La Mise à l`Eau du « Richelieu » Premier Cuirassé Français de

Transcription

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Moniteur d'issolrô
et la durée des examens sera également réduite.
Une Prédiction de
l'Ex-Chancelier Bruning
L'ancien Chancelier Bruning
vient de prédire, au cours d'une
Conférence faite à l'un des grands
c^ubs de Boston, que le régime nazi
périrait avant dix ans. Il a exposé
les tortures que les nazis du III e
Reich appliquaient journellement
aux prisonniers, enfermés dans des
cellules spéciales volontairement
trop éclairées et trop chauffées qui,
en quelques jours, font des jeunes
gens ainsi traités des vieillards à
cheveux blancs.
Sanctions Anglaises envers
le Japon
L'Angleterre a fait remettre au
gouvernement japonais une note
des plus vigoureuses en insistant
sur la nécessité pour l'Empire britannique de ne pas être évincé de
la Chine au développement de laquelle elle a joué un rôle prépondérant et clans laquelle des millions
de livres sterling ont été investies.
Cette note menace Tokio de représailles économiques qui consisteraient en une forte élévation- des
tarifs imposés aux marchandises
nippones.
Certains journaux anglais indiquent que cette note a été préalablement communiquée à Washington et a Paris, signale " Le Capital "
et que le gouvernement français
préparerait une note identique.
Le ministre des Affaires étrangères du Japon répondra à la note
anglaise dans quelques jours à la
Chambre de Tokio, On croit qu'il
dira simplement que le pacte des
neuf puissances est mort et que la
Chine se trouve en Asie et non pas
dans l'Empire britannique.
Le Capitaine "Wiedemann
à Londres
II est de nouveau question, du
prochain voyage à Londres du capitaine Wiedemann, confîdit du
Fùhrer. Il viendrait, cette fois, parait-il, exposer les intentions du
Reich en matière coloniale, II s'y
rendrait en même temps compte de
l'état de l'opinion publique britannique avant que le chancelier ne
prononce son discours devant le
R<;ich«tag le 30 janvier.
. CAISSE D'ÉPARGNE D ISSOIRE
Résumé des opérations effectuées pendant
le mois de Décembre :
172 versements. . . . 423.020 fr. 61
125 remboursements . 427.159 fr. 40
, . •.
.. Intérêts 3,25 %
La Caisse d'Epargne a créé des Suceursaies fonctionnant les jours de foire et de
marché dans les localités suivantes :
Ardes sur-Couze, Champeix, Sauxillanges, le Vernet-la-Varenne, BrassaclesMines.
nombreux petits canons automati- ' l'accroissement des dépenses' de
ques et des mitrailleuses. L'ensem- l'Etat.
;,
ble de cet armement pè&era 25 pour
Dépenses de l'Etat en O r
100 du poids du navire, soit envi1913
1939
ron 9 000 tonnes.
(Francs à 322 milli- (Francs à 27,5 milQuant à la vitesse, elle sera celle grammes d'or fin) ligrammes d'or fin)
d'un contre torpilleur d'il y a vingt
ans et dépassera facilement 30 1.693,6 tonnes d'or 2.910 tonnes d'or
anc en
Les Dépenses de l ' E t a t
i
directeur
nœuds. La puissance totale des
JMdX
ont
a u g m e n t é de 71 p . 100
d e „ Mer et Outre-Mer
machines, 150.000 chevaux, est
Ainsi,
en monnaie de même va- |;
Le Richelieu, premier cuirassé à la mise en chantier en Italie de presque égale à celle de Norman- leur, autrement dit en or, les dé- ''
français de 35.000 tonnes, a été mis deux cuirassés de 35.000 tonnes : die ; et la vitesse des deux navires penses de l'Etat ont augmenté,;^
sera sensiblement la même. Grâce
à l'eau dans l'arsenal de Brest, en le Littorio et le Vittorio Veneto.
aux
formidables progrès de la depuis 1913, de 1.214 tonnes d'or,
présence de M. Campinchi, minisLe Richelieu est le plus gros nasoit un pourcentage de hausse
tre de la marine.
vire de guerre qui ait été construit technique, le poids utilisé pour tout absolue de plus de 71 p. 100.
V
jusqu'à ce jour en France. Avant appareil moteur ne sera que de
*##
Autrement
dit,
la
charge
des
dé*-.'
1914, en effet, les cuirassés fran- 3.000 tonnes, inférieur à 10 pour penses de l'Etat a été accrue de-4«*
De tout temps, les lancements çais ne dépassaient pas 25 000 ton- 100 du poids total du navire.
de navires étaient précédés de cé- nes et les deux Dunkerque et StrasAinsi, lorsque le Richelieu sera près des trois quarts.
