Dossier de presse

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Dossier de presse
 Hombrecito
Le petit bonhomme de Buenos Aires
Conte musical familial
à partir de 6 ans
Interprété par AlmaViva Ensemble
Texte : Manuel Mujica Láinez
Musique : Ezequiel Spucches
Mise en scène : Jacques Haurogné
SPECTACLE : Théâtre Dunois du 13 au 24 février + tournée à venir CD : mars 2013 Contact m édias : B rigitte B ERTHELOT – 0 6 8 7 8 1 8 0 5 4 – b -­‐[email protected] Dossier d e p resse, a ffiche, p hotos t éléchargeables s ur : w ww.brigitteberthelot.com Hombrecito Le petit bonhomme de Buenos Aires Conte musical d’Ezequiel Spucches à partir d’un texte de Manuel Mujica Láinez À partir de 6 ans du mercredi 13 au dimanche 24 février 2013 mercredi 13 février à 15h, jeudi 14 février à 10h et 14h30, vendredi 15 février à 10h et 14h30, samedi 16 février à 18h, dimanche 17 février à 16h, mercredi 20 février à 15h, jeudi 21 février à 10h et 14h30, vendredi 22 février à 10h et 14h30, samedi 23 février à 18h, dimanche 24 février à 16h. ET 9 février 2013 | Bailly-­‐Romainvilliers AlmaViva Ensemble Ezequiel Spucches, piano Mónica Taragano, Claire Luquiens et Ninon Valder, flûte -­‐ en alternance Johanne Mathaly et Verónica Votti, violoncelle -­‐ en alternance René Lagos Díaz, guitare Avec -­‐ en alternance Laure Gouget et Patrick Sommery-­‐Gade, comédiens Mise en scène : Jacques Haurogné Création lumière : James Angot Théâtre Dunois -­‐ 7 Rue Louise Weiss 75013 Paris – Métro Chevaleret Réservation : 01 45 84 72 00 -­‐ www.theatredunois.org Tarif : -­‐ de 26 ans et adultes accompagnant des enfants (2 adultes maximum pour 1 enfant) : 10 € Plein tarif : 16 € Durée du spectacle : 45 minutes Hombrecito -­‐ Le petit bonhomme de Buenos Aires sort en CD en mars 2013 Victorie Music -­‐ Collection Les Petits Classiques de Victorie Distribution Universal Music et Club-­‐tralalere Contact m édias : B rigitte B ERTHELOT – 0 6 8 7 8 1 8 0 5 4 – b -­‐[email protected] www.brigitteberthelot.com 2 Hombrecito -­‐ Le petit bonhomme de Buenos Aires Conte musical d’Ezequiel Spucches, basé sur « El hombrecito del azulejo» de Manuel Mujica-­‐Láinez Ce conte du grand écrivain argentin Manuel Mujica Láinez, véritable classique de la littérature argentine et aussi populaire dans ce pays que « Le Petit Prince » en France, raconte l'amitié d'un enfant de Buenos Aires et d'un personnage peint sur un carreau de céramique provenant de Desvres. Dans une ambiance fantastique, chère aux écrivains latino-­‐américains, le récit dépeint l'atmosphère d'une vieille maison coloniale dans le quartier de San Miguel, à Buenos Aires. Dans le vieux patio, La Mort -­‐ personnage à la fois effrayant et pitoyable -­‐ attend l'heure à laquelle elle doit ôter la vie du petit Daniel, l'enfant de la maison, gravement malade. Le personnage peint sur le carreau, ami et confident du petit garçon, prendra vie pour déjouer le destin et le sauver grâce à ses talents d'orateur. A partir de ce texte, en 2010 -­‐ année du centenaire de la naissance de Manuel Mujica Láinez -­‐ Ezequiel Spucches a imaginé un conte musical où les rythmes du tango, de la milonga et du candombe -­‐ utilisés très librement -­‐ viennent souligner les références géographiques et culturelles du récit. La forme musicale est subordonnée au texte, avec l'objectif d'intégrer parole et musique. L’alliance des gestes et des rythmes traditionnels avec un langage résolument contemporain, rattache la