BNSSA Epreuve n°4 QCM Secourisme

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BNSSA Epreuve n°4 QCM Secourisme
BNSSA Epreuve n°4 QCM
Secourisme :
1. Que signifie le sigle P.S.E.1 ?
A. Prévention de sécurité en équipe de niveau 1.
B. Premiers secours en équipe de niveau 1.
C. Premiers sauvetage en équipe de niveau 1.
D. Aucune des trois réponses.
2. Quelles sont les différentes étapes de prise en charge d’une victime ?
A. La protection, l’alerte, l’intervention, l’hospitalisation.
B. L’intervention, la sécurité, l’alerte, la prise en charge par les services de
secours, l’hospitalisation.
C. L’alerte, l’intervention, l’hospitalisation.
D. Aucune des réponses n’est exacte.
3. Dans quel(s) ca(s) effectue-t-on un dégagement d’urgence ?
A. Dés qu’il y a une victime, pour lui administrer les gestes d’urgence
vitale.
B. Soustraire la victime de la foule.
C. Soustraire la victime à un danger réel, vital, immédiat et contrôlable.
D. Soustraire la victime se trouvant dans un lieu ou dans une position ne
permettant pas de réaliser les gestes d’urgence vitale.
4. Quelle est la fréquence respiratoire chez un nourrisson ?
A. 40 à 60 respirations par minute.
B. 30 à 60 respirations par minute.
C. 30 à 40 respirations par minute.
D. Aucune des réponses n’est exacte.
5. Quel(s) est (sont) le(s) signe(s) de l’obstruction totale ou quasi-totale des voies
aériennes ?
A. La victime ne peut plus ouvrir la bouche.
B. La victime peut respirer uniquement par le nez.
C. La victime ne peut plus dire « oui ».
D. La victime tousse énormément.
6. La victime s’étouffe et est consciente :
A. Je l’allonge et je préviens les secours.
B. Je l’observe, lui parle et lui tape dans le dos.
C. Je préviens les secours et la rassure.
D. Aucune réponse n’est exacte.
7. La victime d’étouffement a 14 mois et est inconsciente, dans un premier
temps :
A. J’effectue des compressions thoraciques.
B. Je lui tape dans le dos.
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C. Je pratique 5 insufflations.
D. Aucune des réponses n’est exacte.
8. Une bouteille d’oxygène suffit-elle à une intervention complète ?
A. Oui.
B. Non.
C. Je ne sais pas.
D. Ça dépend en partie de sa pression.
9. Quel est le débit d’oxygène apporté à une victime de 14 mois en inhalation ?
A. 3 l/min.
B. 6 l/min.
C. 9 l/min.
D. Ça dépend de son état.
10. Dés qu’une victime présente une hémorragie,
A. Je lui fais un garrot.
B. J’appuie sur le saignement.
C. J’allonge la victime.
D. Aucune des réponses n’est exacte.
11. En ce qui concerne le garrot : quelle est la ou quelles sont les affirmations
exactes ?
A. Je peux utiliser n’importe quel lien pour le réaliser.
B. Je peux le faire sur n’importe quelle partie de la jambe ou du bras.
C. Même correctement réalisé, n’arrête pas toujours l’hémorragie.
D. Il supprime la circulation du sang dans le membre concerné entre
l’extrémité du membre et sa position.
12. Quelle est la conduite à tenir en cas de découverte d’une victime inconsciente ?
Quelle(s) est (sont) la (les) réponses exactes ?
A. Lui faire 2 insufflations…
B. Lui faire des compressions thoraciques…
C. La secouer…
D. Lui parler fortement, prévenir les secours…
E. Aucune réponse ne semble exacte.
Aspects juridiques et réglementaires concernant la sécurité et le
sauvetage aquatique :
1. Que signifie le sigle B.N.S.S.A. ?
A. Brevet national de sécurité et de sauvetage aquatique
B. Brevet de natation, de sauvetage et de secourisme aquatique
C. Brevet national de secourisme et de sauvetage aquatique
D. Brevet national de sauvetage et de sécurité aquatique
2. Une fois le B.N.S.S.A. obtenu, son titulaire peut l’utiliser :
A. Toute sa vie ?
B. Pendant 4 ans et 11 mois ?
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C. Pendant 5 ans ?
