Sommaire - Performances Group
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Sommaire - Performances Group
Semaine 43 – du 24 au 30 octobre 2011 N° 197 Sommaire • Une femme, Virginia Rometty, prend les rênes du groupe IBM -------------------------------------------- 2 • Google exploring Yahoo buy? ---------------------------------------------------------------------------------------- 3 • Tamsir Amadou Salif Bâ, directeur général de l’agence de l’informatique de l’Etat (Adie) : «Grâce à l’Adie, l’Etat économise 4 milliards de francs par an» ----------------------------------------- 4 • Gestion des mails : 2 heures par jour pour 56% des salariés ------------------------------------------------- 7 • Cheap smartphones and tablet PCs from FNB come at a price ------------------------------------------ 8 • IT salaries in South Africa ------------------------------------------------------------------------------------------------- 9 • Une femme, Virginia Rometty, prend les rênes du groupe IBM L'Expansion.com avec AFP Le géant informatique a nommé Virginia Rometty pour prendre la tête du groupe qui vient de fêter son centenaire. C'est la première fois que le groupe est dirigé par une femme. ibm Toru Hanai / Reuters La nouvelle patrone d'IBM, Virginia Rometty. IBM Le géant informatique IBM a nommé mardi une femme, Virginia Rometty, pour prendre la suite de Samuel Palmisano à la tête d'un groupe en pleine renaissance alors qu'il vient de fêter son centenaire. Ce sera la première fois que le vénérable groupe d'Armonk, dans la grande banlieue de New York, sera dirigé par une femme. Cette nomination était attendue: "Ginni" Rometty, 54 ans, faisait en effet depuis plusieurs mois figure de favorite pour la course au poste de directeur général. Cette femme entrée en 1981 chez IBM est actuellement placée sous l'autorité directe de M. Palmisano, ayant la charge des ventes, du marketing et de la stratégie. Elle doit prendre ses fonctions le 1er janvier, date à partir de laquelle M. Palmisano ne sera plus que président du conseil d'administration. "Je n'attends pas de changement à court terme", a déclaré à l'AFP Frank Gillett, analyste chez Forrester Research. "C'est une évolution longuement préparée", et "IBM forme ses dirigeants avec beaucoup de soin". "La stratégie et le modèle de fonctionnement d'IBM sont les bons", a d'ailleurs commenté Mme Rometty dans le communiqué annonçant sa nomination, sans pour autant annoncer d'immobilisme. "Sam nous a appris, avant tout, qu'il ne fallait jamais cesser de réinventer IBM", a-t-elle dit. M. Palmi- sano est directeur général depuis 2002, et PDG depuis 2003. Il a notamment piloté la cession en 2005 de l'activité des ordinateurs personnels, vendus au chinois Lenovo. Sous sa houlette, IBM, qui a fêté son centenaire en juin, est devenue l'une des plus grosses capitalisations boursières américaines, à 212,8 milliards de dollars, très près de Microsoft (225 milliards de dollars), plus loin d'Apple (360 milliards de dollars). Aujourd'hui le groupe d'Armonk réalise son chiffre d'affaires (99,9 milliards de dollars en 2010) dans les gros ordinateurs centraux, les centres de stockage et les services, sans négliger des opérations de prestige comme l'ordinateur champion d'échecs Big Blue en 1997 ou l'ordinateur Watson, qui a remporté cette année le jeu Jeopardy. Mme Rometty a de son côté à son crédit le fait d'avoir piloté l'intégration dans IBM du groupe d'audit PriceWaterHouseCoopers, acheté en 2003. "La pensée stratégique à long terme de Ginni et son attention à la clientèle se voient dans nos initiatives de croissance, depuis l'informatique dématérialisée et les outils analytiques jusqu'à la commercialisation du (super ordinateur) Watson", a fait valoir M. Palmisano dans un communiqué, rendant hommage à Mme Rometty comme "la directrice générale idéale pour faire entrer IBM dans son second siècle" d'existence. "Nous avons souvent rencontré Mme Rometty dans ses précédentes fonctions, et l'avons vu se muer