pièce à l’univers du « Tango Transfiguré », axe de travail et terrain de prédilection d’AlmaViva Ensemble, qui s’intéresse depuis sa création aux métamorphoses du tango comme en témoignent ses arrangements originaux et novateurs des pièces de Piazzolla ainsi que le travail de création effectué auprès de compositeurs tels que Thierry Pécou, Gustavo Beytelmann et Dino Saluzzi. Mais revenons au « Petit bonhomme… » La pièce a été conçue à l’origine pour un ensemble professionnel accompagné d’un orchestre d’élèves. Elle a été créée dans le cadre des projets pédagogiques soutenus par l’ADIAM 94 et le Conseil Général du Val-­‐de-­‐Marne. Plus tard, et suite à l’enthousiasme suscité par l’œuvre, la pièce a été réécrite pour un ensemble professionnel. Souhaitant donner à ce conte musical une vraie dimension théâtrale, l’ensemble fait appel à Jacques Haurogné pour la mise en scène, et à James Angot pour la création lumière. Grâce à leur travail, « Hombrecito -­‐ Le petit bonhomme de Buenos Aires » prend toute la dimension scénique qui en fait un spectacle à part entière, idéale pour le jeune public, et que le Théâtre Dunois a programmé pour une série de 15 représentations en février 2013. Un CD et un livre-­‐disque de ce conte musical seront édités en 2013, sous le label Victorie Music et avec les Editions des Braques respectivement. Contact m édias : B rigitte B ERTHELOT – 0 6 8 7 8 1 8 0 5 4 – b -­‐[email protected] www.brigitteberthelot.com 3 Hombrecito -­‐ Le petit bonhomme de Buenos Aires en version scénique « Le petit bonhomme du carreau de céramique est un être singulier. Il est né en France, à Desvres, dans le département du Pas de Calais et c’est par erreur qu’il est allé à Buenos Aires. » Note d’intention de Jacques Haurogné, metteur en scène « Les musiciens entrent en scène. Ils ont été convoqués par un personnage inquiétant à un étrange concert, pour jouer la partition d’un conte fantastique, en musique et en mots. Cette histoire est arrivée il y a longtemps à un enfant de Buenos Aires, Daniel, et à son ami, un Petit Bonhomme bleu dessiné sur un carreau de céramique venu de France. Un troisième personnage est là : c’est la Mort. C’est elle qui ouvre le bal, et vient nous raconter cette aventure dans laquelle elle c’est trouvée piégée. Daniel est en quelque sorte « l’alter ego » de Manuel Mujica Lainez, l’auteur argentin du texte, qui est devenu écrivain et pour qui ce théâtre est, le temps du récit, sa maison d’enfance. Le narrateur brouillera les pistes par son jeu d’acteur en prenant au cours du spectacle les rôles des divers personnages. S’il incarnera le plus souvent celui de l’inquiétante Mort, il sera aussi le rassurant narrateur, ou laissera paraître dans son jeu un trouble, le trouble de l’enfant qui se souvient de ces faits étranges. Il sera encore le tendre et sympathique personnage français dessiné sur le carreau de céramique, grâce à qui le conte aura une fin heureuse. Dès la première fois que j’ai entendu ce récit, j’ai imaginé un univers « à la Mondrian », avec des couleurs primaires et des découpes franches dans l’espace. Les petits objets de décor et les lumières de James Angot ont été travaillés dans cet esprit. » Contact m édias : B rigitte B ERTHELOT – 0 6 8 7 8 1 8 0 5 4 – b -­‐[email protected] www.brigitteberthelot.com 4 « Cet enfant, ce Daniel que la Mort épie maintenant depuis la margelle, devint toute de suite son ami… Petit Martin l’écoute depuis son silence bleu… » Contact