Compte-rendu de l`AG du SDEN 93 (amendements, motions)
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Compte-rendu de l`AG du SDEN 93 (amendements, motions)
Congrès préparatoire du SDEN 93 au Congrès de l’UNSEN-CGT Votes des amendements et résolutions Vote du rapport d’activités Pour : 0 Contre : 24 Abstention : 8 NPPV : 0 Amendements à la résolution 1 Paragraphe 17 Supprimer : «et ethnique » Pour : 33 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 0 NPPV : 0 Paragraphe 23 Rajouter : «qui est de privilégier une école au service des « talents » de quelques-uns» Pour : 27 Contre : 1 Amendement adopté Abstention : 5 NPPV : 0 Paragraphe 24 Supprimer: « co ntradictoire.» Pour : 14 Voté contradictoirement à l’amendement suivant Amendement adopté Paragraphe 24 Remplacer par : «La loi Fillon cherche à adapter le système éducatif à la société libérale. Après les contre-réformes des retraites et de la sécurité sociale, les attaques contre le droit du travail, la loi Fillon est un élément supplémentaire des politiques libérales menées en Europe. Elle répond à un double objectif : adapter l’école aux restrictions budgétaires et les niveaux de qualification et de formation aux seuls besoins patronaux.» Pour : 6 Contre : Amendement rejeté Abstention : NPPV : Paragraphe 24 Rajouter: «La loi Fillon trouve son origine dans la stratégie élaborée au sommet européen de Lisbonne en 2000 qui s’est fixé comme objectif une économie hautement compétitive, l’éducation et la formation devant être au service de cet objectif.» Pour : 32 Contre : 1 Amendement adopté Abstention : 0 NPPV : 0 Paragraphe 24 Rajouter: «La loi Fillon trouve également son inspiration dans des projets ministériels précédents comme le projet Mélenchon de mise en place de lycée des métiers dans l’enseignement professionnel et l’extension du contrôle continu (en CAP pour le moment).» 1 Pour : 7 Contre : 5 Amendement adopté Abstention : 14 NPPV : 0 Paragraphe 28 Remplacer par : «Développement de l’apprentissage, orientation et filiarisation précoces pour les élèves en difficulté, généralisation des Contrôles en cours de formation et des bac-pro 3 ans imposés contre l’avis des personnels … : l’enseignement professionnel public est particulièrement menacé. Le désigner comme le seul recours aux difficultés scolaires aboutit à stigmatiser cette voie de formation et à la transformer en une véritable voie de relégation ». Pour : 32 Contre : 1 Amendement adopté Abstention : 0 NPPV : 0 Paragraphe 29 Rajouter après « autorité » : « formatage des comportements » Pour : 32 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 1 NPPV : 0 Paragraphe 30 Rajouter : « pour toutes ces raisons nous demandons le retrait de la loi Fillon votée le 24 mars. » Pour : 33 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 0 NPPV : 0 Paragraphe 33 Ajouter : « Déjà aujourd’hui, tous les établissements manquent de personnels TOS. Quel est l’avenir des missions qu’ils exercent aujourd’hui ? L’exemple de ce qui se passe dans le 1er degré montre que le risque est grand que des services entiers soient externalisés, voire privatisés (demi-pension, nettoyage, entretien...). Un même droit à l’éducation dans tous les quartiers, dans toutes les régio ns. C’est ce que nous disions en 2003. Ce principe risque d’être encore plus mis à mal. A tous les niveaux, nous devrons être vigilants sur les statuts des TOS, sur le maintien de leurs missions dans l’établissement et dans le service public. Nous maintenons notre exigence du maintien des TOS dans la fonction publique d’Etat.. » Pour : 33 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 0 NPPV : 0 Paragraphe 56 Supprimer : « d’une part » et « d’autre part, la trop grande uniformité des contenus d’enseignement, des pratiques pédagogiques et des moyens alloués » Pour : 33 Contre : 0 Amendement adopté Abstention :0 NPPV : 0 Paragraphe 57 Remplacer par : « La diversité des élèves et des besoins scolaires nécessite un