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Dossier de presse - Festival Dzendze Ya Shitsuva Groove et Compagnie
Festival « Dzendzé Ya Shitsuva, Groove et Compagnie »
2015
FAIRE GROOVER LE PATRIMOINE
Organisé par l’association Hakuna Matata, le festival Dzendzé Ya Shitsuva, Groove et
Compagnie se déroulera samedi 19 et dimanche 20 septembre à Labattoir. Les concerts,
le Djembé géant, la résidence artistique, l’atelier de création avec les jeunes talents et le
petit village du patrimoine constituent les temps forts du festival.
Cette 3ème édition s’inscrit dans les Journées européennes du patrimoine.
Les concerts
La soirée de concerts aura lieu le samedi 19 septembre à partir de 20h30 au rond-point du Four
à chaux sur Petite Terre.
En tête d’affiche, l’artiste martiniquais DÉDÉ SAINT PRIX. Ses morceaux issu du bèlè, de la biguine,
du zouk ou encore du chouval bwa seront revus à la sauce « dzenzé, groove » au cours d’une résidence
artistique qui l’invite à partager la scène avec MWEGNIE MMADI, DIHO, SOUNDI, ABOU
CHIHABI et DEL.
Parce que l’ouverture des frontières fait grandir la musique et les hommes, ils se réunissent : le grand
Dédé Saint Prix, virtuose et passionné de tous rythmes, Mwegné Mmadi avec son style afro-ngoma,
Abou Chihabi et le folk des Comores, Soundi le magicien du gabouss, Diho le chigoma-bluesman et
Del le défenseur de la tradition. Tous auteurs et compositeurs, tous musiciens, ils seront les musiciens
les uns des autres sur un plateau spécial qui tournera entre les chanteurs, avec des morceaux funk,
rock, zouk, blues et des musiques traditionnelles des Comores et de Martinique, le mgodro, le
chigoma, le bèlè, la cadence etc. Un batteur, un guitariste et un bassiste accompagneront les
dzendzés, gaboussis, saxophones, percussion et flûte.
EL HAD montera également sur la scène du festival pour faire revivre l’utende, cet art poétique issu
de la tradition orale mahoraise, qu’il anime du souffle moderne du slam.
En 1ère partie de soirée, la scène sera dédiée à la transmission avec :
-
la restitution de l’atelier de CRÉATION DES JEUNES TALENTS de Petite Terre. Une
dizaine de chanteurs en herbe et des danseurs âgés de 12 à 18 ans, accompagnés du jeune
percussionniste déjà confirmé, Yannis, interprèteront les trois chansons qu’ils ont écrites et
composées en à peine 2 mois.
-
Une PREMIÈRE SCÈNE pour Thibault et Ilyas, puis Ylian, de brillants élèves de guitare de
Diho.
Le festival garde quelques surprises sous le rideau pour son public…
L’entrée des concerts sera payante, hormis pour les enfants de moins de 10 ans accompagnés d’un
adulte. Le public pourra se restaurer dans l’enceinte du festival au brochetti Monaco.
La RÉSIDENCE ARTISTIQUE se déroulera une semaine en amont des concerts et ouvrira ses portes
à des écoles et associations le vendredi 18 septembre pour une répétition publique à l’occasion d’une
journée du patrimoine dédiée aux scolaires par la Direction des affaires culturelles de la Préfecture.
Contact : Association Hakuna Matata -­‐ [email protected] -­‐ Tel : 06 39 22 22 86 Facebook : Hakuna Matata / www.facebook.com/DzendzeGrooveCie Dossier de presse - Festival Dzendze Ya Shitsuva Groove et Compagnie
Le DJEMBÉ GÉANT
Dimanche 20 septembre, le festival prendra ses quartiers sur la plage du faré à partir de 15h
pour un grand rassemblement convivial et ouvert à tous.