m édias : B rigitte B ERTHELOT – 0 6 8 7 8 1 8 0 5 4 – b -­‐[email protected] www.brigitteberthelot.com 5 Note d’intention d’Ezequiel Spucches, compositeur « Pour raconter en musique ce beau texte j’ai imaginé une œuvre qui parcourt le chemin qui mène de la «payada» (forme musicale employée par les «gauchos» de la pampa), en passant par le «candombé» (musique d'origine africaine et l’une de sources premières du tango), et la «milonga», musique des faubourgs, pour arriver au «tango nuevo», rendu universel par Astor Piazzolla. J’ai voulu composer une partition qui soit subordonnée au texte, qui dialogue sans cesse avec lui tout en révélant l’aspect « musical » de l’écriture de Mujica Lainez. J’ai essayé de mettre en exergue la dimension de proximité, d’échange entre les instrumentistes, qui est un des éléments propres à la musique de chambre. Le traitement musical est résolument contemporain, avec l’utilisation de modes de jeux et d’un langage harmonique très libre, une recherche constante de timbres et de textures… Enfin, j’ai surtout voulu donner à cette histoire fantastique un cadre, un décor qui lui permette d’arriver à l’auditeur de la manière la plus directe possible, en lui proposant un voyage imaginaire dans la ville mythique de Buenos Aires, au cœur de la culture argentine. » Contact m édias : B rigitte B ERTHELOT – 0 6 8 7 8 1 8 0 5 4 – b -­‐[email protected] www.brigitteberthelot.com 6 « Petit Martin pense que l’enfant, son ami, va mourir et son cœur fragile bat… Il restera seul, une fois de plus, beaucoup plus seul maintenant qu’il sait ce qu’est la tendresse. » « Elle est habituée à être reçue avec terreur… Mais cette fois-­‐ci, non. Cette fois-­‐ci les choses se passent de façon déconcertante. » Contact m édias : B rigitte B ERTHELOT – 0 6 8 7 8 1 8 0 5 4 – b -­‐[email protected] www.brigitteberthelot.com 7 AlmaViva Ensemble Photo Christophe Dellière AlmaViva Ensemble, formation à géométrie variable créé en 2003 autour d’un noyau de solistes d’origine argentine établis en France, développe un travail de recherche et diffusion du répertoire de musique de chambre latino-­‐
américaine. Son activité se construit autour de trois axes fondamentaux qui sont : -­‐ la diffusion du répertoire historique des compositeurs d’Amérique latine, -­‐ l’exploration des répertoires européens ou d’autres continents qui s’inspirent, de la culture latino-­‐américaine, et -­‐ une politique de commandes d’œuvres nouvelles. Membres fondateurs de l’ensemble, le pianiste Ezequiel Spucches, le guitariste Pablo Marquez et la flûtiste Mónica Taragano, entendent ainsi rendre accessible à un large public ce répertoire méconnu. En effet, en dehors de quelques grands noms tels que Villa-­‐
Lobos, Ginastera, Kagel ou Piazzolla, une grande majorité des compositeurs d’Amérique Centrale et du Sud restent absents de la programmation des salles de concerts. L’ensemble a ainsi fait entendre dans ses présentations en France et à l’étranger (Concertgebouw d’Amsterdam, Bolivar Hall à Londres, Salle Cortot, Théâtre 13, Théâtre Dunois et CNSM à Paris, Musée d’Art Moderne à Strasbourg, Théâtre de la Manufacture à Colmar, Théâtre Grand Rex, Musée d’Art hispano-­‐américain et Théâtre Opéra à Buenos Aires…) les œuvres des grands compositeurs latino-­‐américains dont Alberto Williams (Argentine, 1862-­‐1952), Floro Ugarte (1884-­‐
