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picabia
pionnIer
de l’art
moderne
du 12 juillet
au 27 octobre 2013
Dossier de presse
Musée Bibliothèque
Pierre André Benoit
Alès
Picabia,
pionnier de l’art moderne
Après le succès de l’exposition Miró et les arts graphiques en 2012, le musée Pierre
André Benoit est fier cette année de rendre hommage à un autre grand artiste du XXe
siècle : Francis Picabia. Disparu il y a soixante ans, Picabia a été un pionnier dans
de nombreux domaines de l’art moderne : tout-à-tour impressionniste, dadaïste,
associé aux surréalistes tout en refusant de faire partie du groupe, abstrait... Sa
rencontre avec PAB et l’amitié qu’ils ont ensemble cultivée, font qu’aujourd’hui
le musée d’Alès possède sans doute la troisième collection française d’œuvres
de Picabia. Ce n’est donc pas un hasard si de prestigieuses institutions comme
le Centre Pompidou, la Bibliothèque Kandinsky, le Musée d’art moderne de la
ville de Paris, le Centre national des arts plastiques et la Bibliothèque nationale
de France, la Galerie Haas de Zurich acceptent de nous prêter certains de leurs
joyaux.
A la fois didactique et captivante, cette exposition s’adresse à tous pour découvrir
ou redécouvrir ce monument de l’art du XXe siècle qu’était Picabia.
Max Roustan
Maire d’Alès,
Président d’Alès Agglomérationn
Bon nombre d’artistes d’aujourd’hui se réclament de Picabia, affirmant qu’il est le
père spirituel de leur pratique personnelle. Ses contemporains ont aussi salué en
leur temps son génie créateur (comme Apollinaire, Tzara ou Breton). En somme,
l’histoire des avant-gardes européennes ne peut s’écrire sans mentionner le nom
de Picabia.
Le musée Pierre André Benoit commémore cet été l’anniversaire de sa mort en
présentant les grandes périodes artistiques de l’artiste. Après des toiles et des
dessins de facture impressionniste, les visiteurs pourront découvrir ses recherches
dadaïstes avant d’admirer ses aquarelles et dessins appartenant à la période des
Transparences dans les années 1930. Pendant la Seconde Guerre mondiale,
Picabia peint de nombreux nus féminins en s’inspirant de revues contemporaines.
La dernière période, l’abstraction, est particulièrement riche grâce au fonds du
musée PAB et à des prêts de grand d’intérêt que nous faisons dialoguer.
Certaines peintures du fonds du musée PAB ont été restaurées pour l’occasion
au Centre de restauration et de recherche des musées de France à Versailles.
Elles retrouvent ainsi leur splendeur tout en révélant les dessins sous-jacents
et certains points techniques essentiels, comme l’utilisation de Ripolin pour les
effets de matière. Les analyses techniques effectuées à Paris et à l’Art Institute de
Chicago nous apportent beaucoup quant à notre connaissance de ces œuvres.
Au second étage, les bibliothèques et vitrines conçues par PAB accueillent les
revues et ouvrages les plus marquants de la vie de Francis Picabia. En effet, cet
artiste n’était pas seulement peintre, mais il était aussi poète et auteur de romans.
Il a notamment utilisé l’écriture automatique avant les expériences surréalistes.
En art comme en littérature, Picabia l’insatiable découvreur, a fait beaucoup
de trouvailles sans pour autant en revendiquer la paternité. Il est une énigme
de l’histoire de l’art. Artiste possédant plusieurs facettes, il a refusé toutes les
étiquettes. Anti-conformiste, son goût du sacrilège en a fait un artiste inclassable
et insaisissable.
Carole Hyza,
Conservateur des musées d’Alès,
Commissaire de l’exposition
Picabia,
repères biographiques
1879 : 22 janvier : Naissance de Francis Picabia à Paris,
au 89 rue des Petits-Champs, aujourd’hui 26 rue Danielle Casanova, 2e
arrondissement de Paris.
1886 : 21 septembre : Mort de sa mère Marie-Cécile Davanne.
1889 : 1er prix de dessin au collège Stanislas.
