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Née à Montauban en 1748, humaniste et visionnaire, Olympe de Gouges est une des grandes figures de la Révolu8on française. Elle u8lise le théâtre, les affiches publiques, les journaux, en s’efforçant de répandre le plus largement possible ses idées progressistes. L’aboli8on de l’esclavage et de la peine de mort, l’hygiène publique, la solidarité, l’instruc8on et surtout l’égalité poli8que et civique entre hommes et femmes deviennent son combat essen8el… Cet engagement généreux et exigeant lui vaudra la haine des Jacobins. Elle meurt guillo8née en 1793. Invitée à la précédente édi2on de ces “Journées”, Marie-Chris2ne Barrault avait proposé la théma2que des Femmes de l’ombre pour l’année à venir. Immédiatement l’expression avait fait mouche, suscitant l’enthousiasme et éveillant les imaginaires… L’ombre et les femmes, deux termes qui parlent tout autant à l’historien qu’à l’ar;ste, au philosophe qu’au poli;cien ; tant il est vrai que l’ombre par;cipe de la femme dans l’inconscient collec;f. Mises à l’écart, recluses, cachées ou simplement oubliées, les femmes ont su pourtant apprivoiser l’ombre au point de s’en faire une alliée, voire une arme d’autant plus efficace qu’elle semble invisible. Dans des domaines qui s’étendent du couvent au divan d’analyse en passant par les arts et l’ac;on engagée, nombre de grandes femmes ont fini par me<re leur ombre en plein jour et faire jaillir de ce<e obscurité où elles se trouvaient contraintes, une lumière incomparable. Il en est d’autres aussi qui, plus secrètes, ont néanmoins influencé leur époque ; ainsi de ces grandes égéries, muses ou inspiratrices ou chercheuses scien;fiques. Nous avons aussi oublié aujourd’hui celles qui furent appelées “les grandes horizontales” et qui jouèrent un rôle considérable dans la poli;que du XIXème siècle. C’est dire si l’aventure des Femmes de l’ombre ouvre d’infinies perspec;ves à ces “Journées”, certainement trop courtes pour en parcourir tout le panorama. Cependant, à un moment de l’histoire où certains, sous couvert d’une soi-disant liberté, revendiquent le droit pour les femmes au camouflage intégral, il nous a semblé légi;me de lever quelques coins de ce voile d’ombre sous lequel les femmes con;nuent d’illuminer le monde dans la trace flamboyante d’Olympe de Gouges. Mercredi 7 mars Théâtre Olympe de Gouges 789 18h Avant-Première na2onale : présenta2on du roman graphique “Olympe de Gouges” de Catel Muller et José-Louis Bocquet (grâce à l’aimable sou;en des Edi;ons Casterman). Rencontre avec les auteurs. Modérateur : Jacques Griffault. Catel Muller, diplômée des Arts décora8fs de Strasbourg, a publié une cinquantaine d’albums pour enfants. Elle a également illustré “L’Encyclo des filles” chez Plon qui s’est imposé comme un best-seller. Elle s’adresse également aux adultes avec la série “Lucie” qui ouvre la voie à une bande dessinée féminine aux préoccupa8ons contemporaines. En 2005, elle ob8ent le prix du public au fes8val d’Angoulême pour l’album “Le Sang des Valen;nes” illustré et écrit en collabora8on avec Chris8an de Me9er. En 2007, elle reçoit le prix RTL puis en 2008 le prix du Public Essen8el à Angoulême pour le roman graphique “Kiki de Montparnasse” mis en image d’après le scénario de José-Louis Bocquet. Depuis, Catel Muller poursuit ses évoca8ons de des8ns de femmes avec des albums consacrés à Rose Valland, Edith Piaf et Mireille Balin. Ce dernier