1975), Radamés Gnatalli (Brésil, 1906-­‐1988), Carlos Guastavino (Argentine, 1912 – 2000) ou encore Leo Brouwer (Cuba, 1939). Aussi, force est de constater que la musique latino-­‐américaine a une influence majeure dans la création occidentale moderne et contemporaine. Cette influence est due sans doute à l’extraordinaire richesse mélodique, rythmique et harmonique qui résulte du mélange entre la tradition amérindienne, la culture africaine et les diverses vagues d’immigration européenne. AlmaViva a parcouru maintes fois ces chemins croisés dans ses programmes « Au croisement des chemins », « Migrations » et « Nouvelles migrations ». Enfin, l’ensemble a vocation à être un espace d’innovation musicale, collaborant activement avec des compositeurs tels que Thierry Pécou, Oscar Strasnoy, Fernando Fiszbein, Gustavo Beytelmann, Dino Saluzzi et Luis Naón. S’entourant de musiciens de tout premier ordre (les violonistes Oscar Bohórquez et Elías Gurevich, les chanteurs Sandra Rumolino, Manuel Nuñez Camelino et Amaya Domínguez, les guitarristes Kevin Seddiki, Philippe Mouratoglou et René Lagos Díaz, les violoncellistes Johanne Mathaly, Verónica Votti, la flûtiste Claire Luquiens, l’hautboïste Laslo Hadady, le clarinettiste Jerôme Salier, le percussionniste Maxime Echardour…) dans des programmes incluant de deux à neuf artistes, AlmaViva propose à travers ses concerts d’authentiques moments de découverte, ce qui constitue un des éléments clés de sa démarche. Pour écouter et voir AlmaViva Ensemble : http://www.youtube.com/watch?v=kNKDrvUTNjQ http://www.youtube.com/watch?v=DV8I3wOF-­‐MU http://www.youtube.com/watch?v=-­‐Xu4kNzSlGo http://www.youtube.com/watch?v=m8lLbOL1Ucs www.almavivaensemble.com
Contact m édias : B rigitte B ERTHELOT – 0 6 8 7 8 1 8 0 5 4 – b -­‐[email protected] www.brigitteberthelot.com 8 Ezequiel Spucches, piano et composition Né en 1973 à La Paz en Argentine, il étudie le piano avec Graciela Reca, puis avec Aldo Antognazzi, élève d'Arturo Benedetti Michelangeli. Premier Prix du Concours Mozarteum de Santa Fe et des Festivales Musicales de Buenos Aires (Bourse YPF), Deuxième Grand Prix du Concours Argentin de Musique " Consécration ", il joue en récital et avec orchestre dans les salles les plus prestigieuses de son pays (au Gran Rex, à l'Auditorium de Belgrano…). En 1994, au Teatro Colón de Buenos Aires, il sera le soliste de l'Orchestre Mayo dans Malédiction de F. Liszt, sous la baguette de Mario Benzecry. Remarqué par la grande pianiste américaine Rosalyn Tureck, il se voit octroyer, grâce à son soutien, une importante bourse de la Banque de Galicia et des Festivales Musicales de Buenos Aires qui lui permettra de se perfectionner au Conservatoire de Moscou avec Yuri Sliesarev. C'est ensuite la bourse pour artistes de l'UNESCO "Nouveaux Virtuoses" qui l'amène à s'installer en France. Les conseils inestimables de Germaine Mounier, un Diplôme Supérieur d'Exécution à l'Ecole Normale de Musique de Paris, et des master-­‐classes avec Eliso Virsaladze, François-­‐René Duchâble et Halina Czerny-­‐Stephanska, viendront compléter sa formation en Europe. En 2002, il obtient le Deuxième Grand Prix au Cinquième Concours International de Piano de Sofia "Albert Roussel", en Bulgarie. C'est après avoir joué dans Concha Bonita d'Alfredo Arias au Théâtre National de Chaillot que la rencontre avec des chanteurs, comédiens, metteurs en scène et autres acteurs du milieu de la culture l'amènera à élargir son univers musical à des formes artistiques différentes : le théâtre, la chanson, le