Bu-s.. - Toulouse.fr
Transcription
Bu-s.. - Toulouse.fr
y" "a Anr` - ' o 1Da 2di4Jffn - `111 DE ITOUIOUSE TA UOIXTIQUE ET E 4E NTS U6 td , Du an 40 te. -Six m mies. 91 rr TOULOUSE LVILLtE) - OLPARTEM?LNTS - 50 f Administration, Rédaction Tm1..n,.i. sa w I4 ter 26 te, n'avait as ssz com té. q cellessitounation La intérieureil est toujours la méme le, journaux continuent 80LIELI8 POLITIQUE leurs niera polcrniques an sujet de. ça ndidatures acte Hé e,s ou non par La sr t na t ron[ h l omangse de I A le gouvermement et des actes du gleterre et de l'A ulriehr, continue b minisbsre, en ce qui concerne la rèPire fort iocerlaioe. Chez ans voisin Plemeumfion du colportage -la du' Ontnmment, il ne se passe goure d rée des délais Laissés para loi pour loi r oie il ne soit quasboir de la 1a tons neolion des électeurs. Sur ors traite de tel on tel minislea : on d4 'n- divers sui ors les opinions saut aussi di: mont essore arme fois celle de lord Vergmdes que possl ble, et es D'est pas muip l'erreur d'aniourd'hui peut être la v contre l'iulerprétalion donnée par Id cité de demom. Unes u setQsmeot à gauche que l'ou proteste mnrv,lle inlrrpellatine adressée au gonvernnmont anglais pat goulet tiennent aux textes légg`aux. Pour ce qui est du colportagd J, p roc radota cul le 4ofeil avait l'in la Chambl e dw i ow i une s a aqdLesté ; le N n2eur Lil . isal lait da des affaires d Osent, on icmbto du méme anjo md hui ; quant I. au délai Parlement a demandé au cabinet u'i maximum, après lequel Ghala a o était vrai quo l'Angleterre et la Prvun dissoute doit éti'é sempleeée, tee ce se entendues en vue divergences ne sont pas mains Bran doue action mari0mo eornmfino e des. Nous n'entrerons pas dies le Osent. Sir Staf'ord Northeote p réé détail des opinions émises pour eP pondu qu auemr accord tee' cette fia.p contre, ce n'est ppas ici le lieu : mais litre ri av fit nu heu, pas plus avec on remarquera de quelle importance. l'ancien cahiuet fraeiç s u'aven Iq rat pour le législateur l'adoptiou1 oirvemr mi sujet d'op tons évena d'un texte délai absolument précie luettes sur les cctes de 7 urgnJe. qui coupe court atonies les inturpelCette réponse colin oosrt aux rations, et dise bien ce qu'il vent; bruits répandus b ce aujey par la t resac allemamio, qui o IoaJaura la Les nouvelles do l'extérieur ne .ont vellodo d I ire araire 1 1 possib fi té, de l'inter venlion de la I canne, en Orient Nen, il faut q i on co fit ve1_n,1 ( la ri n tin vit r d1 a 1 s d!mq :onsit o. estlal, et le ne pl élira g i Anglelei re i an nav ie n un haJ t Ilon, ni un homino, r an FII est p s .n sitraale. u umoui . sus Centime 1 ",ai- ses o pl intérvts is pour le plue gl a d pi.>flt j ne nauon qui l'a I 1 i e rsei ' fer l y a sept inc. sans domrent ailennildstris a I précis sur les opé ,lions maire: la sacs ton (voient Irise roncestéation ro Buf aria envo ont au la non wd. ea u d c 1,11 bers clin n .fil barque les dé la camF i ne col hem tel e l s 'a xpns ind é il yn plie r,""je s d-j8 i ublectrC pliacip, 1 lut la ohn: n d s Il a'k .ne s.u lagncllc ee dru pull les p e1 9 col Ici d tir née com - lo I u pr? rades ia l g rad dtr i c o la sen 1 n coneom s mlora l. I tsonne ; ce D ot j es sC llont fe'nQnefûril advenu si l'An,,w nées à forcer le passage des Rniknns mPon eût fait à celte é rogne la niuglièmo a n col de 'l'ch,pka ; la de se_s ellbrls aelucls, non rontc dont noua par lions, il y s'a., pas pour arrêter 1. guerre, mais pour laps jours. rb uloc, Irs rigueurs dun 0.nervi victmmux I Peut-être r n serait-elle pas à chele rloélier alI SIS 1'ÉL GRAPHIE PRIVÉE pour la t ube dtlh canon as' ou rla, qti alto hésita à enheprondrlo Paris, Il juillet: sente eo ce rnomemt, renseigmmooolssuh, Le Cinés Neua dément le bruit qui l,1' rorrespondunt du Da:iy Neu'n aller! cdel,te SOCIÉTÉ rai d'Arras :sut. Chabert et fluide. ourd'fi i :m, ou sujet ' u il a luafeurs fors traité, .Ia siluaton ldo parli orléo- onde ; Il. Deschereusu, éuldiant, et M. Casher, rédacteur de m Marseillaise, à 200 francs. N. Cnlladon , P ro Propriétaire de M. le baron de Vallier, armoire eu.seiller de préfecture, est nommé membre du conseil lie préfecture du département de l'lléraulr, n remplacement de M. de Labuethe, démissiunsiiee. M. Céuoux-Moreau, docteur en droit, est nommé membre du conseil de préfecture fil. de t'Aveyro eu remplacemmnt de Peyronn.d, flan acceptant. place honorable qui lui appartient dans le cousit des idées et des compétitions do narrent. Iihalib, ambassadeur de Turquie rEn réalité, continuent les Uébala parties en rangé la semaine prochaine parmi les partis que lu coalition nous il irait rasera à Caestantinople quelque, montre _Intimesplus ou moine inféodés à des naines. ovarchiques, l'ancien parti' de la beauehe d'Orléans est le sent, s'il eut bien y ,eg rder, qui in perte. Londres, 12 juillet. avec lui aucune chaise de ce rgenre e4 e11Asses fins :.cannas qui ri ait à oompler qu'avec, ses prinei9 M. ;lénkina annouoe ge'll q uestion. pes. Il est, presque) plus que le parti ra le. gouvernemeot demain ou lundi républicain Irel méme, le parti 'lb la lib 1, parlementmre, parc qu'à alter aials copie dese la proclamation do c I,b 't I s crise davpnmge II I i laid ux Bulgmrit déposé,, le b li, sncuhcc de sus peéleronces r et s'il e:t oral que l'a riel iisfratron m vite casse ait rendu obligatoire l'usage listes... de la laugne Basse en Bulgarie. Si cela d 1 ` inflation lire, ° La dernière partis des renseigne. mmlfs I.ou sis pi le pournal anglais La baraque d'Angleterre a réduit L ne tic ticpashies-bien Gva; le rastii; si le grand dire doit Pire u Andrinople dans un mois, Ijue fera l'arméti russe 1 PO.l t jeu mors d'août ot de. scptembre'I Au surplus, la marche on avant pourrait Ptre singulièrement raImnia si , comme l'assure le TIllacx, A la suite d'ana enquéte talle par le i mmce que les Russes ont blé chassés de 1 1-ml. Les commandants de Sistuva U d'pbehe de Berln dément la noulle que le prioce de L'ismaek-accompa- et 'firno va gncnuf 1 empereur Guillaume dans finileevvo suret empan ne d'Amnch ,. U la l l g mine Ilassunuaure gc T gukoso0 I banc Spintuéus .....,..... gles sié, ssauts de Bayagld IL délivré la e passeront co Juglueur. legs à des établissements do bien, faisoule, et sur l'acraptation pat la Allie Vide dit legs à elle fait par M11° Cglé I Le Conseil nomme ensmte les membres de la ey, et lion de révmsion des listes do jury, et au. ,site Iineufbséane, 3 010, 70 05. - 5 voyer ta Oie, servii.esz ché faible. loi de gouiupuru. nécéeslaire Sur le rapport de 11 Ilur, guerre vient dn- Le. linistla de la 106 85, - Egyptienne, 207 50. - Mar- suivante, circui. ir stative uter)er,t du opnrseonel duos Irs administratifs do l'année. flou des condamnations prononcées au pi ft f S à.. Mon ohm géncial, Madrid, l2 juilldt, de 1,0 bans sur la ligne dos bunlevards ; ces bancs seront établis dans trois sem aines environ Sur le rapport de Ni. mcard, le Con- t 1 n a, une bataille aurait donc 6 1 ¢,n h)6 fin le flanc 4auche de l'année 1 us c sur verra Lien L'émotion produit, g.rlal lac 1 Le Français dit que la comité causer' aura' t le E i sent t gr.rvdu. f avancé la té, 1 td acrctés. à des eé de r vernir ana députation de l'opposition. t Paris, -lait ta *a.. l1 Le Jnarnal Officiel ne public rien d'importout dans sa punie officielle. La Cassette des Tribunaux réplique