Grands succès à la - UFDC Image Array 2

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Grands succès à la - UFDC Image Array 2
r^ièmé année No 3Ô76
I
Toit au Fnrcc,iiaiti
JJCTEOR-FROPRIETAIRE
^ntMAGLOlRK
JUGISTFAT COMMUNAL
flUUO 15 CENriMM
DEPARTEMENTS
.
G:
2.00
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800
Nous souffrons be «ucoup
<tu peu qui nous manque
et1 nous jouissons peu du
beaucoup que nous avons.
fTRANGEa
Ipoii
Quotidien}
-Ce$ sont reçues au Comptoir h '•
lïTpubiicité, 9 R°* Troochet, P».
,t î}, Ludgate HiJ], Londret;
REDACTION; Kue,Américaine No, KuS
fBE
DE PARIo
'IKLrU'UOM-' .,
Grands succès
à
la
6
CAUSERIE FEMININS
Une curieuse appli
cation de la
1 i!)r lirip dll SVIllilt '^ '°' homaîlie téléphonie 9GM fil
lu douterait pas du tout
Ljlagiève générale. P2ris a
oôiié habituelle et ses hôa nombreux, car on voit
caravanes en automo[onsmeet les taxis recomtravailler sérieusement.
I Paris est triste. Malgré
les hôtes de Paris s'enïce qu'on observe rigoulk couvre (eu à dix heures
_ moyen de souper, de
ion élégance et de cherKDUtions, toul ce qui laide l'aris avant la
lion ce qui attire les riches
lie»Américains du Nord et
[ilors.comme ils s'ennuient
lont lait quelques achats,
vont... à Bruxelles où
ge.tacile, gaie, dépourrrctioLS.
nous manquons d un
let notamment de char
ise sociale que nous tra
ipoint fiite pour améittuires. Aussi, n'ose-t on
protester contre le régime
t impo.é a la ville de
des plaisirs. Cependant
ilemtyen de développer
liions tt d améliorer notre
Ide décourager les Anglo
jà nous rapportaent un
Urgent qu'ils ont gagné
pais cinq ans. L:s milmient et voilà qu'on les
« Réussir i, Roman de Louis de
Robert
G. 6 75
cLedrame mystérieux» du
théâtre de l'ans
7 >o
« .... Mais Vivre » par
Marcel Berger
575
Psychologie du raisonnemeit
par E. Keignand
15
Le système d Anstote par
U. tiamelin
16
Dans lts util du Sud par
L. R. Stevenson
7 /o
L'Ile heureuse par Avesnes
7 30
L'Ame étrangère, Marcelle Adam ) 7;
Vbrepar It Di Serge Voionoit 10
Latte blanche pur |ean Cocteau 0
Petit manuel uu parlait avanttrier , p.r Piene Mac Orian 4 50
La dermèie tsarine par
Ch. et H. Omeasa
6
La tragédie Sibérienne, J.Lasies 7 jo
Psychologie de la guerre par
rieary Spont
7 00
Leçons de la Guerre ; L'Aéronautique par Ct Uitlieb
9 00
Leçons de la Guerre ; Alimentation
et lavitaillement parK LigendieNoo
Leçons de la Guerre. L'industrie Irau
çaise pai L. Guillet et |. Durand y 00
Ltçjns de la Guerre. Les leçons mi«
lita res de la Guerre par
Ct Bouvard
9 00
1 e< ons de la Gueire.Maiineetguerre
r avale par Cne dilùej VaschalUe y 00
La bataille de Poch par
Raymond Recouly
5 00
Où va 1 ou ? pai René Besnard 0 00
La résurrection de la chair par
iiemy Boideaux
7 co
Alctste par André Gybal
5 00
i i uli par Rou ain Rolland
b 00
L« coutume des ancêtres par
Charles Renel
5 00
l'occasion, ces jours de cours d une enquête que e
anser avec les directeurs
magasins de nouveautés,
couturiers célèbres de la
Paix, avec des antiquaires,
inanimés à déclarer qu:
prenaient bonne tournure
l'ai visité ce Salon avec le cortège
dilncuités de se procurer
►tt de trouver de la main Olticiel qui accompag ia:t M. et Mme
On allait repartir, on re- Dischanel. l'avais réuisi i me glisser
voici que certaines char entie les huissiers de la Présidence
nouvelles menacent de e. les agents de poice,beaucoup trop
nombreux, jusque derrière la prési(mettre.
