par Martial Solal, Hubert Rostaing, Pascal
Groffe, Marc Fosset, Jean-Pierre Chalet, Patrice Caratini, Frédéric Sylvestre…musiques écrites
et improvisées.
En 1996, un nouveau trio voit le jour avec Azzola toujours et Sylvestre à la guitare. À cette
époque, elle vit une grande aventure musicale avec Jean-Pierre Baraglioli (Saxo).
À l’apogée de sa carrière, elle obtient un Django d’or en 1994 et on lui décerna un prix aux
Victoires de la Musique en 1995.
Discographie :
• « Pièces pour claviers » Prod. Mazo
• « Bonjour de Paris » Sibelius Academy Helsinki 1988
• « Mouloudji et Marcel Azzola » Prod Desse
• Musique à la mode » Polygram Jazz
- -
MARCEL AZZOLA
Marcel Azzola, artiste polyvalent, est connu autant pour ses accompagnements de
Jacques Brel, que pour le musette dansant ou le jazz manouche.
Marcel est né en 1927 dans le 20ème arrondissement de Paris ; à 9 ans, il commence
l’accordéon sans basses, puis il prend des cours avec Attilo Bonhommi. Ceci lui permet de
gagner des concours juniors et de jouer en première partie de la fête de l’Humanité.
Marcel apprend par la suite avec Médard Ferrero, rigueur et lecture à vue. Il décide alors de
transmettre son savoir à l’Ecole Nationale d’Orsay pendant plus de 20 ans.
En 1949, il apparaît pour la 1ère fois sur scène en tant qu’accompagnateur de chanteur. En
1953, il sort son 1er disque qui lui ouvre une carrière prometteuse ; il enchaîne les tournées
avec Juliette Gréco, Barbara, Yves Montand, ou encore Jacques Brel dont il intensifie la voix.
Marcel passe aussi par divers groupes tels que l’orchestre russe qu’il accompagne pendant 3
ans, il noue alors de nombreuses amitiés avec des artistes de divers pays d’Europe. Marcel
connaît ainsi un parcours bien dense : bals, collaborations de studio, de tournées, production
musicale.
Depuis 15 ans, Marcel Azzola se détourne de sa carrière de soliste-concertiste pour se
consacrer totalement au nouveau duo piano/accordéon avec Lina Bossati. Les deux
musiciens trouvent rapidement leur équilibre, et dès lors des compositeurs leur écrivent des
pièces. Marcel produit par ailleurs lui-même son premier disque sous le label Mazo. À noter, il
est aussi présent dans le jazz et le rock, il a à ce sujet apposé sa griffe sur un morceau des
Sex Pistols.
Pour conclure on peut dire que Marcel dispose d’une technique exemplaire mais qu’il préfère
se laisser guider par l’émotion et le phrasé, c’est ce qui lui a permis d’accéder au jazz ou aux
musiques étrangères.
Album : Accordéon séduction (2006)
- -
MERIADEC GOURIOU
Meriadec pratique l’accordéon diatonique depuis son plus jeune âge ; il a la révélation
de son instrument en voyant Jean Michel Moal.
De stage en prestation scénique, ses pérégrinations le font se frotter à d’autres univers qui
aboutissent à son intégration dans le groupe Gwenfol.
Tourné vers une musique expérimentale empruntant à des courants musicaux aussi divers
que le rock ou le tango, il nous porte vers un voyage plein de rêveries.
Il distille avec son accordéon diatonique un savant mélange de musique traditionnelle
bretonne et de sons jazz et rock, et embrase le public par sa jeunesse et sa fougue.
Étant maintenant solitaire, il n’a de cesse de pratiquer son instrument en développant une
gestuelle proche de la transe évoluant au fil de ses compositions originales de la valse à la
musique contemporaine.
Il alterne le répétitif et les motifs de toutes les traditions liées à cet instrument.
Plus d’infos sur www.meriadecgouriou.com
Album : Meriadec Gouriou 2001
- -
STEPHANE SANSEVERINO
Stéphane Sanseverino a passé sa jeunesse à parcourir le monde, grâce au métier de
papetier de son père.
En passant par l'Europe de l'Est, il découvre la musique tsigane, qui devient une passion.
Il se fait alors la main sur sa guitare, oeuvrant dans le swing manouche.
Au début des années 90, il joue dans diverses formations jusqu'en 1999. Le premier album
en solo “Le tango des gens“ de ce parolier fan de Django lui a permis de passer de
l’underground au-devant de la scène en remportant le prix de la révélation scène aux
victoires de la musique en 2003.
L’album déborde d’énergie mais sur scène c’est explosif.
Après le succès du premier album, il revient en février 2004 avec un nouvel album intitulé
Les Sénégalaises, l’ambiance reste toujours aussi délirante et enjouée, mais les guitares
manouches sont moins présentes et les arrangements sont plus travaillés.
Plus d’infos sur www.sanseverino.net
Album : Les sénégalaises (Sanctuary, 2004)
- -
“Du Bouge au Conservatoire” :
- Production : Café de la Danse , Loïc Barrouk
- Partenaires : Royez Musik, Mairie de Paris, Mairie du 11e arrondissement de Paris, Accordéon &
Accordéonistes, www.accordeoniste.com, Adami, Cnv, Drac île de France, Fnac, Chez Paul
restaurant…
Contact Artistique :
Philippe Krümm : 06 08 58 73 09 [email protected]
Contact Production :
Direction :
Administration :
Café de la Danse / tel. 01 47 00 57 59 – fax 01 48 05 65 22
Loic Barrouk / 06 30 51 36 13 / [email protected]
JS Nicolet / 06 63 07 42 88 / [email protected]
Communication, presse:
Kamsa Habouchi / 06 64 50 96 13 /
[email protected] et Hélène PICON / [email protected]
Affiche, visuel :
Graphisme :
Robert Crumb
Florent Nicolas
(*) “Du bouge au conservatoire” : ouvrage mythique, rédigé et publié à quelques centaines
d’exemplaires en 1950 par l’accordéoniste Louis Péguri. “Du Bouge au Conservatoire” est le premier
ouvrage relatant l’histoire de l’accordéon.
- -