au mémoire et à la consultation du comité judiciaire la g:mche slle dit que le a t un lactum pal f q 1 dg I t lls. s l Inspü alma des pas c allocations, pour le d de su. b 1lsatron, du grade de sous-bnmoliant, . ,o La Gacetm itif dn rougi amant les 0 ,papa-gomevts de la eonsult,dion et l't quI nmr Sur la proposition de M. le Maire, le Conseil décide que la somme de 176,000 le Madame, dép., 1 ,jour le désir que les éleofums aime lieu I plutôt possible' fit pas examiné la On assure que les conseeestenre M luesuon av ndr, vers la frontière avait été ion assez da. calme. Clic opposeront à la ajun [e que toute la usa dpiudo p i réduit Ion inévitable. Lu lait pa raissaif d'an- jarein pr ce Napoléon ui a signé le marmites' à savoir si les 2U 'ours do ér mut plus snrprennnt ue lus débuts eleot 1 de aond te des gauches al a aidamre de M. lai de doivent ëtro compris dons le déla campagne avaient été oxtrémoméeas purar. gl gésnéral. Bonaparte, président du Conseil lai d, troois ismpréci se ajoutés 11 délai ; lo heureux, et sue la connaissance loi parait se et forme lle depuis faite du pays, dt les BUSe9 opéraient 18112: l'a électeurs sont oui oues pour la troisiéme fois, d'apréS le tnépelés à voter 20 jours adnés la connôBilan de ta banque, - Augmentation : rationune plan général, semblaient les met. Ire à l'abri de toute erreur ou faute do Portafeville, 13 millions 1 j. ; trésor, 1 Ilion I,4. - Diminution Cacamsse, stratégie. Les opinions émises à cet juilleprélim,iLa phase des dist etfis égard ont été nornbrouses et variées ; 3b m1 artic 1 e mreulahon, 5 millions 114; particuliers, 40 mfllious. Haires, dit le Saisit, est d os e. Tel cet on journal de Berlin, j'ofvicieuse Poat, do miens notre se timent en fournit une nouvelle: l'évamietion Le gérant du Radical a été cond débat électoral reosi ira sans donde l'Arménie a eu lien sur l'ordre né par déflait pour la publication d'uisunee te,Le mais IL en ultra sur fin autre terrien formol du Czar. Pourquoi 4 C'est oo lettre se du maréchal dm Mal- et d'autres conditions. ijtio ne dit pas l'organe allemand. Il Maho, à quatre moise de prison et 1,000 Nous avons dit tout re était cule d'amende. faut, sans doute, en revenir à l'insufde dire. qu'il Le Bien public, qui n allégué sa bonne ahuris p lisaneerdes effectifs fendues miémédiaOn connaît outre politique dans le blé a sorte de l hosldili. dus éoûu- foi pour la pubbclGml de cette ]allie a préent outre foi, notre os péraocc dons condamné suulemenl à 50U francs l'avenir. en cassiennes, et Paul étr a:i été d nude. Auiourd'hm le maréchal ba Ans lat tlmrl I.n pi d Au mnul' t ol bi s c.' rut CI I E : i', a raina ,,1 . tainCSiljfllc ah ',i Vi I {iq u Ic;n . ,. la , 'fit r'_nuc I ,.< quelles circonstances celle marcha l'a- candidaturet'du Paf fausse 1 1 de [,ai 1875. ucle 40 de la loi du, tant de l'acquisition de la a'Ayguesvives, süuée rue du Poids-ae-l'lluile, sera payée eu cinq mités. Sac le rapport de hl. Calvel, taie ne de 8,414 l'rar.cs cal votée pour payer les dég,ts ansés l l'écjairagc men seront, à l'avcuir, eonipa:des de fiml. M. r a, d ta dmi sec l' I I- t ' s su. Ni. Esgnié présenta lin rapport suc 1, demanda d'indemnité l'armée par le r Cnilfe au sujet notamment de l'or cnpation de sac terrain par la camp.. gnie des pontonniers ; mais la situation vint changé depuis l'inuoduction de le renvoi à l'admm shation est l's p é. t 1 la prise l 1. d Madame, 8 lu matin, 12 1'' li Le train rapide e 1é par Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés les camps gnies du P1idi et de Pal is-Lyon-Méditurranée, antre Berdenan et ttneunille, sera mis en circulation le IS juillet au départ de Bordeaux et le 1 f au départ de Marseille. C co tiendra une voiture Iliiéceasitel' trajet complet sans train saut le da teannbaedement ea cours de roule, Ni. Caches, sous'abat de musique au 126 régiment de ligne, détaché pesai. oiremeot pour crgauiscr la musique du 143 régiment, rejoint sen régiment. . juillof Du stras esavermaa L foisonna e 494 BTAT alternat W° }anRa° I 'BHTe 23',2 nuageuNNG tr,i'aib 20 0 ouvert NO id. 7 a so tés S. 747,4 7b M. 740,0 fbsm, 7.47 19 8 t L I,SE lambin 1 11 0c.uveit L f 746,1 25',6 id. 4h s-1745,0 2,,-,3 i J'. INNO ISSO iilsell,i centigrade; 2711 Minim. de la nuit suivante } 18 1 Quantité de pluie tombée dans la journée du I I : 2--2 ; dans la nuit du Il an 12 : Pansé. Orage dans rapt èsanÈdi do 11. DEPA!1'1'EMENTS n. 11-A Ilaela'eanesn. [loden, Il juillet. l' ..or arrélé de M. le ministre des li- La préfet de 4 Iluuln-C,arolsrlee 1 air 1 és.. 1, I 1 tt 1 I t. 1 t l I l' l'é'don aL l' I I l l . ,dt au I tut ., p1000.du d un cercle lI I I té l li d e lsuïe colfrée f L t dé-la de la part do° nlmn,I l inlenliu l nwn teste y "as Ils 1 1u tl a la . ) I 1 a I.m le, faire retraite. t a"" ..t dru. comme li 1 i 1,11 ia se s de t, Par -décret du 7 juillet, M. Fatal,, ancirn avoué, licencie fia droit, a éb qo , j ge de paix du canton l'Cslira (A y n) a iempiaPIa. de a Item réaruoe un caractère in- leldit paf ses stututa, date du 6jmllet ccarnet. PI t u.p 1. I t . l le'h . Uerm t-ler- et d, s, r e v r. 15e Ir., pçra mises In plate d i Csp ofe, et t I ianl(I II poli q Il d mas Micammed, la l cil dC1 classe d. I malnee rt do ti b L i laeiicueni ti p I s'lit 1Ç .t s4 b I envie da. Peegsè,, l e lin guerre, 6 20, 3 15 son. Carcassonne, are, 8 20 matin, l' 30, 3 25 soir' Voiel le texte de l'aeeété cmmeruant le, erclc. P Lener,il A. Ltasnseur. allée to,;té't ii été. at q E Promenade, la Saint lC'hel, e 11 cté fermés par ordre do l'auhé u l matit. 6 2. h.,i2 Couffouslens-Leuc, s fi 10, 3 4 oir. Un ter le place da CapLots, 5, et le 1 xé' ulr nu des dispositions qui B ecesez, etc. Le i Vorseille, 7 tu, 11 37 S .!I soir. Tbermomdt e pril u F "'a' 7 40, 11 48 natta, b soir. Maziman du 11....... Çi a Icor - , dép., 731, 11 40 motio, 1 hlCépie, 2 .1 soir. ILS. La séance eslllevéo. d, rs da.iJ' u 1ilmi';:i't mi d d la c Limoux, dép., 7 20, 1 2,5 matte, 3 30. 2 20 soir. M. Coui t i Trains se eappcenhant de Carcassonne. cran de bienfaisance communiqué par \ fautL'a-, mi, pt i ' li 1. le ceptation par las hospices d'un legs fait par m. l'abbé Laudes. Le Conseileu et un avis favorable le compte o I et administratif du bu- E. fia, je mur, question qui inc 'cté 1 a_a e de ilivcrs uùé ] nd : 1 i.. OBSgRYATIONS ME'l'EOBOLUOIQily Maire inkcstrctia I 0, 8 ., - Cépie, dép., 10 10 manu. 1 1 41 soir. Limon., 511., ie 20 matin, 8 45, 1 50 soir. rapport de M. Gaillard, le Ii suis favoraLin à l'ac- le Conseil émet l Slri.igyendseis. clni Irs 8 M Féau{rire, sous-chef de mtsl1. an ''7 régiment de ligne, est tourné chef de musique du1113° régiment. la tenir. .1 latendnnl militaire ; lance militaire, ci 27, 4 dernière inondaa déclaré s'abs- publie au gaz par 13 mars ea milre d d, le 10 l d d.e nier, par modihcar on a ma cru haire précités dn O loals, qu'en ce qui wm. corne l'udmissinn dons le Iirsonnel de l'iutmidunee, las commissroys luss. p .0 al Couéolens'truc, dép, 7 4 20, 8 1, 1 18 suir. Vermeille, dép., ti 52 matin, 8 9 1 Y5 Pumas dr 10 f mutin i 6 1 33 soir. p ' t J'ai edoj t 36 matin, . 