Le Djembé géant c’est vous ! Tous les percussionnistes de Mayotte, amateurs ou professionnels, sont
conviés. VENEZ AVEC VOTRE PERCUSSION pour un grand drum sans frontières : ngoma,
djembé, mbiwi, kayemba et toutes les percussions du monde qui circulent à Mayotte. Le Djembé géant c’est une improvisation rythmique
toutes percussions et percussionnistes confondus, qui
sera dirigé cette année par DÉDÉ SAINT PRIX. Ce temps de partage sera dédié à la mémoire de
DOUDOU NDIAYE ROSE, le mathématicien des
rythmes sénégalais qui nous a quitté le 19 août dernier.
Le petit village du patrimoine est un espace
d’expositions et de démonstrations qui s’étendra sur la
plage et le long du boulevard des crabes avec un
DÉFILÉ DE COUTURE inspiré de la culture mahoraise avec des tenues conçues par les élèves du
Lycée polyvalent de Dembéni, l’exposition M’PAKA NA N’DZIA (frontière et passage) de peintures
sur tissus et paravents réalisées par l’artiste Frisna et d’autres surprises…
Dans le cadre des Journées européennes du patrimoine, la mairie de Labattoir présentera l’exposition
de photos et d’objets anciens ZAMANE TALOUHA (la vie d’antan). Une visite animée des sites
sacrés et patrimoniaux de Labattoir sera proposée dès samedi (voir programme des JEP de la Direction
des affaires culturelles de la Préfecture).
Les origines du festival
Fondé par DIHO, le festival a pour objectif de fédérer les artistes d’influences traditionnelle et
moderne, et de créer un espace d’échanges visant le développement des musiques mahoraises
pour une ouverture vers l’international.
Le festival a pris racine dans la volonté de son fondateur de réunir des auteurs-compositeurs locaux
dans une dynamique de groupe, soudé par le même désir de faire évoluer la musique de leur île :
Soundi, Del, Abou Chiabi, El Had, en sont quelques-uns. Ces artistes d’univers très différents
constituent le noyau fidèle du festival.
La stimulation des artistes et du public pour les deux premières éditions, réalisées en 2012 et 2013 sur
des moyens personnels, a donné l’impulsion pour développer le festival avec la création de
l’association Hakuna Matata, dès lors porteuse de l’événement et des actions attenantes.
Pour Diho, comme pour d’autres, nous vivons une époque charnière où l’avenir de Mayotte se joue, et
la culture a, dans ce tournant, un rôle fondamental largement sous-estimé.
C’est pour participer au développement culturel de l’île et tenter d’ériger la culture dans son rôle de
passeur, de créateur de liens sociaux et en tant que place des arts au cœur de la société que Diho a
souhaité développer son festival.
Cette 3ème édition est rendue possible grâce à nos partenaires :
Contact : Association Hakuna Matata -­‐ [email protected] -­‐ Tel : 06 39 22 22 86 Facebook : Hakuna Matata / www.facebook.com/DzendzeGrooveCie Dossier de presse - Festival Dzendze Ya Shitsuva Groove et Compagnie
Annexes
Biographies des artistes / affiche et tract du festival / Programme des JEP
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Les artistes du festival
Dédé Saint Prix
Artiste incontournable des Antilles françaises et des musiques du monde, André (Dédé) Saint-­‐Prix est né en 1953 au François (Martinique). Nourri de tradition populaire, d'humour et de cocasserie, de l'humeur railleuse du carnaval, des ambiances joyeuses des fêtes, il rencontre le chouval bwa, manège de chevaux de bois actionné à force d'homme et au cœur duquel jouait l'orchestre qui imposait sa cadence enlevée. C’est ainsi qu’à 7 ans, il pratique la mizik bonm en tapant sur des instruments de récupération. À la fin des années 70 (il est alors instituteur), il décide de réhabiliter