Invitation - Galerie Alain Daudet

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Invitation - Galerie Alain Daudet
Quand tu vas, balayant l’air de ta jupe large, tu fais l’effet d’un beau vaisseau qui prend le large, chargé de toile, et va roulant suivant un rythme doux, et paresseux , et lent.
Quand tu vas, balayant l’air de ta jupe large, tu fais l’effet d’un beau vaisseau qui prend
Te souviens- tu, enfant, des jours de ta jeunesse et des grandes forêts où tu courais, pieds nus, rêveuse et vagabonde, oubliant ta détresse, et laissant le zéphyr baiser tes bras charnus?
le large, chargé de toile, et va roulant suivant un rythme doux, et paresseux , et lent.
âme était mise et pour la déranger du rocher de cristal où, calme et solitaire elle s’était assise… J’aime son air superbe et sa robe indécente laissant voir les rondeurs de sa
rêveuse et vagabonde, oubliant ta détresse, et laissant le zéphyr baiser tes bras charnus?
Et son bras et sa jambe, et sa cuisse et ses reins, et son ventre, et ses seins, ces grappes de ma vigne, s’avançaient, plus câlins que les anges du mal pour troubler le repos où mon
Te souviens- tu, enfant, des jours de ta jeunesse et des grandes forêts où tu courais, pieds nus,
gorge charnue à la forme abondante qu’admirent les sculpteurs. Mystère de plumes et de couleurs, apprends - moi qui tu es au-delà de nos mots… Je remplace, pour qui me voit nue
et sans voiles, la lune, le soleil, le ciel et les étoiles
Et son bras et sa jambe, et sa cuisse et ses reins, et son ventre, et ses seins, ces grappes de
! Elles exposent à l’envie leurs rondeurs attendrissantes. Elles courent, volent. Eclatantes de forme et de dynamisme ou
ma vigne, s’avançaient, plus câlins que les anges du mal pour troubler le repos où mon âme
indolentes et rêveuses, elles nous éblouissent par leurs tenues chamarrées et l’audace de leurs déshabillés. Rayonnantes de vie, pulpeuses et plantureuses à souhait, elles réconcilient
avec un brin d’humour et beaucoup d’aisance, maternité et séduction, désir et pureté, poésie et quotidien. Baudelaire - Eric Pichelingat - Bianca Saura
était mise et pour la déranger du rocher de cristal où, calme et solitaire elle s’était
Quand tu vas, balayant
assise… J’aime son air superbe et sa robe indécente laissant voir les rondeurs de sa gorge
l’air de ta jupe large, tu fais l’effet d’un beau vaisseau qui prend le large, chargé de toile, et va roulant suivant un rythme doux, et paresseux , et lent. Te souviens- tu, enfant,
des jours de ta jeunesse et des grandes forêts où tu courais, pieds nus, rêveuse et vagabonde, oubliant ta détresse, et laissant le zéphyr baiser tes bras charnus?
charnue à la forme abondante qu’admirent les sculpteurs. Mystère de plumes et de couleurs,
Et son bras et sa
apprends- moi qui tu es au-delà de nos mots… Je remplace, pour qui me voit nue et sans
jambe, et sa cuisse et ses reins, et son ventre, et ses seins, ces grappes de ma vigne, s’avançaient, plus câlins que les anges du mal pour troubler le repos où mon âme était mise et
voiles, la lune, le soleil, le ciel et les étoiles
pour la déranger du rocher de cristal où, calme et solitaire elle s’était assise… J’aime son air superbe et sa robe indécente laissant voir les rondeurs de sa gorge charnue à la
le soleil, le ciel et les étoiles
et rêveuses, elles nous éblouissent par leurs tenues chamarrées et l’audace de leurs déshabillés.