0, 7 51, 1 10 soir. . caltés que écu lus sn,ms an la cana dtslo sot à I nplomn qu expume c, aq e 1 9 n. 25 M. matin bans p ei court d fl t l'appl al' ,il ers de liste la e, des d positions Cette mesure traiter fion du plan général d'ulignemeny sur les bases des praoés-verbaux d'eslilna- écalant les grandes es d'automne, i si quel que ma rcirculaire dn I1 niai derme,', (Efat-majae général, 3° bureau). Je profite da la présente es lnuniealiop pour .o l'aire connaltre termes a'unen décision présidenliellevdu 24 avril 1877, les candidats admis au liure auxiliaire dans I. cops de l'intendance militaire seront n attendant le vote d'une loi sur l'administraticn, connu "ssionnés soua ]e titr¢ . oflioicen r de réserve (ou lie l'armé, territoriale) . nUacbés au service de l'ipt a, de sage échéant aujourd'hui sera prolong. l'admsieei vtion à avec divers propriétaires pour l'I'eué sidon de parcelles véeesemr à 'oaé,n- s e s pratiques par ds singea le mal Poursuivi., pour injures conta la, Cectir'soMnis il reste quo le Skmiptchina et le Cabinet ; ils ne Pou-, stage n'est obligatoire, et dans la limite vent donc pas étre réélus. de vingt-huit jours seulement, quo pmm lin nombmux partisans de la mine-ité les affleura de réserva qui appartiennent and d unis qu'ils r d ait x Ia`cas; durs cols u quatre Louis la retr:nte des Russes en Asic a éle L'avait eera terminé. vivo. Ou s'est demandé par suite de lao seil autofise serai obligé d'e railler à ce q lits soiegt mi à m1 m¢ de développe r leurs Gon- Belgrade, 12 juillet. démissionnaires' .tpronrlt I M. té pass avec mnacc et l'éétohltablissement , ayant puer oblat Li suc u l li et I Paria. députés Ilac. de M. Iluc, m l l leu l routes I approuve 1 Pour rater suite eimuiaire dd e mars dernier, j'ai L'honneur de vous Le dlinislre des ,,aires éleangéree, puer dans la soirée pour lordeaux et le estcn l pour l'ééu- vole le crédit Versa lles, le 21 juin 1977. L'état } es à l'examen de touron, dr, dures s eondidats aax eco- Paris, 12 Juin. 10 Ii, 45 soir, out été U. .Cas affaires sert r. 57 21 à .° .. CHRONIQUE LOCALE ae- oarécn. 1,,aleaied : 1i-s'a Bo Busse, qui était braqué dopais 1 B. rad, Si inonda etlsl Trains s'éloignant de Carcassonne Careuasanne, dép. 3 85, 7 .o, 1 h. s9o Z` ndivers Ars à émettre s r ar 23 jours. Bayamd est en rames. à partir de cette conséquence, 'more Offre du Air.., \'erdale de vendre à la Ville ,a e de la accunée fiar l'école m q'ois ale de la Croix l eeceplaaciiepmla Jj eiuerlé dd Paris do 12 icillel1877 13 juillet, U h. n'afin, Abdul Iloriln Pacha a rein l'ordre dot Paris, 12 juillet, 0 h. soir. marche,à la rcneontre des üusvis On q ue Ir vo yag e pré sli cr u el eu lieu à la fin do mois ; le maréchal L'organe do la l,iul assure que, conIbrmémafit a ses instructions, te géré visiterait les établissements militaires et on lad ma c s s t o. i i fit t de Bourges. ,u u date, I:i marri e des trains sur la ligne de Carcassonne à Limoux sera la sel Nonlet. i pure invention . sera. fiéramn eu marche à partie do 15 juillet 1877 ; Bu-s.. L Le "nue' a ratura consul anglais de Galatz; les prétendues atrocités turduea de Malchin ont Llé ce- nvà2 heures 30 du soir, s tant mis et adapté. I I rf 'is dis rebat de la précédente, c t Mule, Introduit ensnrle'pl.sieues r s, parme ierquelis on cemargae M entenede prendre Panensive ; la Russie lui eau. soilloi-ait de rester or la défensive. p M. Trente-as à sonne rs Limoux à I heure dn allie, 'a ire de Limoux vers Caroaasnu- Acquisition pour l'exécolian du plan général dallgneesent de la maison du hier dii Trébiaon li a reçu ne, lettre 'p . bau Gcgate, trais -celles, gr'il a poussé' M1tonfela, située cul des connaissance juaqù à Pr.siree du ovhrmant les atrocités des Busses en Mis, mais le gouvernement n'a aunaie port de Sébasloppt, ensuite qu'il est le des cahiers des charges pour moyen de conlydler leur autbeuli- allé à Eupeloda. renouvellement du bail à ferme des Los navires Terra pendant le bom- droits de plats. cité. M. Beak dément l'apparition du. do bardement d'Eupatoeia ont capturé uo Iuveutaire à dresser de la collection h.Aimest Russe ehuegL de sel, malgré donnée à le Ville par y! 1 Globe ara es Irlande. lo daeteur l'es 0n usure que la Roumanie hésite slidl a 1 honneur d informer le public que deux nouveaux v trains, partant ['an de . 't compta à 2010. Création de deux uoaeu,sn trains de Carcassonne d Limoux. Cars as adresser quelquesexemplaicru desPeugrammes des co fia ssances à exiger Roi, la princesse des Asturies, les des candides aux emplois administrauw14 wi n da la déuiisejeu do lord Belft minisnms le la justice et des travaux fournit en outre les fiisd'oelar, ée fonctionnaires de résero sdeld-DerLy. publics sont partis ce matin pour les vents :'Le 11° 01.1 il corpssons le ami tLe Trruea dit que Abdul-hmim a reçu ve et de L'armée derrimriale, je vous Aster ira et la Galicie. prie les donner des instructions pour mandement duazarcw itch, doit l'ordre, péremptoire de marcher à la cruque es commven,e s d'exameu applrcerner Roustnhouk et im faire le siée des Russes ; les Taros se eonceugnent xdu'sivemeet, à .sale do en, Se. Le géséra] Zimmonnann, iu{ Imnt à Iha-d, id, Srlronnlla, Eslsidjuma. Vienne, 12 juillet. septembre prochain. ces progralanxs, Le nfneaing Post an noire que le Czar opère deus la Dobroudja, s'npproc l i,' Le Correspondance politique dément gai sont insérés au Journal iniliEaire o(de SilisU'ic pour en faire le a acclame aax Busses d'évacuer l'A,. que la Roumanie doive prendre l'offen ficQe ménie. sive et déclare qti elle restera sur lutté: siégé, On croit que le grand-duc Ni.and auxbelli ...ires et defil Par. fensive. colassera dans fin mois à Amhium ries fiérecu% d'administration de réserve et de lv de;lai, Ituaees ont assit de momlrr 'e territoriale déjà nommés, se vous Paris, 112 juillet, 1 II. soir. pour slrvancee aussi loin, avant d 'o- voir 1115 le go odrilatbre, Le rami, mmit générai est 1100 la guerre serf ferminéu au e'On1mo11telncul d'ooto- Ligne de Cmrwssouue à Limuà: La Compagnie des chemins de fer du éarlo dément tatégoeigo met lest la canonnade des fartceesses d'Eupmotourné à boulin,. bruits de la demissiou de lard Dineadiï., t -lit U télégramme offrmel de mardi, fia reR fie mbr. cotre sel 'édiles du Il juillet 1877. Une dépée he du commas Tant de la traira auz promesses formelles du tzar et constituent une grave violation à la Ootte de la mer Noire a s'est pprnchè d i fiche a ptil p blique, ue des forts de Sehasfapel ale' foisf Bourké dit que le ton 1 Aog aie Art. 2. - M. le -.laissais central de police artchargé de l'exécution de présent arrélé. CONSEIL MUNICIPAL DE TOCLOUSE Canstautinople, 12 juillet. c ou- es Article Le Cercle da Peagg ès, établi à Toulouse, place du Capitole, 8, se immédiatement fermé. Par décret du 12 juillet : piste qui, dit-il, n existe Ides, et auquel il assure, suas fin autre vain, la 1 HAVAS. LAFFITErtOr r Arr,. P Le Journal des Débats revient onccre olle ont été condamnés à flou Irs d'a t. 16 o ornement a t p t. t'r contre celle GÉNÉ RALE use ANNONCES TOULOUSE : R. Akoce-Lorraine, 40. - PARIS, Place de la Bourse, S. Il ni"" les f ces rosses dans l'inlé ys Ccpeudanl le plan car du I LES ANNONCES SONT REÇUES RUE SAINT-ROME, 42 j tQUtOUSer 13 Juillet lleaconsfield. (l'est 1r@a'blini, Vendredi, 13 Juillet là" cementde Lamelice. - Par décret du 9 juillet, M. Dvlérrs, a1l l (AV.v . t i ju d dr p q. P. p NJ d I. L ml, le <. J. _ L I ln mh ba il S at>' Da t e niona`nt 11 a...coI a det ,l s faisnt 00 U00 bon!Gies on avait ,a 'cuel il la Danube. Ions mmistroa se