1899 : 1ère toile impressionniste.
Il rencontre Ermine Orliac et s’installe avec elle à Montmartre.
1901 : Voyage en Espagne, chez la tante de Picabia à Séville. Rencontre avec
les fils de Pissarro, découverte de la peinture de Sisley.
Début de sa période impressionniste.
1905 : Éloges des critiques sur ses peintures impressionnistes. Achat de l’État
d’une toile.
1908 : Rencontre avec Gabrielle Buffet.
Réflexions sur les liens entre la peinture et la musique.
1909 : 27 janvier : mariage avec Gabrielle.
Début de la période fauve et nabi.
Caoutchouc : 1ère œuvre abstraite.
1910 : Rencontre avec Marcel Duchamp, Apollinaire et le groupe de Puteaux.
1912 : Cadeau de Duchamp La mariée mise à nu par ses célibataires même.
Début de la conception machiniste du corps humain par Picabia.
1913 : janvier à avril : séjour de Francis et Gabrielle à New York pour l’Armory Show.
Exposition personnelle dans la galerie new-yorkaise d’Alferd Stieglitz.
1914 : Picabia est mobilisé en tant que chauffeur du général Boissons à LatourMaubourg.
1915 : Publication de 291.
Départ en mai en mission à Cuba, il s’arrête à New York.
1916 : Dépression, cure à l’hôtel Gramathon proche de New York. Picabia est
démobilisé pour raisons de santé. Voyage à Barcelone où il y retrouve
le couple Gleizes et Marie Laurencin. Amitié avec Dalmau, galeriste
catalan. Lancement de la revue 391. Contact avec le groupe dada de
Zurich.
1917 : Rencontre avec Germaine Everling en novembre. Recueil de poésie
Cinquante-deux miroirs.
1918 : Nouveau séjour dans une clinique suisse, écriture poétique hermétique
dans Poèmes et dessins de la fille née sans mère.
1919 : Rencontre de Tzara à Zurich en janvier. Rupture définitive avec
Gabrielle.
Participation au Salon d’automne (la dernière datait de 1913).
1920 : Entrevue le 4 janvier entre Breton et Picabia. Arrivée de Tzara à Paris.
Lancement de la revue Cannibale dès avril.
1921 : Nouvelles dépressions de Picabia, zona ophtalmique. Création de L’œil
cacodylate. Nombreuses tensions au sein du groupe dada. Rupture
de Picabia avec le groupe en juin. Fin de la période mécanique de
Picabia.
Au Salon d’automne il présente des parodies picturales de facture
classique : La Nuit espagnole et La Feuille de vigne.
Exposition à la galerie Dalmau à Barcelone du 18 novembre au 8
décembre.
1923 : Rédaction d’un roman autobiographique : Caravansérail.
Picabia critique ouvertement le groupe surréaliste et notamment le
spiritisme et l’hypnose.
1924 : Ballet Relâche au théâtre des Champs Elysées (argument de Picabia,
musique de Satie et chorégraphie de Jean Borlin). Film de Picabia
réalisé par René Clair : Entr’acte.
Refus de Picabia d’être intégré au surréalisme.
1925 : Installation dans le sud de la France à Mougins, au Château de Mai.
Vie mondaine qui commence. Début de la période des Monstres.
Arrivée d’Olga Mohler, nurse suisse allemande chez Picabia.
1927 : 1ère exposition de Picabia dans le Midi au Cercle nautique de Cannes
en janvier puis à Nice en mars. Consécration mondaine de l’artiste
avec notamment des peintures d’Espagnoles. Voyage avec Olga à
Barcelone.
1928 : Intense vie mondaine dans les cabarets et casinos de la Côte d’Azur.
Début de la période des Transparences.
1929 : Rencontre avec Léonce Rosenberg. Mort du père de Picabia.
1930 : Exposition rétrospective de l’œuvre de Picabia chez Rosenberg
« Trente ans de peinture ».
1931-32 : Picabia organise des galas à Cannes. Début d’une solide amitié avec
Gertrude Stein pendant l’été 1932.