D. Pendant 10 ?
3. Quelles sont la ou les missions de la personne titulaire du B.N.S.S.A. ?
A. La surveillance des baignades et l’enseignement de la natation.
B. La surveillance des baignades ouvertes gratuitement au public aménagées et
règlementairement autorisées et des baignades d’accès payant sans dérogation.
C. La surveillance des baignades ouvertes gratuitement au public aménagées et
règlementairement autorisées, des baignades dans le cadre d’un centre de
vacances et de loisirs et des baignades d’accès gratuit dans des piscines
privatives à usage collectif.
D. La surveillance des baignades ouvertes gratuitement au public aménagées et
règlementairement autorisées, des baignades d’accès payant avec dérogation.
4. Quel peut-être le statut d’un B.N.S.S.A. ? Quelle est la ou quelles sont les réponses
exactes ?
A. Non titulaire de la fonction publique territoriale.
B. Opérateur territorial des activités physiques et sportives.
C. Educateur territorial des activités physiques et sportives.
D. Aucune des trois réponses précédentes.
5. Quelles responsabilités, le titulaire du B.N.S.S.A., peut-il se voir engager ?
A. Des responsabilités civiles, pénales, administratives.
B. Des responsabilités civiles, pénales, morales.
C. Des responsabilités uniquement civiles.
D. Des responsabilités uniquement pénales.
6. Le maire a des responsabilités en matière de sécurité. Quelles sont-elles ? Quelle est
la ou quelles sont les affirmations exactes ?
A. Il doit veiller à la sécurité des biens et des personnes dans son département.
B. Il a l’obligation de veiller à la sécurité des biens seulement, dans sa commune.
C. Il est responsable de la police des baignades et des activités nautiques sur son
territoire terrestre et aquatique.
D. Il doit veiller à la sécurité des biens et des personnes dans sa commune.
7. Le maire a des pouvoirs de police relatifs à la baignade. Quelle est la ou quelles sont
les affirmations exactes ?
A. Il peut procéder à une arrestation.
B. Il a compétence pour règlementer la baignade.
C. Il peut établir un arrêté pour règlementer l’accès de la plage.
D. Il peut sanctionner, par procès verbal, un contrevenant à l’un de ces actes
administratifs.
8. Le maire exerce ses fonctions sur :
A. Les baignades aménagées uniquement.
B. Les baignades libres.
C. Les baignades interdites.
D. Toutes les baignades.
9. Le maire a pouvoir de police sur les baignades sur tout le territoire de sa commune.
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Quelle est la ou quelles sont les réponses exactes ?
A. Sur tout le domaine fluvial.
B. Sur tout le domaine terrestre.
C. Sur tout le domaine maritime
D. Sur le domaine maritime de la laisse de mer jusqu’à la bande de 300 mètres.
10. En cas de défaillance du maire, qui est compétent pour le suppléer ?
A. Vous, le B.N.S.S.A., en tant qu’employé du maire.
B. Votre chef de poste.
C. Le préfet.
D. Le préfet maritime, par l’intermédiaire du C.R.O.S.S..
11. Quelle est la zone de compétence du préfet ?
A. Le département.
B. La région.
C. La commune.
D. Les trois zones.
12. En milieu maritime, où commence et où s’arrête le domaine de compétence du préfet
maritime ?
A. De la laisse de mer à la bande des 300 mètres.
B. A partir de la bande des 300 mètres.
C. A partir de la laisse de mer.
D. Aucune des trois réponses n’est exacte.
13. Que signifie le sigle C.R.O.S.S. ?
A. Conseil régional opérationnel de surveillance et de sauvetage.
B. Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage.
C. Centre régional opérationnel de sécurité et de sauvetage.
D. Conseil régional opérationnel de sécurité et de sauvetage.
14. Quelles sont les missions du C.R.O.S.S. ?
A. Surveillance et coordination de la baignade.
B. Recherche et sauvetage maritime.
C. Surveillances des pêches maritimes, des pollutions marines, de la navigation
maritime.