vont ( r i répondre q ,e cette affaire reg: h u le comman- me d On nous écrit d [lelo'.nee 11 juil, Ic4 à liait Aoir, tU, vers 7 Itenres, ne bat. mit m générale et sonnait le tocsin pou r daoranur un incendie aux portes de 1FJeaom,ca, dans métairie modèle de Irillenita, appermnnat à Ni. Justin Danla " dant en chef, à qai le Sultan a font de entre adressé, une dépêohe, lui demande. des explicatim,s. Voici, à peu deehais, prés, ]es ter. n'I II de la répohse que lui a envoyée Ad- qu'à volts lieurs las aimons La eut las les prairies, llLI, P t an son gxml heu s qui raient , rves su le feu as , t ointe la ait. L'écurie de M. Daoj'y enl'enno t oijuurs quaranlo tètes de bt. tes :u cornes, toutes Je pures les émaux qui sortent de ces éil oies out nue gr'nnde repu"lion ; on parle d'une gemme quantit0 de fourrages brùlés ; henreusemevt qu'on n'a pas eu d'accidents dur personnes à déplorer. La puL'Ils et, Ileuranline a tait son devoir, et a f'acilité, par sou euocours actif, l'muare des pompiers ac,ouens au premier appel, Une grande partie des immeubles in. ceodiés sont convins par une aasu. vines. On croit que ce sont des enfants qui, en jouant avec dos allumettes, iraient mis te lieu; dans tous les cas, la malveatlance est complètement étrangère à iiatTe. ce - Les cdntars s.,nt sont à peu près abattues, et l'un peul alfirmor hamemeet, sana dite taxé de pessimisme, su supplie Votre Majesté de ne pp I uses abattre pue le passage des RRss IL Si n'a ; ; t évele lmont cet eo ns impa.taeee. Je supplm Votre Molesté de me laisser o :nier plan, et de défendre d'entraver mes opératious. . e Ilan, liés.mécnutent cette céponse a demandé à Abdni-erim par expKosé velte dépécbe ua de sou plan AJduhl[n5nl a prié, alors le Sul- tan de loi accorder une mottante eomlete, on sinon de le faire remplacer, .N-dessus, ALdul-Il;unid a témoigne le JQ sir de se rendra eo persanno aa quar- lier général d'Abdul-Kerim pour ezam, ter aon plan. . Sur ces entrefaites, Iledil' Pacha a prié le Salles de no point quitter la apicole, de l'envoyer loi-uuGnieauprès d'AbdnbKérim et d'aRenm'e la reput let de son rapport. . Les antres 1nistres, eoehanlé3 de déborraswrr de ItedillPacha, me e " pni n laps Ae temps tri:s-Cour[, eet appuyb sa proposition, Apré.. avoir Ion g- temps hésité, le sultan y :t c nsentt . llu eunséynence, Redit Pacha s'rsl qu'elles .sont manraise.s. Les plaines em- emcalqué hier poco Ym'n. Jans le yacht plumront celte a cotes ux, impérial Izzeddu,, n 'o npagniegde Nact, taisant le vieil union',U c'est n eiy rachat 'et de MehemcJ Pocha, le vais signe ; Deaucoup de coteaux feront premier aide de, camp du Sultan. 1. sourde oreille, car eux aussi n'ont . Redit est chargé d'examiner le plan été frappés liai la tourmente générale. d'Abdul-Kerim etd'y inleoituire les rnodile cmoolis dur grandes et petites pro- Ifcttons qu'il pontant jugea nécessaire,' priété qui obtiendront ù peine deux et Namik parles, eoldnt plein d'expérience, trois pour n,, des métairies qui au- onh à peine lent se meuves "est mLa 1ols nignu bien promet colore; mais flou nous Espérons, malgré plaines, i1 y a mois, trots riaient aussi! soucela. La paille, par exemple, sera bonne e sens qu'il y aura des herbes rot Ikes, et sit y en a beaucoup. P,-S. - ,)'arrive de voir le terrible sinistre.; tout est embrasé. Les gens qui gbraieul ceLm belle fer mi, n'étaient pas assurés; ils perdent tout ce qu'ils possédaient. ÉTRANGER apparemment envoyé pour aider Iledil, mais en réalité parcs quo. tient ' l'éloigner pendant quelque temps de est . Mehemed Pacha, le premier aide de camp du Snltno, est exee ei sst nenl jevc, C'est u Oiqqui lta nmui le des ye crois, leur ut et éte, en Il a es y... beaucoup -ère' je de cmuinoce. otodéle tait tout et ter pu dont uR ce. Pendant t'absevice de Itedif Pacha, Maltmond.Damai doit le remplacer an à négllgen o de rla Do,ly laissé ràce FnikaPuche ,u à emtpper par ton ci Jus détournés de Ka nkilies: v rs Itayaziul. Un, dépéche od'essée ail Ti.,, du amp Je Kirk fitma', â te date du G juillet, dit que Rlou hier.Pacha a son quartier-général a Une faible distance Jo Kar sntrc lui rit Kues, il s'y a plus do Russes. bue capitaines M'Cslmoet et 'Pa ner out pi promenant h cheval, uneéul friu se, clon Lc muuchir Mnsms.Partis pris le a andemenl te Kars,vec3 ah batul- de eamp.g.e, et an lonsm5lmtteries ,,g, (Coreesponduvee parhee<tière nspondanl du gén', al 'lergonnsog, :1 l'aile gauclie r&0 Rde l'avis, 1l juillet 1877, le n'ai pas voula, haire, ne l'aire clin d'un bruit fart répauiu dots rnris ' t lequel le gouvernement avait ré- lue Coumri (Atexandeopol(, levant ainsi effecrivement te siège. vante : a été profondément pei- Il Le Sultan emblable, en effet, car ou tia,su qu'elle n'o .aucun fondement, Toit a qui on raconte, et ce qu'on imprime sur la dot: des élections est pur, frntmsie, tenezle peur certain. ]lien n'est a.. cure décidé au tant au u e idée m'aide, on garde presque la secrète. Dans l'intimité même des miallait capable de n affirmer avec quelque certitude. II entre dans tes plans de campagne des chefs le l'aucienor majorité d'oppo t rr duos l'a triees nombre de cuocurrents aux dératés de ]a droits redevenus candidats. quelque inttuenee figaro' losirent destitués dans oues anciens arrondissements. On compte ainsi dérouterles électeurs, déterminer né eu appri oint que Ion Russe s avatout et Pluilletos du JOURNAL DR TOULOUSE de mettre In Du 13 Juillet 1877 un N. al/ H. Gourdon de Genouillae l'exngéealion de sa colère, "outrait qu'il avait basais de se rappeler sans cesse ehn'll osait surpris la comtoise en flagrant délit de Pauvre maréchal 1 tromperie pour "croire coupable, et, fréquemment qu'il était insensible aux protestatuoos d'iui1 so répétait ne et si auz seines, c'est «ou fond de son âme il savait bien qu'on ne résiste pas aux larmes de la femme il aime, ait-elle cent fuis coupable, LUI. et, s'il l'avait vue annelant la moindre repentir ou invoquant sou pardon, eu levant sur lui ses beaux yeux en pleurs, i était-i1 Pas à craindre que toutes ses belles résolutions ne se fussentLI fondues comma tond la neige sous les reniers rayons du soleil y Q, qu'il eu soit, soit premier soin, l'hôtellerie de dès qu'il lut installé 1. commandoeie de Sainl-51arc, fut de Ie, mu en de savoir ce advenu à În oomtesse lémeFil attendant qu'il l'ait trouvé, etourd e ' tout nous lot dee eb:lteau d'Amboisni encore essus dessone par suite de l'arrcetattmi de son gouverneur. Préquel, l'homme da confiance du sous maréchal, avait été, ou le sait, chargé aux sous.préfets. Cependant, cous prétexte quiet ma. fière de capacité électorale, les exceptions sont oiaeotiellernent de droit étroit, le comité d polies e été brillé par M. L I idiote de NI. Clochât., et par M. tenait, ancien directeur au ministère de la justice sous M. Martel, à prépar saltation dans ce nu, Anne do n cette pièoe, les ai cuter au plus vile l'ordre quil avait reçiy mais ouce cela il fallait cencon- tree le chevalier, et ce n'était pas chose savait que le maréchal ne plaisantait pas avec l'observation de la cousigee mili"me et que de plus il e don lait qu'il était son naval auprès de ta,irune comtesse, et ries deux salivaient pour qu'il prit toutes les prés coulions q ;e commandait la prudence, Ieoaqu il vendrait , le air, trouver Louise, ainsi qu'il l'avait rait en appee*,et le retour de mari,claal. tort usité à cet époque qu'il pouvait litre à peu près sac le braver impunément les regards indiscrets ; la robe du pèlerin C'était à l'oside d'un et la capeline passaient partout, et ont ne se fut avisé de faire lever sur eapuclmn à ua prétendu revenant des saints liens, qui avait fait la venu de eacbee son image, pours'assurer an que sons la grossière cncbait pas na brilrobe de bure, ne lant uniforme militaire ou un costume quelconque. L'habit ne fait pas le moine, disait l'ancien proverbe, mais il transformait souvent nn séducteur ou nn malfaiteur, Ics deux se ressemblent fort, en et bunnéte personne devant laquelle -dense l'a pome.laite "abaissaient et les huis s'ou. 