Le R e v e n u National
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rémonies religieuses pour attirer bourg, récemment entrés en servi- en charge complète, avec tous ses
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sur les coursiers de la mer toute ce, n'ont que 26.500 tonnes de dé- approvisionnements en combustiOr, de 1913 à 1938, le revenu na- ;
la bienveillance des dieux ou de la placement, suivant les règles de bles, qui ne pont jamais compris
tional
de la France, c'est-à-direï
Providence.
Washington universellement adop- dans le poids officiel, il ne pèsera l'ensemble des revenus privés, est '
Chez les anciens, comme encore tées.
pas moins de 40.000 tonnes. C'est
maintenant dans de nombreux
donc
un véritable mastodonte, long tombé de 32 milliards de francs or
Mais, de nos jours, il est admis
pays d'Extrême-Orient, le lance- communément que, pour obtenir de 245 mètres et large de 33, portant à 220 milliards de francs actuels,
ment d'un navire s'accompagne le maximum de qualités offensives 1.500 hommes d'équipage et quatre c'est-à-dire, en réalité, à moins de
toujours de libations et de sacrifi- et défensives, allié à une vitesse hydravions, qui prendra dans un 19 milliards o r d e 1913(2). l i a donc
diminué de 40 p. 100.
ces. Au Moyen Age, on bénissait le satisfaisante, il faut dépasser large- an son service en escadre.
On assiste alors à cette chose
navire et les appareils qui ser- ment ces tonnages. C'est pourquoi
Car ce redoutable gardien de la effarante que pour un revenu natiovaient à son lancement. Au xin" les principales marines du monde paix française n'est pas complètesiècle, à Marseille, la coutume vou- ont actuellement en construction ment achevé. Pour des raisons de nal diminué de 40 p. 100 par r a p port à 1913, l'Etat dépense 71 p. 100
lait que le propriétaire d'un navire des navires semblables au Riche- commodité, il a été construit dans de plus qu'en 1913.
neuf; offrit un repas aux charpen- lieu, dont le déplacement ne sera une cale de l'arsenal de Brest qui
Vpilà la vérité sur les charges
tiers qui l'avaient construit.
pas dépassé, du moins en Europe; ne mesure que 200 mètres de long, réelles — en même valeur or —
De nos jours, les coutumes ont le Japon et, par suite, les Etats- c'est-à- dire environ cinquante mèévolué, mais ont conservé les tra- Unis étant seuls à enfreindre cette tres de moins que le navire. On a qui pèsent s u r le pays.
Il en résulte, avec évidence, qu'il
ces profondes des cérémonies de limite.
donc négligé de construire son
est nécessaire simultanément de
jadis.
extrême-avant ; et c'est seulement
#
un tronçon de navire, mais un diminuer les dépenses de l'Etat par
Le baptême du navire au chamdes économies massives et d'ac**
pagne est aujourd'hui de rigueur ;
Le poids étant le seul ennemi de tronçon de 200 mètres, qui a été croître le revenu national par le
et c'est une « marraine » qui accom- la construction navale, c'est lui qui mis à l'eau et remorqué dans une travail.
plit l'acte symbolique.
limite toutes les qualités d'un navi- cale de Laninon, beaucoup plus
(i) Prévisions de M. Paul Reynaud.
'2) Chiffres fournis par. M. Daladier dans ses difféPour le baptême du Richelieu, re, suivant la part qu'on désire at- longue, et où on va le compléter. rents
discours.
c'est à la femme d'un ouvrier de tribuer à chacune d'elles.
La cale devenue ainsi disponible
l'arsenal de Brest, Mme Jean-FranPour le Richelieu, les trois quali- dans l'arsenal a été immédiatement
çois Mons, mère de dix enfants, tés principales des navires de li- utilisée, puisque le jour même M. Le Congrès de la Fédération Musicale
que revient cet honneur. En outre, gne : l'armement, la vitesse et la Campinchi a présidé à la pose delà
si M. Campinchi n'offre pas un re- protection, ont été poussées au première tôle de quille d'un nou- du Centre et le
pas à tous les ouvriers de l'arsenal maximum. Il est assez curieux de veau cuirassé du même type, qui Festival de Musique d'Issoire " ^
qui ont participé à la construction, constater quelle part du poids total portera glorieusement le nom de
on peut être &ûr que tous les ma- du navire revient à chacune d'en- Clemenceau, symbole de la défense
Après Clermont-Ferrand l'an der-'4
rins du port bénéficient de « la tr'elles.
nationale et de l'énergie française. nier, c'est Issoire qui cette annéô*L
double », c'est-à-dire d'une double
La protection s'obtient par une
La mise à l'eau du Richelieu est recevra le dimanche 28 mai (diman-^
ration de vin au repas de midi.
