Rapport ACCOVAM Printemps
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Rapport ACCOVAM Printemps 2006 L’ACCOVAM lance le SGRR p. 2 Proposition de modèle de traitement équitable p. 4 Congrès de la SAF p. 5 Proposition de modèle d’évaluation des risques pour l’inscription p. 6 Le recours à un administrateur provisoire p. 7 Nouvelles des conseils de section p. 10 Mise à jour de la réglementation p. 14 Mise en application : décisions en matière disciplinaire p. 18 ACCOVAM et SRM : proposition de regroupement des OAR Le 26 avril 2006, l’Association canadienne des courtiers en valeurs mobilières (ACCOVAM) et Services de réglementation du marché inc. (SRM) ont annoncé conjointement que leurs conseils d’administration ont approuvé en principe un projet de création d’un nouvel organisme d’autoréglementation (OAR) qui regroupe les deux OAR. est chargé de concevoir un plan de mise en œuvre détaillé à des fins d’approbation. Il entreprendra également des recherches pour trouver un chef de la direction pour le nouvel organisme et établira quatre groupes chargés d’élaborer un plan de travail à soumettre à l’approbation du comité directeur. L’OAR regroupé simplifiera les choses pour les investisseurs; améliorera l’efficacité de la réglementation en éliminant les chevauchements et les lacunes; favorisera une meilleure coordination des politiques et des procédures; et réduira le fardeau réglementaire pour les sociétés membres. Une telle initiative arrive à point, compte tenu de la réorganisation récente de l’ACCOVAM, de l’examen de la structure des OAR par les organismes de réglementation des valeurs mobilières canadiens et américains et enfin des discussions qui se poursuivent sur le plan national quant à la nécessité d’harmoniser le système réglementaire canadien. La nouvelle entité sera une société sans but lucratif avec des membres et des conseils de section. Les parties intéressées devraient initialement être toutes celles qui sont actuellement réglementées par l’ACCOVAM ou SRM, ainsi que les marchés qui ont retenu les services de SRM. La structure de gouvernance devra être suffisamment robuste pour permettre d’étendre les responsabilités de la nouvelle entité avec le temps, si jamais d’autres groupes du secteur décidaient de s’y joindre. L’ACCOVAM et SRM ont créé un comité directeur conjoint, qui relève des conseils d’administration de l’ACCOVAM et de SRM et qui est formé des membres du conseil de l’ACCOVAM, Ron Lloyd, Brian Porter et Donald Black et des membres du conseil de SRM, Bill Moriarty, Eric Kirzner et Gerry Rocchi, ainsi que du président et chef de la direction de l’ACCOVAM, Joe Oliver, et du président et chef de la direction de SRM, Tom Atkinson, qui agissent comme conseillers spéciaux. Le comité L’échéancier fixé pour le regroupement est encore incertain, mais il est probable qu’il faudra plusieurs mois pour élaborer un plan, après quoi il faudra obtenir l’approbation des conseils d’administration de l’ACCOVAM et de SRM, des membres de l’ACCOVAM, de la Bourse de Toronto à titre de partie prenante de SRM et des ACVM. Les membres de l’ACCOVAM seront consultés tout au cours du processus, comme ce fut le cas lors du changement de mandat, et ils recevront de l’information détaillée en temps utile avant le vote. Suite à la page 1 L’ACCOVAM lance un nouveau système de gestion des ressources réglementaires Le nouveau système de gestion des ressources réglementaires de l’ACCOVAM est maintenant en fonction sur le site Internet de l’ACCOVAM à www.ida.ca. Pour y accéder, cliquez sur l’onglet « Manuel de réglementation et bulletins », qui vous amènera à la section des ressources réglementaires du site. Cette section comprend le Manuel de réglementation de l’ACCOVAM, les bulletins, les avis, des FAQ et d’autres ressources réglementaires. La nouvelle et puissante fonction de recherche vous permettra d’effectuer des recherches simultanément dans le Manuel de réglementation, les bulletins et les avis pour dresser un sommaire de toutes les occurrences. À l’intérieur de chaque document figurant dans ce sommaire, vous trouverez chaque occurrence du terme recherché grâce à un surlignement (en jaune). Dans chaque document, également, vous trouverez des hyperliens de renvoi (en bleu) aux définitions de termes (ex. : « courtier en valeurs mobilières », « personne autorisée ») et aux règlements ou aux règles. Autrefois, chaque recherche se limitait au Manuel de réglementation, aux bulletins ou aux avis aux membres, et les résultats étaient compilés dans une simple liste sans indication d’occurrences ni renvoi. Le nouveau système vous permettra de trouver plus de renseignements en moins de temps et de mieux gérer l’information. Il est plus facile de trouver des renseignements rapidement car les utilisateurs peuvent : • parcourir rapidement la table des matières; • trouver un document instantanément en inscrivant son numéro de référence dans la case « Afficher » à la gauche de l’écran; • effectuer une recherche couvrant le contenu entier du site des ressources réglementaires; • limiter des recherches en utilisant le gabarit de recherche « Contenu ». Les utilisateurs du système des ressources réglementaires seront en mesure de mieux gérer l’information puisqu’ils pourront : • afficher un document complet à la fois; • avancer et reculer rapidement d’un document à l’autre; • accéder directement à un paragraphe du Manuel de réglementation en le sélectionnant à partir d’une mini table des matières déroulante; 2 • conserver les documents qu’ils ont l’intention de consulter fréquemment dans des dossiers personnalisés, en se servant de la fonction « Portedocuments ». Pour recourir à cette fonction, vous devrez vous connecter en inscrivant votre adresse de courriel et un mot de passe. Veuillez prendre note qu’en cherchant sous une des rubriques des ressources réglementaires à la gauche de l’écran, vous ne faites porter votre recherche que sur les documents compris dans le système des ressources réglementaires. Si vous désirez étendre votre recherche à l’ensemble du site Internet de l’ACCOVAM, y compris la Médiathèque, les discours, les avis au public, les ententes de règlement, les bulletins disciplinaires et d’autres renseignements au sujet de l’ACCOVAM et de ses divers services, vous devrez cliquer sur l’onglet « Recherche du site ACCOVAM » en haut de l’écran des ressources réglementaires. Les résultats de recherche s’afficheront séparément selon qu’ils proviennent du système des ressources réglementaires ou d’une autre partie du site Internet de l’ACCOVAM. L’historique des modifications aux Statuts, aux Principes directeurs et aux Règlements ne sera retracée et affichée progressivement qu’à partir du 1er mai 2006. La version téléchargeable du Manuel de réglementation sera accessible le 15 juin 2006. Les utilisateurs pourront télécharger la totalité de ce manuel sur un support destiné à l’usage hors ligne. Cette version sera mise à jour tous les mois. Pour obtenir de plus amples renseignements, prière de communiquer avec Steven Rostowsky, Premier viceprésident aux finances et à l’administration, (416) 8653022 ou [email protected] ACCOVAM et SRM : proposition de regroupement des OAR Cette étape majeure dans l’évolution de l’autoréglementation au Canada permettra de réaliser l’objectif clé du regroupement des OAR fixé à l’occasion du congrès annuel de l’ACCOVAM en juin dernier. Pour obtenir de plus amples renseignements, prière de communiquer avec Joe Oliver, Président et chef de la direction, (416) 865-3020 ou [email protected]. Le nouveau système de gestion des ressources réglementaires de l’ACCOVAM. Rendez-vous au www.accovam.ca sous l’onglet Manuel de réglementation et bulletins. Le ministre des Finances prend la parole devant l’ACCOVAM Le 11 avril 2006, l’ACCOVAM a été l’hôte du premier dîner du secteur depuis la division formelle de son mandat entre un organisme d’autoréglementation à part entière et une association professionnelle distincte et indépendante. Le discours du ministre était son premier devant le milieu financier canadien. Accueilli par le président du conseil de l’ACCOVAM, Ron Lloyd, M. Flaherty a dit à son auditoire, principalement composé de chefs de la direction et de hauts dirigeants de sociétés membres, qu’il souhaitait travailler avec les provinces afin de créer un « système de réglementation des valeurs mobilières du 21e siècle » [TRADUCTION]. Il a ensuite fait l’éloge du secteur des services financiers, en déclarant que ses gens fournissaient « le carburant qui alimente le moteur économique de notre de nation » [TRADUCTION]. M. Flaherty a ajouté que le gouvernement procéderait cette année à une révision obligée de la législation du secteur financier, notamment la Loi sur les banques, pour « veiller à ce que les règlements régissant le secteur financier soient modernes et efficaces » [TRADUCTION]. De nombreux participants et distingués invités était présents, entre autres, le président de la CVMO, David Wilson, et la vice présidente, Susan Wolburgh-Jenah. Il y avait également des dirigeants de bourses, tels que Richard Nesbitt, chef de la direction du Groupe TSX, Luc Bertrand, président et chef de la direction de la Bourse de Montréal inc.; ainsi que des dirigeants de la Banque du Canada comme Donna Howard, chef des marchés financiers et Ross MacKinnon, directeur de la Division de Toronto. Citons également David Agnew, Ombudsman des services bancaires et d’investissement; Joanne De Laurentiis, présidente et chef de la direction de l’Institut des fonds d’investissement du Canada; Raymond Protti, président et chef de la direction de l’Association des banquiers canadiens; John McCrea, président du conseil et Rozanne E. Reszel, présidente et chef de la direction du Fonds canadien de protection des épargnants; ainsi que le président et chef de la direction de SR, Tom Atkinson. La transcription de l’allocution du ministre est accessible depuis notre site Internet à www.ida.ca. 3 La relation client-conseiller - proposition de modèle de traitement équitable L’ACCOVAM travaille depuis plusieurs années avec les ACVM et l’ACFM en vue d’élaborer de nouvelles politiques régissant la relation entre les conseillers, les sociétés membres et leurs clients. Le Comité de la réglementation des OAR a pour mandat d’étudier les règles et de mettre en œuvre les principes fondamentaux du modèle de traitement équitable de la manière décrite dans les documents d’orientation qui ont été préparés par les groupes de travail sur l’ouverture des comptes, la rémunération, les coûts, les conflits d’intérêts et l’information sur la performance, groupes qui ont été mis sur pied par le Comité directeur du Projet de réforme de