! Elles exposent à l’envie leurs rondeurs attendrissantes. Elles courent, volent. Eclatantes de forme et de dynamisme ou indolentes et rêveuses, elles
Rayonnantes de vie, pulpeuses et plantureuses à souhait, elles réconcilient avec un brin
nous éblouissent par leurs tenues chamarrées et l’audace de leurs déshabillés. Rayonnantes de vie, pulpeuses et plantureuses à souhait, elles réconcilient avec un brin d’humour et beaucoup d’aisance, maternité et séduction, désir et pureté, poésie et quotidien. Baudelaire - Eric Pichelingat - Bianca Saura
d’humour et beaucoup d’aisance, maternité et séduction, désir et pureté, poésie et quotidien.
Quand tu vas, balayant l’air de ta jupe large, tu fais
Baudelaire - Eric Pichelingat - Bianca Saura
l’effet d’un beau vaisseau qui prend le large, chargé de toile, et va roulant suivant un rythme doux, et paresseux , et lent. Te souviens- tu, enfant, des jours de ta jeunesse et des
grandes forêts où tu courais, pieds nus, rêveuse et vagabonde, oubliant ta détresse, et laissant le zéphyr baiser tes bras charnus?
! Elles exposent à l’envie leurs rondeurs
attendrissantes. Elles courent, volent. Eclatantes de forme et de dynamisme ou indolentes
forme abondante qu’admirent les sculpteurs. Mystère de plumes et de couleurs, apprends - moi qui tu es au-delà de nos mots… Je remplace, pour qui me voit nue et sans voiles, la lune,
Quand tu vas, balayant l’air de ta jupe
large, tu fais l’effet d’un beau vaisseau qui prend le large, chargé de toile, et va rou
Et son bras et sa jambe, et sa cuisse et ses reins,
josepha
josepha
œuvres récente s
vernissage en présence de l’artiste
le jeudi 24 septembre de 18 heures à 21 heures
à cette occasion, josepha dédicacera
son dernier livre d’art
24 septembre I 28 novembre 09
exposition en ligne des bronzes & résines I www.galeriealaindaudet.com
CARTON RECTO
G É NÉ REU S E, L’ ŒU V RE D E J O S EP H A L’ ES T PA R N AT U R E .
N
ée en 1950 dans le Sud-Ouest ,
vit et travaille dans la Drôme. Sous les doigts
de l’art i ste, la re ch e rche de la beauté
devient une source d’émotion to u j o u rs
renouvelée, une découve rte permanente
pour elle comme pour le spectateur.
P ro l i fi que, sa création nait d’un jeu
des matières et des sens où la seule règle
est de transmettre l’émotion, le plaisir.
Exploratrice to u j o u rs éblouie de la matière,
elle met en forme le foisonnement
de son imagination avec spontanéité
et Josepha de connaître l’art subtil de capter
le rega rd. Son talent, vivant et poétique,
s’affirme d’emblée à trave rs la te r re et le bronze.
Avec le polye ster, il prend une dimension onirique,
c a r a c térisé par des formes féminines essentielles,
mises en valeur par la luxuriance de la couleur.
Elle souligne l’arabesque d’une hanche,
la ligne élancée d’une jambe,
et le mouvement devient alors indispensable
au charme et à l’harmonie des silhouet tes.
Face à de telles ny mphes, re flets de nos émotions
dans le miroir de l’art, règne une atmosphère
p a rt i c u l i è rede grâce et de légèreté.
Par une étrange magie, l’œil devient complice
de ces femmes qui ne prennent pas la pose
mais qui se révèlent dans leur intimité ,
souvent tro u b l a n tes, troublées…
Josepha ouvre nos cœurs à la poésie du rêve,
transformant la matière bru te en une œuvre
si réussie de volupté et de bienveillance.
Son unive rs est celui de l’amour, de la tendresse
et de la beauté et l’artiste fait vibrer
la matière de ses mélodies délicates et élast i ques.
Ce côté débridé, cet te pet i te once de folie
bien symp a th i que, sont les clés de son originalité.
Car Josepha ose, là ou d’autres hésite n t!
Sans a priori, elle met en forme
les foisonnements de son imagination
avec spontanéité.
Dansons sous la pluie
H 98 cm - Bronze
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CARTON VERSO
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la galerie est ouverte du lundi après-midi au samedi de 9h30 à 12h30et de 14h à 20h et sur rendez -vous