cinéma. Sa véritable passion pour la voix dans toutes ses expressions reste le fil conducteur de ces multiples activités. Il écrit de la musique pour le théâtre (« Rutabaga swing », de Philippe Ogouz -­‐ deux nominations aux Molières dont celle du Meilleur spectacle du théâtre Public – ou encore pour « La poudre aux yeux », de Labiche) et le cinéma (notamment « Une vieille maitresse » de C. Breillat, Sélection officielle du Festival de Cannes). Jacques Haurogné, metteur en scène Jacques Haurogné, chanteur, comédien, directeur artistique et metteur en scène a, en 25 ans de carrière, enregistré 14 albums (dont Amour Potentiel produit par Michel Jonasz), et produit une vingtaine de spectacles. Invité à chanter dans une quarantaine de pays, il a, après son Olympia, en 91, travaillé plusieurs fois avec Alfredo Arias (Folies Bergères ou à Chaillot aux côtés de Catherine Ringer). Au cinéma, Il a tourné avec la comédienne Zouc ou dans Il y a des jours et des lunes de Lelouch. Depuis 1999 il est l’interprète des Fabulettes sur scène et dirige depuis 2003 le festival jeune public Mino à Paris. Jacques Haurogné apprend son métier de chanteur au Studio des Variétés, de 1983 à 1985. Après un passage mémorable au Printemps de Bourges en 85, il présente son premier spectacle au Théâtre du Tourtour à Paris en 1987. Il tourne dans le film Zouc après tout. Il reviendra au cinéma avec Claude Lelouch dans Il y a des jours et des lunes dont il chantera la BO. Michel Jonasz l'invite en première partie pour son spectacle Mister Swing, produit son premier album en 1989, Amour Potentiel. Charles Trenet salue sa folie chantante en le découvrant sur la scène du Théâtre de la Ville (89-­‐90) et de l’Olympia en 1991 et Diane Dufresne, avec qui il se produit au Palais des Congrès en 1992, reconnaît en lui son "frère Rocker Symphonique". En 1993 paraît L'Album bleu. En 1993 et 1994, il est le meneur de la revue d’Alfredo Arias : Fous des Folies aux Folies Bergères. Après avoir voyagé dans une quarantaine de pays, il revient en 2000 avec de nouvelles chansons pour l’album Fenêtres. En 2001, il produit un spectacle très remarqué Haurogné 4 voix. Entre temps il chante les Fabulettes d’Anne Sylvestre sur toutes les scènes de France avec un succès qui ne se dément pas aujourd’hui. Il retrouve Arias et Catherine Ringer en 2003 pour la comédie musicale Concha Bonita au T.N de Chaillot, puis Mambo Mystico en 2004. Il part en août 2004 à Buenos Aires. Il y retourne en 2005, pour graver un album live: Clasica y Moderna et chaque année depuis. En mars 2008, il crée Haurogné chante Salvador au Théâtre d’Ivry et enregistre l’album du spectacle avec le quatuor Bedrich. Le livre disque Ménagerimes (Didier Jeunesse) sortira lui en 2009. Après plus de 3000 concerts et 15 albums enregistrés, Jacques Haurogné est en tournée avec le spectacle Doudou perdu. Depuis 2003 Jacques Haurogné est le directeur du Festival de musique jeune public Mino, à Paris. Contact m édias : B rigitte B ERTHELOT – 0 6 8 7 8 1 8 0 5 4 – b -­‐[email protected] www.brigitteberthelot.com 9 Mónica Taragano, flûte Premier Prix du Concours Franz Liszt et du Concours Presencias de la Música, boursière de la Fondation Antorchas et du Fondo Nacional de las Artes, après ses études au Conservatoire National de Buenos Aires, elle obtient une bourse de la Fondation Teatro Colón et s'installe en France. Elle a étudié en Argentine avec Oscar Piluso et Claudio Barile, en Europe avec