Hl'opim sme des princes dente.M. Honorât, ministre de l'Insttde la nouveauté, des truction Publique et Jes Beaux-Arts,
lart Uacçais, ne se décou celui auquel nous devons la fiction
lune demandent qu'une de Iheure d'été, même en hiver,
«veairà nous les étran- donnait le bras i Mme Deschanei.
'■*« les retenir à Paris. M. lioaorat, surnom né le «camitorplus, ils viennent de rade Jwkê », pour avoir arrêté; le
[Vus sont capables de tous soleil, est un grani homme brun,
aitistiques et financiers.Ils d'aspect sévère.U.'puis que \i le vo.s
'« Saloi des Arts appli - i la Chimbre, je ne t'tVAtl jiuttil
* »»$te installation, qui vu sourire. ' L'autre jour, au buttet
K* la terrasse des Tuileries du Salon, lorsqu'il ol( it une coupe
11
me de Rivoli, depuis c e Champagne a la prés.deiite, son
«["qu'au Louvre, et qui v.sage souaam s éclaira et u nous
ln
» d'un million à cons- apparut gracieux. C'est qu'il veaait
>«ménager, sans compter ds vo r tant dî cliosei élégint;s,
'PiUcolieis de chaque expo groupées avec art, en compagne de
I manifeitation la plus écla la prem ère d^s Parisien les, que son
J'ûtelligenc; et du goût des âme sévère eu étiit Ijuts rasserêaïk.
Parisiens de la nouveauté, Gomment ae pas voir la vie en IOSJ
créateurs de choses char d ns le décor magaiùque du hall
"«licales desquelles dépen des granis magasins, où chaque
entres industries de pro maLon avait rivalisé d'inginioiilé
«la soierie,des étofte-s, dans la mise en scéae d.«s toilettes
1S
» dei tapisseries, de la les p.'OJ exquises et les plus trouJ»«lameublement, etc.. blantes I. ..
ARSENE
'1 imagination et de l'esWive des grands artistes
V» inventent, les modèles,
Jf*-> et, en un mot, font
«rai: |e s,snal de la pros£>s si l'on savait en tirer
Pour Homme-, et pour Dîmes j
r ■Ffement permettre â ces
f Chez Léonide SOL\GES
giive et d audace de traRue Courbe,
Pau unis/
Paaauias /
La danse sur le feu et l'eau
Hlie Faure
6 00
le soif il se lève par Iules Mary 5 00
Anatomie sentimentale
Porto Riche
S 00
N.ole marie e par Mathilde Alanic 675
l'.aiur de Cluti-auxet de grandes mai
sonsjeux nouveaux BaroQoeStatf 3 00
La dansa devant le miroir,
François de Cu el
2 ]j
La lemme noimale dans la
société nouvelle
3 50
L?s écrivain; contemporains de
l'Amérique espagnole
; 7J
Huit jouis a V/maillei par
Paul Guiycr
10
A/acamb.ia par Caello Ne.lo
S OJ
Le corn nandemeat unique par
Mcrmeix
7 00
Les peup.es d'uitrê ne Orient*
La Glîine
6 i)
Dialogues d hier par
Maurice Donnay
6-75
NJS poètes et la pensée de
leur temps
3 00
Série à O 60 centimes
La closerie des gêné s, Fred. Sou
lié. Chatte.ton, Aured ue Vigny, ta
vite Viiic, L. B. Picard. Le Lncvalier
a la mode, Dancouil. Louis XI, Ga
simu Delavigne. Le bjnhomme ji
dis, llemy Margar
Les leçons de danse. Valse hésitation
les nouveaux pas du tango, la valse
le triple bostou a
G I 2J
La R.vue des deux mondes
2 50
La Revue universelle
2 50
London News
1 50
Le Matin* le |oumal, ie Petit
Parisien, les 7 Nos
1 os
Le Figaio, le Temps, l'Excelsior
les 7 Nos
1 75
mm
i
Une bien curieuse expérience de
Tout è'.re créé tbéit à une règle ; téléphonie sans ril vient d'être réush s ai cm. s a'agtè^ent pour tonner sie par la Compagnie Marconi et par
des coi(B stlon lea lois de la tolié- le « ûal.y Mail ». Un reporter de ce
tion et de l'allinitc ; les ubiits bout journal rtçut un petit appareil qu'on
lOOttODf dans leur course à travers lui présenta comme un récepteur
I espace par les lois de la gravitation de téléphouie sans lil. Puis il fut
et de la p. sari eur ; les végétaux se invué à aller ae piouienur à la camd ;vi loiipeut dans I liarmuuie de pagne, où il voudrait. Aucun itinéleurs prupoi MOUS ; les animaux qui raire in lui fut imposé. Oi lui resuit pourvus do«soiis» suivent leuis commanda s mpiemeni de porter
mstinctS' 1 - | i i- cou Istoot dans le l'appireil sous sou giletjet de ne
p aiiir, daus u r c 1 iciie de la jooli point s e 1 dessaisir.
