Bull annonce son 3ème supercalculateur pétaflopique Ubermedia

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Bull annonce son 3ème supercalculateur pétaflopique Ubermedia
La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI
N° 11/
11/17 25 Avril 2011
La pensée de la semaine
We make a living by what we get, we make a life by what we give.
Sir Winston Churchill
Bull annonce son 3ème supercalculateur pétaflopique
http://www.lemagit.fr/article/supercalculateurs-bull-cea-nucleaire/8540/1/projets-bull-annonce-son-3eme-supercalculateur-petaflopique/
Bull confirme sa présence sur le marché des supercalculateurs en annonçant avoir été retenu pour fournir le supercalculateur de
Rokkasho, au Japon, dans le cadre du projet de recherche internationale sur la fusion nucléaire contrôlée (baptisé projet Iter). Il sera à
ce titre le troisième supercalculateur développé par Bull à dépasser le pétaflops.
C’est le CEA français, pour le compte de F4E1, qui est en charge avec JAEA2 de la mise en œuvre et de l’exploitation du centre de calcul
qui abritera le supercalculateur sur le site de Rokkasho. Le supercalculateur, à base de serveurs « bullx », fournira les capacités de
modélisation/simulation prévues dans le cadre du programme dit de l'Approche Elargie associée à Iter. La puissance crête du
supercalculateur s’établira à près de 1,3 pétaflops (soit 1,3 million de milliards d'opérations de calculs par seconde), ce qui le placera
parmi les plus puissants systèmes au monde.
Ubermedia envisage de lancer un concurrent à Twitter
http://www.lemonde.fr/technologies/article/2011/04/14/ubermedia-envisage-de-lancer-un-concurrent-a-twitter_1507424_651865.html
Ubermedia, le créateur de plusieurs clients pour le système de micro-messages Twitter, pourrait lancer son propre concurrent à Twitter,
révèle CNN. L'entreprise, qui édite notamment Echofon ou Twidroyd, est également en cours de discussion avec Tweetdeck, un autre
éditeur de clients Twitter, qu'elle envisage de racheter. Mais si les logiciels d'Ubermedia sont utilisés pour envoyer plus d'un tweet sur dix,
d'après les chiffres du cabinet Sysomos, les relations de l'entreprise avec Twitter se sont tendues ces derniers mois. En février, Twitter
avait temporairement bloqué trois logiciels d'Ubermedia, estimant que ces programmes violaient les règles de la plate-forme. Ubermedia
avait notamment dû débaptiser son application Ubertwitter, désormais nommée Ubersocial.
Le projet de nouveau réseau corrigerait certaines limites de Twitter, comme la limite de 140 caractères par message, et prévoirait une
interface plus compréhensible. Le projet pourrait cependant ne jamais aboutir, mais constituerait un élément de négociation pour
Ubermedia dans ses différents démêlés avec Twitter.
La technologie OpenStack de cloud relancée
http://www.reseaux-telecoms.net/actualites/lmi/lire-la-technologie-openstack-de-cloud-relancee-23181.html
L'ancien architecte en chef de la plateforme cloud de la NASA a fondé une société qui utilise le projet OpenStack pour
apporter des capacités de cloud aux entreprises.
Pendant deux ans, de juin 2008 à mai 2010, Joshua McKenty a conduit pour la NASA le développement de Nebula, une plateforme de
cloud IaaS devenue l'an dernier un projet Open Source « auquel contribuent maintenant des dizaines d'organisations et des centaines de
personnes », rappelle l'intéressé sur son profil LinkedIn. Il a fondé en janvier dernier la société Piston Cloud Computing dont l'équipe est
composée des principaux architectes du projet OpenStack. Installée à San Francisco, la start-up développe des logiciels et services audessus d'OpenStack pour des clients qui recherchent des applications capables de gérer d'énormes volumes de données (« big data »)
dans des environnements hautement régulés. Joshua McKenty, PDG de Piston, précise qu'il avait rejoint l'Ames Research Center de la
NASA (centre de recherche dans la Silicon Valley) pour bâtir des capacités de plateforme « as a service » afin d'aider à consolider les
nombreux sites web de l'agence spatiale américaine sur un seul type d'infrastructure. Mais après avoir planifié le projet sur 2 mois,
Joshua McKenty arriva à la conclusion qu'il lui fallait une infrastructure sous-jacente plus « élastique » pour que cela fonctionne. C'est
alors qu'il a proposé ce qui devint Nebula, une IaaS procurant des capacités d'infrastructure de cloud comme celles d'Amazon EC2.
Par la suite, un partenariat s'est conclu entre la NASA et Rackspace, ce qui a débouché sur la sortie du logiciel cloud OpenStack. Ce
dernier a recueilli le soutien de fournisseurs tels que Cisco, Citrix et Dell, mais selon Joshua McKenty, Nebula n'est pas soutenu autant
qu'il l'aurait souhaité au sein même de la NASA. « J'ai reçu une distinction honorifique et, la même semaine, on m'a demandé de ne plus
revenir », explique-t-il. Selon lui, ce genre de transition est typique de ce qui peut se faire dans l'administration.
Une version bêta hybride matériel/logiciel Dans le cadre de la start-up Piston, Joshua McKenty et 3 collègues prévoient de livrer au
4T 2011 une version β d'un service hybride matériel/logiciel. La technologie inclura un logiciel pour doper les capacités d'OpenStack, une
partie matérielle qui se trouvera dans le datacenter du client et une autre partie matérielle gérée à distance pour le client par Piston.
Les premiers secteurs d'activités ciblés sont les services financiers et l'assurance. La génétique et les sciences de la vie pourront ensuite
constituer d'autres domaines d'application possibles. Piston a noué des partenariats avec des fournisseurs d'applications pour transformer
leurs logiciels en services hébergés, mais il pourrait tout aussi bien vendre directement aux entreprises.
Piston a levé des fonds et en cherche d'autres, indique Joshua McKenty en ajoutant que la société a déjà bâti des prototypes et signé
avec quelques clients pilotes. Il aimerait compléter son équipe avec des experts Linux et virtualisation. Le site web indique rechercher des
ingénieurs ayant une expérience intensive de Linux et de solides connaissances de la virtualisation avec les hyperviseurs Xen ou KVM.
Why is Chrome so important to Google? It's a 'locked-in user'
http://www.zdnet.com/blog/btl/why-is-chrome-so-important-to-google-its-a-locked-in-user/47295?tag=nl.e539
Google’s Chrome browser historically has looked like just another side project for the company. Sure Chrome is a speedy browser. Sure
Google has garnered impressive market share in a short time. And yes Google gets to push browser development a bit.
But the real importance of Chrome—and why Google is marketing the browser so heavy around the world—boils down to the lifetime
value of a Chrome user. CFO Patrick Pichette was asked about the importance of Chrome on the company’s earnings conference call and
his answer bonks you over the head.
There are really two stories on Chrome. There is a tactical question and there is a strategic question. Chrome is really pushing the Web,
and it has a fantastic opportunity that, when people have adopted Chrome, they basically instead of looking for Google and looking for
search, the omnibox gives them immediate access to Google search. So from a strategic perspective, it has that in Chrome OS. On a
tactical basis, everybody that uses Chrome is a guaranteed locked-in user for us in terms of having access to Google.