album, in8tulé “Dolor” et écrit par Philippe Paringaux, a été sélec8onné Horscompé88on au fes8val d’Angoulême 2010, et a obtenu le prix “coup de foudre bulles en nord”. Elle travaille actuellement sur un ouvrage inspiré d’entre8ens par8culiers avec Benoîte Groult à paraître chez Grasset. “Olympe de Gouges” est un roman graphique sur la vie de l’une des premières, sinon la première, féministe de l’histoire de France. Ce portrait de femme est embléma;que du combat que mènent les femmes depuis longtemps pour avoir la place qui leur est due dans la société. Olympe, avec son parcours romanesque et son des;n tragique, apparaît comme un fabuleux personnage de bande dessinée. 789 19h Inaugura2on par Philippe Maurin, adjoint au maire en charge de la culture, et présenta2on par Francois-Henri Soulié des rencontres et des spectacles. 789 19h30 Vernissage des exposi2ons “Miroirs de Venise” de Michèle Teysseyre et “Olympe de Gouges” de Catel Muller et José-Louis Bocquet en présence des ar;stes, suivi d’un cocktail. 789 20h30 Introduc2on au spectacle par Pierre Cadars : "Compositrices par procura!on ?" A par;r des personnalités en apparence opposées de Nadia Boulanger et Alma Mahler, une réflexion sur le difficile rapport des femmes avec la composi;on musicale au début du XXème siècle. Pierre Cadars est historien du cinéma et de l'opéra. A dirigé la Cinémathèque de Toulouse de 1997 à 2005. Collaborateur régulier de la revue Opéra Magazine. Principales publica8ons : Le cinéma nazi (en collabora8on avec Francis Courtade), Les Séducteurs du Cinéma français, Gérard Philipe. © G.-A. Cretton Martigny 789 21h Pièce de théâtre “Alma Mahler” de Françoise Lalande avec Françoise Gugger. Une heure et quelques minutes pour un voyage extraordinaire dans la vie d’une femme. Voyage dans le temps puisque sa vie commence en 1879 et s’achève en 1964. Voyage dans l’espace pour la suivre de Vienne à Venise, Munich, Berlin, Paris, New York… dans sa quête de bonheur et de liberté. Voyage intérieur enfin, dans l’in;mité d’une femme qui recherche les sources de son existence. Course haletante pour fuir les deuils et le malheur, la guerre, les nazis, fuir aussi la solitude d’une femme hors du commun dans un monde d’hommes. Françoise Lalande est auteur de romans, de biographies, de pièces de théâtre et de nouvelles. Née dans les Ardennes, elle appar8ent à une famille paternelle originaire de Toulouse, et maternelle originaire de Berlin. Elle a vécu au Congo où des soldats du Président Mobutu ont failli la couper en morceaux, puis en Colombie, pays qu'elle a adoré malgré sa violence, enfin en Equateur. Ayant retrouvé l'Europe, elle a été administrateur d'Amnesty Interna8onal Belgique de 1976 à 1981. Elle est Chevalier des Arts Le9res et vit actuellement à Rabat. jeudi 8 mars Théâtre Olympe de Gouges 789 14h “Celles de l’ESAV”. Projec2ons de courts métrages de jeunes réalisatrices issues de l’ESAV. Programma;on proposée par Guy Chapouillé. ● Unfold / Ingrid CHIKHAOUI. 17’. 2011. Fic;on. Synopsis : Elias et Susan à New York : leur amour, l'exil et la révolu;on Arabe. Représentée par Marie Schneider, étudiante. ● Vendre / Manue FLEYTOUX. 10’. 2011. Fic;on. Synopsis : Dans un monde déshumanisé, un ma;n, un agent de l'état sonne à la porte d'une famille ruinée pour leur acheter leur enfant. En présence de la réalisatrice. ● Par-delà / Camille PERNIN. 19’. 