le chouval bwa en tant que patrimoine musical de l'identité martiniquaise qui, accablée d'inhibition culturelle, préfère notamment donner la primeur au gwo ka guadeloupéen. Il forme le groupe Pakatak comme le veut la tradition : la flûte en bambou (toutoun' banbou), le gros tambour (le dé bonda, formé de 2 peaux frappées par 2 baguettes) et d'autres percussions comme le cha-­cha... (bombe cylindrique remplie de graines de réglis' ou de toloman). Les airs chantés viennent souvent du bel air (bèlè en créole, style réveillé par Eugène Mona dans les années 70). Dédé complète la formation par 2 basses électriques pour donner un son plus urbain. Nous sommes fin des années 70 (Céphise, son premier album du groupe Pakatak paraît en 1978). Le public adore, il danse, se régale des paroles imagées en créole, entre paraboles ironiques et critique sociale. Dédé brosse le portrait de l'atmosphère publique et intime martiniquaise, il taquine, fait éclater les vérités insulaires, dans le droit fil de la tradition des conteurs. Depuis lors, il est considéré comme « le griot des îles », le passeur de musique : bélè, biguine, cadence, chouval bwa, damier, zouk (mot signifiant à l'origine « petit bal de campagne »)... Mais Dédé aime le grand large de la Caraïbe, cette aire culturelle née des contacts de civilisation dans les sociétés coloniales d'Amérique. Il mêle parfois à sa musique les influences haïtiennes (kompa), les motifs de Trinidad, Cuba, Porto Rico... Cette effervescence musicale est animée par l'envie d'aller toujours plus loin dans l'exploitation de la base traditionnelle sans jamais perdre de vue l'identité collective. Les années 1990 marquent une nouvelle étape dans sa carrière avec ses premières actions pédagogiques musicales. Il anime alors des master-­class de percussions afro-­‐caribéennes pour le Festival Musiques Métisses d’Angoulême, le Falun Folkmusic Festival en Suède ou le Centre Simone Signoret de Bordeaux. Dans le même temps, il participe à l’aventure du Grand Prix de l’Eurovision de la Chanson en contribuant aux côtés de Serge Gainsbourg et Georges Augier à l’élaboration du titre « White and Black Blues » interprété par Joëlle Ursule. En 2000, il revient s’établir en banlieue parisienne où il prolonge son travail autour de la musique de son enfance et continue de réhabiliter l’identité martiniquaise.
En Dédé vibre une intense mémoire des mots, des images, des faits de son enfance. Autour de lui se rassemblent celles et ceux, éloignés, qui ont le mal du pays, en métropole, en Europe, en Guyane, en Afrique, en Colombie, au Brésil, aux États-­‐Unis, au Canada... où il a donné de nombreux concerts. Contact : Association Hakuna Matata -­‐ [email protected] -­‐ Tel : 06 39 22 22 86 Facebook : Hakuna Matata / www.facebook.com/DzendzeGrooveCie Dossier de presse - Festival Dzendze Ya Shitsuva Groove et Compagnie
Mwegné Mmadi Artiste hors norme, venu de Moroni, Mwegne M’Madi joue pour
sa part des instruments anciens des Comores comme le gambusi,
un luth à cinq cordes et le dzendze rectangulaire que vous aurez
l’occasion de découvrir durant ce concert . Dans ses chansons, il parle autant de politique, d’amour ou de la
vie quotidienne dans un style AfroNgoma qui affleure le
continent du rock. Diho
Auteur, compositeur et interprète, Diho est à la fois
très attaché à l’inspiration de ses ancêtres et
extrêmement ouvert sur le monde. Depuis 30 ans,
il réalise une carrière discrète mais d’une grande
qualité, remarquée par les plus talentueux comme
Marcus Miller, Manu Dibango, Noël Ekwabi,
Mokhtar Samba… Il sort ainsi le titre «Ussi Shangue» qui devient un
tube intemporel à Mayotte.