Nikesh Arora, chief business officer at Google, also chimed in on the marketing ROI for pushing Chrome.
We have over 120 million daily users and 40% of them were added in the past year as a result of our marketing efforts. So you’ve seen
the 30% growth quarter-over-quarter in our Chrome usage. So I think, from all perspectives, the Chrome strategy is working. The way
we distribute Chrome is people get it organically or they get it based on our marketing efforts, or they see our marketing and they choose
to download it, or we work with partners who help us promote Chrome to our users and to other users. So in that context, we found that
marketing very often ends up with an equivalent or better ROI than us having to go to partnership deals. Sometimes you’ll see that our
TAC and our marketing around Chrome is fungible. Where we spend money and marketing, we take away from TAC as it relates to
Chrome. So you can expect us to continue to drive Chrome strategically because it has not just a Chrome specific benefit for us but it also
impacts many of our other products that work as part of Chrome. So the lifetime value of a Chrome user is phenomenal.
Boil those comments down and the Chrome returns look something like this:
•
A Chrome user can contribute to a feedback loop that improves search quality.
•
A Chrome user will use Google extensively with little to no slippage.
•
Google can spend less on traffic acquisition costs.
•
The company doesn’t have to spend as much on distribution—think the fees for the Firefox search bar.
•
And this locked-in Google user is more likely to increase engagement as we adds Chrome apps and social features down the line.
By the way, Chrome also gives Google a hand in browser standards, but that ROI seems decidedly naive when you consider the lifetime
value of Chrome user.
IBM Joins with Akamai for Application Acceleration
http://www.enterprisenetworkingplanet.com/netsysm/article.php/3930781
IBM is partnering with Akamai for new joint application acceleration solutions.
The new solutions include the WebSphere Application Accelerator for Public Networks, which includes a hardware component as well a
managed service with Akamai for network delivery. "What is unique is that the product offerings are managed services that extend the
capability of WebSphere server and application middleware beyond the edge of the enterprise," Corey Scobie, Chief Strategist for
Application Optimization, IBM told InternetNews.com. "That is new ground for IBM. Historically we've been strong in technology that
existed within the wall of the enterprise and the data center."
Scobie noted that the service works by accelerating applications within a datacenter with hardware and Akamai's delivery fabric. The plan
is for enterprise applications to be available to users within one Internet hop, by leveraging the Akamai network. While IBM has included
the name WebSphere in the product name, the technology is not limited only to IBM's own WebSphere Java middleware servers. Scobie
noted that the application acceleration will also work with Oracle WebLogic and Red Hat JBoss middleware servers as well.
As part of the solution, enterprises will need an IBM's DataPower Edge Appliance that sits on the customer premise. The appliance
integrates with the Akamai global delivery network. "There is a managed service component with costs based on the amount of traffic,
there is also a capital asset cost with the WebSphere DataPower appliance," Scobie said. While Akamai is known for its data caching
capabilities, which put data at points of presence close to users, the joint IBM solution is also able to handle dynamic data.
"We worked on a framework and integration with Akamai for cache policies, to be able to handle real time changes," Scobie said. "So the
application infrastructure can react to the real time demands that might be going on."
Smarter Traveler : IBM annonce la fin des embouteillages
http://www.generation-nt.com/ibm-smarter-traveler-embouteillages-bouchons-actualite-1189791.html
Le groupe IBM travaille en ce moment à la mise au point d’un système qui permettrait d’esquiver les embouteillages en
devenir, et ainsi d'éviter de perdre son temps sur la route.
IBM vient d’annoncer que certains de ses collaborateurs de la ville de San Francisco participaient depuis cinq mois à un programme
Smarter Traveler, derrière lequel on trouve un dispositif censé permettre de prédire les embouteillages, et donc d’éviter de perdre du
temps sur la route. Le système en question utilise les téléphones portables des employés pour enregistrer les trajets effectués en
voiture et les capteurs au bord des voies de circulation (dont se servent habituellement les autorités) pour repérer les petits
ralentissements et les embouteillages importants. Le tout est ensuite centralisé et analysé par des ordinateurs.
Et les premiers résultats de cette expérience pilote ont de quoi attirer l'attention. D’après IBM, le dispositif permettrait de prédire le trafic
dans 35 ou 40 minutes, alors qu’à l’heure actuelle il est plutôt question de montrer le trafic qu’il y avait il y a 5 ou 10 minutes. Bref, de
quoi contourner un pont ou une sortie d’autoroute vous menant vers une portion de route qui commence à être bouchonnée.
Mais le plus intéressant viendra par la suite, avec l'intégration des données relatives aux transports en commun. Il sera alors possible de
conseiller de prendre sa voiture ou le métro.
Chrome OS sera-t-il prêt en mai ?
http://www.zdnet.fr/actualites/chrome-os-sera-t-il-pret-en-mai-39760052.htm#xtor=EPR-100
Google avance un peu plus avec Chrome OS. Le moteur de recherche vient de présenter aux développeurs la version
"Stable" de son système d’exploitation. Aucune date n’a été jusque ici annoncée, mais l’heure du lancement est proche.
Le projet Chrome OS est en marche depuis deux ans, mais il semble qu'on aperçoit le bout du tunnel. Google a
dévoilé la semaine dernière la version "Stable" de Chrome OS, ce qui représente une avancée majeure pour les
développeurs. Pour rappel : Chrome OS est un système d'exploitation open-source basé sur le navigateur web de
Google et destiné aux netbooks. Bien que le système soit opérationnel, le géant américain n'est pas encore prêt et
n'a pas annoncé de date de lancement. Google avait déjà annoncé en 2010 qu'Acer et Samsung seraient les premiers
constructeurs à lancer Chrome OS au milieu de l'année 2011.
Mais avec la conférence pour développeurs Google I/O, qui a lieu le 10 mai prochain, nombreux sont ceux qui espèrent y voir Chrome
OS en avance. Stratégiquement, il s'agirait du moment idéal pour annoncer la prochaine étape de l’OS. Actuellement, Chrome OS est
testé sur « Experimental », un ordinateur distribué gratuitement aux US. Au même titre que son navigateur, le développement de l'OS se
fait en 3 versions : "Stable", Beta et Canal Developer ; la première étant la version finale destinée à être diffusée.
A l'inverse d'Android, le développement a été long et gardé secret. De nombreuses critiques ont d'ailleurs été formulées quant à
l'existence de 2 systèmes d'exploitation signés Google et au lancement trop tardif de Chrome OS.
Le lancement de Chrome OS ne semble être qu'une question de semaines. Désormais, le travail de Google est de trouver le ou les
constructeurs qui lui permettront de distribuer son nouvel OS. A ce titre, une stratégie identique à Android pourrait être adoptée, à savoir
créer un produit vitrine tel que ce fut le cas pour le HTC Nexus One. Avec Chrome OS, Google espère tirer les prix des netbooks vers le
bas, pour se positionner en dessous du marché des tablettes. Reste à savoir quels seront les constructeurs au centre de cette stratégie.