2011. Fic;on. Synopsis : Simone, 75 ans est une vieille dame solitaire et un brin acariâtre, qui n'a qu'un seul désir : fuir de la maison de retraite où elle réside. Après une tenta;ve avortée, c'est finalement avec l'aide de Marguerite qu'elle parvient à s'enfuir. En présence de la réalisatrice. ● Les corps flo"ants / Marine LEVEEL. 16’. 2011. Fic;on. Synopsis : Vladimir, un jeune expert en assurance, visite à l’aide d’un canot des maisons sinistrées par une inonda;on. Lors de ses errances sur l’eau, il va être affecté par la rencontre de personnages qui vont modifier le cours de son existence… Représentée par Camille Pernin, étudiante. ● Le bruit sourd de la chute / Cécile CAPARROS. 24’. 2011. Fic;on. Synopsis : Deux amies, Héloïse et Lola. Une passion commune, la photographie. Et puis la vie qui passe, avec ses joies, ses décep;ons, ses peines. En présence de la réalisatrice. ● Maison Ahimsa / Johanna L. 26’. 2011. Fic;on. Synopsis : Une femme qui se trouve en clinique psychiatrique pour un séjour, tente d’élucider les liens avec sa famille, de s’en détacher, de se retrouver. On porte tous un héritage invisible, un testament que l’on n’a pas signé, et dont il faut faire quelque chose. En présence de la réalisatrice. ● Boum / Catherine Lafont. 3’30. 2012. Anima;on. Synopsis : Le personnage de Boum fait le choix de ne plus consommer d'énergie nucléaire. Une fois ce<e décision prise, il doit trouver des solu;ons pour s'éclairer et se chauffer. Mais la centrale nucléaire voisine est malade… Sans organisa;on collec;ve, l'ac;on individuelle trouve ses limites. En présence de la réalisatrice. 789 17h Rencontre avec Aurélia Georges (lauréate de la Bourse Olympe de Gouges 2010) et projec;on de son film “Le fleuve Seine”. Guy Chapouillé, fondateur de l’ESAV, est professeur émérite et cinéaste. Spécialiste d’Esthé8que générale et du cinéma, il est l’auteur d’ar8cles et de publica8ons diverses sur la télévision et le cinéma. Réalisateur de 18 courts et de 3 longs métrages, il a fait le choix d’un “Cinéma qui s’efforce de fixer les enjeux de la représenta8on au niveau où se situent ceux des transforma8ons sociales. Cinéma des processus, donc, en lu9e contre tout cinéma des effets” (Dic8onnaire des cinéastes français d’aujourd’hui, Cerf, 1988). Dernier film, “Une raison de vivre”, consacré à la pra8que et à la place du rugby dans la société de Madagascar. 789 18h “Paroles de l’ombre”. Travaux d’ateliers des élèves du Collège Olympe de Gouges animés par Virginie Chevalier. Textes mis en espace autour de l’œuvre d’Olympe de Gouges et sur le thème des Femmes de l’ombre. Evoca;on de Louise Michel, Séraphine Louis, Camille Claudel, Clara Malraux… 789 20h30 Projec2on du film “Les femmes de l’ombre” de Jean-Paul Salomé. (2008. 115’) Avec Sophie Marceau, Julie Depardieu, Marie Gillain, Déborah François. Synopsis : Engagée dans la Résistance, Louise Desfontaines est un agent de la branche française du SOE, un service secret britannique de renseignement et de sabotage. Sa mission est d'exfiltrer un agent britannique géologue capturé par les Allemands alors qu’il préparait le débarquement sur les plages de Normandie. Pour le libérer avant qu'il ne parle, Louise doit cons;tuer dans l'urgence un commando de femmes. Elle choisit Suzy, danseuse de cabaret qui sait charmer les hommes, puis Gaëlle, chimiste, spécialiste en explosifs et enfin, Jeanne, pros;tuée, capable d’assassiner de sang froid. Parachutées, elles sont aidées par Maria, résistante juive italienne, opérateur radio. La libéra;on semble un succès, mais le géologue a révélé sa mission au colonel Heindrich, qu'il faut maintenant arrêter. Failles et forces du caractère de ces femmes vont alors se révéler. Vendredi 9 mars Théâtre Olympe de Gouges 789 18h Rencontre avec Michèle Teysseyre autour de ses livres. Modérateur : Guy Chapouillé. Lectrice : Nathalie Pagnac. 