en l'un des dirigeants les plus solides d'IBM", a commenté pour sa part Ben Reitzes, analyste chez Barclays Capital. Avec cette nomination Mme Rometty entre dans le cercle très fermé des femmes chefs de très grandes entreprises américaines. L'un des principaux concurrents d'IBM, HewlettPackard, où les récents directeurs généraux ont été poussés au départ pour scandales ou mauvaises performances, est également dirigé par une femme: Meg Whitman, ancienne patronne du site marchand eBay, en a pris la tête en septembre. Un autre groupe technologique, Xerox, est dirigée par une femme, Ursula Burns. Interrogé sur le paradoxe apparent de voir une femme diriger IBM, un groupe longtemps moqué pour son conformisme, M. Gillett a noté qu'au contraire, même si "IBM ne correspond pas exactement à la diversité du pays", "IBM semble faire mieux que d'autres en ce domaine". Les rivaux de Mme Rometty pour ce poste étaient le responsable de l'activité de services, Michael Daniels, et celui de l'activité des matériels, Rodney Adkins, qui est noir. • Google exploring Yahoo buy? by Edward Moyer Google is exploring the possibility of partnering to buy Yahoo, according to a report. The search site and advertising purveyor has talked to at least two privateequity firms about helping them bankroll a deal to buy Yahoo's core business, says The Wall Street Journal, which cites "a person familiar with the matter." The talks are early-stage, no formal proposal has been worked out, Google may not wind up pursuing the buy, and it's not clear which private equity firms are involved, the Journal said. Still, the idea of the currently reigning search giant buying the deposed search giant is intriguing, as is the possibility of two of the Web's biggest companies coming together--a possibility that, as the Journal notes, would no doubt pique the interest of antitrust regulators. Despite a little good news in its third-quarter earnings results, Yahoo has been in a muddle lately, with a stagnant stock price, high employee attrition rate, and withering product development efforts. The company's board sacked CEO Carol Bartz last month and Yahoo has apparently been shopping itself around to potential buyers. Reported suitors include the previously spurned Microsoft, venture capitalist Andreessen Horowitz, China-based e-commerce company Alibaba, and fellow Web 1.0 grandee AOL. According to the Journal's sources, Google likes the idea of selling ads on Yahoo's Web sites http://m.cnet.com/Article.rbml?nid=20124174&cid=null&bcid=&bid=-93 • Tamsir Amadou Salif Bâ, directeur général de l’agence de l’informatique de l’Etat (Adie) : «Grâce à l’Adie, l’Etat économise 4 milliards de francs par an» Directeur général de l’Agence de l’informatique de l’Etat (Adie), Tamsir Amadou Salif Bâ décline les avantages de cette agence qui permet à l’administration de se passer des entreprises de téléphonie mobile et fixe. Grâce à cette indépendance, l’Etat économise, selon les premières estimations, quelque 4 milliards de francs Cfa par an. Le directeur de l’Adie dévoile aussi les projets de cette agence. Wal fadjri: Quelle est la mission de la structure que vous dirigez ? Tamsir Amadou Salif BA: L’Agence de l’informatique de l’Etat (Adie) a pour mission de mutualiser, de rationaliser et d’harmoniser l’informatique de l’Etat. Donc, elle est chargée de mettre en œuvre la politique informatique définie par le chef de l’Etat. Ce, en outillant l’administration, en la dotant du matériel informatique et des accessoires informatiques pour l’aider à travailler en parfaite adéquation avec ce qui se fait ailleurs dans le monde. En somme, c’est pour permettre à l’Etat du Sénégal d’avoir une administration efficace et sécurisée capable de satisfaire les citoyens. Entre autres outils, vous avez développé l’intranet gouvernemental. Pouvez-vous en parler pour les non-initiés ? C’est un ensemble. Il y a d’abord les infrastructures. Aujourd’hui, tous les bâtiments de l’administration sont interconnectés. Les