suiee qui sat.sfsu uuis appet't5,leur
A'ora que notre homme déambut- :,.-il)...; ■. L liouiuij qui est un aui lait tranquillement parmi les bruyèmal, u donc des «sens»,d'où l'attrait res eu il m s à uue vingtaine de
ues pies sensuelles • mais il est uus kilo no res du centre de la « City ».
si un "ai mal ramo.iuabie'1 et le il fut BOoditn interpelle par la voix
xeicico di sa lenaib.lité est ^oiidi de so 1 dut de service, vuix paraisuu ma par une faculté supérieure, sant sortir du mystérieux apoareil :
U raison qui devient 'la 101 do sa
« U.i i.ondie, disait catte voix,
vie ■ et l'exprim », se maniles'e par vient d éclater à la Syuagogie d«
la conscieucetl 1 HiBhoptgitj. A'U./. y tout u^ auite
Ua tait domine to 1 os le3 existen et voyez d? q 101 il retourna».
ces humaines, à savoir, que des dsbit le prem, •>■ reporter appelé à
vu is corresponde .t à dea droits, à son service par nn appareil nidivides besoins. Suis tir* ses besonu, due', de T. S. f. se hâta vers la plus
exercer ses «Iroi'.s.-ans se soucier des P o:he stac on, songeant certainedioi.s et «les b.'sj.us d auirui.c'estvi uien qu'ave: cas uiveutions diaDovreendehorsdela.ci.c est glorifierOQ liques il sera disorinus impossible
monstrueux egol ue.à 1 imitation ûd de s'isoler uu seul instant du tourla Oete dont le p!a sir rè^ie les sens billon dei ailiireaparce qu allée ne coonaisseot pas la
A lieu paisiuks vacances/ Le proiaisun. La vie u.i ■ de l'homme con- grèi voua a taén,
siste à les dompter puur rottliser le
. ■
■
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1
u
m»».
b.6D.
Ce bien, c'est ce qui convient à
la nature parlaite C'est l'harmonie,
l'intégrité, ia pureté, ce qui donna a Elle OH formé', par la 'lchéco~
la vie sa plus uaute vaieur. L'or est
Hlovajuie, la Serbie el
pur quaud il o»l sans alhage, l'air
la Hûuma*iî.
quand il est sans microbes, l'eau
MOI souillure, le vin saus mélange
Rome li Aon • — D.aprèa le iGior
le cœur quaud il ignore le ViOt» le nale d'itoha» d aujourd bai. un acgoul quand il exclut le i.u 1, la cous cord a été couclu eutte les gouvercience tjuaud elle est sans supins- ii.j.i..Miis de i'iague, Ujlgiada et
mes, les uiucura sont puies quaud Buchareat, qu on appelle la « petite
elles sont nettee.
entente » pour la défense muiuellu
De sorte qu ou aboutit à cette cou de la Tchéco Slovaquie, la Serbie et
Cluoion que la loi de la vie humaine la lîoumame cotitie la Russie ou
est la puieté dans les pensées et lea des eunems dans les Balkans,
actes et que si chacun vivait selon
Ce journal d • laie que l'heure ac-
Lu petite entente
sur la terre dans un collège de jus. dSïÏÏUÏMtSLiStSHS
Di l'usage du tabac ffJM^.^SSUÏBS!
msister sur lexecution du pacte de
Vue bravt Anglaisé vient Je mourir
à l dgi de 1 c 8 uns.
Cette centenaire jumait la t)ipe depuis
l'âge Je i/uaranle ans.
Celle pipe Je terre blanchi ne lui coûta qu un penny Un ne connaissait pat, à
celU époque là, encore, la vie chère.