Les tablettes Acer Iconia Tab A500 et Dell Streak 7 disponibles en France
http://www.silicon.fr/les-tablettes-acer-iconia-tab-a500-et-dell-streak-7-disponibles-en-france-49832.html
Deux nouvelles tablettes viennent enrichir le marché français, l'Iconia Tab A500 d'Acer sous Android 3.0 à €499 et la Dell Streak 7 sous
Android 2.2, avec une surcouche Dell, vendue €329.
L’Acer Iconia Tab A500 est un modèle de haut de gamme, vendu €499 et disposant
d’Android 3.0. C’est la deuxième ardoise sous Honeycomb après la Xoom de Motorola.
Elle est équipée d’un écran de 10,1 pouces, qui offre une résolution de 1280 x 800 points.
Elle dispose d’autre part d’un processeur NVIDIA Tegra 250 double coeur Cortex-A9,
cadencé à 1 GHz et de deux caméras ; une webcam avec fonction autofocus et flash cinq
mégapixels et une webcam deux mégapixels. La mémoire interne est de 32 Go. Côté
connectique, nous trouvons un port HDMI, un micro USB et une prise pour une station
d’accueil. L’Iconia Tab permet également une connexion Wifi et accède à l’Android Market.
La Streak 7 de Dell s’approche, elle, des tablettes vendues par le constructeur français Archos. Elle
est vendue€329. Elle dispose du système d’exploitation Android 2.2 Froyo épaulé par l’interface
Stage de Dell, un processeur double cœur 1 GHz NVIDIA Tegra T20 et un support du greffon
Flash.
Elle donne également accès aux 100.000 applications, jeux et widgets de l’Android Market.
Enfin, elle possède une caméra arrière de cinq mégapixels et une en façade de 1,3 mégapixels pour
la visioconférence. En terme de mémoire, elle compte 16 Go en interne.
Une version Wifi/3G devrait être disponible au printemps. Par ailleurs, HTC a annoncé sa Flyer 7
pouces pour le 9 mai en France.
HTML5, clef de la réussite du Cloud Computing
http://www.zdnet.fr/blogs/entreprise-2-0/html5-clef-de-la-reussite-du-cloud-computing-39760020.htm#xtor=EPR-100
Par Louis Naugès J’aborde rarement des thèmes «techniques» sur mon blog, mais il y a des sujets tellement importants qu’il est parfois
indispensable de le faire. HTML est «le» langage du Web et le garant de son universalité. Tant que la majorité des internautes utilisaient
Internet pour visualiser des pages, la génération Web 1.0, HTML4 répondait bien à leurs attentes.
Web 2.0, Cloud Computing, SaaS, PaaS... le Web est devenu la plateforme applicative dominante ; le nouveau rôle des navigateurs est
maintenant de permettre à 2 milliards d’Internautes d’accéder à des milliers d’applications haut de gamme qui ont pour nom Salesforce,
YouTube, iTunes, Facebook ou Google Apps.
C’est pour répondre à ces attentes et pour préserver l’universalité du Web que HTML5 a été créé et va devenir incontournable.
(Si vous souhaitez tout savoir sur le logo HTML5).
Ce texte n’est pas destiné aux «pros» du développement, mais à tous ceux qui souhaitent comprendre les potentiels et les impacts de la
rapide généralisation d’HTML5. Il y a quelques mois, ZDnet.fr a publié un très bondocument sur les caractéristiques détaillées d’HTML5.
Les navigateurs dans les infrastructures Cloud Computing
Un rapide rappel sur les infrastructures qui servent de fondation au Cloud Computing :
- Des accès réseaux rapides, 1Mbit/s minimum, en tout lieu, majoritairement sans fil : Wi-Fi, WiMax, 3G+, LTE...
- Des usines informatiques ultra-sécurisées et fiables, construites par des industriels tels que Amazon, Google, IBM ou Microsoft.
- Des objets d’accès, mobiles en priorité, disposant d’un navigateur performant, où HTML5 va y jouer un rôle prépondérant.
Je vous recommande un petit livre WEB, simple, en anglais, pour découvrir toutes ces facettes des infrastructures Cloud et HTML5.
Le mois de mars 2011 nous a apporté une excellente nouvelle ; pour la première fois depuis que le Web existe, les cinq navigateurs
dominants ont maintenant tous de bons niveaux de performance : Chrome, Firefox, IE9, Opera et Safari (par ordre alphabétique)
permettent d’utiliser confortablement les applications Cloud Computing. Sur ce graphique, on voit les résultats obtenus au test JavaScript
V8 (plus la barre est longue, mieux c’est)
Ce qui me frappe le plus, c’est l’amélioration des performances d’IE9 par rapport à IE8, dans un rapport proche de 20 x. Quel dommage
que je ne puisse pas le tester sur mon Macintosh ou un PC Windows XP ! Sur cet autre test de performance, Kraken, je constate avec
étonnement qu’IE9 64 bits est ... 6 fois plus lent qu’IE9 32 bits ; important à connaître pour les candidats à l’utilisation d’IE9.
L’autre bonne nouvelle : ces navigateurs modernes prennent de mieux en mieux en compte HTML5. Sur ce graphique, les résultats au
test officiel de conformité à HTML5 sont très encourageants (400 points en cas de conformité totale).
Là aussi, les améliorations récentes sont spectaculaires :
- Firefox 4 fait deux fois mieux que Firefox 3.6.
- IE9 améliore son score dans un rapport 5 vis-à-vis d’IE8.
D’ici la fin de l’année 2011, je pronostique que les meilleurs navigateurs auront un score compris entre 350 et 400 ; en clair, ils seront
prêts pour accepter les principales applications modernes du Cloud.
Un grand bravo à Microsoft : ils viennent de créer un site pour encourager les utilisateurs à abandonner IE6 ! Les Chinois restent les
«champions» avec 34 % et les meilleurs sont les Norvégiens avec 0,6 %. Espérons que Microsoft en fera la promotion dans les quelques
rares grandes entreprises qui continuent à utiliser ce remarquable ralentisseur de productivité !
HTML5 : principales innovations Quels seront les «plus» majeurs apportés par HTML5, aux entreprises et aux utilisateurs ?
J’en ai choisi seulement trois, mais les trois qui sont, à mon avis, porteurs d’un maximum de valeur ajoutée :
- Mulitmédia natif.
- Utilisation de la puissance matérielle des objets d’accès : PC, Mac, smartphone, tablette...
- Le mode off-line : pouvoir continuer à utiliser son navigateur en situation de non-accès à un réseau.
1 - Multimédia natif
Exit Flash ! Exit Silverlight ! HTML5 prend en charge toutes les dimensions multimédias d’un contenu : audio, vidéo, graphique...
SVG, pour la visualisation des données et les graphiques, fait partie des standards reconnus par HTML5.
Les Codecs (codeurs - décodeurs) vidéo permettent d’afficher des flux vidéos sans avoir besoin d’un logiciel externe, un plug-in rajouté
au navigateur. WebM, solution proposée Open Source par Google, est aujourd’hui en compétition avec d’autres standards tels que H264.