l’inscription. Trois politiques précises sont actuellement en cours d’élaboration : i. Information à fournir sur la relation client-conseiller. ii. Information à fournir sur la performance du compte. iii. Information à fournir sur les coûts, la rémunération et les conflits d’intérêts. Information à fournir sur la relation client-conseiller La politique qui vise l’information à fournir sur la relation client-conseiller établira les normes minimales du secteur concernant les renseignements à donner au moment de l’ouverture d’un compte de détail pour un nouveau client qui s’engage dans une relation de conseil. À ce jour, les exigences applicables aux documents d’ouverture de compte portent principalement sur l’information à fournir par le client. En comparaison, les obligations d’information liées à la relation clientconseiller porteront sur les renseignements que le conseiller et la société sont tenus de fournir au client. Ces nouvelles exigences ont pour but de permettre aux clients de bien comprendre la nature des services que leur fourniront la société membre et le conseiller, et ce que le client peut faire et devrait faire pour entretenir une relation continue et satisfaisante. Les membres seront tenus de fournir aux clients une information pertinente, bien en vue, décrivant clairement le rôle et les responsabilités du représentant inscrit, de la société membre et du client. Il a été proposé que l’information à fournir comprenne les descriptions suivantes : l’étendue des principaux produits et services offerts par le membre; la manière dont certains produits et services définis répondront aux objectifs de 4 placement du client (c’est à dire, ce que la société fera pour le client et comment elle entend le faire); les facteurs de risque et les types de risques rattachés aux placements; l’obligation de divulguer tout conflit d’intérêts conformément aux statuts, aux règles et aux règlements des OAR; le barème complet des frais de service et autres frais liés à l’administration du compte du client; et les données annuelles sur la performance du compte. Ces politiques auront une profonde incidence sur le travail quotidien des conseillers et sur la nature de leurs relations avec leurs clients. L’ACCOVAM désire donc connaître les points de vue des conseillers des sociétés membres pour l’aider à élaborer des politiques qui répondront aux besoins de leurs clients et renforceront cette relation de très grande importance. Consultations dans le secteur L’ACCOVAM s’engagera dans des consultations d’un type novateur avec les conseillers des sociétés membres, un exercice qui s’ajoutera au processus de consultation que l’ACCOVAM mène habituellement dans le secteur pour l’élaboration de toutes ses politiques et de tous ses règlements. Ainsi, le 16 août 2006, l’ACCOVAM tiendra des séances de consultation avec des conseillers dans 11 localités du pays. Des petits groupes de conseillers à Calgary, Edmonton, Halifax, Montréal, Ottawa, Oakville, Mississauga, Toronto, Regina, Vancouver et Winnipeg participeront à un programme interactif d’une durée de deux heures, présenté dans chaque localité et diffusé par satellite. On demandera alors aux conseillers d’exposer leurs points de vue sur les propositions de politiques qui seront présentées par un comité formé de MM. Ross Sherwood, président et chef de la direction de Odlum Brown Ltd.; Paul Bourque, premier viceprésident, Réglementation des membres, ACCOVAM; et Richard Corner, vice-président, Politique réglementaire, ACCOVAM. Il y aura des animateurs de séance dans chaque lieu et les participants pourront adresser leurs questions à la fois au comité et aux conseillers des autres localités. Les 11 sites pourront accueillir un maximum de 500 conseillers au total. Suite à la page 6 Congrès 2006 de la SAF Du 21 au 24 septembre 2006, le magnifique Fairmont Scottsdale Princess, à Scottsdale, en Arizona sera l’hôte du congrès annuel de la Section des administrateurs financiers (SAF) de l’Association canadienne des courtiers en valeurs mobilières. Étant le plus important rassemblement annuel de décideurs aux échelons supérieurs du secteur canadien des valeurs mobilières dans les domaines de l’exploitation et des finances, ce congrès réunit des agents financiers supérieurs, des directeurs généraux, des chefs de l’exploitation, des chefs des finances, des directeurs et des vice-présidents des finances et de l’exploitation. Présentement en voie d’achèvement, le programme du congrès sera bientôt accessible sur le site Internet de l’ACCOVAM. Quelques mots sur Scottsdale et le Fairmont La populaire région touristique de Scottsdale, en Arizona, offre quelques-uns des paysages les plus grandioses du Sud-Ouest américain. D’un coté, on peut admirer le relief accidenté des montagnes McDowell qui enveloppent la région alors que de l’autre côté, s’étend l’infini du désert de Sonora. Fier de posséder l’un des meilleurs spas en Amérique du Nord (selon le magazine Condé Nast Traveler), trois restaurants primés, des salles de réunions ultramodernes et deux parcours de golf de championnat de 18 trous (dont un sert de foyer au tournoi annuel FBR Open du circuit de la PGA, soit l’ancien tournoi Phoenix Open), le centre de villégiature le Fairmont Scottsdale Princess promet une expérience vraiment unique en son genre. Tournoi de golf à départ simultané 2006 de la SAF, beau temps, mauvais temps Club de joueurs de tournois (« TPC ») du parcours de golf Stadium de Scottsdale, Samedi 23 septembre 2006, à 13 h Le tournoi de golf à départ simultané 2006 de la SAF, commandité par CGI, aura lieu au club des joueurs de tournois du terrain de golf Stadium de Scottsdale. Situé dans le désert de Sonoran et entouré des majestueuses montagnes McDowell, le club des joueurs de tournois de Scottsdale, une installation du circuit de la PGA, répond aux standards d’excellence établis sous la plume de ses concepteurs, Tom Weiskopf et Jay Morrish. Le parcours Stadium à moyenne 71 est spacieux, avec ses 28 acres de pelouse entretenue et ses 7 089 de longueur à partir des tees de championnat. Pour vous inscrire, ou pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez accéder au site Internet de l’ACCOVAM à www.ida.ca et suivre les hyperliens Médiathèque – Événements spéciaux – Congrès de la SAF. L’ACCOVAM tient à remercier les commanditaires suivants : ADP Brokerage Services, ADP IC, CGI, Deloitte & Touche s.r.l., FundSERV, Services mondiaux IBM, Impress Digital, Lawson Software, Services financiers Penson Canada, SunGard et La Caisse canadienne de dépôt de valeurs Limitée. Petit-déjeuner conférence de la Section des affaires juridiques et de la conformité Le 12 juin, la Section des affaires juridiques et de la conformité de l’ACCOVAM sera l’hôte d’un petit-déjeuner conférence où prendront la parole des conférenciers du Service de la mise en application de l’ACCOVAM. Le vice-président à la mise en application de l’ACCOVAM, Alex Popovic, ainsi que le directeur du Contentieux de la mise en application, Jeff Kehoe, exposeront le processus d’enquête aux participants. Les sujets s’étendront de la manière dont une enquête débute aux obligations de la société membre quant à la divulgation de renseignements aux enquêteurs. Les conférenciers seront disponibles pour répondre à vos questions après la conférence. Centre de diffusion et de conférence de la TSX Édifice de la Bourse de Toronto 130, rue King Ouest, Toronto (Ontario) Pour plus de détails au sujet de cet événement, ou pour vous y inscrire, veuillez consulter le site Internet de l’ACCOVAM à www.ida.ca, à l’onglet Médiathèque. 5 Proposition de modèle d’évaluation des risques pour l’inscription L’ACCOVAM a élaboré des modèles d’évaluation des risques pour analyser les risques rattachés à tous les aspects des activités de nos membres. Nous avons actuellement des modèles d’évaluation des risques pour la conformité financière, la conformité des ventes et les plaintes de clients. L’une de nos initiatives stratégiques pour l’année en cours consiste à élaborer et à mettre en place un modèle d’évaluation des risques pour l’inscription des particuliers. Toutes les personnes et sociétés qui négocient des valeurs mobilières ou qui fournissent des conseils relativement à des valeurs mobilières ou à des contrats boursiers sont tenues de s’inscrire en vertu des lois provinciales sur les valeurs mobilières avant d’être autorisées à traiter avec le public. On compte quelque 1 830 sociétés inscrites pour la négociation ou la prestation de conseils en matière de valeurs mobilières au Canada. Il y a 28 780 personnes inscrites auprès des sociétés de courtage de valeurs mobilières, 80 363 personnes inscrites chez les courtiers en épargne collective et 12 814 personnes inscrites dans toutes les sociétés non membres d’un OAR. Le pouvoir discrétionnaire d’accorder, de refuser, de suspendre ou de révoquer une inscription a été l’un des premiers et est toujours l’un des outils les plus importants pour la réglementation des marchés de capitaux. La réglementation des valeurs mobilières est de compétence provinciale. Le Québec, l’Ontario, l’Alberta et la Colombie-Britannique ont de plus délégué les fonctions d’inscription à l’ACCOVAM. Cette dernière s’occupe de l’inscription des particuliers et des sociétés en Alberta et en Colombie-Britannique, et de l’inscription des particuliers uniquement au Québec et en Ontario. Les pouvoirs ainsi délégués s’appliquent à 93 pour cent de l’ensemble des personnes inscrites employées par des sociétés de courtage au Canada. En général, l’obligation de s’inscrire s’applique aux employés qui traitent directement avec le public. Beaucoup d’autres employés mènent des activités reliées au commerce des valeurs mobilières dans une société membre, mais ces derniers ne sont pas tenus de s’inscrire. Par exemple, les analystes du secteur des valeurs mobilières qui préparent des rapports de recherche sur les sociétés cotées en bourse à l’intention 6 des représentants traitant avec la clientèle de détail et la clientèle institutionnelle ne sont pas obligés d’obtenir une inscription. L’inscription a pour objet de veiller à ce que les personnes qui offrent des services de négociation et des conseils de placement au public agissent d’une manière conforme à l’éthique, qu’elles soient compétentes et solvables et qu’elles traitent avec leurs clients avec honnêteté et équité. Les lois sur les valeurs mobilières décrivent cette obligation comme étant le devoir « d’apporter le soin que l’on peut attendre d’un professionnel avisé, placé dans les mêmes circonstances » (R.S.Q., ch. V-1.1, art. 160) ou le devoir « d’agir de bonne foi, avec honnêteté et loyauté dans ses relations avec ses