Rapport de certification V2010 - Polyclinique du Beaujolais
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Rapport de certification V2010 - Polyclinique du Beaujolais
RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS 120 ancienne route de beaujeu Bp71 - 69653 - Villefranche Sur Saone JANVIER 2013 MAJ - 02/2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Les objectifs de la certification des établissements de santé 2. Les niveaux de certification 3 4 5 1.PRESENTATION DE L'ETABLISSEMENT 7 2.DECISION DEFINITIVE DE LA HAUTE AUTORITE DE SANTE 1. Les décisions par critères du manuel 2.Bilan des contrôles de sécurité sanitaire 3.Participation au recueil des indicateurs généralisés par la Haute Autorité de Santé 4. Critères investigués lors de la visite de certification 5.Suvi de la décision 10 11 12 13 14 15 3.PRESENTATION GRAPHIQUE DES RESULTATS 16 4.SUIVI DES PRECEDENTES DECISIONS DE LA HAUTE AUTORITE DE SANTE 23 5.CONSTATS ET COTATION PAR CRITERES CHAPITRE 1: MANAGEMENT DE L'ÉTABLISSEMENT PARTIE 1. MANAGEMENT STRATÉGIQUE PARTIE 2. MANAGEMENT DES RESSOURCES PARTIE 3. MANAGEMENT DE LA QUALITÉ ET DE LA SÉCURITÉ DES SOINS CHAPITRE 2: PRISE EN CHARGE DU PATIENT PARTIE 1. DROITS ET PLACE DES PATIENTS PARTIE 2. GESTION DES DONNÉES DU PATIENT PARTIE 3. PARCOURS DU PATIENT PARTIE 4. PRISES EN CHARGE SPÉCIFIQUES PARTIE 5. EVALUATION DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES 29 30 31 55 96 122 123 148 156 204 222 6.INDICATEURS DE LA HAUTE AUTORITE DE SANTE 229 7.BILAN DES CONTROLES DE SECURITE SANITAIRE 231 ANNEXES SUITE A MODALITE(S) de SUIVI : Plans d'actions engageant l'établissement pour la prochaine procédure de certification PREAMBULE 232 POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 2 PREAMBULE POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 3 Le rapport dont vous disposez présente les résultats de la procédure de certification de l'établissement par la Haute Autorité de Santé. 1. Les objectifs de la certification des établissements de santé La certification mise en oeuvre par la Haute Autorité de Santé tous les 4 ans est une procédure d'évaluation externe. Elle est obligatoire et intervient périodiquement tous les 4 ans. Sur la base d'un référentiel élaboré par la Haute Autorité de Santé (le manuel de certification), elle a pour objectifs : - La mise en place d'un système d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins - L'atteinte d'un niveau de qualité sur des critères jugés essentiels et qualifiés de pratiques exigibles prioritaires. La mesure de niveau de qualité sur des éléments particuliers est un levier d'amélioration de la qualité, - elle complète l'analyse du système par des mesures de la qualité sur des domaines, - elle permet de mesurer la cohérence entre la mise en place d'un système d'amélioration et la maîtrise de la qualité sur des points particuliers, - elle correspond à une attente des pouvoirs publics et des usagers. La certification n'établit pas un palmarès des hôpitaux ou cliniques. Elle ne note pas les professionnels de santé. Elle ne se substitue pas aux inspections et contrôles de sécurité sanitaire diligentés par la tutelle. Elle est une certification globale et non une certification de toutes les activités de l'établissement. Le rapport de certification est transmis à l'autorité de tutelle (Agence Régionale de Santé) et est rendu public. Les contrats pluriannuels d'objectifs et de moyens signés par les établissements de santé et leur Agence Régionale de Santé définissent des objectifs en matière de qualité et de sécurité des soins et comportent des engagements d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins qui font POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 4 2. Les niveaux de certification La décision de certification peut comporter : - des recommandations : demandes formulées à l'établissement de progresser dans certains domaines, - des réserves : constat(s) d'insuffisances dans des domaines, - des réserves majeures : constat(s) d'insuffisances graves relatives aux exigences de qualité et de sécurité. Certification Sans recommandation La Haute Autorité de Santé encourage l'établissement de santé à poursuivre la dynamique engagée. La prochaine procédure de certification est fixée à échéance d'au plus 4 ans. Certification avec recommandation(s) Au moins une recommandation L'établissement doit mettre en oeuvre les mesures préconisées. Il en fournit la preuve soit dans le cadre de la procédure en cours soit en prévision de la prochaine procédure à échéance d'au plus 4 ans. Certification avec réserve(s) Au moins une réserve (et éventuellement des recommandations) 3 à 12 mois sont laissés à l'établissement pour produire un rapport de suivi sur les sujets concernés et apporter la preuve qu'il s'est amélioré sur ces points. Décision de surseoir Au moins une réserve majeure (et éventuellement des réserves et des recommandations) à la Certification = Réserve(s) majeure(s) Non certification Une décision de non certification est prise dès lors qu'un établissement fait l'objet de plusieurs réserves majeures et réserves). Elle peut également être prise suite à une décision de surseoir à la certification pour un établissement qui n'aurait pas amélioré significativement àl'échéance fixée, les dysfonctionnements L'établissement n'est pas certifié (d'où la dénomination « décision de surseoir »). Il ne le sera que s'il démontre au cours d'une visite de suivi réalisée de 3 à 12 mois après la visite initiale qu'il a significativement amélioré les points de dysfonctionnement constatés. L'établissement n'est pas certifié. La Haute Autorité de Santé examine avec la direction de l'établissement et la tutelle régionale, dans quels délais, il est susceptible de se réengager dans la démarche. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 5 Les décisions, les rapports et/ou additifs de certification sont tous rendus publics sur le site internet de la Haute Autorité de Santé, http://www.has-sante.fr. Il revient aux établissements de santé d'en assurer la plus large publicité en interne et en externe, (notamment par le biais de leur site internet). L'arrêté du 15 avril 2008 relatif au contenu du livret d'accueil des établissements de santé dispose que le livret d'accueil doit indiquer les conditions de mise à disposition des personnes hospitalisées d'une information sur les résultats des différentes procédures d'évaluation de la qualité des soins, dont le rapport de certification. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 6 1.PRESENTATION DE L'ETABLISSEMENT POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 7 POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS Adresse : 120 ancienne route de beaujeu Bp71 69653 Villefranche Sur Saone RHONE Site internet: http://www.capio.fr/beaujolais/ Statut : Privé Type d'établissement : Etablissement privé à but lucratif Type de prise en charge Nombre de lits Nombre de places Nombre de séances Court séjour 140 38 0 Nombre de sites.: 1 site Activités principales.: Etablissement appartenant au groupe CAPIO et ayant de la médecine, de la chirurgie et de l'obstétrique. Activités de soins soumises à * Chirurgie autorisation.: * Chirurgie ambulatoire * Chirurgie esthétique * Obstétrique * Médecine * Traitement du cancer * Médecine d'urgence Secteurs faisant l'objet d'une reconnaissance externe de qualité.: Réorganisation de l'offre de soins Coopération avec d'autres établissements.: • Centre Léon Bérard, RRCRA (ex réseau ONCORA) à Lyon : convention d'utilisation du thésaurus de Cancérologie (janvier 1995) ; • Château de Gléteins à Jassans-Riottier (01) : Convention d'accueil des patients en soins de suite (avril 1998) ; • Hôpital de l'Arbresle (69) : Convention de coopération sanitaire et constitution de filière de soins en urologie (décembre 1999) ; • Réseau périnatal du Grand Lyon : Convention d'adhésion (février 2003) ; • Centre de consultations psychologiques - Vincent KAPPS : Convention de coopération "Oncologie" et convention de coopération "Service de Maternité" (décembre 2005) ; • Clinique de Champvert à Lyon : Convention de relais de prise en charge des urgences psychiatriques (mai 2006) ; • Clinique du Tonkin : Convention relative à l'activité de chirurgie carcinologique thoracique (décembre 2008) ; • Jocelyne DEROCHE-FRANCOZ, psychologue clinicienne : Convention de coopération "service de maternité" (janvier 2009) ; • GCS Tonkin-Bayard : Convention de sous-traitance pour les opérations de reconstitution des médicaments anticancéreux POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 8 Réorganisation de l'offre de soins (mars 2009) ; • Charte pédiatrique de bassin Villefranche - Tarare relative à la prise en charge des urgences pédiatriques (avril 2009) ; • Centre hospitalier de Villefranche : - Convention de transport par le SMUR (juin 1999), - Convention d'élimination des pièces anatomiques reconnaissables (décembre 2001), - Convention de prise en charge en service de réanimation adulte (mars 2002), - Convention de Périnatalité : transferts maternels en réanimation, transferts et séjours néonatals (septembre 2002), - Convention relative à la stérilisation du matériel médico-chirurgical : prise en charge partielle et provisoire de l'activité de stérilisation de la clinique par l'hôpital en cas de panne, travaux... (juin 2011) ; • Hospices Civils de Lyon : Convention foetopathologie : prise en charge des actes d'autopsie et prélèvements sur foetus présentés sans vie (octobre 2011) ; • Laboratoire d'analyses médicales INGELS VIGNON à Villefranche : Contrat de réalisation des actes de biologie médicale (astreinte 24 h/24) ; • GIE SCM Imagerie : Contrat de réalisation et interprétation des examens radiologiques, échographiques et scanners (astreinte 24 h/24) ; • Contrat entre les praticiens libéraux et le CHV pour l'exploitation de l'IRM caladois. Regroupement/Fusion.: / Arrêt et fermeture d'activité.: / Création d'activités nouvelles ou reconversions.: Chirurgie esthétique POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 9 2.DECISION DEFINITIVE DE LA HAUTE AUTORITE DE SANTE POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 10 1. Les décisions par critères du manuel Au vu des éléments mentionnés dans le présent rapport issus de la visite sur site, du bilan des sécurités sanitaires et de la participation au recueil des indicateurs généralisés par la Haute Autorité de Santé, la Haute Autorité de Santé prononce une certification avec recommandation(s). RECOMMANDATION(S) 1.f (Politique et organisation de l'évaluation des pratiques professionnelles) . 11.c Court Séjour (Information du patient en cas de dommage lié aux soins) . 13.a Court Séjour (Prise en charge et droits des patients en fin de vie) . 14.a Court Séjour (Gestion du dossier du patient) . 17.a Court Séjour (Evaluation initiale et continue de l'état de santé du patient et projet de soins personnallisé) . 23.a Court Séjour (Education thérapeutique du patient) . 28.a (Mise en oeuvre des démarches d'évaluation des pratiques professionnelles) ;28.b (Pertinence des soins) ;28.c (Démarches EPP liées aux indicateurs de pratique clinique) . POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 11 2.Bilan des contrôles de sécurité sanitaire Compte tenu des informations, issues des contrôles et inspections réalisés au sein de l'établissement, inscrites dans le volet Sécurité, Sanitaire de la fiche interface HAS/ARS, la Haute Autorité de Santé demande à l'établissement de finaliser sa mise en conformité sur: l'hygiène alimentaire et l'eau d'alimentation. Bien que l'établissement a un avis favorable sur ce thème, les actions permettant de lever l'ensemble des recommandations prononcées lors de ce contrôle sont en cours de mise en oeuvre. la Haute Autorité de Santé a constaté l'absence de contrôles réglementaires sur: la désinfection des dispositifs médicaux, les eaux, les déchets et la prévention des risques liés à l'inhalation de poussière d'amiante. Les contrôles réglementaires concernant la stérilisation, le secteur d'anesthésie et le secteur du bloc opératoire sont trop anciens. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 12 3.Participation au recueil des indicateurs généralisés par la Haute Autorité de Santé La participation de l'établissement au recueil des indicateurs de la Haute Autorité de Santé est effective. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 13 4. Critères investigués lors de la visite de certification La visite de certification s'est déroulée null L’équipe d'Experts Visiteurs a investigué les critères suivants : MANAGEMENT STRATÉGIQUE 1.f, 2.e MANAGEMENT DES RESSOURCES 3.a, 6.a, 6.b, 7.a, 7.c, 7.d MANAGEMENT DE LA QUALITÉ ET DE LA SÉCURITÉ DES SOINS 8.a, 8.e, 8.f, 8.g, 8.h, 9.a DROITS ET PLACE DES PATIENTS 10.b Court Séjour, 11.c Court Séjour, 12.a Court Séjour, 13.a Court Séjour GESTION DES DONNÉES DU PATIENT 14.a Court Séjour, 14.b Court Séjour, 15.a Court Séjour PARCOURS DU PATIENT 16.a Court Séjour, 17.a Court Séjour, 18.a Court Séjour, 18.b Court Séjour, 19.a Personnes âgées, 19.a Enfants et adolescents, 19.b Court Séjour, 19.c Court Séjour, 20.a Court Séjour, 20.a bis Court Séjour, 20.b Court Séjour, 23.a Court Séjour, 24.a Court Séjour PRISES EN CHARGE SPÉCIFIQUES 25.a, 26.a, 26.b Endoscopie EVALUATION DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES 28.a, 28.b, 28.c POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 14 5.Suivi de la décision La Haute Autorité de Santé encourage l'établissement à poursuivre sa démarche qualité et à améliorer son organisation et ses pratiques. Il a du remettre dans un délai de 12 mois un (des) plan(s) d’action avec échéancier pour les recommandations émises ou non levées suite à sa première modalité de suivi (visite de suivi). POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 15 3.PRESENTATION GRAPHIQUE DES RESULTATS POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 16 Les synthèses graphiques présentées dans le rapport de certification permettent une représentation visuelle des scores obtenus par l'établissement au regard des critères du manuel de certification. Trois représentations graphiques permettent d'apprécier le positionnement de l'établissement : Ensemble des thématiques du manuel Les critères du manuel de certification sont organisés selon huit parties qui décrivent le management de l'établissement et la prise en charge du patient : - Management stratégique, - Management des ressources, - Management de la qualité et de la sécurité des soins, - Droits et place des patients, - Gestion des données du patient, - Parcours du patient, - Prises en charge spécifiques, - Évaluation des pratiques professionnelles, Ces parties constituent les thématiques qui ont été retenues pour construire un graphique en radar sur la base du score moyen obtenu par l'établissement pour chacune de ces thématiques. Lorsque le score atteint 90%, la thématique concernée est signalée comme un point fort de l'établissement. Pratiques exigibles prioritaires Afin de renforcer l'effet levier sur la qualité et la sécurité des soins de la certification, des Pratiques Exigibles Prioritaires sont introduites dans le manuel de certification. Ces Pratiques Exigibles Prioritaires sont des critères pour lesquels des attentes particulièrement signalées sont exprimées. L'étude par l'équipe d'experts-visiteurs du positionnement de l'établissement au regard de ces exigences est systématique et bénéficie d'une approche standardisée. La sélection de ces pratiques est fondée sur l'identification de sujets jugés fondamentaux pour l'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins, par la HAS, les parties prenantes et les experts nationaux et internationaux ainsi que sur la capacité de la certification à générer des changements sur ces sujets. La non-atteinte d'un niveau de conformité important sur ces exigences conduit systématiquement à une décision de certification péjorative voire à une non-certification. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 17 Ces pratiques exigibles prioritaires concernent les critères suivants : -Politique et organisation de l'évaluation des pratiques professionnelles (1.f) -Gestion des fonctions logistiques au domicile (6.g) -Programme d'amélioration de la qualité et de sécurité des soins (8.a) -Gestion des évènements indésirables (8.f) -Maîtrise du risque infectieux (8.g) -Système de gestion des plaintes et des réclamations (9.a) -Prise en charge de la douleur (12.a) -Prise en charge et droits des patients en fin de vie (13.a) -Gestion du dossier du patient (14.a) -Accès du patient à son dossier (14.b) -Identification du patient à toutes les étapes de sa prise en charge (15.a) -Prise en charge somatique des patients (17.b) -Management de la prise en charge médicamenteuse du patient (20.a) -Prise en charge médicamenteuse du patient (20.a bis) -Prise en charge des urgences et des soins non programmés (25.a) -Organisation du bloc opératoire (26.a) -Organisation des autres secteurs Le graphique en radar est construit en reportant, pour chacune des pratiques exigibles prioritaires, le score obtenu par l'établissement. Critères sélectionnés par les représentants des usagers POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 18 Le troisième graphique présente, sous forme d'histogramme, les scores obtenus sur des critères sélectionnés par les représentants des associations d'usagers comme répondant à des attentes prioritaires en matière de prise en charge du patient : - Prévention de la maltraitance et promotion de la bientraitance (10a), - Respect de la dignité et de l'intimité du patient (10b), - Respect de la confidentialité des informations relatives au patient (10c), - Accueil et accompagnement de l'entourage (10d), - Information du patient sur son état de santé et les soins proposés (11a), - Consentement et participation du patient (11b), - Information du patient en cas de dommage lié aux soins (11c), - Identification du patient à toutes les étapes de sa prise en charge (15a), - Évaluation initiale et continue de l'état de santé du patient et projet de soins personnalisé (17a), - Continuité et coordination de la prise en charge des patients (18a), POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 19 1. Le positionnement de l'établissement sur l'ensemble des thématiques Les libellés des points fort (> 90%) sont en rouge. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 20 2. Le positionnement de l'établissement sur les Pratiques Exigibles Prioritaires POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 21 3. Regard patient POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 22 4.SUIVI DES PRECEDENTES DECISIONS DE LA HAUTE AUTORITE DE SANTE POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 23 Libellé de la décision V2/V2007 36 c L'administration du médicament au patient est conforme à la prescription et fait l'objet d'une traçabilité. Niveau de la décision V2/V2007 Type 2 Type 1 13 b Le programme d'amélioration continue de la qualité comporte des objectifs précis, mesurables dans le temps. APPRECIATION DES EXPERTS-VISITEURS Suivi de la décision oui/non/en cours Oui Les prescriptions médicamenteuses sont réalisées sur support unique de prescription - administration (papier ou informatisé). La convention de sous traitance des médicaments anticancéreux avec le centre Bayard est effective depuis septembre 2009 (convention pour 5 ans). Les anticancéreux ne sont plus reconstitués au sein de l'établissement. En cours Un plan d'amélioration de la qualité et de la gestion des risques (PAQ-GDR) est élaboré pour une période de 2 ans. Il est élaboré en fonction des orientations stratégiques de l'établissement, de la cartographie des risques, des résultats des indicateurs, des bilans des instances et commissions, des comptes-rendus des visites de conformité, des recommandations de la certification. Le PAQ-GDR précise, pour chaque action, le responsable, l'objectif visé et le calendrier. Le PAQ-GDR est diffusé sur Intranet à l'ensemble des professionnels. Il n'existe pas de politique formalisée, les activités réalisées dans le cadre du dispositif d'accréditation des médecins n'est pas maîtrisé, le programme n'a pas été soumis aux instances (CME). Oui Au service des urgences, le patient est accueilli par les secrétaires. Un poste d'infirmière d'accueil et d'orientation (IAO) a été créé pour assurer la coordination de la prise en charge des patients en fonction du degré de l'urgence. La plupart des infirmiers des urgences ont été formés à l'accueil et l'orientation des patients. La formation a été reconduite au plan de formation 2012. Des procédures d'accueil sont formalisées en fonction des secteurs d'activité (chimiothérapie, chirurgie ambulatoire) avec une 13 d La formation des professionnels à la qualité est assurée. Type 1 28 a L'accueil de toute personne se présentant pour une urgence est organisé par des professionnels formés à cet effet. Commentaires POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 24 Libellé de la décision V2/V2007 Niveau de la décision V2/V2007 APPRECIATION DES EXPERTS-VISITEURS Suivi de la décision oui/non/en cours Commentaires attention particulière sur l'accueil des enfants. Type 1 Oui Des travaux de rénovation de la cuisine ont été menés en 2010. Une inspection de la DDPP en octobre 2011 n'a pas mis à jour de non-conformité majeure. Le plan d'action des non conformités mineures a été réalisé récemment. Pour la distribution des repas, de nouveaux chariots ont été achetés afin de fiabiliser la remise et le maintien en température. La distribution des repas est réalisée par les aide-soignantes qui prennent la température des plateaux (1er et dernier plateau servi). Type 1 50 a L'atteinte des objectifs du programme d'amélioration continue de la qualité et de gestion des risques est régulièrement évaluée. Oui Un programme d'amélioration de la qualité a été rédigé fin 2009 pour les années 2010-2011, ainsi qu'un PAQ-GDR 2012/2013. La réalisation des objectifs du PAQ-GDR est tracée. Un tableau de bord des indicateurs permet un suivi de l'amélioration des pratiques. Chaque instance et vigilance tient à jour un tableau des objectifs et des actions réalisées annuellement. Oui Une commission éthique et bientraitance a été mise en place en avril 2010. Son rôle est de conduire une réflexion éthique sur les activités de l'établissement et d'émettre des recommandations motivées à toute personne la sollicitant. Elle peut ainsi apporter une réponse, un avis et un éclairage complémentaire sur une situation particulière. Un espace éthique a été créé sur Intranet afin de fournir des informations aux professionnels sur les textes relatifs aux droits des patients. Cet espace permet à tout professionnel de soumettre une question éthique en ligne. 11 a La qualité et l'hygiène de la restauration sont assurées. 50 b L'efficacité de la gestion des risques et des vigilances est évaluée. 02 c Une réflexion éthique autour de la prise en charge du patient est conduite. Type 1 POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 25 Libellé de la décision V2/V2007 Niveau de la décision V2/V2007 APPRECIATION DES EXPERTS-VISITEURS Suivi de la décision oui/non/en cours Commentaires Une réflexion est en cours sur les directives anticipées (information aux patients, recueil...) en collaboration avec les représentants des usagers participant à cette commission. 37 a Les activités interventionnelles traditionnelles et ambulatoires sont planifiées et organisées en concertation avec les professionnels des secteurs d'activité clinique et en intégrant la prise en charge des éventuelles activités d'urgence. Type 1 Oui Les instances du bloc opératoire ont été remaniées en 2010. Une responsable a été nommée spécifiquement sur le secteur ambulatoire et soins externes. Elle participe à la planification quotidienne du programme avec la responsable de bloc opératoire et le coordonnateur médical si nécessaire. Une nouvelle charte de bloc est en cours d'élaboration par un groupe de travail pluriprofessionnel. Des travaux ont permis d'intégrer la salle d'endoscopie au bloc opératoire. 14 b Des dispositions sont en place pour identifier et analyser a priori les risques. Type 1 Oui Une cartographie des risques a été élaborée. Les risques sont hiérarchisés uniformément selon une matrice de criticité (fréquence / gravité) définie dans la procédure signalement et traitement des événements indésirables. Les actions définies sont incluses au PAQ-GDR. Type 1 Oui Des orientations stratégiques, un programme d'amélioration de la qualité et gestion des risques (PAQ_GDR) ont été élaborés. La cartographie des risques permet de déterminer les priorités en matière de gestion des risques. Le PAQ_GDR est renouvelé tous les 2 ans et se base sur les bilans et programmes des différentes commissions et vigilances, dont le COVIRISQ (vigilants, présidente de CME, 14 d Les résultats issus des analyses de risque permettent de hiérarchiser les risques et de les traiter. 06 a La direction et les instances définissent les priorités et les objectifs de l'établissement en matière d'amélioration de la qualité et de gestion des risques. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 26 Libellé de la décision V2/V2007 Niveau de la décision V2/V2007 APPRECIATION DES EXPERTS-VISITEURS Suivi de la décision oui/non/en cours Commentaires direction) et le COPILQUA. Type 1 51 d Les résultats de ces évaluations font l'objet d'échanges avec les représentants des usagers de l'établissement. Oui Les indicateurs relatifs à la satisfaction des patients et aux plaintes et réclamations sont présentés aux représentants des usagers ainsi que les résultats d'évaluation ou enquête ponctuelle telle que SAPHORA. Les représentantes des usagers ont été incluses dans certaines commissions : CLIN, COETHIQ, CLAN... et sont destinataires du journal interne comme tous les professionnels et prestataires. Type 1 Oui En complément du recueil des indicateurs IPAQSS, un audit trimestriel de 20 dossiers est réalisé (maternité et hospitalisation : patients hospitalisés plus de 48h). Cet audit comporte des items sur la prescription médicale, le courrier de fin d'hospitalisation, le dossier transfusionnel, l'évaluation de la douleur, le dépistage des troubles nutritionnels ... L'audit trimestriel a été étendu à l'ambulatoire en juin 2011. D'autres audits ou indicateurs existent : - conformité du dossier transfusionnel, - audit CPOM sur la traçabilité du poids et de l'IMC, - audit mensuel (15 dossiers) sur la dénutrition ... 49 c La gestion du dossier du patient est évaluée. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 27 APPRECIATION DE L'ARS Libellé de la décision V2/V2007 Suivi de la décision oui/non/en cours 11 a La qualité et l'hygiène de la restauration sont assurées. Oui Commentaires Des travaux de rénovation de la cuisine ont été menés en 2010. Une inspection de la DDPP en octobre 2011 n'a pas mis à jour de non-conformité majeure. Le plan d'action des non conformités mineures a été réalisé récemment. Pour la distribution des repas, de nouveaux chariots ont été achetés afin de fiabiliser la remise et le maintien en température. La distribution des repas est réalisée par les aide-soignantes qui prennent la température des plateaux (1er et dernier plateau servi). Ce commentaire n'a pas été visée par l'ARS. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 28 5.CONSTATS ET COTATION PAR CRITERES POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 29 CHAPITRE 1: MANAGEMENT DE L'ÉTABLISSEMENT POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 30 PARTIE 1. MANAGEMENT STRATÉGIQUE POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 31 Référence 1: La stratégie de l'établissement Critère 1.a Valeurs, missions et stratégie de l'établissement Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Les orientations stratégiques sont élaborées en concertation avec les parties prenantes en interne et en externe. En grande partie La stratégie de l'établissement prend en compte les besoins de la population définis dans les schémas de planification sanitaire et, le cas échéant, le projet médical de territoire. Les valeurs et les missions de l'établissement sont déclinées dans les orientations stratégiques. E2 Mettre en oeuvre Oui Oui Réponses aux EA Les différentes politiques (ressources humaines, système d'information, qualité et sécurité des soins, etc.) sont déclinées en cohérence avec les orientations stratégiques. Constats Constats Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 32 L'établissement met en place des partenariats, en cohérence avec les schémas de planification sanitaire, le projet médical de territoire et les orientations stratégiques. Les valeurs et les missions de l'établissement sont communiquées au public et aux professionnels. E3 Evaluer et améliorer En grande partie En grande partie Réponses aux EA La mise en œuvre des orientations stratégiques fait l'objet d'un suivi et d'une révision périodique. L'établissement fait évoluer ses partenariats sur la base des évaluations réalisées. Constats Partiellement Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 33 Référence 1: La stratégie de l'établissement Critère 1.b Engagement dans le développement durable Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Un diagnostic « Développement durable » a été établi par l'établissement. Un volet « Développement durable » est intégré dans les orientations stratégiques. E2 Mettre en oeuvre Oui Oui Réponses aux EA La stratégie liée au développement durable est déclinée dans un programme pluriannuel. Le personnel est sensibilisé au développement durable et informé des objectifs de l'établissement. Constats Constats Oui Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 34 L'établissement communique ses objectifs de développement durable aux acteurs sociaux, culturels et économiques locaux. Le développement durable est pris en compte en cas d'opérations de construction ou de réhabilitation. E3 Evaluer et améliorer Non En grande partie Réponses aux EA Le programme pluriannuel fait l'objet d'un suivi et de réajustements réguliers. Constats Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 35 Référence 1: La stratégie de l'établissement Critère 1.c Démarche éthique Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Les professionnels ont accès à des ressources (structures de réflexion ou d'aide à la décision, internes ou externes à l'établissement, documentation, formations, etc.) en matière d'éthique. Oui Les projets de l'établissement prennent en compte la dimension éthique de la prise en charge. E2 Mettre en oeuvre Les questions éthiques se posant au sein de l'établissement sont traitées. En grande partie Réponses aux EA Les professionnels de l'établissement de santé sont sensibilisés à la réflexion éthique. Constats Constats Oui Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 36 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Un état des lieux des questions éthiques liées aux activités de l'établissement est réalisé. Constats Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 37 Référence 1: La stratégie de l'établissement Critère 1.d Politique des droits des patients Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Le respect des droits des patients est inscrit dans les orientations stratégiques de l'établissement. E2 Mettre en oeuvre Des formations sur les droits des patients, destinées aux professionnels, sont organisées. E3 Evaluer et améliorer Oui Réponses aux EA Les patients sont informés de leurs droits et des missions de la Commission des relations avec les usagers et de la qualité de la prise en charge (CRU). Constats Constats Oui En grande partie Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 38 Des actions d'évaluation et d'amélioration en matière de respect des droits des patients sont mises en œuvre dans chaque secteur d'activité, en lien avec la CRU. En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 39 Référence 1: La stratégie de l'établissement Critère 1.e Politique d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA La politique d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins est intégrée dans les orientations stratégiques. Oui L'instance délibérante statue au moins une fois par an sur cette politique. E2 Mettre en oeuvre En grande partie Réponses aux EA La politique d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins est diffusée dans l'établissement. Des objectifs et des indicateurs, validés par la Direction, sont déclinés à l'échelle de l'établissement et par secteur d'activité. Constats Constats En grande partie Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 40 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA La politique d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins est révisée à périodicité définie, en fonction des résultats obtenus et sur la base du rapport de la CRU. Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 41 Référence 1: La stratégie de l'établissement Critère 1.f Politique et organisation de l'évaluation des pratiques professionnelles Cotation C E1 Prévoir Réponses aux EA La stratégie de développement de l'EPP est inscrite dans la politique d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins. Une concertation entre les professionnels du soin et les gestionnaires sur la stratégie de l'EPP est en place. Partiellement En grande partie Constats L'établissement n'a pas établi de document formalisé décrivant la stratégie de développement de l'EPP. Dans le document intitulé "Politique d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins", huit thèmes prioritaires sont définis parmi lesquels "EPP et DPC". Dans ce chapitre, sont déclinés des objectifs sans définition de plan d'actions ni de moyens associés. Ce document ne décrit pas les modalités de choix des thèmes d'EPP, ni l'organisation du suivi des démarches, ni les moyens de communication en matière d'EPP. Il prévoit néanmoins le déploiement des EPP dans l'ensemble des secteurs d'activités cliniques et médico-techniques, médicales et paramédicales. Les choix d'EPP sont exprimés et validés par les praticiens, en concertation avec la responsable qualité. Les gestionnaires de l'établissement sont informés des sujets d'EPP au cours des réunions de COPILQUA, sans qu'une véritable réflexion sur la stratégie de l'EPP en relation avec les orientations stratégiques de l'établissement ne soit définie. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 42 Les missions et les responsabilités sont définies afin d'organiser le développement de l'EPP dans tous les secteurs d'activité clinique ou médico-technique. E2 Mettre en oeuvre Un accompagnement des professionnels est réalisé pour la mise en œuvre de l'EPP. L'établissement suit l'état d'avancement et l'impact de ses démarches d'EPP. Les professionnels sont informés de la stratégie de l'établissement en matière de développement de l'EPP et des résultats obtenus. E3 Evaluer et améliorer Partiellement La mise en place et le développement des EPP sont dédiés au COPILQUA. Ce comité est pluriprofessionnel, ce qui permet la diffusion du développement de l'EPP dans les différents secteurs d'activité. Un médecin a été désigné référent EPP sans que ses missions ne soient clairement définies. Il n'a pas non plus été formé à la démarche qualité ni à l'EPP. Réponses aux EA Constats Oui L'accompagnement des professionnels à la démarche EPP est assuré principalement par la responsable qualité (RAQ), appuyé par le médecin référent EPP. La RAQ se charge essentiellement de définir la méthodologie de chaque EPP et aide à la définition et à l'analyse des audits. En grande partie En grande partie Les résultats des EPP sont présentés dans les différentes instances réglementaires (CLIN, COMEDIMS, CLUD...). Le suivi d'avancement des démarches n'est pas organisé de façon régulière. Après une période de flottement, la démarche EPP a été réactivée au deuxième semestre 2011 avec lancement de nouvelles EPP et suivi effectif de certaines EPP mises en place depuis la V2007. Les professionnels sont informés des résultats de certaines actions d'EPP par la publication du journal mensuel interne, les comptes-rendus d'instances et les tableaux de bord EPP accessibles par intranet. Certaines EPP sont présentées lors des réunions de service (maternité). Cependant, aucune information n'est délivrée concernant la stratégie de la polyclinique en termes de développement de l'EPP. Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 43 L'établissement rend compte de ses démarches EPP devant ses instances. La stratégie de développement de l'EPP est révisée à périodicité définie, en fonction des résultats obtenus. En grande partie En grande partie Les démarches EPP ont été présentées dans différentes instances (CLIN, CLUD, COMEDIMS) mais pas en CME. La démarche globale de la certification V2010 et des EPP a fait l'objet d'une présentation en CME en 2011 par la responsable qualité. L'intérêt de l'adhésion à ces démarches d'évaluation a été plusieurs fois rappelé aux praticiens par la présidente de CME. La démarche EPP dans sa globalité a fait l'objet d'une révision relativement récente puisqu'elle date de 2011. Le COPILQUA élabore un plan d'actions lié au PAQ-GDR tous les deux ans, sans notion de révision plus fréquente de la stratégie de développement des EPP. Lors de cette révision, les résultats de certains indicateurs ont permis la mise en place de nouvelles démarches ou d'ajustements. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 44 Référence 1: La stratégie de l'établissement Critère 1.g Développement d'une culture qualité et sécurité Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA L'établissement a défini une stratégie concourant à sensibiliser et à impliquer les professionnels dans les démarches qualité et sécurité des soins. En grande partie E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Les professionnels sont périodiquement informés sur la mise en œuvre et l'évolution de la politique d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins. Oui Des activités sont organisées au cours desquelles les thèmes qualité et sécurité sont abordés (réunions, forums, séminaires, journées dédiées, actions de sensibilisation des patients, etc.). E3 Evaluer et améliorer Constats Constats Oui Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 45 La Direction et le président de la CME suivent le développement de la culture qualité et sécurité dans l'établissement. Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 46 Référence 2: L'organisation et les modalités de pilotage interne Critère 2.a Direction et encadrement des secteurs d'activités Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Les organigrammes de l'établissement et des différents secteurs d'activité sont définis. Constats Oui Les circuits de décision et de délégation sont définis. En grande partie E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Les organigrammes et l'information relative aux circuits de décision et de délégation sont diffusés auprès des professionnels. E3 Evaluer et améliorer Constats Oui Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 47 Les organigrammes et les circuits de décision et de délégation sont révisés à périodicité définie. Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 48 Référence 2: L'organisation et les modalités de pilotage interne Critère 2.b Implication des usagers, de leurs représentants et des associations Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA La représentation des usagers au sein de l'établissement est organisée. Constats Oui Une politique de coopération avec les acteurs associatifs est définie. Partiellement Un dispositif de recueil des attentes des usagers est organisé. En grande partie E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Les représentants d'usagers participent à l'élaboration et à la mise en œuvre de la politique d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins, notamment dans le cadre de la CRU. Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 49 L'intervention des associations dans les secteurs d'activité est facilitée. Partiellement Les attentes des usagers sont prises en compte lors de l'élaboration des projets de secteurs d'activité ou d'établissement. En grande partie E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Le dispositif de participation des usagers est évalué et amélioré. Constats En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 50 Référence 2: L'organisation et les modalités de pilotage interne Critère 2.c Fonctionnement des instances Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Les instances consultatives et délibérantes sont réunies à périodicité définie, et saisies sur toutes les questions qui relèvent de leurs compétences. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Les ordres du jour et procès-verbaux des instances sont communiqués au sein de l'établissement. Les instances sont informées des suites données à leurs avis et décisions. E3 Evaluer et améliorer Constats Constats Oui En grande partie Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 51 Le fonctionnement des instances est évalué (bilan, programme d'actions, suivi des actions, etc.). Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 52 Référence 2: L'organisation et les modalités de pilotage interne Critère 2.d Dialogue social et implication des personnels Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA La concertation avec les partenaires sociaux est organisée. E2 Mettre en oeuvre Oui Réponses aux EA Des actions, favorisant l'implication et l'expression du personnel, sont mises en œuvre au sein des secteurs d'activité. E3 Evaluer et améliorer Constats Constats Oui Réponses aux EA Constats Le dialogue social est évalué à périodicité définie. Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 53 Référence 2: L'organisation et les modalités de pilotage interne Critère 2.e Indicateurs, tableaux de bord et pilotage de l'établissement Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Les tableaux de bord comprennent des indicateurs d'activité, de ressources et de qualité adaptés à la conduite du projet d'établissement. Oui L'établissement a défini une stratégie de communication des résultats des indicateurs et des tableaux de bord aux professionnels et aux usagers. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Les tableaux de bord sont examinés au sein des instances et réunions de Direction de l'établissement et des secteurs d'activité. Oui Les résultats des indicateurs de qualité et de sécurité des soins nationaux généralisés sont diffusés aux professionnels concernés, et rendus publics par l'établissement de santé. Constats Constats Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 54 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA La stratégie de l'établissement est ajustée en fonction du suivi. L'établissement analyse et compare ses résultats à ceux d'autres structures similaires (comparaisons externe et interne). Constats Oui Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 55 PARTIE 2. MANAGEMENT DES RESSOURCES POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 56 Référence 3: La gestion des ressources humaines Critère 3.a Management des emplois et des compétences Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Les besoins en compétences et effectifs sont identifiés par secteur d'activité. Une politique de gestion des emplois et des compétences est définie dans les différents secteurs d'activité en lien avec les orientations stratégiques. Les compétences spécifiques pour les activités à risques ou innovantes sont identifiées. Constats Oui En grande partie Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Des dispositions sont mises en œuvre, afin d'assurer la qualité et la sécurité de la prise en charge du patient, dans les cas où les effectifs nécessaires ne sont pas présents. Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 57 L'évaluation périodique du personnel est mise en œuvre. Partiellement Un plan de formation est mis en œuvre. Oui E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA L'adéquation quantitative et qualitative des ressources humaines est régulièrement évaluée, et réajustée en fonction de l'activité et de l'évolution des prises en charge. Oui Le dispositif de gestion des compétences est réajusté en fonction de l'atteinte des objectifs des secteurs et de l'évolution des activités, notamment en cas d'innovation diagnostique et thérapeutique. Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 58 Référence 3: La gestion des ressources humaines Critère 3.b Intégration des nouveaux arrivants Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Constats L'intégration de tout nouvel arrivant est organisée. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Tout nouvel arrivant reçoit une information sur l'établissement et son futur secteur d'activité, lui permettant l'exercice de sa fonction. E3 Evaluer et améliorer Oui Réponses aux EA L'évaluation de l'efficacité des mesures d'intégration donne lieu à des actions d'amélioration. Constats Constats Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 59 Référence 3: La gestion des ressources humaines Critère 3.c Santé et sécurité au travail Le CHSCT est obligatoire dans tous les établissements publics et privés d'au moins cinquante salariés. En dessous de cinquante salariés, les missions du CHSCT sont assurées par les délégués du personnel. Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Les risques professionnels sont identifiés à périodicité définie. Constats Oui Le document unique est établi. Oui Un plan d'amélioration des conditions de travail est défini. E2 Mettre en oeuvre En grande partie Réponses aux EA Des actions de prévention des risques sont mises en œuvre en collaboration avec le CHSCT et le service de santé au travail. Constats En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 60 Des actions d'amélioration des conditions de travail sont mises en œuvre. Oui E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Le programme de prévention des risques et le document unique sont évalués à périodicité définie, sur la base du bilan du service de santé au travail, du CHSCT, des déclarations d'accidents du travail et d'événements indésirables. En grande partie Ces évaluations donnent lieu à des actions d'amélioration. Constats Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 61 Référence 3: La gestion des ressources humaines Critère 3.d Qualité de vie au travail Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA La qualité de vie au travail fait partie des orientations stratégiques de l'établissement. Un plan d'amélioration de la qualité de vie au travail est défini. E2 Mettre en oeuvre E3 Evaluer et améliorer Oui En grande partie Réponses aux EA Des actions d'amélioration de la qualité de vie au travail sont mises en œuvre. Constats Constats Oui Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 62 Les actions d'amélioration de la qualité de vie au travail sont évaluées. En grande partie La satisfaction du personnel est évaluée. En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 63 Référence 4: La gestion des ressources financières Critère 4.a Gestion budgétaire Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA L'établissement décline en interne des objectifs prévisionnels de dépenses et, s'il y a lieu, de recettes, selon une procédure formalisée. Oui Ces objectifs tiennent compte des engagements pris dans les contrats pluriannuels d'objectifs et de moyens (CPOM). Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA L'établissement conduit une analyse des coûts dans le cadre de ses procédures de responsabilisation budgétaire interne. E3 Evaluer et améliorer Constats Constats Oui Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 64 Les objectifs prévisionnels de dépenses et de recettes sont suivis infra-annuellement et donnent lieu, si nécessaire, à des décisions de réajustement. Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 65 Référence 4: La gestion des ressources financières Critère 4.b Amélioration de l'efficience Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA L'établissement fixe chaque année des objectifs d'amélioration de l'efficience de ses organisations. E2 Mettre en oeuvre Oui Réponses aux EA L'établissement conduit des études ou des audits sur ses principaux processus de production. E3 Evaluer et améliorer Constats Oui Réponses aux EA Les résultats des études ou des audits donnent lieu à la mise en œuvre d'actions d'amélioration. Constats Constats Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 66 Référence 5: Le système d'information Critère 5.a Système d'information Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Un schéma directeur du système d'information est défini, en cohérence avec les orientations stratégiques, et en prenant en compte les besoins des utilisateurs. En grande partie E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Le système d'information facilite l'accès en temps utile à des informations valides. Le système d'information aide les professionnels dans leur processus de décision. E3 Evaluer et améliorer Constats Constats Oui Oui Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 67 Le système d'information est évalué, et fait l'objet d'actions d'amélioration. En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 68 Référence 5: Le système d'information Critère 5.b Sécurité du système d'information Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA La sécurité des données est organisée (définition des responsabilités, formalisation et diffusion des procédures, etc.). E2 Mettre en oeuvre Oui Réponses aux EA Il existe un plan de reprise permettant d'assurer la continuité des activités en cas de panne. E3 Evaluer et améliorer Constats Oui Réponses aux EA Le dispositif de sécurité du système d'information est évalué, et fait l'objet d'actions d'amélioration. Constats Constats Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 69 Référence 5: Le système d'information Critère 5.c Gestion documentaire Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Constats Un dispositif de gestion documentaire est en place. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Constats Le dispositif est connu des professionnels. Oui Les professionnels ont accès aux documents qui les concernent. Le système de mise à jour des documents est opérationnel. Oui En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 70 E3 Evaluer et améliorer Le dispositif est évalué, et fait l'objet d'actions d'amélioration. Réponses aux EA Constats En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 71 Référence 6: La gestion des fonctions logistiques et des infrastructures Critère 6.a Sécurité des biens et des personnes Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Les situations mettant en jeu la sécurité des biens et des personnes sont identifiées. Les responsabilités en matière de sécurité des biens et des personnes sont définies. Constats Oui Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Les situations identifiées font l'objet de dispositifs de sécurité adaptés (installations, équipements, consignes, sensibilisation et formation). Oui E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats Constats 72 Le niveau de sécurité des biens et des personnes est évalué, et des actions d'amélioration sont mises en œuvre. En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 73 Référence 6: La gestion des fonctions logistiques et des infrastructures Critère 6.b Gestion des infrastructures et des équipements (hors dispositifs médicaux) Ce critère n'est pas applicable à la prise en charge en HAD. Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA La maintenance curative des équipements et des infrastructures est organisée. L'établissement dispose d'un programme de maintenance. Constats Oui Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Les opérations de maintenance curative et préventive assurées en interne et par des sociétés extérieures sont tracées, et permettent un suivi des opérations. Oui Le dépannage d'urgence des équipements et des infrastructures est opérationnel. Constats En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 74 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Le programme de maintenance est évalué et révisé à périodicité définie. Constats Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 75 Référence 6: La gestion des fonctions logistiques et des infrastructures Critère 6.c Qualité de la restauration Ce critère n'est pas applicable à la prise en charge en HAD. Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Il existe une organisation permettant, dès l'admission du patient, de recueillir ses préférences alimentaires. Les attentes des professionnels en matière de restauration sont recueillies. E2 Mettre en oeuvre Constats En grande partie Partiellement Réponses aux EA Constats Les préférences des patients sont prises en compte. Oui Des solutions de restauration sont proposées aux accompagnants. Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 76 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA La satisfaction des consommateurs concernant la prestation restauration est évaluée, et des actions d'amélioration sont mises en œuvre. Constats Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 77 Référence 6: La gestion des fonctions logistiques et des infrastructures Critère 6.d Gestion du linge Ce critère n'est pas applicable à la prise en charge en HAD. Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Constats Le circuit du linge est défini. En grande partie Les besoins par secteur sont quantifiés, et incluent les demandes en urgence. E2 Mettre en oeuvre Oui Réponses aux EA La gestion du linge assure le respect des règles d'hygiène. Les approvisionnements correspondent aux besoins des secteurs. Constats Oui Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 78 Des contrôles bactériologiques et visuels du linge sont réalisés. E3 Evaluer et améliorer Oui Réponses aux EA La satisfaction sur la qualité du linge fourni au patient est évaluée à périodicité définie, et des actions d'amélioration sont mises en œuvre. Constats En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 79 Référence 6: La gestion des fonctions logistiques et des infrastructures Critère 6.e Fonction transport des patients Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA La fonction transport des patients est organisée, y compris en cas de sous-traitance. E2 Mettre en oeuvre Les transports sont réalisés dans le respect de la dignité, de la confidentialité et du confort du patient. E3 Evaluer et améliorer En grande partie Réponses aux EA Les transports respectent les exigences d'hygiène et de sécurité. Constats Constats En grande partie Oui Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 80 La mesure de la satisfaction et les délais d'attente relatifs à la fonction transport (interne et externe) des patients sont évalués à périodicité définie, et des actions d'amélioration sont mises en œuvre. Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 81 Référence 6: La gestion des fonctions logistiques et des infrastructures Critère 6.f Achats écoresponsables et approvisionnements Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Les besoins des secteurs d'activité sont évalués sur les plans quantitatif et qualitatif, en associant les utilisateurs. Oui La politique d'achat et de relation avec les fournisseurs prend en compte les principes applicables à un achat éco-responsable. Partiellement E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Les secteurs d'activité utilisateurs sont approvisionnés à périodicité définie et en cas d'urgence. L'établissement amorce une démarche d'achat écoresponsable pour certains produits ou services. Constats Constats Oui Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 82 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Des outils de suivi et d'évaluation de la politique d'achat sont mis en place. Constats Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 83 Référence 6: La gestion des fonctions logistiques et des infrastructures Critère 6.g Gestion des fonctions logistiques au domicile Ce critère est applicable uniquement à la prise en charge en HAD. Cotation NA E1 Prévoir Réponses aux EA L'établissement de santé détermine un processus permettant la mise à disposition des matériels médicaux adaptés aux besoins des patients. En cas de rupture d'un produit, des solutions de substitution sont prévues. Les modalités de transport des différents matériels et médicaments sont formalisées. En cas de prestation extérieure, une convention de collaboration est formalisée. NA NA NA NA Constats Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 84 Pour les équipements majeurs (susceptibles de mettre en danger la vie du patient en cas de dysfonctionnement), une maintenance 24 h/24 et 7 j/7 est organisée. Pour les patients à haut risque vital, l'HAD s'assure de leur signalement à « Electricité Réseau Distribution France ». E2 Mettre en oeuvre NA NA Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. Réponses aux EA Le matériel délivré est conforme à la commande, et adapté à la prise en charge. NA L'approvisionnement en urgence du patient est assuré. NA L'établissement s'assure que les locaux de stockage sont adaptés et entretenus, conformément à la réglementation. E3 Evaluer et améliorer NA Constats Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. Réponses aux EA Les différents processus logistiques (internes ou externes) sont évalués, et des actions d'amélioration sont mises en œuvre. NA La maintenance 24 h/24 et 7 j/7 est évaluée. NA Constats Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 85 La satisfaction du patient relative aux fonctions logistiques à son domicile est évaluée à périodicité définie, et conduit à des actions d'amélioration. La satisfaction des intervenants au domicile, en lien avec les fonctions logistiques, est évaluée à périodicité définie, et conduit à des actions d'amélioration. NA NA Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 86 Référence 7: La qualité et la sécurité de l'environnement Critère 7.a Gestion de l'eau Ce critère n'est pas applicable à la prise en charge en HAD. Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Une démarche globale de gestion de la qualité de l'eau est définie, et validée par l'EOH ou le CLIN (ou équivalent). La nature des effluents et les risques qu'ils génèrent sont identifiés. E2 Mettre en oeuvre Oui Oui Réponses aux EA Un plan de maintenance préventive et curative des installations, élaboré avec l'EOH ou le CLIN (ou équivalent), est mis en œuvre. Des contrôles périodiques de l'eau sont menés en lien avec l'EOH ou le CLIN (ou équivalent), et tracés. Constats Constats Oui Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 87 Un suivi des postes de consommation d'eau est assuré. Oui Un suivi des différents types de rejet est assuré. En grande partie E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Constats Des actions d'amélioration sont mises en œuvre. Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 88 Référence 7: La qualité et la sécurité de l'environnement Critère 7.b Gestion de l'air Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Une politique est définie en vue d'assurer la maîtrise du risque infectieux dans les zones à environnement maîtrisé. Partiellement L'établissement est engagé dans la réduction des émissions atmosphériques globales. Constats Partiellement Des dispositions sont prévues en cas de travaux. En grande partie E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Un plan et des procédures de surveillance et de maintenance de la qualité de l'air, en concertation avec l'EOH ou la CME et le CHSCT, sont mis en œuvre. Constats Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 89 La traçabilité des différentes interventions est assurée. Oui E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Les paramètres de la qualité de l'air font l'objet d'un suivi périodique. Constats Oui Des actions d'amélioration sont mises en œuvre. En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 90 Référence 7: La qualité et la sécurité de l'environnement Critère 7.c Gestion de l'énergie Ce critère n'est pas applicable à la prise en charge en HAD. Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Constats Un diagnostic énergétique est réalisé. Oui Une politique de maîtrise des consommations et des dépenses d'énergie est définie. E2 Mettre en oeuvre Oui Réponses aux EA Un plan de maintenance des installations est mis en œuvre. Un programme d'actions hiérarchisées de maîtrise de l'énergie est mis en œuvre. Constats Oui Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 91 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Constats Un suivi périodique est réalisé. En grande partie Une réflexion sur l'utilisation des sources d'énergie renouvelable est engagée. En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 92 Référence 7: La qualité et la sécurité de l'environnement Critère 7.d Hygiène des locaux Ce critère n'est pas applicable à la prise en charge en HAD. Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Les actions à mettre en œuvre afin d'assurer l'hygiène des locaux et leurs modalités de traçabilité sont définies avec l'EOH ou la CME. Oui En cas de sous-traitance, un cahier des charges définit les engagements sur la qualité des prestations. Les responsabilités sont identifiées, et les missions sont définies. E2 Mettre en oeuvre Des actions de sensibilisation et de formation périodiques sont menées. Constats Oui Oui Réponses aux EA Constats Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 93 Les procédures en matière d'hygiène des locaux sont mises en œuvre. E3 Evaluer et améliorer Oui Réponses aux EA Des évaluations à périodicité définie sont organisées avec l'EOH ou la CME. Constats Oui Des actions d'amélioration sont mises en œuvre. Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 94 Référence 7: La qualité et la sécurité de l'environnement Critère 7.e Gestion des déchets Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA L'établissement a catégorisé et quantifié sa production de déchets et d'effluents. La politique en matière de déchets est définie en concertation avec les instances concernées. Constats En grande partie En grande partie Les procédures de gestion des déchets sont établies. En grande partie E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Constats Le tri des déchets est réalisé. En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 95 Des actions de sensibilisation ou de formation des professionnels sont organisées. Le patient et son entourage sont informés des risques liés aux déchets d'activités de soins à risques infectieux. Des mesures de protection du personnel sont mises en application pour la collecte et l'élimination des déchets. E3 Evaluer et améliorer Oui NA Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. En grande partie Réponses aux EA Les dysfonctionnements en matière d'élimination des déchets sont identifiés et analysés. Des actions d'évaluation et d'amélioration relatives à la gestion des déchets sont conduites. L'établissement a identifié les filières locales de valorisation possible des déchets. Constats En grande partie Oui Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 96 PARTIE 3. MANAGEMENT DE LA QUALITÉ ET DE LA SÉCURITÉ DES SOINS POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 97 Référence 8: Le programme global et coordonné de management de la qualité et de la sécurité des soins Critère 8.a Programme d'amélioration de la qualité et de sécurité des soins Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Un programme d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins est formalisé. Ce programme prend en compte l'analyse de la conformité à la réglementation, les dysfonctionnements, ainsi que les risques majeurs et récurrents. En grande partie Oui Constats Le programme d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins est décliné pour les deux années à venir 2012/2013. La politique qualité n'est pas définie dans les orientations stratégiques, il s'agit d'une déclinaison d'objectifs principaux dans un programme d'actions. Il est constitué d'objectifs et d'actions relevant de la réglementation et intègre les résultats de l'autoévaluation que l'établissement a conduite dans le cadre de la certification V2010. Tous les secteurs d'activité sont concernés. Ce programme est récent et a été validé par la direction début mai 2012 ; cependant, il n'est pas décliné à partir d'une politique globale qualité et gestion des risques. Le programme bisannuel est unique pour l'établissement, il se présente sous la forme d'un tableau de bord, décliné en actions à conduire avec par action un responsable identifié, un calendrier de réalisation, l'objectif visé et le suivi du plan d'actions. Il reprend l'ensemble des thématiques des axes stratégiques, de l'analyse des événements indésirables, des résultats des indicateurs, des vigilances, des plans d'actions POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 98 Oui Les activités, réalisées dans le cadre du dispositif d'accréditation des médecins, sont prises en compte. Partiellement Le programme est soumis aux instances. E2 Mettre en oeuvre des commissions (CLIN, CLUD, CLAN...), de la veille réglementaire, des recommandations de la certification (suivi V2007/2010, l'auto-évaluation V2010). Les démarches réalisées dans le cadre du dispositif d'accréditation des médecins sont individuelles et volontaristes au travers des sociétés savantes auxquelles les praticiens font référence. L'établissement est informé de cet engagement par le praticien, ces démarches ne sont pas intégrées au programme qualité et sécurité des soins de l'établissement. Oui Le programme a été présenté en comité de direction avec rétroinformation des cadres aux professionnels des services, au comité de pilotage qualité (COPILQUA) en janvier 2012 et en CME en mai 2012. Réponses aux EA Constats Des plans d'actions d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins sont mis en œuvre dans les secteurs d'activité. Oui E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Constats Oui Le suivi des plans d'actions en lien avec le programme est assuré par la RAQ de l'établissement avec les responsables d'actions. Ce suivi est régulier et réajusté si nécessaire pour des actions qui ne seraient pas réalisées dans les temps définis. Oui Le programme qualité et sécurité des soins est évalué tous les deux ans dans sa totalité, des bilans réguliers sont effectués par la RAQ, ainsi que des bilans des objectifs de certaines instances présentées annuellement (CLIN, CLUD). Le suivi des plans d'actions des secteurs d'activité est assuré. L'efficacité du programme d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins est évaluée annuellement. Le programme qualité et sécurité des soins est décliné par thématique dans tous les secteurs d'activité. Pour chaque action, un responsable est identifié, un calendrier de réalisation établi, ainsi que des modalités de suivi. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 99 Le programme est réajusté en fonction des résultats des évaluations. En grande partie Le programme est réajusté tous les deux ans dans sa totalité. Cependant, il est réajusté au fil de l'eau en fonction des résultats des évaluations conduites (audit, résultats IPAQSS ou au travers de certaines EPP comme la prise en charge de la douleur lors d'une césarienne). POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 100 Référence 8: Le programme global et coordonné de management de la qualité et de la sécurité des soins Critère 8.b Fonction de coordination de la gestion des risques associés aux soins Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Une fonction de coordination de la gestion des risques associés aux soins est définie dans l'établissement. E2 Mettre en oeuvre Partiellement Réponses aux EA L'établissement assure la mobilisation de toutes les compétences utiles autour de l'exercice de la coordination de l'activité de gestion des risques associés aux soins. Constats Constats Oui E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Les conditions d'exercice de la fonction de coordination de la gestion des risques associés aux soins sont évaluées. Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 101 Référence 8: Le programme global et coordonné de management de la qualité et de la sécurité des soins Critère 8.c Obligations légales et réglementaires Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Une veille réglementaire est organisée par un responsable identifié. Constats Partiellement La Direction établit un plan de priorisation des actions à réaliser à la suite des contrôles internes et externes. Ce plan prend en compte la parution de nouvelles exigences réglementaires. Partiellement E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA L'établissement met en œuvre les actions consécutives aux recommandations issues des contrôles réglementaires, en fonction du plan de priorisation. En grande partie E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats Constats 102 La Direction assure un suivi du traitement des nonconformités. Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 103 Référence 8: Le programme global et coordonné de management de la qualité et de la sécurité des soins Critère 8.d Evaluations des risques à priori Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA L'établissement évalue les risques dans les secteurs d'activité. Les risques sont hiérarchisés selon une méthode définie. E2 Mettre en oeuvre Oui Oui Réponses aux EA Des actions de prévention, d'atténuation et de récupération pour les activités de soins à risques sont mises en place. Les professionnels concernés sont formés à l'analyse des risques a priori. Constats Constats En grande partie Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 104 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Un suivi de la mise en œuvre de ces actions est réalisé à périodicité définie. Constats En grande partie L'analyse de leur efficacité est réalisée. Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 105 Référence 8: Le programme global et coordonné de management de la qualité et de la sécurité des soins Critère 8.e Gestion de crise Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Constats Les situations de crise sont identifiées. Oui Une organisation destinée à faire face aux situations de crise est mise en place et diffusée à l'ensemble des professionnels concernés. Oui Les plans d'urgence sont établis. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Constats Une Cellule de crise est opérationnelle. En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 106 Les procédures d'alerte pour les situations de crise et les plans d'urgence sont opérationnelles. En grande partie E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA L'appropriation des procédures est évaluée à la suite de la réalisation d'exercices de gestion de crise ou par d'autres moyens adaptés. Partiellement Il existe un système de retour d'expérience suite à ces exercices. Constats Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 107 Référence 8: Le programme global et coordonné de management de la qualité et de la sécurité des soins Critère 8.f Gestion des évènements indésirables Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Une organisation est en place afin d'assurer le signalement et l'analyse des événements indésirables. E2 Mettre en oeuvre Oui Constats L'établissement a rédigé une procédure de déclaration, de traitement et d'analyse des événements indésirables ainsi que les supports papier ad hoc. Depuis octobre 2011, ce dispositif est informatisé et accessible sur l'intranet de l'établissement. Cette procédure définit les niveaux de gravité et de fréquence, elle permet de coordonner les différents systèmes existants. Réponses aux EA Les professionnels sont formés à l'utilisation des supports de signalement. Oui Constats Les professionnels ont été sensibilisés lors de la mise en place de la fiche de déclaration d'événement indésirable puis lors des rappels réguliers dans les services, mais également au travers du journal de la qualité (DAQ), du document "Le livret vert" des consignes et des alertes mis à disposition dans les services et par voie d'affichage. Le livret d'accueil des nouveaux collaborateurs intègre une formation sur le sujet. Ces informations/sensibilisations ont été reconduites récemment en octobre 2011 lors de l'informatisation de la fiche de déclaration d'événement indésirable. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 108 Les professionnels concernés sont formés aux processus de hiérarchisation et d'analyse des causes. L'analyse des causes profondes des événements indésirables graves est réalisée en associant les acteurs concernés. E3 Evaluer et améliorer Oui Oui Les professionnels identifiés par l'établissement (l'encadrement, les responsables de service, les référents des vigilances) ont été formés à la gestion des risques en décembre 2009. Dans ce cadre, est abordée la formation aux méthodes d'analyse des causes. L'infirmière hygiéniste est formée à l'analyse des causes profondes dans le cadre du DU hygiène. La RAQ et la directrice adjointe ont été formées à l'analyse des causes et à la hiérarchisation des risques et viennent en aide aux professionnels. Les méthodes d'analyses de causes sont décrites dans la procédure de signalement des événements indésirables, la plus utilisée est la méthode des 5 M. Les membres du CHSCT ont été formés au repérage des risques dans le cadre de l'élaboration du document unique des risques professionnels. Le processus de hiérarchisation permet d'identifier les événements indésirables nécessitant une analyse des causes profondes en associant les experts du domaine et les professionnels déclarants. Les événements indésirables dont la criticité est moins importante sont directement analysés par les experts du domaine désigné (responsable de service, vigilant, prestataire...). Si la criticité est importante, une cellule de risques est mise en place sans délai (staff direction adjointe, staff de maternité, RMM et RMM des infections nosocomiales...), des préconisations dictées pour mise en place immédiate et/ou retour d'expérience (CREX Soins). Réponses aux EA Des actions correctives sont mises en œuvre à la suite des analyses. Oui Constats Des actions correctives sont définies suite aux analyses de causes avec effet immédiat ou différé selon le degré de criticité, un responsable de la mise en oeuvre est désigné, le plus souvent l'expert du domaine ou le responsable de service. Les actions correctives font l'objet d'un suivi dans le bilan annuel des différentes commissions et dans le tableau de bord des événements indésirables. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 109 Les causes profondes des événements indésirables récurrents font l'objet d'un traitement spécifique à l'échelle de l'établissement. Oui L'efficacité des actions correctives est vérifiée. En grande partie Le système mis en place par l'établissement pour analyser ses événements indésirables permet d'identifier les causes profondes des événements récurrents, cela donne lieu à des modifications à l'échelle de l'établissement, comme par exemple un changement de prestataire pour l'entretien des locaux. Les responsables et la RAQ s'appuient sur des méthodologies d'analyses de causes, le plus souvent le diagramme d'ISHIKAWA. Les divers comptesrendus d'analyses des événements indésirables sont diffusés pour affichage dans les services et sur intranet. Les actions de prévention sont intégrées au programme d'actions qualité de l'année en cours (PAQ-GDR). Le dispositif de mesure de l'efficacité des actions correctives mises en place est intégré au bilan d'activité annuel, il tient compte de la baisse significative des déclarations de certains événements, l'absence de signalement, les résultats d'audits de pratiques. La formalisation d'indicateurs de suivi est partielle. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 110 Référence 8: Le programme global et coordonné de management de la qualité et de la sécurité des soins Critère 8.g Maîtrise du risque infectieux Cette grille est applicable dans les établissements disposant du score agrégé du tableau de bord des infections nosocomiales généralisé par le ministère de la Santé ou dans les établissements exclus du classement par ce même ministère pour absence de surveillance des infections du site opératoire. Cotation A Score agrégé du tableau de bord des infections nosocomiales Classe associée à la valeur du score agrégé Score à disposition de l’établissement au moment de la visite. Constats A POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 111 Référence 8: Le programme global et coordonné de management de la qualité et de la sécurité des soins Critère 8.h Bon usage des antibiotiques Cotation B Indicateur ICATB du tableau de bord des infections nosocomiales Classe associée à la valeur du score ICATB Score à disposition de l’établissement au moment de la visite. Constats A E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA La réévaluation de l'antibiothérapie entre la 24e et la 72e heure est inscrite dans le dossier du patient. Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 112 Référence 8: Le programme global et coordonné de management de la qualité et de la sécurité des soins Critère 8.i Vigilances et veille sanitaire Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Une organisation pour répondre à des alertes sanitaires descendantes et ascendantes est en place. En grande partie Une coordination, entre les différentes vigilances, la veille sanitaire et la gestion globale de la qualité et des risques de l'établissement, est organisée. En grande partie Une coordination est organisée entre l'établissement et les structures régionales (ou interrégionales) et nationales de vigilance et de veille sanitaire. Oui E2 Mettre en oeuvre Constats Réponses aux EA Constats Les vigilances et la veille sanitaire sont opérationnelles. En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 113 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Le bilan des vigilances et de la veille sanitaire contribue à la politique d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins. Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 114 Référence 8: Le programme global et coordonné de management de la qualité et de la sécurité des soins Critère 8.j Maîtrise du risque transfusionnel Ce critère est applicable uniquement aux établissements ayant une activité transfusionnelle. Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Le dispositif d'hémovigilance et de sécurité transfusionnelle est en place. Constats Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Les procédures relatives à la maîtrise du processus transfusionnel sont mises en œuvre. E3 Evaluer et améliorer Oui Réponses aux EA La pertinence d'utilisation des produits sanguins labiles est évaluée. Constats Constats En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 115 La maîtrise du processus transfusionnel est évaluée, et donne lieu à des actions d'amélioration. En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 116 Référence 8: Le programme global et coordonné de management de la qualité et de la sécurité des soins Critère 8.k Gestion des équipements biomédicaux Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA L'établissement a défini un système de gestion des équipements biomédicaux, comprenant un plan pluriannuel de remplacement et d'investissement. Une procédure (équipement de secours, solution dégradée ou dépannage d'urgence), permettant de répondre à une panne d'un équipement biomédical critique, est formalisée et opérationnelle. E2 Mettre en oeuvre Oui En grande partie Réponses aux EA Le système de gestion des équipements biomédicaux est mis en œuvre sous la responsabilité d'un professionnel identifié. La maintenance des équipements biomédicaux critiques est assurée, et les actions sont tracées. Constats Constats Oui Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 117 Les professionnels disposent des documents nécessaires à l'exploitation des équipements biomédicaux. En grande partie Les patients et leurs familles sont informés de la conduite à tenir en cas de dysfonctionnement (alarme, etc.) des équipements biomédicaux installés au domicile. E3 Evaluer et améliorer NA Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. Réponses aux EA La gestion des équipements biomédicaux est évaluée, et donne lieu à des actions d'amélioration. Constats Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 118 Référence 9: La gestion des plaintes et l'évaluation de la satisfaction des usagers Critère 9.a Système de gestion des plaintes et des réclamations Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA La gestion des plaintes et des réclamations est organisée (CRU en place, procédure formalisée, responsabilités définies). Le système de gestion des plaintes et des réclamations est articulé avec le dispositif de signalement des événements indésirables. Oui Oui Constats L'établissement a défini une organisation de la gestion des plaintes et des réclamations. Le règlement intérieur est rédigé. Il définit les responsabilités, le circuit de traitement des plaintes et les actions à mener en fonction de la plainte (écrite, orale). La CRU est opérationnelle, sa composition et son fonctionnement sont conformes à la réglementation. Deux représentants des usagers siègent à la CRU. Les usagers sont informés des modalités pour formuler une plainte ou une réclamation et pour contacter la CRU dans le livret d'accueil de la clinique et par affichage à l'accueil et dans chaque service. Le registre des plaintes est en place, et un tableau de bord conforme au rapport annuel de l'ARS recense toutes les plaintes. Ce dernier est présenté trimestriellement à la CRU. L'attachée de direction est responsable de la gestion des plaintes et des réclamations. La responsable qualité coordonne le système de gestion des plaintes et des réclamations au sein du COVIRISQ (comité des vigilances et des risques). Une fiche de signalement et de suivi des plaintes et des réclamations (similaire aux fiches d'événements indésirables) a été mise en place via POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 119 E2 Mettre en oeuvre Les plaintes et réclamations sont traitées en lien avec les professionnels concernés. Le plaignant est informé des suites données à sa plainte et des éventuelles actions correctives mises en œuvre. E3 Evaluer et améliorer Oui intranet pour les services utilisateurs. Ces plaintes et réclamations sont portées à la connaissance de la CRU. L'attachée de direction recense les plaintes et les réclamations sur le registre des plaintes (courriers), et leur traitement est porté à la connaissance de la CRU et du COVIRISQ. Réponses aux EA Constats Oui Oui Les professionnels concernés par les plaintes et les réclamations sont informés, associés à l'analyse et à l'élaboration des actions mises en oeuvre. Ils sont informés des réponses apportées aux patients. L'établissement adresse systématiquement un courrier au plaignant lui expliquant le traitement de sa plainte et les éventuelles actions mises en place selon le dysfonctionnement. Lorsque les plaintes et/ou réclamations concernent directement les praticiens, le patient est informé que son courrier est transmis au médecin concerné. Réponses aux EA L'exploitation quantitative et qualitative des plaintes et des réclamations, incluant le suivi du délai de réponse au plaignant, contribue à l'élaboration du programme d'amélioration de la qualité de l'accueil et de la prise en charge. Oui Constats Toutes les plaintes et les réclamations sont portées à la connaissance de la CRU. Le tableau de bord, présenté lors de chaque CRU, permet d'effectuer une analyse quantitative et qualitative (nombre de plaintes, motif des plaintes, délais de réponses). Les plaintes et les suites sont présentées en CRU qui émet des avis et des recommandations. L'analyse du tableau de bord des plaintes et des réclamations et le rapport annuel de la CRU donnent lieu à des actions d'amélioration intégrées dans le plan d'actions qualité. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 120 Référence 9: La gestion des plaintes et l'évaluation de la satisfaction des usagers Critère 9.b Evaluation de la satisfaction des usagers Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Une stratégie d'évaluation de la satisfaction des usagers est définie en lien avec la CRU. E2 Mettre en oeuvre Les secteurs d'activité et les instances, dont la CRU, sont informés des résultats des évaluations de la satisfaction. E3 Evaluer et améliorer Oui Réponses aux EA La satisfaction des usagers est évaluée selon une méthodologie validée. Constats Constats Oui Oui Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 121 Des actions d'amélioration sont mises en œuvre au niveau des secteurs d'activité, et font l'objet d'un suivi. La politique d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins est revue à partir des résultats de l'évaluation. En grande partie En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 122 CHAPITRE 2: PRISE EN CHARGE DU PATIENT POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 123 PARTIE 1. DROITS ET PLACE DES PATIENTS POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 124 Référence 10: La bientraitance et les droits Critère 10.a - Court Séjour Prévention de la maltraitance et promotion de la bientraitance Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Les modalités de signalement des cas de maltraitance sont définies et diffusées. Oui Un état des lieux permettant d'identifier les situations, les risques et les facteurs de maltraitance est réalisé en lien avec la CRU. En grande partie La promotion de la bientraitance est intégrée dans les projets de l'établissement (projet médical, projet de soins, projet social, etc.). En grande partie E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA L'expression des patients et de leurs proches est favorisée. Constats Constats Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 125 Des actions de sensibilisation des professionnels à la prévention de la maltraitance et à la promotion de la bientraitance sont mises en œuvre. Des actions visant la prévention de la maltraitance et la promotion de la bientraitance sont mises en œuvre. E3 Evaluer et améliorer Oui En grande partie Réponses aux EA Les actions visant la prévention de la maltraitance et la promotion de la bientraitance sont suivies et évaluées. Constats En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 126 Référence 10: La bientraitance et les droits Critère 10.b - Court Séjour Respect de la dignité et de l'intimité du patient Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Les projets de l'établissement (projets des secteurs d'activité, projets architecturaux) intègrent le respect de la dignité et de l'intimité du patient. En grande partie E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Les soins, y compris les soins d'hygiène, sont réalisés dans le respect de la dignité et de l'intimité des patients. Les conditions d'hébergement permettent le respect de la dignité et de l'intimité des patients. E3 Evaluer et améliorer Constats Constats En grande partie En grande partie L'établissement comporte des chambres particulières. Cependant, les chambres à deux lits des services de médecine et chirurgie ne sont pas équipées de rideaux rigides coulissant permettant une séparation entre les lits, comme dans le service de maternité. L'établissement a prévu d'équiper ces chambres. Réponses aux EA Constats POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 127 L'évaluation du respect de la dignité et de l'intimité des patients donne lieu à des actions d'amélioration. Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 128 Référence 10: La bientraitance et les droits Critère 10.c - Court Séjour Respect de la confidentialité des informationsrelatives au patient Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Les mesures permettant le respect de la confidentialité des informations relatives au patient sont identifiées. E2 Mettre en oeuvre En grande partie Réponses aux EA L'organisation et les pratiques de l'établissement permettent le respect de la confidentialité des informations relatives au patient. Les modalités de partage des informations relatives au patient permettent le respect de la confidentialité. Les professionnels sont sensibilisés au respect de la confidentialité des informations relatives au patient. Constats Constats Oui Oui Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 129 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA L'établissement évalue le respect de la confidentialité des informations relatives au patient. Des actions d'amélioration, en matière de respect de la confidentialité des informations relatives au patient, sont menées. Constats Partiellement Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 130 Référence 10: La bientraitance et les droits Critère 10.d - Court Séjour Accueil et accompagnement de l'entourage Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Des modalités d'accueil et d'accompagnement de l'entourage sont définies. Une organisation permet l'accueil et la présence en continu des parents des enfants hospitalisés. E2 Mettre en oeuvre Oui En grande partie Réponses aux EA L'accès aux secteurs d'hospitalisation est facilité (horaires de visites, etc.) pour l'entourage. L'entourage des patients bénéficie d'un accueil personnalisé et de soutien dans les situations qui le nécessitent. Constats Constats Oui Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 131 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA L'évaluation de la satisfaction de l'entourage donne lieu à des actions d'amélioration en lien avec la CRU. Un bilan d'activité annuel du service social et du service de soutien psychologique, comprenant les actions d'amélioration réalisées, est établi. Constats Partiellement NA Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 132 Référence 10: La bientraitance et les droits Critère 10.e - Court Séjour Respect des libertés individuelles et gestion des mesures de restriction de liberté Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA La promotion du respect des libertés individuelles est intégrée dans les projets de l'établissement. Les projets de prise en charge identifient les conditions visant à préserver les libertés individuelles et les risques de leur non-respect. Constats Oui Partiellement Les projets médicaux ou de secteurs d'activité identifient les situations nécessitant une restriction de liberté, en particulier celle d'aller et venir (isolement et contention, mais aussi limitation des contacts, des visites, retrait des effets personnels, etc.). En grande partie E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 133 Les professionnels sont sensibilisés au respect des libertés individuelles. La mise en œuvre du respect des libertés individuelles est organisée. La réflexion bénéfice-risque et la recherche du consentement du patient ou de son entourage, concernant les restrictions de liberté, font l'objet d'une concertation de l'équipe soignante, intégrée dans le projet de soins personnalisés. Les restrictions de liberté font l'objet d'une prescription médicale écrite, réévaluée à périodicité définie. E3 Evaluer et améliorer En grande partie Oui En grande partie En grande partie Réponses aux EA Le respect des bonnes pratiques, en matière de préservation des libertés individuelles et de restriction de liberté, est évalué à périodicité définie, en lien avec les instances et structures concernées (espace de réflexion éthique ou équivalent, CRU, CME, CSIRMT, etc.). Des actions d'amélioration, portant sur la préservation des libertés individuelles et sur la gestion des mesures de restriction de liberté, sont mises en place. Constats Non Non POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 134 Référence 11: l'information, la participation et le consentement du patient Critère 11.a - Court Séjour Information du patient sur son état de santé et les soins possibles Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Une organisation relative à l'information donnée au patient est définie. Les patients sont informés de la possibilité de désigner une personne de confiance. E2 Mettre en oeuvre Oui Oui Réponses aux EA Des modalités spécifiques d'information sont mises en œuvre en cas de diagnostic grave et d'aggravation de l'état de santé, en tenant compte des facultés de compréhension, de discernement et du type d'hospitalisation (HDT, HO, injonction thérapeutique, etc.). Constats Constats Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 135 L'accès à des ressources d'informations diversifiées (support écrit, espace d'information, etc.) est facilité. E3 Evaluer et améliorer Partiellement Réponses aux EA L'évaluation de la satisfaction du patient, quant à l'information reçue, donne lieu à des actions d'amélioration. Constats Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 136 Référence 11: l'information, la participation et le consentement du patient Critère 11.b - Court Séjour Consentement et participation du patient Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Une organisation est définie, permettant le recueil du consentement éclairé et, le cas échéant, du refus de soins. E2 Mettre en oeuvre Des interventions, visant la recherche d'adhésion du patient au projet de soins, sont réalisées dans les cas d'hospitalisation sans consentement, d'injonction thérapeutique ou de refus de soins. E3 Evaluer et améliorer Oui Réponses aux EA La participation du patient et, s'il y a lieu, de son entourage dans la construction et la mise en œuvre du projet personnalisé de soins est favorisée. Constats Constats En grande partie Oui Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 137 L'évaluation du recueil du consentement du patient donne lieu à des actions d'amélioration. Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 138 Référence 11: l'information, la participation et le consentement du patient Critère 11.c - Court Séjour Information du patient en cas de dommage lié aux soins Cotation C E1 Prévoir Réponses aux EA Constats Partiellement Une procédure sur l'information du patient en cas de dommage lié aux soins vient d'être formalisée et validée par la présidente de la CME. Elle n'est pas, à ce jour, présentée aux praticiens concernés en CME pour application. Réponses aux EA Constats En grande partie Une sensibilisation a concerné l'encadrement de l'établissement, la présidente de la CME, et a été discutée en staff de direction en septembre 2011. Cependant, elle n'a pas concerné l'ensemble des professionnels. Partiellement L'information du patient en cas d'infection nosocomiale est conduite par le médecin responsable, elle n'est pas toujours tracée dans le dossier, et ne respecte pas les recommandations de la HAS (pas d'appropriation de la procédure par les professionnels). Réponses aux EA Constats Une démarche structurée d'information du patient en cas de dommages liés aux soins est définie. E2 Mettre en oeuvre Des actions de formation des professionnels à la démarche d'information du patient en cas de dommages liés aux soins sont menées. Les professionnels mettent en œuvre cette démarche. E3 Evaluer et améliorer POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 139 La démarche d'information du patient en cas de dommages liés aux soins est évaluée et améliorée. Partiellement Dans le cadre de la conduite d'une RMM, il a été recherché la trace de l'information du patient en cas de dommage lié aux soins dans le dossier patient avec la recherche de la proposition de prise en charge par le psychologue. La démarche d'information du patient n'est pas encore effective. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 140 Référence 12: La prise en charge de la douleur Critère 12.a - Court Séjour Prise en charge de la douleur Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA La stratégie de prise en charge de la douleur est formalisée dans les différents secteurs de l'établissement, en concertation avec le CLUD (ou équivalent). Des protocoles analgésiques, issus des recommandations de bonne pratique et adaptés au type de chirurgie pratiquée, à la pathologie donnée, au patient, à la douleur induite par les soins, sont définis. En grande partie En grande partie Constats La prise en charge de la douleur est inscrite dans les orientations stratégiques (thème 2 "Lutte contre la douleur"). La politique de prise en charge de la douleur n'est pas définie dans les orientations stratégiques, il s'agit d'une déclinaison d'objectifs principaux dans un programme d'actions (mobilisation des professionnels autour de la prise en charge de la douleur, mise à jour des protocoles, mise à disposition de guides, référentiels et outils, évaluation de la qualité de la prise en charge par le suivi d'indicateurs). Le CLUD est formalisé depuis 2010 (auparavant, cellule de lutte contre la douleur), il est composé de praticiens de toutes spécialités et d'IDE des différents services de l'établissement pour assurer le déploiement de la stratégie de prise en charge de la douleur dans tous les secteurs d'activité. Des protocoles d'analgésie, issus des recommandations de la SFAR, sont élaborés en lien avec le CLUD. Ils sont spécifiques par pathologie, rédigés par les médecins anesthésistes. Depuis 2008, ils sont accessibles dans le dossier patient informatisé. Le programme annuel 2012 prend en compte leur actualisation ainsi que la formalisation POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 141 E2 Mettre en oeuvre Des formations/actions sont mises en œuvre dans les secteurs d'activité. Les secteurs d'activité mettent en place l'éducation du patient à la prise en charge de la douleur. En grande partie de protocoles nouveaux (douleur de l'enfant) et le développement de protocoles de prise en charge non médicamenteuse (hypnose, acupuncture, sophrologie). Les différents protocoles sont accessibles sur le site intranet de l'établissement. Réponses aux EA Constats Oui En grande partie Le plan de formation annuel fait état de formations douleur, en lien avec le programme du CLUD (prise en charge de la douleur et accompagnement en fin de vie, prise en charge de la douleur en Salle de Soins Post-Interventionnelle (SSPI), douleur de la personne âgée, spécificité de la douleur chez l'enfant...). Des formations diplômantes sont inscrites au programme (DU d'acupuncture pour les sages-femmes). Des formations internes sont programmées chaque année au travers de la création d'un elearning (douleur de la personne âgée, douleurs iatrogènes). Une IDE référente douleur a un temps dédié d'une demi-journée par semaine pour conduire dans les services le programme du CLUD, elle est détentrice d'un DU douleur depuis 2010. Un compagnonnage est assuré pour les IDE nouvellement recrutées. Un contrat douleur est joint dans le livret d'accueil du patient à l'arrivée. La mise en place de l'éducation à la douleur est effective pour certains patients qui le nécessitent et qui relèvent de douleur au long court ou chronique. Il s'agit essentiellement de la douleur de patients traités pour un cancer, en hospitalisation de semaine, traités par chimiothérapie, ou bien qui sont hospitalisés sur les lits de médecine lorsque leur état général l'exige. Une démarche d'éducation est entreprise par le médecin anesthésiste parfois avant le geste chirurgical et poursuivi ensuite tout au long de la prise en charge par les infirmières. Cette démarche n'est pas formalisée. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 142 La traçabilité des évaluations de la douleur dans le dossier du patient est assurée. Les professionnels de santé s'assurent du soulagement de la douleur. Oui Oui Des moyens d'évaluation de la douleur pour les patients non communicants (échelles d'évaluation) sont mis à la disposition des professionnels. Oui E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Les responsables des secteurs d'activité s'assurent de l'appropriation et de l'utilisation des outils par les professionnels. La qualité et l'efficacité de la prise en charge de la douleur sont évaluées à périodicité définie sur le plan institutionnel. En grande partie Oui Compte tenu de la classe pour l'indicateur "Traçabilité de l'évaluation de la douleur" et de sa valeur de 80 % avec un intervalle de confiance à 95 % = [71 % - 89 %] pour la campagne de recueil 2011. La douleur est évaluée systématiquement, si le patient est douloureux, une cible "douleur" est inscrite dans le dossier de soins informatisé. Il en découle des actions de réévaluations à conduire systématiquement après traitement antalgique pour vérifier l'efficacité thérapeutique. La traçabilité de la douleur est reprise sur la feuille de température. Les besoins en moyens d'évaluation de la douleur pour les patients non communicants sont définis par le CLUD. L'échelle d'évaluation ALGOPLUS est en place et accessible sur le site intranet. Les professionnels sont formés à son utilisation et accompagnés en tant que de besoin par l'IDE référente douleur. Une échelle visuelle spécifique aux enfants et aux personnes ne parlant pas français est opérationnelle. Constats En service de maternité, les responsables s'assurent de l'appropriation de l'évaluation de la douleur de la femme césarisée, une EPP est conduite sur le sujet. La sensibilisation à la prise en charge de la douleur est inscrite dans le circuit d'intégration des nouveaux arrivants, des réunions d'équipe organisées par l'encadrement sont des moyens de s'assurer de l'appropriation par les professionnels de la prise en charge de la douleur et des outils d'évaluation. Ces actions ne sont pas toujours tracées. L'établissement recueille l'indicateur "Traçabilité de l'évaluation de la douleur". Il a mis en oeuvre d'autres modalités d'évaluation au travers d'un audit trimestriel de la conformité des dossiers patients (évaluation de la douleur et action, réévaluation si EVA supérieure à 0). POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 143 Des actions d'amélioration sont mises en place. En grande partie L'établissement participe à des partages d'expériences sur les organisations et les actions mises en place, notamment dans les régions. Partiellement Des actions d'amélioration sont identifiées suite aux évaluations conduites (EPP douleur césarienne, résultats IPAQSS 2011, résultats audits trimestriels des dossiers) et alimentent le programme du CLUD, comme par exemple : - pour le programme 2011 : la nécessité d'une IDE référente douleur formée pour la sensibilisation des professionnels de terrain, la mise en place d'ENTONOX dans tous les services ; - pour le programme 2012 : actualisation des protocoles existants, élaboration d'un protocole de prise en charge des patientes césarisées selon les recommandations de la SFAR, programmation de nouvelles évaluations comme le protocole de prise en charge de la douleur de l'enfant. Le partage d'expériences est partiel, des échanges sont organisés au sein du groupe, qui a lieu lors de réunions qualité. Il n'existe pas d'inter-CLUD dans la région. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 144 Référence 13: La fin de vie Critère 13.a - Court Séjour Prise en charge et droits des patients en fin de vie Cotation C E1 Prévoir Réponses aux EA Une organisation permettant l'évaluation et la prise en charge des besoins des patients en fin de vie est en place. Des modalités de recueil de la volonté du patient et, le cas échéant, de conservation des directives anticipées sont définies. En grande partie Partiellement Constats Les patients relevant d'une prise en charge palliative sont rares dans l'établissement et sont hospitalisés sur les cinq lits de médecine, non identifiés et répartis dans les deux secteurs de chirurgie. Il s'agit le plus souvent de patients connus, opérés pour des cancers par les praticiens de l'établissement, suivis en chimiothérapie dans le service d'oncologie et dont l'hospitalisation s'avère nécessaire du fait de la dégradation de leur état général. L'organisation est identique pour tous les patients hospitalisés avec une attention particulière pour cette patientèle au moment de l'accueil (préparation de la chambre, prévention du risque d'escarre, prévention de la dénutrition, de la douleur). Cette organisation n'est pas formalisée. L'établissement n'a pas de convention avec l'équipe de soins palliatifs du centre hospitalier de Villefranche malgré sa demande. L'établissement dispose depuis mai 2012 d'une procédure visant à recueillir et inscrire dans le dossier du patient l'identité de la personne de confiance, avec au verso une information particulière sur les directives anticipées et la possibilité de recueil des volontés du patient quant aux POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 145 Partiellement Les patients adultes reçoivent des informations écrites sur leur droit d'accepter ou de refuser des traitements de maintien en vie ou les traitements de réanimation, et sur leur droit d'établir des directives anticipées. Partiellement E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Des projets de prise en charge des patients et de leurs proches sont définis et mis en œuvre. Les professionnels concernés bénéficient de formations pluridisciplinaires et pluriprofessionnelles sur la démarche palliative. En grande partie Oui soins et traitements qui pourraient lui être délivrés en fin de vie. Cette nouvelle procédure n'est pas mise en oeuvre à ce jour. Les patients reçoivent une première information lors de la remise du livret d'accueil dès l'entrée, il contient une information sur les directives anticipées. La Commission des Relations avec les Usagers (CRU) a mis à l'ordre du jour l'information du patient sur les directives anticipées. Des informations sont à disposition des professionnels sur le site intranet de l'établissement. Récemment, le comité d'éthique a réfléchi sur les modalités d'information du patient. Ce dispositif d'information est partiel et non structuré. Constats La démarche de projet personnalisé de soins est effective dans les deux services de chirurgie qui accueillent les cinq lits de médecine. Un accueil personnalisé est organisé pour les patients relevant de soins palliatifs en amont de leur entrée dans le service, un résumé de soins infirmiers est effectué ainsi que les objectifs de soins dans le projet personnalisé de soins. Ils ne sont pas systématiquement tracés dans le dossier. L'entourage du patient bénéficie à sa demande du soutien de l'onco-psychologue intervenant à 50 % sur la structure. Une formation continue de courte durée a été suivie par une infirmière en avril 2012 (éthique et application de la loi Leonetti). Des actions de formation sont proposées au personnel et figurent dans le plan de formation depuis 2008 (acquérir et diffuser les bonnes pratiques de la démarche palliative, accompagnement soins palliatifs, prise en charge de la douleur et soins palliatifs, loi Leonetti, éthique et fin de vie en e-learning). Elles se poursuivent en 2011 et 2012, des sessions de e-learning sont en cours avec une forte participation des professionnels de tous les services. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 146 Dans les secteurs concernés, des réunions pluriprofessionnelles de discussion de cas de malades sont mises en place. Dans les secteurs concernés, des actions de soutien des soignants, notamment en situation de crise, sont mises en œuvre. Les professionnels de l'établissement sont informés des dispositifs légaux concernant les droits des patients et la fin de vie. L'action des associations d'accompagnement et de leurs bénévoles est facilitée. E3 Evaluer et améliorer La prise en charge des patients en fin de vie fait l'objet d'une évaluation pluriprofessionnelle en lien avec les structures concernées (Comité d'éthique ou équivalent, CRU, CME, Commission de soins, etc.). En grande partie Oui Oui En grande partie Des réunions des professionnels intervenant auprès du patient sont organisées en fonction de l'état du patient et/ou de la stratégie thérapeutique mise en place, notamment pour gérer la douleur, l'anxiété, la continuité des soins. L'audit des dossiers trimestriels a mis en évidence la conclusion de ces discussions dans les observations médicales. Cette trace n'est pas systématiquement retrouvée. Les situations de crise sont rares, ces patients peu nombreux et il n'y a pas d'unité identifiée "soins palliatifs". Cependant, l'oncopsychologue intervient à la demande, ainsi que le médecin référent du patient en cas de besoin de soutien ou d'aide. Un temps de parole est également proposé par le cadre du service pour son équipe. L'établissement a mis en place un processus d'information des professionnels sur les dispositifs légaux concernant les droits des patients en fin de vie : le site intranet de l'établissement engage les professionnels à des auto-formations de e-learning sur la loi Leonetti, des formations sont inscrites dans le plan de formation, le comité éthique en a fait son premier thème de réflexion. L'établissement a formalisé les conditions d'intervention de l'association de bénévoles "Santé Psychologie et Cancer", la convention est en cours de signature (avant fin 2012), les bénévoles ont suivi une formation dispensée par l'oncopsychologue. Un projet de restructuration est en cours pour un lieu d'accueil convivial à mettre à leur disposition pour l'accueil des patients et de leur famille. Réponses aux EA Constats Partiellement L'établissement a identifié cinq lits de médecine au sein des deux services de chirurgie, et accueille entre autres des patients en soins palliatifs. L'évaluation de la prise en charge de ces patients est débutante et partielle, elle se conduit au travers de l'analyse de dossiers de RMM. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 147 Les secteurs d'activité concernés mettent en place une réflexion sur la limitation et l'arrêt des traitements. Partiellement Des actions d'amélioration sont mises en œuvre. En grande partie La réflexion de limitations et/ou d'arrêts de soins est très rare et toujours pluriprofessionnelle, elle est menée au cas par cas, par les praticiens concernés, les équipes soignantes et en lien avec les familles des patients. La traçabilité de ces décisions est rarement retrouvée dans les dossiers patients. Des actions d'amélioration ont été récemment mises en place pour améliorer la prise en charge palliative des patients. Elles concernent essentiellement la formation des professionnels, la structuration d'un comité d'éthique, le conventionnement prochain avec une équipe de bénévoles et la structuration d'un lieu d'accueil et de soutien des familles. Cependant, ces actions d'amélioration ne sont pas structurées. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 148 PARTIE 2. GESTION DES DONNÉES DU PATIENT POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 149 Référence 14: Le dossier du patient Critère 14.a - Court Séjour Gestion du dossier du patient Cotation C E1 Prévoir Réponses aux EA Les règles de tenue du dossier sont formalisées et diffusées. Partiellement Les règles d'accès au dossier, comprenant les données issues de consultations ou hospitalisations antérieures, pour les professionnels habilités, sont formalisées et diffusées. Partiellement E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Constats Un guide d'utilisation du dossier patient datant du 26 octobre 2007 définit les règles d'utilisation du dossier patient papier (éléments constitutifs, règles d'accès des patients à leur dossier, archivage des dossiers et évaluations). Cependant, il n'a pas été réactualisé depuis et ne renseigne donc pas sur le dossier patient actuel en partie papier et en partie informatisé. Le guide du dossier patient (2007) est diffusé via intranet. Les règles d'accès et de circulation du dossier sont bien connues des professionnels mais ne sont pas formalisées. Sont cependant assurés la circulation du dossier dans le respect de la confidentialité, les échanges d'informations entre les professionnels et la transmission des éléments utiles à la continuité des soins. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 150 Les éléments constitutifs des étapes de la prise en charge du patient sont tracés en temps utile dans le dossier du patient. La communication du dossier, entre l'ensemble des professionnels impliqués dans la prise en charge et avec les correspondants externes, est assurée en temps utile. E3 Evaluer et améliorer En grande partie Les informations contenues dans le dossier patient sont partagées entre les professionnels de santé intervenant dans la prise en charge du patient (informatique ou papier). La communication du dossier lors d'un transfert se fait par la transmission d'une copie des pièces significatives, l'original restant dans l'établissement. Les correspondants externes sont informés par l'envoi d'un courrier de sortie. La communication du dossier est réalisée en temps utile entre les professionnels de l'établissement et avec les correspondants externes. Cependant, les modalités de communication des dossiers ne sont pas formalisées par écrit. Réponses aux EA L'évaluation de la gestion du dossier du patient est réalisée, notamment sur la base d'indicateurs. Les résultats des évaluations conduisent aux améliorations nécessaires. Partiellement Compte tenu de la classe pour l'indicateur "Tenue du dossier patient" et de sa valeur de 64 avec un intervalle de confiance de 95 % = [62 -67] pour la campagne de recueil de 2011. Oui Oui Constats L'établissement recueille l'indicateur "Tenue du dossier patient". Il a mis en oeuvre d'autres modalités d'évaluation : audit trimestriel sur la qualité du dossier, audit prospectif sur la conformité du dossier transfusionnel, audit sur la qualité de l'évaluation de la douleur et évaluation du logiciel dossier patient informatisé. Des actions d'amélioration sont mises en place par l'établissement qui a adressé des courriers aux praticiens afin de progresser sur la présence de la réflexion bénéfice-risque et des lettres de sortie dans le dossier du patient. L'établissement est également en cours de projet d'un nouveau logiciel qui sera développé dans tous les secteurs de l'établissement et qui évitera la multiplication de logiciels et de passerelles. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 151 Référence 14: Le dossier du patient Critère 14.b - Court Séjour Accès du patient à son dossier Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA L'accès du patient à son dossier est organisé. Oui E2 Mettre en oeuvre Constats L'établissement organise l'accès du patient à son dossier selon la réglementation en vigueur. Le guide du dossier patient décrit les modalités de demande et de transmission du dossier au patient lui-même, au patient mineur, aux titulaires de l'autorité parentale, au tuteur, aux ayants droit d'un patient décédé, au médecin désigné comme intermédiaire par l'une des personnes précédentes, à un autre établissement de santé. La gestion des demandes de dossiers est assurée par l'attachée de direction qui informe systématiquement le médecin responsable du patient. Réponses aux EA Le patient est informé des droits d'accès à son dossier. Oui Constats Le patient est informé des droits d'accès à son dossier dans le livret d'accueil et par le biais de l'affichage de la charte du patient hospitalisé. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 152 L'accès du patient à son dossier est assuré dans les délais définis par la réglementation. E3 Evaluer et améliorer Oui L'établissement a mis en place des indicateurs de suivi sur les délais de transmission des dossiers aux patients. Ces indicateurs sont analysés par l'attachée de direction, responsable des demandes d'accès des dossiers aux patients. Ces indicateurs de suivi sont systématiquement présentés en CRU. Les délais sont conformes à la réglementation. Réponses aux EA L'évaluation des délais de transmission des dossiers aux patients donne lieu à des actions d'amélioration. La CRU est informée du nombre de demandes, des délais de transmission et du suivi des actions d'amélioration mises en œuvre. Constats Oui L'établissement évalue ses délais de transmission des dossiers aux patients. Les résultats sont donnés au sein de la CRU. Les indicateurs ont été modifiés afin de rechercher d'éventuels dysfonctionnements et mettre en place des actions d'amélioration si nécessaire. Oui Lors de chaque réunion, la CRU est informée du nombre de demandes de dossiers, des délais de transmission et des causes des demandes. Les données sont tracées dans les comptesrendus des réunions de la CRU et dans le rapport annuel de cette commission. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 153 Référence 15: l'identification du patient Critère 15.a - Court Séjour Identification du patient à toutes les étapes de sa prise en charge Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Une organisation et des moyens permettant de fiabiliser l'identification du patient à toutes les étapes de sa prise en charge sont définis. En grande partie Constats Une organisation est mise en place pour garantir le fiabilité de l'identification du patient. Une cellule identitovigilance a été créée en mars 2012. Une référente identitovigilance a été désignée (secrétaire admissions). Une charte d'identitovigilance identifie les modalités administratives d'identification du patient. Elle décline les documents d'identité (carte vitale et carte d'identité ou passeport) à demander lors de la pré-admission et les contrôles à effectuer par le patient lors de l'admission (signature de ce dernier après contrôle de la planche d'identification collée sur les dossiers). Des procédures de prise en charge des patients dans les différents services de la clinique définissent la conduite à tenir pour les soignants lors de l'accueil du patient dans le service et pour le brancardier lors du transport du patient vers le bloc ou autres secteurs. Un protocole utilisation du bracelet d'identité est rédigé depuis le 15 novembre 2007 et diffusé via intranet. Cependant, il n'existe pas de document qui définit les objectifs en matière d'identification, propres aux secteurs cliniques, les points critiques, les acteurs clefs (missions et responsabilités POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 154 définies), les ressources. En grande partie E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Le personnel de l'accueil administratif et les professionnels de santé sont formés à la surveillance et à la prévention des erreurs d'identification du patient. Le personnel de l'accueil administratif met en œuvre les procédures de vérification de l'identité du patient. Oui Oui Les professionnels de santé vérifient la concordance entre l'identité du bénéficiaire de l'acte et la prescription, avant tout acte diagnostique ou thérapeutique. En grande partie E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Constats Une formation e-learning sur l'identitovigilance a été inscrite au plan de formation 2011 et est en cours de réalisation. 50 salariés sont formés (personnel d'accueil, personnel des urgences, personnel soignant). Le gestionnaire du dépôt de sang a également été formé à l'identitovigilance. La charte d'identitovigilance définit les modalités d'identification du patient au niveau du service administratif (accueil), et une procédure de prise en charge du patient en hospitalisation définit la conduite à tenir en matière de contrôle d'identité du patient pour le secrétariat d'hospitalisation. Ces procédures sont mises en oeuvre par le personnel des services concernés (photocopie d'un justificatif d'identité et de la carte vitale, création d'identité...). Le personnel soignant vérifie l'identité du patient lors de son arrivée dans le service. Le bracelet est posé lors de l'admission jusqu'au départ du patient. En maternité, les auxiliaires puéricultrices mettent des bracelets aux bébés au niveau des poignets et des chevilles. Les brancardiers contrôlent le dossier et l'identité du patient avant tout transport. Le bloc opératoire et l'endoscopie digestive utilisent les check-lists. Cependant, il n'existe pas de procédure détaillée du contrôle d'identité du patient tout au long de sa prise en charge qui identifie précisément les conduites à tenir à chaque étape du séjour du patient. La question ouverte au patient sur son identité n'est pas formalisée. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 155 La fiabilité de l'identification du patient à toutes les étapes de la prise en charge est évaluée à périodicité définie (indicateurs, audits), et les erreurs sont analysées et corrigées. Oui Un audit identitovigilance annuel est réalisé. Il évalue la présence du bracelet, les renseignements sur l'identité du patient, l'intervention, le côté à opérer, la check-list. Les fiches d'événements indésirables font l'objet de suivi systématique de la référente. Un bilan des fiches d'événements indésirables et un plan d'actions sont réalisés en cellule des risques. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 156 PARTIE 3. PARCOURS DU PATIENT POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 157 Référence 16: l'accueil du patient Critère 16.a - Court Séjour Dispositif d'accueil du patient Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Des modalités d'accueil du patient sont définies, notamment celles qui concernent la remise du livret d'accueil. L'accueil et les locaux sont adaptés aux personnes handicapées. Des dispositions sont prises afin d'assurer la prise en charge ou l'orientation des personnes se présentant pour une urgence. E2 Mettre en oeuvre Oui En grande partie Oui Réponses aux EA Le patient reçoit une information claire, compréhensible et adaptée sur les conditions de prise en charge. Constats Constats Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 158 Le personnel est formé à l'accueil et à l'écoute du patient. Partiellement Le délai prévisible de prise en charge est annoncé. Partiellement E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Constats Le dispositif d'accueil du patient est évalué. En grande partie Des actions d'amélioration sont mises en œuvre en lien avec la CRU. En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 159 Référence 17: l'évaluation de l'état de santé du patient Critère 17.a - Court Séjour Evaluation initiale et continue de l'état de santé du patient et projet de soins personnallisé Cotation C E1 Prévoir Réponses aux EA La prise en charge du patient est établie en fonction d'une évaluation initiale de son état de santé, et prend en compte l'ensemble de ses besoins. Partiellement L'organisation des prises en charge en fonction des objectifs de soins permet aux patients hospitalisés sans consentement et aux détenus l'accès aux activités thérapeutiques. NA E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA L'évaluation initiale du patient est réalisée dans un délai adapté à son état de santé. Partiellement Constats L'évaluation initiale du patient est réalisée pour les professionnels soignants au travers des 14 besoins fondamentaux de V. Anderson dès l'entrée, partiellement pour les autres soignants (kiné, psychologue...). La visite initiale du médecin est réalisée mais n'est pas tracée dans le dossier informatique. Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. Constats L'évaluation initiale du patient est réalisée par les professionnels IDE dans les 48 heures suivant l'admission du patient dans le dossier de soins informatisé, les autres professionnels (kiné, psychologue...) n'utilisent pas cet outil ; le délai est de ce fait difficile à apprécier (outils papier propres aux professionnels). POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 160 Un projet de soins personnalisés est élaboré avec les professionnels concernés (projet de vie en USLD). La réflexion bénéfice-risque est prise en compte dans l'élaboration du projet de soins personnalisés. En grande partie Partiellement La réflexion soignante est individualisée par patient. Elle prévoit les modalités d'accompagnement à la sortie. Cependant, elle n'est pas toujours tracée dans le dossier patient informatisé. La recherche de la réflexion bénéfice-risque est peu retrouvée, tracée dans les dossiers patients consultés. Ce critère n'est pas recherché dans l'évaluation trimestrielle des dossiers. Le projet de soins personnalisés est réajusté en fonction d'évaluations périodiques de l'état de santé du patient, en impliquant le patient et, s'il y a lieu, l'entourage. En grande partie Les professionnels s'attachent à des réévaluations périodiques de l'état de santé du patient. Cependant, toutes ces étapes ne sont pas systématiquement tracées dans le dossier. E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Constats Partiellement Des évaluations trimestrielles du dossier patient sont conduites par la RAQ à l'aide d'un référentiel établi par le groupe en sus des indicateurs annuels IPAQSS. Ce référentiel n'évalue pas les critères relevant du projet de soins personnalisé. En grande partie Des actions d'amélioration sont mises en place suite aux évaluations du dossier conduites : traçabilité de la douleur, IMC... Cependant, il ne peut y avoir d'actions d'amélioration relevant des critères relevant du projet de soins puisqu'il ne figure pas dans le référentiel d'évaluation. Des actions d'évaluation sont conduites afin de s'assurer de la traçabilité des informations. Des actions d'amélioration sont mises en place en fonction des résultats des évaluations. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 161 Référence 17: l'évaluation de l'état de santé du patient Critère 17.b Prise en charge somatique des patients Ce critère est applicable uniquement à la prise en charge en santé mentale. Cotation NA E1 Prévoir Réponses aux EA Un projet de prise en charge somatique est formalisé. NA Le recours aux avis spécialisés est organisé et formalisé. E2 Mettre en oeuvre NA Constats Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. Réponses aux EA L'évaluation initiale du patient comprend un volet somatique. Un suivi somatique du patient est organisé tout au long de la prise en charge. NA NA Constats Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 162 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA L'organisation de la prise en charge somatique est évaluée, et des actions d'amélioration sont mises en œuvre. NA Constats Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 163 Référence 18: La continuité et la coordination des soins Critère 18.a - Court Séjour Continuité et coordination de la prise en charge des patients Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Des règles de présence ainsi qu'un système de gardes et d'astreintes sont définis afin d'assurer la permanence des soins 24 h/24. Oui Des mécanismes de coordination permettent d'assurer le relais entre les équipes associées aux différents modes de prise en charge (ambulatoire, temps partiel, temps plein) et avec les partenaires extérieurs. Partiellement Constats Les modalités de coordination sont formalisées dans le projet de soins, elles intègrent tous les professionnels (IDE, kinésithérapeute, psychologue, médecin) autour de la prise en charge. Des réunions hebdomadaires ont lieu, en dehors des temps de transmission où sont exposés les cas des patients le nécessitant. Dans le secteur des soins continus, l’analyse des indicateurs 2012 montre que l’occupation quotidienne de ce service est en moyenne inférieure à 5 patients. Il existe un système d’appel de renfort installé et mis en place depuis la création de l’unité de surveillance continue. Cependant, au moment de la visite, la présence paramédicale n'est pas conforme aux recommandations de la SFAR et à l'autorisation délivrée par l'ARS (une IDE et une AS pour huit patients au lieu de une IDE et une AS pour quatre patients). Les patients pris en charge dans ce secteur sont des patients lourds, post- POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 164 Partiellement Des modalités de transmission d'informations entre les secteurs d'activité et avec les intervenants extérieurs sont définies. E2 Mettre en oeuvre opératoires le plus souvent, nécessitant une disponibilité importante de la part de l’équipe paramédicale. Oui Réponses aux EA Les secteurs d'activité collaborent afin d'assurer une prise en charge multidisciplinaire du patient. Des avis compétents sont recherchés dans l'établissement ou à l'extérieur, lorsque l'état du patient le nécessite. Un ou des professionnels référents sont désignés pour la prise en charge du patient. Constats Oui Oui Oui E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA La continuité et la coordination de la prise en charge sont évaluées, notamment au regard des événements indésirables, et des actions d'amélioration sont menées. Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 165 Référence 18: La continuité et la coordination des soins Critère 18.b - Court Séjour Prise en charge des urgences vitales survenant au sein de l'établissement Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA La procédure de prise en charge des urgences vitales au sein de l'établissement est définie. Cette procédure est remise et expliquée au patient ou à son entourage. Oui NA E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Les coordonnées des spécialistes à appeler en cas d'urgence vitale sont disponibles dans tous les secteurs d'activité. Oui Un matériel d'urgence opérationnel est disponible dans tous les secteurs de l'établissement. Constats Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. Constats En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 166 La formation des professionnels à l'utilisation de ce matériel et aux premiers gestes de secours est assurée. E3 Evaluer et améliorer En grande partie Réponses aux EA L'organisation de la prise en charge des urgences vitales est évaluée à périodicité définie, et des actions d'amélioration sont mises en œuvre. Constats En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 167 Référence 19: Les prises en charge particulières Critère 19.a - Personnes âgées Prise en charge des patients appartenant à une population spécifique Ce critère n'est pas applicable à la prise en charge en HAD. Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Un projet de prise en charge spécifique est formalisé, et comprend notamment un repérage et une évaluation des besoins. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA La sensibilisation/formation des professionnels, concernant l'identification et la prise en charge des populations spécifiques, est mise en œuvre. La coordination des différents professionnels autour de cette prise en charge est effective. E3 Evaluer et améliorer Constats Constats Oui Oui Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 168 Le dispositif de prise en charge est ajusté en fonction d'évaluations régulières. L'établissement développe des réseaux ou dispose de conventions visant à favoriser l'accès aux soins, la réadaptation et la réinsertion. En grande partie En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 169 Référence 19: Les prises en charge particulières Critère 19.a - Patients porteurs de maladie chronique Prise en charge des patients appartenant à une population spécifique Ce critère n'est pas applicable à la prise en charge en HAD. Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Un projet de prise en charge spécifique est formalisé, et comprend notamment un repérage et une évaluation des besoins. En grande partie E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA La sensibilisation/formation des professionnels, concernant l'identification et la prise en charge des populations spécifiques, est mise en œuvre. La coordination des différents professionnels autour de cette prise en charge est effective. E3 Evaluer et améliorer Constats Constats Partiellement Oui Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 170 Le dispositif de prise en charge est ajusté en fonction d'évaluations régulières. L'établissement développe des réseaux ou dispose de conventions visant à favoriser l'accès aux soins, la réadaptation et la réinsertion. Partiellement En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 171 Référence 19: Les prises en charge particulières Critère 19.a - Enfants et adolescents Prise en charge des patients appartenant à une population spécifique Ce critère n'est pas applicable à la prise en charge en HAD. Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Un projet de prise en charge spécifique est formalisé, et comprend notamment un repérage et une évaluation des besoins. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA La sensibilisation/formation des professionnels, concernant l'identification et la prise en charge des populations spécifiques, est mise en œuvre. La coordination des différents professionnels autour de cette prise en charge est effective. E3 Evaluer et améliorer Constats Constats En grande partie Oui Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 172 Le dispositif de prise en charge est ajusté en fonction d'évaluations régulières. L'établissement développe des réseaux ou dispose de conventions visant à favoriser l'accès aux soins, la réadaptation et la réinsertion. En grande partie En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 173 Référence 19: Les prises en charge particulières Critère 19.a - Personnes atteintes d'un handicap Prise en charge des patients appartenant à une population spécifique Ce critère n'est pas applicable à la prise en charge en HAD. Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Un projet de prise en charge spécifique est formalisé, et comprend notamment un repérage et une évaluation des besoins. En grande partie E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA La sensibilisation/formation des professionnels, concernant l'identification et la prise en charge des populations spécifiques, est mise en œuvre. La coordination des différents professionnels autour de cette prise en charge est effective. E3 Evaluer et améliorer Constats Constats En grande partie En grande partie Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 174 Le dispositif de prise en charge est ajusté en fonction d'évaluations régulières. L'établissement développe des réseaux ou dispose de conventions visant à favoriser l'accès aux soins, la réadaptation et la réinsertion. En grande partie En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 175 Référence 19: Les prises en charge particulières Critère 19.a - Personnes démunies Prise en charge des patients appartenant à une population spécifique Ce critère n'est pas applicable à la prise en charge en HAD. Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Un projet de prise en charge spécifique est formalisé, et comprend notamment un repérage et une évaluation des besoins. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA La sensibilisation/formation des professionnels, concernant l'identification et la prise en charge des populations spécifiques, est mise en œuvre. La coordination des différents professionnels autour de cette prise en charge est effective. E3 Evaluer et améliorer Constats Constats En grande partie En grande partie Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 176 Le dispositif de prise en charge est ajusté en fonction d'évaluations régulières. L'établissement développe des réseaux ou dispose de conventions visant à favoriser l'accès aux soins, la réadaptation et la réinsertion. Partiellement Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 177 Référence 19: Les prises en charge particulières Critère 19.a - Personnes détenues Prise en charge des patients appartenant à une population spécifique Ce critère n'est pas applicable à la prise en charge en HAD. Cotation NA E1 Prévoir Réponses aux EA Un projet de prise en charge spécifique est formalisé, et comprend notamment un repérage et une évaluation des besoins. NA E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA La sensibilisation/formation des professionnels, concernant l'identification et la prise en charge des populations spécifiques, est mise en œuvre. La coordination des différents professionnels autour de cette prise en charge est effective. E3 Evaluer et améliorer Constats Constats NA NA Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 178 Le dispositif de prise en charge est ajusté en fonction d'évaluations régulières. L'établissement développe des réseaux ou dispose de conventions visant à favoriser l'accès aux soins, la réadaptation et la réinsertion. NA NA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 179 Référence 19: Les prises en charge particulières Critère 19.b - Court Séjour Troubles de l'état nutritionnel Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Les patients ayant besoin d'une prise en charge nutritionnelle spécifique sont identifiés. L'établissement organise la coordination des différents professionnels autour de cette prise en charge, en lien avec le CLAN ou son équivalent. Oui Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Des actions d'éducation à la santé, dans le domaine nutritionnel, sont mises en œuvre auprès des patients et de leur entourage. Oui Les éléments permettant le dépistage des troubles nutritionnels sont tracés dans le dossier du patient à l'admission. Constats Oui Constats Compte tenu de la classe pour l'indicateur "Dépistage des troubles nutritionnels" et de sa valeur de 91 % avec un intervalle de confiance à 95 % = [85 % - 97 %] pour la campagne de recueil 2011. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 180 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA La qualité du dispositif de prise en charge est évaluée. Oui Constats L'établissement recueille l'indicateur "Dépistage des troubles nutritionnels". Il a mis en oeuvre d'autres modalités d'évaluation. Des actions d'amélioration sont mises en place. Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 181 Référence 19: Les prises en charge particulières Critère 19.c - Court Séjour Risque suicidaire Ce critère est applicable à tous les établissements de santé. Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Les patients présentant un risque suicidaire sont identifiés. E2 Mettre en oeuvre Les professionnels sont formés à la prise en charge des patients présentant un risque suicidaire. E3 Evaluer et améliorer Oui Réponses aux EA L'établissement assure la coordination des différents professionnels autour de la prise en charge de ces patients. Constats Constats Oui En grande partie Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 182 Le dispositif de prise en charge est ajusté en fonction d'évaluations régulières. Tout suicide ou tentative de suicide, intervenant dans le temps de la prise en charge, fait l'objet d'une analyse pluriprofessionnelle, en particulier psychiatrique, et formalisée. Le travail en réseau permet la coordination entre les différents acteurs et le suivi du patient. Partiellement Oui En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 183 Référence 19: Les prises en charge particulières Critère 19.d Hospitalisation sans consentement Ce critère est applicable uniquement aux établissements de santé habilités à accueillir des personnes hospitalisées sans leur consentement (hospitalisation à la demande d'un tiers [HDT], hospitalisation d'office [HO]). Cotation NA E1 Prévoir Réponses aux EA L'information de toute personne hospitalisée sans consentement (HDT ou HO), sur les modalités de son hospitalisation et les possibilités de recours, est organisée. Les procédures d'hospitalisation sans consentement sont définies. E2 Mettre en oeuvre NA NA Réponses aux EA Une sensibilisation et une formation des professionnels à ces modalités d'hospitalisation sont mises en place. Des procédures d'hospitalisation sans consentement sont mises en œuvre. Constats Constats NA NA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 184 L'adhésion du patient à sa prise en charge est recherchée tout au long de son hospitalisation. NA E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Les modalités des hospitalisations sans consentement sont évaluées, et des actions d'amélioration sont mises en œuvre. NA La CRU est tenue informée de l'ensemble des dysfonctionnements survenus au cours de la totalité du processus d'hospitalisation sans consentement, jusqu'à la levée de la mesure et des visites de la Commission départementale des hospitalisations psychiatriques (CDHP). Constats NA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 185 Référence 20: La prise en charge médicamenteuse Critère 20.a - Court Séjour Management de la prise en charge médicamenteuse du patient Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA L'établissement de santé a formalisé sa politique d'amélioration de la qualité de la prise en charge médicamenteuse du patient, en concertation avec les professionnels concernés. Le projet d'informatisation de la prise en charge médicamenteuse complète, intégrée au système d'information hospitalier, est défini. Partiellement En grande partie Constats Une procédure décrivant la prise en charge médicamenteuse complète, de la prescription à l'administration, en passant par l'analyse pharmaceutique et le transport des médicaments, est en place, diffusée dans les services et sur l'intranet et connue des professionnels. Néanmoins, la politique de prise en charge médicamenteuse du patient n'est pas formalisée. Le projet d'informatisation de la prise en charge médicamenteuse est intégré au système d'information. L'établissement a installé deux logiciels de prescription/administration différents sur le site : l'un dans les secteurs d'hospitalisation conventionnelle et en SSPI, l'autre aux urgences. Ils ne sont pas compatibles et ne peuvent compiler les données d'un même patient. Une réflexion sur l'acquisition et la mise en place d'un nouveau logiciel informatique permettant la prescription en préopératoire (consultations) et en peropératoire (salles de bloc) est bien avancée. Le projet, mené dans le cadre de la stratégie du groupe CAPIO, n'est pas validé. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 186 Des outils d'aide à la prescription (selon les données de référence) et à l'administration, actualisés et validés, sont mis à la disposition des professionnels. En grande partie E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Des actions de sensibilisation et de formation des professionnels au risque d'erreurs médicamenteuses sont menées. L'informatisation de la prise en charge médicamenteuse est engagée. E3 Evaluer et améliorer Oui Oui Les professionnels disposent d'outils d'aide à la prescription. Le VIDAL est disponible sur le logiciel de prescription/administration des services. La pharmacie a rédigé et mis en ligne sur intranet un livret thérapeutique, régulièrement actualisé. La commission des antibiotiques, en collaboration avec la pharmacie, a élaboré des protocoles d'antibiothérapie curative et d'antibioprophylaxie, au regard des recommandations des sociétés savantes. Néanmoins, il n'existe que très peu de protocoles thérapeutiques en dehors des antibiotiques. Constats Des actions de formation et de sensibilisation ont été réalisées récemment. Une formation par e-learning sur le site intranet spécifique de la pharmacie permet aux professionnels de prendre connaissance des risques d'erreurs médicamenteuses, puis de s'évaluer en ligne et d'accéder aux résultats corrigés de leur évaluation. Le pharmacien a élaboré un référentiel de recommandations (36) pour la juste prescription chez la personne âgée. Ce référentiel a été validé et diffusé à l'ensemble des praticiens. Le pharmacien a également mené une EPP sur la pertinence de prescription chez la personne âgée, qui a permis d'analyser les différentes erreurs médicamenteuses et de mettre en place des actions d'amélioration. Chaque préparateur en pharmacie est référent pour deux services de soins. L'informatisation de la prise en charge médicamenteuse est engagée dans la majorité des secteurs (hospitalisation conventionnelle, unité de chirurgie ambulatoire, maternité, service des urgences). Seuls deux secteurs ne possèdent pas de logiciel de prescription médicamenteuse : les consultations et le bloc opératoire (pour sa phase peropératoire). Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 187 Un suivi d'indicateurs d'évaluation quantitatifs et qualitatifs, notamment en cohérence avec les engagements du contrat de bon usage des médicaments, des produits et prestations, est réalisé. Le recueil et l'analyse des erreurs médicamenteuses sont assurés avec les professionnels concernés. Des actions d'amélioration sont mises en place à la suite des différentes évaluations effectuées et de l'analyse des erreurs, avec rétro-information des professionnels. Oui En grande partie En grande partie Le pharmacien analyse régulièrement de nombreux indicateurs quantitatifs et qualitatifs, essentiellement basés sur les recommandations du contrat de bon usage des médicaments, des produits et prestations. D'autres indicateurs spécifiques sont suivis tels que le taux d'analyse pharmaceutique par le pharmacien des prescriptions informatisées. Le recueil des erreurs médicamenteuses s'effectue via la fiche de déclaration des événements indésirables, récemment informatisée pour une plus grande accessibilité sur l'intranet. Le signalement d'erreurs médicamenteuses suit le même circuit que toute fiche d'événement indésirable, réceptionnée par le responsable qualité, puis transmise au vigilant concerné pour analyse. L'analyse des erreurs médicamenteuses s'effectue par le ou les pharmaciens pour mise en place d'actions d'amélioration quand cela est possible. Le COMEDIMS a très récemment arrêté la composition du REMED (revue des erreurs médicamenteuses) conformément à la réglementation d'avril 2011. La méthodologie du REMED n'est pas validée. L'analyse des erreurs médicamenteuses remontées via les fiches d'événements indésirables permet l'élaboration d'un plan d'actions et la mise en place d'actions d'amélioration. La rétro-information aux déclarants est le plus souvent informelle et pas toujours systématique. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 188 Référence 20: La prise en charge médicamenteuse Critère 20.a bis - Court Séjour Prise en charge médicamenteuse du patient Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Les règles et supports validés de prescription sont en place pour l'ensemble des prescripteurs. La continuité du traitement médicamenteux est organisée, de l'admission jusqu'à la sortie, transferts inclus. En grande partie En grande partie Constats L'établissement a mis en place des supports de prescription conformes aux recommandations (supports uniques de prescription et d'administration) et a formalisé les règles de prescription dans une procédure générale. Il existe différents supports de prescription (papier, informatisé) qui permettent le respect des règles définies. La pharmacie tient à jour la liste des prescripteurs habilités. Les prescriptions médicamenteuses rédigées à l'admission du patient tiennent compte de son traitement personnel. Cependant, le patient n'a pas accès à une information dédiée insistant sur la nécessité de transmettre son traitement personnel au personnel soignant dès l'admission. Les soignants retirent systématiquement les médicaments personnels des patients et les stockent dans des armoires dédiées le temps du séjour. Néanmoins, cette procédure n'est pas formalisée. L'analyse des dossiers de patients ne retrouve presque jamais la trace du traitement de sortie du patient. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 189 Les modalités assurant la sécurisation de la dispensation des médicaments sont définies. Oui Les règles d'administration des médicaments sont définies, et la traçabilité de l'acte est organisée. E2 Mettre en oeuvre Oui La procédure générale de prise en charge médicamenteuse a permis de décrire les règles d'administration des médicaments. Il existe des protocoles d'administration de médicaments à risques ainsi que du matériel d'administration standardisé. Les préparateurs en pharmacie sont des personnels dédiés et formés à la gestion des médicaments à risques. Réponses aux EA Constats Oui Compte tenu de la valeur du critère "Rédaction des prescriptions médicamenteuses pendant l'hospitalisation" de l'indicateur "Tenue du dossier du patient" et de sa valeur est de 99 % pour la campagne de recueil 2011. Les règles de prescription sont mises en œuvre. Le développement de l'analyse pharmaceutique des prescriptions et de la délivrance nominative des médicaments est engagé. Une procédure générale d'organisation de la prise en charge médicamenteuse est en place. Elle inclut les modalités de sécurisation de la dispensation des médicaments dont l'analyse pharmaceutique, la délivrance nominative (partielle), le surconditionnement unitaire, le transport sécurisé, la réponse aux demandes urgentes (avec présence d'une armoire dans le sas de la pharmacie et possibilité d'appel du pharmacien si besoin). En grande partie L'analyse pharmaceutique est réalisée pour 70 % des prescriptions informatisées sur l'ensemble des secteurs de soins. Néanmoins, le logiciel ne permet pas d'action "bloquante" de l'administration par l'infirmière si la validation pharmaceutique n'a pas pu avoir lieu avant la première administration. Pour les prescriptions de chimiothérapie, l'analyse est exhaustive avant l'accord donné par le pharmacien pour la confection des poches de chimiothérapie. La délivrance journalière individuelle nominative est effective pour deux services de 28 lits d'hospitalisation complète de chirurgie, avec déploiement sur un troisième secteur avant la fin de l'année 2012. Il n'a pas été retrouvé de documentation systématique des avis pharmaceutiques ni de leur suivi (avis téléphonique POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 190 fréquent, non tracé). En grande partie Les bonnes pratiques de préparation sont appliquées (anticancéreux, radiopharmaceutiques, pédiatrie, etc.). Les professionnels de santé assurent l'information des patients sur le bon usage des médicaments. La traçabilité de l'administration des médicaments dans le dossier du patient est assurée. E3 Evaluer et améliorer Oui Partiellement Oui L'établissement a fait le choix de ne pas posséder d'unité de reconstitution des cytotoxiques sur site. Une convention a été signée en 2010 avec une autre clinique voisine du groupe CAPIO. Les prescriptions de chimiothérapie s'effectuent dans le service d'oncologie de la polyclinique. Elles sont ensuite analysées par le pharmacien. L'infirmière du service d'oncologie donne le "OK service" qui permet de valider la fabrication des poches de cytotoxiques sur l'autre site conventionné. L'acheminement des poches à la polyclinique est réalisé en fin de matinée. A réception, les poches sont contrôlées systématiquement par le pharmacien qui autorise l'infirmière du service à administrer les produits après ultime vérification. Les situations nécessitant une information au patient sur le bon usage des médicaments sont identifiées mais non formalisées. Les informations délivrées par les professionnels ne sont pas structurées et ne font pas l'objet de traçabilité. Les logiciels de prescription informatisés permettent la traçabilité de l'administration des médicaments en temps réel. Les infirmières ont la possibilité de créer une cible en cas de prescriptions orales effectuées par un praticien dans les cas d'urgence extrême, avec validation a retro le lendemain. Les prescriptions réalisées sur support unique papier sont validées par l'infirmière sans retranscription. Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 191 Un audit périodique du circuit du médicament est réalisé, notamment sur la qualité de l'administration. Des actions visant le bon usage des médicaments sont mises en œuvre, notamment sur la pertinence des prescriptions, etc.. En grande partie En grande partie Des audits sur le circuit du médicament sont régulièrement réalisés mais pas de façon périodique. Le pharmacien réalise un audit des armoires à pharmacie une fois par an. Par contre, aucune évaluation des chariots d'urgence n'a été menée jusqu'à présent. Le pharmacien a mené une EPP sur la pertinence des prescriptions médicamenteuses chez la personne âgée ayant abouti à l'élaboration d'un plan d'actions en cours de déploiement. Des audits de pertinence de prescription ont également été menés en 2011 en rapport avec certaines molécules onéreuses, dans le cadre du CBUM. La diffusion des résultats d'audit aux professionnels concernés reste confidentielle. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 192 Référence 20: La prise en charge médicamenteuse Critère 20.b - Court Séjour Prescription médicamenteuse chez le sujet âgé Ce critère est applicable uniquement aux établissements prenant en charge des patients âgés de plus de 65 ans. Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA L'établissement dispose d'une politique formalisée de juste prescription médicamenteuse chez le sujet âgé, en vue notamment de réduire la morbi-mortalité évitable. Partiellement E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Des données de référence permettant une prescription conforme sont mises à la disposition des professionnels. Oui Des actions de sensibilisation ou de formation des professionnels sont menées au niveau de l'établissement. Oui E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats Constats Constats 193 La prescription médicamenteuse chez le sujet âgé est évaluée. Des actions d'amélioration et leur suivi sont mis en œuvre. Partiellement Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 194 Référence 21: La prise en charge des analyses de biologie médicale Critère 21.a - Court Séjour Prescription d'examens de laboratoire, prélèvements, conditions de transport et transmission des résultats. Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Des règles relatives au circuit du traitement des examens de biologie médicale ou d'anatomocytopathologie sont définies en concertation entre les secteurs d'activité clinique et le laboratoire. Constats Oui L'établissement définit un processus de prise en charge des patients devant bénéficier d'un examen de biologie médicale. NA E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Des outils et Conseils d'aide à la prescription, aux prélèvements et au transport sont mis à disposition et connus des professionnels. En grande partie Les demandes d'analyse sont identifiées, argumentées (renseignements cliniques, motif de l'examen), datées et signées. En grande partie Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 195 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Les pratiques sont évaluées, et des actions d'amélioration sont mises en œuvre. Constats En grande partie Les délais de transmission des résultats répondent aux besoins des secteurs d'activité, avec une attention particulière portée aux urgences et aux résultats critiques. Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 196 Référence 21: La prise en charge des analyses de biologie médicale Critère 21.b Démarche qualité en laboratoire de biologie médicale Ce critère n'est pas applicable aux établissements ne disposant pas de laboratoire de biologie. Cotation NA E1 Prévoir Réponses aux EA Le laboratoire de biologie médicale développe une politique institutionnelle de management de la qualité, en tenant compte de l'évolution de la réglementation qui conduit à l'accréditation. NA E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA La démarche qualité est mise en œuvre, avec des échéances déterminées, compatibles avec le respect de la réglementation. NA E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Des actions d'évaluation sont menées, et s'inscrivent dans le programme d'amélioration de la qualité du laboratoire de biologie médicale. Constats Constats Constats NA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 197 Référence 22: La prise en charge des examens d'imagerie médicale Critère 22.a - Court Séjour Demande d'examen et transmission des résultats Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Des règles de fonctionnement sont définies, en concertation entre les secteurs d'activité clinique et les secteurs d'imagerie (y compris externalisés). Oui L'établissement définit un processus de prise en charge des patients devant bénéficier d'un examen d'imagerie médicale. NA E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Des outils d'aide à la demande des examens sont mis à la disposition des professionnels. Les demandes médicales d'examen d'imagerie sont identifiées, justifiées (renseignements cliniques, motif de l'examen), datées et signées. Constats Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. Constats En grande partie En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 198 L'établissement coordonne la réalisation des examens prescrits par le médecin traitant ou hospitalier. E3 Evaluer et améliorer NA Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. Réponses aux EA Les pratiques sont évaluées, et des actions d'amélioration sont mises en œuvre. Constats Partiellement Les délais de transmission des résultats répondent aux besoins des secteurs d'activité avec une attention particulière aux urgences et aux résultats critiques. En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 199 Référence 22: La prise en charge des examens d'imagerie médicale Critère 22.b Démarche qualité en service d'imagerie Ce critère n'est pas applicable aux établissements ne disposant pas de service d'imagerie. Cotation NA E1 Prévoir Réponses aux EA Les secteurs développent un système d'assurance de la qualité. E2 Mettre en oeuvre NA Réponses aux EA Les examens sont réalisés dans le respect des bonnes pratiques. E3 Evaluer et améliorer Constats NA Réponses aux EA Des actions d'évaluation sont menées, et s'inscrivent dans le programme d'amélioration de la qualité en imagerie. Constats Constats NA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 200 Référence 23: l'éducation thérapeutique à destination du patient et de son entourage Critère 23.a - Court Séjour Education thérapeutique du patient Cotation C E1 Prévoir Réponses aux EA L'offre de programmes d'éducation thérapeutique, au sein de l'établissement et au sein du territoire de santé, est identifiée. Oui Les maladies ou situations nécessitant l'élaboration d'une démarche structurée d'éducation thérapeutique du patient (ETP), intégrée à sa prise en charge, sont identifiées. Une coordination avec les professionnels extrahospitaliers et les réseaux est organisée. Constats Oui En grande partie Une convention concernant la coordination avec les professionnels extra-hospitaliers est conclue entre l'établissement et les services d'hospitalisation à domicile. Des relations de coopération avec différents prestataires sont établies, notamment pour le matériel nécessaire à certains patients en cas de maintien à domicile (patients stomisés), pour l'allaitement en maternité avec les services de PMI, avec les nutritionnistes dans le cadre du suivi des patients obèses opérés. Cependant, ce dispositif n'est pas organisé. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 201 E2 Mettre en oeuvre Selon la nature des besoins et des attentes des patients, des programmes d'ETP autorisés sont proposés aux patients et mis en œuvre. Si l'établissement de santé ne met pas en œuvre de programme autorisé, il lui est demandé de proposer au patient une inscription dans un programme autorisé dans son environnement proche, en lui ayant présenté l'intérêt de l'ETP pour la gestion de sa maladie. Réponses aux EA Constats Partiellement Les programmes d'éducation thérapeutique sont proposés au patient seulement dans le cadre de la prise en charge de l'obésité. Ces programmes n'ont pas fait l'objet d'autorisation, l'établissement est en partenariat avec la clinique de La Sauvegarde. L'établissement définit, dans son plan, une formation à l'ETP (sensibilisation des professionnels impliqués dans la prise en charge des maladies chroniques, et acquisition de compétences pour ceux qui mettent en œuvre un programme d'ETP). Partiellement Une sensibilisation a été conduite. Le plan de formation 2012 ne fait pas état de la formation à l'éducation thérapeutique du patient. C'est un projet pour 2013. E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Constats L'évaluation des conditions d'accès et de mise en œuvre des programmes d'ETP (patients, professionnels de santé impliqués) donne lieu à des actions d'amélioration. Partiellement L'évaluation est très partielle, il s'agit de l'exploitation des questionnaires de satisfaction et des items sur la satisfaction du patient sur les informations reçues durant l'hospitalisation et sur les brochures d'information remises. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 202 Référence 24: La sortie du patient Critère 24.a - Court Séjour Sortie du patient Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA La sortie ou le transfert du patient sont organisés en fonction du type de prise en charge et de son état clinique. Les professionnels d'aval sont associés à l'organisation de la sortie ou du transfert (demande d'avis, visite, staff pluridisciplinaire, réseaux ville-hôpital, etc.), lorsque la situation le nécessite. Le patient et son entourage sont associés à la planification et à la préparation de la sortie ou du transfert. E2 Mettre en oeuvre Oui Oui Oui Réponses aux EA Les informations nécessaires à la continuité de la prise en charge sont transmises aux professionnels d'aval dans les règles de confidentialité. Constats Constats Oui POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 203 Les documents nécessaires au suivi du patient lui sont remis. Un courrier de fin d'hospitalisation est transmis aux correspondants d'aval dans les délais réglementaires. E3 Evaluer et améliorer Oui Partiellement Compte tenu de la classe pour l'indicateur "Délai d'envoi du courrier de fin d'hospitalisation" et de sa valeur de 26 % avec un intervalle de confiance à 95 % = [17 % - 36 %] pour la campagne de recueil 2011. Réponses aux EA La qualité de la transmission des informations nécessaires à la continuité de la prise en charge en aval est évaluée. La pertinence des orientations à la sortie ou lors du transfert est évaluée. Oui Constats L'établissement recueille l'indicateur "Délai d'envoi du courrier de fin d'hospitalisation". Il a mis en oeuvre d'autres modalités d'évaluation (évaluation de dossiers semestrielle). Non Des actions d'amélioration sont mises en place. En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 204 PARTIE 4. PRISES EN CHARGE SPÉCIFIQUES POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 205 Référence 25: La prise en charge dans le service des urgences Critère 25.a Prise en charge des urgences et des soins non programmés Ce critère est applicable uniquement aux établissements disposant d'une autorisation d'accueil et de traitement des urgences. Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA L'organisation du service des urgences au sein du réseau des urgences est formalisée, et connue des acteurs du territoire de santé. Le recours aux avis spécialisés permettant de répondre aux besoins des patients est organisé et formalisé. Partiellement Oui Constats Le service des urgences de la polyclinique est intégré au réseau régional. Un règlement intérieur du service des urgences a été rédigé et validé en 2006. Cependant, au vu des réorganisations et des évolutions réglementaires, ce règlement n'est plus adapté à la réalité du terrain et devrait être réactualisé. Une procédure décrit les modalités d'admission des patients des urgences vers les services d'hospitalisation. Cependant, l'établissement n'a pas mis en place de commission des admissions et des consultations non programmées. La procédure de recours aux avis spécialisés est incluse au règlement intérieur du service des urgences. Les listes de gardes et astreintes sont actualisées, diffusées et disponibles dans l'ensemble des services de soins. La polyclinique a signé plusieurs conventions permettant le transfert de patients pour des pathologies spécifiques avec la réanimation du centre hospitalier, une clinique pour les avis ou hospitalisations en psychiatrie et récemment avec la POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 206 Oui maison médicale de garde. Une charte de pédiatrie permet le transfert des enfants pour avis ou hospitalisation. Les circuits de prise en charge sont définis et formalisés, selon le degré d'urgence et la typologie des patients (soins immédiats, soins rapides non immédiats, patients debout, patients couchés, traumatologie, filières spécifiques, etc.). En grande partie E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Constats Oui La polyclinique a mis en place un logiciel informatique permettant de connaître la disponibilité des lits dans l'ensemble des secteurs d'hospitalisation. Ce logiciel est actualisé en temps réel, par du personnel formé. Il est accessible à l'ensemble des professionnels. La disponibilité des lits d'hospitalisation est analysée en temps réel. Les professionnels sont formés à l'accueil et à l'orientation des patients. L'établissement a développé une offre spécifique pour la prise en charge de soins non programmés directement dans les secteurs de soins (consultations, hospitalisations directes). En grande partie Oui Au sein du service des urgences, les circuits sont organisés avec des salles dédiées selon les motifs d'admission et la gravité des patients (salle de déchoquage, salle de traumatologie...). Des filières spécifiques ont été définies et validées pour la prise en charge de populations particulières, parmi lesquelles les enfants, les malades psychiatriques, les AVC, les syndromes coronariens aigus. Il n'existe que très peu de protocoles médicaux ou paramédicaux formalisés au sein de l'établissement. Le service des urgences n'a pas rédigé de protocoles spécifiques de prise en charge. Au sein du service des urgences, la majorité des infirmières ont été formées à l'accueil et à l'orientation des patients. En raison de l'arrivée dans le service de nouvelles infirmières, la formation IAO a été reconduite et inscrite au plan de formation 2012 de l'établissement. Les patients peuvent bénéficier d'une prise en charge pour des soins non programmés en dehors du passage aux urgences. Les consultations peuvent être accessibles en urgence, et les patients peuvent être admis directement dans un service d'hospitalisation complète ou ambulatoire, y compris pour des soins non programmés. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 207 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Le suivi des temps d'attente et de passage, selon le degré d'urgence, est en place. Le recueil et l'analyse des dysfonctionnements sont réalisés. Les actions d'amélioration sont définies avec les professionnels ainsi que les représentants des usagers, et sont mises en œuvre. En grande partie Oui Oui Constats L'établissement a installé un logiciel informatique spécifique aux urgences. Celui-ci permet le recueil de l'heure d'arrivée, de l'heure de prise en charge soignante et de l'heure de sortie de chaque patient. Ces données permettent l'analyse des temps de passage et d'attente aux urgences. Actuellement, et en raison de la mise en place relativement récente de ce logiciel, il n'y a que peu d'exploitation des grilles et des tableaux issus de ces données pour l'instant. Les dysfonctionnements liés au service des urgences sont recueillis de différentes manières : le circuit classique des fiches d'événements indésirables, un registre (type main courante) répertoriant les incidents n'ayant pas donné lieu à l'élaboration d'une fiche d'événement indésirable et l'analyse de quelques cas en RMM. Une RMM réalisée à partir d'un événement indésirable survenu avec un patient des urgences a permis la mise en place d'actions d'amélioration. Les résultats des questionnaires de satisfaction sont présentés en CRU. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 208 Référence 26: Le fonctionnement des secteurs d'activité interventionnelle Critère 26.a Organisation du bloc opératoire Ce critère est applicable uniquement aux établissements disposant d'un bloc opératoire. Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Le secteur d'activité a identifié, analysé et hiérarchisé ses processus à risques, en vue d'établir le programme d'actions préventives et de surveillance, avec des objectifs précis et opérationnels. Une démarche qualité, documentée et actualisée, assurant la sécurité de la prise en charge du patient, est en place (elle comprend l'ensemble des dimensions, y compris la gestion des locaux et des équipements). En grande partie En grande partie Constats Une cartographie des risques du bloc opératoire est actuellement en cours d'élaboration afin d'inclure l'ensemble des processus concernant la prise en charge, l'interventionnel et les fonctions support. Un document identifie la plupart des risques, sans qu'ils aient été analysés ni hiérarchisés en fonction de la criticité. Le document n'a pas été présenté en conseil de bloc. Des actions de prévention et de surveillance sont en place. Une démarche qualité visant à assurer la sécurité de la prise en charge du patient au bloc opératoire est en place. Il n'a pas été possible de retrouver la trace d'un engagement formalisé de la direction de l'établissement. Des procédures de test et de contrôles sont en place et utilisées régulièrement. La maintenance préventive et curative des équipements présents au bloc opératoire est effective. L'organisation du travail et les responsabilités des acteurs sont définies. Néanmoins, il n'existe pas de salle dédiée à la prise en charge des urgences vitales obstétricales. La formation des POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 209 En grande partie La Charte de fonctionnement, définie et validée par un Conseil de bloc, précise les modes de fonctionnement des circuits de prise en charge, dont l'ambulatoire et les urgences, et établit les responsabilités et les modalités d'élaboration et de régulation des programmes opératoires. L'échange d'informations nécessaires à la prise en charge du patient est organisé entre le bloc opératoire, les secteurs d'activité clinique, médico-technique, technique et logistique. Le système d'information du bloc opératoire est intégré au système d'information hospitalier. En grande partie En grande partie En grande partie professionnels n'est pas systématique. La gestion des événements indésirables graves s'effectue via les fiches d'événements indésirables et les réunions informelles et fréquentes du bloc opératoire. L'évaluation est réalisée par l'analyse des fiches d'événements indésirables. Une charte de fonctionnement du bloc opératoire existe et a été validée en 2003. Elle est actuellement en cours de réactualisation depuis fin 2011 suite à la nouvelle réorganisation du bloc opératoire et à la nomination d'un nouveau conseil de bloc. Cette charte précise les modalités d'élaboration et de régulation des plages de bloc opératoire, incluant les urgences chirurgicales. La coordination entre bloc opératoire et services de soins est organisée. Les responsables des différents secteurs d'hospitalisation (conventionnelle et ambulatoire) et du bloc travaillent de concert. Il existe des fiches de liaison service-bloc (version papier) ainsi qu'un logiciel de prescription utilisé dès la SSPI pour les prescriptions postopératoires et le retour en secteur d'hospitalisation. Les programmes de bloc opératoire sont établis en concertation, diffusés et affichés dans les secteurs de chirurgie et au bloc. Le dossier du patient inclut le dossier d'anesthésie (qui demeure en version papier en pré- et peropératoire). Cependant, la valeur de l'indicateur « Tenue du dossier d'anesthésie » de 73 avec un intervalle de confiance de [70 - 76] pour la campagne de recueil 2011 montre au regard de la valeur seuil des 80 un potentiel d'amélioration. Plusieurs logiciels informatiques cohabitent au bloc opératoire : l'un commun à la SSPI et aux services de soins, l'autre permettant la programmation du planning des interventions, ainsi que la mesure et le recueil d'indicateurs spécifiques. Le SIH intègre ces logiciels. Néanmoins, il n'existe pas de système d'information permettant la gestion des soins POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 210 peropératoires. En grande partie E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Un responsable régule les activités du bloc opératoire afin de garantir le respect de la programmation et la sécurité du patient. La check-list « Sécurité du patient au bloc opératoire » est mise en œuvre pour toute intervention de l'équipe opératoire. La traçabilité des dispositifs médicaux implantables et des actes, incluant les vérifications effectuées, est assurée. Oui Oui Oui Constats Une responsable de bloc opératoire est identifiée avec une fiche de fonction récemment actualisée. Elle régule les activités du bloc en coordonnant les différents modes de prise en charge (conventionnelle et ambulatoire). Le respect du programme opératoire est suivi quotidiennement avec élaboration de statistiques mensuelles d'indicateurs définis (nombre d'interventions urgentes rajoutées au programme, nombre d'interventions chirurgicales prévues et annulées...). Les dysfonctionnements sont recueillis et analysés en conseil de bloc ou plus rapidement en cellule de crise en fonction de la gravité du problème. La check-list "Sécurité du patient au bloc opératoire" est mise en place au sein de l'établissement. Son utilisation et la conformité de son utilisation sont évaluées au travers d'audits réalisés par la cellule qualité. L'analyse de ces audits a permis la mise en place d'actions d'amélioration afin d'augmenter le taux de conformité des renseignements tracés sur la check-list. Cette dernière est retrouvée dans la majorité des dossiers de patients opérés. Un dispositif de traçabilité des DMI est en place, sous la responsabilité de la pharmacie. La traçabilité des actes s'effectue via la fiche d'anesthésie papier, le registre de bloc présent dans chaque salle opératoire, les codes-barres ou étiquettes des DMI et instruments utilisés systématiquement collés dans le dossier patient. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 211 Les pratiques professionnelles s'appuient sur des procédures issues de documents de référence actualisés et validés. E3 Evaluer et améliorer Partiellement Il existe peu de protocoles médicaux ou de procédures issues de documents de référence des sociétés savantes. Seules quelques procédures communes à l'établissement sont appliquées au bloc et disponibles par l'intranet. Les praticiens assurent pour la plupart une formation médicale continue qui permet d'adapter leurs pratiques professionnelles aux nouvelles recommandations ou techniques. Réponses aux EA Le suivi d'indicateurs quantitatifs (activité, efficience, etc.) et qualitatifs (événements indésirables, délais) est assuré, et des actions d'amélioration sont mises en œuvre. Oui Constats L'établissement suit des indicateurs quantitatifs (nombre d'interventions, taux d'occupation des salles, temps de passage, nombre de check-lists, TROS...) ainsi que des indicateurs qualitatifs (événements indésirables graves signalés et analysés, EPP menée sur les erreurs de côté...). Ces indicateurs sont régulièrement suivis grâce au logiciel informatisé présent au bloc et analysés par le directeur financier qui les restitue de manière régulière aux cadres de service et ponctuelle aux praticiens en CME. Une RMM de chirurgie est en place, et permet d'analyser certains événements indésirables survenus au bloc opératoire. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 212 Référence 26: Organisation des autres secteurs d'activité à risque majeur: radiothérapie, médecine nucléaire et endoscopie Critère 26.b - Radiothérapie Organisation des autres secteurs d'activité à risque majeur Cotation NA E1 Prévoir Réponses aux EA Le secteur d'activité a identifié, analysé et hiérarchisé ses processus à risques, en vue d'établir le programme d'actions préventives et de surveillance, avec des objectifs précis et opérationnels. NA Une démarche qualité, documentée et actualisée, assurant la sécurité de la prise en charge du patient, est en place. NA L'échange d'informations nécessaires à la prise en charge du patient est organisé avec les autres secteurs d'activité clinique, médico-technique et logistique. NA Le système d'information est intégré au système d'information hospitalier. E2 Mettre en oeuvre Constats NA Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 213 Un responsable identifié régule les activités, afin de garantir le respect de la programmation et la sécurité du patient. NA Les pratiques professionnelles s'appuient sur des procédures issues de documents de référence actualisés et validés. NA La traçabilité des dispositifs médicaux implantables, des actes et des vérifications est assurée. NA E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Un recueil et une analyse des événements indésirables, avec retour d'expérience aux professionnels, permettent la définition et la mise en œuvre d'actions d'amélioration. NA La réalisation d'audits et le suivi d'indicateurs quantitatifs et qualitatifs permettent la mise en place d'actions d'amélioration. Constats NA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 214 Référence 26: Organisation des autres secteurs d'activité à risque majeur: radiothérapie, médecine nucléaire et endoscopie Critère 26.b - Médecine nucléaire Organisation des autres secteurs d'activité à risque majeur Cotation NA E1 Prévoir Réponses aux EA Le secteur d'activité a identifié, analysé et hiérarchisé ses processus à risques, en vue d'établir le programme d'actions préventives et de surveillance, avec des objectifs précis et opérationnels. NA Une démarche qualité, documentée et actualisée, assurant la sécurité de la prise en charge du patient, est en place. NA L'échange d'informations nécessaires à la prise en charge du patient est organisé avec les autres secteurs d'activité clinique, médico-technique et logistique. NA Le système d'information est intégré au système d'information hospitalier. E2 Mettre en oeuvre Constats NA Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 215 Un responsable identifié régule les activités, afin de garantir le respect de la programmation et la sécurité du patient. NA Les pratiques professionnelles s'appuient sur des procédures issues de documents de référence actualisés et validés. NA La traçabilité des dispositifs médicaux implantables, des actes et des vérifications est assurée. NA E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Un recueil et une analyse des événements indésirables, avec retour d'expérience aux professionnels, permettent la définition et la mise en œuvre d'actions d'amélioration. NA La réalisation d'audits et le suivi d'indicateurs quantitatifs et qualitatifs permettent la mise en place d'actions d'amélioration. Constats NA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 216 Référence 26: Organisation des autres secteurs d'activité à risque majeur: radiothérapie, médecine nucléaire et endoscopie Critère 26.b - Endoscopie Organisation des autres secteurs d'activité à risque majeur Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Le secteur d'activité a identifié, analysé et hiérarchisé ses processus à risques, en vue d'établir le programme d'actions préventives et de surveillance, avec des objectifs précis et opérationnels. Une démarche qualité, documentée et actualisée, assurant la sécurité de la prise en charge du patient, est en place. En grande partie En grande partie Constats La salle d'endoscopie se trouve au sein du bloc opératoire. L'établissement n'a pas identifié les processus à risques spécifiques du secteur d'endoscopie. Les seuls risques identifiés correspondent aux processus communs du bloc opératoire. Des actions de surveillance sont en place : appel du lendemain en unité de chirurgie ambulatoire, surveillance bactériologique, protocoles de désinfections endoscopiques. La polyclinique a également mis en place des actions de prévention telles que l'utilisation de la check-list endoscopie, la feuille de détection du risque MCJ... Le secteur d'endoscopie est organisé. Le planning des endoscopies est élaboré en concertation avec les autres secteurs d'hospitalisation, en particulier avec l'unité de chirurgie ambulatoire. L'organisation permet l'intégration des actes en urgence. Le personnel dédié au secteur d'endoscopie est formé à la prise en charge et à la désinfection des endoscopes. Un système de traçabilité des désinfections est en place. Il n'existe pas de système d'information documentaire POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 217 actualisé. En grande partie L'échange d'informations nécessaires à la prise en charge du patient est organisé avec les autres secteurs d'activité clinique, médico-technique et logistique. Le système d'information est intégré au système d'information hospitalier. E2 Mettre en oeuvre Oui En grande partie Il existe une bonne communication entre les différents services et le secteur d'endoscopie. Une fiche de liaison inter-service est en place et suit le patient. Le planning des RCP est connu des professionnels concernés. Une convention a été signée entre la polyclinique et un laboratoire d'anatomo-pathologie pour le traitement des prélèvements réalisés sous endoscopie. Un logiciel informatique permet la planification des endoscopies demandées par les différents secteurs (hospitalisation, consultations, urgences). On retrouve la traçabilité de la prise en charge des patients, ainsi que des actes et des professionnels médicaux ayant pris en charge le patient dans un registre de salle. Il n'y a pas d'informatisation de la gestion des actes, ni de la traçabilité de l'utilisation des endoscopes. Réponses aux EA Un responsable identifié régule les activités, afin de garantir le respect de la programmation et la sécurité du patient. Les pratiques professionnelles s'appuient sur des procédures issues de documents de référence actualisés et validés. Oui En grande partie Constats Un responsable du secteur d'endoscopie est identifié et gère également le secteur des soins externes. Il travaille en concertation avec la chef de bloc opératoire. L'organisation permet l'intégration des rares urgences endoscopiques dans le programme en cours, mis en place la possibilité de réaliser des endoscopies en urgence, hors jours et heures ouvrables, avec le personnel infirmier d'astreinte du bloc, formé à cet effet. Des procédures d'hygiène et d'organisation générale sont en place sur le secteur d'endoscopie. Une EPP réalisée par un gastro-entérologue a été menée sur la pertinence du bilan de coagulation avant les coloscopies. La check-list endoscopie digestive est en place et est POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 218 En grande partie La traçabilité des dispositifs médicaux implantables, des actes et des vérifications est assurée. E3 Evaluer et améliorer Un recueil et une analyse des événements indésirables, avec retour d'expérience aux professionnels, permettent la définition et la mise en œuvre d'actions d'amélioration. La réalisation d'audits et le suivi d'indicateurs quantitatifs et qualitatifs permettent la mise en place d'actions d'amélioration. utilisée. Un audit a été mené sur 187 dossiers au mois de janvier 2012 permettant de pointer les dysfonctionnements et de proposer des actions d'amélioration. Oui La traçabilité des DMI est réalisée en concertation avec la pharmacie. La traçabilité des actes est effectuée sur le registre de bloc. La traçabilité de vérification des feuilles d'ouverture de salle et des contrôles de stérilisation est effective. Réponses aux EA Constats En grande partie Les événements indésirables sont déclarés via le circuit classique de déclaration (fiche d'événement indésirable). L'établissement n'a recueilli que très peu d'événements indésirables liés au secteur d'endoscopie. De rares événements graves ont été analysés en RMM chirurgicale. En grande partie La polyclinique réalise le suivi d'indicateurs d'activité du secteur d'endoscopie. Un audit sur l'utilisation de la check-list endoscopie digestive a été mené. Le recueil de la satisfaction des patients est réalisé via les questionnaires de satisfaction. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 219 Référence 26: Le fonctionnement des secteurs d'activité interventionnelle Critère 26.c Don d'organes et de tissus à visée thérapeutique Ce critère est applicable uniquement aux établissements de santé ayant une prise en charge MCO, hors établissements d'HAD. Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA L'établissement a formalisé sa participation aux activités ou à un réseau de prélèvement d'organes et de tissus. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Les professionnels sont sensibilisés au don d'organes et de tissus à visée thérapeutique, et sont formés, notamment en matière d'information des familles. En grande partie Dans les établissements autorisés, les bonnes pratiques de prélèvement sont mises en œuvre. E3 Evaluer et améliorer Constats NA Constats Au vu du contexte de l'établissement, cet élément est non applicable. Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 220 Les activités relatives au don d'organes et de tissus à visée thérapeutique sont évaluées, et des actions d'amélioration sont mises en œuvre. Non POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 221 Référence 27: Les activités de soins de suite et de réadaptation Critère 27.a Activités de soins de suite et de réadaptation Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA L'échange d'informations nécessaires à la prise en charge du patient et à la continuité des soins est organisé entre secteurs de soins de suite et de réadaptation, activités clinique, médico-technique, technique et logistique. E2 Mettre en oeuvre En grande partie Réponses aux EA Le projet personnalisé de prise en charge, qui comprend une activité de soins de suite et de réadaptation, est élaboré avec le patient, son entourage, et en concertation avec tous les professionnels concernés. Constats Constats En grande partie E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Le suivi d'indicateurs quantitatifs et qualitatifs est assuré, et des actions d'amélioration sont mises en œuvre. Constats En grande partie POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 222 PARTIE 5. EVALUATION DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 223 Référence 28: l'évaluation des pratiques professionnelles Critère 28.a Mise en oeuvre des démarches d'évaluation des pratiques professionnelles Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Les différents secteurs d'activité clinique ou médicotechnique organisent la mise en œuvre des démarches d'EPP. Des analyses de la mortalité-morbidité sont organisées dans les secteurs de chirurgie, d'anesthésie-réanimation et de cancérologie. Des réunions de concertation pluridisciplinaire sont organisées dans le cadre de la prise en charge des patients en cancérologie. E2 Mettre en oeuvre Constats Oui En grande partie Partiellement Des RMM sont menées depuis plusieurs mois dans les secteurs de chirurgie et d'anesthésie-réanimation, regroupées dans une charte de fonctionnement commune. Le secteur d'oncologie n'a pas formalisé de fonctionnement pour une RMM spécifique. Compte tenu de la classe pour l'indicateur "Réunion de concertation pluridisciplinaire" et de sa valeur de 42 avec un intervalle de confiance à 95 % = [29-54] pour la campagne de recueil de 2011. Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 224 Les différents secteurs d'activité clinique et médicotechnique mettent en œuvre des démarches d'EPP. Oui L'engagement des professionnels est effectif. Partiellement Des actions de communication relatives aux démarches d'EPP et à leurs résultats sont mises en œuvre. E3 Evaluer et améliorer En grande partie Réponses aux EA Les différents secteurs d'activité clinique et médicotechnique mesurent l'impact des démarches d'EPP sur l'évolution des pratiques. Les différents secteurs d'activité clinique et médicotechnique évaluent l'organisation mise en place afin de favoriser l'adhésion continue des professionnels aux démarches d'EPP. Constats Partiellement Partiellement POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 225 Référence 28: l'évaluation des pratiques professionnelles Critère 28.b Pertinence des soins Cotation C E1 Prévoir Réponses aux EA Les enjeux liés à la pertinence des soins sont identifiés au sein de l'établissement. E2 Mettre en oeuvre L'établissement n'a identifié que très peu d'enjeux liés à la pertinence des soins. Réponses aux EA Des analyses de la pertinence des soins sont réalisées, et permettent la mise en œuvre d'actions d'amélioration. Des guides de bon usage des soins sont mis à la disposition des professionnels. E3 Evaluer et améliorer Partiellement Constats Partiellement En grande partie Constats Des EPP liées à la pertinence de soins initiés en 2007 n'ont pas été poursuivies. D'autres thèmes d'analyse de pertinence ont été proposés en novembre 2011 mais n'en sont qu'à l'étape 2. Des guides de bon usage sont utilisés dans le cadre des EPP (douleur, antibiotique...). Chaque thématique fait référence à des données issues de la littérature. Le projet de soins intègre des protocoles soignants. La plupart de ces guides sont consultables sur l'intranet de l'établissement. Réponses aux EA POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 Constats 226 Les différents secteurs d'activité clinique et médicotechnique assurent le suivi des actions d'amélioration et mesurent l'impact sur l'évolution des pratiques. Partiellement Très peu de revues de pertinence sont engagées au sein de l'établissement. A ce jour, elles n'ont donné lieu qu'à de rares actions d'amélioration qui n'ont pas permis de mesurer l'impact sur les pratiques. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 227 Référence 28: l'évaluation des pratiques professionnelles Critère 28.c Démarches EPP liées aux indicateurs de pratique clinique Cotation C E1 Prévoir Réponses aux EA L'établissement identifie les indicateurs de pratique clinique pertinents au regard de ses activités. E2 Mettre en oeuvre Partiellement Constats L'établissement n'a identifié que peu d'indicateurs de pratique clinique en lien avec ses activités. Réponses aux EA L'établissement recueille et analyse les indicateurs de pratique clinique choisis. Une démarche d'amélioration est mise en œuvre à partir du recueil des indicateurs, lorsque la valeur de l'indicateur le justifie. Partiellement Partiellement Constats Très peu d'indicateurs de pratique clinique ont été choisis pour être à la base d'une démarche d'amélioration. Le faible taux d'EVA recueilli en maternité a donné lieu à une nouvelle EPP sur la « douleur chez les césarisée », actuellement en cours de mise en place d'actions d'amélioration. L'établissement n'a pas recensé l'ensemble des indicateurs de pratique clinique relatifs à ses activités. Très peu d'indicateurs de pratique clinique ont été choisis pour être à la base d'une démarche d'amélioration. Le faible taux d'EVA recueilli en maternité a donné lieu à une nouvelle EPP sur la "douleur chez les césarisées", actuellement en cours de mise en place d'actions POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 228 d'amélioration. Partiellement E3 Evaluer et améliorer L'établissement révise régulièrement la liste des indicateurs analysés. Réponses aux EA Constats Partiellement L'établissement a formalisé un tableau de bord récapitulatif de tous les indicateurs qualitatifs et quantitatifs recueillis dans les différents secteurs. Parmi ceux-là, figurent quelques indicateurs de pratique clinique dont la liste est actualisée de manière irrégulière. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 229 6.INDICATEURS DE LA HAUTE AUTORITE DE SANTE POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 230 Les indicateurs généralisés actuellement recueillis La Haute Autorité de Santé s'est engagée en 2008 dans la première campagne de généralisation du recueil d'indicateurs de qualité. Le détail des indicateurs généralisés est disponible sur le site internet de la Haute Autorité de Santé : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_493937/ipaqss-indicateurs-pour-l-amelioration-de-la-qualite-et-de-la-securite-desEléments de lecture du tableau Le tableau présente pour chaque année de recueil la valeur de chaque indicateur recueilli par l'établissement ainsi que l'intervalle de confiance de la valeur et le positionnement (en classe +, =, -, Non répondant) de l'établissement par rapport à la valeur seuil fixée à 80%. La valeur de l'indicateur correspond au résultat de l'indicateur pour l'établissement. L'intervalle de confiance (IC) à 95% est l'intervalle dans lequel il y a 95 chances sur 100 de trouver la vraie valeur de l'indicateur pour l'établissement. Chaque année et pour chaque indicateur, la valeur obtenue par l'établissement est répartie en quatre classes : +, =, -, Non répondant. Les trois premières classes ont été définies en comparant l'intervalle de confiance (IC) à 95% du score de l'établissement à la valeur seuil 80% pour cet indicateur. Une quatrième classe a été créée pour les « Non répondant ». - La classe + correspond aux valeurs de résultats significativement supérieures à la valeur seuil. - La classe = correspond aux valeurs des résultats non significativement différents de la valeur seuil. - La classe - correspond aux résultats significativement inférieurs à la valeur seuil. - La classe Non répondant est composée des établissements non répondant. Remarque : 1. Pour une meilleure lisibilité des résultats, les scores de qualité I1TDP et I1 TDA ont été multipliés par 100. 2. Si la taille de l'échantillon de dossiers de séjours est trop petite, inférieure ou égale à 30 ("Effectif avec N inférieur ou égal à 30"), la méthode statistique de classement fondée sur le calcul de l'intervalle de confiance ne peut pas s'appliquer. L'intervalle de confiance n'est pas calculé et l'établissement n'est pas positionné selon les classes. Le recueil et la valeur des indicateurs sont pris en compte dans le rapport de certification pour apprécier les critères pour lequel un indicateur est disponible. Le tableau suivant présente synthétiquement les résultats obtenus par l'établissement au regard de l'ensemble des indicateurs recueillis chaque année. POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 231 Etablissement : POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS (690807367) Résultats des indicateurs de qualité Dossier d'anesthésie - Champ MCO Référence Nationale Année 2009 Moyenne Nationale Libellé indicateur Tenue du dossier d'anesthésie (score sur 100) Nb d'ES Valeur 1015 75 Année 2010 Objectif national à atteindre Moyenne Nationale NA Nb d'ES Valeur 1012 80 Année 2011 Objectif national à atteindre Moyenne Nationale 80 Nb d'ES Valeur 1004 84 Année 2012 Objectif national à atteindre Moyenne Nationale Nb d'ES Valeur Objectif national à atteindre 80 Etablissement : POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS (690807367) Année 2009 Recueil obligatoire : Oui Libellé indicateur Tenue du dossier d'anesthésie (score sur 100) Posit. par Valeur rapport à IC à 95% la moy. nat. 67 [64 - 70] Atteinte objectif nat. NA Evol. année préc. Année 2010 Recueil obligatoire : Oui Posit. par Valeur rapport à IC à 95% la moy. nat. 65 [63 - 68] Atteinte objectif nat. (-) Evol. année préc. Année 2011 Recueil obligatoire : Oui Posit. par Valeur rapport à IC à 95% la moy. nat. 73 [70 - 76] Atteinte objectif nat. (-) Evol. année préc. Année 2012 Recueil obligatoire : Posit. par Valeur rapport à IC à 95% la moy. nat. Atteinte objectif nat. Evol. année préc. Etablissement : POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS (690807367) Résultats des indicateurs de qualité Dossier du Patient - Champ MCO Référence Nationale Année 2009 Moyenne Nationale Libellé indicateur Nb d'ES Valeur Tenue du dossier patient (score sur 100) 1144 70 Délai d'envoi du courrier de fin d'hospitalisation (%) 1141 Traçabilité de l'évaluation la douleur (%) Dépistage des troubles nutritionnels - Niveau 1 (%) Année 2010 Objectif national à atteindre Moyenne Nationale Nb d'ES Valeur 80 1212 72 34 80 1195 1144 52 80 1136 75 80 Année 2011 Objectif national à atteindre Moyenne Nationale Année 2012 Objectif national à atteindre Nb d'ES Valeur 80 1206 76 80 40 80 1192 48 80 1212 61 80 1206 73 80 1200 79 80 1196 84 80 Moyenne Nationale Nb d'ES Valeur Objectif national à atteindre Etablissement : POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS (690807367) Année 2009 Recueil obligatoire : Oui Libellé indicateur Posit. par Valeur rapport à IC à 95% la moy. nat. Atteinte objectif nat. Evol. année préc. Année 2010 Recueil obligatoire : Oui Posit. par Valeur rapport à IC à 95% la moy. nat. Atteinte objectif nat. Evol. année préc. NA 51 [47 - 54] (-) 59 [56 - 62] (-) 18 [9 - 26] (-) 40 [29 - 51] Traçabilité de l'évaluation la douleur (%) 79 [70 - 88] (=) Dépistage des troubles nutritionnels - Niveau 1 (%) 86 [79 - 94] (=) Tenue du dossier patient (score sur 100) Délai d'envoi du courrier de fin d'hospitalisation (%) Année 2011 Recueil obligatoire : Oui Posit. par Valeur rapport à IC à 95% la moy. nat. Atteinte objectif nat. 64 [62 - 67] (-) (-) 26 [17 - 36] (-) 83 [74 - 91] (=) 80 [71 - 89] (=) 99 [96 - 100] (+) 91 [85 - 97] (+) Evol. année préc. Année 2012 Recueil obligatoire : Posit. par Valeur rapport à IC à 95% la moy. nat. Atteinte objectif nat. Evol. année préc. Etablissement : POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS (690807367) Résultats des indicateurs de qualité Réunion de concertation pluridisciplinaire - Champ MCO Référence Nationale Année 2011 Moyenne Nationale Libellé indicateur Niveau 2 - la trace d'une réunion de concertation pluridisciplinaire datée, comportant la proposition de prise en charge et réalisée avec au moins trois professionnels de spécialités différentes est retrouvée dans le dossier du patient (RCP 2) (%) Nb d'ES Valeur 656 70 Année 2012 Objectif national à atteindre Moyenne Nationale Nb d'ES Valeur Année 2013 Objectif national à atteindre Moyenne Nationale Nb d'ES Valeur Objectif national à atteindre 80 Etablissement : POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS (690807367) Libellé indicateur Niveau 2 - la trace d'une réunion de concertation pluridisciplinaire datée, comportant la proposition de prise en charge et réalisée avec au moins trois professionnels de spécialités différentes est retrouvée dans le dossier du patient (RCP 2) (%) Année 2011 Recueil obligatoire : Oui Valeur IC à 95% 42 [29 - 54] Posit. par rapport à la moy. nat. Atteinte objectif nat. (-) Année 2012 Recueil obligatoire : Evol. année préc. Valeur IC à 95% Posit. par rapport à la moy. nat. Atteinte objectif nat. Année 2013 Recueil obligatoire : Evol. année préc. Valeur IC à 95% Posit. par rapport à la moy. nat. Atteinte objectif nat. Evol. année préc. 7.BILAN DES CONTROLES DE SECURITE SANITAIRE POLYCLINIQUE DU BEAUJOLAIS / 690807367 / JANVIER 2013 232 17/12/2003 Désinfection des dispositifs médicaux aucun contrôle réalisé Laboratoires d'analyses de biologie médicale NON PRIS EN COMPTE DRASS EN COURS Stérilisation des dispositifs médicaux SUITES DONNÉES PAR L'ÉTABLISSEMENT RÉALISÉ 09/2009 DÉFAVORABLE CRAMRA PHISP Circuit du médicament DÉCISIONS FAVORABLE DATE DU DERNIER CONTRÔLE NON ORGANISME DE CONTRÔLE DOMAINES DE SÉCURITÉ OUI RECOMMAN -DATIONS OBSERVATIONS ÉTABLISSEMENT Inspection dans le cadre de la mise en place de la sous-traitance de la reconstitution des cytotoxiques par le GCS Tonkin-Bayard. NC Infrastructures Commission Sécurité Sécurité incendie - Catégorie 1 et 2 : visite tous les 2 ans Commission Sécurité 20/04/2009 20/04/2009 - Catégorie 3 et 4 : visite tous les 3 ans - Catégorie 5 : absence de visite périodique Sécurité électrique Hygiène alimentaire et eau d'alimentation Commission Sécurité DDPP 20/04/2009 24/11/2011 Le rapport de la DDPP est globalement satisfaisant. Sept nonconformités mineures ont été identifées. Le plan d'action est en cours d'élaboration Commentaire HAS : Les résultats du contrôle DDPP du 24/11/2011 ont été rajoutés après validation de cette fiche par l'ARS. Eaux à usage médical Eaux à usage technique aucun contrôle réalisé aucun contrôle réalisé Eaux chaudes sanitaires aucun contrôle réalisé Déchets à risques infectieux et pièces anatomiques. aucun contrôle réalisé Déchets à risques radioactifs Déchets à risques chimiques et toxiques, effluents liquides NON PRIS EN COMPTE EN COURS RÉALISÉ OBSERVATIONS ÉTABLISSEMENT NC aucun contrôle réalisé ARHRA 0707/2009 Sécurité anesthésique DRASS 05/07/1994 Secteur opératoire DRASS 05/07/1994 Contrôle ASN radioprotection au bloc le 17/02/2011 Imagerie et exploration fonctionnelle Prévention des risques liés à l'inhalation de poussière d'amiante SUITES DONNÉES PAR L'ÉTABLISSEMENT convention de sous-traitance pour les pièces anatomiques reconnaissables avec le centre hospitalier de Villefranche Produits sanguins labiles Radiothérapie DÉFAVORABLE DATE DU DERNIER CONTRÔLE DÉCISIONS FAVORABLE ORGANISME DE CONTRÔLE NON DOMAINES DE SÉCURITÉ OUI RECOMMAN -DATIONS NC aucun contrôle réalisé Contrôle réalisé par l'APAVE le 09/01/2006 ANNEXES SUITE À MODALITÉ(S) DE SUIVI Plans d’actions engageant l’établissement pour la prochaine procédure de certification Le plan d’actions avec échéancier aide l’établissement de santé à pérenniser sa dynamique d’amélioration et l’engage à réfléchir aux modalités d’amélioration à mettre en œuvre pour résoudre les dysfonctionnements constatés dans le rapport de certification, les prioriser et les planifier dans le temps. Ce plan d’actions constitue un document d’entrée dans la procédure suivante. Ces plans d’actions étant le résultat de l’analyse réalisée par l’établissement pour améliorer son organisation et ses pratiques, la Haute Autorité de Santé ne s’engage pas sur la pertinence et la qualité des actions envisagées et/ou entreprises. Dans ce cadre, l’établissement a transmis les plans d’actions suivants CHAPITRE 1 : Management de l'établissement Référence 1 : La stratégie de l'établissement Critère 1.f : Politique et organisation de l'évaluation des pratiques professionnelles PLAN D'ACTION Titre du projet d'amélioration: Valider et mettre en œuvre la stratégie de développement de l’EPP Problematique: E1 – EA1 : Partiellement 1 : Mise à jour de la politique qualité et sécurité des soins intégrant la stratégie de développement de l’EPP E1 – EA2 : En grande partie 1 : Inscrire les modalités de choix des EPP, en concertation entre la direction et la CME, dans la politique qualité et gestion des risques 2 : Inscrire à l’ordre du jour des CME-COPILQUA la validation conjointe des EPP par le bureau de CME et la direction E1 – EA3 : Partiellement 1 : Définir les missions de la CME-COPILQUA et des référents EPP E2 – EA2 : En grande partie 1 : Inscrire à l’ordre du jour de chaque CME-COPILQUA le suivi des EPP : état d’avancement, actions d’amélioration, suivi des indicateurs… E2 – EA3 : En grande partie 1 : Diffuser aux professionnels les orientations stratégiques de la clinique E3 – EA1 : En grande partie 1 : Présenter les démarches d’EPP en CME avec annuellement programme et bilan des actions et avancement des démarches. E3 – EA2 : En grande partie 1 : Réévaluer annuellement la stratégie de développement de l’EPP au regard de l’état d’avancement des EPP et des nouvelles orientations stratégiques de l’établissement Résultats attendus Objectifs intermédiaires Définir une politique d’EPP en lien avec la CME et la direction Objectifs ultimes Favoriser l’appropriation de la démarche d’EPP par tous les professionnels de l’établissement et développer une stratégie d’EPP conjointe entre la CME et la direction selon les thèmes prioritaires d’amélioration définis dans les orientations stratégiques. Responsabilités Chef de projet Equipe de réalisation Personnes ressources Directeur et Dr Thomas Prot, Président de CME CME-COPILQUA Dr Gilles Delwaide, médecin référent EPP / Anne-Sophie Zuber, RAQ / Isabelle Grizard, Responsable Pôle Chirurgie et RRAC Echéancier de réalisation : E1 – EA1 : Partiellement 1 : Mise à jour de la politique qualité et sécurité des soins intégrant la stratégie de développement de l’EPP X RéaliséeDate : Janvier 2014 E1 – EA2 : En grande partie 1 : Inscrire les modalités de choix des EPP, en concertation entre la direction et la CME, dans la politique qualité et gestion des risques X RéaliséeDate : Janvier 2014 2 : Inscrire à l’ordre du jour des CME-COPILQUA la validation conjointe des EPP par le bureau de CME et la direction XPrévue Date : Mars 2014 E1 – EA3 : Partiellement 1 : Définir les missions de la CME-COPILQUA et des référents EPP XPrévue Date : Mars 2014 E2 – EA2 : En grande partie 1 : Inscrire à l’ordre du jour de chaque CME-COPILQUA le suivi des EPP : état d’avancement, actions d’amélioration, suivi des indicateurs… X RéaliséeDate : 2012 E2 – EA3 : En grande partie 1 : Diffuser aux professionnels les orientations stratégiques de la clinique XPrévue Date : Février 2014 E3 – EA1 : En grande partie 1 : Présenter les démarches d’EPP en CME avec annuellement programme et bilan des actions et avancement des démarches. XPrévue Date : Décembre 2014 et 2015 E3 – EA2 : En grande partie 1 : Réévaluer annuellement la stratégie de développement de l’EPP au regard de l’état d’avancement des EPP et des nouvelles orientations stratégiques de l’établissement XPrévue Date : Décembre 2014 et 2015 Modalités d'évaluation : Bilan biannuel des démarches d’EPP présenté en CME-COPILQUA : -Nombre d’EPP (par secteur, par spécialité…) -Nombre de nouveaux EPP pendant la période -Etat d’avancement des EPP (Etape 1 / 2 / 3 / 4 / 5) -Nombre de professionnels impliqués dans les démarches / Pluriprofessionnalité XPrévue Date : Décembre 2014 Révision annuelle de la stratégie EPP (2e réunion de CME-COPILQUA) avec définition de nouveaux objectifs en accord avec les orientations stratégiques de l’établissement. XPrévue Date : Décembre 2014 Modalités de suivi et de perennisation des résultats: Bilan biannuel des démarches d’EPP présenté en CME-COPILQUA : -Nombre d’EPP (par secteur, par spécialité…) -Nombre de nouveaux EPP pendant la période -Etat d’avancement des EPP (Etape 1 / 2 / 3 / 4 / 5) -Nombre de professionnels impliqués dans les démarches / Pluriprofessionnalité Révision annuelle de la stratégie EPP (2e réunion de CME-COPILQUA) avec définition de nouveaux objectifs en accord avec les orientations stratégiques de l’établissement. Validation institutionnelle: Révision au minimum bisannuelle des orientations stratégiques, de la politique qualité et de la stratégie de développement des EPP conjointement entre la CME et la direction. Planification des revues de projet: Biannuellement par la CME-COPILQUA Au minimum trimestriellement par la responsable qualité et le médecin référent EPP. CHAPITRE 2 : Prise en charge du patient Référence 11 : l'information, la participation et le consentement du patient Critère 11.c - Court Séjour : Information du patient en cas de dommage lié aux soins PLAN D'ACTION Titre du projet d'amélioration: Permettre aux professionnels de s’approprier la démarche d’annonce du dommage associé aux soins Problematique: E1 – EA1 : Partiellement 1 : Présentation de la procédure d’annonce du dommage associé aux soins en CME pour ouvrir la réflexion avec les professionnels médicaux. 2 : Mise à jour et diffusion de la procédure suite à la réflexion menée avec les médecins et les représentants des usagers en CRU E2 – EA1 : En grande partie 1 : Formation des professionnels à l’annonce du dommage associé aux soins 2 : Inscription dans la fiche RMM de la notion d’annonce du dommage. E2 – EA2 : Partiellement 1 : Suivi des démarches d’annonce du dommage en RMM avec partage d’expérience des médecins E3 – EA1 : Partiellement 1 : Audit de la traçabilité dans les dossiers patient de la démarche d’annonce du dommage associé aux soins. Résultats attendus Objectifs intermédiaires Objectifs ultimes Sensibiliser les professionnels à la démarche d’annonce du dommage lié aux soins Garantir à tout patient une information efficiente de tout dommage associé aux soins Responsabilités Chef de projet Equipe de réalisation Personnes ressources Dr Thomas PROT, Président de CME CRUQ, COETHIQ, CME Chantal BERNASCONI, Directeur adjoint / Anne-Sophie ZUBER, Responsable qualité & GDR Echéancier de réalisation : E1 – EA1 : Partiellement 1 : Présentation de la procédure d’annonce du dommage associé aux soins en CME pour ouvrir la réflexion avec les professionnels médicaux. X RéaliséeDate : mars 2013 2 : Mise à jour et diffusion de la procédure suite à la réflexion menée avec les médecins et les représentants des usagers en CRU X Prévue Date : Janvier 2015 E2 – EA1 : En grande partie 1 : Formation des professionnels à l’annonce du dommage associé aux soins X RéaliséeDate : Février 2013 X Prévue Date : Septembre 2014 (e-learning) 2 : Inscription dans la fiche RMM de la notion d’annonce du dommage. XPrévue Date : Mars 2014 E2 – EA2 : Partiellement 1 : Suivi des démarches d’annonce du dommage en RMM avec partage d’expérience des médecins X Prévue Date : Mars 2014 E3 – EA1 : Partiellement 1 : Audit de la traçabilité dans les dossiers patient de la démarche d’annonce du dommage associé aux soins. X Prévue Date : Mars 2014 Modalités d'évaluation : Suivi du taux d’annonce réalisé en RMM / RMM-MAT, taux de traçabilité dans les dossiers X En cours Date : 2014 Nombre de personnes formées via e-learning X Prévue Date : Septembre 2014 (e-learning) Modalités de suivi et de perennisation des résultats: Suivi du taux d’annonce réalisé en RMM / RMM-MAT, taux de traçabilité dans les dossiers Nombre de personnes formées via e-learning Validation institutionnelle: CME Orientations stratégiques + PACQSS Planification des revues de projet: Annuellement : indicateur RMM. Bilan d’activité. PLAN D'ACTION Titre du projet d'amélioration: Améliorer la prise en charge des patients en fin de vie CHAPITRE 2 : Prise en charge du patient Référence 13 : La fin de vie Critère 13.a - Court Séjour : Prise en charge et droits des patients en fin de vie Problematique: E1 – EA1 : En grande partie 1 : Rédaction et diffusion d’une procédure d’accueil des patients en fin de vie en attente d’une mutation vers un service de soins palliatifs (recueil des directives anticipées, accueil et information des accompagnants…) 2 : Rédaction et diffusion d’un protocole de prise en charge de la douleur chez les patients en fin de vie. 3 : Réflexion sur la possibilité d’une convention avec l’EMSP de l’Hôpital Nord-Ouest E1 – EA2 : Partiellement 1 : Maintien et déploiement de l’organisation mise en place en mai é012 suite à l’avis de la CRUQ et du comité éthique : diffusion du livret d’accueil mentionnant l’organisation du recueil des directives anticipées et remplissage systématique, à l’entrée du patient de la fiche de désignation de la personne de confiance et de recueil des directives anticipées (pour les patients majeurs) E1 – EA3 : Partiellement 1 : Définition, en COETHIQ et CRUQ d’une liste de pathologies ou situations pour lesquelles une information complémentaire sur les directives anticipées est nécessaire (intervention à haut risque, annonce d’un pronostic vital réservé…) E2 – EA1 : En grande partie 1 : Rédaction et diffusion d’un protocole de prise en charge de la douleur chez les patients en fin de vie. 2 : Poursuite de la formation des professionnels à l’éthique et à la prise en charge des patients en fin de vie. E2 – EA3 : En grande partie 1 : Traçabilité des concertations médecins / soignants sur les cas de patients en fin de vie E2 – EA6 : En grande partie 1 : Signature de la convention avec l’association ASPC pour l’intervention de bénévoles dans l’établissement 2 : Création d’un lieu d’accueil dédié pour les associations et les bénévoles. E3 – EA1 : Partiellement 1 : Evaluation de la prise en charge de la douleur chez les patients en fin de vie. E3 – EA2 : Partiellement 1 : Réflexion en comité éthique sur la politique de prise en charge des fins de vie et la poursuite ou l’arrêt des traitements. 