En 2001, Velou Mwarabou, un des derniers maîtres
de la tradition musicale de l’île lui transmet le
dzendzé ya shitsuva. Conscient de l’importance de
cet instrument pour l’avenir musical de Mayotte, il
lui donne un renouveau avec sa transmission, sa
fabrication et sa valorisation notamment grâce au
succès du titre «Djirani». Revenu s’installer à Mayotte en 2007, Diho réussit à faire cohabiter ses multiples références pour créer
un univers Afro-blues, généreux et accessible. Il a enregistré 3 albums : Safir [2000, Mosaïc Music
Distribution], Mahaba [2007, Mosaïc Music Distribution], Mahorais Blues [2012, Africa Fête
Diffusion/Musique à Mayotte]. Contact : Association Hakuna Matata -­‐ [email protected] -­‐ Tel : 06 39 22 22 86 Facebook : Hakuna Matata / www.facebook.com/DzendzeGrooveCie Dossier de presse - Festival Dzendze Ya Shitsuva Groove et Compagnie
Abou Chihabi
Originaire de Grande-Comore, Abou Chihabi
est né en 1954. Très tôt, il compose ses
propres chansons et intègre différents
orchestres en tant que chanteur guitariste.
En 1974, il part en tournée en solo en
Tanzanie, au Kenya et en Ouganda où il fera
ses premières télévisions. De retour aux
Comores, il forme son groupe : FOLKOMOR
OCEAN, une formation d'avant-garde d’un
style original, mariant habilement les sonorités
folkloriques comoriennes, malgaches et
africaines créant ainsi le folk comorien.
En 1976, Abou Chihabi devient célèbre aux
Comores grâce à un concours organisé par le
pouvoir "révolutionnaire" du moment, qui
choisit sa composition comme nouvel hymne
national. Alors que sa carrière est en pleine
progression, un coup d'état la stoppe
brutalement en 1978, obligeant Abou Chihabi
à fuir le pays. Il s'expatrie au Kenya où il
continue ses recherches musicales. Il se
produit dans toute l'Afrique de l'Est, où il
connaît un certain succès avant de partir en
France en 1980.
Entre 1980 et 2000, Abou Chihabi fait
plusieurs tournées en France, à l’étranger et en
Outre-mer, il gagne plusieurs prix dont le
concours RFI "découverte 1981", "Jeune
chanson 82" au Quebec et il fait salle comble
au MIDEM.
C’est en 1997 qu’il enregistre son premier album "Folkomor Ocean" à Paris, suivi deux années plus
tard de l’album "Komoro Komoro" enregistré sur son île natale
Au cours des années 2000, il décide de suivre une formation de pédagogie musicale (DUMI) et il
rentre dans son archipel pour partager son savoir. C’est ainsi qu’il crée son école de musique en 2011.
Parallèlement, il continue son activité artistique, accompagne de nombreux artistes et remonte le
Folkomor Ocean pour se produire dans les Comores et l’Ocean Indien.
Abou Chihabi, aussi à l’aise à la guitare, au chant, au saxophone, à l’harmonica, qu’à la flûte
traversière offre une musique riche en couleurs qui est le fruit de ses voyages et de ses rencontres. Sur
scène, il sait marier harmonieusement les différentes facettes de son art pour créer une musique
originale qui, à l’image de l’océan, ne connaît pas les frontières.
Mélangeant musiques traditionnelles comoriennes et africaines, ballades, et influences jamaïquaines
ou encore sud américaines, Abou Chihabi se fait le chantre du multiculturalisme. C’est là l’essence
même du folkomor : une musique aux multiples couleurs qui véhicule un idéal de justice et d’amour
entre les peuples.
Contact : Association Hakuna Matata -­‐ [email protected] -­‐ Tel : 06 39 22 22 86 Facebook : Hakuna Matata / www.facebook.com/DzendzeGrooveCie Dossier de presse - Festival Dzendze Ya Shitsuva Groove et Compagnie
SOUNDI
Soundi a attrapé le virus du gaboussi dans sa jeunesse, en voyant un jour l’immense Langa jouer
durant un « patrossi », manifestation spirituelle et mystique, dérivée du vaudou, durant laquelle les
participants, essentiellement des femmes entrent en transe.