789 19h Remise de la “Bourse Olympe de Gouges 2011” par Brigi<e Barèges, DéputéMaire, suivie d’un cocktail. Créée par la Ville de Montauban, ce<e bourse est des;née à favoriser par des ac;ons concrètes la connaissance et la mise en applica;on des “Droits de la Femme et de la Citoyenne”. 789 20h30 Lecture : “La Tintore"a” de Michèle Teysseyre, lue par Didier Sandre. Accompagnement musical : Vivaldi interprété par “Les Passions” Orchestre Baroque de Montauban, direc;on Jean-Marc Andrieu. Mise en espace : François-Henri Soulié. Peintre, écrivain et cinéaste, Michèle Teysseyre est née à Toulouse où elle vit et travaille. Après des études li9éraires à l’université du Mirail, puis un bref passage dans l’enseignement, elle se consacre très vite à la créa8on ar8s8que. Venise, où elle séjourne fréquemment est devenue sa principale source d’inspira8on. Elle a notamment publié “Saveurs et senteurs de la Sérénissime” (Clairsud. 2000) – histoire de Venise à travers 80 rece9es illustrées et commentées du Moyen-Âge à nos jours – et préfacé et illustré Baffo, “Poèmes luxurieux de la Venise du XVIIIe, Baffo” (L’Archange Minotaure. 2008) Son premier roman, “Moi, Veronica Franco, cour;sane à Venise” (Clairsud. 2008), illustre la vie véni8enne au XVIe siècle à travers la vie de la plus célèbre des cour8sanes de l’époque qui fut aussi musicienne et poétesse. Cet ouvrage a obtenu le Grand prix li9éraire de la Ville de Toulouse. La Tintore3a : “L’histoire n’a guère retenu le nom de Marie<a Robus;. Peu de traces subsistent de son œuvre. Deux portraits lui sont a<ribués : l’un au musée du Prado à Madrid et l’autre aux Offices de Florence. La Tintore9a fut pourtant célèbre en son temps. Mais comment trouver sa place lorsqu’on est la fille d’un génie ?” Quatrième de couverture du roman publié chez Clairsud. © Elmar Stolpe et Christophe Ubelmann Depuis trente ans, Didier Sandre par8cipe aux grandes aventures du théâtre subven8onné avec Catherine Dasté, Michel Hermon, Bernard Sobel, Jorge Lavelli, Jean-Pierre Miquel, Jean-Pierre Vincent, Maurice Béjart, Giorgio Strehler, Patrice Chéreau, Luc Bondy et Antoine Vitez. En 1987, le Syndicat de la cri8que lui a décerné son prix du meilleur acteur pour “Madame de Sade” de Mishima, “Le Mariage de Figaro” de Beaumarchais et “Le Soulier de Sa;n” de Claudel. En 1996, il a reçu le Molière du meilleur acteur pour le rôle d’Arthur Goring dans “Un Mari idéal” d’Oscar Wilde. Il joue régulièrement dans des produc8ons du théâtre privé, “Le partage de midi” de Paul Claudel, “Le chemin solitaire” de Arthur Schnitzler, “Célimène et le Cardinal” de Jacques Rampal, (…) Récemment il a joué dans “Bérénice” de Racine mis en scène par Lambert Wilson au Théâtre de Chaillot à Paris, (…) “Ma vie avec Mozart” d’EricEmmanuel Schmi9 au Théâtre Montparnasse mis en scène par Christophe Lidon, “La danse de mort” de August Strinberg mis en scène par Hans Peter Cloos au Théâtre de la Madeleine à Paris, “RER” de Jean-Marie Besset au Théâtre de la Tempête à Paris. Extrait de la biographie figurant dans le site officiel de Didier Sandre. “Les Passions” Orchestre Baroque