clients » (Règle 31-505 de la CVMO, Conditions d’inscription, Partie 2, art. 2.1(1) et LN-.B 2004, ch. S-5.5, art. 54), ou encore, « de ne pas avoir de conduite ou de pratique commerciale inconvenante ou préjudiciable aux intérêts du public » (Statut 29 de l’ACCOVAM, Conduite des affaires, art. 1). Suite à la page 7 Proposition de modèle de traitement équitable... L’inscription à cette consultation est gratuite, et l’on peut s’inscrire en ligne au www.accovam.ca. Les personnes qui assisteront à ces séances auront droit à quatre heures de crédits de formation continue en conformité. Rappelons que le volet « conformité » du programme de formation continue de l’ACCOVAM comporte sept heures de formation obligatoire en conformité. Pour obtenir des renseignements sur les politiques liées au modèle de traitement équitable, veuillez communiquer avec : Richard Corner Vice-président, Politique réglementaire (416) 943-6908 ou [email protected] Pour obtenir des renseignements sur la participation au programme de consultation, veuillez communiquer avec : Connie Craddock Vice-présidente, Affaires publiques (416) 943-5870 ou [email protected] Les organismes de réglementation, publics ou privés, qui inscrivent les participants du marché doivent reconnaître que l’inscription vise à la fois un objectif réglementaire et un objectif de service à la clientèle. L’objectif réglementaire consiste à s’assurer que seules les personnes et les sociétés qui ont un comportement conforme à l’éthique et qui sont solvables et compétentes sont autorisées à traiter avec le public. L’objectif de service à la clientèle consiste à veiller à ce que le processus d’inscription ne pose pas d’obstacles indus aux clients dans leur choix d’un fournisseur de services financiers, et que les fournisseurs de tels services soient en mesure de répondre aux besoins légitimes de leurs clients en matière de conseils, d’opérations et de garde de valeurs. L’efficience du processus d’inscription doit être améliorée. De même, il faudrait faire un usage plus efficace des renseignements qui sont recueillis au cours de ce processus à des fins réglementaires. Une façon d’atteindre ces deux objectifs est de soumettre le processus d’inscription à une analyse des risques visant à établir un profil des risques sur le plan réglementaire et de faire en sorte que les ressources et le savoir-faire soient affectés principalement aux types de demandes et aux demandes d’inscription des particuliers et des sociétés qui posent les plus grands risques, moins d’attention étant alors accordée aux demandes moins risquées. Facteur tout aussi important, il faudrait créer également des outils réglementaires qui permettraient de tirer le maximum des renseignements qui sont consignés dans la Base de données nationale d’inscription (BDNI) sur les personnes et les sociétés inscrites depuis que ce système a été commandé en mars 2003 pour analyser de façon rapide et continue l’admissibilité des particuliers à l’inscription. Ces outils pourraient analyser l’information qui se trouve dans la BDNI afin de déceler toute tendance parmi les différentes catégories de personnes inscrites, et ce, autant au niveau local et provincial que dans l’ensemble du pays. L’information contenue dans la BDNI pourrait être combinée aux autres renseignements que détiennent les organismes de réglementation sur l’historique des particuliers ou des sociétés et qui proviennent d’autres sources. Ce type d’analyse pourrait servir à identifier les problèmes continus liés à l’admissibilité des personnes inscrites ainsi que toute augmentation tendancielle des risques, et pourrait aider à enrichir et mettre à jour le modèle d’évaluation des risques. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec : Paul Bourque Premier vice-président, Réglementation des membres (416) 865-3038 ou [email protected] Le recours à un administrateur provisoire Le pouvoir de nommer un administrateur provisoire est une sanction intermédiaire qui procure à l’Association canadienne des courtiers en valeurs mobilières plus de souplesse pour atténuer les risques découlant des problèmes de contrôle interne graves au sein d’une société membre. Dans l’échelle des sanctions, cette option se situe entre le signalement des manquements constatés dans un rapport de conformité et les pénalités et mesures disciplinaires officielles. La nomination d’un administrateur provisoire permet à l’ACCOVAM, dans les cas appropriés, de corriger rapidement les problèmes de conformité graves et généralisés au sein d’une société. La notion d’administrateur provisoire est bien établie dans le cas d’entreprises qui se retrouvent en grave difficulté financière. Les tribunaux désignent souvent un administrateur provisoire chargé d’observer et de rendre compte, sans toutefois approuver ni gérer les activités courantes de la société. Ce rôle s’apparente un peu à celui d’un syndic de faillite. L’utilisation d’un administrateur provisoire par l’ACCOVAM repose sur un concept similaire, mais qui s’applique aux deux cas où soit le capital du membre, soit sa capacité de se conformer à d’autres règlements soulève des inquiétudes sérieuses. Cet outil n’est que l’un des outils dont dispose le personnel de l’ACCOVAM pour répondre de façon progressive à une situation de nonconformité d’un membre. Lorsque le Statut 20 a été modifié à la fin de 2004, les formations d’instruction ont obtenu le pouvoir explicite d’imposer un administrateur provisoire à une société. Le Statut accorde à la formation d’instruction le pouvoir discrétionnaire d’adapter l’utilisation d’un administrateur provisoire selon les circonstances. La première fois où ce nouveau pouvoir a été exercé en vertu du Statut 20 remonte au 25 juillet 2005 lorsque le conseil de la section du Pacifique a imposé un administrateur provisoire à la société Valeurs mobilières Union Ltée. Riches en enseignements, les circonstances de cette affaire sont décrites plus loin. Il 7 existe beaucoup de situations où le personnel peut envisager le recours à un administrateur provisoire. Dans bien des cas qui se sont présentés jusqu’ici, d’autres recours étaient disponibles ou l’imposition d’un administrateur provisoire n’a pas été jugée appropriée. Dans d’autres, un engagement volontaire a suffi et, avant que les modifications ne soient apportées au Statut 20, l’imposition d’un administrateur provisoire a été négociée en l’absence d’un pouvoir explicite pour agir en ce sens. Une raison évidente pour nommer un administrateur provisoire est le cas où une société se retrouve en grave difficulté financière. À cet égard, l’application du Statut 20 aux sociétés membres de l’ACCOVAM ressemble beaucoup à la désignation d’un administrateur provisoire par les tribunaux. Il s’agit de nommer une personne indépendante chargée de surveiller les opérations financières quotidiennes et d’en rendre compte à l’ACCOVAM. Dans un tel contexte, les opérations liées à la conduite des affaires ne sont pas différentes des opérations financières. L’ouverture des nouveaux comptes, le respect des exigences de vérification des clients en vertu de la loi sur le blanchiment d’argent et l’approbation du travail de recherche sont tous des exemples d’activités de conduite des affaires qui se prêtent à un examen par un administrateur provisoire. Celui-ci observe ce qui se passe par-dessus l’épaule du chef de la conformité et du personnel de la conformité et surveille le processus. Le Statut 20 prévoit par ailleurs que les honoraires de l’administrateur provisoire sont à la charge de la société. Une telle utilisation d’un administrateur provisoire ne s’appliquerait toutefois que dans les cas les plus graves et soulage le personnel de l’ACCOVAM de l’obligation d’assurer une présence continue. En conséquence, le coût d’une surveillance aussi étroite est assumé par la partie qui en a besoin et ne se fait pas aux frais de l’ensemble des membres. À l’opposé du cas décrit ci-dessus, l’administrateur provisoire peut jouer un rôle de conseiller en conformité des ventes. C’est le cas lorsque le personnel de l’ACCOVAM, dans le cadre de ses inspections de conformité et de l’enquête préliminaire de son groupe de la Mise en application, considère qu’une société présente de sérieuses lacunes dans un ou dans tous les aspects de la conduite des affaires. De plus, la société n’a pas nécessairement les ressources internes ni les compétences pour régler ses problèmes sans aide. En pareil cas, le personnel insiste fermement auprès des sociétés pour qu’elles retiennent les services d’un conseiller – un genre d’administrateur provisoire – pour les aider à apporter des changements en matière de conformité. Le conseiller est alors rémunéré par la 8 société, mais il travaille en étroite collaboration avec le personnel de l’ACCOVAM et il rend des comptes à l’ACCOVAM et à la société. La motivation pour la société, c’est qu’elle est dans l’obligation d’apporter des changements, faute de quoi des mesures de mise en application strictes lui seront imposées. Toutefois, il est rare qu’on ait eu recours à des conseillers ou à des administrateurs provisoires volontaires jusqu’ici. Entre les deux, il y a eu le cas largement médiatisé de la nomination d’un administrateur provisoire pour la société Valeurs mobilières Union. Un aspect clé de l’ordonnance de la formation d’instruction consistait à : 1. (d) procéder rapidement à une évaluation des systèmes de conformité et de la structure de gouvernance d’Union, incluant, sans s’y limiter, déterminer si : i) des ressources suffisantes et du personnel compétent étaient affectés à la fonction de conformité; ii) des problèmes techniques ou autres empêchaient les contrôles de conformité internes d’Union de fonctionner correctement; iii) le personnel était réceptif aux requêtes du personnel de la conformité. La formation d’instruction, au bénéfice du personnel de l’ACCOVAM, a demandé à l’administrateur provisoire d’examiner la conformité dans ses aspects les plus fondamentaux et de rendre compte de l’état de la situation à l’ACCOVAM et au conseil d’administration d’Union. On s’attendait alors à ce que des changements soient apportés. L’administrateur provisoire a terminé son travail en décembre 2005, confirmant qu’Union avait pris les mesures correctives nécessaires et que la société avait mis en place les outils et les ressources pour se doter d’un régime de conformité efficace. Une autre question entourant le recours aux administrateurs provisoires a trait à la façon dont ils sont nommés. Il y a trois possibilités : décision volontaire de la société de retenir les services d’un conseiller, fortement encouragée et appuyée par le personnel de l’ACCOVAM; décision de