gens peuvent partager des applications. Ceux qui travaillent sur le budget au ministère des Finances peuvent le faire à distance. Il y a aussi la messagerie gouvernementale (.gouv) utilisé par tous les ministères. Et il y a beaucoup d’exemples qu’on peut citer. Pour dire que l’intranet est un partage de l’information en temps réel et en toute sécurité. L’intranet gouvernemental est synonyme de sécurité, de fiabilité et de gain de temps pour l’administration. Et cela se répercute inévitablement sur les administrés. Il faut dire que, avant, l’administration était caractérisée par sa lourdeur, avec beaucoup de papiers et surtout par une perte de temps pour les administrés. Vous travaillez donc seulement pour l’Etat ? Et pour les populations aussi. Nous travaillons pour les deux. Nous travaillons pour l’Etat, mais au bénéfice de la population. Par exemple, nous avons mis en place une infrastructure, une fibre optique, qui couvre pratiquement sept régions et onze capitales départementales. Elle aide les zones enclavées à accéder à l’internet et aux applications utilisées par l’administration. Si je prends par exemple les sites des démarches administratives, un citoyen qui se trouve à Kédougou et qui a besoin d’un document peut consulter le site pour avoir les informations et connaître les démarches à suivre pour obtenir un document administratif. Pour l’administration, l’Etat payait des coûts de connexion très élevés à la Société nationale de télécommunications (Sonatel). Actuellement, toute l’administration est couverte en connexion internet, grâce à l’Adie. Même les gens qui sont hors de Dakar, dans les régions les plus reculées ont la connexion. Maintenant, à la place des clés Usb et autres supports pour transporter des informations jusqu’à Dakar, les fonctionnaires utilisent des connexions internet. Imaginez le temps gagné par l’administration pour traiter des informations. ‘L’intranet gouvernemental est synonyme de sécurité, de fiabilité et de gain de temps pour l’administration. Et cela se répercute inévitablement sur les administrés.’ Cependant, des gens qui vivent à Dakar, mais nés dans les régions, continuent de se déplacer dans leur lieu de naissance pour obtenir un document administratif. Nous sommes en train de travailler avec les collectivités locales par rapport aux extraits de naissance et autres documents administratifs. Je disais que nous avons déjà fait l’infrastructure et là nous sommes en train de travailler sur le contenu. Je prends un exemple sur le Tva. Les grandes entreprises gagnent beaucoup de temps et donc d’argent en faisant leurs déclarations en ligne. C’est la télédéclaration. Donc ce sera pareil pour le citoyen. D’ici peu de temps, pour avoir son extrait de naissance, on n’aura plus besoin de se déplacer jusqu’à son lieu de naissance. La personne pourra se connecter, introduire ses données et peut-être qu’on va lui envoyer son document par internet. Vous dites dans peu de temps. Pouvons-nous avoir une idée précise de la durée ? Notre domaine, ce sont les infrastructures, la connectivité, etc. Il y a d’autres ministères comme celui des Collectivités locales qui s’occupent d’autres programmes. Et cela est du ressort de ses ministères. Mais, je pense qu’ils sont en train d’y travailler avec des Coréens. Nous avons travaillé avec eux sur les termes de référence et tout est presque acquis. Le financement ne va pas tarder. Ils sont en négociation et, à court terme, tout cela sera solutionné. Combien avez-vous permis à l’Etat d’économiser ? Nos tableaux de simulation ont donné 4 milliards de francs Cfa par an. Et on peut aller au-delà de ce chiffre, parce que nous n’avons pris en compte que 6 mille terminaux mobiles et 6 mille terminaux fixes. Si nous avons quinze mille, imaginez combien l’Etat pourra économiser. Avant, l’Etat dépensait, en téléphonie mobile comme fixe, environ 17 milliards de francs Cfa. Mais le gain n’est pas seulement pour l’Etat. Ces infrastructures sont aussi bénéfiques pour