de Montauban. Direc2on : Jean-Marc Andrieu. Avec : Jean-Marc Andrieu, flûte à bec - Nirina Betoto, violon Marie-Madeleine Mille, violoncelle - Anne-Lise Labusquière, clavecin. Créé par le flû;ste à bec Jean-Marc Andrieu en 1986, Les Passions - Orchestre baroque de Montauban, est en résidence à Montauban. Spécialisé dans la pra;que des instruments d’époque, l’ensemble, dans sa démarche ar;s;que, concilie le respect des techniques de jeu anciennes et l’interpréta;on dynamique du discours musical. L’orchestre travaille à la découverte du patrimoine régional (Toulouse, Ducs d’Aiguillon) et collabore régulièrement avec les ensembles vocaux Les Éléments ou Sagi9arius. De 2004 à 2011, il a développé, au cours d’une saison à Toulouse, divers aspects originaux de la musique baroque et a accueilli les grands solistes du monde baroque. L’Orchestre Les Passions a été invité au Palais Farnèse par l’Ambassade de France à Rome pour clôturer la saison “Suona francese”, par le Fes8val Mùsica, Historia i Art de Valence et par le Fes8val Mùsica An8gua de Saragosse. Il est également reçu par de pres;gieux fes;vals tels Lessay, Pontoise, Lanvellec, Sylvanès, Toulouse-les-Orgues, Musiques des Lumières à Sorèze, Utrecht (Pays-Bas), Fès ou à l’Ile de La Réunion. Le dernier volet de son triptyque consacré à Jean Gilles sera donné le 2 mai 2012 dans le cadre des Rencontres de Musiques Anciennes en Midi-Pyrénées d’Odyssud-Blagnac et au fes;val de La Chaise-Dieu. Il édite un disque par an (label Ligia - distrib. Harmonia Mundi), souvent en compagnie de chanteurs solistes réputés, chaque fois loué par la cri;que et le public. Le dernier in;tulé “Beata est Maria” est un recueil de motets à 3 voix d’hommes de Marc-Antoine Charpen;er. En octobre 2011, l’orchestre a par;cipé à la première édi;on du fes;val Passions Baroques à Montauban. L'orchestre est en résidence à Montauban. Il est soutenu par la Ville de Montauban, la Communauté d'Aggloméra;on du Grand Montauban, la Mairie de Toulouse, le Conseil Général de Tarn-et-Garonne, et conven;onné par la Région Midi-Pyrénées et le Ministère de la Culture et de la Communica;on–D.R.A.C. de Midi-Pyrénées. Il reçoit régulièrement le sou;en de la Spedidam et de l'Adami pour ses enregistrements. Il est membre de la FEVIS (Fédéra;on des ensembles vocaux et instrumentaux spécialisés). EXPOSITIONS Théâtre Olympe de Gouges 789 “Miroirs de Venise” de Michèle Teysseyre. Du 7 au 31 mars. Au pe;t foyer (1er étage) et dans le péristyle (rez-de-chaussée) “Venise” ! En français, le mot est suave de par sa seule sonorité : un glissement de soie, un parfum de vanille, l'or d'un reflet ; en allemand, il évoque un rivage désiré : “Venedig”, presque un prénom de femme ; en italien, “Venezia” – bien sûr le plus sublime –, il se couche, s'alanguit, paresse et s'é;re jusqu'aux plages du Lido, tandis que l'anglais le raccourcit à la taille d'une statue<e de déesse an;que : au retour des vacances, “Venice” a juste de quoi occuper le bord d'un guéridon. Extrait de : “Le grand corps obscur et lumineux de Venise” (Rapport d'Étape/ Librairie française de Venise, 2009) En accompagnement de l’exposi;on, diffusion permanente du film documentaire de Michèle Teysseyre : “Venise en mineur”. (Durée 28mn) 789 “Olympe de Gouges” de Catel Muller. Du 7 au 31 mars. Au grand foyer (1er étage) Une trentaine de planches en taille réelle présentent divers moments de la narra;on. A par;r d’un travail rigoureux de documenta;on sur Montauban, l’auteur res;tue la ville dans le climat du XVIIIème siècle avec une grande poésie plas;que. Un magnifique hommage à Olympe de Gouges, à notre ville et à l’ardeur à la fois humaniste et révolu;onnaire de notre héroïne. 