D. Diffusion des informations liées à la sécurité de la navigation.
E. Gestion opérationnelle d’un poste de secours.
15. Quel est l’organisme qui surveille directement la navigation maritime ?
A. Le C.R.O.S.S.
B. Le sémaphore.
C. Le préfet.
D. Le maire.
16. Les eaux de baignade doivent faire preuve d’une certaine qualité. Qui peut être
amené à la contrôler ?
A. La direction départementale des affaires sanitaires et sociales.
B. Le B.N.S.S.A.
C. Le maire
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D. Le B.E.E.S.A.N
E. Le directeur de l’établissement
17. Le décret et les arrêtés du 7 avril 1981 modifiés par l’arrêté du 28 septembre 1989
fixent les normes de la qualité des eaux de piscines. Quels paramètres ces textes
prennent-ils en considération ?
A. Le chlore actif et le chlore inactif.
B. Le pH.
C. Les matières organiques et les bactéries.
D. Les germes totaux, les coliformes totaux, les coliformes thermotolérants.
E. Les staphylocoques pathogènes.
18. L’eau de piscine doit être :
A. Désinfectée.
B. Désinfectante
C. Transparente
D. Claire et très peu irritante
19. La pratique des activités nautiques est règlementée. Pour pouvoir tirer une personne
en ski nautique à l’aide d’un véhicule nautique à moteur :
A. Il faut simplement avoir son permis adapté à la conduite d’une telle
embarcation.
B. On peut être titulaire du brevet d’Etat de moniteur de ski nautique.
C. Il faut être deux pilotes à bord de l’embarcation.
D. Il faut naviguer à l’intérieur de la bande des 300 mètres.
20. La pratique de la planche à voile :
A. N’a pas de réglementation spécifique.
B. La navigation peut se faire de jour comme de nuit.
C. Un anneau de remorquage, ainsi qu’un gilet de sauvetage ou combinaison sont
obligatoire.
D. Il est interdit de naviguer à moins d’un mille des côtes.
21. La pratique de la voile :
A. Il est interdit de pratique la voile à plus de 2 milles d’un abri.
B. Le port de la combinaison n’est pas obligatoire.
C. L’accès au rivage n’est pas règlementé.
D. La navigation peut s’effectuer à tout moment de la journée.
22. Que représente un mille nautique ?
A. Un kilomètre à peu près.
B. Une embarcation.
C. Deux kilomètres à peu près.
D. La distance entre deux côtes.
23. Où peut-on pratiquer le surf ?
A. Dans n’importe quelle zone de baignade.
B. Au delà de la bande des 300 mètres.
C. Dans une zone où la baignade n’est pas aménagée, ni surveillée.
D. Dans une zone réservée et délimitée.
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24. Quel organisme a des pouvoirs de police en matière de pêche en mer ?
A. Le maire.
B. Le préfet.
C. Le directeur des affaires maritimes.
D. Le C.R.O.S.S.
25. Quelle est ou quelles sont les affirmations exactes ?
A. Il est possible de pêcher dans un port et de vendre le produit de sa pêche sur
autorisation.
B. Les personnes possédant un titre de navigation peuvent pêcher à l’aide de
matériels autorisés.
C. La taille des prises n’a pas d’importance si on dispose d’une autorisation.
D. Aucune des réponses n’est exacte.
26. Quel organisme règlemente la chasse sous-marine ?
A. Le maire.
B. Le préfet.
C. Les affaires maritimes.
D. Le C.R.O.S.S.
27. Quelle est ou quelles sont les affirmations exactes ? Pour pratiquer la chasse sousmarine :
A. Il faut être âgé au minimum de 18 ans.
B. Il est possible d’utiliser du matériel de plongée sous-marine.
C. Il est interdit d’utiliser un fusil à gaz comprimé.
D. Il est possible de pêcher la nuit sur autorisation.
E. Le plongeur devra se signaler.
28. Que signifie le sigle P.O.S.S. ?
A. Plan d’organisation de la surveillance et des secours.
B. Plan d’organisation de la sécurité et du sauvetage.
C. Prévention sur l’organisation de la surveillance et du secours.
D. Prérogatives sur l’organisation de la sécurité et du secours.
29. Quel est l’objectif d’un P.O.S.S. ?
A. Prévenir les accidents, préciser les procédures d’alarmes et les procédures
d’alerte, préciser les mesures d’urgence en cas de sinistre ou d’accident, au
sein d’une piscine.