Pierre-­‐Yves Artaud et Mihi Kim. Elle a participé à des master-­‐classes avec Jean-­‐Pierre Rampal, Aurèle Nicolet, Irena Grafenauer, Mario Caroli. Lauréate du Programme UNESCO-­‐Aschberg pour les Artistes, diplômée de l'Ecole Normale de Musique de Paris Alfred Cortot, elle obtient une Maîtrise en Musicologie de l'Université de Paris. Attirée par la création, elle rencontre des compositeurs tels que György Kurtág, Luciano Berio et Georges Aperghis. Invitée par le Teatro Colón de Buenos Aires, elle joue en 2000, en première audition dans cette salle, la Sequenza I de Luciano Berio. Entre 2000 et 2003 elle se produit avec l'Ensemble Zellig (Festival Colla Voce de Poitiers, Théâtre Sylvia Monfort, Parc Floral de Vincennes) et enregistre le CD Thierry Pécou Laissez faire au voyage, récompensé par la sélection discographique "Les dix du répertoire". Titulaire du Diplôme d'Etat, elle enseigne au Conservatoire de Musique de Villeneuve Saint-­‐Georges et assure la direction artistique du cycle de musique de chambre Les Musicales de Crosne, dans l'Essonne. Claire Luquiens, flûte Née en 1982 à Paris, Claire Luquiens commence ses études musicales au Conservatoire de Turin puis au Conservatoire à rayonnement régional de Paris. Elle étudie ensuite au Conservatoire à rayonnement régional de Versailles puis poursuit ses études au Conservatoire national supérieur de musique de Paris où elle obtient un 1er prix dans la classe de Sophie Cherrier et Vincent Lucas. Parallèlement Claire a étudié avec de nombreux musiciens de renommée internatio-­‐ nale, tels que Jacques Zoon, Eric Lesage et Paul Meyer, Michel Moragues, Maurice Bourgues, David Walter, Frédéric Chatou et Claude Lefebvre. Par ailleurs, Claire est invitée dans de prestigieux orchestres et ensembles tels que l’orchestre de l’Opéra de Paris, l’ensemble InterContemporain, l’orchestre national de Lille, ainsi que le Gustav Mahler Jugendorchester sous la direction de Myung-­‐Whun Chung, Philippe Jordan et Herbert Blomstedt. Depuis 2007, Claire est en cycle de musique de chambre au Conservatoire de Paris où elle approfon-­‐ dit son répertoire de musique contemporaine avec François Garnier et Lazlo Hadady, hautboïste de l’ensemble InterContemporain. Ninon Valder, flûte Prix de flûte et de musique de chambre au CNR de Nantes en 1996, elle obtient celui bandonéon à Paris en 2009, après ses études avec Juan José Mosalini. Curieuse de métisser les cultures, les arts et accéder aux musiques populaires elle fait un master en jazz performance à Leeds College of Music (2004). Elle étudie la musique classique d’Inde du Nord avec Darambhir Singh (2005-­‐07). Actuellement elle travaille l’arrangement jazz avec Carine Bonnefoy, et le chant avec Martina Catella. A Paris elle participe à plusieurs projets de fusion: Le Manacuba, Rido Bayonne Orchestra avec lesquels elle enregistre, part en tournée en Afrique et participe à de grands festivals (Montreux, Orleans…). À Londres elle dirige le 5tet de tango pour les Ballet Boyz, et participe à la réouverture du Royal Festival Hall, et les accompagne à Covent Garden, Queen Elizabeth Hall, Buckingham Palace et Sadler’s Wells (2008/09). Bandonéon soliste elle a joué les Quatre saisons de Piazzolla avec orchestre à cordes au Festival de Bollington en 2009. Depuis longtemps elle s’intéresse au lien entre musique et texte. Elle compose Le Prince Tigre pour le Théâtre de l’Ombrelle, et d’autres pièces pour la compagnie de danse