'r'ient. hune c R"it en pèlerin que le nde- nesse s'était introduit à Amboise le soir ou le maréchal le surprit c avers, nt dans le jardin avec Louise de Savoir, et A mi iso le brave Prégunt, qni actes n'odt t,i- hlase. L e 5 lit latssu bloc à 69,90 a été entraîné un instant à 09,55, rands quo le 5 010 rétrogradait ' 106,50. Les ConsoGdAs dememaut calmes, la premier, cote les a apportés sans changement Les eaucttes générales ont pris 5,500 te. de 3010 et 13,000, des 010. Le 5 010 itaest lien a été entrafné à 68,10, puis tions peudumes cetative.cet au traité langueur et qu'il sorht du moindre ra de eanuneroe. Il 'u Cfit de faire remarquer que la traité de commerce franco. conter, pour accentuer sa faiblesse. que l'heure de l'entrée en aléas des anglais ne p-EIne pareutles délviliif qu'après ,atilcotiun Chambres et qu'il ny a pan persil en la demeure retour 1, ilcien traité est toujours C rigueur. se Du reste, les négociutiovs e poursuiamant français que du gouveeonglasis qu'elles se produisent. On a remar ué que M. ringarde de c Leffemlerg ne figurait pue daasle der- nier mouvement judiasiare et ou n'est REVUE DES JOURNAUX Ir signal de voar tous à la fuis de, liait quartsenr tribord. Dans l'exécution de t lieu d t c 'île mmum ce 7 t. Itt .A et . erre Iv I!é[. t Il,en ne saurait élue plus fouenle sou tee sa, sils convicon, si elle devait s que culte n aviner. En constatant l'effet, nous e chercherons pas la cause. Nous nous 1 t fit l'cperan dur premier decca ttass o5, ouverture assez c n'udé IIeC dans Je lano du second, Le command, Il de la bornerons à dire qu'il doit y en avoir M Fallu detIn Btuatire, nr, uste""ce tellement cette m nire de pro- une, est tenps. Le ter, ,on déjà reperdu peut être sise sent reg Igné. M s é I g ut, do mem veut que toue I e, 1 Lee eu neurs répaodmes dans le mo t de la spéculation, ee d'zpres Iooouellos l'Autriche et l'Angleterre se préparaient intervenir militairement doua les al- n s, les machinas 'tapées, l'amiral fit ,:dans tee conseils 'la gouvernrme" à 100,82 (baisse 5 cent.. AprJs pourle, le 5 o10 s'est négame a 106,87. l'entrée de Tonton, en colonnes par d: efet, croit a de SI, de forces angbo-outrichsicnnea soit venue al nul ne saurait dire si cette heure or. proche. La vérité est que la a éculapion se trouve atteinte d'une eclaine o meiot remarquer des signes les sntvu été meilleure qu'au début. Le 5 010 clérata. à 69,90, sans relogement ; le 5 010 Quelques journaux prétendent que le gouvernemev[ serait .Inquiet . da peu d'empressement que mettrait le gonver. acte, nt anglais à terminer les négocia- objections test bien pistil do côté du mpt^me ys, L parole a ro.parce que Il céder "acvueda peu i'nires turques, ont pesé principalement eue les cours, bien que toutes hiles in ssent formations les plus autorisées d'accord pour infirmer les bruits que je signale. 11 n'est point vrai, en effet, vent régulièrement et s'il se produit des l'a et revenu à Lie 25. La 6n do la Rourse a sous-préfets feront donc lote dans leurs anciens arrondissement aux députés rvatcurs, C'est maintenant à coaxci d'aviser afin d'éclairer par aa les électeurs sur l'illégalité de cettemanceuvre, avoson fl pousser les sienz et Il i,igea ra la rade d'Ryyêres' dont il tétait étai'n' de 12 milles. 11 fa[ ae,,ev. heureux Radiur, pour 1 échouer a la plage de aveo1le caractère cause C'est celte Fomelon. que nous voudrions , ie disparaître. Il parti conservateur se groupent il autour urgent de lut avec diseisioo, il IL qnc lui-méme ICUr donne 1'ezemplu des déterminations promptes et des résolu- tions viriles. . Le Journal des Délais, répondant an dit qu'il est plus facile de constater l'union parfaite du parti réFraoraae publicain et de s'en effrayer que de l'imiter. Nous sommes unis non-seulement acore nous mais avec l'opinion. .Aussi n'avons. nous pas besoin d'alter sens disp'ttee dans les antichambres minialé- relles nue lettre de change à tirer sur le sulteoge universel. Elles seront protestées, vas lettres impuissantes I Le vo 1. deusu ocuns énce, parle qu'il sait bien qu'an ne dispose pas de lui avec des La solde le public à ne pas s'inquiétoc de la formation do comité de dur jurisconsultes passa s, la gauche. . Les tours de dit-il, sent familtiers aux légistes, l'indignation feinte, hétorique appropriée ii l'auditoire. U'tbord les las admmastratires qui il s'agit d'appliqure ne sont pas eut à ta toujours claires et c'est brome roi à les ;uterpeétne. Siu les radis et toute sue préfets d'aventure, full est son maure et le votre, qu'il le restera, et que le dernier mot sera toujours le sien. s La Dépublique Peonpaiae aovstate que dès à présent . Par l'inélnet, ble, effet de pacte spontané du 1G mai,, le r p 'dent de Iys0épubliq le se prseo{e ré, ,ont le pays comme e chef d'uni parti, auras en quelque saut passés chose, ce n'est pas dans la respect des que celui-ci a refusé préférant conter. lois. Sous tous les g000ernemeuts ils es Inaction,, de procureur général à ont vécu dans l'opposition, et se saut tonte leur vie évertués à tourner las en sortir et reprendre eue lois. Leur adresse en ce genre est sutfnsamment tatoue. Leurs avis ne trous tionnel, qu'il ne le pourrait pas. Il liant que le ternir, combnt soit livré, Quelle .u sen l'issue 1 Peut-étre le cabinet du 16 mai commence-t-il à la prévoir ; il ne reste goère, à cet égard, d'rllustuns Paris. juges do paix, publié ce mati. au jeurcomporte ood offitaed siz révocations dont deux de suppléants et deux démisa...a. L vit de l' affi publie aujeurd'hui soit de e de la Rein, Blotti le récit rhe par la Tiuécie et filUtour te de la pra- aller, rà Toute.. . Il fa ut, dit. il en, tern 1, tenir grand compte à l'amiesl lauuégui herrp de l'habileté avec laqueli le il a su mmutmuvrer son escadre tbmuler l'expérience des capitaines, et diaction des états-majors et des riger ii attend pas, en eDel, quo de candidat admis. Cette façon de procéder emplette qu'on ne revienne sans esse sue les réI.1tutx acquis, par suite de rre.muaotdations ou d'informations n uv lles La droite regitimistu va pouvoir dooler la mesure de toutes sas visées, Sou bu- taire. reau t neoa0é. a L'Union électoral et la Gazette de France ans nactt re i-1 est Composé le Ni. liolh-Ilernarrl , prési dent, de MM. de la M...... ye, de Larey, de Rivière et de Rosamel, vice-présiRobert de Mou, denls et de Ce bans. vt devenir le contre d'action de tons les comités légitimistes M. .t réunira . tous les resnrignemeots et les ressources nécessaires, oùn toutes de donner ma efficace appui aux ovulaités blaire, crois le a soutient Le Moniteur universel l'Empire n'est ni une monarchie ni une