la formation d’instruction dans le cadre du processus de mise en application; ou encore décision prise dans le cadre d’une audience en procédure accélérée tenue sans que la société ne soit présente (aussi appelée audience ex parte) ou informée des mesures envisagées par l’ACCOVAM. C’est ce dernier processus qui a été utilisé dans le cas d’Union. Lors d’une audience ex parte, les attentes de la formation d’instruction et l’obligation pour le personnel de l’ACCOVAM de produire des preuves convaincantes sont plus grandes puisque la société n’a pas la possibilité de confronter ou de réfuter les allégations du personnel. Ce processus n’est utilisé que lorsque le risque pour le public est considérable et considéré comme imminent. Certaines des situations prévues par l’article 42 du Statut 20 pour l’imposition d’un administrateur provisoire sont la faillite, le dépôt d’accusations au criminel, la non-conformité aux conditions précédemment imposées et les difficultés d’exploitation pouvant causer des préjudices imminents au public, aux membres ou à l’ACCOVAM. En pareil cas, la désignation d’un administrateur provisoire n’est pas une mesure punitive, mais plutôt corrective. Tout manquement grave doit être corrigé rapidement; il s’agit d’une action prospective. Les avantages pour le personnel, le public et les membres sont nombreux. • Dans les cas où la société n’a pas corrigé des lacunes répétées ou graves, l’imposition d’un administrateur provisoire force une décision et oblige la société à agir immédiatement. • L’administrateur provisoire est indépendant de la société et de l’ACCOVAM. Ses recommandations et directives seront perçues de manière plus objective, ce qui facilitera l’acceptation et la mise en oeuvre par la société membre. • Dans la plupart des cas, le public sera informé de la nomination d’un administrateur provisoire, ce qui permet aux investisseurs d’agir comme bon leur semble en ayant l’information appropriée. • Les coûts pour remédier à une conformité déficiente sont assumés par la société et non par l’ensemble des sociétés membres, ce qui est équitable. En 2004, l’un des motifs pour modifier le Statut 20 était d’ajouter ce pouvoir, puisque que l’on prévoyait des circonstances où un tel outil pourrait s’avérer utile. Or, après nos premières expériences, nous sommes satisfaits des résultats. Pour obtenir de plus amples renseignements, prière de communiquer avec : Warren Funt Vice-président, Ouest du Canada, Réglementation des membres (604) 331-4750 ou [email protected] Nouveau membre du conseil L’Association canadienne des courtiers en valeurs mobilières est heureuse d’annoncer la nomination de Sanford Riley à son conseil d’administration. Diplômé de l’Université Queen’s et de la faculté de droit d’Osgoode Hall, M. Riley a entrepris une carrière juridique de dix ans à Toronto et est devenu associé de Taylor McCaffrey, un cabinet d’avocats de Winnipeg. M. Riley a abandonné la pratique du droit pour embrasser une carrière dans le secteur des services financiers, en se joignant au Great Lakes Group de Toronto. Il est par la suite devenu premier viceprésident et chef de l’exploitation de la Corporation financière Trilon. M. Riley a également été président, chef de la direction et président du conseil de Groupe Investors. En mai 2003, M. Riley a établi le Groupe financier Richardson limitée en association avec James Richardson & Fils, limitée, où il a agi à titre de président et chef de la direction. M. Riley est président du conseil de Partenaires financiers Richardson limitée, une entreprise de gestion de patrimoine familial, et directeur général de Richardson Capital, une société de placements privés. M. Riley est actuellement chancelier de l’Université de Winnipeg, président du conseil de la Fondation de l’Université de Winnipeg et membre de plusieurs conseils d’administration, dont ceux de la Molson Coors Brewing Company, de la Compagnie du Nord-Ouest et du Manitoba Business Council. M. Riley a été nommé à l’Ordre du Canada (C.M.) en juillet 2002. AGA L’ACCOVAM tiendra son assemblée générale annuelle pour les sociétés membres le 20 juin 2006, à 14 h, à l’hôtel Fairmont Royal York de Toronto, à la salle Algonquin. Un avis de convocation a été expédié par la poste à toutes les sociétés membres. Pour obtenir de plus amples renseignements, prière de communiquer avec, Ken Nason, Secrétaire de l’Association, (416) 865-3046 ou [email protected] 9 Nouvelles des conseils de section Conseils de section de l’Ouest Les conseils de section de l’Ouest (régions du Pacifique et des Prairies) ont consacré leurs énergies à s’adapter aux conséquences de la création récente de la nouvelle association professionnelle indépendante et à les comprendre. Un document détaillé a été rédigé par le personnel afin de saisir le mandat ainsi que le rôle et les responsabilités des conseils de section selon leur description dans les Statuts, et pour mieux définir leur rôle dans l’élaboration de politiques. Il est particulièrement intéressant de noter comment les conseils de section seront avertis des développements en matière de politiques dès les premières étapes et quels en sont les thèmes les plus intéressants. Tous les conseils de section ont débattu ce document clé, qui servira maintenant de fondement aux activités des conseils de section. La préparation des assemblées annuelles des conseils de section était tout aussi importante. Cette période toujours très occupée l’a été encore plus, vu la révision du mandat des conseils de section et le rôle en constante évolution de l’Association professionnelle. Les membres des comités de mise en nomination et des conseils de section actuels ont consacré leur temps à déterminer les domaines auxquels les gens devraient allouer de préférence leur précieux temps de travail bénévole. Les assemblées des conseils de section ont eu lieu à Vancouver le 10 mai, à Calgary le 16 mai, à Regina le 17 mai et à Winnipeg le 18 mai. Région du Pacifique Conseil de section du Pacifique • Elizabeth Petticrew (présidente), BMO Nesbitt Burns • Lloyd Costley (vice-président), Raymond James • Jean-Paul Bachellerie, Valeurs mobilières Pacific International inc. • Douglas Garrod, Société de valeurs Global inc. • Jim Kershaw, TD Waterhouse Canada inc. • Patrick Lecky*, Corporation Canaccord Capital • Gary Mayzes, Marchés mondiaux CIBC inc. • Peter Pacholko, Odlum Brown Limited • Vijay Parmar, RBC Dominion Valeurs mobilières inc. • Jeff Sandler, Société en commandite GMP Gestion privée 10 • • S. Bruce Thompson, Valeurs mobilières Haywood inc. Brent Wolverton, Wolverton Securities Ltd. * L’astérisque indique une réélection. Région des Prairies Conseil de section de l’Alberta • Ruby Wallis, présidente, FirstEnergy Capital Corp. • Calvin Malhiot, vice-présidente, RBC Dominion Valeurs mobilières Inc. • Rob Jennings, président sortant, Jennings Capital Inc. • Wayne Alford, ATB Securities Inc. • Randy Bergh, Blackmont Capital Inc. • Trevor Conway, Valeurs Mobilières Northern Inc. • David Duquette, Valeurs Mobilières HSBC (Canada) Inc. • Tony Migliarese, Valeurs Mobilières Haywood Inc. • Grant Mutch, Marchés mondiaux CIBC Inc. • Nancy Peck, Jennings Capital Inc. • Barb Richardson, Corporation Recherche Capital • Susan Scullion, J.F. Mackie & Company Ltd. • Tim Wiltzen, TD Waterhouse Canada Inc. • Michael Zwack, Leede Financial Markets Inc. Conseil de section de la Saskatchewan • Larry Sloan (président) RBC Dominion Valeurs mobilières Inc. • Richard Thompson (vice-président), Wellington West Capital Inc. • Susan Millburn (présidente sortante), Raymond James Ltd. • Kostas Arapis, Gestion de capital Assante • Greg Beswick, Financière Banque Nationale • Alan Cruickshank, Valeurs Mobilières Union Ltée • Susan Davidson, Credential Securities • Veronica Gamracy, Marchés mondiaux CIBC Inc. • Daniel Ish c.r., Faculté de droit, Université de Saskatchewan • Paul Harmel, Marchés mondiaux CIBC Inc. • Daryl Ludwar, TD Waterhouse • Colin Ovans, Credential Securities • Rob Theoret, Raymond James Ltd. • Alan McDougal, BMO Nesbitt Burns Inc. • Doug Strand, Raymond James Ltd. • Garrett Wilson c. r., Wilson, Rasmussen • Eric Wray (retraité) Conseil de section du Manitoba • Craig Harrison (président), Scotia Capitaux Inc. • James Allison (vice-président), TD Waterhouse Canada Inc. • Colin Ryan (président sortant), BMO Nesbitt Burns Inc. • • • • • • • • • • • • • • • • • • Jamie Wilton, Man Financial Stella Morrison, Valeurs Mobilières Berkshire Inc. Ed Griffith, Scotia Capitaux Inc. Claude Tetrault, Bieber Securities Inc. Walter Silicz, Wellington West Capital Inc. Ronald Cairns, Partenaires Financiers Richardson Ltée Richard R. Cook, Valeurs Mobilières Union Ltée Alan Dunnett, RBC Dominion Valeurs mobilières Inc. Alan McLaughlin, RBC Dominion Valeurs mobilières Inc. Allen Hosey, Credential Securities Inc. David Cheop, Valeurs mobilières Groupe Investors Inc. Bernhard Plett, McFarlane Gordon Inc. Van Whitehead, Financière Banque Nationale Ltée Gord Wimble, Marchés mondiaux CIBC Inc. Pam Dixon, Wellington West Capital Inc. Bruce Herderson, BMO Nesbitt Burns Inc. Donald Minarik, TD Waterhouse Canada Inc. Gregory Ozechowsky, Marchés mondiaux CIBC Inc. Pour obtenir de plus amples renseignements, prière de communiquer avec : Warren Funt Vice-président, Ouest du Canada, Réglementation des membres (604) 331-4750 ou [email protected] Section de l’Ontario Le conseil de section de l’Ontario de l’Association canadienne des courtiers en valeurs mobilières a tenu son assemblée annuelle le 11 mai, au National Club à Toronto. Au terme de l’assemblée, le président et chef de direction de l’ACCOVAM, M. Joe Oliver, a pris la parole devant le conseil et a parlé de la transformation de l’ACCOVAM par suite de la récente séparation du double mandat, ainsi que des pourparlers de fusion avec SRM. M. Terrence Hetherington (Raymond James Ltée) a été élu président du conseil, et M. Greg Davies (ITG Canada Corp.), vice-président du conseil. Voici la liste complète des membres du conseil de section 2006-2007 : • • Président du conseil, Terrence Hetherington, Raymond James Ltée Vice-président du conseil, Greg Davies, ITG Canada Corp. • • • • • • • • • • • • • • Ex-président du conseil, Duncan Webb, Valeurs Mobilières Crédit Suisse (Canada) Inc. Terry Bourne, Services Financiers Penson Canada Loretta Carbonelli, M Partners Mario Frankovic, Burgeonvest Securities Limited Keith Harris, Partenaires Westwind Inc. Michael Konopaski, Money Managers Inc. Mark Lyon, TD Waterhouse Canada Inc. John Morton, Scotia Capitaux Inc. Kevin Murdoch, BMO Nesbitt Burns Inc. John Rothwell, Wellington West Capital Inc. Chris Salapoutis, Valeurs Mobilières Orion Inc. Robert Sellars, Valeurs mobilières Dundee Michael Sharp, Partenaires Financiers Richardson Limitée Geoff Whitlam, Corporation Recherche Capital Pour obtenir de plus amples renseignements, prière de communiquer avec : Maysar Al-Samadi Vice-président aux normes professionnelles (416) 943 6902 ou [email protected] Québec et Provinces atlantiques À l’instar des autres conseils de section, le Conseil de section du Québec de même que les Conseils de section des Provinces atlantiques ont concentré une partie de leur énergie aux changements en cours au sein de l’Association. Le rôle et le mandat des conseils de section au sein de la nouvelle structure ont fait l’objet de nombreuses discussions qui ont permis de préciser le mécanisme de consultation auprès de cette instance. Les Conseils de section du Québec, de la NouvelleÉcosse, de l’Île-du-Prince-Édouard, de Terre-Neuve et du Nouveau-Brunswick ont aussi tenu leur assemblée générale annuelle respective les 9, 16, 17, 18 et 19 mai, et procédé à l’élection de leurs membres pour l’année 2006-2007. Québec District Conseil de section du Québec • Luc Papineau (président), Marchés mondiaux CIBC • François Breton (vice-président), RBC Dominion Valeurs mobilières • Glenn Abbott, BMO Nesbitt Burns • Tom Aiken, Mac Dougall Mac Dougall & Mc Tier • Frédéric Bélanger, Fonds des professionnels Gestion privée suite... 