Communiqué - Six Media

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Communiqué - Six Media
Communiqué
Pour diffusion immédiate
Le nouvel album disponible le 3 juin
BRANDI DISTERHEFT
Blue Canvas
Source : Justin Time
Informations : Simon Fauteux
[email protected]
Larissa Souline
[email protected]
SIX media marketing inc.
514 544-7013
70, rue Molière suite 201, Montréal
(Québec) H2R 1N8
www.sixmedia.ca
Montréal, juin 2016 – Faisant suite au fort bien reçu
Gratitude (2012), la chanteuse-contrebassiste Brandi
Disterheft lance Blue Canvas, son troisième album sur
l’étiquette montréalaise Justin-Time. Elle y est accompagnée
de deux légendes du jazz, le chevronnée pianiste hard
bop Harold Mabern et le batteur Joe Farnsworth.
Enregistré l’été dernier à Montréal, Blue Canvas présente
une formation classique d’un trio jazz. En ce sens,
Brandi Disterheft retourne à ses racines musicales, à
son adolescence en Colombie-Britannique, lorsqu’elle
s’initiait au jazz en accompagnant sa mère qui jouait du
piano. Maintenant dans la trentaine, Brandi Disterheft
accompagne à merveille le doigté chargé d’émotions
de Mabern, lui-même jeune de 80 ans. Celui-ci, en vrai
gentleman, lui rend la pareille en accompagnant avec
une grande sensibilité les solos de Brandi. Sur la pièce
« Crippling Thrill » et sur deux autres pièces originales
– la pièce titre et « When the Mood is Right » – elle
courtise la muse, autant dans son jeu de contrebasse
que dans son chant et ses paroles, lesquelles sont obsédantes
sans toutefois tomber dans le sentimentalisme. Elle
débute aussi au violoncelle sur cette dernière, rendant
hommage au passage au légendaire Oscar Pettiford.
Sur le reste de l’album, le trio varie les humeurs et les
tempos avec brio, notamment grâce au groove vif de
Farnsworth. Les points forts de l’album incluent une
rhapsodie singulière de « Daahoud » de Clifford Brown,
une promenade sur « Beehive » de Mabern, et une
reprise rafraichissante de la version originale de « Willow
Weep for Me ».
Compositrice prolifique, Brandi Disterheft dit avoir
écrit les pièces originales de l’album spécifiquement
pour le trio. Entre les pièces de Brandi Disterheft et
certains incontournables du jazz – l’ouverture avec
« Dis Here » de Bobby Timmons, « Our Delight » de
Tadd Dameron et « Georges Dilemma » de Clifford
Brown – la musique de Blue Canvas se dessine sur le
canevas d’une myriade de couleurs et de lumières sans
jamais obscurcir ses contrastes. Dans le livret qui
accompagne Blue Canvas, la polyvalente musicienne
se remémore les Muses de la Grèce antique et la façon
dont ces déesses amenaient l’artiste dans un état d’extase.
Ce sont ces sentiments qui l’amènent à dire que
« l’album raconte l’histoire de cette évasion à la recherche
de la liberté et ce sentiment de prendre vie. »