Langa lui aurait dit ce jour là, « pour
apprendre à jouer, il faut jouer sans
réfléchir. » Depuis, Soundi vit par et pour le
Gaboussi. Non seulement il demeure un des
maîtres incontestables et incontestés de cet
instrument, mais il est aussi un des rares et
authentiques fabricants des vrais gaboussis
traditionnels. Tous les « gaboussistes »
confirmés du territoire passent commande
chez Soundi pour être sûrs de disposer d’un
matériel de qualité.
Le premier album de Soundi, Tanirazanay est
une invitation à la danse, à l’envoûtement et à
la transe.
(source: Mayotte ni Ampangarivo)
DEL ZID
En explorateur de sa culture et fervent défenseur de la
musique mahoraise, Del Zid est un artiste en
perpétuelle recherche. Auteur, compositeur, il distille
une musique conciliant tradition et modernisme.
Musique traditionnelles de Mayotte et esprit grooveafro-blues purement acoustique se répondent dans un
art très maîtrisé.
EL HAD
El Had est un artiste mahorais qui souhaite faire revivre l'utende, cet art
oratoire traditionnel de l'île, malheureusement disparu dans le courant des
années 90. Afin de faire connaître et aimer cet art à la jeune génération, il
l'intègre à l'art contemporain très prisé du slam. Ses textes explorent les
potentialités poétiques du shimaore tout en abordant des thèmes sociaux
fondamentaux comme la lutte contre la ségrégation raciale, l'importance de
l'éducation des jeunes ou encore les violences faites aux femmes.
Les textes d'El Had tentent de provoquer un sentiment esthétique en
exploitant toutes les potentialités poétiques de la langue mahoraise. Mais,
tout comme dans l'utende traditionnel, son but est également de faire
passer des messages.
El Had souhaite que les Mahorais se souviennent de leurs racines et
s'ancrent réellement dans leur société.
(source : Nora Godeau/ Mayotte Hebdo) Contact : Association Hakuna Matata -­‐ [email protected] -­‐ Tel : 06 39 22 22 86 Facebook : Hakuna Matata / www.facebook.com/DzendzeGrooveCie u par la commune de Chirongui et l’association des Naturalistes,
environnement et patrimoine de Mayotte, avec la participation
des associations de la commune (Tanimalandi, Wahady,
Solution éducatrice, Mawa d’Or, AMVEL, ASPM).
‘ rendez-vous villages de Chirongui (8 heures) et Poroani
(13 heures). Un bus gratuit conduira les participants
sur les sites.
Patrimoine
du XXIe siècle,
une histoire
d’avenir
& 06 39 65 26 31
/// DZAOUDZI-LABATTOIR /
VISITES THÉÂTRALISÉES
Partez à la découverte des vestiges et lieux de culte
sacrés (ziaras).
MAYOTTE
Les Journées européennes du patrimoine sont
une manifestation organisée par le ministère de
la Culture et de la Communication mise en œuvre
par la Direction des affaires culturelles de la
Préfecture de Mayotte et la Direction des affaires
culturelles du Conseil départemental, en partenariat avec les communes et associations.
Venez très nombreux découvrir le patrimoine de
Mayotte, le week-end des samedi 19 et dimanche 20 septembre 2015, à travers des visites
guidées, des circuits découverte du patrimoine
culturel et naturel, des animations, des expositions, des initiations…
SAMEDI
u par les associations Muzdalifa (Labattoir), Maya et Kinga.
‘ Polé (14 h 30), Bassin Manga (15 heures), poteau Mariziki
(15 h 30) et Mawé-ma-Koundrou (16 heures).
& 06 39 22 14 71
/// MAMOUDZOU /
MÉMOIRE DE QUARTIERS : M’GOMBANI
Participez à une visite commentée du quartier
pour comprendre ces transformations au fil de l’histoire
et de ses histoires
u par la commune de Mamoudzou.