Pendant soix vite huit ans, mistress
A/un Bran um ne laissa pour ainsi
Jire pas elem.tre sa pipe, qui devint
brune puis noue —tnpassant par toutes
les gammes du noir, depuis le noir mulâtre
iii-qu au noir f ,ire part. Comme celuici e ail atteint 11 pipe et sa propriétaire
S éteignirent Idoles tes deux»
\011s Aidions celte petite bit cire à la
Limite contre [abus du tabac, Sut Joute que celle ligue ne réponde que si misiras Mary li/winam navait pas famé
elle aurait peut être atteint tdge Je Mathan'ain qui mourut comme chacun
sait, " loge respectable Je y6y ans.
D oit il taui conclure que cette histoire,
comme toutes les histoires, J ailleurs, ne
pro tue tun..
Vente à (taueau
E 1 vertu d ordre de Mr Geo A.
l'ayue, u„e..t ue la l'ioyds, 11 seia
procède ie vendredi 1U baptembie a
li; Denrée du matin en face du bu
reau du port .1 la vente à l'encan des
ar'.ichs suivons :
OU sacs environ de farine avariée
1 glaces urisées, da grands morceaux de ruarhie Hour tombe.
Moiitbruu Kl.IL
Lucautçur; public
tice et d hoi.tieur.il s'en laut que ce
magnifique résultat soit obtenu.
La Justice est le plus souvent subordonnée à l'iuiéiv. propre, l'boo
neur aux conveuauces particulières.
N'admet on pas deux uiorules dilté
rentes pour les deux sexes '.' Les épi
tiiêtes mulaonnantcs piodi^uées a
celles qui sont sorues du dioit che
uni) ne déviaient elles pas s'apiyli
quer aux hommes "tombée", dégra
ues, déchus .'N'étaient ils pus uuh
g-?s de vivre la "loi iiumaïue ', de
Châtier leurs sens '.' So imeilre la aau
Huahté a la 101 morale 1 la conscicace
n'est pas seulement le devoir d uue
poitiou de I iiuma:i:te, mais de tou e
1 nu ,lande. <j u devient-elle quand
ce devoir es. viole 1 Qu'arrive t'il de
l'être doi.t lajoJisaauce es. la aeôie
loi
01'.' Sa voljnte saltaibli ; aoa ctuur
'•tropbie; si seusiuilité se parvenu;
s..! organes véhiculent des maladies
lunciinuiahies ; la ruine, les larmes,
le deuil s'emparent de so.» loyer. La
mal Bocial amsi causé est lucommousureble. Mirambeau mourant
avouai; qu'il était impossible d'éva
luer le tort lait à ia chose publique
par ses dérùgiemeuid
nu'est ce eaooie qui vivre sa vie !
C eat dire ce <tui se dit, taire ce qui
lait, au lieu ue dire ce qui es. et de
fane ce qu'oudoit : c'eei se confor*
mer en tout à la mode d'aller daus
lea réunions, de voir les spectacles,
d arborer I -s tjiluttes qui ion.
de suivre les coaveraa'.ions dûd-.c'.icir les nouues m"'iis et empê
cnent de ioihser les actes d-'.hdea'.
Uau.e d.aail do Ljatriie
"6)0 re
ya d tit si pu qu'il donne la paix.
Oe coup'teu J U04UTIM »t de I. .
Loudrea, tout en laiaaaut Kiuuu
s uccuperde sapropreiudépeudance.
Faille 1
Y aille!
Chez ETESSE MONSANTO
Chipeaux pour horam;s, tiuires,
paille i pour garçonnets, fillettes, gai
mes et (ormes pour dames,
peinture gros et détail
Bonbons assortis.
vivant leur v,e pourrait on faire
cet éloge .'
Ce qui est plus puisjaut que tou
t<s les formul-js, c est I exemple S'
Fraoçoii d assise disait à ses lrôrea
Al oaa prêcher- U parcourait silen
c. \;rii;.u.ni les rues de la vule et sa
vue seule était un discours éloquent
La tenue parle plus haut qjé toute
parole.
U ne faut pas considérer la vie
comme le train d'une pure mécani
que. d'une machine & produire des
iouiasances et du luxe ce u'est pas le
u avait d une béte de somme : et»
n'eàt pas même leffort don être»
simpleinant raiscmuable, mais Lac
liou la plus, sublime qui se uerouie»
daus le monde,l'osant Û% la volonté.
RQumisj à la loi de lellan pour 1»
co.iquo.e du vrai, du beau ut du
bien, pour lhaimonie du droit et de
la raison, de I ordre esjuuel révélé
à la eoosciaocc pire, spauagas di
l'être humain perfectionnéSuzanne CAUUN
IûîS