Kendall Harteel

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Kendall Harteel
Kendall Harteel 2012
TRADUCTION
« Tres son los rasgos esenciales que caracterizan la traducción: ser un acto de
comunicación, una operación entre textos (y no entre lenguas) y un proceso mental ».
De manera más concreta, asegura que la traducción es « Un proceso interpretativo y
comunicativo consistente en la reformulación de un texto con los medios de otra lengua
que se desarrolla en un contexto social y con una finalidad determinada ». (Hurtado;
2001: 40).
RÉFLEXION
Ci-dessous, je réfléchirai de manière globale à ma façon de traduire. Lorsque je traduis,
l’un de mes principaux objectifs est d’arriver à transmettre, de la façon la plus naturelle
possible, l’information et le message du texte original. Pour cela je dois recréer le plus
fidèlement possible le contenu et respecter le thème principal du texte. Il est nécessaire
que le texte d’arrivée soit rédigé de la meilleure façon possible pour que nos futurs
lecteurs comprennent tout et très facilement et, que les textes leurs paressent naturels
quand ils les lisent.
J’ai essayé de suivre les meilleures méthodes ou techniques et stratégies pour mener à
bien mes traductions. Pour y arriver, il est important de savoir face à quels genre ou
type de texte nous sommes. Un autre objectif est de faire attention à la structure pour
enchainer correctement les idées pour que cela ait un sens en français. Puis, finalement,
détecter tous les possibles problèmes ou difficultés pour les résoudre et ainsi créer une
bonne traduction. Il faut aussi consulter de bonnes sources comme des sites web
officiels ou des textes parallèles en plus des dictionnaires. Ceci nous permettra d’écrire
un texte parfait pour nos récepteurs.
Pour commencer, les sources documentaires que j’ai consultées sont divers
dictionnaires, papier ou en ligne, des sites web et d’autres documents. (Voir
bibliographie).
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L’un des dictionnaires que j’ai consulté est le Larousse bilingue français-espagnol,
tant la version papier comme l’électronique. Il m’a permis de trouver certains mots que
je ne connaissais pas ou dont je n’étais pas sûre. Le Larousse m’a été d’une grande aide
car c’est un dictionnaire reconnu et fiable qui offre un grand nombre de traductions très
utiles. Il m’a aussi permis de trouver les définitions de mots qui ne sont pas
nécessairement connus du public et que j’ai expliqué dans les commentaires de chaque
texte. Cependant, ce dictionnaire n’est pas le plus complet pour les définitions, donc j’ai
décidé de développer l’information à l’aide du TLFI, le Trésor de la Langue française
informatisé. C’est un dictionnaire très utile car il nous donne la plupart des mots mis en
contexte, chose intéressante lorsque l’on se trouve, par exemple, face à une unité
phraséologique et qu’on ne la comprend pas.
Autre source utilisée est le WordReference, non seulement utile pour la traduction de
mots, mais aussi pour trouver des synonymes en espagnol quand on veut simplifier un
vocable. Le forum du WordReference est également un autre bon outil. Bien que
certaines informations doivent être vérifiées, tout le monde peut y écrire, les données
que l’on nous donne ne se refusent pas ; de plus, les diverses idées et l’échange de
celles-ci nous permet de concevoir une traduction de plusieurs manières. Dans ce forum
j’ai cherché comment on traduit « art Macro-esquemático », je ne l’ai pas trouvé en
français, mais en voyant comment ça se traduit en anglais ça m’a aidé, cela m’a permis
de voir qu’on peut opter pour une traduction littérale. Finalement, LEDICTIONNAIRE, m’a permis de trouver des synonymes en français quand un mot se
répétait trop souvent, pour donner plus de forme à notre traduction et ne pas la rendre si
monotone.
D’autre sources documentaires consultées sont les traducteurs automatiques, le
Reverso, le traducteur de Google et Apertium. Certes, ce ne sont pas des sources
fiables à 100%, mais elles peuvent nous donner des traductions de phrases qui, même si
elles ne sont pas souvent correctes, nous donnent un aperçu d’une solution possible.