11 • • • • • • • • • • • • Jean-Marc Bougie, RBC Dominion Valeurs mobilières André Bourret, Scotia Capitaux François Demers, Demers Conseils Hugues Dubeau, Dubeau Capital Denis Marc Gagnon, Financière Banque Nationale Denis Gauthier, Financière Banque Nationale Pierre Godbout, Valeurs mobilières Banque Laurentienne Marc-André Lacaille, BMO Nesbitt Burns Richard Ness, Services Financiers Penson Canada. Sylvain Perreault, Valeurs mobilières Desjardins Alexandre Prunier, Marchés mondiaux CIBC Sylvain Thériault, Valeurs mobilières Desjardins Région de l’Atlantique Conseil de section de la Nouvelle-Écosse • Suzanne Buntain (présidente), Scotia Capitaux • Nick Grady (vice-président), Gestion de capital Assante • Jane Smith (présidente sortante), Beacon Securities Limited • David Acker, Scotia Capitaux • Stephen Bishop, Scotia Capitaux • Jerome Grady, Gestion de capital Assante • Annette Howland, Gestion MD Limitée • Ed Kynock, Valeurs Mobilières Union Ltée • Michelle MacLean, First Associates • Bev MacPherson, BMO Nesbitt Burns • Robinson Manson, Ocean Securities • William McLean, TD Waterhouse • Jonathan Neale, Gestion de capital Assante • Phillip Rogers, BMO Nesbitt Burns • William Sacre, HSBC • Paul Scott, Marchés mondiaux CIBC • Karen Spidell, BMO Nesbitt Burns • Kenneth Gordon Wheelans, Edward Jones Conseil de section du Nouveau-Brunswick • Sandra Barton (président), Scotia Capitaux • Mike Bardsley, BMO Nesbitt Burns • Chuck Collins, Financière Banque Nationale • Robert Crandall, Valeurs Mobilières Union • Duane Parker Hilchie, Valeurs Mobilières Dundee • Bernard William Holland, Gestion de capital Assante • Len Hoyt, McInnes Cooper • Edward Keyes, Patterson Palmer Law • David Morgan, Marchés mondiaux CIBC • Dan Richard Noel, Valeurs Mobilières Berkshire • Douglas Orford, Marchés mondiaux CIBC • Terry Richardson, Scotia Capitaux • Paul Rodger (président sortant), Scotia Capitaux • Larry Sheppard, RBC Dominion Valeurs mobilières 12 Conseil de section de l’Île-du-PrinceÉdouard • Peter Russell (président), BMO Nesbitt Burns • James Nicholson (vice-président), Marchés mondiaux CIBC • Stephen Cudmore, BMO Nesbitt Burns • David Gauthier (président sortant), RBC Dominion Valeurs mobilières • Jim Honsberger, Scotia Capitaux • Raymond Francis MacPherson, TD Waterhouse Canada • Jonathan Ross, BMO Nesbitt Burns • Rosemary Scott, Stewart McKelvey Stirling Scales • David Smith, RBC Dominion Valeurs mobilières • Dale Turner, Scotia Capitaux Conseil de section de Terre-Neuve-etLabrador • Will Small (président), Scotia Capitaux • Fred Dodd (vice-président), Marchés mondiaux CIBC • Ron Beer (président sortant), RBC Dominion Valeurs mobilières • David Eaton, c.r., McInnes Cooper • Tom Foran, BMO Nesbitt Burns • Roy Hussey, Scotia Capitaux • Ernie Johnson, Gestion de capital Assante • David Patrick Kelly, RBC Dominion Valeurs mobilières • Sandy Legge, RBC Dominion Valeurs mobilières • Frank O’Dea, c.r., O’Dea Earle Law Offices • Roger Power, Scotia Capitaux • Chris Robinson, BMO Nesbitt Burns • Ray Smallwood, Marchés mondiaux CIBC • James Templeton, Valeurs Mobilières Berkshire Pour plus de renseignements, veuillez communiquer avec : Claudyne Bienvenu Directrice régionale, Reglementation (514) 392-3435 ou [email protected] Rapport des comités Plan de continuité d’activité pour les membres de l’ACCOVAM Conformité à l’article 19 du Statut 17 La date limite du 31 juillet 2006 pour se conformer aux exigences de l’article 19 du Statut 17 (Plan de continuité d’activité) approche à grands pas. Cette conformité suppose d’élaborer un plan de continuité d’activité, de le tester, de le mettre en œuvre et de le faire examiner par un tiers indépendant. Nous avons passé en revue le rôle des fonctions de vérification interne dans l’examen des plans des sociétés membres et conclu que ces plans, à l’exception de ceux des remisiers, doivent être examinés par des examinateurs indépendants. Tout en reconnaissant l’indépendance de la fonction de vérification interne (par rapport à la direction), l’ACCOVAM considère que seul le personnel de l’ACCOVAM peut s’assurer du respect par le membre des exigences d’intérêt public. Lorsque le personnel de l’ACCOVAM a besoin de ressources supplémentaires pour s’acquitter de ses responsabilités réglementaires, les services de tiers indépendants peuvent être retenus aux fins des examens, comme c’est le cas pour les rapports financiers de fin d’année. Les tiers indépendants peuvent, à leur discrétion, se fier au travail des vérificateurs internes. Dans l’Avis RM 0397 du 2 mai 2006, nous avons informé les sociétés membres que celles qui ne se conformaient pas en substance à l’article 17 du Statut 19 au plus tard le 31 juillet 2006 pourraient être assujetties au système du signal précurseur avec les sanctions que cela suppose. Les demandes d’accréditation des examinateurs peuvent être soumises par les sociétés membres par courriel, en joignant le curriculum vitae des candidats. Les accréditations seront accordées uniquement à des particuliers ou à des équipes; elles ne seront pas établies au nom d’une société. Les examinateurs ne doivent pas avoir participé à l’élaboration du PCA du membre et, au terme de leur examen, ils devront remplir et soumettre à l’ACCOVAM le rapport d’examen du PCA standard, qui se trouve également sur le site www.accovam.ca. Lettres de confort des opérateurs de télécommunications de l’ACCOVAM et de ses fournisseurs de services Le personnel de l’ACCOVAM a demandé des lettres de confort à ses opérateurs de télécommunications et à ses principaux fournisseurs de services (au nom des sociétés membres de l’ACCOVAM). La liste de ces fournisseurs est affichée sur le site Web de l’ACCOVAM. La société Reuters a répondu qu’elle ne souhaitait pas soumettre une lettre de confort pour l’ensemble des sociétés membres et qu’elle préférait traiter les demandes de chaque membre individuellement en raison des arrangements différents qui la lient à chacun. Pour obtenir de plus amples renseignements, prière de communiquer avec : Maysar Al-Samadi Vice-président aux normes professionnelles (416) 943 6902 ou [email protected] Rapport des comités suite... Accréditation des examinateurs du PCA Des candidatures pour la fonction d’examinateur du PCA des sociétés membres nous ont été soumises et nous en avons approuvées un certain nombre. Le processus d’accréditation a nécessité environ une semaine. Nous rappelons aux sociétés membres qu’elles doivent faire approuver leurs examinateurs par l’ACCOVAM avant de les engager. Les examinateurs peuvent être des vérificateurs ou d’autres conseillers en matière de plan de continuité d’activité, et les sociétés membres doivent s’assurer qu’ils ont les compétences nécessaires; la liste de ces compétences est disponible sur le site www.accovam.ca. 13 Section de la conformité et des affaires juridiques Modèle de traitement équitable Le mandat du comité d’établissement des règles des OAR est d’évaluer les règles pour implanter les concepts de base du modèle de traitement équitable, selon la description qu’en font les documents d’orientation produits par le groupe de travail des ACVM. Ce comité se réunit chaque mois et l’information sur le rendement a plus particulièrement retenu l’attention lors des assemblées les plus récentes. Les documents de politiques rédigés dans le domaine de l’ouverture de comptes et de l’information à fournir sur les relations seront examinés en juin par les sous-comités suivants : celui sur la conformité, celui des conseillers et des gestionnaires du secteur de détail, et celui sur les opérations et la technologie. Les remarques de ces souscomités seront présentées au comité une fois cet examen terminé. Section des administrateurs financiers Congrès annuel 2006 de la SAF Scottsdale, Arizona, du 21 au 24 septembre 2006 La planification du contenu et de l’aspect logistique est en train d’être finalisée pour le congrès annuel de la SAF, qui se tiendra du 21 au 24 septembre 2006, à l’hôtel Fairmont Scottsdale Princess. Le congrès attire des décideurs aux échelons supérieurs de sociétés membres de l’ACCOVAM dans les domaines de l’exploitation et des finances, qui viennent discuter des enjeux importants pour le secteur des valeurs mobilières. Le programme du congrès est actuellement en cours de préparation et nous invitons tous ceux qui souhaiteraient proposer un sujet à m’en faire part directement. Sujets à l’étude Les sujets suivants retiennent actuellement l’attention des différents sous-comités permanents de la SAF : Sous-comité sur le rôle du chef de la conformité Les discussions se poursuivent alors que le comité est en train de rédiger un avis conjoint des OAR au sujet du rôle et de la fonction de conformité et de surveillance. • Proposition des ACVM visant à permettre un appariement plus rapide des opérations institutionnelles – norme canadienne 24-401 proposée sur l’appariement et le règlement des opérations institutionnelles. Pour obtenir de plus amples renseignements sur ces questions ou sur les travaux de la section et de ses comités permanents, prière de communiquer avec : Leslie Pearson Avocate aux affaires juridiques et à la politique (416) 943-5878 ou [email protected] • Plan de mise en œuvre pour la règle proposée dans le cadre du projet relatif aux exigences de marge applicables aux actions, qui