Comme le montre ce graphique, le marché s’adapte très vite à ce nouveau standard ; en février 2011, 60 % des vidéos disponibles sur le
Web étaient déjà compatibles HTML5. Pour comprendre l’importance de ce changement, je vous propose de vous rendre sur le site : The
wilderness downtown, d’y rentrer l’adresse de votre domicile ou de votre bureau et ... d’admirer les résultats.
C’est spectaculaire ! (il faut bien sur utiliser un navigateur moderne tel que Chrome). 100 % de ce que vous allez visualiser est du HTML5
natif, sans aucun plug-in complémentaire.
2 - Utilisation de la puissance matérielle du poste de travail
Processeur bi-cœurs, carte graphique, 1 Go de mémoire ... ce sont aujourd’hui les caractéristiques d’un smartphone haut de gamme. Il
était vraiment dommage de ne pas pouvoir utiliser toute cette puissance dans une application Web !
Avec l’aide d’HTML5, cette limite disparait : HTML5 est capable de s’adapter automatiquement aux caractéristiques techniques du poste
de travail et de déléguer une partie du travail aux processeurs disponibles. Les améliorations de performances obtenues sont
spectaculaires. Le marché en a vite compris les potentiels ; Disney vient de racheter une jeune société finlandaise,Rocketpack, qui a
développé un moteur de création de jeux en HTML5. Ceci permettra à Disney de commercialiser des jeux directement depuis Internet,
sans passer par les contraintes des «stores» telles que celles d’Apple !
Comme souvent, l’innovation en informatique commence par les jeux ; ce PacMac géant en est une autre illustration !
3 - Mode Off-lineL’une des questions qui m’est le plus souvent posée quand j’anime une conférence sur le Cloud Computing est :
«Comment faites-vous quand il n’y a pas de réseaux ?».
C’est une excellente question, à laquelle je n’avais pas toujours de bonnes réponses... avant HTML5.
Il existe même un logo spécial HTML5 pour signifier que les fonctions off-line sont disponibles.
HTML5 permettra de gérer, raisonnablement, en utilisant la mémoire cache du navigateur et une base de données locale, les principales
applications Web telles que messagerie et agenda.
Avec HTML5, vous pourrez enfin ranger, dans le placard des solutions historiques, des logiciels tels qu’Outlook ou Thunderbird.
Google avait développé en 2008, Gears, un produit permettant de travailler off-line ; en voie d’abandon et sera remplacé par HTML5.
On commence à trouver sur le Web des formations qui répondent à cette demande des développeurs : comment créer des applications
qui travaillent off-line sur des objets mobiles ; c’‘est un bon signe.
HTML5 : les impacts La banalisation d’HTML5 aura, entre 2011 et 2015, des impacts majeurs dans de très nombreux domaines de
l’informatique, tels que :
- La disponibilité d’applications de très haute qualité, performantes, en mode Web natif. On aura moins besoin des «app stores» en tout
genre, qui sont spécialisées par familles d’objet : Android, iPad, iPhone, WM7 ...
- La marginalisation rapide de solutions telles que Flash d’Adobe ou Siliverlight de Microsoft.
On entend actuellement chez ce dernier deux messages très divergents :
- Silverlight sera progressivement remplacé par HTML5. C’était le discours tenu par Bob Muglia, à l’époque Président de la division
Serveurs : "...but HTML is the only true cross platform solution for everything, including (Apple’s) iOS platform.". (... mais HTML est la
seule véritable plateforme universelle pour tout, y compris pour iOS d’Apple.) Ce discours lui a coûté son poste !
- A l’inverse, les défenseurs de Silverlight chez Microsoft tiennent un discours très différent, ici et là : «Silverlight is much more than a
browser technology» (Silverlight est beaucoup plus qu’une technologie pour navigateur).
Question : lequel des deux camps va l’emporter ?
- La disparition rapide du principal frein technique à la diffusion des applications professionnelles en mode SaaS ! C’est pour les
entreprises, une excellente nouvelle.
Les applications SaaS n’auront plus rien à envier aux meilleures applications historiques, en mode client/serveur, que ce soit en
performance, ergonomie, accès en tout lieu, sur tout objet, à toute heure.
L’un des derniers freins techniques au succès du Cloud saute ! Restent les plus importants, humains et culturels !
HTML5 : les challenges Comme toute innovation qui bouleverse profondément une industrie, l’arrivée de HTML5 en 2011 va se
heurter à de nombreuses difficultés :
- HTML5 est un standard jeune, non encore finalisé : le W3C estime qu’il faudra attendre 2014 pour qu’il soit totalement formalisé. Ce
n’est pas très grave, car l’essentiel des nouvelles fonctionnalités sera disponible fin 2011.
- La résistance des acteurs historiques de l’informatique qui voient, et ils ont raison, HTML5 comme une menace forte sur beaucoup de
leurs bastions.
- La guerre des codecs : entre WebM, Open Source, et H264, défendu par un consortium qui facture, cher, le droit d’utiliser une
montagne de brevets qui protègent ce standard.
- Un risque, temporaire, mais réel, d’appauvrissement fonctionnel et de performance pour les premières applications qui feront le pari
HTML5. C’est un faible prix à payer pour disposer d’un standard mondial qui va permettre de construire de véritables applications
universelles de qualité, dont la seule contrainte d’usage sera de disposer d’un navigateur moderne.
Synthèse
La meilleure preuve du succès d’HTML5 viendra le jour où l’on ... n’en parlera plus, mais on dira simplement HTML !
HTML5 est l’évolution logique des premières versions de ce langage.
Je vais commencer à préparer, pour un billet en 2015, un texte sur les : «Potentiels de HTML6 !».
Sprint's Kyocera Echo dual-screen smartphone now available
http://www.zdnet.com/blog/gadgetreviews/sprints-kyocera-echo-dual-screen-smartphone-now-available/23756?tag=nl.e539
There has been a lot of talk about the Android-based Kyocera Echo and its innovative dualscreen design. Now the device is finally available withSprint.
Unveiled back in February, the Echo sports a pair of 3.5-inch WVGA touch screens and closes like
a clamshell with a super copper alloy pivot hinge. Users can run different apps on each display or
make them work together tablet-style as seen in the image above. The displays form a 4.7-inch
combined workspace, which isn’t far off from the 5-inch Dell Streak. However, that one has been
dubbed as a large smartphone anyway, so maybe the Echo will be the perfect compromise.
Other useful nitty-gritty details include Android 2.2 (Froyo), 3G, 802.11 b/g Wi-Fi, a 5-megapixel
autofocus camera with Flash, 720p HD video recording, and it supports corporate and personal
email. The Echo can also double as a Wi-Fi hotspot that serves up to five connected devices.
However, there’s only 1GB of onboard storage space, but an 8GB microSD card is included. That
memory card slot supports up to 32GB total. The Kyocera Echo is available in Sprint stores and
online for $199.99 with the signing of a two-year service agreement.