‘ rendez-vous devant le collège de M’Gombani (9 h 30).
& 06 39 68 96 09
ANCIENNE LÉPROSERIE
Découvrez le patrimoine naturel et culturel de la Réserve
naturelle nationale de l’îlot M’Bouzi : visite des vestiges
de l’ancienne léproserie et du sentier botanique.
u par l’association des Naturalistes, environnement
et patrimoine de Mayotte.
‘ inscription requise ([email protected]). Le nombre
de places étant limité, une participation pour assurer
le transfert sur l’îlot sera demandée.
& 06 39 67 64 96
19
SEPTEMBRE
/// BANDRABOUA /
VESTIGES DE L’USINE SUCRIÈRE
Découvrez l’histoire technique, économique et sociale
de l’usine sucrière de Dzoumogné à travers une visite
du site et une exposition.
u par la commune de Bandraboua.
‘ rendez-vous bibliothèque de Dzoumogné
(de 9 heures à 15 heures).
SAMEDI
19 ET DIMANCHE 20
SEPTEMBRE
/// BANDRÉLÉ /
& 06 39 69 71 72
/// CHIRONGUI /
CIRCUIT DE DÉCOUVERTE
Découvrez le patrimoine culturel de la commune de
Chirongui :
- 9 heures [ Tanimalandi de Chirongui ;
- 10 heures [ ancienne usine sucrière (Miréréni) ;
- 11 heures [ mosquée d’Antana Bé (Poroani) ;
- 14 heures [ mosquée d’Antana Bé (Poroani) ;
- 15 heures [ usine sucrière (Miréréni) ;
- 16 heures [ Tanimalandi de Chirongui .
ÉCOMUSÉE DU SEL
Participez à la démonstration du processus
de fabrication du fameux sel de Bandrélé, de la récolte
à la vente par les mamas shingo et découvrez
également la gastronomie mahoraise.
u par l’association des mamas shingo (ANPCBA).
& 02 69 69 54 41
/// BOUÉNI /
FOIRE ARTISANALE
Partagez la culture mahoraise à travers une foire
artisanale regroupant gastronomie locale, danses
et chants traditionnels (debaa et autres).
u par l’association Ouzouri wa m’troumché avec Bob Kira,
chiromani de Chirongui, Madania, Les Exposants d’arts du
Sud, Hairia de M'Bouanatsa, l’association de débaa de
Tsimkoura
‘ Logis du Santal (de 10 heures à 14 heures).
u par le Lycée agricole de Coconi.
‘ rendez-vous le samedi au lycée agricole de Coconi
(de 8 h 30 à 12 heures).
& 06 39 20 46 09 (Laetitia Vannesson)
/// CHIRONGUI /
CIRCUIT DE DÉCOUVERTE
Partez à la découverte du patrimoine culturel et naturel
de la commune de Tsingoni à travers sa mosquée
(classée Monument historique), son lac Karihani
et sa mangrove.
HABITAT TRADITIONNEL
Découvrez l’habitat traditionnel du gîte Banga Latrou :
- de 8 heures à 12 h 30 [ visite, démonstration de la
fabrication d’un banga traditionnel, concours
d’épluchage et de râpage de cocos et réalisation d’un
plat, le riz au coco ;
- de 12 h 30 à 14 h 30 [ gastronomie mahoraise et jus
frais maison ;
- de 14 h 30 à 16 h 30 [ apprentissage du tressage des
feuilles de cocotier et jeux à partir de ses feuilles.
u par Fahadu Malidi, dit “J’accuse”, propriétaire du gîte.
& 06 39 22 31 37
/// TSINGONI /
u par la commune de Tsingoni, l’association Gepomay,
le Conservatoire botanique national de Mascarin, Galia
et le Conseil départemental.