B. Décrire les installations de l’établissement, exposer les caractéristiques des
bassins, identifier le matériel de secours et les moyens de communication.
C. Prévenir les accidents, préciser les procédures d’alarmes et les procédures
d’alerte, préciser les mesures d’urgence en cas de sinistre ou d’accident, pour
les baignades en mer.
D. Décrire les installations du poste de secours en mer, exposer les
caractéristiques de la plage, identifier le matériel de secours et les moyens de
communication.
30. Que contient un P.O.S.S. ?
A. Il regroupe l’ensemble des mesures de prévention des accidents liés aux
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activités aquatiques, de baignades et de natation et de planification des secours.
B. Un descriptif accompagné d’un plan d’ensemble des installations.
C. Les caractéristiques des bassins et des zones d’évolution du public.
D. L’identification du matériel de secours disponibles pendant les beures
d’ouverture au public.
E. L’identification des moyens de communication dont dispose l’établissement.
31. Quels éléments doivent être affichés dans l’enceinte des établissements de baignade
accueillant du public ?
A. Le circuit de l’eau.
B. Les tarifs et horaires.
C. La température extérieure et le taux d’hygrométrie.
D. Le P.O.S.S., le règlement intérieur, la déclaration d’établissement d’activités
physiques et sportives.
E. Les diplômes du personnel chargé de la surveillance des bassins.
Textes sur l’organisation et la sécurité des lieux de baignade
1. Quelle est la première loi qui impose la qualification de son personnel pour la
surveillance des baignades d’accès payant ?
A. La loi de 1884.
B. La loi du 24 mai 1951.
C. La loi du 12 juillet 1978.
D. La loi du 16 juillet 1984.
2. Selon l’arrêté du 6 juin 1994, est-il possible de se présenter en candidat libre à
l’examen du B.N.S.S.A. ?
A. Oui.
B. Non.
C. Sous certaines conditions.
D. Accompagné d’un B.E.E.S.A.N.
3. Que régit la loi du 1er juillet 1901 ?
A. Le diplôme du M.N.S..
B. Le diplôme du B.N.S.S.A.
C. Le contrat d’association.
D. La qualification des baignades aménagées.
4. L’article 43 de la loi du 16 juillet 1984 a institué une règle : laquelle ?
A. Quiconque disposant d’un diplôme de surveillance de la baignade peut
enseigner la natation contre rémunération.
B. Il est possible de surveiller une baignade aménagée si l’on est titulaire du
B.N.S.S.A..
C. Nul ne peut enseigner la natation s’il n’est pas titulaire du brevet d’état
correspondant.
D. Le P.O.S.S. est obligatoire dans les établissements de bain d’accès payant.
5. Quel texte impose la garantie de la surveillance des établissements de baignade
d’accès payant par du personnel titulaire d’un diplôme leur donnant le titre de Maître
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nageur sauveteur, pouvant être assisté de personnel titulaire d’un diplôme figurant sur
une liste arrêté par le ministre chargé de la sécurité civile et le ministre chargé des
sports ?
A. Le Décret du 15 avril 1991.
B. L’arrêté du 22 juin 2011.
C. L’arrêté du 23 janvier 1979.
D. L’arrêté du 20 juin 2003.
6. L’arrêté du 23 janvier 1979 modifié par l’arrêté du 22 juin 2011fixe :
A. Les modalités de délivrance du B.E.E.S.A.N.
B. Les modalités de délivrance du B.N.S.S.A.
C. Les modalités de la vérification du maintien des acquis.
D. Aucune des trois réponses n’est exacte.
7. Quel texte est relatif au plan d’organisation de la surveillance et des secours dans les
établissements de natation et d’activités aquatiques d’accès payant ?