1933 : Picabia s’éloigne de la vie mondaine, il quitte Germaine Everling et le
Château de Mai pour vivre avec Olga sur son bateau. Dépression. Il
est décoré de la croix de la Légion d’honneur le 14 juillet.
Achat d’une toile par l’État. Début de la période brutaliste dans la
peinture de Picabia.
1935 : Difficultés financières, Picabia vend le Château de Mai. Sa vie devient
plus solitaire.
1936 : Exposition des surréalistes à Londres, Picabia y est présenté.
Exposition à Chicago et au MoMA de New York (mais uniquement sa
période dada).
1937 : Picabia présente 2 œuvres dans l’exposition Les maîtres de l’art
indépendant au Grand Palais. L’État lui achète trois œuvres (dont
Maternité). Retour à la peinture de paysage, période qualifiée de
« verte » avec l’usage de l’anti-rouille (aspect verdâtre des tableaux).
Il renoue avec les paysages fauves du début du siècle mais aussi
avec la thématique des Espagnoles. Picabia et Olga retournent vivre
à Paris.
1939 : Certaines toiles sont saisies par les nazis. Difficultés financières. Il
retourne vivre dans le Sud.
1940 : 14 juin : il épouse Olga à Cahors. La créativité de l’artiste est en berne.
1941 : Picabia tombe fou amoureux de Suzanne Romain, de 25 ans sa
cadette. Sa prise de position dans un article en faveur du maréchal
Pétain lui vaudra des ennuis à la Libération.
1942 : Peinture de nombreuses femmes nues. La critique qualifie cette
période de bourgeoise et académique.
1944 : Rencontre avec Christine Boumeester et Henri Goetz par l’intermédiaire
de Germaine Everling. L’aventure avec Suzanne Romain se poursuit.
1945 : Retour de Picabia rue des Petits Champs à Paris dès janvier.
Importants problèmes financiers. Picabia est boudé par la critique.
Présentation à l’automne de ses 1ères toiles abstraites.
1946 : Exposition individuelle à la galerie Denise René1 à Paris. Picabia écrit
Ennazus.
1948 : Exposition Picabia organisée par Lucienne Rosenberg, galerie du
Luxembourg. Critiques négatives. Achat par l’État d’Udnie. Exposition
en novembre présentée par Michel Seuphor à la galerie des Deux-Iles
à Paris. Rencontre avec Pierre André Benoit.
1949 : Exposition rétrospective à la galerie Denise Drouin. Rupture définitive
avec Suzanne Romain. Picabia écrit Chi-lo-sa, édité par PAB. Nouvelle
exposition présentée par Seuphor à la galerie des Deux-Iles : Points.
1950 : 30 mars : Picabia reçoit la Légion d’honneur.
Publication par PAB : Le moindre effort.
1951 : Son artériosclérose s’aggrave.
Rétrospective Picabia organisée par Simone Collinet.
1952-53 : Picabia ne sort plus de chez lui.
1952 : Pierre André Benoit présente une exposition de dessins de Picabia à
Alès.
1953 : Picabia meurt le 30 novembre 1953.
1
Galerie parisienne ouverte au sortir de la guerre en 1945 qui révolutionne l’art abstrait.
Le musée
Créé en 1989 suite à la donation de Pierre André Benoit à sa ville natale, le
musée-bibliothèque PAB abrite une collection exceptionnelle d’art moderne
et contemporain. Pierre André Benoit, peintre, poète et éditeur, a aussi été un
collectionneur au goût averti qui a su acquérir des grands noms du XXe siècle
pour construire un ensemble d’une inestimable valeur : Braque, Picabia, Survage,
Picasso, Hugo, Bryen, Alechinsky... Peintures, dessins, gravures et sculptures
dialoguent dans cet écrin de verdure, complétés depuis quelques années par des
dépôts successifs de livres appartenant à la Bibliothèque nationale de France.
C’est pourquoi le deuxième étage du musée est consacré à la bibliophilie.
Cette riche collection est abritée dans le château de Rochebelle, une demeure
bourgeoise du XVIIIe siècle ayant connu différentes affectations au cours
de l’histoire (résidence du premier évêque de la ville puis résidence d’été des
évêques successifs, résidence du directeur des Houillères avant de devenir
musée municipal en 1989 puis communautaire en 2009).
