La Grande Sophie - Théâtre de Cornouaille

Transcription

La Grande Sophie - Théâtre de Cornouaille
La Grande Sophie
CHANSON
NOS HISTOIRES
Une fantaisie débridée
La Grande Sophie accumule depuis plus de dix ans les récompenses et les succès. Artiste majeure de
la scène française, elle se dévoile ici sans détour dans un récital inspiré de son nouvel et septième opus,
Nos histoires. Porté par une pop accrocheuse aux mélodies souvent émouvantes et romanesques, alliées
subtilement à un esprit rock, son concert est une déclinaison heureuse de ses talents de compositrice et
d’interprète à la voix limpide.
THÉÂTRE DE CORNOUAILLE // DURÉE 1H45 // € 25,50 / 33 PASS € 15 / 23
OCTMA 18
20:00
THEATRE DE CORNOUAILLE CENTRE DE CRÉATION MUSICALE - SCÈNE NATIONALE DE QUIMPER // DIRECTION FRANCK BECKER
1 ESPLANADE FRANÇOIS MITTERRAND - CS 74033 - 29337 QUIMPER CEDEX
SAISON 2016-2017 // ACCUEIL BILLETTERIE 02 98 55 98 55 // [email protected] BILLETTERIE EN LIGNE
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PRESSE / COMMUNICATION
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La Grande Sophie
NOS HISTOIRES CHANSON Chant, guitares La Grande Sophie Claviers, choeurs Julien Brunetaud Basse Edouard Marie Batterie Alex Viudes – Production 3C Tour www.lagrandesophie.com.fr Victoire du meilleur album en 2013 pour La Place du fantôme, Grand Prix de l’Académie Charles Cros en 2009 pour Des vagues et des ruisseaux, Victoire de la révélation scène en 2005, disque d'or sur ses quatre derniers albums... La Grande Sophie est devenue l'une des artistes majeures de la scène française. Son nouvel et septième opus, Nos histoires, la raconte mieux que n'importe quel autre ; et raconte ceux qui l'entourent. Il s'est tissé au fil de rencontres, embrassant la part intime de Sophie, comme la vie des autres. Il signe son bel âge, celui du temps où l’introspection mène à l’ouverture. Dans Hanoï, Sophie évoque la ville où s'acheva sa dernière tournée. Rencontre avec les ruelles, les parfums, les visages d'Hanoï, qui furent la source d’une inspiration nouvelle, d’une envie de se remettre très vite à l’écriture. Ce nouvel album est né là‐bas. Maria Yudina, c'est la rencontre à travers le temps et la mémoire, d'une pianiste russe virtuose, qui résista au régime de Staline et qui soixante ans plus tard, suscite chez elle une admiration profonde, tant artistique qu'humaine. Rencontres réussies, rencontres fantasmées (Les lacs artificiels) ou encore rencontres manquées : Les portes claquent, Ma colère, Tu dors, disent la rage contre les liens sans lendemain, et les sentiments qui s’émoussent. Le disque est plus âpre que les autres, ses mélodies toujours romanesques ont l'esprit rock. Le piano, très présent, répond aux guitares. Les percussions s’imposent dans des rythmiques plus syncopées, peut‐être pour mieux dire que si le temps, impossible à retenir, fait de plus en plus battre les tempes, les rencontres, elles, donnent la force d’y résister. Mêmes les doutes ne sont plus des gouffres, mais de solides alliés (Avec mes doutes). Ainsi, dans Nos histoires, Sophie se pose et s’expose. On y trouve l'essence d'une artiste sincère et rugueuse, raconteuse sans fards qui continue d'écrire son histoire. Et la nôtre, avec elle. La Grande Sophie
REPÈRES Pretenders ou de Françoise Hardy. En 1996, des passages au Printemps de Bourges, puis aux Francofolies de La Rochelle, apportent à la chanteuse un surcroît de notoriété. La Grande Sophie est née en 1969. Sa famille s'étant installée dans le sud, elle grandit dans les Bouches‐du‐Rhône, où elle développe assez tôt un intérêt pour la musique, et notamment pour la guitare : à l'âge de treize ans, elle monte avec son frère et un voisin un groupe de rock alternatif, qui se produit plusieurs fois dans la région. Sophie participe à une comédie musicale intitulée Ramona Lulu. Mais les carrières de baby rockers n'ont qu'un temps et Sophie se retrouve étudiante aux Beaux‐