A. L’arrêté du 16 juin 1998.
B. Le décret du 15 avril 1991.
C. L’arrêté du 23 janvier 1979.
D. L’arrêté du 20 juin 2003.
8. Si l’on interprète l’arrêté du 27 mai 1999 relatif à la sécurité des équipements dans les
établissements de baignade d’accès payant, on peut en déduire que :
A. L’installation des toboggans aquatiques et des plongeoirs doivent comporter un
panneau, placé suffisamment en amont, précisant les usages, interdictions ou
précautions d’utilisation.
B. Il peut être installé des matériaux coupant sur les banquettes et jardinières
inférieures à 2,50 mètres de haut, afin que les usagers ne puissent les franchir.
C. Un bouton d’arrêt d’urgence des équipements particuliers est situé dans le local
de l’infirmerie des maîtres nageurs sauveteurs.
D. Les parois et le fond des bassins doivent être de couleur claire.
E. Un nageur peut être retenu par les bouches de reprises des eaux.
9. D’après l’arrêté du 20 juin 2003 fixant les modalités d’encadrement, les conditions
d’organisation et de pratique de certaines activités physiques dans les centres de
vacances et les centres de loisirs sans hébergement. Quelle(s) affirmation(s) est (sont)
exactes ?
A. Les enfants du groupe peuvent se baigner librement dans une zone où la
baignade est surveillée, aménagée et règlementée, dans des conditions
d’encadrement suffisant.
B. Si 6 animateurs sont présents dans l’eau, 33 enfants, dont 24 de 5 ans et 9 de 7
ans, peuvent se baigner en piscine.
C. Si 7 animateurs sont présents dans l’eau, 33 enfants, dont 24 de 5 ans et 9 de 7
ans, peuvent se baigner dans le cadre d’une baignade non aménagée et non
surveillée, avec du matériel adapté pour le balisage des zones de baignade.
D. Le B.N.S.S.A. est indispensable pour toute baignade de ce genre.
E. Aucune réponse n’est exacte.
10. Les lois 22 juillet 1987 et du 13 août 2004 précise quel organisme gère l’organisation
des secours. Est-ce :
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A.
B.
C.
D.
Le maire ?
La sécurité civile ?
La fédération française de sauvetage et de secourisme ?
La société nationale de sauvetage en mer ?
11. La loi du 3 janvier 1986 dite « loi littoral » permet :
A. L’accès des piétons aux plages privées.
B. L’accès de tout véhicule à moteur sur la plage.
C. Au maire d’organiser et de règlementer la baignade au delà de la limite des 300
mètres à compter de la limite des eaux.
D. Au maire d’établir un arrêté municipal interdisant l’accès des chiens à la plage
et à la baignade.
E. Aucune réponse n’est exacte.
12. Le code général des collectivités territoriales regroupe, au sein de ses articles,
quelques obligations légales faites au maire. Quelles affirmations sont exactes ?
A. Le maire règlemente la pratique du kite surf de la laisse de mer jusqu’à la
bande des 300 mètres.
B. Il est le responsable de la mise en œuvre des secours en cas de noyade à 150
mètres du bord.
C. Le maire n’est pas responsable des baignades qu’il a signifié aux risques et
périls des usagers.
D. Le maire peut voir sa responsabilité engagée en cas d’incident ou d’accident
dans le cadre d’une baignade interdite, s’il n’a pas effectué de publicité
précisant l’interdiction.
13. La circulaire du 19 juin 1986 précise le classement des catégories de baignade,
l’organisation de la surveillance et l’organisation des secours…
Quelle(s) affirmation(s) est (sont) exactes ?
A. Il est formellement interdit de se baigner dans les lieux de baignade classés
dangereux et aux risques et périls des usagers.