© Bernard Hillaire, ville d’Alès
© Bernard Hillaire, ville d’Alès
Pierre André Benoit
Les Prêteurs
Le Centre Pompidou
Le Centre national d’art et de culture Georges Pompidou a ouvert ses portes en
1977, à l’initiative du président dont il porte le nom. Le Centre Pompidou regroupe
différentes structures dont le Musée national d’art moderne, le Centre de création
industrielle, l’IRCAM et la Bibliothèque publique d’information.
Situé au cœur de Paris dans le 4e arrondissement, entre le quartier des Halles et
le Marais, le Centre Pompidou a une architecture novatrice proposée par Renzo
Piano, Richard Rogers et Gianfranco Franchini : c’est un parallélépipède de verre
dans lesquels les réseaux (air, eau, électricité) sont visibles et répondent à un
code couleur (par exemple le vert pour l’eau).
Aujourd’hui le musée a une antenne décentralisée à Metz.
Le Musée d’art moderne de la ville de Paris
Musée créé en 1961 par la ville de Paris pour abriter les collections du XXe siècle,
le musée d’art moderne de la ville de Paris s’est installé dans la Palais de Tokyo,
un palais aux formes classiques (colonnade, règles de la symétrie) mais à la
structure innovante en béton. Celui-ci, partagé en deux, abritait les collections
d’art moderne de l’État avant que celles-ci ne soient transférées au Centre
Pompidou en 1977. Aujourd’hui, la deuxième aile du bâtiment est occupée par le
Palais de Tokyo consacré à la création contemporaine.
Le Musée d’art moderne de la ville de Paris possède un fonds prestigieux avec
notamment des œuvres de Derain, Matisse, Bonnard, Braque, Soutine, Modigliani,
Delaunay, Dufy, De Chirico...
La programmation du musée est riche et dense en expositions, conférences,
ateliers pédagogiques.
Le Centre national des arts plastiques (Cnap)
Le Cnap est un établissement du ministère de la culture et de la communication,
créé en 1982, pour soutenir la création contemporaine en France dans la peinture,
la sculpture, les arts multimédias ou le design. C’est un collectionneur public qui
gère pour l’État une collection qui est déposée dans bon nombre de musées de
France ou prêtée lors d’expositions.
Le Cnap soutient aussi les projets innovants et la recherche artistique.
La BnF
Fondée par le roi Louis XI au XVe siècle, l’actuelle Bibliothèque nationale de
France rassemble manuscrits et autres supports, témoins du patrimoine et des
savoirs depuis plusieurs siècles. Au XVIIIe la Bibliothèque est organisée en cinq
départements : les manuscrits, les livres imprimés, les titres et généalogies, les
planches gravées et les recueils d’estampes, les médailles et pierres gravées.
À la Révolution française, la bibliothèque du roi devient Bibliothèque nationale
et les confiscations révolutionnaires font rentrer dans les collections pléthore
d’ouvrages.
La BnF est installée sur plusieurs sites : le site Richelieu, la bibliothèque de
l’Arsenal, trois annexes à Versailles, le site François Mitterand à Olympiades qui
ouvre ses portes en 1996, la bibliothèque Musée de l’Opéra, la maison Jean Vilar
à Avignon, le centre technique de Bussy Saint-Georges et le centre technique de
conservation Joel-le-Theule à Sablé.
La BnF possède environ 14 millions de documents (livres, périodiques, estampes,
documents sonores, photographies, vidéos et pièces musicales).
Elle accueille plus d’un million de visiteurs par an.
Comité Picabia
Créé en 1990 par Olga Picabia, la veuve de l’artiste, ce comité a pour but de
défendre et promouvoir l’œuvre de Picabia. Il est installé dans le dernier
appartement parisien de Francis et Olga Picabia. Le président du Comité Picabia
est aujourd’hui monsieur Pierre Calté.
Visuels
pour la presse
Ces visuels sont disponibles pour la presse sur demande et sous réserve de
respecter les mentions obligatoires.