Robinsons (Claude Magne), Theatre of the Dales (UK). Elle compose à l’image: Héliotrope de Vincent Vergone (pellicule grattée), Un passant dans le temps qui passe, une ombre au soleil de Danica Bijeljac (photographies). En aout 2011, elle rencontre Nicolás “Colacho” Brizuela et ils décident de former le duo Ninon Colacho. Ensemble ils font une musique à la croisée du populaire et de l’érudit, sur une base de folklore argentin ils mélangent jazz et musique classique. Contact m édias : B rigitte B ERTHELOT – 0 6 8 7 8 1 8 0 5 4 – b -­‐[email protected] www.brigitteberthelot.com 10 Johanne Mathaly, violoncelle Après avoir obtenu une médaille d'or de violoncelle au Conservatoire de Région de Saint-­‐Maur des Fossés, elle est admise en 1996 au Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon. Pendant ses études elle se produit régulièrement avec un trio avec piano et un quatuor à cordes (dont plusieurs concerts retransmis sur France Musique et sur Radio Classique, un concert avec le Trio Wanderer au Festival de Compiègne, un concert au Mozarteum de Salzbourg ...) et a l'occasion de jouer en direct avec piano sur France Musique dans une émission consacrée au CNSM. Parallèlement elle occupe aussi le poste de violoncelle solo de l'orchestre symphonique Lyon-­‐ Villeurbanne. En juin 2000, elle se voit délivrer le diplôme national d'études supérieures musicales avec une mention très bien (1er prix). En 2001, elle poursuit un cycle supérieur de perfectionnement de violoncelle au CNR de Lyon avec Patrick Gabard et Anne Gastinel. Elle fait plusieurs remplacements au sein de l'orchestre Philharmonique de Radio-­‐France et se produit régulièrement avec le trio à cordes Kephren. Johanne Mathaly joue dans des orchestres symphoniques, des comédies musicales, écrit des arrangements et des compositions pour des spectacles de chanson. Utilisant son instrument de manière non conventionnelle, horizontale, percussive, elle flirte volontiers avec la musique contemporaine, le rock, le jazz et les musiques du monde. Verónica Votti, violoncelle Elle commence ses études de violoncelle à Buenos Aires, où elle obtient une bourse en 1998 pour continuer sa formation à Paris à l´École Normale de Musique Alfred Cortot. En 2000 elle intègre l´ensemble « La Tinta » (Prix Paris Jeunes Talents 2002) et le trio « Legiontango ». En 2003 elle créa l'orchestre féminin de Tango "Fleurs Noires" qui va s'imposer comme la relève du tango argentin avec un répertoire inédit et fortement contemporain (deux albums : Milan Records, 2007 et janvier 2012 « Salida de emergencia », le premier sélectionné entre les « Top ten of the World » par Songslines Magazine, Angleterre). Verónica Votti a participé avec le percussionniste Joël Grare dans son dernier album «Paris IstanbulShanghai »/Harmonia Mundi. Actuellement elle joue dans la pièce : « Une Antigone de papier », marionnettes et deux violoncelles, avec la compagnie « Les Anges au plafond » en tournée depuis 2007. Elle se produit avec «Le quintette des anges » musique improvisée, agroupant des musiciens du jazz, du monde de la musique classique et contemporaine ou encore un gambardiste chinois (avec Piero Pepin, Wang li, Martina Rodriguez et Sandrine Lefèvre). René Lagos Díaz, guitare Diplômé concertiste à la Haute Ecole de Musique de Bâle, en 2007 en Suisse, René Lagos-­‐Diaz vient de terminer une résidence de deux ans à la Cité des Arts à Paris IV. Musicien atypique de par sa personnalité et