taux d’encadrement plus élevé c’est-à-dire des créations de postes d’enseignement et d’éducation et non des suppressions de postes et une augmentation substantielle des heures supplémentaires comme c’est le cas actuellement, augmentation qui sera décuplée par la mise en œuvre de la loi Fillon» Pour : 31 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 2 NPPV : 0 Paragraphe 57 2 Ajouter un 57 bis : « La prise en compte de la diversité doit permettre une réelle démocratisation, c’est-à-dire l’accès de tous les enfants à l’ensemble des apprentissages scolaires à l’inverse de ce qu’instaure la loi Fillon avec une filiarisation et une orientation précoce dès le collège. » Pour : 33 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 0 NPPV : 0 Paragraphe 79 Ajouter à la fin : « Nous maintenons notre exigence d’une véritable seconde de détermination ouvrant sur les trois voies de formation au lycée. » Pour : 33 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 0 NPPV : 0 Vote de la résolution 1 amendée Pour : 32 Contre : 0 Abstention : 1 NPPV : 0 Amendements à la résolution 2 Paragraphe 5 Rajouter un 5 bis : «Un constat s’impose. Nous sommes dans un cycle d’accroissement des inégalités et de la pauvreté qui se traduit par des statistiques alarmantes : 3,3 millions de personnes perçoivent les minima sociaux (RMI, RMA, Allocation Adulte Handicapé, minimum vieillesse, ASS, Allocation Parent Isolé), 1,7 million de salariés gagnent en moyenne 900 euros nets pour 35 heures hebdomadaires, plus d’1 million de salariés gagnent moins que le seuil de pauvreté (soit moins de 650 euros mensuel). A contrario, les profits des multinationales et des actionnaires explosent : en 2005, les gains cumulés des entreprises du CAC 40 avoisinent les 57 milliards d’euros (+60%) (soit l’équivalent de quatre fois le déficit de la sécurité sociale prévu en 2004). Les gains de productivité ne sont pas redistribués ni investis. Conséquence, les salariés du privé et du public sont touchés de plein fouet par l’appauvrissement généralisé et la dégradation des conditions de travail imposés par le patronat.» Pour : 33 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 0 NPPV : 0 Paragraphe 6 Rajouter après « retraités… » : «Cet éclatement des statuts et des catégories obéit à une logique libérale qui est appliquée à la lettre par les gouvernements successifs. L’objectif est de précariser, déstabiliser, soumettre. La précarité s’inscrit dans un mode de domination d’un type nouveau. Il est fondé sur l’institution d’un état généralisé et permanent d’insécurité visant à contraindre les travailleurs à l’acceptation de l’exploitation et donc, de conditions de travail dégradées et voire humiliantes. L’existence d’une importante armée de réserve, flexible, disponible et licenciable à souhait (contractuels, CES, vacataires, assistants d’éducation…) permet au Ministère de faire des économies, au mépris des droits les plus élémentaires des salariés.» Pour : 31 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 2 NPPV : 1 Paragraphe 21 Supprimer : «Loin d’être satisfaisante » Pour : 33 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 0 NPPV : 0 3 Paragraphe 21 Rajouter après « chômage… » : «Ce sont des sans droit, traités avec le plus grand mépris par l’administration.» Pour : 33 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 0 NPPV : 0 Paragraphe 32 Remplacer « s’interrogent » par « sont inquiets… » Pour : 33 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 0 NPPV : 0 Paragraphe 38 Rajouter après « défend les précaires. » : «par exemple lorsqu’ils sont l’objet d’abus intolérables (retard de paye, inspection sanction, non renouvellement de contrat en cours d’année scolaire, non-paiement des congés…) » Pour : 31 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 1 NPPV : 1 Paragraphe 38 Remplacer « d’un meilleur encadrement du contrat à durée déterminée » par « d’une amélioration substantielle des