De la Servitude Volontaire.

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De la Servitude Volontaire.
De la Servitude Volontaire.
Encore un excellent article de Jean
Claude Verges, qui nous fait réfléchir.
Algarath
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Nous sommes asservis parce que nous le « voulons », in fine,
au plus profond de nous-même, dans la plus petite partie de
nous, inaltérable, inatteignable quelque soit l’arme utilisée
pour la pervertir. C’est un « choix » en toute souveraineté,
conscient, inconscient, cela n’a pas beaucoup de sens à cette
profondeur. Je suis le « souverain » le monarque absolu de
moi-même, par essence.
Nous faisons un « choix » stratégique de vie : vivre, profiter
d’un temps précieux et fini, le moins d’ennuis, le plus de
confort, en s’engageant dans un chemin calibrant nos
pratiques, qui nous semble être la meilleure solution pour
notre épanouissement. Zapper les problèmes, ne pas penser, ne
pas trop réfléchir trop profond, éviter tout ce travail
« prise de tête », ne conduit ni plus ni moins qu’à se
« laisser » transformer en zombie.
Mais le réel nous rattrape toujours en venant frapper à notre
porte . Qui sera capable d’évaluer l’impact négatif permanent,
sa force de destruction pour notre santé mentale de cette
simple réalité banalisée sciemment : qui est de croiser 10
humains comme vous et moi « clochardisés » (par qui ? Par euxmême ?), sur 100 mètres de trottoirs de notre « Ville
Lumière », vitrine bling bling de nos avancées technologiques,
ou de ces millions de mensonges déversés quotidiennement par
le système directement dans notre cerveaux par son ingénierie
intrusive.
Et voici la question qui tue : où est le
progrès là-dedans ?
C’est un choix. Et faire un choix c’est être libre. C’est
poser un acte, une création, et cela donne le vertige. C’est
aussi recevoir sur la tête une responsabilité qui pèse 100
tonnes : les possibles conséquences de ses erreurs. Le vertige
d’être seul face à un vide abyssal sans aucun repère car c’est
une création.
Être mouton est très confortable, vous ne serez jamais tenu
responsable de vous être trompé de route et de faire chuter le
troupeau de la falaise. Un exemple via le procès de Nuremberg,
et les excuses des bureaucrates érigées en système de défense.
Les plus méthodiques criminels de guerre nazis : « Je n’ai
fait qu’exécuter les ordres c’est le « devoir » de tous bons
militaires « soumis » à un gouvernement « démocratique ». Mon
travail consistait à faire qu’un train parte d’un point A et
se rende à un point B (camp d’extermination) » Et je lui
ferais ajouter, pour ceux qui ne le savent pas encore :
« Messieurs les censeurs, ce sont vos banques qui nous ont
financé ».
Le petit soldat médecin, auréolé de son écharpe-serment
d’Hippocrate, bureaucratisé, suit les consignes de santé
officielles. Qu’elles soient établies par des vrais
scientifiques mais faux-culs à la botte des labos
pharmaceutiques multinationaux sans fois ni lois, n’est pas
son problème. « Ce n’est pas moi, petit individu qui a fait
les lois n’est-ce pas ? » Il participe au crime en sachant
parfaitement qu’il empoisonne son « patient ».( Le mot est
parfait, mais cette qualité à des limites.) Il le sait parce
que tout zombie qu’il est , il a comme les autres des éclairs
de lucidités, le plus souvent quand il croise son regard dans
un miroir d’un œil un peu plus inquisiteur, traversant comme
du beurre ses remparts de protections. On appelle cela une
lueur d’intelligence, ou d’espoir c’est selon, c’est la même
chose. Qui d’autre qu’un médecin a les moyens de démêler le
vrai du biaisé parmi tous les rapports d’experts ?