B. La baignade ne peut s’effectuer que dans les emplacements aménagés à usage
de baignade qui font l’objet de dispositions particulières destinées à assurer la
sécurité des baigneurs.
C. Un poste de secours peut être un mirador d’au moins deux mètres carrés.
D. Le poste de secours doit être situé sur le sable, au milieu de la plage.
E. Le poste de secours doit disposer d’eau et d’électricité.
14. Quel texte réforme les catégories de navigation ?
A. L’arrêté 30 septembre 2004.
B. L’arrêté du 1er janvier 2005.
C. La circulaire du 19 juin 1986.
D. La loi du 13 août 2004.
15. En ce qui concerne, l’arrêté du 14 septembre 2004 portant prescription de mesures
techniques et de sécurité dans les piscines privatives à usage collectif, quelles sont les
affirmations exactes ?
A. Ce texte impose l’élaboration d’un P.O.S.S. pour ce genre d’établissement.
B. Ce texte impose l’élaboration d’un plan de sécurité pour ce genre
d’établissement.
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C. Ce texte s’applique aux hôtels, aux campings, aux piscines d’habitation ou
ensemble d’habitation.
D. Cet arrêté ne s’applique pas aux établissements de natation d’accès payant.
E. Tout équipement ou matériel nécessitant une utilisation particulière doit
comporter un panneau d’explication.
Signalisation d’un poste de secours
1. Comment doit être signalisé un poste de secours ?
A. Uniquement, sur un bâtiment peint en blanc, par un panneau rectangulaire de
couleur blanche avec la mention « poste de secours » en lettres rouges.
B. A l’aide de panneau du type « flèche de Genève », seulement.
C. Par un panneau rectangulaire de couleur blanche avec la mention « poste de
secours » en lettres rouges, devant le poste de secours.
D. Aucune des réponses n’est exacte.
Signalisation des aires (notées aides dans le texte) et matérialisation des
lieux de baignade :
1. Quelle(s) affirmation(s) est (sont) exactes ?
A. Sur la plage, les zones de baignades sont matérialisées uniquement par des
panneaux fixes blancs avec des inscriptions bleues foncées.
B. Il faut, car cela est toujours possible, délimiter le grand bain et le petit bain par
des bouées flottantes orangées, reliées entre elle par un filin.
C. La zone de surf est indiquée par un fanion rouge avec un point vert en son
centre.
D. La bande des 300 mètres est délimitée par des bouées de formes sphériques de
même dimension, dont le diamètre n’est pas inférieur à 0,80 mètre.
Balisage :
1. Sur des lieux de baignade aménagée, surveillée et règlementée :
A. Les bouées du chenal sont toujours rouges à bâbord et vertes à tribord.
B. Les bouées, permettant le balisage du plan directeur de balisage, sont toutes
jaunes.
C. Les marques cardinales indiquent les points dangereux pour les baigneurs.
D. Le chenal est toujours réservé aux embarcations à moteur.
Dispositions matérielles d’organisation et d’activation des postes de
secours :
1. Dans le cadre de leurs missions, les B.N.S.S.A. nécessitent de matériels. Quels sontils ?
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A.
B.
C.
D.
E.
Un téléphone portable.
Une embarcation qui peut être un catamaran.
Une planche de surf.
Des pansements.
Une bouée.
Mise en œuvre des moyens d’alerte :
1. Que prévoit un plan de secours ?
A. Des moyens physiques et matériels en cas de sinistre.
B. Des moyens publics et privés susceptibles d’être mis en œuvre en cas de
catastrophe.
C. Les modalités de recrutement des personnels de secours.
D. Aucune réponse n’est exacte.
Connaissance et diffusion des informations météorologiques :
1. Quels sont les appareils pouvant indiquer certains phénomènes météorologiques ?
A. Baromètre
B. Thermomètre
C. Girouette
D. Hygromètre
E. Anémomètre
Mesures conservatoires :
1. Quelles sont les mesures conservatoires à effectuer en cas d’accident ?
A. La ventilation artificielle.
B. La protection.
C. Les bilans.
D. L’alerte.
E. L’utilisation de l’oxygène.
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