A smart meter you can’t ignore
http://www.smartplanet.com/business/blog/smart-takes/a-smart-meter-you-cant-ignore/15622/
Now here’s a novel idea: to maximize energy efficiency, show your usage to your neighbors.
That’s the approach in an experiment in Brighton, England, where residents of Tidy Street are recording their electricity consumption
online, then displaying it in aggregate on the actual street they live on. For the last month, residents have had the joy (or shame!) of
seeing their daily average usage displayed out front, comparing the block to the average consumption of a Brighton household.
It’s a neat trick: show the people how much electricity they’re using, and watch them curtail usage on their own.
The display is hardly high-tech, too : in collaboration with a local graffiti artist, the infographic involves spraying chalk on the asphalt, and
is temporary. The whole project hinges on the use of smart meters by the participants, who can then track electricity consumption by
specific devices in their home over time. The endeavor is part of CHANGE, a research collaboration between The Open
University, Goldsmiths, Sussex University and Nottingham University.
It is pretty clear that the project is eye-catching and captivating far beyond the city limits of Brighton. The question: how do you keep
residents’ attention on energy consumption once the novelty wears off?
Mobiles : les PME plébiscitent les terminaux résistants
http://www.businessmobile.fr/actualites/mobiles-les-pme-plebiscitent-les-terminaux-resistants-39760050.htm#xtor=EPR-10010
Selon le baromètre des ventes de Futur Telecom, MVNO spécialisé dans les offres
pour les PME, l'approche de ces structures est "pragmatique".
On le sait, les PME équipent de plus en plus leurs salariés nomades de smartphones, dotés
parfois d'applications métiers. Néanmoins, si ces terminaux sont puissants et de plus en plus
efficaces, ils sont dramatiquement fragiles.
Si les effets de mode et les modèles stars sont recherchés, la solidité et la résistance du
terminal aux conditions extérieures sont des critères importants, selon le dernier baromètre de
Futur Telecom, un opérateur mobile virtuel spécialisé dans les offres aux PME.
"Une fois de plus le baromètre révèle que les TPE et PME ont une approche très pragmatique de
la téléphonie mobile", explique Gilles Brunschwig, Directeur général de Futur Telecom.
Résistant aux chocs "Ces entreprises sont d'abord sensibles à la solidité avec un Top 1 qui
résiste aux chocs, à la poussière et à l'immersion sous l'eau. Les TPE/PME auraient-elles un goût prononcé pour l'aventure ?", poursuitil. Un choix logique qui s'explique par la réticence de ces entreprises à investir dans des produits aux cycles de vie jugés trop courts.
Ainsi, lors du 1T 2011, le Samsung Solid B2100 a été le smartphone le plus vendu par l'opérateur. D'un format monobloc, ce mobile
répond à la certification IP57. Il résiste aux chocs, à la poussière et à l'immersion sous l'eau durant 30 mn à 1 m de profondeur.
Il dispose d'un écran 1.77", d'un appareil photo numérique 1,3 mégapixels, d'une radio FM, d'une mémoire interne de 10 Mo, d'un port
MicroSD et des connectivité Bluetooth et USB. Basique mais solide. A la deuxième place, on trouve l'antithèse de ce terminal avec l'iPhone
4 (16 Go) qui devance le Nokia 2630, encore un modèle d'entrée de gamme, léger et résistant. La 4e place revient au Motorola Defy,
un smartphone semi-durci sous Android. Grâce à son boîtier renforcé, le smartphone peut ainsi résister à l'eau (jusqu'à 1 m de
profondeur), à la poussière, au sable, aux rayures, aux chocs... pour seulement 112 g. Il reprend les standards du marché avec un écran
tactile de 3,7’’, un processeur à 800 Mhz, un appareil photo de 5 MP avec flash, 2 Go de mémoire interne, et l'interface Motoblur.
Le reste du classement est le suivant : Samsung E2370, Blackberry Curve 9300, Nokia C5-00, Nokia 6700, Nokia 3720.
Microsoft a ouvert une « marketplace» avec la bêta d'Office 365
http://www.lemondeducloud.fr/lire-le-monde-du-cloud-33475.html
La boutique ouverte par Microsoft renferme pour l'instant une centaine d'applications et 400 services professionnels.
Avec l'élargissement du programme de test d'Office 365, sa suite collaborative et de communication dans le cloud, Microsoft a presque
doublé le nombre de pays concernés par la β de l'offre en ligne. Celle-ci peut désormais être testée par les utilisateurs de 38 pays avec
une interface en 17 langues. Redmond a également ouvert une boutique d'applications et de services, Office 365 Marketplace. La place
s'est ouverte hier sur une centaine d'applications et 400 services professionnels proposés par des développeurs et des partenaires. […]
Larousse sème ses archives sur le net
http://micro.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-larousse-seme-ses-archives-sur-le-net-3804.html
Larousse.fr a annoncé le lancement d'une nouvelle rubrique entièrement dédiée à ses archives. L'occasion pour les internautes de
découvrir les journaux publiés entre 1966 et 2003 avec une analyse de l'évolution de la société, une liste des évènements survenus
chaque jour dans les différents pays du monde, ainsi que des dossiers sur la politique, l'économie, la société, la culture ou le sport.
Réalisée avec la participation de nombreux journalistes du Figaro, du Monde ou encore de Libération, cette nouvelle rubrique est
également constituée de plus de 41 000 articles issus de neuf dictionnaires thématiques. Les domaines abordés sont le cinéma, la
musique, la littérature, la peinture, la danse, la médecine, l'Histoire de France, l'agriculture et l'économie.
Les internautes sont invités à consulter la rubrique "archives" de la plateforme Larousse.fr pour découvrir ces articles et journaux.
WebOS : le Veer d'HP en approche
http://www.businessmobile.fr/actualites/webos-le-veer-d-hp-en-approche-39760070.htm#xtor=EPR-8
Le petit (mais costaud) smartphone d'HP devrait être lancé dans les prochains jours
aux US. Il doit permettre à WebOS de décoller sur le marché des smartphones.
HP est prêt à lancer son offensive. La presse américaine a en effet reçu une invitation consacrée au
lancement du Veer, le mini-smartphone sous WebOS du géant. Le rendez-vous est fixé au 2 mai et
devrait précéder la commercialisation du terminal.
Le Veer, et le Pre 3, constituent les têtes de pont de l'offensive d'HP dans les smartphones. Premier
constat, HP a définitivement gommé toute référence à Palm (racheté en 2010) dans la
dénomination de ses produits.
Gartner pessimiste Ce terminal est en fait une version miniature format carte de crédit (54,5x
84x15,1 mm pour 103 grammes) d'un Pre. On retrouve un écran tactile multipoints de 2,6 pouces
320x400 pixels qui cache un clavier coulissant. Le Veer embarque un processeur Qualcomm
Snapdragon à 800-MHz, un GPS, des connexions Bluetooth, WiFi (avec fonction hotspot pour 5
terminaux) et 8 Go de stockage interne.
Il supporte Flash Player 10.1 ainsi que le système d'échange de données « touch to share ». Celui-ci permet de transférer des pages
web, documents, musique, etc. entre terminaux WebOS en les approchant simplement l'un de l'autre.