déterminera le taux de couverture non plus en fonction du prix négocié par action mais plutôt en fonction du risque du marché mesuré d’un titre coté. • Traitement de la non-concordance prix/quantité créée par les fractionnements d’actions. • Plan de mise en œuvre pour permettre l’utilisation facultative du modèle de la valeur à risque pour déterminer les exigences de capital d’une société membre à partir de son portefeuille-titres. • Traitement de diverses opérations sur fonds communs de placement à des fins d’impôt et de divulgation dans le prospectus. Nouveau Membre L’ACCOVAM souhaite la bienvenue à son nouveau membre : Société financière Calyon Canada Inc. Le 27 février 2006 14 Pour obtenir de plus amples renseignements sur le congrès annuel de la SAF, les sujets énumérés ci-dessus ou le travail de la section et de ses comités permanents, veuillez communiquer avec : Richard Corner Vice-président, Politique réglementaire (416) 943-6908 ou [email protected] Mise à jour de la réglementation Nouvelles règles en vigueur L’Association a mis en vigueur des modifications visant à éliminer les mentions des vérificateurs de section et d’autres modifications d’ordre administratif. Les modifications du Statut 2 élimineront les mentions des vérificateurs de section et supprimeront les fonctions qui leur étaient attribuées. Les modifications comprennent également l’abrogation de l’article 13 du Statut 2, puisque la Bourse de Montréal n’exerce plus de fonctions de réglementation de ses membres. Les modifications ont été approuvées à la réunion du conseil de janvier 2006 et par les commissions de valeurs mobilières le 5 avril 2006. Le bulletin n° 3529 a été publié à ce sujet le 17 avril 2006. Prochaines modifications des règles Conseil d’administration, comité consultatif national et réunions : Les modifications proposées des articles 1 et 4 du Statut 10 visent à éliminer l’exigence que les deux tiers au moins des administrateurs soient des administrateurs représentants du secteur. Le texte modifié prévoit que le conseil d’administration se compose d’un nombre égal d’administrateurs représentants du public et d’administrateurs représentants du secteur. La taille du conseil a également été réduite de 26 membres au plus à 21 membres au plus. Les modifications proposées ont été approuvées à la réunion du conseil d’avril 2006 et ont été présentées aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Définition de clients institutionnels : La modification proposée de l’article 8 du Statut 18 introduira un renvoi à la définition du client institutionnel contenue dans le Principe directeur n° 4 de manière à assurer l’uniformité des deux textes. La modification proposée a été approuvée à la réunion du conseil d’avril 2006 et a été présentée aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Représentants inscrits et représentants en placement : La modification proposée consiste à abroger le sous-alinéa 14(d)(iii) du Statut 18, qui n’est pas nécessaire dans une perspective de réglementation. L’article 14 du Statut 18 contient déjà des règles adéquates pour éviter que le cumul d’emplois crée de conflits d’intérêts et le sous- alinéa (d)(iii) est donc redondant. En outre, étant donné que la Bourse de croissance TSX a indiqué qu’elle ne prévoit pas continuer de donner ces approbations dans l’avenir, le sous-alinéa 14(d)(iii) du Statut 18 dans sa rédaction actuelle se trouve privé de son efficacité. Les modifications proposées ont été approuvées à la réunion du conseil d’avril 2006 et ont été présentées aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Structures pour exercer la profession : À la suite de l’entrée en vigueur du Statut 39, Mandant et mandataire, l’Association a commencé à examiner la possibilité pour les représentants de constituer une personne morale pour exercer la profession. Un sous-comité a été constitué en vue de l’examen de la question. Un projet de Statut a été entériné par la Section des affaires juridiques et de la conformité en novembre 2005. Toutefois, avant que la modification proposée puisse être approuvée par les ACVM, il faut que des modifications soient apportées aux lois sur les valeurs mobilières. Les modifications proposées de l’article 1 du Statut 1 et du Statut 39 ont été approuvées à la réunion du conseil de janvier 2006 et ont été présentées aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Conseil d’administration, comité consultatif national et réunions : Les modifications proposées des articles 1 et 4 du Statut 10 éliminent la règle exigeant qu’au moins les deux tiers des administrateurs soient des administrateurs représentants du secteur et, par ce moyen, à rendre possible l’augmentation de la proportion d’administrateurs représentants du public. Les modifications réduiront également le nombre d’administrateurs formant le quorum, de neuf à sept. Les modifications proposées ont été approuvées à la réunion du conseil de juin 2005 et présentées aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Fonds discrétionnaire : La modification proposée de l’article 4 du Statut 28 vise à corriger certaines anomalies ou incohérences dans la mise en oeuvre concrète du Statut. La modification proposée a été approuvée à la réunion du conseil d’octobre 2005 et a été présentée aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Conflits d’intérêts et priorité des clients : À la suite des commentaires reçus des sociétés membres, le Statut proposé est à l’étude et on s’attend à ce que d’autres modifications soient nécessaires. 15 Nouvelle méthode pour la couverture des titres de participation : L’objectif des modifications proposées du Règlement 100 et du Formulaire 1 est de permettre l’élimination de la méthode de couverture en fonction du prix au marché de l’action et de la liste des titres admissibles à la couverture réduite. Des modifications sont également proposées à la couverture prescrite à l’égard des débentures convertibles et des actions privilégiées convertibles pour rendre ces règles plus conformes à celles qui s’appliquent aux titres d’emprunt ou aux titres de participation correspondants du même émetteur. Les modifications proposées ont été approuvées à la réunion du conseil d’octobre 2005 et ont été présentées aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Capital prescrit à l’égard de certains placements privés de titres incessibles : La modification proposée de l’article 5 du Règlement 100 vient modifier les règles actuelles sur le capital prescrit à l’égard des prises fermes, pour refléter correctement le risque moindre lié aux placements privés de titres assujettis à un délai d’incessibilité de quatre mois pendant la période du placement. La modification proposée a été approuvée à la réunion du conseil de janvier 2006 et a été présentée aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Options du marché hors cote et définition de l’option : Les modifications de l’article 11 du Règlement 100 visent à abroger des dispositions redondantes et à rendre les dispositions sur le capital prescrit et la couverture prescrite pour les options du marché hors cote compatibles avec les dispositions correspondantes pour les options négociables en bourse, tout en conservant les limitations actuelles sur certaines compensations d’options du marché hors cote. La modification de la définition de l’« option » exposée à l’article 1 du Règlement 1900 vise à mettre à jour la dénomination des sociétés de compensation de dérivés qui émettent et négocient les options négociables en bourse. Les modifications proposées ont été adoptées à la réunion du conseil de juin 2005 et présentées aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Utilisation facultative de modèles de valeur à risque pour déterminer le capital prescrit à l’égard des positions sur titres des sociétés membres : La modification proposée de l’article 12 du Règlement 100 vise à ouvrir aux sociétés membres qui tiennent des positions pour compte propre complexes ou considérables la faculté d’utiliser une méthode de modélisation de la VaR pour déterminer leur capital prescrit, ce qui fera en sorte que le capital prescrit reflétera mieux le risque de marché global de la position pour compte propre. La modification proposée a été approuvée à la réunion du conseil 16 d’octobre 2005 et a été présentée aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Obligation de faire parvenir aux clients des relevés trimestriels : À l’heure actuelle, la fin d’exercice de certaines sociétés membres ne correspond pas à la fin d’un trimestre civil. Étant donné que les sociétés membres sont tenues de produire des relevés à la fin de chaque trimestre civil et à la fin de l’exercice aux fins de vérification externe, elles envoient annuellement au moins cinq jeux de relevés aux clients qui ont un solde monétaire ou des titres. La modification proposée de l’article 1(c) du Règlement 200 a pour but de fixer à quatre le nombre minimum d’envois annuels aux clients pour toutes les sociétés membres. La modification proposée a été approuvée à la réunion du conseil de janvier 2004 et présentée aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Avis d’exécution d’opérations effectuées dans des comptes gérés à l’externe : Les modifications proposées de l’alinéa 1(h) du Règlement 200 ont pour objectif de dispenser les gestionnaires externes de la réception non nécessaire des avis d’exécution et de fournir plutôt aux membres l’option d’envoyer à leurs clients un relevé mensuel enrichi, fournissant tous les renseignements qui figurent généralement dans un avis d’exécution. Les modifications proposées ont été approuvées à la réunion du conseil d’octobre 2005 et ont été présentées aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Règles d’assurance : La modification proposée des règles d’assurance exposées à l’article 1 du Règlement 400 vise à simplifier la formulation et à la rendre conforme aux pratiques acceptées aujourd’hui. Elle a été approuvé à la réunion du conseil de janvier 2006 et présentée aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Spéculation sur séance : Avant l’élaboration de ces propositions, il n’y avait pas de statut ou de règlement traitant des questions particulières que pose la spéculation sur séance (day trading). Vu qu’un certain nombre de sociétés faisant la promotion de la spéculation sur séance souhaitaient devenir membres de l’Association et qu’il s’agit d’une activité très risquée, il était manifeste qu’il fallait des règles en la matière adaptées aux préoccupations particulières de protection des investisseurs que suscite cette activité. Les modifications proposées définissent les obligations des membres en