les citoyens. Je prends un exemple sur la téléphonie que nous avons mise en place. Dans les régions, les ambulanciers et tous les agents de santé ont des téléphones mobiles. De ce fait, on peut évacuer un malade en un temps record. Autrefois, parfois dans certaines zones, l’ambulancier ou le médecin n’était pas accessible ; vous pouvez maintenant appeler le ministère de la Santé qui vous donnera toutes les informations nécessaires. Est-ce que votre travail peut induire une réduction du coût du téléphone pour le citoyen ? Peut-être en partie. Le citoyen qui habite, par exemple, Matam qui utilisait son téléphone pour avoir l’ambulancier, l’infirmier, le médecin etc, peut maintenant simplement contacter l’ambulancier. Et ce dernier va utiliser le téléphone de l’Etat pour contacter par exemple le médecin ou la direction de l’hôpital. Le malade n’a plus besoin d’appeler quatre agents de santé pour régler son problème. Il lui suffit juste d’appeler une seule personne dans le circuit et celle-ci pourra donner l’information à toute la chaîne. Là, on fait économiser aux citoyens un coût de téléphone impossible à mesurer. Est-ce que votre action n’est pas limitée si l’on sait qu’une grande partie de la population n’a pas accès aux outils informatiques ? Le président de la République l’a compris et c’est pourquoi, il fait tout pour donner à chaque Sénégalais un ordinateur. Il a compris que seule la révolution numérique peut aider au développement d’un pays comme le nôtre qui n’a pas de ressources naturelles. C’est aussi le cas des pays comme le Japon et la Corée. Si nous arrivons à mailler l’ensemble du pays et à outiller tous les Sénégalais du matériel pour leur permettre d’accéder à l’information, nous pourrons révolutionner notre Sénégal, surtout dans le domaine de l’éducation. Votre travail ne va-t-il pas léser les opérateurs de téléphonie ? Je ne pense pas. Ce sont nos partenaires, nous travaillons ensemble. Nous ne sommes pas là pour les concurrencer. Si l’Etat du Sénégal en arrive là, c’est grâce à l’appui de ces entreprises, en particulier la Sonatel. Elles ont aussi leur part de contribution pour le développement du pays. La Sonatel doit aider l’Etat à mieux servir les citoyens. Et l’Etat a aussi pour mission d’aider ces opérateurs de téléphonie pour l’émergence du pays dans le domaine de la révolution numérique. Quels sont vos projets ? C’est, d’abord, doter le maximum d’agents de l’administration de téléphone mobile pour la rendre accessible et couvrir l’ensemble du pays avec la fibre optique. Sur ce point, nous travaillons sur le programme coréen qui est en phase terminale. A terme, tous les bâtiments de l’administration seront arrosés par le réseau Wimax avec l’intégration des Pabx. Ainsi, l’agent qui est à Tambacounda pourra appeler à tout moment dans les autres villes sans payer et sans passer par un opérateur de téléphonie. Si on arrive à doter toute l’administration de téléphone mobile et d’ordinateur, cela pourra aider le citoyen à avoir l’information dont il a besoin. A long terme, nous allons travailler sur les applications. L’Adie qui a constaté que les Sénégalais sont intelligents - car nous encadrons beaucoup de stagiaires - s’est dit : pourquoi ne pas essayer de vendre les applications à l’international comme le système Gaïnde qui est connu dans le monde. Nous avons des projets qu’on aimerait faire connaître à l’étranger pour faire connaître l’expertise sénégalaise et favoriser des rentrées d’argent. Tout cela suppose des moyens. Avez-vous les moyens de votre politique ? Effectivement, l’argent est le nerf de la guerre. Notre budget tourne seulement autour de 1,1 à 1,2 milliard de francs Cfa. Ce qui est insuffisant si l’on sait que le fonctionnement absorbe beaucoup d’argent à cause de la taille du réseau. On fait le tour des régions pour faire la maintenance de nos infrastructures avec seulement vingt-quatre ingénieurs, alors qu’au même moment Sonatel, Expresso emploient beaucoup d’ingénieurs. Vous imaginez