coque pourvue de multiples cloi- le signe vivant du redressement chede la Pentecôte) les congressis*/'
Telles sont, avec le cortège des sons renforcées, destinées à rendre français. A une époque où toutes tes de la Fédération Musicale diï!
discours, des musiques et des ap- le navire insensible aux torpilles, sortes de convoitises menacent de Centre, et leur offrira le siège d$
plaudissements frénétiques, les ma- par des cuirasses verticales contre toutes parts les terres françaises, leurs assises.
nifestations propitiatoires.
les obus et par des ponts blindés à il est bon que la France accueille
La Société Lyrique d'Issoire, à
" Quant à l'opération proprement l'épreuve des plus puissantes bom- avec joie la naissance d'un des plus laquelle se sont joints le Comité
dite, ce n'est pas un lancement sur bes d'avions. Cet ensemble repré- fermes soutiens de son Empire.
des Fêtes du Conseil Municipal, et
un chantier incliné, puisque le na- sente 65 pour 100 du poids du naviMAX COUSIN.
le Groupement Commercial, Indusvire a été construit dans une cale re, c'est-à-dire plus de 22.000 tontriel et Agricole d'Issoire, organise
pour le même jour un Festival de
sèche et qu'on se contente, par nes.
LE
POIDS
DES
DÉPENSES
DE
L'ETAT
Musique auquel les sociétés de touconséquent, d'y laisser entrer l'eau
L'armement est particulièrement
te
la région du Centre sont cordia-s
pour que le navire vienne à flots. redoutable. L'artillerie principale
Comparaison
entre
1913
et
1939
lement invitées.
C'est évidemment moins' spectacu- est composé de huit pièces de 380
:
En ig3g(i)
En igi3
millions
laire, mais non moins émouvant réparties en deux tourelles quadrumillions
Les Congressistes et les Sociétés
pour les connaisseurs.
ples situées sur l'avant, ce qui faci- Budget général
qui le 28 mai feront le déplacement
5.066
66^317
200
8.000
* *
lite la conduite du tir et augmente Budgets annexes
d'Issoire n'auront certainement pas
25.500
à le regretter : cette coquette petite
Cet événement est hautement la puissance offensive du navire. Budget extraordinaire . —
P.
T.
T.
(compris
dans
le
bud6.000
ville n'est-elle pas jalouse de la résymbolique à la fois pour la marine Ces canons lancent à plus de 40
get général en 1913
putation de son accueil. De plus
kilomètres des obus de semi-rupet pour la France.
Total
5.266 105.817
ils auront l'occasion, autrement dit.
On sait que la construction de ce ture pesant près d'une tonne. L'arMais, comme il ne s'agit pas de le plaisir d'entendre et d'applaudir
navire a été décidée en 1935, avec fcillerie secondaire qui protège le
celle de son frère, le JeanBart, sur navire contre les torpilleurs et les francs de même valeur, il est néces- l'Harmonie Municipale de- Vichy
l'initiative de M. Piétri, alors mi- avions se compose de quinze piè- saire de tout ramener au poids de qui a bien voulu assumer les foncnistre de la marine, pour répondre ces de 152, douze pièces de 100," de l'or pour avoir une idée exacte de tions de Musique d'honneur.
MARINE
NATIONALE
La Mise à l'Eau du « Richelieu »
Premier Cuirassé Français de 35.000 tonnes
Antoine Portai, dont on retrouve le descendant Mathieu Portai en 1751, Pierre
Blanc.
En 1690, Benoit Brune), Jean Mosnier,
5 L
Guillaume Plantade à l'enseigne du
par A. AGHARD
« Cheval Blanc », dont les héritiers tiennent encore la maison en 1742, Antoine
' '
DEUXIÈME PARTIE
'
Aurier, Pierre Haubert l'aîné, Benoît
Matussière l'aîné, Antoine Chamalet, Paul
Lavallée, à l'enseigne de la « Croix
LA V I L L E
Blanche »
III.—. LA VIE ÉCONOMIQUE
En 1692-4720 Antoine Christoph.
L'inventaire dressé le 19 août 1694,
En 1609, Bertrand Comtat est hôtelier
après le décès de Pierre Hostellier, ^uberau laubourg St-Marlin ; André Boughon
en 1619, François Malbeten 1620,Robert gist: au faubourg du Marchidial, ne déPortai en 1624 et ses successeurs jusqu'en nonce pas une maison importante. Qu'on
en juge : Dans la cuisine, qui est en
1723, Bertrand Bessot en 1622, Jean
Colomby en 1636 et 1659 ; l'hôtellerie à même temps la salle commune se trouvent 3 tables et cinq bancs, 2 chaudrons
l'enseigne « St-Pierre » au faubourg
St-Martin est tenue en 1643jpar Jean Roux en cuivre rouge tenant chacun un pot
1/2, 2 landiers, 2 crémaillères, 2 pelles
et en 1770 par son descendant Michel
Roux ; en 1652 on trouve Robert Aussan- et 2 poêles à Irire en fer, les ustensiles
d'étain : une aiguière, Spots, tant pintes
don, Annet Malpic et Antoine Granghon.