Cependant, il faut être très prudent avec ces traducteurs, il ne faut pas copier les phrases
sans les avoir vérifiées. De toute façon, faire cela ne serait pas correct et il est clair que,
à ce stade de nos études, ce type de « dictionnaire multilingue » ne peut pas nous offrir
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une traduction appropriée car il ne connaît ni le contexte ni le message ou information
générale du texte.
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Finalement, j’ai utilisé certaines pages web pour m’aider avec certaines informations,
noms ou autres organisations. Comme par exemple Wikipedia, qui peut toujours être
utile même si, à nouveau, il est important de consulter diverses. Cela m’a aidé parce que
c’est un site web qui parle souvent de lieux de pays ou d’endroits connus et le traduit
correctement quand on change la langue de la page web. C’est de cette façon que j’ai
vérifié que « Granada » soit réellement « Grenade » ou que pour traduire « Mulhacén
», en espagnol, nous sommes obligés de mettre « le mont Mulhacén » en français. Ce
n’est pas l’unique site web qui m’a été d’une grande utilité. Quand nous sommes arrivés
à la traduction de textes qui parlent de l’UE, les pages officielles telles que l’Union
européenne, La Commission européenne ou le Centre de Traduction de l’Union
européenne, m’ont été d’une aide précieuse. Rien de tel que des sites spécifiques qui ne
parlent que de ce qui nous intéresse, avec des possibles traductions déjà publiées, pour
traduire un texte correctement plus facilement. Cependant, ce ne sont pas les uniques
sites que j’ai consultés. Pour le texte « Bienestar », j’ai trouvé des pages web de
tourisme ou publicité d’hôtel avec des termes spécifiques du bien-être, qui m’ont servis
comme textes parallèles ; et dans les cas du texte « ARIANE », j’ai consulté le site
officiel d’ARIANE.
Tous ces outils m’ont été utiles pour recréer la fonction du texte qui n’est autre
qu’informer le lecteur sur un sujet. Ce que j’ai fait pour récréer de manière naturelle le
texte et ses aspects techniques c’est utiliser les structures et la syntaxe adéquate en plus
des mécanismes et termes spécifiques qui soient équivalents dans la langue d’arrivée.
En ce qui concerne la méthodologie, j’ai suivi un certain nombre de pas pour mener à
bien mes traductions.
Au moment de la lecture il ne faut pas oublier de mettre en place des stratégies de
lecture, c’est-à-dire, repérer l’organisation des idées et détecter les difficultés. Cela
permettra d’être plus efficace au moment de traduire. La lecture du texte d’origine est le
premier pas que j’ai suivi, ça peut paraître être le plus simple, mais lire et comprendre
un texte dans son intégralité quand on a des connaissances basiques d’un thème en
question, devient une tâche bien plus compliquée ; ceci est le processus inconscient. Le
plus important dans cette lecture, c’est lire une première fois pour avoir un aperçu de ce
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que nous allons devoir traduire. L’objectif de ce premier pas c’est l’extraction du
contenu et de l’information ou message mais aussi sa valeur expressive pour que nous
puissions transmettre et reformuler ces mêmes éléments dans la langue d’arrivée. Puis
une autre lecture en soulignant les mots, expressions, noms de lieux ou organismes, etc.,
qui peuvent poser problèmes. C’est une opération considérée comme rapide puisque
l’on ne fait que penser aux mots, on ne les cherche pas. Ensuite j’ai lu de nouveau le
texte en le traduisant paragraphe par paragraphe et, de façon simultanée, j’ai consulté
diverses sources documentaires. Ceci est le processus connu sous le nom de processus
mental actif. Finalement, vient la traduction proprement dite, où j’ai choisi les options
qui me paressaient les plus correctes par rapport au contexte et ainsi faire que le texte
d’arrivée soit cohérent et transmette la même information que le texte d’origine. Une
fois tout traduit comme il le faut, je relis ma traduction pour corriger d’éventuelles
fautes d’orthographe ou erreurs en tout genre. Quand vient le moment de la correction
de nos traductions en classe, vient aussi la dernière étape de notre travail ; c’est-à-dire,
apporter les dernières touches à notre traduction, corriger ce qui a besoin d’être corrigé
et créer une traduction définitive, une traduction presque parfaite.