Reste désormais à savoir si HP parviendra à se faire une place sur le marché ultra-occupé des smartphones. Ce qui est loin d'être gagné
compte tenu des résultats très mitigés des premiers terminaux WebOS estampillés Palm. La question du prix sera primordiale.
Malgré la force de frappe du numéro un mondial de l'informatique, Gartner n'est pas optimiste. Selon lui, la part de marché de WebOS
devrait passer de 4% en 2011 à 3% en 2015...
HP, qui entend mettre du WebOS partout, table sur 100 millions d'appareils équipés écoulés chaque année...
Archos va lever des fonds pour renforcer ses positions dans les tablettes
http://www.zdnet.fr/actualites/archos-va-lever-des-fonds-pour-renforcer-ses-positions-dans-les-tablettes-39760064.htm#xtor=EPR-100
Le français va procéder à une augmentation de capital via l'émission de nouvelles actions. L'opération atteindrait €30 M.
Fort de son succès dans les tablettes tactiles en France, Archos entend se donner les moyens de ses ambitions. Alors que la guerre dans
ce segment commence à faire rage, le groupe hexagonal cherche aujourd'hui à lever des fonds afin d'accompagner son développement.
Archos va ainsi procéder à une augmentation de capital via l'émission de nouvelles actions sur le marché. Concrètement, 4 millions de
nouvelles actions du fabricant seront proposées à un prix unitaire de €6,50, soit une décote de 26,55% par rapport à l'état antérieur du
titre. Un droit préférentiel de souscription est accordé aux actionnaires actuels.
Développement et remboursement de la dette L'opération devrait permettre au fabricant de lever entre €26 et €30 en cas
d'exercice intégral de la clause d'extension. "Le produit de l'émission doit permettre à la société de se doter des moyens nécessaires à la
poursuite de la croissance engagée et de développer des nouveaux canaux de distribution (marque blanche, B to B, nouveaux pays), tout
en optimisant sa structure financière grâce au remboursement par anticipation de l'emprunt de €5 M consenti par Echostar le 23
décembre 2008 au taux d'intérêt annuel de 20% (remboursable in fine fin 2013)", explique le groupe dans un communiqué.
Cette levée de fond illustre la santé retrouvée d'Archos qui a trouvé la bonne formule en se positionnant sur le segment des tablettes
Android d'entrée de gamme. Archos est ainsi devenu leader en France sur le marché des tablettes à moins de €400 avec une part de
22%. Les données montrent une croissance de 44% du CA de l'année 2010, à €83,4 M mais un résultat encore dans le rouge.
Pour 2011, la forte demande sur le marché des tablettes laisse présager au groupe des résultats au moins équivalents à ceux de l'an
passé. Archos prévoit des ventes à hauteur de 50 millions d'unités, soit trois fois plus qu'en 2010 et espère renouer avec les bénéfices.
Débits mobiles : Orange loin devant ses concurrents
http://www.businessmobile.fr/actualites/debits-mobiles-orange-loin-devant-ses-concurrents-39760087.htm#xtor=EPR-10010
Selon les tests menés par DegroupTest, la vitesse moyenne d'accès de l'opérateur historique est 40% plus rapide que
son concurrent direct. Le site spécialisé DegroupTest a passé au crible les débits moyens observés en mobilité (2G/3G/3G+) en
fonction des opérateurs. Rappelons que ces résultats sont tirés de l'ensemble des tests de débits effectués par les utilisateurs sur le site
DegroupTest du 1er juillet au 31 décembre 2010, soit 3 568 524 tests.
"Avec l'identification de l'adresse IP, nous avons pu répartir les données en fonction des réseaux des opérateurs et des différentes
technologies. Les moyennes sont ensuite calculées et comparées pour chaque technologie", explique le spécialiste.
Il s'agit donc de moyennes et non des maximums. Ils ne reflètent pas les possibilités maximum des connexions mais uniquement une
tendance générale moyenne", poursuit-il.
Résultat des courses, Orange caracole en tête avec un débit descendant moyen de 2,28 Mb/s contre 2,1 Mb/s mesurés lors de la
précédente étude menée entre janvier et juin 2010. Le débit montant est en sensible hausse passant de 569 à 677 Kb/s.
Orange au-dessus des 2 Mb/s Surprise, Bouygues Telecom se classe deuxième avec des résultats pourtant en baisse : 1,49 Mb/s
contre 1,63 Mb/s en download et 487 Kb/s en upload. Précisons néanmoins que les abonnés Bouygues ont été les plus nombreux à
effectuer les tests (57%) contre 28% pour Orange et 15% pour SFR. SFR ferme la marche avec un débit descendant moyen de 1,44
Mb/s contre 1,53 Mb/s six plus tôt. Le montant est en repli, passant de 245 à 220 Kb/s. Très loin de ses concurrents donc.
Certains pourront s'étonner de ces "bons" résultats tous supérieurs au megabit par seconde malgré des réseaux de plus en plus sollicités.
D'autres souligneront que les résultats sont loin des promesses affichés "jusqu'à 7 Mb/s" par les opérateurs. Dommage que DegroupTest
ne précise pas quels ont été les réseaux utilisés pour parvenir à ces moyennes et dans quelles conditions. Selon la 8ème enquête
annuelle sur la diffusion, en France, des technologies de l'information, une majorité de consommateurs juge insuffisants les débits
observés en 3G. Concrètement, 51% des personnes interrogées "ont l'impression que la connexion à Internet par leurs mobiles n'est pas
assez rapide". 25% n'ont "jamais cette impression". 67% des habitants des villes de 20 000 à 100 000 habitants estiment que leur
connexion à l'internet mobile "n'est pas assez rapide".
Cette étude, qui soulignons-le se base sur des impressions et non pas des mesures scientifiques, rejoint d'assez près une étude
similaire menée par l'association UFC Que Choisir auprès de 2100 abonnés haut débit mobile dont 47% de propriétaires d'iPhone.
Selon cette enquête en ligne, 41% des consommateurs ne sont pas satisfaits de la connexion 3G de leur téléphone mobile. En effet, 21%
ne bénéficient pas de connexions 3G, mais le plus souvent de connexions en Edge ou GPRS, beaucoup plus lentes, souligne l'association.
Veryant porte le Cobol sur Java
http://www.silicon.fr/veryant-porte-le-cobol-sur-java-49641.html
isCOBOL Evolve est un produit qui permet de créer et de déployer du code Cobol pour la plate-forme Java. Cette offre
monte aujourd’hui en gamme, avec de nouvelles fonctionnalités et un support des clusters.
Veryant propose aujourd’hui une nouvelle version de son environnement de développement Cobol, isCOBOL Evolve 2011 Release 1. Cet
outil permet de déployer des applications sur toute plate-forme disposant d’une machine virtuelle Java (Windows, Linux, Solaris, AIX, HPUX, z/OS, etc.). À cet effet, le compilateur transforme le code Cobol en instructions exécutables par un runtime Java.