conditions d’embauche et de travail » Pour : 16 voté contradictoirement à l’amendement suivant Amendement adopté Paragraphe 38 Supprimer la dernière phrase et écrire la phase précédente : « La CGT s’oppose à la précarité mais défend les précaires, par exemple lorsqu’ils sont l’objet d’abus intolérables (retard de paye, inspection sanction, non renouvellement de contrat en cours d’année scolaire, non-paiement des congés, non-prise en compte de l’ancienneté …) » Pour : 8 Amendement rejeté Paragraphe 40 Rajouter : « Cette unification constitue aujourd'hui un axe revendicatif important. Celle-ci doit permettre une défense collective de l'ensemble des enseignants contre les effets dévastateurs de la politique rétrograde et libérale du gouvernement RAFFARIN, FILLON… Cette politique libérale vise à remettre en cause avec la loi FILLON mais aussi par circulaires et décrets d'application, les différents statuts des enseignants en utilisant toutes les "brèches" de ceux-ci pour flexibiliser et réduire l'emploi des enseignants au mépris de leur qualification, de l'enseignement dû aux élèves. . Cette politique s'appuie sur l'existence d'un fort corporatisme entre les différents corps d'enseignants. Ce corporatisme est renforcé par un clivage persistant à combattre dans les lycées, entre les enseignements professionnels d'une part, technologique et général d'autre part mais aussi entre les collèges et le 1 er degré. La mise en oeuvre de cette unification correspond à un enjeu décisif pour la formation des futurs enseignants (IUFM) et le devenir du système éducatif. Cela doit conduire à un réexamen des missions des enseignants qui dépassent, par exemple , largement le seul débat de la bivalence disciplinaire dans les différents niveaux d'enseignement» Pour : 31 Contre : 0 Amendement adopté Abstention :0 NPPV : 2 4 Paragraphe 41 Remplacer par « Comme tous les autres salariés, nous revendiquons une réduction du temps de travail. Par ailleurs, la pénibilité du travail doit faire l’objet d’une reconnaissance institutio nnelle (décharges horaires, suivi médical, journées banalisées, heures de concertation…). En effet, les missions des enseignants se sont complexifiées et diversifiées. Cela induit une charge de travail de plus en plus importante et exigeante.: » Pour : 32 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 1 NPPV : 0 Paragraphe 45 Remplacer par « La fonction publique doit ouvrir ses concours non pas aux seuls ressortissants européens mais aussi aux hors-union européenne. » Pour : 32 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 1 NPPV : 0 Paragraphe 49 Remplacer « aspirent » par « doivent pouvoir aspirer » Pour : 30 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 3 NPPV : 0 Paragraphe 49 Rajouter à la fin « De réelles passerelles doivent être garanties entre les différentes fonctions publiques, dans le respect des statuts, sans discriminations, ni numerus clausus » Pour : 33 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 0 NPPV : 0 Vote de la résolution 2 amendée Pour : 31 Contre : 0 Abstention : 2 NPPV : 0 Amendements à la résolution 3 Paragraphe 16 Remplacer par : «Le crédit grandissant accordé par les salariés au syndicat renforce sa responsabilité, et plus particulièrement celle de la CGT, pour s’opposer avec force aux attaques menées par le pouvoir politique, et inspirées par le MEDEF, en matière de droit du travail et droits sociaux. Il se doit de ne pas décevoir.» Pour : 23 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 4 NPPV : 0 Paragraphe 18 Remplacer par : «Le syndicalisme est aujourd’hui la principale force organisée, mais sa division, qui correspond trop souvent à des différences de conception du rôle d’une organisation syndicale semant le trouble dans l’esprit de nombre de salariés, est un frein à la syndicalisation.» Pour : 19 Contre : 1 Amendement adopté Abstention : 5 NPPV : 2 Paragraphe 19 Remplacer par : «C’est également un obstacle au déploiement des luttes et à leur efficacité, lorsque des organisations syndicales entretiennent l’idée que compromis(sion) et négociation à tout prix sont seuls à même d’assurer la défense des salariés.» 