Ce dernier tient" le logis à l'enseigne nue chopines, 10 plats, 20 assiettes, 6
« du Faucon » qui passe en 1683 à Louis cuillers, 2 écuelles, 2 salières, ?. chande
liers.
Jlalalufille p.|ioux Rougier. Un autre
Mîilfilueille prénommé Bertrand est aussi
A la cave : 8 tonneaux de 15 à 18 pots
hôtelier en même temps.
dont deux seulement contiennent du vin;
En 1665, Biaise Coudeyras à St-Martin, dans l'écurie un cheval avec un bât et
199
une selle.
Son fils aussi prénommé Pierre, lui
succède, qui meurt en 1707. Autres
noms d'hôteliers : en 1710, Joseph Guillaume en Marchidial ; en 1712, Charles
Monn succédant à son père sellier et hoste
fiers : l'amour du travail bien fait, le
souci d'ajouter à la technique du métier
la marque de l'effort personnel, de l'habilelé manuelle, de l'esprit imaginatif.
Il leur était permis de se vanter, non de
ce qu'ils étaient mais de la qualité de ce
à S t - M a r t i n , '."'"• ""*; ""• ' "'."•'
qu'ils produisaient.
On ne comprend plus guère cela, au1720, Baptiste Dissard, époux Marie
Aussandon ; Antoine Reynaud et Jean jourd'hui que la machine a avili l'effort,
réduit en esclavage celui qui la sert, déCoupât l'aîné ;
En 1723, Marie Argenton qui, après truit la personnalité de l'ouvrier, fait'du
le décès de son mari Pierre Pradier a travail à la chaine une contrainte pénible,
continué à tenir son hôtellerie, marie son une pénitence : tout ce qui va à l'enconfils Joseph à Marie Portai, fille d'un tre de l'ordre naturel pour qui travail
égale noblesse.
tanneur ;
Ces bonsouvriers d'autrefois étaient des
En 1734, Charles Grange, dit « Brin« Artisans » avec lej sens étymologique
guet. »
exact : « artifex », artiste, créateur inParmi les « Cabaretiers », citons :
En 1760 Joseph Aubert et en 1768 Jean dustrieux.
Dans son récent ouvrage : « Le Secret
Aubert époux Jeanne Choniard ;
des
Compagnons », notre cher et grand
En 1770 Martin Aubert, en même
Henri Pourrat a célébré cet artisan d'autemps Cordier et Robert Portier ;
En 1774 Biaise Vignal ; en 1781 Clau- trefois qui alliait le goût de l'effort à
de Vignal et en 1782, Charles Ampaud. l'orgueil du métier, éprouvait la joie de
On a accusé les Sauxillangeois d'être l'œuvre bien faite.
Aussi, excuse-t-on cette pointe de va« glorieux. » Si vraiement ils ont ce tranité
; lorsqu'il défile, avec ses confrères
vers, ils le tiennent de loin ; ce n'est que
l'expression d'une qualité dont leurs en habit de fêtes, à h procession de la
aïeux, les artisans, pouvaient se montrer Corporation. A l'élection qui va suivre,
peut-être sera-t il désigné à l'honneur
d'en porter la bannièrs ?...
C'est à cela qu'il songe, assis devant
son échoppe, lorsque le crépuscule a
fait tomber l'outil de ses mains, et à
bien autres choses encore, car son esprit
n'est point fermé à la poésie , les préoccupations matérielles n'en éliminent ni
la joie ni la sérénité.
Le bourgeois, son voisin, vient le rejoindre ; ils causent et rient ensemble
de bonne amitié, car ils sont de même
race, de même souche paysanne.
L'artisan fie le jalouse point, car il
peut espérer le rejoindre un jour, sinon
par lui-même, peut-être par ses descendants, pour peu que lui aussi, la chance
h favorise non pas la chance de la loterie ou du gain facile qui fait les parvenus
— mais la santé, l'habileté, l'amour du
travail, l'esprit d'économie, l'intelligence
pratique. Il ne lui est pas interdit d'arriver comme lui à la fortune aux. hon*
neurs.
C'est un peu de tout cela qu'est fait
son bonheur : expression vague que chacun entend à sa façon et qui dépend de
la latitude, du climat, du degré de culture, mais surtout d'une heureuse dispen

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