Adresser vos demandes à Bernard Hillaire, directeur de la communication,
par mail : [email protected]
Mardi
Picabia Francis (François Martinez Picabia, dit),
Mardi, 1951 © ADAGP, Paris 2013
Cherchez d’abord votre Orphée
Picabia Francis (François Martinez Picabia, dit),
Cherchez d’abord votre Orphée, 1948 © ADAGP, Paris 2013
Autoportrait
Picabia Francis
(François Martinez Picabia, dit),
Autoportrait, 1923, © ADAGP, Paris 2013
Femmes au bull-dog
Picabia Francis
(François Martinez Picabia, dit),
Femmes au bull-dog, 1950
© ADAGP, Paris 2013
Symbole
Picabia Francis (François Martinez Picabia, dit),
Symbole, 1950 © ADAGP, Paris 2013
Le Pont de Villeneuve-sur-Yonne
Picabia Francis (François Martinez Picabia, dit),
Le Pont de Villeneuve-sur-Yonne, 1906 © ADAGP, Paris 2013
Infos pratiques
Dates :
Commissariat de l’exposition :
Horaires :
Cette exposition est organisée par Alès Agglomération.
Elle reçoit le soutien de :
- l’association des amis du musée PAB,
- de la DRAC Languedoc-Roussillon,
- de la Région Languedoc-Roussillon
- du département du Gard.
Elle est organisée avec le concours exceptionnel de
- la Bibliothèque nationale de France
- du Centre Pompidou
- du Musée d’art moderne de la ville de Paris
- du Centre national des arts plastiques
- du Comité Picabia.
e x p o s i t i o n
- Inge et Philip Van den Hurk, Pays-Bas
- Paul Destribats
Exposition présentée du 12 juillet au 27 octobre 2013.
Vernissage le 11 juillet à 18h au musée PAB.
Le musée PAB est ouvert tous les jours de 11h à 18h sans interruption pendant les
vacances scolaires et de 14h à 18h pendant la période scolaire.
Visite guidée tous les jours à 11h, 14h et 16h pendant les vacances scolaires et le
week-end à 14h et 16h pendant la période scolaire.
Fermeture le 14 juillet.
Tarifs :
Entrée payante
- 5€ plein tarif
- 2,5€ demi tarif (mineurs de 12 à 18 ans, étudiants, bénéficiaires des minima
sociaux)
- gratuité (mineurs de moins de 12 ans, membres de l’association des amis du
musée, journalistes, personnes handicapées)
Vente du catalogue de l’exposition à la boutique du musée par l’association des
amis du musée : 19€
Adresse :
Musée Bibliothèque Pierre André Benoit
rue de Brouzen, Rochebelle
30100 Alès
Adresse administrative :
Musée bibliothèque Pierre André Benoit, 52 montée des lauriers, 30100 Alès
Tel : 04 66 869 869
Fax : 04 66 34 20 51
www.alescevennes.fr
L’équipe du musée :
Carole Hyza, conservateur des musées d’Alès [email protected]
Flavie Le Plapoux, adjointe au conservateur [email protected]
Éric Coïs, régisseur des collections [email protected]
Sandrine N’Guyen Dao, animatrice pédagogique [email protected]
Carole Hyza, conservateur des musées d’Alès
Musée PAB | Alès | I2 juillet - 27 octobre 20I3
les amis du
musée PAB
Rochebelle | rue de Brouzen | T. 04 66 869 869 | www.alescevennes.fr
juillet/août : TlJ de 11h à 18h, visite guidée à 11h, 14h et 16h
sept/oct. : TlJ de 14h à 18h visite guidée. samedis et dimanches à 14h et 16h
PICABIA Francis (François MARTINEZ PICABIA, dit), L’arbre rouge (vers 1912) © ADAGP, Paris 2013 - service communication - ville d’Alès
Des visites guidées
Pour ceux qui voudraient en apprendre plus sur Picabia,
le musée PAB propose des visites guidées gratuites
- du 12 juillet au 2 septembre inclus : tous les jours à 11h, 14h et 16h.
- du 3 septembre au 27 octobre : les week-ends uniquement à 14h et 16h.