Arts, à Marseille. La sculpture ne suffit cependant pas à satisfaire les envies artistiques de la jeune fille qui reste prise dans ses rêves de musique. Guitare à la main, elle arpente les rues de la cité phocéenne et chante ses compositions aux terrasses des cafés et restaurants. De fil en aiguille, l'artiste bourlingueuse se fraie un chemin dans le monde des associations artistiques : le collectif Life, Live in the Bar ‐ par lequel elle rencontre d'autres artistes comme Les Têtes Raides, La Tordue ou Louise Attaque ‐ lui offre l'opportunité d'accéder à des petites salles et, en 1995, de «monter » à Paris. De concert en concert, La Grande Sophie fait connaître son style pop rock sophistiqué. Elle se produit aussi bien dans des squats artistiques que dans de véritables salles de concert, écumant les clubs de ses reprises des La Grande Sophie sort en 1997 un premier album (La Grande Sophie S'agrandit), sur le label indépendant Les Compagnons de la Tête de Mort. En 2000, La Grande Sophie enregistre un nouvel album, réalisé par Phil Délire, collaborateur habituel de Noir Désir et Alain Bashung. Sorti en 2001, Le Porte‐Bonheur se vend à plus de 30 000 exemplaires, grâce notamment au grand succès de la chanson « Martin », qui impose le style à la fois puissant, sophistiqué et féminin de la chanteuse. La Grande Sophie, admiratrice de la musique anglo‐saxonne, s'attache à créer dans ses chansons des univers complets et cohérents, tout en brossant des portraits souvent doux‐amers de la condition humaine. La chanteuse, toujours très présente sur la scène « alternative » et dans les festivals, sort son album suivant à l'automne 2003 : Et Si C'était Moi, édité par Universal et dont se détachent le tube « Du courage » et « Devenir grand », est un nouveau succès, soutenu par une longue tournée en France. En 2005, elle remporte une Victoire de la musique dans la catégorie «Révélation scène de l'année ». Sur sa lancée, elle enregistre un quatrième album, La Suite..., qui paraît en 2005. En janvier 2009 paraît un album plus personnel, Des Vagues et des Ruisseaux, qui voit la chanteuse changer de registre et s'éloigner du rock au profit d'une écriture plus sensible (« Pardonner » et « Quand le mois d'avril »). Ce virage en direction de la chanson est confirmé par La Place du Fantôme sorti en février 2012. L'album produit par la triplette Vincent Taeger, Vincent Taurelle et Ludovic Bruni dévoile des climats plus sombres et mélancoliques que les précédents. La Grande Sophie affine encore son écriture au fil de son septième album, paru en septembre 2015, Nos Histoires. Dans la presse
Un album solaire, porté par une pop accrocheuse aux mélodies souvent émouvantes. L’HUMANITÉ Son art maîtrisé de la mélodie met en valeur le mot, le son qui s’en dégage, le rythme qu’il génère, que ce soit sur Ma colère, brute, délivrée de l’étouffement, ou sur Hanoï (qu’elle prononce en aspirant le « h ») : paisible souvenir d’une errance sensorielle dans une ville sous la pluie, au milieu des motos qui vrombissent et des parfums qui éclatent. Une perle de jade. LA CROIX Un septième album, riche en surprises. Dans son univers pop sans pareil ou en simple piano‐
voix, la chanteuse n'en finit pas d'affiner son écriture. TÉLÉRAMA La Grande Sophie repart en tournée, un moment qu'elle attend toujours avec impatience: "En tournée, j'ai l'impression d'un sentiment de liberté, de tout quitter..." Avec l'ambition de revisiter ses morceaux pour ne pas rejouer toujours à l'identique les refrains qui l'ont fait connaître. Et histoire de casser la routine un peu plus, elle va aussi s'emparer de la guitare électrique et assurer, "pour la première fois", les solos. "C'est assez excitant ! Les solos, c'est l'attitude, ça fait partie du mythe du 'guitar hero'", lance‐t‐elle tout sourire, sans se prendre pour autant pour Keith Richards: "Je ne copie personne, c'est assez personnel, vous verrez !" CULTURE BOX 

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