Tout au long des textes j’ai dû prendre des décisions pas toujours faciles mais
nécessaires, que ce soit pour les stratégies, méthodes et les techniques, comme pour les
possibles difficultés et problèmes face auxquels je me suis trouvée. Un traducteur a le
devoir de prendre des décisions pour réaliser les traductions et présenter le meilleur
travail possible. Il faut faire des choix, il faut être sûr de soi et surtout ne pas se tromper.
J’ai utilisé différentes méthodes. Normalement, quand je traduis, je ne le fait pas
littéralement. J’essaye de comprendre ce que me transmet le texte et de délivrer le
même message ou la même information mais dans une autre langue, dans ce cas, le
français. Ma méthode, donc, serait interprétative-communicative, c’est-à-dire, la
traduction du sens. Dans beaucoup de textes cela a été le cas, principalement parce que
se sont des textes assez compliqués qui ne peuvent pas être traduits mot à mot. Ce qu’il
faut faire c’est traduire l’information en gardant une bonne cohérence, et non la forme
du texte. Dans certain cas, il a même été nécessaire d’utiliser la méthode libre, en
changeant de nombreux éléments dans les phrases pour qu’elles aient un sens en
français. Nous, les traducteurs, utilisons une méthode ou une autre en fonction du type
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de texte face auquel nous nous trouvons, mais aussi ses objectifs, le type de commande
dont il s’agit, etc. Néanmoins, quand nous utilisons la méthode interprétativecommunicative, cela ne veut pas dire que nous n’utilisons pas les mêmes mots du texte
d’origine dans notre traduction, mais plutôt que nous les utilisons traduits.
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Concernant les techniques et stratégies de traduction je me suis inspirée de Amparo
Hurtado.
La stratégie ou les stratégies sont en réalité des processus verbaux ou non, conscients et
inconscients, qui consistent à utiliser plus effectivement nos habilités. C’est réaliser une
traduction pleine de différentes options, comme une pluie d’idées. Il existe diverses
stratégies et chaque traducteur a la sienne. Il ne faut pas confondre stratégies et
techniques, puisque celles-ci représentent le processus final et concret, c'est-à-dire, celui
qui est visible dans le résultat de la traduction, des équivalences de traductions.
L’une des stratégies que j’utilise est une traduction inconsciente que je fais au moment
de la lecture du texte. Souvent, quand une personne a deux langues maternelles, qu’elle
est bilingue depuis qu’elle a l’usage de la parole, elle arrive à penser dans ces deux
langues. C’est mon cas, et je crois que c’est l’une des raisons pour les quelles au
moment de lire un texte en espagnol je commence déjà à le traduire dans ma tête, ou
même à voix haute, sans même m’en rendre compte. Par ailleurs, quand je commence à
traduire j’écris toutes les possibles options de traductions qui me viennent en tête ou que
je trouve grâce aux sources documentaires, différentes alternatives, c’est en réalité un
« brouillon ». Finalement, je choisi les options qui s’accordent le plus au texte, je vérifie
que mon texte st cohérent, ainsi que sa cohésion et son adéquation.
En ce qui concerne les techniques de traduction que j’utilise c’est plus compliqué parce
que je ne me rends pas toujours compte de quelles techniques j’utilise et les quelles je
laisse de côté. Néanmoins, je sais les identifier une fois la traduction réalisée.