ce qui concerne les points suivants : • s’assurer qu’un compte de spéculation sur séance convient à un client particulier avant de lui ouvrir un tel compte; • prévenir les clients des risques liés à la spéculation sur séance; • protéger le client contre la perte financière par la mise en oeuvre de limites strictes sur l’effet de levier, sous la forme d’exigences de couverture. Le projet de règlement 2500 initial a été approuvé à la réunion du conseil de juin 2001 et les commissions de valeurs mobilières ont formulé des observations additionnelles. Par la suite, le projet de règlement 2500, Spéculation sur séance, le projet d’article 22 du Règlement 100, Couverture prescrite pour les expositions intra-journalières, et le projet de principe directeur no 10, Couverture prescrite pour certains comptes de client comportant des expositions intrajournalières, ont été approuvés à la réunion du conseil d’octobre 2003 et présentés aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Compétences requises pour les gestionnaires de portefeuille en contrats à terme : La partie I du Principe directeur n° 6 sera modifiée pour ajouter une composante formation aux compétences prescrites pour le gestionnaire de portefeuille en contrats à terme et pour le gestionnaire adjoint de portefeuille en contrats à terme, pour éliminer la barrière à l’entrée résultant de l’interrelation des règles actuelles et pour rattacher directement aux postes l’expérience exigée pour le gestionnaire de portefeuille en contrats à terme et pour le gestionnaire adjoint de portefeuille en contrats à terme. La modification proposée a été approuvée à la réunion du conseil de juin 2005 et présentée aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Compétences et formation : Les parties I et II du Principe directeur n° 6 ont été modifiées pour reconnaître des cours additionnels et ajouter des exemptions sans diminuer la rigueur des règles actuelles concernant les compétences, pour éliminer des règles et des renvois périmés et pour ajouter des dispositions sur les droits à payer pour les demandes d’exemption. Les modifications apportent également un certain nombre de corrections d’ordre terminologique, syntaxique et grammatical au texte actuel et mettent à jour les renvois aux Statuts et Règlements. Les modifications proposées des parties I et II du Principe directeur n° 6 ont été approuvées à la réunion du conseil de juin 2004 et ont été présentées aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Cours intitulé Notions essentielles sur la gestion de patrimoine : La modification proposée des parties I et II du Principe directeur n° 6 vise à remplacer les cours qu’on peut actuellement choisir pour satisfaire à la formation exigée dans le délai de 30 mois par un nouveau cours, intitulé Notions essentielles sur la gestion de patrimoine, couvrant à la fois la planification financière et la gestion de placements. La modification proposée a été approuvée à la réunion du conseil de juin 2005 et présentée aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Pénalité pour concentration de titres à l’égard de positions de titres indiciels diversifiés : Le Tableau 9 du formulaire 1 exige la présentation des dix positions d’émetteurs les plus importantes du point de vue de la valeur d’emprunt de façon à pouvoir déterminer s’il y a possession d’une trop grande quantité d’un titre du même émetteur et s’il y a lieu d’appliquer une pénalité pour concentration. Lorsqu’il s’agit d’apprécier si l’exposition à un émetteur en particulier pose problème, l’exposition combinée des titres en stock et du « montant du prêt » du compte du client est calculée et comparée au capital régularisé en fonction du risque de la société membre. Les produits indiciels diversifiés cotés sont devenus des instruments populaires auprès des sociétés membres et de leurs clients et présentent l’avantage de réduire à la fois le risque lié à l’émetteur et le risque lié au secteur que peut entraîner la possession de titres individuels. Il s’ensuit donc que les titres indiciels diversifiés devraient être traités différemment lorsqu’il s’agit de déterminer s’ils présentent un risque lié à l’émetteur qui est important pour une société membre. Les modifications proposées visent à ouvrir aux sociétés membres l’option de traiter des positions de produits indiciels diversifiés de la même manière que les titres indiciels du panier sous-jacent aux fins de l’évaluation de la concentration des titres. Les modifications proposées du Tableau 9 du formulaire 1 ont été approuvées à la réunion du conseil de juin 2004 et présentées aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Exigences de capital relatives aux arrangements de garde : Des propositions ont été mises au point pour modifier les exigences de capital actuelles dans la situation où le dépositaire serait admis comme lieu agréé de dépôt de valeurs n’était du fait que la société membre n’a pas passé de convention de garde écrite avec lui. Il est jugé que les exigences de capital proposées tiennent mieux compte du risque de ne pas avoir de convention de garde dans cette situation, tout en maintenant une incitation suffisante pour le membre à signer la convention de garde standard. Les modifications ont été approuvées à la réunion du conseil d’octobre 2002 17 et présentées aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Autorisation pour les caisses de retraite étrangères d’obtenir le statut d’« institution agréée » ou de « contrepartie agréée » – Formulaire 1 : Les règles actuelles de l’Association ne reconnaissent pas expressément les caisses de retraite étrangères comme étant des « institutions agréées » ou des « contreparties agréées » aux fins du risque de crédit. Par conséquent, la couverture de la plupart des caisses de retraite étrangères est calculée de la même manière que pour la couverture des clients de détail. Les modifications proposées élimineraient ou réduiraient considérablement les couvertures prescrites applicables aux caisses de retraite étrangères, du fait qu’elles seraient désormais admissibles comme institutions agréées ou contreparties agréées. La diminution des couvertures prescrites permettra aux sociétés membres d’obtenir plus rapidement des capitaux auprès d’un groupe de contreparties de prêt de titres étrangers sans que leur solvabilité ou celle de leurs clients ne soit touchée de façon défavorable. Les modifications proposées ont été approuvées à la réunion du conseil de janvier 2004 et présentées aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Rapports du vérificateur sur les états financiers : La modification proposée est une modification d’ordre administratif qui introduit un changement dans la partie I, Rapport des vérificateurs, du formulaire 1 pour modifier le rapport des vérificateurs actuel de manière à refléter le nouveau chapitre 5600 de l’ICCA. Il est proposé d’abroger le texte actuel de la partie 1, Rapport des vérificateurs, et de le remplacer par les nouvelles règles adoptées par l’ICCA. Il y a au total quatre versions différentes des nouveaux rapports des vérificateurs : ordinaire, cumulé, cumulé et non consolidé et non consolidé. Pour chacun de ces quatre rapports des vérificateurs, il existe trois versions : ordinaire, vérification du premier exercice et nouveau vérificateur, ce qui donne un total de 12 versions de rapports des vérificateurs. La modification proposée a été approuvée à la réunion du conseil de janvier 2005 et présentée aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Lignes directrices sur les formulaires de demande d’ouverture de compte : Les modifications proposées élimineront le formulaire 2 et le remplaceront par des lignes directrices définissant le type de renseignements qu’on peut recueillir auprès des clients au moment de l’ouverture du compte. Les lignes directrices seront adaptées au type de compte ouvert, puisque les règles sont différentes selon qu’il s’agit d’un compte de détail, d’un 18 compte institutionnel ou d’un compte couvert par une dispense d’évaluation de la convenance. Les modifications ont été approuvées à la réunion du conseil d’avril 2006 et ont été présentées aux commissions de valeurs mobilières en vue de l’approbation. Règles en cours d’élaboration Statuts 19 et 20 : Le personnel de l’ACCOVAM procède à la révision de ces Statuts en vue d’élaborer des règles plus efficaces dans le domaine des audiences, des inspections de conformité et des enquêtes. Rôle de l’agent de conformité : Un sous-comité de la SAJC a été constitué en vue d’examiner la compréhension des normes, les attentes et les différentes manières de soutenir la fonction de conformité dans les sociétés membres. À la suite des discussions du sous-comité, les organismes d’autoréglementation ont entrepris d’élaborer un avis conjoint exposant les attentes des autorités de réglementation à l’égard de la fonction de conformité. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec : Richard Corner Vice-président, Politique réglementaire (416) 943-6908 ou [email protected] La Mise à jour de la réglementation est publiée chaque mois sur le site Internet de l’ACCOVAM. Mise en application : décisions en matière disciplinaire Entre le 6 février et le 11 mai 2006 Robert Ernest Leo Hart (Bulletin 3513) Contraventions : Une formation d’instruction a jugé que M. Hart avait : • détourné plus de 800 000 $ des comptes de placement de deux clientes; • refusé ou fait défaut de se présenter et de fournir de l’information dans le cadre d’une enquête menée par le Service de la mise en application de l’ACCOVAM. Sanctions : amende de 1 300 000 $, frais de 40 797 $ et interdiction permanente. Jory Capital Inc. et Patrick Michael Cooney Jory Capital Inc. et Patrick Michael Cooney ont déposé un avis d’appel des décisions de l’ACCOVAM datées du 28 juillet 2005 et du 5 janvier 2006. L’appel sera entendu par une formation d’appel de l’ACCOVAM à une date à déterminer. Les sanctions imposées à Jory et à M. Cooney sont suspendues jusqu’à la décision sur l’appel. Résolution Capital inc. (RCI), Gaston English et Eric English (Bulletin 3514) Contraventions : Une formation d’instruction a jugé que RCI avait : • négligé ou refusé de payer sa cotisation annuelle des exercices 2003-2004 et 2004-2005; • négligé ou refusé de payer des frais de dépôt tardif pour le dépôt de ses rapport et questionnaire financiers réglementaires uniformes de 2004; • négligé ou refusé de payer la portion qui lui a été attribuée de la rémunération des vérificateurs de section de l’Association; • refusé de reconnaître qu’elle avait été classée au niveau 2 du système du signal précurseur et refusé de se conformer aux conditions