république. .Système amphibie, dit-il, il prétend aire l'uns ou l'autre. Ilérédité et élection p_^, 'ouatuent mutuellement. Le par sa démarche de urne de Frosdborlf, a supprimé la dualité dans la monarchie. Il n'y a plus qu'une seule royauté, la royauté nationale. Monarcliielibérale ou rbpubligne aumritaire, voilà les deux termes du problème dont la France vu préparer pour 1880 la aura- plus son travail relatif au oandidaturcs ulltraelles, On sait que déjà plucommumcnton ' n'a préfets uni reh'n sait bleront pas la conscience publique. ici, qu'il n'est point exact qil un comité électoral devoir ajouter, lie.. . Ni révolution, ai réaction, ai radica- lisme ai dictature, voilà ce que oul des Fran asi majorité pe à ses dpeltr que la vrai piaillés po.. me le peul sa s. idc le :sites àin ol ide ur lacs avent la base ceell n de Les celles es dur '"m tes à payer, aussi ne 1848 et et la Commune que celles do de Sodée ne sont pue Dieu àlexegne mersioub bliées.. le Maréchal nia jamais cessé de placer et de fonder su confaane^ dans lais avait aucune nouvelle chal, auquel il satbsfaisaute à donne.. lorsqui aa m ment de s'engager sous la votre d'entrée il se trouva en face de celui qu'il cherchait. Le chevalier de Vautours" était au fort beau cavalier de vingt cinq à vingthuit ans, bleu fait de sa personne, et doué de taus les av.m"gcs physiques qui plaisent aux fermes, et, en Luise le Savoie 'efut préféré à lierre Itobaa, duel loi, rimpomte-sept hivers ne pouvaient guère lutter contre les avantages d'un tel adversaire, de fol l'rappf: de l'air de trachen- quillité et de parfaite quiétude de """go" - senpçoonuit avec sise. varier, qu'il n ch94ean scous s'è re introduit sua dégninement gneleouqua et chaut pour n'elre vit de personne, c et revécu de son tnilorqu'il me et ayant dans ses allures toutes d'on hounme parappurenees las failement Imueeux et satisfait d¢ nui' méme. Prégent marcha droit à lui, - Messurr, lui dit-il sur le sabmol, jr - lit at ne troumu talla turco de sou homme commençait à croire qu'il alrait de la peine à remplir son mandat avant vous que le soir fut venu. daigneusement: EL p omis. onrgnai, L'il vus plaît 1 lui demaud. le ohnvaliar en la t,isauL dé- .test pas coure e, mais la lutte esteo- eug'gée ; M. de Mac-Mahon voudrait Il-lie supé- indépenJan4, purement constitu- à personne, sauf peut-être à M. de MacSiahon lui.même. Mais quel que soit le chef dénoûment, M. de Rlac-llahon, fidèle,qu'il ne séparera pas ana sort de Parréunit h cette ée heure autour ehambrc de chauffe, le bdtmrnt a. [ait. bientôt l'eau s'eleva dans l'intéreur du navire jusqu'à t0 centimètres au-dessola dpont supérieur, le nsivrau venant, à l'extérieur, d'un tolu jusqu'à la p:ulte ,supérieure des sabords de l'autre jusNE leur milieu. qu'à uiherry 'ait le vice-amiral re près du navire mouiller avec échoué. l'escadee De son cédé, le mi't'a de la "arsi- ne, averti par le télégraphe prescrivait Toulon c' t'nur"r à cet an préfet officier général, tous Isa secours dont le gênée des osap.,[ pouvait disposer. A l'aide Ilfurent emphandners de l'rscsdre quihoucha .,ce d'abord, on soin toutes les ouveelneet, écubiers, sarote bords, dallais, ete. Quant à la ployés tout hoquets d'eau pratiquée par l'éperrougde la TAétia ainsi lue l e val u tour de plusieurs membres, é[aien4 basses ou projetés ait dehors, lesmémos Scaphandriers, dirlglS' par M. Py, lieutenant de tan de te Reine.Blanche, et par le maître col"t du lticketieu, puis secondés, Le Temps constate que le ministère sent impuissant à dominer les parlie,à o leur faire accepter ses décisions, et surtout à contenir les prétentions et les impatiences bonapartistes. Cette impuissance , dit-il, sera d'uutnnt pins ma- nifeste gv'ou pprochera davantage du moment où il amodia enfin so ésuaInc a adopter une liste de candidats ota. ciels et à la l'aire oouuailee. Sic reslo. L.situ alors, de l'union conservatrice, de la p mien su r laquelle est basée tout, ministérielle, et dont on pda politique peut dieu qu'elle il'. pas eu un seul joli tamponnèrent les divers tenus avec des verdures, clonèrent pue frlaieise rn laine appliui tonie J'étendu. de 10 p, des paillent quèrent sur cette frise. 'olé "cités réglementaires niainlf;ireaI celuiavec des bouts de bordage ail dessus et solidement cloués, cu néRpar rent sur le tout nn prélart. Ce travail, exécuté à une assez g'..profondeur a ts l'eau, était terniné le 6 nu matin Depuis l'avant-teille, je pompes vmme, de Toulon et tes L'Union suppose que les chefs du parti radical ne se borneront pas uni- nvoove une Chambre ou épubLcaine. Le danger cet social, dit- tItI. de Four ton et Drouet, deux Lamonde pour rompra les rots qui nous en es d'énergique caractère et dont l'in- ,soir Lclligonce uL pare de tout, préoccupa- lacent Plaine à Uil, que le ministère à la hauteur de sa triche qui granGion de parti t Ces deus hommes Lit toua las jeurs I . avec une punseinco cortununimtivo d'accent montré la llépublique actuelle ou- ditLe Français désirerait que laorHApuéa''bai Iode, même aPré. le 16 m' i, à tous lea que lui dise c meot le de citoyens qui ont le souci du salut so- a1.c-Riahon ara rfoncé d'abdiquer but cial.. gré mal gré 1. présidence de la Répitbilan après les elactons. .Voilà, dit-il, fait préoccupe d'an se Le Soleil 'cave symptôme Paction'. Suivant lui 1, sérieux et le curieux ; tout le reste dans ton premiers jours qui ont suit, le ."st qui indignation essuunlée et menace décrut de Essentiel, dit il, . le gouver- puérile. , lu s, et dés. anr,aient à opérer avec s s'élevais rapïdeir le n ü ai, .,et-dessus de l'eau. Le G, les char. scolonnes par des .res-boutants, 'lies .:t tout,' crainte de oonvelle immersion unit dès jure disparu. Coke à er travail ineenSany à la bonne entente des noyons employés, à la direction intelli'ente donnés à tous les efforts par le tmW:snl en cite(, ce même jour, la Iteine-liJancAc, remorquée par le Deeuér t s'aidant de s propre machine, cea- ,rait eu rade de Toulon sous l'escorte du reste do l'escadre et le 7 elle était mise u bassin. On er pouvait trop dggrand .11 lue prem'enatideavecasles - M. foi I avoua que la messire, commission s'est pas des plus agréa- bles. - A. fait ! que me isolat.vous y pxrIet vite, je .'ai pas de temps à perdre, je suis attendu. Cela est regrettable, messire, reprit Prégent, mais il feuilla que sous Voua laissiea attendre. - Qu'est-ce à dire, maftro piègent, vous railler.vous de mai t El le jeune homme parta la main à son épée. Comme istout le monde à oi de se il sait Prégent et l'emploi de c. rancequ;ilil remplissait auprès de réchal, et savait que, lorgon le rami. lier de Pierre de Robe. était repéché vers quelqu'un, détail d'ordinaire pour Ne tmmmentet pas Ou lit dans le Journal officiel: . Le 5 juillet dernier ,s dans l'après- midi, l'escadre étant sou voit on devant gueur le maréchal gouverneur des ch:1leaux d'Amboise et de Chiton, - Et cet ordre, vous Peina Y Le voici. Prégent tira de aa pollue le sites Tint un parlant, Prégent avait jeté un regard en arrière et avait put s'assurer que les glas qui devaient au hein lui préter main jette n'étaient pas ble. -Un défunt,. primer un mouvement de surprise. Toimois' ce ne fut qu'on éclair- -Voyer. ua peu quelle est la date de ce parchemin. - Riais sella se demanda .s'il perdait l'esprit. dit-il impnliesté, - Voyons, 1'ordro est