Troisième Concert Symphonique de l`Orchestre Symphonique

Orchestre Symphonique Bienne Soleure
Rue des Maréchaux 1
2502 Bienne
T 032 328 89 69
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www.tobs.ch
Communiqué de presse
21 novembre 2016
Nous vous invitons au
Troisième Concert Symphonique de l’Orchestre Symphonique Bienne
Soleure
«Esprit multiple»
Mercredi 30 novembre 2016, 19:30, Palais des Congrès Bienne
Direction : Li Biao
Violon et Alto : Filip Michał Saffray
Orchestre Symphonique Bienne Soleure
Programme: Bohuslav Martinů: Rhapsody-Concerto pour alto et orchestre H 337; Maurice
Ravel: Tzigane (vérsion pour violon, harpe et orchestre à cordes de David Walter); Ludwig van
Beethoven: Symphonie n° 2 ré majeur op. 36
Le titre du troisième concert symphonique de l’Orchestre Symphonique Bienne Soleure
est tout un programme en soi: Des œuvres de Martinů, Ravel et Beethoven sont un vaste
survol musical du classicisme viennois en passant l’impressionnisme jusqu’au néoromantisme. Le chef d’orchestre chinois Li Biao sera au pupitre et Filip Michał Saffray,
altiste solo de de l’orchestre, se produira en soliste.
Variatio delectat – les délices de la variation étaient déjà appréciés par les anciens romains. En
ce sens, le troisième concert symphonique de l’Orchestre Symphonique Bienne Soleure
s’adonne au charme de la diversité et présente deux artistes aux multiples talents: Le chef
d’orchestre chinois Li Biao a déjà dirigé des orchestres de grande renommée dans toute
l’Europe, l’Amérique et en Chine; il est aussi le directeur musical de l’Orchestre National de
Chine. En même temps, Biao fait une brillante carrière de percussionniste. Filip Michał Saffray,
bien connu du public du TOBS en tant que chef d’attaque du registre d’alto de l’Orchestre
Symphonique Bienne Soleure, ravira quant à lui le public aux sons de l’alto et du violon.
La programmation de cette soirée sera variée et des compositions sur une période de 150 ans
d’histoire de la musique seront jouées. Avec son «Rhapsody-Concerto», créé en 1952, Bohuslav Martinů a conçu l’un des concertos pour alto les plus importants d’après-guerre. Tout le
potentiel lyrique et expressif de cet instrument souvent sous-estimé s’y déploie. La «Tzigane»
de Maurice Ravel est d’une grande virtuosité. Initialement écrit pour violon et piano et arrangé
pour violon, harpe et orchestre à cordes par David Walter, cette composition à la fois romantique et impressionniste permet au soliste de montrer tout son talent musical. Les influences de
la musique folklorique, déjà indiqués dans le titre de l’œuvre, sont clairement audibles. Pour
couronner le concert symphonique, la deuxième symphonie de Ludwig van Beethoven nous
emmènera au début du 19e siècle. Elle se caractérise par une sensibilité joyeuse, malgré la
surdité progressante de Beethoven au moment de la composition. Une grande variété des sentiments et d’expression, sera à entendre dans la salle de concert – Variatio delectat.