applicables à un membre de l’ACCOVAM classé au niveau 2 du système du signal précurseur; • négligé ou refusé d’appliquer les principes comptables canadiens généralement reconnus dans l’établissement de ses livres et registres financiers au moins depuis mai 2003. Quant à Gaston English et à Eric English, la formation d’instruction a jugé qu’au moins depuis février jusqu’au 13 février 2006, ils n’ont ni l’un ni l’autre exercé leurs fonctions d’une manière prudente et raisonnable – M. Gaston English à titre de président et chef de la direction de RCI et M. Eric English à titre de chef des finances et de premier vice-président de RCI. Sanctions : RCI se voit imposer une amende de 51 729,83 $, M. Gaston English se voit interdire en permanence l’inscription à un titre quelconque auprès d’un membre de l’ACCOVAM et l’inscription de M. Eric English auprès de l’ACCOVAM est suspendue pour une période de trois ans. Zygmunt Janiewicz (Bulletin 3518) Contraventions : Une formation d’instruction a jugé que M. Janiewicz : • ne s’était pas assuré que les recommandations faites à une cliente et les opérations effectuées dans le compte de celle-ci convenaient à cette cliente et correspondaient à ses objectifs de placement; • avait effectué des opérations discrétionnaires dans le compte d’une cliente, sans son autorisation écrite et sans que le compte n’ait été désigné et approuvé comme un compte carte blanche par sa société membre. Sanctions : amende de 50 000 $ et paiement d’une somme de 8 345 $US, constituant le remboursement de commissions gagnées par lui à l’occasion des opérations ne convenant pas à sa cliente; suspension de l’autorisation d’agir à titre de personne inscrite auprès d’une société membre de l’ACCOVAM pendant une période de six mois; pour toute nouvelle autorisation à un titre quelconque exigeant l’inscription, M. Janiewicz devra réussir l’examen relatif au Manuel sur les normes de conduite et faire l’objet d’une surveillance étroite pendant un an. Janet Beatrice Kim (Bulletin 3520) Contraventions : Mme Kim a reconnu avoir : • effectué des opérations discrétionnaires dans le compte d’un client sans que ce compte n’ait été formellement autorisé et accepté par écrit comme compte carte blanche par la personne désignée de la société membre; 19 • personnellement couvert et payé les appels de marge adressés à son client à l’insu de la société membre, sans son consentement ou son autorisation; • promis d’indemniser personnellement un ancien client des pertes encourues dans le compte de ce client chez la société membre. Sanctions : amende de 30 000 $ et frais de 10 000 $; suspension de six mois; à titre de condition de sa nouvelle autorisation, obligation de réussir l’examen relatif au Manuel sur les normes de conduite et assujettissement à une surveillance stricte pour une période de 12 mois. LVM Canada ltée (Bulletin 3523) Contraventions : LVM Canada ltée a reconnu avoir fait défaut : • de maintenir en tout temps un capital régularisé en fonction du risque supérieur à zéro; • de produire des états financiers vérifiés pour l’exercice se terminant au 31 octobre 2005; • de nommer un chef des finances satisfaisant aux critères prévus; • d’acquitter une partie de sa cotisation annuelle exigée pour l’année 2002. Sanctions : révocation du statut de membre et amende de 13 921 $. Kara Lee Cubbon (Bulletin 3528) Contraventions : Mme Cubbon a reconnu : • avoir participé aux placements de trois sociétés auprès de 52 clients en facilitant les participations à ces placements ou en les sollicitant; • s’être livrée à des opérations financières personnelles auprès de deux clients en participant à des opérations sur des titres au profit de ces clients, en facilitant les participations à ces opérations ou en les sollicitant. Sanctions : amende de 22 500 $ et frais de 10 000 $, surveillance étroite pendant une période de six mois, obligation de passer et de réussir l’examen lié au Manuel sur les normes de conduite pour continuer d’occuper un poste quelconque à titre de personne inscrite. Valeurs mobilières GRS inc. (Bulletin 3530) Contravention : GRS a reconnu ne pas avoir maintenu un capital régularisé en fonction du risque supérieur à zéro. Sanctions : amende de 40 000 $ et frais de 7 000 $. Valeurs mobilières Union ltée et John P. Thompson (Bulletin 3531) Contravention : Union et M. Thompson ont reconnu ne pas avoir élaboré et mis en oeuvre des systèmes de conformité adéquats pour assurer une surveillance efficace de l’activité de la société membre conformes aux normes de l’ACCOVAM. Sanctions : amende de 1 000 000 $ et assujettissement d’Union aux obligations suivantes pour les trois prochaines années : engager un consultant en conformité externe compétent, jugé acceptable par l’ACCOVAM, pour examiner et contrôler ses systèmes et politiques de conformité; ajouter au moins un administrateur indépendant externe à son conseil d’administration; s’abstenir d’exploiter des comptes pour des sociétés constituées en vue de contourner les obligations d’inscription; veiller à créer et à conserver une piste de vérification, notamment des documents établissant sa « localisation » de titres, pour toutes les ventes à découvert en reconnaissant que les limites concernant les titres ciblés fixées dans le règlement intitulé Regulation SHO s’appliquent à elle et veiller à ce que toutes ces ventes à découvert ne contreviennent pas aux règles sur les titres ciblés fixées dans ce règlement. M. Thompson fait l’objet d’une interdiction permanente d’exercer les fonctions de PDR chez Union ou chez toute autre société membre. Tiffany Yen Siam Mu (Bulletin 3533) Contraventions : Une formation d’instruction a rejeté les accusations contre Mme Mu, selon lesquelles celle ci avait présenté à l’ACCOVAM un formulaire de renseignements en vue d’un transfert d’inscription, un formulaire d’inscription de la base de données nationale d’inscription (BDNI), ainsi qu’une demande d’inscription de la BDNI, qui étaient faux ou trompeurs. Ces allégations découlaient des réponses de Mme Mu à certaines questions figurant dans des formulaires d’inscription ayant trait à son emploi chez deux sociétés membres de l’ACCOVAM. La formation d’instruction 20 a jugé que de fait, les réponses de Mme Mu à certaines questions étaient techniquement fausses, mais qu’elle ne savait pas comment y répondre correctement. La formation d’instruction a en outre conclu que Mme Mu croyait ses réponses exactes et qu’après avoir rempli les formulaires, elle avait tenté de déterminer si elle avait procédé de la bonne façon. La formation d’instruction a également conclu que Mme Mu s’était fiée à une lettre reçue de l’ACCOVAM relativement à sa cessation d’emploi chez RBC. Valeurs mobilières iForum inc. Larry Jay Tobin (Bulletin 3537) Kelly John Campbell Husky (Bulletin 3540) Contraventions : M. Tobin a reconnu avoir : • exercé une activité correspondant à l’inscription de gestionnaire de portefeuille sans être inscrit à ce titre; • effectué des opérations discrétionnaires dans les comptes de six clients; • tenté de corriger une erreur de négociation dans le compte d’un client sans en informer d’abord sa société membre; • négligé de faire preuve de la diligence voulue pour veiller à ce que les recommandations faites à une cliente conviennent à celle-ci et correspondent à ses objectifs de placement. Sanctions : amende de 30 000 $ et frais de 5 000 $, remise de 28 000 $ d’honoraires, interdiction de demander une autorisation d’inscription chez une société membre pour une période de six mois, période de surveillance stricte de 12 mois en cas d’inscription ultérieure et obligation de passer à nouveau et de réussir l’examen relatif au MNC. Contraventions : M. Husky a reconnu : • ne pas avoir exercé la diligence voulue pour apprendre les faits essentiels relatifs à chaque client et pour se tenir informé de ces faits; • avoir exécuté une opération dans chacun des deux comptes d’une cliente à l’insu et sans le consentement de celle-ci. Sanctions : amende de 25 000 $ et frais de 4 000 $, remboursement de commissions de 1 227 $, surveillance étroite pour une période de six mois (qui a débuté le 1er mai 2006), obligation de passer et de réussir de nouveau l’examen du cours relatif au MNC; et la succursale d’Edmonton de BMO Nesbitt Burns Inc., société membre de l’ACCOVAM et employeur actuel de M. Husky, lui a imposé une amende de 5 000 $ qui a été payée. Denes Luciano Fransesco Peroni et Robert Paul Joseph Hétu Contraventions : Valeurs mobilières iForum inc. a fait l’objet de plusieurs ordonnances d’une formation d’instruction, dont une ordonnance de suspension immédiate. Tous les comptes de ses clients ont alors été tansférés chez un autre courtier en valeurs mobilières. iForum est maintenant en faillite et un syndic a été nommé aux fins de liquider ses actifs. Sanctions : interdiction permanente. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec : Alex Popovic Vice-président, Mise en application (416) 943-6904 ou [email protected] Contraventions : Une formation d’instruction a jugé que MM. Peroni et Hétu n’avaient pas informé la société membre des coûts véritables de trois campagnes de publicité menées conjointement avec trois organismes de placement collectif. Ces informations fausses ou trompeuses leur ont valu des remboursements qui excédaient les montants permis. La formation a également jugé qu’ils avaient sciemment et faussement déclaré à la société membre qu’une publicité avait paru douze fois dans un journal alors qu’elle n’avait paru que quatre fois. Sanctions : les sanctions devant être imposées à MM. Peroni et Hétu seront déterminées lors d’une audience sur les sanctions, à une date qui sera fixée par la coordonnatrice nationale des audiences de l’ACCOVAM. 21 Association canadienne des courtiers en valeurs mobilières L’Association canadienne des courtiers en valeurs mobilières (l’ACCOVAM) est l’organisme national d’autoréglementation du secteur des valeurs mobilières. L’ACCOVAM a pour mission de protéger les investisseurs, de favoriser l’intégrité du marché et d’accroître l’efficacité et la compétitivité des marchés des capitaux canadiens. Calgary Bureau 2300 355, 4e Avenue S.-O. Calgary (Alberta) T2P 0J1 Tél. : (403) 262-6393 Téléc. : (403) 265-4603 Montréal Bureau 2802 1, Place Ville Marie Montréal (Québec) H3B 4R4 Tél. : (514) 878-2854 Téléc. : (514) 878-3860 Toronto Bureau 1600 121, rue King Ouest Toronto (Ontario) M5H 3T9 Tél. : (416) 354-6133 Téléc. : (416) 364-0753 Vancouver Bureau 1325 C.P. 11614 650, rue Georgia Ouest Vancouver (C.-B.) V6B 4N9 Tél. : (604) 683-6222 Téléc. : (604 683-3491 Site Web www.ida.ca Ligne info-plaintes (877) 442-4322 This report is available in English