5 Pour : 20 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 5 NPPV : 2 Paragraphe 20 Remplacer par : «Il est donc d’autant plus important de bien marquer notre engagement dans un syndicalisme de progrès social.» Pour : 24 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 2 NPPV : 1 Abstention : 1 NPPV : 1 Paragraphe 21 Supprimer le paragraphe Pour : 25 Contre : 0 Amendement adopté Paragraphe 22 Ajouter à la fin : «Ce choix ne peut malgré tout se faire qu’à la condition qu’il soit l’occasion, pour les salariés, d’une amélioration de leurs conditions de travail en général.» Pour : 22 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 3 NPPV : 2 Paragraphe 25 Remplacer par : «L’action unitaire qui s’est construit à la base dans les AG et les coordinations a été un facteur essentiel de l’ampleur de la mobilisation au printemps 2003 dans notre secteur.» Pour : 24 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 0 NPPV : 3 Paragraphe 26 Remplacer par : « Le refus d’appeler à la grève générale au niveau interprofessionnel a entravé le développement et l’élargissement des luttes » Pour : 23 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 3 NPPV : 1 Paragraphe 40 Remplacer par : « La bataille de l’information est importante et nous devons lui accorder toute l’attention qu’elle mérite dans l’élaboration de notre matériel syndical. Les mobilisations sociales depuis 2002, le succès des forums sociaux, des mobilisations européennes ont fait comprendre à la très grande majorité des personnels que cette politique de régression anti-sociale de Raffarin est insupportable et qu’il faudra y mettre fin » Pour : 22 Contre : 1 Amendement adopté Abstention : 3 NPPV : 1 Paragraphe 54 Remplacer par : «Lors des luttes, les salariés se dotent de structures d’auto -organisation (coordinations, assemblées générales…) pour conduire celles-ci. Ces structures sont un outil pour dépasser la division syndicale et unifier les salariés, syndiqués ou non. Nous nous y inscrivons pour y développer nos propositions revendicatives, y proposer des perspectives d’action. Loin de s’opposer à l’activité permanente du syndicat, ces structures sont un élément de renouvellement du syndicalisme et de la construction du rapport de forces.» Pour : 26 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 0 NPPV : 1 Paragraphe 55 6 Remplacer par : « Le syndicalisme, fidèle à ses objectifs de transformation sociale, doit se donner les moyens de développer les luttes et les mobilisations jusqu’au bout même si cela implique une confrontation avec le gouvernement et le MEDEF. » Pour : 24 Voté contradictoirement à l’amendement suivant Amendement adopté Paragraphe 55 Remplacer par : «Le vide laissé par la crise du politique a tendance à se combler peu à peu par le syndicalisme qui représente pour les salariés des perspectives bien réelles.» Pour : 1 Contre : 0 Amendement rejeté Abstention : 1 NPPV : 1 Paragraphe 56 Remplacer à partir de « politiques » par : «il est cependant du rôle des syndicats et notamment de la CGT de donner leur avis sur un projet politique global qui nuirait aux intérêts des salariés.» Pour : 22 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 4 NPPV : 1 Paragraphe 62 Rajouter à la fin : « en restant ferme sur ses positions de défense intransigeante des salariés, des précaires, des exclus.» Pour : 23 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 2 NPPV : 2 Vote de la résolution 3 amendée Pour : 17 Contre : 5 Abstention : 5 NPPV : 0 Amendements à la résolution 4 Paragraphe 2 Ajouter un 2 bis: «Cela impose que le droit et les libertés syndicales doivent être défendus et étendus quotidiennement sur tous les lieux d’enseignement.» Pour : 20 Contre : 0 Amendement adopté Abstention : 5 NPPV : 1 Vote de la résolution 4 amendée Pour : 14 Contre : 0 Abstention : 12 NPPV : 0 Motions Motion 1 : Le 2 avril : pourquoi si tard ? 