de son éducation musicale entre deux mondes ; l’enseignement classique aux conservatoires de Strasbourg, Bâle et Paris, et l’héritage musical familial issue de la musique populaire chilienne. René s’épanouit, aujourd’hui, en se produisant en tant que soliste ainsi que chambriste dans les salles (Châtelet, salle Gaveau…) et ensembles les plus divers. A l’aise aussi bien dans le répertoire de la musique de la renaissance que dans celui de la musique contemporaine en passant par la musique populaire (IRCAM, AlmaViva, Tretaktys…). Il fonde en 2009 son propre ensemble de création « Résonances » avec François Migeot, poète, dans lequel dialoguent peinture, musique contemporaine et poésie. Actuellement en formation CA au CNSM de Paris, il occupe la chaire de professeur de guitare au CRR d'Amiens ainsi qu’un poste au conservatoire de Paris V. Contact m édias : B rigitte B ERTHELOT – 0 6 8 7 8 1 8 0 5 4 – b -­‐[email protected] www.brigitteberthelot.com 11 Laure Gouget, comédienne Elle a débuté sa formation à Aix-­‐en-­‐Provence avec la Compagnie d'Entraînement du Théâtre des ateliers, dirigée par Alain Simon. Elle continue ensuite avec la Classe Libre de l'Ecole Florent, puis est coachée par Hélène Zidi au Laboratoire de l'acteur. Au théâtre, elle a participé à plusieurs spectacles en musique comme " Poupées Russes " avec l'Orchestre de Paris à Pleyel. Elle visite d'autres registres, classiques (" Mademoiselle Julie " aux Déchargeurs, " Les Fourberies de Scapin ", " Le Petit Prince " au Gymnase…), ou de comédie (« Les Démons de l'Arkange " avec Anthony Kavanagh au Grand Rex, " Les Deux Pieds dans le Bonheur " aux Blancs-­‐Manteaux…). Elle vient également d'achever deux long-­‐métrages : " Où allons-­‐nous ? ", premier film de l'auteur Nicolas Baaz, et " Les Frangins ", une comédie marocaine de Saïd Naciri. Elle rejoint l'ensemble Almaviva pour une nouvelle collaboration avec le pianiste Ezequiel Spucches, rencontré lors de la création de "Monsieur Satie ou l'Homme qui avait un petit piano dans la tête" à l'Espace Cardin. Patrick Sommery-­‐Gade, comédien Homme de spectacle qui a toujours navigué autour de l’écrit que ce soit dans l’univers théâtral ou dans la littérature française. Formé comme comédien dans les années 60 au Centre des Arts du Théâtre la rue blanche puis au Conservatoire National du Théâtre à Paris, il a appris le sens des mots et a découvert une passion qui ne le quittera plus. Il sera comédien stagiaire à la comédie Française (de 60 à 63). Il se tourne ensuite vers la danse pour devenir de 1965 à 1976 un danseur très remarqué, au sein de la Compagnie Populaire Française. Il passe une maitrise de Lettres et Théâtre Populaire et devient universitaire et professeur de lettres modernes. Il enseigne son art tout en poursuivant sa passion théâtrale. Il devient metteur en scène lors d’événements musicaux à Paris pour quelques Fêtes de la Musique successives notamment au Cirque d’Hiver ou organise une soirée musicale aux Jeux Olympiques d’Alberville en 1992. Depuis quelques années on le retrouve acteur dans différentes pièces de théâtre dont, « Les Paravents » de J. Genet, « Tartuffe » de Molière, « La Mouette » et « La Cerisaie » de Tchekhov, « Noce chez les petits bourgeois » de B Brecht puis « Greek » de Steven Berkoff. Contact m édias : B rigitte B ERTHELOT – 0 6 8 7 8 1 8 0 5 4 – b -­‐[email protected] www.brigitteberthelot.com 12 

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