discours C. JOURNES (pdf - fr - 149 ko)
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Madame la Ministre Monsieur le Préfet Monsieur le Président du Conseil Régional, député du Rhône Monsieur le Sénateur maire, Président du Grand Lyon Mesdames et Messieurs les élus Monsieur le Général de division Monsieur le Président de la Cour administrative d’appel Monsieur le Premier Président de la Cour d’appel Monsieur le Président du Tribunal de Grande instance Monsieur le Recteur Messieurs les représentants des cultes, Messieurs les consuls Mesdames et Messieurs, chers collègues C’est un plaisir pour moi de vous accueillir à l’Université Lumière Lyon 2 pour la première rentrée solennelle de l’Université de Lyon. Ce plaisir tient d’abord à la symbolique de ce lieu. En effet, le bâtiment dans lequel nous nous trouvons date des origines de l’Université républicaine. C’est ici, sur la rive gauche du Rhône que la ville de Lyon a édifié à partir de 1876 l’ensemble des facultés. Nous vivons donc, ce soir, à la fois un événement et une répétition historiques. Ce plaisir tient aussi au choix de l’Université Lumière Lyon 2 comme université d’accueil. Lyon 2 s’est engagée dès le départ avec détermination dans la construction du PRES de Lyon. Mon prédécesseur Gilbert Puech, et le regretté Domitien Debouzie, ont fait partie de la poignée de visionnaires qui ont conçu l’Université de Lyon. Il m’est enfin plaisant de donner la parole, sous cette fresque, qui représente un concours d’éloquence à Lyon au temps de l’empereur Caligula. A l’époque les vaincus étaient parfois jetés au fleuve. Aujourd’hui sans lui faire courir ce risque, je peux introduire le premier orateur mon collègue et ami Lionel Collet, président du PRES.