7 Pour couper court aux mobilisations qui montaient contre le projet de loi Fillon sur l’éducation (7/12/2004, 20/01/2005, manifestations lycéennes), Le gouvernement Raffarin a eu recours à la procédure d’urgence pour faire voter à toute vitesse et sans débat le projet de loi Fillon. Le 24 mars, le vote final a eu lieu. Dans ces conditions, la date du 2 avril apparaît bien tardive pour s’opposer à la loi. De surcroît, il s’agit de manifestations décentralisées et non pas d’une manifestation nationale à Paris, comme en 2000 et il n’est plus question du retrait de la loi Fillon mais d’une autre loi ! Quant à la rentrée 2005, au-delà des revendications justes d’un collectif budgétaire et d’une programmation des moyens, il faut mettre en place une stratégie du refus : refus du remplacement des enseignants absents en interne, refus d’ouvrir des sections d’apprentis dan les LP, refus de voir les précaires traités comme des moins que rien etc. Pour : 8 Contre : 5 Motion 1 adoptée Abstention : 13 NPPV : 2 Motion 2 Au regard de la situation sociale actuelle, de la perte de pouvoir d’achat des salariés, de l’explosion des prix des logements (+73% le prix de m² à l’achat à Paris depuis 1999, +35% dans le parc locatif en Ile-de-France), la volonté de nos dirigeants d’organiser les JO de 2012 à Paris est un non-sens par les gaspillages que cela va induire. Alors que l’augmentation de 1% du point d’indice de la fonction publique s’élève à 800 millions d’euros, la seule organisation des jeux coûtera entre 8 et 12 milliards d’euros, avec à la clef un endettement public massif et durable. Alors que le manque de logements sociaux est dramatique en Ile-de-France (12000 SDF à Paris selon le Samu Social), la mairie de Paris envisage d’utiliser le terrain des Batignolles pour la construction d’un village olympique et ensuite procéder à une spéculation immobilière (vente des appartements à prix prohibitifs). Cette question du logement concerne urgemment nos élèves. Pour le seul département de la Seine-saint-Denis, 5000 jeunes scolarisés n’ont pas de logement fixe. Cette situation leur est gravement préjudiciable, notamment en ce qui concerne leur réussite scolaire. Nous, SDEN-CGT-Educ’action 93, appelons tous les responsables de l’Etat et des collectivités territoriales (Président de la République, 1er ministre, M. Huchon, M. Bramy, Les maires de Paris et des communes environnantes…) à inverser les priorités affichées. Nous attendons de ces responsables politiques une entière mobilisation, à l’instar des énergies et de l’argent investis dans la campagne pour les jeux, pour construire des logements sociaux, lutter contre les inégalités et la pauvreté en assurant à touts et à tous, chômeurs et salariés, un logement décent. Pour : 23 Contre : 1 Motion 1 adoptée Abstention : 0 NPPV : 0 Délégation au congrès Sont • • • • • • • candidat-e-s pour être Abdel Amghar Cathy Billard Matthieu Brabant Roselyne Falc’hon Arezki Fergani Jean-Pierre Monchau Isabelle Pons délégué-e au congrès : LP Sabatier (Bobigny) LP Bartholdi (Saint-Denis) LP Denis Papin (La Courneuve) LP Sabatier (Bobigny) LP Moulin Fondu (Noisy-le-Sec) Collège Braque (Neuilly/Marne) LP Moulin Fondu (Noisy-le-Sec) Se présentent comme suppléant-e-s : • Ana Charaudeau LP Simone Weil (Pantin) • Bertrand Colas LP Briand (Blanc-Mesnil) 8 • • • • Sandrine Morichon Cécile Ricard Caroline Renson Serge Santi LP LP LP LP Pour : 27 Contre : O Délégation adoptée Sabatier (Bobigny) Bartholdi (Saint-Denis) J. Moulin (Rosny/Bois) Sabatier (Bobigny) Abstention : 0 NPPV : 0 Candidatures à la CE Sont • • • candidat-e-s pour la future commission exécutive nationale : Yvon-Yvan Barabinot LP Simone Weil (Pantin) Jean-Pierre Monchau Collège Braque (Neuilly/Marne) Arezki Fergani LP Moulin Fondu (Noisy-le-Sec) Pour : 27 Contre : O Abstention : 0 NPPV : 0 9