‘ départ de visite le samedi (8 h 30, 11 heures, 13 heures
et 15 h 30) et le dimanche (9 heures, 10 h 30, 13 heures
et 14 h 30, pas de visite de la mangrove le dimanche).
Équipements requis pour la randonnée et tenue appropriée
pour la visite de la mosquée.
& 06 39 69 80 14
/// MAMOUDZOU /
MAISON DU GOUVERNEUR
Visitez le site de cet ancien lieu de convalescence
et de villégiature.
u par l’association May’Nature.
‘ départ de visite quartier de la Convalescence (le samedi
à 9 heures et 14 heures ; le dimanche à 9 heures).
& 06 39 23 01 52
ŒUVRE ARCHITECTURALE
Entrez dans l'hémicycle du Conseil départemental
pour une visite guidée de l’œuvre architecturale
du cabinet RéA et découvrez le fonctionnement
et les coulisses de l'assemblée départementale.
u par les Archives départementales de Mayotte.
‘ Conseil départemental (de 9 heures à 17 heures)
& 02 69 64 97 97
/// OUANGANI /
SENTEURS TROPICALES
Visitez une distillerie d’ylang-ylang, l’occasion de
découvrir l’environnement de l’exploitation agricole
Aromaoré dirigée par Hassani Soulaimana.
u par Aromaoré.
‘ rendez-vous à la mairie de Ouangani le samedi (9 heures,
11 heures, 14 h 30 et à 16 heures) et le dimanche (16 heures).
Possibilité de manger sur place à 12 h 30 (plat à 10 euros).
& 06 39 39 41 42
ARBRE EMBLÉMATIQUE
Explorez, dans le cadre d’une visite commentée,
la cocoteraie expérimentale du lycée agricole de Coconi.
u par Oubeidi Dader.
‘ rendez-vous à l’exploitation agricole de Valarano,
non loin du lycée de Coconi, sur la route entre Coconi
et Kahani (10 heures et 14 heures).
& 06 39 20 46 09 (Laetitia Vannesson)
JARDIN DES ÉPICES
Découvrez le jardin des épices de Coconi,
son agencement et sa luxuriance.
DIMANCHE
20
SEPTEMBRE
/// DZAOUDZI-LABATTOIR /
MAISONS REMARQUABLES
Visitez en Petite-Terre, avec son propriétaire M. Guy,
une case créole, maison de naissance de Marcel Henry,
et la maison indienne de la famille Maimoun, la première
construite en dur en Petite Terre en 1800.
u rendez-vous en face de l’école primaire privé du Boulevard
des crabes (14 h 15 et 15 heures).
& 06 39 22 14 71
PATRIMOINE COLONIAL
Participez à une visite découverte du Rocher
de Dzaoudzi, ses bâtiments et son histoire.
u par les Archives départementales et la Direction de la culture
et du patrimoine du Conseil départemental de Mayotte.
‘ départ de visite parvis de la Résidence des Gouverneurs
(10 heures).
& 02 69 64 97 97
DÉFILÉ
Dans le cadre du festival Dzendzé ya Shitsuva, Groove et
Compagnie, assistez à un défilé inspiré de la culture
mahoraise.
u par la section couture flou du Lycée polyvalent de Dembéni.
‘ plage du Faré (de 15 h 30 heures à 16 heures).
& 06 39 22 22 86
DJEMBÉ GÉANT
Dans le cadre du Festival Dzendzé ya Shitsuva, Groove
et Compagnie, venez avec votre instrument de musique
participer au grand orchestre de percussions improvisé
et dirigé par Dédé Saint Prix.
u par l’association Hakuna matata.
‘ plage du Faré (à partir de 15 heures).
& 06 39 22 22 86
EXPOSITIONS
SAMEDI
19 ET DIMANCHE 20
SEPTEMBRE
/// DZAOUDZI-LABATTOIR /
PRÉFIGURATION DU MUSÉE DE MAYOTTE
(MUMA)
Découvrez, dans le cadre d’une visite accompagnée,
l’ancienne Caserne de Dzaoudzi en Petite-Terre,
lieu de préfiguration du Musée de Mayotte (Muma)
à travers cinq thématiques identifiées
du patrimoine mahorais.
u par la Direction de la culture et du patrimoine
du Conseil départemental.