tannai. il faut obéir : élesvous oui ou non disposé à me nui- ,ceP tions de Vous ordre maître agis- Pr'. d'user de - le serais ,n la force pour vous y contraindre, mais pour la dernière fois, a nom du roi, je vous somme de remettre vote épée désespoir Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés pour la dernière fois, je refuse. - \'n su d messire, reprit Prégin t eu que tentant un dernier effort, songea lni- meue ce parchemin qui me donne pontvoir absolu sur vous eL que je s'ai quà signe pour qua tous les homl'armes qui saut ici me prêtent faire IL mes ger En vertu d'un ordre de monsei- toute nature dee é,a par de ii. tembre rdogesdernie to R n'y a eu q u un seul u besr u dont Ils ap èes ', ureusemen4 at r Incnces ont ouées tenir i fsnl-tl a ent attén l'81jre depuis le. mois 1577E jns'qû à ces grand r copte à l'amiral I: il de l'habileté avec laq uelle il u niberry a su ma- unenvrer son eean e, stimuler l'expér.c.des capitaios et diriger nslrucLion des états.majors et pelle des équib pages, . TRIBUNAUX - Il s'agit main-forte, taux en écritu- re publique, et l'accusé cet une femme- alar o Pe'ehrsou Iii 1um4 est mariée à Paris le dentier à la mairie du a sol- -- Faites-le donc, répondit le cllesalier. Prégal l élait à hall de patience : il se tour,, sers les deux hommes qui l'sc. tmpagnaient et qui an tenaient eespeotueusement à l'écart, n,ai ea mime hmps te chevalier de Vandenesse fit volte-"co t rentra dans l'ittlbrieur du chdtean. Prégent se fin opposé à oc qu'Il nr4t, mais en le voyant au traire se des gardes, il se diriger vers la salle e, enchanté de ce de le s qu'au lien de cher ,ber à s'enfuir il se au milieu de rendait ainsi de taie qui ne pouvaient manquer de le h Le chevalier ouvrit la porte et, s'air res ont au lieutenant des esleadiols de :sers cm,ooe. u - etL-il, as ur .vous de S'a et il munira Prêgent eut hum me; - qui, au mépris de la volonté de Sa de élajestc Il ai quo a retire le gouverne. d'Amboise o munseigncar le maré- chal da Cils, accusé dit crime de haute trahison, prétend, an nom d'un soi-disant ordre de maréchal, arrêter lo capi- taine des gardes du chdteau de Chi- Encore nou seigneur le maréchal a signé s'écria-t-il. sorte, lequel y lut Prégena, qui commençait à troever que aon prisonnier faisait bain des façons pour m rendre, Et Quant à Vandenesse, il n'avait pu ré- de quel Ira Prégral' dit-il, cet ordre un défaut qui l'empêche d'être vala- loin. - Et en 'tutu de 1. sez-vous le simple manant. unirégent retarda son interlocuteur et u . Pré par- par le ma,éclml et présenta au chevalier, qui y jeta chemin votre épée, messire, cela est inutile, ou plutôt vous alleu me la rendre, car malgré tout le egret que j'éprouve de priver do sa liberté un brave gentilhomme tel que vous, je suis obligé, pour obéir on. ordies que j'ai mies, de vous déclarer qu'au acte du roi vous thon nton pri- s er à rsrx aa éclnnax r,un l'd'un f; cs amantes mes- fdchaux lui apporter quelque n s . Il faut remarquer cependant que mal;ré les sorties continuelles et les évolu- la . lieue.Blanche . Justement, aujourd'hui M. lenoué. officier ,lot de Gié, te peut taire appréhender vii des arunéss du roi, ni méme sage àm la gravité aà u ,oie,, des rvLS qui, autrefois, beent généralement presqu'auonne onLane. Broglie, fonde impression dans le pays. Cette im rands L'abordage de 1. . 11501" . et de gique de M. de Fourrou, Il'élogaesné .,;â ,.t produit nue heureuse et Pr., par dos carrées aus, com na -'es jour et unit ,artenant aux dilléreals nent avait évidemment gagné du ter- le duc de les man.- pompes à incendie de l'eeoadre, perun, s journal di, cL, malgré co qu'en dit otlcieux, il faut plus qu'an coup de persuasive de A1. pr s.raidi, arrivés de Toulon, l'ouverture à l'intérieur unec'l des plan- ont tairas dans lents iuupuehonts discours rain deux l'opinion publique, La parole autorisée de NI. Paris, le langage éner- heures partir de gnalru par les sept ouvriers ,entiers de la Reine-Dlaneôe bouchèrent de son drapeau. gnenent à nous modérés de tocs les partis .d'autre part, dit-il, quelles déelarnlions le voyant, on s'expliquait facilement que - bornuaos présidence. boisson cr,..dans la ville, oh il .'avait pu recueillir ucun renseignement de nature à l'aider dans sa tâche, il ceveuait Isba pn.a.d ou chtte.a, redoutont d'être vu ou rencontré parla maré- pnvlsrlio ei iis qui il esk maintenant dle des ohaoger. I: heure des élections réelle existence P n Le Constitutionnel affirme de nouveau que le partis _,col n s . . Situa lion la net oh, la mer livré, à se sujet, h bien des commaatairesJe cois s v sir d'une peésidevit de chambre à laocoar d'appel avent été of(erGeà M. Imgarde de Leftemberg, mais Au reste, le principal était justement d'empéuher le rendez.vous du soir ; il ait pour cola de surveiller les avezs du cbàtean et surtout ta poterne qui donnait accès sur la petite cou Ides communs; aussi après avoir, gré toute son habileté accoutumée, fait d'exé- coure d'hier, mats ltv lrausactboos moilins d'urne tendance ' la 1 de Vandenesse chevalier uétait Il d'Anguu- administrés que six mais apres la cessation de leurs fouettons et par vote d'analogie cette disposition est applicable ajt été constitué sous les auspices de la dans l'impossibilité désormais de co linner ses assiduités .,,près de Lou se facile ; celui-ci BALLOTS D Li REINE .t s génét qu ils oui diviser leurs nu second tour de de Savoie, et soc intention était LES [ lu lista des eaIididaLS soit complète. Les iustenshione sont données aux préfets, u Inc et à mesure de la proclamation de M11, Ricard, de Mseeere et Jule, Simon, que l'on suppose a 'air cnsurvé dépêcha soi- et m'informer ieusement Lemu 3 avant de donnai' un avis, secours bien que la nonv,llo air, parut teés-invraisemhiahle. Elle émit plus qu'invrai- des sous-préfet, aujourd'hui Le SJandmrd a re u la p ol t dl si sida de faire Il' elrcions le 5 soit. J'ai l'armé ces concurrente ItlitIF-PACIIA I cnndi- I des candidatures qu'ils devront appuyer, air ère n laissant, e M. de Fourtou ries qii il a été admis j'Il, an iatres, peraonne ne bahtlors an do "l'a places et ils val transports tontes leurs grosses pères d'artillerie à R irik 1) ce, or la route de nunrds datr ee d raux d u at I cité adressés à l'amiral par quelques journaux à la suite de cet accident, t r , lis luanEn ce mati to a nlinnent tienne dans duos une indiltéComplche. Cepend:un, on n'ignora pusqui, le gouveruemen4:tctise de plus c P. Selon ,me dépéche ea dote du 9. du on ait qua le to gAinsi tombent les eepeoehesd'iocepa- LES IIOSTILITLS EN ASIE Tin, ,c la loi él l'abordasel ministère de la guerre. . Cspmadent d'El,,... La du Y'dlrbp-aph, Fàilc.pacha aurait ncl e des lins r 'aile neUdt la actnre aux republieal.5. Mats Le mouvement dans le personnel des résolution, b t l'issue f vo ble résulte' de 1 impression pied sine par le pt ntmat i , yen u_ faut Constantinople. . Namyck appartient au vieux parti arc, et, quoique fanatique, il est lion' mêle et loyal. Il est également doué d'un grand courage et de beaucoup de d La Bourse s'est maintenue dans telj davantage sots pas sefulri tin ton. Piègent était resté bouche béante, se demandant ce que tout cela voulait dire En n clin-d'ceil il fut entouré et gardé à vue. Vandenesse sûr désormais de un plus étre inquiété par lui, reprit tranquille' ment son chemin et