De cette façon, j’ai utilisé certaines techniques telles que l’addition d’éléments
linguistiques. Parfois il est nécessaire d’avoir recours à cette technique pour des raisons
de structures ou possibles ambigüités ; certaines traductions sont mieux que d’autres et
parfois une phrase plus longue avec plus d’éléments est meilleure. C’est le cas de « ya
no sólo por su imponente paisaje », que j’ai traduit par « non seulement grâce à son
paysage plutôt imposant ».
Dans le cas du premier texte où apparaît le « cocido ». Nous aurions pu le traduire par
« pot-au-feu », tout simplement, mais ce n’est pas tout à fait ça, donc nous devons
laisser le mot en espagnol. Ceci nous permet d’utiliser une autre technique,
l’amplification, à savoir, rajouter des précisions dans notre traduction qui n’apparaissent
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pas dans le texte original. De cette façon, j’ai traduit « Se trata de un plato propio de
la zona, plato parecido al cocido, al que se añaden otros ingredientes como el
pimiento, el tomate seco, la coliflor, la alcachofa, las patatas o la melva. » par « Il
s’agit d’un plat qui ressemble fortement au cocido, c'est-à-dire, une sorte de potau-feu auquel s’ajoutent d’autres ingrédients comme du piment, des tomates
séchées, du chou-fleur, de l’artichaut, des pommes de terre et du maquereau. »
J’ai aussi utilisé dans un cas ou deux l’adaptation, à savoir le remplacement d’un terme
ou expression par la description de sa fonction ou forme. J’ai employé cette technique
au moment de traduire « techos de launa ». J’ai trouvé comme traduction de launa,
ardoise. Et entre parenthèses il est écrit que c’est un toit en ardoise. Une traduction mot
à mot serait beaucoup trop répétitive, donc j’ai décidé de le traduire en expliquant ce
que c’est : « des toits faits de plaques d’ardoise qui les rendent imperméables ».
Au moment de traduire les noms des villes et villages nous avons dû utiliser
obligatoirement la technique de l’équivalent reconnu, des expressions ou termes
considérés comme équivalents et qui sont reconnus dans la langue d’arrivée, puisque ce
sont des mots qui n’ont pas de traduction et qui s’acceptent tels quels dans la langue
d’arrivée.
J’ai également utilisé la particularisation dans un texte. Ainsi, dans la phrase « los más
grandes aquelarres de Andalucía », aquelarres fait en réalité référence aux réunions
nocturnes des sorcières. Si on le traduit avec une explication, j’aurai eu recours à
l’amplification. Cependant, il existe un terme plus précis et concret, les sabbats.
Dans le cas du texte sur le bien-être nous avions la possibilité de traduire
« entrenador » de deux façons différentes. D’un côté, la traduction la plus française qui
serait « entraineur », mais nous pouvons également le traduire par « coach » qui est un
emprunt de la langue anglaise. Dans ce sens, « Granada », traduit par « Grenade » en
français peut aussi être considéré comme tel parce que c’est un nom intégré de la langue
espagnol mais neutralisé, c’est à dire, une translitération de la langue étrangère.
Tout au long de ce travail je n’ai pas fait qu’employer ces techniques, j’ai aussi utilisé
dans presque toutes les traductions la généralisation ou l’élision puisque les tournures
de phrases et les mots français ne sont pas comme les espagnoles. Cependant, je n’ai pas
utilisé des techniques telles que le calque, la variation, la substitution linguistique ou la
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modulation. Et je n’ai pas souvent utilisé la traduction littérale, de ce fait, je crois que je
ne l’ai pas utilisé du tout sauf si cela était vraiment nécessaire.
Un commentaire de traduction a un lien très particulier avec les difficultés et
problèmes qui apparaissent quand on traduit. Néanmoins, il ne faut pas confondre les
deux concepts : les difficultés sont une sorte de manque de connaissances ou de
carences linguistiques personnelles; tandis que les problèmes sont plus généraux, c'està-dire, que tous les traducteurs doivent y faire face, comme par exemple l’orthographe
des noms propres, mais chacun à sa manière. Cela montre de quoi un traducteur est
capable et quelles sont ses capacités.