‘ ancienne caserne (de 9 heures à 16 heures).
PATRIMOINE DE LA COMMUNE
Sous l’intitulé “D’hier et d’aujourd’hui”, partez
à la découverte de l’histoire de la commune
de Dzaoudzi-Labattoir et de ses Chatouilleuses,
à travers les expositions de photographies
zamantalouha et d’objets anciens mais également
d’animations pour les enfants.
u par la commune de Dzaoudzi-Labattoir.
‘ boulevard des Crabes et école primaire de Mroniumbéni
(de 9 heures à 17 heures) mais aussi M. Dinis (Adad) et Saïd
Ali (potier), le samedi au marché couvert et le dimanche (de
15 heures à 15 h 30, parking de l’école privée M’Roniumbeni).
LE LAGON DANS LES ARBRES
Venez découvrir les peintures d'une artiste
de Petite Terre.
u par Gwénaële Maandhui alias Maféda.
‘ parc de la Résidence des Gouverneurs
(de 9 heures à 17 heures). avec un rencontre avec l'artiste (de
10 heures à 11 heures).
& 06 39 21 85 15
/// MAMOUDZOU /
L’ATELIER D'ARCHITECTURE REA
Venez découvrir 25 ans de créations architecturales
contemporaines à travers l’œuvre d’un architecte
visionnaire, Attila Cheyssial.
u par les Archives départementales de Mayotte.
‘ Jardins du Conseil départemental de Mayotte
(de 9 heures à 17 heures).
& 02 69 64 97 97
ZIARAS DE MAYOTTE
Pénétrez dans l'intimité des “lieux cultuels
dans les espaces naturels” et découvrez les rites,
croyances et pratiques des Mahorais dans les ziaras,
sites sacrés.
u par la DEAL en partenariat avec l’association des Naturalistes,
environnement et patrimoine de Mayotte et Achoura Boinaïdi.
‘ Comité du tourisme (de 9 heures à 16 heures).
Prolongement jusqu’au 27 septembre 2015
mais fermé le dimanche 20 septembre 2015.
& 02 69 61 09 09
& 06 39 22 14 71
/// Les Journées européennes du patrimoine (JEP)
sont une manifestation organisée par le ministère
de la Culture et de la Communication, manifestation
gratuite et ouverte à tous les publics.
/// Une signalétique conduisant aux sites de visites
sera mise en place dans les villages.
/// Le programme est consultable en ligne :
www.mayotte.pref.gouv.fr et www.cg976.fr
(programme sous réserve de modifications)
/// Contact : [email protected]
et 02 69 63 00 48 ///
Les JEP 2015 sont mises en œuvre à Mayotte par
en partenariat avec les communes de
Bandraboua / Bandrelé / Chirongui /
Dzaoudzi-Labattoir / Mamoudzou / Tsingoni
et l’implication de l’association ANPCBA, Aromaoré
Conservatoire botanique national de Mascarin / Galia /
Gépomay / Hakouna matata / “J’accuse” / Kinga / Lycée
agricole de Coconi / Mama Shingo / Maya / Mayotte 1ère /
May’nature / Mouzdalifa / Naturalistes, environnement
et patrimoine de Mayotte (réserve naturelle de l’îlot
M’Bouzi), Ouzouri wa M’troumché, sans oublier
MM. Dinis, Saïd Ali, Dédé Saint Prix, Guy et Maimoun.
© DAC Préfcture 2015 / ArmenFactory Mayotte ([email protected]) / Kaprim Mayotte ([email protected])
JOURNÉES
EUROPÉENNES DU
PATRIMOINE
19-20
SEPTEMBRE
2015