789 “Le genre et ses clichés” / Exposi;on associée (hors Théâtre). La Déléga;on aux droits des femmes et le CIDFF proposent durant ce<e semaine du 8 mars une exposi;on sur l'égalité des chances filles-garçons. Au travers de dessins humoris;ques, la dessinatrice interpelle le public sur les clichés et préjugés qui perdurent... Exposi;on proposée dans tous les collèges et lycées du département, assor;e de l'interven;on d'une sociologue sur le sujet. Calendrier - Programme 789 Mercredi 7 mars - théâtre Olympe de Gouges 18h Présentation en avant-première du roman graphique “Olympe de Gouges” de Catel Muller et José-Louis Bocquet. Modérateur : Jacques Griffault. 19h Inauguration des Journées par Philippe Maurin, adjoint au maire en charge de la culture, et présentaon du programme par François-Henri Soulié. 19h30 Vernissage des expositions “Miroirs de Venise” et “Olympe de Gouges” en présence de ar;stes. 20h30 Introduction au spectacle “Compositrices par procuration ?” par Pierre Cadars. 21h Pièce de théâtre “Alma Mahler” de Françoise Lalande avec Françoise Gugger. 789 Jeudi 8 mars - théâtre Olympe de Gouges 14h Projections de courts-métrages de jeunes réalisatrices de l’ESAV “Celles de l’ESAV”. 17h Rencontre avec Aurélia Georges, lauréate de la “Bourse Olympe de Gouges 2010” et projec;on de son film. 18h “Paroles de l’ombre”. Travaux d’ateliers des élèves du collège Olympe de Gouges animés par Virginie Chevalier. 20h30 Projection du film “Les femmes de l’ombre” de Jean-Paul Salomé. 789 Vendredi 9 mars - théâtre Olympe de Gouges 18h Rencontre avec Michèle Teysseyre autour de ses livres. Modérateur : Guy Chapouillé. Lectrice : Nathalie Pagnac. 19h Remise de la “Bourse Olympe de Gouges” par Brigi<e Barèges, Député-Maire. 20h30 Lecture : “La Tintoretta” de Michèle Teysseyre par Didier Sandre. Accompagnement musical : Vivaldi par Les Passions, Orchestre Baroque de Montauban. 789 Expositions - théâtre Olympe de Gouges “Miroirs de Venise” de Michèle Teysseyre. Du 7 au 31 mars. “Olympe de Gouges” de Catel Muller. Du 7 au 31 mars. 789“Le genre et ses clichés” Exposi;on associée (hors Théâtre : collèges et lycées). Semaine du 8 mars. Organisée par la Déléga;on aux droits des femmes et le CIDFF. Direc2on ar2s2que : Anne-Bernade Séguéla (Direc;on des Affaires Culturelles), et François-Henri Soulié (Le Théâtrophone). Coordina2on : Le Théâtrophone Réalisa2on : service communica;on - Ville de Montauban. Graphiste : Damien Mouliérac Avec la par2cipa2on de : Alizé Théâtre, CIDFF, ESAV - Toulouse, le Théâtrophone Montauban, le Collège Olympe de Gouges, le Collège Ingres, BMV produc;on, les librairies Deloche et La Femme Renard, les Edi;ons Casterman, les Edi;ons Réciproques, les Edi;ons Cocagne, les Edi;ons La Brochure, Eidos et le service parcs et jardins de la Ville de Montauban. Avec la par2cipa2on graphique d’Estelle Rouby de l’école de dessin de la Ville de Montauban Nous tenons à remercier pour leur aide précieuse toutes les personnes qui ont apporté leur collabora8on amicale à la mise en place de ces journées et par8culièrement Geneviève André-Acquier, Evelyne Morin-Rotureau et Kathy Degreef, ainsi que le personnel administra8f et technique du Théâtre Olympe de Gouges.