De la Servitude Volontaire.
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De la Servitude Volontaire.
De la Servitude Volontaire. Encore un excellent article de Jean Claude Verges, qui nous fait réfléchir. Algarath ______________________________________________________________ _____ Nous sommes asservis parce que nous le « voulons », in fine, au plus profond de nous-même, dans la plus petite partie de nous, inaltérable, inatteignable quelque soit l’arme utilisée pour la pervertir. C’est un « choix » en toute souveraineté, conscient, inconscient, cela n’a pas beaucoup de sens à cette profondeur. Je suis le « souverain » le monarque absolu de moi-même, par essence. Nous faisons un « choix » stratégique de vie : vivre, profiter d’un temps précieux et fini, le moins d’ennuis, le plus de confort, en s’engageant dans un chemin calibrant nos pratiques, qui nous semble être la meilleure solution pour notre épanouissement. Zapper les problèmes, ne pas penser, ne pas trop réfléchir trop profond, éviter tout ce travail « prise de tête », ne conduit ni plus ni moins qu’à se « laisser » transformer en zombie. Mais le réel nous rattrape toujours en venant frapper à notre porte . Qui sera capable d’évaluer l’impact négatif permanent, sa force de destruction pour notre santé mentale de cette simple réalité banalisée sciemment : qui est de croiser 10 humains comme vous et moi « clochardisés » (par qui ? Par euxmême ?), sur 100 mètres de trottoirs de notre « Ville Lumière », vitrine bling bling de nos avancées technologiques, ou de ces millions de mensonges déversés quotidiennement par le système directement dans notre cerveaux par son ingénierie intrusive. Et voici la question qui tue : où est le progrès là-dedans ? C’est un choix. Et faire un choix c’est être libre. C’est poser un acte, une création, et cela donne le vertige. C’est aussi recevoir sur la tête une responsabilité qui pèse 100 tonnes : les possibles conséquences de ses erreurs. Le vertige d’être seul face à un vide abyssal sans aucun repère car c’est une création. Être mouton est très confortable, vous ne serez jamais tenu responsable de vous être trompé de route et de faire chuter le troupeau de la falaise. Un exemple via le procès de Nuremberg, et les excuses des bureaucrates érigées en système de défense. Les plus méthodiques criminels de guerre nazis : « Je n’ai fait qu’exécuter les ordres c’est le « devoir » de tous bons militaires « soumis » à un gouvernement « démocratique ». Mon travail consistait à faire qu’un train parte d’un point A et se rende à un point B (camp d’extermination) » Et je lui ferais ajouter, pour ceux qui ne le savent pas encore : « Messieurs les censeurs, ce sont vos banques qui nous ont financé ». Le petit soldat médecin, auréolé de son écharpe-serment d’Hippocrate, bureaucratisé, suit les consignes de santé officielles. Qu’elles soient établies par des vrais scientifiques mais faux-culs à la botte des labos pharmaceutiques multinationaux sans fois ni lois, n’est pas son problème. « Ce n’est pas moi, petit individu qui a fait les lois n’est-ce pas ? » Il participe au crime en sachant parfaitement qu’il empoisonne son « patient ».( Le mot est parfait, mais cette qualité à des limites.) Il le sait parce que tout zombie qu’il est , il a comme les autres des éclairs de lucidités, le plus souvent quand il croise son regard dans un miroir d’un œil un peu plus inquisiteur, traversant comme du beurre ses remparts de protections. On appelle cela une lueur d’intelligence, ou d’espoir c’est selon, c’est la même chose. Qui d’autre qu’un médecin a les moyens de démêler le vrai du biaisé parmi tous les rapports d’experts ? Voilà sa part de responsabilité, son levier sur le monde, mais « lanceur d’alerte » est devenu dangereux, criminel, passant la barrière ténue de la loi. La justesse de cette acte de foi humaniste est indestructible et inaltérable : c’est notre « esprit » par rapport à l’esprit de la loi que l’on a déplacé, dégradant un peu plus les valeurs morales. Les scandales horribles médicaux ne manquent pas, cherchez ce qui rapporte le plus : vaccinations, traitement du cholestérol (maladie inventée de toute pièce par l’abaissement du taux « normal »), trithérapie (un médicament qui commence par tuer vos « pompiers », un banc pour les scientifiques!). Le système via la médecine fabrique ses malades vaches à lait, rente à vie. Une étude aux résultats hallucinants : 95% des cancérologues à la question : vous feriez-vous traiter par la chimiothérapie si vous aviez un cancer ? ont répondu : « SURTOUT PAS » Fermez le banc ! Ils participent au crime mais comment ce fait-il que leurs cerveaux n’explosent pas par cette dissonance cognitive radicale ? Des maladies apparaissent soudainement (bonjour Mr Darwin aux mutations lentes) avec une progression exponentielle, et l’on peut même dater leur genèse : une campagne monstrueuse de communication pour promouvoir un changement alimentaire majeure. C’est que les labos de « Big pharma » ont des participations croisées avec « Big food », si je ne m’abuse à voir des complots partout. Citons Woody : « Ce n’est pas parce que je suis paranoïaque que quelqu’un n’essaie pas de me tuer. » Certains évaluent le nombre de mort du à l’empoisonnement généralisé (n’oublions pas les « Chemtrail), à plusieurs dizaines de MILLIONS de morts par an. Derrière l’anonymat feutré que procurent les mil paravents de sociétés écrans, il y a trônant au conseil d’administration, un bon père de famille qui décide d’un trait de plume, de rayer du monde x millions d’êtres humains. Non pas pour gagner de l’argent, mais pour en faire UN PETIT PEU PLUS, et finir le plus riche du cimetière. Chacun d’entre nous avons une part de responsabilité, parce que chacun d’entre nous avons une paire de Nike cousu de fil blanc par des esclaves de 8 ans. Je n’en ai pas mais j’en ai d’autres, un ordinateur par exemple. Il faut bien composer avec ce système pour tenter de vivre, mais jamais cette réalité ne sera chez moi balayée sous le tapis et oubliée, par commodité ou confort moral. La preuve en est que je l’écris ici noir sur blanc, et ne serai jamais le relais pour leurs narratives. C’est le minimum, et cela ne coûte pas cher, quelques amis qui ne supportent plus que ce miroir ne leur renvoie pas « c’est toi le plus beau ». Chacun a sa part de responsabilité à son niveau de courroie de transmission. Il suffit de casser sa courroie, le problème est le système de redondance multiple. Mon rêve absolu récurrent pendant mon enfance : être un mouton zombie comme les autres. Avoir des copains qui ne vous soupçonnent pas d’être un E.T, ne plus penser, ne plus réfléchir, ne plus avoir à traiter des milliers de questions, cacophonie permanente, dès l’âge de 7 ans : « c’est quoi la mort, et la vie, et pourquoi le sable est sable, qu’est ce que je suis, qu’est ce que le monde va devenir »…... et t’essaieras, et t’essaieras…. Ce mode de fonctionnement à un nom, appris depuis peu : H .P.E. Un éveil, une mutation majeure du cerveau ? Toute médaille à son revers : c’est un enfer mais heureusement tout est en dualité, en équilibre dynamique. Celui qui n’ouvre pas ses yeux en grand sur les horreurs du monde réel, se prive de sa beauté. Un conseil, commencez par la beauté car elle seule est infinie. Vraiment, rien de vas plus, mais le monde n’est pas une loterie. A chacun de faire son choix. Jean Claude Verges 15 Août 2016 pour algarath.com