2 : Analyse en COETHIQ de dossiers de patients pour réflexion sur la limitation des traitements selon les patients. E3 – EA3 : En grande partie 1 : Inscription de la prise en charge des patients en fin de vie dans les orientations stratégiques 2014-2015 2 : Inscription des actions d’amélioration dans le PACQSS 2014-2015 Résultats attendus Objectifs intermédiaires Objectifs ultimes Réflexion pluriprofessionnelle sur la prise en charge de la fin de vie incluant : médecins, équipes, psychologue et représentants des usagers. Amélioration de la Prise en charge des patients en fin de vie avec principalement l’amélioration des protocoles de prise en charge de la douleur et la mise en place d’une réflexion pluri-professionnelle sur la démarche de soins et la limitation des traitements Responsabilités Chef de projet Equipe de réalisation Personnes ressources Arnaud GILIBERT, Responsable Hospitalisation CRUQ - COETHIQ - CME Anne-Sophie ZUBER, Responsable Qualité & GDR / Chantal BERNASCONI, Directeur adjoint / Isabelle GRIZARD, Responsable Pôle chirurgie / Dr Guy BERNARD, Gastro-entérologue, Médecin correspondant Oncologie / Dr Eric DALMAS, Anesthésiste Réanimateur, référent douleur. Echéancier de réalisation : E1 – EA1 : En grande partie 1 : Rédaction et diffusion d’une procédure d’accueil des patients en fin de vie en attente d’une mutation vers un service de soins palliatifs (recueil des directives anticipées, accueil et information des accompagnants…) X Prévue Date : Septembre 2014 2 : Rédaction et diffusion d’un protocole de prise en charge de la douleur chez les patients en fin de vie. X Prévue Date : Septembre 2014 3 : Réflexion sur la possibilité d’une convention avec l’EMSP de l’Hôpital Nord-Ouest X En cours Date : 2013 E1 – EA2 : Partiellement 1 : Maintien et déploiement de l’organisation mise en place en mai 2012 suite à l’avis de la CRUQ et du comité éthique : diffusion du livret d’accueil mentionnant l’organisation du recueil des directives anticipées et remplissage systématique, à l’entrée du patient de la fiche de désignation de la personne de confiance et de recueil des directives anticipées (pour les patients majeurs) X RéaliséeDate : Depuis mai 2012 E1 – EA3 : Partiellement 1 : Définition, en COETHIQ et CRUQ d’une liste de pathologies ou situations pour lesquelles une information complémentaire sur les directives anticipées est nécessaire (intervention à haut risque, annonce d’un pronostic vital réservé…) X Prévue Date : Juin 2014 E2 – EA1 : En grande partie 1 : Rédaction et diffusion d’un protocole de prise en charge de la douleur chez les patients en fin de vie. X Prévue Date : Septembre 2014 2 : Poursuite de la formation des professionnels à l’éthique et à la prise en charge des patients en fin de vie. X En cours Date : Plan de formation 2013 - 2014 - 2015 E2 – EA3 : En grande partie 1 : Traçabilité des concertations médecins / soignants sur les cas de patients en fin de vie X Prévue Date : Décembre 2014 E2 – EA6 : En grande partie 1 : Signature de la convention avec l’association ASPC pour l’intervention de bénévoles dans l’établissement X RéaliséeDate : Janvier 2013 2 : Création d’un lieu d’accueil dédié pour les associations et les bénévoles. X RéaliséeDate : janvier 2013 E3 – EA1 : Partiellement 1 : Evaluation de la prise en charge de la douleur chez les patients en fin de vie. X Prévue Date : Décembre 2014 E3 – EA2 : Partiellement 1 : Réflexion en comité éthique sur la politique de prise en charge des fins de vie et la poursuite ou l’arrêt des traitements. X Prévue Date : Septembre 2014 2 : Analyse en COETHIQ de dossiers de patients pour réflexion sur la limitation des traitements selon les patients. X Prévue Date : 2014 E3 – EA3 : En grande partie 1 : Inscription de la prise en charge des patients en fin de vie dans les orientations stratégiques 2014-2015 X RéaliséeDate : Janvier 2014 2 : Inscription des actions d’amélioration dans le PACQSS 2014-2015 X RéaliséeDate : Janvier 2014 Modalités d'évaluation : -Evaluation de la prise en charge de la douleur chez les patients en fin de vie -Evaluation de la traçabilité dans les dossiers d’une réflexion pluridisciplinaire sur la démarche de soins -Evaluation du nombre d’interventions du psycho-oncologue auprès des patients et des familles -Evaluation du nombre d’heures de présence des bénévoles -Evaluation du nombre d’heures de formation sur la prise en charge palliative. ? Réalisée? En cours XPrévue Date : Décembre 2014 Modalités de suivi et de perennisation des résultats: -Evaluation de la prise en charge de la douleur chez les patients en fin de vie -Evaluation de la traçabilité dans les dossiers d’une réflexion pluridisciplinaire sur la démarche de soins -Evaluation du nombre d’interventions du psycho-oncologue auprès des patients et des familles -Evaluation du nombre d’heures de présence des bénévoles -Evaluation du nombre d’heures de formation sur la prise en charge palliative. -Poursuite de la formation des soignants à la prise en charge palliative -Maintien des vacations du psycho-oncologue Validation institutionnelle: Révision au minimum bisannuelle des orientations stratégiques, de la politique qualité et du PACQSS conjointement entre la CME et la direction Planification des revues de projet: Biannuellement par la CME-COPILQUA Trimestriellement par le responsable qualité en lien avec le COETHIQ et la CRUQ CHAPITRE 2 : Prise en charge du patient Référence 14 : Le dossier du patient Critère 14.a - Court Séjour : Gestion du dossier du patient PLAN D'ACTION Titre du projet d'amélioration: Améliorer la tenue du dossier patient et sa communication entre les professionnels Problematique: E1 – EA1 : Partiellement 1 : Actualisation de la procédure relative à la tenue du dossier patient en hospitalisation et ajout des règles spécifiques à la maternité, à l’oncologie, à l’ambulatoire, aux urgences et aux soins externes. E1 – EA2 : Partiellement 1 : Ajout à la procédure de tenue du dossier patient d’un paragraphe relatif aux règles d’accès aux éléments du dossier dans la clinique et lors de la prise en charge par des établissements d’aval. E2 – EA1 : Partiellement 1 : Amélioration du contenu du courrier de fin d’hospitalisation 2 : Mise en place de la récupération systématique des ordonnances de sortie 3 : Amélioration de la traçabilité de la visite pré-anesthésique. E2 – EA2 : En grande partie 1 : Rédaction et diffusion d’une PC de communication du dossier ou d’éléments du dossier à tout professionnel impliqué dans la prise en charge du patient 2 : Implication dans le projet ZEPRA pour les courriers de fin d’hospitalisation Résultats attendus Objectifs intermédiaires Actualiser les procédures relatives aux règles de tenue et d'accès au dossier patient Objectifs ultimes Améliorer la diffusion des règles de tenue et d’accès au dossier patient afin d’améliorer les indicateurs IPAQSS Responsabilités Chef de projet Equipe de réalisation Personnes ressources Isabelle GRIZARD, Responsable Pôle Chirurgie Dominique GUERRIER, Afaf BENAISSA, Arnaud GILIBERT, Sylvie PETITBON Anne-Sophie ZUBER Echéancier de réalisation : E1 – EA1 : Partiellement 1 : Actualisation de la procédure relative à la tenue du dossier patient en hospitalisation et ajout des règles spécifiques à la maternité, à l’oncologie, à l’ambulatoire, aux urgences et aux soins externes. XPrévue Date : Juillet 2014 E1 – EA2 : Partiellement 1 : Ajout à la procédure de tenue du dossier patient d’un paragraphe relatif aux règles d’accès aux éléments du dossier dans la clinique et lors de la prise en charge par des établissements d’aval. XPrévue Date : Juillet 2014 E2 – EA1 : Partiellement 1 : Amélioration du contenu du courrier de fin d’hospitalisation XEn cours Date : 2013 - 2014 2 : Mise en place de la récupération systématique des ordonnances de sortie XEn cours Date : 2013 - 2014 3 : Amélioration de la traçabilité de la visite pré-anesthésique. XEn cours Date : 2013 - 2014 E2 – EA2 : En grande partie 1 : Rédaction et diffusion d’une PC de communication du dossier ou d’éléments du dossier à tout professionnel impliqué dans la prise en charge du patient XPrévue Date : Juin 2014 2 : Implication dans le projet ZEPRA pour courrier de fin d’hospitalisation XPrévue Date : Décembre 2014 Modalités d'évaluation : -Indicateurs IPAQSS « Tenue du dossier patient » XEn cours Date : 2014 -Evaluation du dossier patient : ambulatoire / dossier transfusionnel XEn cours Date : 2013 – 2014 – 2015 Modalités de suivi et de perennisation des résultats: Suivi de l’indicateur IPAQSS « Tenue du dossier patient » Audit trimestriel du dossier patient d’ambulatoire Suivi prospectif du dossier transfusionnel. Validation institutionnelle: Plan d’action inscrit au PACQSS 2014-2015 Planification des revues de projet: Biannuellement par la CME-COPILQUA Au moins trimestriellement par le responsable qualité PLAN D'ACTION CHAPITRE 2 : Prise en charge du patient Référence 17 : l'évaluation de l'état de santé du patient Critère 17.a - Court Séjour : Evaluation initiale et continue de l'état de santé du patient et projet de soins personnallisé Titre du projet d'amélioration: Proposer au patient des soins adaptés et personnalisés à son état de santé. Problematique: E1 – EA1 : Partiellement 1 : Améliorer la traçabilité de la visite pré-anesthésique dans le dossier médical du patient 2 : Mettre en place des consultations pré-hospitalisation pour expliquer au patient la prise en charge, l’accueillir dans les meilleures conditions en fonction de son état de santé (handicap) et anticiper le retour à domicile. E2 – EA1 : Partiellement 1 : Rationaliser les outils utilisés par les paramédicaux afin d’améliorer la traçabilité des prises en charge kiné, psychologue … E2 – EA2 : En grande partie 1 : Traçabilité quotidienne par les IDE de l’évaluation de l’état de santé du patient E2 – EA3 : Partiellement 1 : Intégration du consentement éclairé faisant mention de la réflexion bénéfice-risque expliquée au patient dans le dossier médical 2 : Evaluation de la présence du document de réflexion bénéfice-risque lors d’audits dossier patients semestriels. E2 – EA4 : En grande partie 1 : Traçabilité quotidienne par les IDE de l’évaluation de l’état de santé du patient E3 – EA1 : Partiellement 1 : Audit sur la réévaluation de l’état de santé du patient en cours de séjour 2 : Audit sur le PPS en oncologie E3 – EA2 : En grande partie 1 : Mise à jour du PPS en oncologie 2 : Mise en place des actions d’amélioration mises en évidence par les audits portant sur la réévaluation de l’état de santé du patient Résultats attendus Objectifs intermédiaires Objectifs ultimes Améliorer la traçabilité de la réévaluation quotidienne de l’état de santé du patient Garantir au patient des soins adaptés à son état de santé tout au long de son séjour Responsabilités Chef de projet Equipe de réalisation Personnes ressources -Isabelle GRIZARD, Responsable Pôle Chirurgie Arnaud GILIBERT, Responsable Hospitalisation / Sylvie PETITBON, Responsable Maternité Anne-Sophie ZUBER, Responsable Qualité & GDR / Chantal BERNASCONI, Directeur adjoint Echéancier de réalisation : E1 – EA1 : Partiellement 1 : Améliorer la traçabilité de la visite pré-anesthésique dans le dossier médical du patient XEn cours Date : 2013 2 : Mettre en place des consultations pré-hospitalisation pour expliquer au patient la prise en charge, l’accueillir dans les meilleures conditions en fonction de son état de santé (handicap) et anticiper le retour à domicile. XPrévue Date : 2e trimestre 2014 E2 – EA1 : Partiellement 1 : Rationaliser les outils utilisés par les paramédicaux afin d’améliorer la traçabilité des prises en charge kiné, psychologue … XPrévue Date : 2015 E2 – EA2 : En grande partie 1 : Traçabilité quotidienne par les IDE de l’évaluation de l’état de santé du patient XPrévue Date : 2015 E2 – EA3 : Partiellement 1 : Intégration du consentement éclairé faisant mention de la réflexion bénéfice-risque expliquée au patient dans le dossier médical XPrévue Date : 2015 2 : Evaluation de la présence du document de réflexion bénéfice-risque lors d’audits dossier patients semestriels. XPrévue Date : Juin 2015 E2 – EA4 : En grande partie 1 : Traçabilité quotidienne par les IDE de l’évaluation de l’état de santé du patient XPrévue Date : 2015 E3 – EA1 : Partiellement 1 : Audit sur la réévaluation de l’état de santé du patient en cours de séjour XPrévue Date : 2015 2 : Audit sur le PPS en oncologie XRéaliséeDate : 2012-2013-2014 E3 – EA2 : En grande partie 1 : Mise à jour du PPS en oncologie XPrévue Date : Juin 2014 2 : Mise en place des actions d’amélioration mises en évidence par les audits portant sur la réévaluation de l’état de santé du patient XPrévue Date : 2015 Modalités d'évaluation : Audit de la réévaluation de l’état de santé du patient XPrévue Date : 2015 Audit mensuel de dossiers par la responsable du Pôle chirurgie incluant l’analyse bénéfice/risque, la traçabilité de l’évaluation de l’état de santé du patient par les paramédicaux. XEn cours Date : 2014 Modalités de suivi et de perennisation des résultats: Audit de la réévaluation de l’état de santé du patient Audit mensuel de dossiers par la responsable du Pôle chirurgie incluant l’analyse bénéfice/risque, la traçabilité de l’évaluation de l’état de santé du patient par les paramédicaux. Validation institutionnelle: Plan d’action inscrit au PACQSS 2014-2015 Planification des revues de projet: Suivi bisannuel du PACQSS 2014-2015 en CME-COPILQUA Suivi trimestriel par la responsable qualité CHAPITRE 2 : Prise en charge du patient Référence 23 : l'éducation thérapeutique à destination du patient et de son entourage Critère 23.a - Court Séjour : Education thérapeutique du patient PLAN D'ACTION Titre du projet d'amélioration: Développer l’information des professionnels et des patients sur l’existence des programmes d’éducation thérapeutique Problematique: E1 – EA3 : En grande partie 1 : Participation des médecins traitants et des IDE libérales aux journées annuelles de la Polyclinique pour information sur l’évolution des protocoles de soins dans la clinique et l’organisation des soins en aval de l’hospitalisation 2 : Création d’un journal semestriel à destination des médecins traitants et IDE libérales sur l’évolution des prises en charge et l’actualité de l’établissement 3 : Inscription de la Polyclinique dans la campagne ZEPRA afin de faciliter le partage d’information avec les médecins traitants à la sortie du patient 4 : Enquête auprès des médecins généralistes du secteur afin de diffuser l’information sur l’offre de prise en charge au sein de la Polyclinique. 5 : Organisation de staff-maternité avec les sages-femmes libérales du secteur. E2 – EA1 : Partiellement 1 : Diffusion de livret d’information au patient sur sa prise en charge avec mention des programmes d’éducation thérapeutique existant et des établissements à contacter en fonction de la pathologie 2 : Formation d’une IDE à la stomathérapie et formalisation du suivi des patients stomisés. E2 – EA2 : Partiellement 1 : Sensibilisation des soignants à l’éducation thérapeutique via la plateforme e-learning Capio 2 : Sensibilisation des médecins à l’information des patients des programmes d’éducation thérapeutique E3 – EA1 : Partiellement 1 : Evaluation du nombre de patients suivis par l’IDE formée à la stomathérapie 2 : Evaluation du nombre de patients à qui est proposé un programme d’ETP en lien avec une chirurgie bariatrique Résultats attendus Objectifs intermédiaires -Sensibiliser les professionnels de l’établissement à l’éducation thérapeutique et assurer la coordination de la prise en charge des patients post-hospitalisation Objectifs ultimes -Informer les patients de l’existence des programmes d’éducation thérapeutique et faciliter les démarches d’inscription. Responsabilités Chef de projet Equipe de réalisation Personnes ressources Isabelle GRIZARD, Responsable Pôle Chirurgie Cadres de santé (sauf bloc opératoire) IDE formée à la stomathérapie, Diététicienne, IDE référente Douleur, Infirmière d’accueil … Echéancier de réalisation : E1 – EA3 : En grande partie 1 : Participation des médecins traitants et des IDE libérales aux journées annuelles de la Polyclinique pour information sur l’évolution des protocoles de soins dans la clinique et l’organisation des soins en aval de l’hospitalisation X RéaliséeDate : Novembre 2013 2 : Création d’un journal semestriel à destination des médecins traitants et IDE libérales sur l’évolution des prises en charge et l’actualité de l’établissement X En cours Date : Mars 2014 3 : Inscription de la Polyclinique dans la campagne ZEPRA afin de faciliter le partage d’information avec les médecins traitants à la sortie du patient X RéaliséeDate : Décembre 2013 4 : Enquête auprès des médecins généralistes du secteur afin de diffuser l’information sur l’offre de prise en charge au sein de la Polyclinique. X Prévue Date : Mai 2014 5 : Organisation de staff-maternité avec les sages-femmes libérales du secteur. X RéaliséeDate : 2013 - 2014 E2 – EA1 : Partiellement 1 : Diffusion de livret d’information au patient sur sa prise en charge avec mention des programmes d’éducation thérapeutique existant et des établissements à contacter en fonction de la pathologie XPrévue Date : 2014 2 : Formation d’une IDE à la stomathérapie et formalisation du suivi des patients stomisés. X RéaliséeDate : mai 2013 E2 – EA2 : Partiellement 1 : Sensibilisation des soignants à l’éducation thérapeutique via la plateforme e-learning Capio XPrévue Date : octobre 2014 E3 – EA1 : Partiellement 1 : Evaluation du nombre de patients suivis par l’IDE formée à la stomathérapie X RéaliséeDate : 2013 - 2014 2 : Evaluation du nombre de patients à qui est proposé un programme d’ETP en lien avec une chirurgie bariatrique X Prévue Date : Septembre 2014 Modalités d'évaluation : Suivi du nombre de patient suivis par l’IDE formée à la stomathérapie X RéaliséeDate : 2013 - 2014 Suivi de la distribution des livrets d’information sur chaque pathologie (dont ETP) X Prévue Date : 2e semestre 2014 Modalités de suivi et de perennisation des résultats: Suivi du nombre de patient suivis par l’IDE formée à la stomathérapie Suivi de la distribution des livrets d’information sur chaque pathologie (dont ETP) Validation institutionnelle: Suivi des indicateurs du PACQSS Planification des revues de projet: Trimestriellement par la responsable du Pôle chirurgie. CHAPITRE 2 : Prise en charge du patient Référence 28 : l'évaluation des pratiques professionnelles Critère 28.a : Mise en oeuvre des démarches d'évaluation des pratiques professionnelles PLAN D'ACTION Titre du projet d'amélioration: Déployer des EPP pluriprofessionnelles dans tous les secteurs d’activité. Problematique: E1 – EA2 : En grande partie 1 : Mise en place d’une RMM en cancérologie E1 – EA3 : Partiellement 1 : Amélioration de la traçabilité de la RCP dans le dossier chirurgical E2 – EA2 : Partiellement 1 : Développer les EPP paramédicales 2 : Améliorer la pluridisciplinarité des démarches EPP E2 – EA3 : En grande partie 1 : Inscription de la stratégie de communication des EPP dans les orientations stratégiques 2 : Communication au minimum trimestrielle sur une démarche EPP dans le journal DAQ E3 – EA1 : Partiellement 1 : Développement des EPP jusqu’à l’étape 5 avec suivi d’indicateurs périodiquement 2 : Mise en place d’un 2e tour de l’EPP dans l’année suivant la fin des actions d’amélioration 3 : Inscription de la mesure de l’impact dans le bilan du PACQSS (diffusion d’une nouvelle procédure, amélioration des indicateurs …) E3 – EA2 : Partiellement 1 : Bilan annuel en réunion de service des EPP concernant le service (avec présentation des actions d’amélioration) 2 : Tenue d’indicateurs de déploiement des EPP (Nombre de professionnels, catégorie professionnelle, service…) Résultats attendus Objectifs intermédiaires - Accompagner la formalisation des démarches d’EPP en place dans l’établissement Objectifs ultimes - Assurer la continuité de la démarche EPP dans tous les secteurs d’activité Responsabilités Chef de projet Equipe de réalisation Personnes ressources Anne-Sophie ZUBER, Responsable Qualité & GDR CME-COPILQUA Dr Gilles Delwaide, Médecin référent EPP ; Isabelle Grizard, Responsable Pôle chirurgie Echéancier de réalisation : E1 – EA2 : En grande partie 1 : Mise en place d’une RMM en cancérologie X RéaliséeDate : Octobre 2013 E1 – EA3 : Partiellement 1 : Amélioration de la traçabilité de la RCP dans le dossier chirurgical X Prévue Date : 2014 E2 – EA2 : Partiellement 1 : Développer les EPP paramédicales X En cours Date : 2014 2 : Améliorer la pluridisciplinarité des démarches EPP X RéaliséeDate : 2013 - 2014 E2 – EA3 : En grande partie 1 : Inscription de la stratégie de communication des EPP dans les orientations stratégiques X RéaliséeDate : Janvier 2014 2 : Communication au minimum trimestrielle sur une démarche EPP dans le journal DAQ X Prévue Date : 2014 E3 – EA1 : Partiellement 1 : Développement des EPP jusqu’à l’étape 5 avec suivi d’indicateurs périodiquement X Prévue Date : 2014 2 : Mise en place d’un 2e tour de l’EPP dans l’année suivant la fin des actions d’amélioration X Prévue Date : 2014 - 2015 3 : Inscription de la mesure de l’impact dans le bilan du PACQSS (diffusion d’une nouvelle procédure, amélioration des indicateurs …) X RéaliséeDate : Janvier 2014 E3 – EA2 : Partiellement 1 : Bilan annuel en réunion de service des EPP concernant le service (avec présentation des actions d’amélioration) X Prévue Date : 2014 2 : Tenue d’indicateurs de déploiement des EPP (Nombre de professionnels, catégorie professionnelle, service…) X Prévue Date : Décembre 2014 Modalités d'évaluation : Bilan biannuel des démarches d’EPP présenté en CME-COPILQUA : -Nombre d’EPP (par secteur, par spécialité…) -Nombre de nouveaux EPP pendant la période -Etat d’avancement des EPP (Etape 1 / 2 / 3 / 4 / 5) -Nombre de professionnels impliqués dans les démarches / Pluriprofessionnalité X Prévue Date : Décembre 2014 Révision annuelle de la stratégie EPP (2e réunion de CME-COPILQUA) avec définition de nouveaux objectifs en accord avec les orientations stratégiques de l’établissement. X Prévue Date : Décembre 2014 Modalités de suivi et de perennisation des résultats: Bilan biannuel des démarches d’EPP présenté en CME-COPILQUA : -Nombre d’EPP (par secteur, par spécialité…) -Nombre de nouveaux EPP pendant la période -Etat d’avancement des EPP (Etape 1 / 2 / 3 / 4 / 5) -Nombre de professionnels impliqués dans les démarches / Pluriprofessionnalité Révision annuelle de la stratégie EPP (2e réunion de CME-COPILQUA) avec définition de nouveaux objectifs en accord avec les orientations stratégiques de l’établissement. Validation institutionnelle: Révision au minimum bisannuelle des orientations stratégiques, de la politique qualité et de la stratégie de développement des EPP conjointement entre la CME et la direction. Planification des revues de projet: Biannuellement par la CME-COPILQUA Au minimum trimestriellement par la responsable qualité et le médecin référent EPP. CHAPITRE 2 : Prise en charge du patient Référence 28 : l'évaluation des pratiques professionnelles Critère 28.b : Pertinence des soins PLAN D'ACTION Titre du projet d'amélioration: Déployer des EPP pluriprofessionnelles dans tous les secteurs d’activité. Problematique: E1 – EA1 : Partiellement 1 : Réflexion menée par la responsable du pôle chirurgie avec les médecins de chaque spécialité sur les chemins cliniques et la prise en charge du patient pour chaque pathologie. E2 – EA1 : Partiellement 1 : Mise en place et accompagnement d’EPP relatives à la pertinence des soins 2 : Accompagnement des démarches EPP jusqu’à l’étape 5 et pérennisation des démarches E2 – EA2 : En grande partie 1 : Mise à jour des protocoles de prise en charge patient pour chaque pathologie et définition de chemins cliniques pour chaque pathologie en cohérence avec les guides de bon usage. E3 – EA1 : Partiellement 1 : Inscription des actions d’amélioration des EPP au PACQSS avec suivi périodique par le responsable qualité en lien avec le pilote de l’EPP. 2 : Suivi biannuel de l’avancement des EPP en CME-COPILQUA Résultats attendus Objectifs intermédiaires Objectifs ultimes -Engager une réflexion pluriprofessionnelle sur la pertinence des soins et la définition des -Accompagner la mise en œuvre des démarches d’EPP relatives à la pertinence des chemins clinique par pathologie. soins et en assurer la pérennité. Responsabilités Chef de projet Equipe de réalisation Personnes ressources -Isabelle GRIZARD, Responsable Pôle Chirurgie -Médecins de chaque spécialité et CME-COPILQUA -Dr Gilles Delwaide, Médecin référent EPP ; Anne-Sophie Zuber, Responsable Qualité & GDR Echéancier de réalisation : E1 – EA1 : Partiellement 1 : Réflexion menée par la responsable du pôle chirurgie avec les médecins de chaque spécialité sur les chemins cliniques et la prise en charge du patient pour chaque pathologie. X En cours Date : Fin 2013 – 1er trimestre 2014 E2 – EA1 : Partiellement 1 : Mise en place et accompagnement d’EPP relatives à la pertinence des soins X En cours Date : Fin 2013 – 1er trimestre 2014 2 : Accompagnement des démarches EPP jusqu’à l’étape 5 et pérennisation des démarches X Prévue Date : 2014 E2 – EA2 : En grande partie 1 : Mise à jour des protocoles de prise en charge patient pour chaque pathologie et définition de chemins cliniques pour chaque pathologie en cohérence avec les guides de bon usage. X En cours Date : éà&' E3 – EA1 : Partiellement 1 : Inscription des actions d’amélioration des EPP au PACQSS avec suivi périodique par le responsable qualité en lien avec le pilote de l’EPP. X Prévue Date : 2014 2 : Suivi biannuel de l’avancement des EPP en CME-COPILQUA X En cours Date : 2013 - 2014 Modalités d'évaluation : Bilan biannuel des démarches d’EPP présenté en CME-COPILQUA : -Nombre d’EPP (par secteur, par spécialité…) -Nombre de nouveaux EPP pendant la période -Etat d’avancement des EPP (Etape 1 / 2 / 3 / 4 / 5) -Nombre de professionnels impliqués dans les démarches / Pluriprofessionnalité X Prévue Date : Décembre 2014 Révision annuelle de la stratégie EPP (2e réunion de CME-COPILQUA) avec définition de nouveaux objectifs en accord avec les orientations stratégiques de l’établissement. X Prévue Date : Décembre 2014 Modalités de suivi et de perennisation des résultats: Bilan biannuel des démarches d’EPP présenté en CME-COPILQUA : -Nombre d’EPP (par secteur, par spécialité…) -Nombre de nouveaux EPP pendant la période -Etat d’avancement des EPP (Etape 1 / 2 / 3 / 4 / 5) -Nombre de professionnels impliqués dans les démarches / Pluriprofessionnalité Révision annuelle de la stratégie EPP (2e réunion de CME-COPILQUA) avec définition de nouveaux objectifs en accord avec les orientations stratégiques de l’établissement. Validation institutionnelle: Révision au minimum bisannuelle des orientations stratégiques, de la politique qualité et de la stratégie de développement des EPP conjointement entre la CME et la direction. Planification des revues de projet: Biannuellement par la CME-COPILQUA Au minimum trimestriellement par la responsable qualité et le médecin référent EPP CHAPITRE 2 : Prise en charge du patient Référence 28 : l'évaluation des pratiques professionnelles Critère 28.c : Démarches EPP liées aux indicateurs de pratique clinique PLAN D'ACTION Titre du projet d'amélioration: Déployer des EPP pluriprofessionnelles dans tous les secteurs d’activité. Problematique: E1 – EA1 : Partiellement 1 : Identifier avec les responsables de service les indicateurs de pratique clinique pertinents E2 – EA1 : Partiellement 1 : Participer à la campagne de recueil « traçabilité de l’évaluation du risque d’escarre » 2 : Poursuivre l’EPP relative à la prise en charge de l’hémorragie du post-partum en lien avec les indicateurs IPAQSS. E2 – EA2 : Partiellement 1 : Identifier les actions d’amélioration à mettre en œuvre pour améliorer les indicateurs IPAQSS (RCP, Courrier de fin d’hospitalisation, dossier anesthésique…) et les inscrire au PACQSS 2014-2015 E3 – EA1 : Partiellement 1 : Suivi annuel de l’évolution des indicateurs de pratique clinique et des EPP afférentes en CME-COPILQUA. 2 : Révision annuelle de la liste des indicateurs à suivre en priorité en CME-COPILQUA Résultats attendus Objectifs intermédiaires -Améliorer les indicateurs de pratique clinique recueillis nationalement Objectifs ultimes -Développer et pérenniser les actions d’EPP en lien avec les indicateurs de pratique clinique. Responsabilités Chef de projet Equipe de réalisation Personnes ressources -Anne-Sophie ZUBER, Responsable Qualité & GDR -CME-COPILQUA -Dr Gilles Delwaide, Médecin référent EPP Echéancier de réalisation : E1 – EA1 : Partiellement 1 : Identifier avec les responsables de service les indicateurs de pratique clinique pertinents X Prévue Date : Mars 2014 E2 – EA1 : Partiellement 1 : Participer à la campagne de recueil « traçabilité de l’évaluation du risque d’escarre » X Prévue Date : Mai 2014 2 : Poursuivre l’EPP relative à la prise en charge de l’hémorragie du post-partum en lien avec les indicateurs IPAQSS. X En cours Date : 2013 - 2014 E2 – EA2 : Partiellement 1 : Identifier les actions d’amélioration à mettre en œuvre pour améliorer les indicateurs IPAQSS RCP, Courrier de fin d’hospitalisation, dossier anesthésique…) et les inscrire au PACQSS 2014-2015 X RéaliséeDate : Janvier 2014 E3 – EA1 : Partiellement 1 : Suivi annuel de l’évolution des indicateurs de pratique clinique et des EPP afférentes en CME-COPILQUA. X Prévue Date : Décembre 2014 2 : Révision annuelle de la liste des indicateurs à suivre en priorité en CME-COPILQUA X Prévue Date : Décembre 2014 Modalités d'évaluation : Bilan biannuel des démarches d’EPP présenté en CME-COPILQUA : -Nombre d’EPP (par secteur, par spécialité…) -Nombre de nouveaux EPP pendant la période -Etat d’avancement des EPP (Etape 1 / 2 / 3 / 4 / 5) -Nombre de professionnels impliqués dans les démarches / Pluriprofessionnalité X Prévue Date : selon date COPILQUA Révision annuelle de la stratégie EPP (2e réunion de CME-COPILQUA) avec définition de nouveaux objectifs en accord avec les orientations stratégiques de l’établissement. X Prévue Date : selon date COPILQUA Suivi de l’évolution des indicateurs IPAQSS et des indicateurs de pratique clinique définis en interne. X En cours Date : 2013 - 2014 - 2015 Modalités de suivi et de perennisation des résultats: Bilan biannuel des démarches d’EPP présenté en CME-COPILQUA : -Nombre d’EPP (par secteur, par spécialité…) -Nombre de nouveaux EPP pendant la période -Etat d’avancement des EPP (Etape 1 / 2 / 3 / 4 / 5) -Nombre de professionnels impliqués dans les démarches / Pluriprofessionnalité Révision annuelle de la stratégie EPP (2e réunion de CME-COPILQUA) avec définition de nouveaux objectifs en accord avec les orientations stratégiques de l’établissement. Suivi de l’évolution des indicateurs IPAQSS et des indicateurs de pratique clinique définis en interne. Validation institutionnelle: Révision au minimum bisannuelle des orientations stratégiques, de la politique qualité et de la stratégie de développement des EPP conjointement entre la CME et la direction. Planification des revues de projet: Biannuellement par la CME-COPILQUA Au minimum trimestriellement par la responsable qualité et le médecin référent EPP.