aisément que nos ingénieurs et nos techniciens souffrent pour maintenir ce réseau. Néanmoins, nous essayons de faire avec le peu que nous avons. Nous avons beaucoup investi, en terme, de réseaux. Nous avons investi entre le projet chinois et coréen environ 50 millions de dollars pour mettre en place toute cette infrastructure. Et si nous n’avons les moyens de l’entretenir, cela peut porter préjudice à l’Etat. Si on ne nous aide pas à maintenir et à entretenir ce que nous avons investi, cela va poser des problèmes. J’ai même fait des correspondances dans ce sens pour que l’administration ait conscience de pérenniser nos investissements. Nous avons vraiment besoin de maintenir notre investissement de taille, parce que nous avons commencé à voir les résultats. Les lignes fixes qui coûtaient à l’Etat 500 millions de francs Cfa par an sont maintenant supprimées. Avec ce réseau, l’Etat a fait des économies d’échelle. C’est pourquoi, ce réseau mérite d’être maintenu. Vous êtes au Technopôle, dans la banlieue. J’imagine que vous êtes sollicité par les populations ? Je suis en train d’installer des ‘points-jeunesse’, des sortes de cyber-café à Guédiawaye où les jeunes du quartier pourront accéder gratuitement à l’internet et donc à l’information. Chaque ‘pointjeunesse’ comprend une dizaine d’ordinateurs avec une connexion internet. Les jeunes qui préparent, par exemple, leur mémoire de licence ou de maîtrise y seront encadrés. En plus, pendant les vacances ces ‘points-jeunesse’ servent de lieu de formation aux étudiants qui ont une certaine assise intellectuelle dans des applications comme photoshop, dreamwever, etc. Ces ‘points-jeunesse’ sont bien organisés, car on y accède par des cartes. Chaque maison dispose d’une carte. En même temps, on met à la disposition des gens les contacts des hommes importants du quartier comme l’imam, le plombier, le menuisier, etc qui seront accessibles à tous. Pour le moment, nous avons installé deux points fonctionnels : un à Notaire et un autre à Sahm. D’ici le mois de février, nous comptons installer une dizaine de ‘points-jeunesse’ dans cette partie de la banlieue dakaroise, si toutefois, mes moyens me le permettent. Vous vous investissez dans une ville, Guédiawaye, dirigée par des hommes de l’opposition. Cheikh Sarr et Malick Gakou sont des amis, je les apprécie. Toutefois, je ne dis pas qu’ils font bien leur travail. Je ne peux pas donner une appréciation par rapport à leurs réalisations, parce qu’ils ne sont là que depuis deux ans. Par contre, je vois le travail important abattu par le président de la République pour la ville de Guédiawaye. Je suis né et j’ai grandi à Guédiawaye et j’ai vu les nombreuses réalisations faites par le président Wade. Il a fait des actions concrètes, il a une vision particulière par rapport à notre ville. Même si le lycée Limamou Laye connaît des difficultés qui sont en passe d’être réglées, on constate néanmoins des écoles, des postes de santé, des routes, qui n’existaient pas auparavant. ‘Le président Wade garde toujours ses capacités pour continuer à diriger ce pays. En plus, je préfère de loin un président âgé qui réfléchit à un homme jeune qui conduit le pays dans le mauvais chemin.’ Pourtant, on constate le chômage et les inondations à Guédiawaye Le chômage, c’est à l’échelle internationale. Et je vous assure que le chômage est plus important dans les grandes villes comme New York, Paris, Londres, etc. Nous qui avons l’habitude de voyager, nous avons vu pire dans les pays développés. Cela veut dire que la crise est internationale. Le président fait des efforts, même s’il n’est pas évident d’avoir des résultats en un temps record. Chez nous, à Guédiawaye, il faut former les jeunes, les aider à prendre conscience de leur capacité et avoir un métier. C’est pourquoi j’ai créé les ‘points-jeunesse’. Cette année, il y a eu moins d’inondations, parce que des dispositions ont été prises. D’autre part, il faut sensibiliser les gens qui vivent dans les zones inondables