Par rapport aux difficultés et problèmes que j’ai eu en traduisant, certes j’en ai eu, mais
cela ne m’a pas posé trop de soucis. Mes difficultés sont plus ponctuelles, comme par
exemple du vocabulaire que je ne connais pas ou des fautes d’orthographe. Au moment
de rédiger les traductions, de trouver les bons mots et de m’exprimer je n’ai pas eu de
problèmes. Cela est probablement dû au fait que je suis bilingues français – espagnol
depuis ma naissances et que j’ai grandi au sein de ces deux langues. Le peu de
difficultés que j’ai eu pouvaient être facilement résolues grâce aux sources
documentaires et autres aides.
Je vais commencer par les difficultés microtextuelles : j’ai eu des doutes avec des mots
ou phrases tels que « duelo descomunal» qui ne se traduit pas par « un deuil colossal »
mais par « un long deui ». Ou bien « burla la pestilencia » qui ne se traduit pas par
« se moque de l’odeur pestilentielle » mais « se moque de la peste ». Un autre
exemple, qui n’est pas tout à fait un problème mais plutôt une difficulté, c’est savoir
comment se traduisent les noms des organismes ou organisation de l’Union européenne.
Ceci nous emmène vers une autre difficulté, l’orthographe des organismes. En espagnol,
tant le nom comme son adjectif (Unión Europea) porte une majuscule initiale. Mais en
français l’adjectif va en minuscule. Ceci a déjà était commenté précédemment dans les
textes sur l’Union européenne. La traduction de ce genre d’institutions n’est jamais
chose facile car elles ne sont jamais les mêmes d’un pays à un autre. Dans ce cas là, il
est de notre devoir de consulter les pages officielles de l’UE où sont déjà traduits la
plupart de ces noms. Dans certains cas la quasi-totalité de la classe
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a eu des problèmes en ce qui concerne les temps verbaux ; dans les textes
journalistiques il faut utiliser le passé composé. Par contre, je n’ai ni eu de problème
morphologique ni de syntaxe. Quand nous avons traduit les toponymes étrangers cela
n’est pas aussi facile qu’on ne le pense. Dans le cas de ces traductions cela n’a pas été
trop compliqué puisque les toponymes n’ont pas de poids historique (plus un toponyme
a de liens historiques avec une culture donnée, plus on aura tendance à le traduire).
Dans notre cas ce sont des noms de lieux pas très connus, sauf « Granada », que nous
avons traduit par « Grenade » ou « Almería », traduit par « Almeria », des noms
toponymes plus connus. Par contre, il faut tenir compte des accents. En ce qui concerne
l’orthotypographie, je n’ai pas eu trop de problèmes non plus puisque la ponctuation est
assez simple à réaliser. Cependant, il est fréquent en français de faire des phrases plus
courtes. Dans de nombreux cas j’ai dû reformuler les phrases en les coupant à d’autres
endroits qu’en espagnol. J’ai utilisé les italiques quand un mot ne se traduisait pas,
comme cocido ou les toponymes, et les guillemets français quand il le fallait. La
ponctuation est très importante puisqu’elle peut nous permettre de rendre la construction
de notre texte plus naturelle.
Par rapport aux difficultés macrotextuelles, certains des textes étaient mal formulés en
espagnol et manquaient de naturalité. Ceci peut être un défit pour un traducteur
puisqu’il ne doit pas seulement traduire, mais aussi reformuler le texte dans la langue
originale pour bien comprendre le contenu du texte.
Par ailleurs, nous avons aussi dû respecter les registres des textes pour transmettre le
message du texte d’origine au même niveau dans la langue d’arrivée. Ces registres
varient selon le texte, de cette façon, le texte « El precio de la vivienda » est plus
familier que celui de « La Alpujarra » ou « Historias del fin del mundo » ; et nous
devons respecter cette différence de registre au moment de traduire.
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