Les développeurs pourront créer des interfaces utilisateur en HTML, lesquelles seront adaptées aux applications web ou cloud. Le tout
est accessible depuis un environnement de développement basé sur Eclipse 3.6 « Helios ». La nouvelle version de cette solution
permet d’éditer le code Java, XML et HTML. Elle supporte également CVS et Subversion et est fournie avec un éditeur hexadécimal.
La compilation des fichiers pourra s’effectuer àdistance, par exemple sur le serveur devant accueillir l’application.
L’éditeur a mis l’accent sur les performances. L’accès aux bases de données est ainsi jusqu’à 33 % plus rapide que précédemment. Un
système de répartition de charge est également de la partie. En conjonction avec isCOBOL Application Server, il permettra de
distribuer les tâches sur les différentes machines d’un cluster. Une fonctionnalité appréciable dans le secteur des applications critiques.
Les technologies du futur selon le MIT
http://www.atelier.net/articles/technologies-futur-selon-mit
L'université américaine publie sa sélection annuelle des technologies appelées à transformer notre monde.
Quelles innovations changeront notre quotidien ? Le MIT répond chaque année à cette question en publiant dans sa revue Technology
Review le top 10 des technologies émergentes. En matière de sécurité numérique, le MIT met en avant le cryptage homomorphique
développé par Craig Gentry, chercheur chez IBM. Par une opération mathématique, cette technique consiste à améliorer la sécurité de
données hébergées dans les nuages, en cryptant des bases de données entières. Mais les informations peuvent ensuite être analysées
sans qu'il y ait besoin d'un décryptage. Voilà de quoi réduire les craintes des entreprises qui doutent de la sécurité du cloud computing.
Systèmes d'exploitation Autre nouveauté, destinée à se prémunir les failles logiciels : les "crash-proof code". Il s'agit d'algorithmes
conçus pour tester et mettre à l'épreuve la résistance de systèmes d'exploitation. Et donc évaluer la confiance que l'on peut avoir en leur
stabilité. Un projet particulièrement utile pour l'informatique médicale, par exemple, ou encore l'informatique embarquée des voitures, où
une faille peut poser des problèmes de sécurité. Cette technologie a été développée par June Andronick, chercheuse au NICTA, centre
national de recherche en technologie de l'information en Australie. Elle et son équipe ont eu l'idée de vérifier le code constituant le cœur
de systèmes d'exploitation de processeurs embarqués dans, par exemple, les téléphones, les appareils électroniques, les véhicules.
Comme ce noyau sert à faire fonctionner tout le reste, sa sécurisation induit celle de l'ensemble du système et des logiciels associés.
Santé Le MIT s'est également penché sur la recherche médicale, notamment dans le traitement des cancers. L'Institut du génome de
l'université Washington à Saint-Louis a travaillé sur l'analyse des séquences ADN de cellules cancéreuses. A l'université de Stanford, le
biophysicien Stephen Quake a été capable d'isoler chacune des 23 paires de chromosomes du génome humain afin de les analyser
individuellement. Enfin, au J. Craig Venter Institute, Daniel Gibson a travaillé sur la création ex nihilo de génome, dans l'idée d'accélérer
la création de vaccins ou de bactéries productrices de carburants.
The Amazon Tablet is to sell you more stuff, not to compete
http://www.zdnet.com/blog/mobile-news/the-amazon-tablet-is-to-sell-you-more-stuff-not-to-compete/2063?tag=nl.e539
Peter Rojas of gdgt stirred up a flurry of commentary with his prediction thatAmazon is working on a tablet with Samsung. He sees the
Amazon media ecosystem (audio, video, ebooks) as a reasonable jumping off point for the retailer to hit the market with its own branded
Android tablet. The tech world has jumped on Peter’s prediction with gusto, and many are questioning whether such a move would end
up jeopardizing Amazon’s relationships with partners in the Android space. Frankly, I don’t think Amazon cares as this tablet is all about
extending the company’s retail operation, and not about taking over the Android tablet market.
First up, I agree with Peter that a tablet from Amazon is inevitable. I’ve written about this before and colleague Jason Perlow has too.
The company has been carefully building up a retail ecosystem on Android, and the recent opening of the Amazon Appstore was the
final piece of the pre-tablet puzzle. The system is so well fleshed out that Amazon would be remiss in not producing its own tablet.
A lot of the reaction to Peter’s article deals with the notion that Amazon would upset its OEM partners in the Android space if it released a
competing tablet. That makes sense to a degree, but I don’t think that would be a factor. I don’t see Amazon’s tablet as a product going
after the Android tablet market at all. I believe it would be intended to extend the company’s retail operation into the next logical space. I
firmly believe that Amazon’s intent would not be to produce a state-of-the-art mobile device that will set other tablet makers back on its
heels. Its tablet would rather be designed to have the Amazon retail system completely ingrained into a decent, economical tablet. Think
of it as an extension of the Kindle ereader.
It will be a full Android tablet, don’t misunderstand me, but its primary purpose will be to sell you Amazon products, and then provide a
nice mobile method to consume those products. A Kindle on steroids, if you will. It won’t be designed to just sell you digital products for
the tablet. Amazon will integrate it into the entire retail operation, which will make it possible to sell the tablet for a ridiculously low price.
I envision constant promotions aimed at Amazon tablet owners. Free shipping for any product bought from the tablet or big discounts for
similar purchases. Amazon is a master at playing the retail game, and this will fit perfectly into that. Amazon doesn’t want to sell you a
tablet, they want the tablet to sell you lots of other stuff.
Asus Eee Pad Transformer starts shipping on April 26; $399
http://www.zdnet.com/blog/gadgetreviews/asus-eee-pad-transformer-starts-shipping-on-april-26-399/23839?tag=nl.e539
It’s a big week for Honeycomb-based tablets. Not only is the LG G-Slatenow available, but the
Asus Eee Pad Transformer is on the way too.
The 10.1-inch tablet will under cut some other tablet prices with an MSRP of $399 for the 16GB
option. 32GB of storage space will ring up to $499, and an optional keyboard will also be made
available for $150. All of this will be available for purchase and shipping in the U.S. and Canada
starting on Tuesday, April 26.
If you’re not familiar with the Eee Pad Transformer, it runs on a a NVIDIA Tegra 2 1GHz dual-core
processor, and it sports an IPS panel (1,280 x 800 resolution). Best of all, users can squeeze up to
9.5 hours of battery life when using the tablet by itself, or manage up to 16 hours when the
keyboard is attached.
Sarkozy invite le gratin du web à son G8 de l’Internet
http://www.zdnet.fr/actualites/sarkozy-invite-le-gratin-du-web-a-son-g8-de-l-internet-39760157.htm
Les 24 et 25 mai prochains, Paris accueillera de nombreuses personnalités du web pour voir comment le numérique et
les télécoms « peuvent accélérer la croissance des pays développés ». De Google à Facebook, en passant par Wikipedia,
Amazon, Free ou encore Meetic, plus de 800 invités devraient être présents.
Quelques jours avant le sommet du G8 à Deauville, aura lieu à Paris le forum international du Web. Initié par Nicolas Sarkozy, ce « G8 de
l'Internet » est organisé par le groupe de communication Publicis et se déroulera les 24 et 25 mai 2011 au jardin des Tuileries.