afin qu’ils quittent. C’est la seule solution. Nous sommes à cinq mois des élections et Me Sèye demande à Wade d’aller se reposer. Je préfère quelqu’un qui travaille à quelqu’un qui parle, quel que soit l’âge. Le travail d’un président de la République demande un effort physique certes, mais l’essentiel de ce travail est intellectuel. Et le président Wade garde toujours ses capacités pour continuer à diriger ce pays. En plus, je préfère de loin un président âgé qui réfléchit à un homme jeune qui conduit le pays dans le mauvais chemin. Les dires de Me Sèye ne tiennent pas. Ce sont les résultats qui sont importants. Une fois de plus, il faut arrêter de parler d’âge. Je n’ai pas de leçons à donner à Sèye, mais il ne faut pas attendre quatre mois du scrutin pour demander à quelqu’un d’aller se reposer. Contrairement à Me Sèye, je dis que le président Wade peut faire plus que ce qu’il a fait. Propos recueillis par Charles Gaïky DIENE Source Walfadjri • Gestion des mails : 2 heures par jour pour 56% des salariés L'abus de mails fait perdre du temps et nuit à l'efficacité. Comment faire un meilleur usage de la messagerie électronique dans le cadre professionnel ? C'est le titre d'une étude présentée le 4 octobre par l'Observatoire sur la responsabilité sociétale des entreprises (Orse) qui propose un mode d'emploi et des conseils pratiques pour s'en sortir. Par Hélène Desmas pour LEntreprise.com, publié le 04/10/2011, mis à jour le 05/10/2011 Envoyer, recevoir, transférer un message, joindre un fichier... autant d'utilisations évidentes de la messagerie électronique qui permettent de communiquer plus facilement et plus rapidement. Mais derrière cette apparente simplicité se cachent des réalités du travail au quotidien dans les entreprises, sur lesquelles ont réfléchi un groupe de travail réunissant au sein de l'ORSE (Observatoire sur la responsabilité sociétale des entreprises) chercheurs, sociologues, responsables des ressources humaines, syndicalistes... Dans un rapport et un guide de bonnes pratiques remis le 4 octobre, ils relèvent de profonds changements induits par l'utilisation au quotidien de la messagerie électronique : dépersonnalisation des relations au travail, aplatissement des structures hiérarchiques... Ils alertent surtout sur les risques de dérives de l'utilisation abusive des mails : surcharge, sentiment d'urgence, stress, interruptions permanentes par la réception des nouveaux mails qu'il faut consulter et auxquels il faut répondre... - Beaucoup trop de temps perdu à gérer les mails reçus chaque jour : plus de 2 heures par jour consacrés à la gestion des mails pour 56% des utilisateurs de la messagerie électronique - Trop d'informations qui brouillent la communication : 70% des managers parlent de "surcharge informationnelle". - Un volume considérable de messages : plus de 100 mails par jour pour 38% des salariés. La plupart consultent leur boîte mails toutes les heures, mais certains le font toutes les 5 minutes, par crainte de laisser passer un message important. En sachant qu'il faut en moyenne 64 secondes pour se reconcentrer ensuite sur la tâche interrompue, on peut imaginer le temps perdu dans une journée ! http://lentreprise.lexpress.fr/etre-efficace/messagerie-electronique-comment-en-faire-un-meilleurusage-professionnel-selon-l-orse_30951.html?xtor=EPR-11 • Cheap smartphones and tablet PCs from FNB come at a price Derrick Cramer Derrick joined MyBroadband in 2011 as a junior journalist with a strong background in computer hardware and gaming. He is also regular columnist and hardware... Accepting the recent FNB smartphone or tablet PC deal will change your pricing plan Following the offer launched by FNB which provides customers with a smartphone or tablet PC at a set monthly fee between R70 and R200 over 24 months interest free, details have emerged that signing up for the offer will change the customer’s existing pricing plan. The offer is only available to new and existing FNB Gold or Platinum account