Voilà sa part de responsabilité, son levier sur le monde, mais
« lanceur d’alerte » est devenu dangereux, criminel, passant
la barrière ténue de la loi. La justesse de cette acte de foi
humaniste est indestructible et inaltérable : c’est notre
« esprit » par rapport à l’esprit de la loi que l’on a
déplacé, dégradant un peu plus les valeurs morales.
Les scandales horribles médicaux ne manquent pas, cherchez ce
qui rapporte le plus : vaccinations, traitement du cholestérol
(maladie inventée de toute pièce par l’abaissement du taux
« normal »), trithérapie (un médicament qui commence par tuer
vos « pompiers », un banc pour les scientifiques!). Le système
via la médecine fabrique ses malades vaches à lait, rente à
vie.
Une étude aux résultats hallucinants :
95% des cancérologues à la question :
vous
feriez-vous
traiter
par
la
chimiothérapie si vous aviez un cancer ?
ont répondu : « SURTOUT PAS » Fermez le
banc !
Ils participent au crime mais comment ce fait-il que leurs
cerveaux n’explosent pas par cette dissonance cognitive
radicale ?
Des maladies apparaissent soudainement (bonjour Mr Darwin aux
mutations lentes) avec une progression exponentielle, et l’on
peut même dater leur genèse : une campagne monstrueuse de
communication pour promouvoir un changement alimentaire
majeure. C’est que les labos de « Big pharma » ont des
participations croisées avec « Big food », si je ne m’abuse à
voir des complots partout. Citons Woody : « Ce n’est pas parce
que je suis paranoïaque que quelqu’un n’essaie pas de me tuer.
»
Certains évaluent le nombre de mort du à
l’empoisonnement généralisé (n’oublions
pas les « Chemtrail), à plusieurs
dizaines de MILLIONS de morts par an.
Derrière l’anonymat feutré que procurent les mil paravents de
sociétés écrans, il y a trônant au conseil d’administration,
un bon père de famille qui décide d’un trait de plume, de
rayer du monde x millions d’êtres humains. Non pas pour gagner
de l’argent, mais pour en faire UN PETIT PEU PLUS, et finir le
plus riche du cimetière.
Chacun d’entre nous avons une part de responsabilité, parce
que chacun d’entre nous avons une paire de Nike cousu de fil
blanc par des esclaves de 8 ans. Je n’en ai pas mais j’en ai
d’autres, un ordinateur par exemple. Il faut bien composer
avec ce système pour tenter de vivre, mais jamais cette
réalité ne sera chez moi balayée sous le tapis et oubliée, par
commodité ou confort moral. La preuve en est que je l’écris
ici noir sur blanc, et ne serai jamais le relais pour leurs
narratives. C’est le minimum, et cela ne coûte pas cher,
quelques amis qui ne supportent plus que ce miroir ne leur
renvoie pas « c’est toi le plus beau ». Chacun a sa part de
responsabilité à son niveau de courroie de transmission. Il
suffit de casser sa courroie, le problème est le système de
redondance multiple.
Mon rêve absolu récurrent pendant mon enfance : être un mouton
zombie comme les autres. Avoir des copains qui ne vous
soupçonnent pas d’être un E.T, ne plus penser, ne plus
réfléchir, ne plus avoir à traiter des milliers de questions,
cacophonie permanente, dès l’âge de 7 ans : « c’est quoi la
mort, et la vie, et pourquoi le sable est sable, qu’est ce que
je suis, qu’est ce que le monde va devenir »…... et
t’essaieras, et t’essaieras….
Ce mode de fonctionnement à un nom, appris depuis peu :
H .P.E. Un éveil, une mutation majeure du cerveau ? Toute
médaille à son revers : c’est un enfer mais heureusement tout
est en dualité, en équilibre dynamique.
Celui qui n’ouvre pas ses yeux en grand sur les horreurs du
monde réel, se prive de sa beauté. Un conseil, commencez par
la beauté car elle seule est infinie.
Vraiment, rien de vas plus, mais le monde
n’est pas une loterie.
A chacun de faire son choix.
Jean Claude Verges
15 Août 2016 pour algarath.com