Pour l'occasion, entre 800 et 1000 acteurs du web a été conviés, notamment : Eric Schmidt (Google), Mark Zuckerberg (Facebook),
Jimmy Wales (Wikipedia), Jeff Bezos (Amazon), Jack Ma (Alibaba), Hartmut Ostrowski (Bertelsmann), Vint Cerf (co-inventeur du
protocole TCP/IP), Xavier Niel (Free), Stéphane Richard (France Télécom), Jacques-Antoine Granjon (Vente-Privée), Marc Simoncini
(Meetic). Des opérateurs télécoms ainsi que de nombreux producteurs de contenus seront aussi présents.
Baptisé « e-G8 », ces 2 jours feront office de forum international du net. Maurice Lévy, patron de Publicis, déclare qu'il sera question « de
voir comment internet, le numérique et la communication mobile peuvent accélérer la croissance dans les pays développés ».
« Un internet civilisé » En réunissant quasiment tout le « gratin de la Toile », M. Lévy annonce vouloir aborder « des sujets comme la
propriété intellectuelle, la protection de la vie privée, les nouveaux modèles économiques mais également les financements de
l'innovation ou la stimulation de la croissance ». Restera à confronter cette approche avec la vision du Net plutôt conservatrice de Nicolas
Sarkozy. Rappelons qu'en grand technophobe, l'UMP réclame « un internet civilisé ». Une notion qui fait froid dans le dos.
Il y a 3 ans, la majorité avait d'ailleurs lancé l'idée d'un G20 du Net pour : « réguler ce mode de communication moderne envahi par
toutes les mafias du monde ». Bigre. Les 26 et 27 mai, la question de l'Internet sera pour la première fois abordée au G8. Reste à savoir
si le « e-G8 » de Paris aura un impact sur la politique globale en matière de gouvernance et d'économie numérique. Rien n'est moins sûr.
La BnF bientôt enrichie de 210 000 ouvrages numérisés
http://www.itespresso.fr/bnf-bientot-enrichie-210000-ouvrages-numerises-42399.html
Grâce à un nouveau contrat signé avec le spécialiste de la dématérialisation Jouve, la Bibliothèque nationale de France
comptera, d'ici 3 ans, 210 000 nouveaux livres numérisés intégrés à Gallica.
La Bibliothèque nationale de France (BnF) poursuit son colossal travail de numérisation. Un nouveau contrat a ainsi été signé
avecJouve, spécialiste de la dématérialisation, qui devra – en partenariat avec Safig, Diaéis et BancTec – numériser plus de 70 000
ouvrages par an, dont 70% seront tirés des collections de la BnF et 30% de celles des bibliothèques partenaires, note Silicon.fr.
La numérisation s’effectuera en 400 points par pouce, avec un taux de reconnaissance des caractères garanti de 98,5% pour les
documents postérieurs à 1750. 20% des documents seront traités avec taux porté à 99,9%. Bon point pour les fans de Gallica (site de la
BnF) : au moins 10% des documents seront fournis en ePub, un format bien adapté aux appareils de lecture type eBook.
Notez que la phase précédente, lancée en 2007, avait permis de numériser 36,6 millions de pages, les intervenants étant alors déjà le trio
Safig-Diaéis-BancTec. Ce contrat a été signé pour une durée de trois ans, renouvelable un an. Un minimum de 210 000 ouvrages devrait
donc rejoindre le catalogue de la bibliothèque numérique de la BnF. Tous les domaines seront couverts : art, droit, économie, histoire,
littérature, philosophie, politique, sciences…
À ce jour, Gallica regroupe plus de 1,4 million de documents en libre accès. Ce chiffre serait porté à plus de 1,7 million d’ici trois ans.
ARM prend rendez-vous pour fin 2012 avec l’architecture Cortex-A15
http://www.itespresso.fr/arm-prend-rendez-vous-pour-fin-2012-avec-l%E2%80%99architecture-cortex-a15-42395.html
ARM prévoit que sa prochaine architecture de Cortex-A15 sera intégrée fin 2012 dans les smartphones et les tablettes.
Un regain de puissance qui sera à même de transformer nos smartphones en netbooks ou laptops.
C’est en septembre 2010 qu’ARM avait dévoilé son architecture Eagle basée sur leCortex-A15, successeur du Cortex-A9.
Selon James Bruce, à la tête de la division mobilité d’ARM aux US, les premiers smartphones et tablettes intégrant l’architecture CortexA15 seront disponibles avant la fin 2012 ou bien début 2013. L’architecture Cortex-A15, c’est la promesse de SoC (System on Chip)
intégrant un processeur double cœur cadencé jusqu’à 1,5 GHz et de quadruple cœur cadencés jusqu’à 2,5 GHz. Mais il est possible de
concevoir des circuits de 16 cœurs. Ces derniers seront réservés à d’autres domaines que la mobilité et devraient intégrer des serveurs.
Le nomade est investi par les architectures ARM et les Cortex-A9 font les beaux jours de la société britannique. Intel n’a pas su trouver
les clefs de l’ULP (Ultra Low Power) avec ses CPU Atom. Mais Intel est en embuscade avec ses CPU Atom Oak Trail, dont le Atom Z670 et
son chipet SM35, qui se destinent également aux tablettes et son CPU Medfield destiné aux smartphones.
La technologie avancée d’Intel pourrait même lui permettre de reprendre le dessus. Les processeurs Intel Atom seront gravés dans une
technologie 22 nm alors que les Cortex-A15 sont destinés à être gravés dans les technologies 32 nm dans un premier temps, puis 28 nm.
Or, si l’architecture est un élément déterminant pour optimiser la consommation électrique, la technologie de gravure permet des
économies d’échelle substantielles. Plus fine est la gravure, plus le fondeur peut graver de puces sur une seule galette de silicium (wafer).
Ce sont des économies non négligeables qui permettent également de baisser les coûts et donc le prix des puces au final. Or, c’est un
des handicaps des actuels Atom dont le prix est beaucoup plus élevé qu’un Tegra 2 de NVIDIA à titre d’exemple. Et les constructeurs de
tablettes pourraient bientôt embarquer une architecture x86 puisqu’une version d’Honeycomb x86 est en cours de portage par Intel.
La société ARM a pris une longueur d’avance avec ses Cortex-A9 déclinés dans différentes versions (Tegra 2 de NVIDIA, OMAP5 de Ti,
Snapdragon de Qualcomm, U8500 de STEricsson…) et compte la conserver avec les Cortex-A15. Le smartphone LG Optimus 2X marque
ainsi un tournant dans l’ère de la mobilité puisqu’il s’agit du premier smartphone avec un double cœur. Mais fin 2011, la Sony NGP devrait
être le premier appareil mobile à intégrer un quadruple cœur.
L’année 2012 nous promet donc encore plus de puissance avec les Cortex-A15. Et nos appareils mobiles devraient, comme le smartphone
Motorola Atrix et de son dock qui le transforme en netbook, nous servir également de hardware pour nos netbooks ou nos laptops.
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