holders. According to Kartik Mistry, Product Owner at FNB Core Banking Solutions, “We will change your pricing option to a Mobile Pricing Option.” Mistry explained that FNB wants to encourage the use of pure electronic channels, hence the change of pricing plan. The new pricing plan options are as follows: You will be limited to 2 Free ATM Withdrawals per month Thereafter you will be charged PAYU rates for ATM withdrawals “We understand the risk and costs associated with cash for a customer and hence we would like to encourage more Point of Sale in-store purchases,” continued Mistry. FNB also confirmed that “the terms will remain the same for both product suits,” referring to the Gold and Platinum accounts to which the special is available. FNB provided the following details on the discounts and financing options available for each device. Handset Retail Price* Discounted Price Fee (24 months) Interest Account Type Apple iPad 2 R5,699 R4,800 (16% off) R200 0% Platinum & Gold Cheque Accounts HTC Sensation R5,900 R4,800 (19% off) R200 0% Platinum & Gold Cheque Accounts Blackberry Curve 8520 R1,999 R1,608 (15% off) R70 0% Platinum & Gold Cheque Accounts HTC Flyer R6,900 R4,800 (30% off) R200 0% Platinum & Gold Cheque Accounts HTC Wildfire S R2,600 R1,680 (35% off) R70 0% Platinum & Gold Cheque Accounts iPad 2 • IT salaries in South Africa Rudolph Muller Rudolph Muller is the editor at MyBroadband and covers telecoms and broadband news. Rudolph comes from an academic background, but left the University of... CareerJunction IT jobs report sheds light on IT salary levels in South Africa CareerJunction released their ‘quarter 1 and 2′ information technology (IT) job report recently which uses statistics from the CareerJunction website to establish trends in the SA job market. According to the report skilled level IT professionals are in high demand while junior level professionals and senior and management level professionals seem to be less preferred. “Entry level and executive level professionals are hardly considered,” the report states. “Permanent employment is undoubtedly the most preferred type of employment amongst businesses in the Information Technology sector.” According to the report 86% of labour demand in the IT sector is allocated to permanent staff, followed by contract employment which accounts for 13% of employer demand. Salaries IT salaries in South Africa range significantly according to occupation and skill level. The following table provides an overview of salary levels in the SA IT industry according to the CareerJunction IT jobs report. It should be noted that that for some skill levels salary information cannot be provided due to insufficient data. Software Development Junior Level Skilled Level Senior Level Management Level Executive Level From R15,388 R24,787 R31,570 R34,402 – To R20,247 R33,015 R41,403 R45,146 – Database Administration Junior Level Skilled Level Senior Level Management Level Executive Level From – R25,078 R29,583 – – To – R30,649 R38,791 – – System & Network Administration Junior Level Skilled Level Senior Level Management Level Executive Level From R9,181 R19,476 R29,096 R40,583 – To R11,439 R24,566 R41,345 R51,481 – Business Analysis Junior Level Skilled Level Senior Level Management Level Executive Level From R20,019 R31,149 R33,197 R31,515 – To R25,885 R39,486 R43,701 R45,069 – IT Research Junior Level Skilled Level Senior Level Management Level Executive Level From – R32,083 – – – To – R41,667 – – – Web & Internet Junior Level Skilled Level Senior Level Management Level Executive Level From R11,250 R19,744 R24,074 – – To R13,333 R27,033 R30,417 – – Software Testing Junior Level Skilled Level Senior Level Management Level Executive Level From – R20,854 – – – To – R25,153 – – – IT Management Junior Level Skilled Level Senior Level Management Level Executive Level From – R34,917 R42,545 R44,298 R53,021 To – R39,784 R54,183 R54,243 R69,438 Full IT jobs report available on the CJI website