s'en alla vaquer à ses affaires. (A continuer). clin semenl sous lo nom do sa sueur l pensé. Ce L, y end mt il a cru elle avais des alsa u peut- d asnusiss écarter I pl ono de L peint, ! son état avina ayant déjà subi une o n u t La Loura abois,, la rien de damntlson à dis ans de travaux forces deux travaux degrés et condamne M'ge 20 ans patte infanticide, nue auras à emq ans I de forces, n é prias pane ,c escroquerie et en don- pour faux, Fait. Disers La petite ville de SoinbGermail lest Mlle Vieillie, V... I été nronnée L'attentiua s'était particuliéremeut purtée sur elle parce, qui elle était erphelina son père l'ut écrasé sous une v - mari qui doit on ôtre respoessbie. Le matérlimoin,rracontaVLes :1islide les p eminaiu end- tirre, et sa aère, il y a x mois, final et seseillusiai s tic personne la reçut chez colle st rélint $is feront, 'a soiss lé alors à la préfecture de pulser pour la réclamer, et là j'ai appris yuan ma lemme usait élis aux galères pour int:mlicide et qu'elle émit sous le coup d'un mandat d'arrêt, à raison d'une condamnation à 20 ans, prnuon. née par la cour, d'assises de l'Yonne. Vous jugez, M. le président de l'émotion que cela mie causée. - Si été indigneint mise gcnel- avez v (rampé, vous sparaisse) y avoir i' complaisance. Eslimez.vans heureux pus r été impliqué dans la poursuite. Une femme Afericl, qui avait consenti à jouer à la m ie le rôle de aère de la mariée, ne a répond pas à l'appel de son nain ; elle a envoya ait certificat de maladie. Sa maladie, dit AL le président, s plique par l'appréhension qu'éprouvecrue femme à paraître devant la jestics après le vêle équivoque qu'elle u joué dans Marie t'er'hernnur est condamnée à 20 Innées de travaux forcés. La Cour dé. clare qm- cet, pli nn efondra avec veille de'assisev l'Lussemmont par la Cuise - de sainte du Var' e g "in:kl avait dr' Cari hl;i,né unrprojel te la municipalité C. luette tenva'il i constrnctian d'un la à ve LhécLre sur la glus ' de Cannas. qui La belle p. lettre dans Il- le Ai, Il lette s'adressait, dans les Ler- cs J'aillrnrs les plus modérés, a1tministratnlrs et brillants étésnn mets de a de Cannes l'appelication donaé.eàr ua loin sur le -[Partait . L'imJamnés àt1Où frais sud'amende.été conCOUII D'ASSISES DE LA DORDOGNE --Il an -lors ,il tel dramaturges ont chargé leur mrnoire de criminelles et d'emomisoanements mystérieux. Csecre avait n volume 'de s faire un par- trait plus honorable do père :gon lai reprochait ses ]dches complaisances ; aa plaignait sa faiblesse e4 sel eveuglemeot. llaremet les cours d'assises cet à juger des pères assez monstrueux poco' rter eux.mènes ta main sur loura es- fu ta. 11 ége 6fait -il cnllinstmsr aisé de Dranlôme. 11 s'était marié tués.jeune et avait eu de sa première femme deux enfants, garçon de cinq mua et ee petite fille encore au berceau, A la suite d'une longue maladie, dont l'accusé n'a pu indiquer la nature, Mine 51égi' était note. Son mari avait nlunitoslé u soulagement profond et éé.tait empresser de convoler ia de nouvelles oponSailles. Le souvenir de sa première femme était odieux l'accusé. 11 n en parlait qiuémoire en termes amers et ;poursuivait su jusque daqnsuilesi;ru lenfes'mtsLLiquenil ' ,Qeanda et tropvoit eus d'ellessait-i em , di I. la seconda s'enoaie, r. n'hta5L pus une, stature assez bmP. ait, intelligonee ;,a,,,, éclairée e r protéger coutre ces selimcut, odieux : elle .tees encourageait plutôt rat se plaignait a tout art de la mal- propreté de la petite folle, 0. avait li nuancé par l'abaudonuerr a ici ne cam. femme de s'était décidé à la are était I Ire e blé, oewrpoee ALne Mégis .eg nsison.lLe père résolu à s'au défaire : q t le la Procédé le plus cruel, r , I le moins mpromottant peut.être. Il lui lit avaler de la mort-aux-ram. La petite fille] mourat dans des douleurs atroces. Piège n,lit imaginé un système assez Planait' pour siunaeenler aux yen. t, de la justice1' et de lu sc ence. . J'ai ouva. contrant ms petite qui s mais des allumettes, vins-il dire Ilypoeri temeslt u médecin. Voulez-vous nie dorer ordonnance ? - Mais il faut vupa- ravant que examine cette enlaut, Oh I monsieur, c'est inutile. L'enfant n'a pa. voua et il s' IL pus findisposé. Faire agi médecin .an visita "tardive, le I tir d'une ordonnance Itachée à sa bonne foi, tel était le but tde l'sel casé. Le rôle de 1s, m ràtro dans cote et. faire été plus lt tai Ou pnnvait se u er qu'une n'en4 point blé quérir dees a,- s - on pouvait condamner s, complicité tari te; ou pouvait relever contre elle des propos coaprometnnts. Mail un ait pas de preuve directe, n Fan dernière question pou voit se liemère de Atêgo avait été idiote, et le médecin de la famille r, L a déclarait que l'scellé n'avait pas toujours pleine possession aie lui-même. Mais la démarche artificte... qu'il avait faite aa dernier moment ne t(mo gnm6.elle pas dans la mr,onstance, ,Lu il ,,fat pletnoment responsable de ses actes? la considéra comme sa propre enfant. Mlle Victorias V... était fiancée, les baies étaient publiés et le mariage devait être célèbre le 1h de ce mois... A la suite d'ane scène de Jalousie lui ont lieu ,tans an ménage de hs ville saillis d'rxplionlions, et de lS, cnuns, un apprit tout à ou p que Virl tnrine V,,, était la vitrasse Il i muni. On aurait meula douter; plusieurs lettres, mais dont quelques-anes s, étaient ans preuve ac ca blate n de l'inconduite de cette jeune fille. Dans font ante,.. las, le silence aurait eée,set une explicatlion devenait rlnécestaire. Le soie, elle était précisément elles son futur. Aux premiàres paroles écllan' gîtes, elle s'échappa et alla directement hea sa bienfaitrice ; m s au lien de l'accueil maternel auquel elle était habituée, elle reçu brusquement ['affront le plus sanglant. tille partit, puis enta vouint raveuir et essaya de gagner la chambre que sa Protectrice lui a .it réservée, mates la maison était fermée. Dès ce moment, en ne la revit plus,.. Dimanche dernier corps fut Innové daine eulement, et son sur Il enterré ia Seine, de Jazinrs territoire fut cette commune mémo. Cette pauvre tille, slaate le Jassnal Sninr-Germain, e telle la seule et l'apique coupable ?Les lettres m an.s p4eas f ussoèeschen elles ne mndraienl.elles à prouver qu'elle a plutôt été victime? lettres mettent à jour les sue- Ces aces brutales doit elle a été l'objet, les ordres quelle a e écalés contre son gré, les exigences auxquelles elle n'a pu se soustraire. N'avait.elle dore pas un sentiment-de pudeur, puisqu'elle s'est sentis indigne du choix qui on a fait d'elle comme ,a. aille Y - Mais la contrainte et la mec, étaient là qui loi .et formé la barelle, - et l'ordre lui u été rejoint de ne pas refuser... - se On a beancuup médit des maa:1tres et iris tonale. Je e° is lo ijoms enchanté ' le peu- fiait. ..a In Pain la curie se histoire du cap- colonel Chah cet racontée par Patate. Le emmé Alfred Loichnt avait quitté le village dis Dizot, dans le Doubs, où il était né, pour la loi sur le ,orvet, militai' et il n'y était pas revenu prêt sa satisfaire à Illibération, L'année dernière, désirant se marier, ce jeans homme alla chercher ses papiers eu pays afin de renouer avec sana aaciee camarades, soin ded beesoin met Loichnt n'avait de son acte de naissance pour contracter mariage, attend'. qu'il était .net Toulon, où pan 1871, au bagne de subissait eue condamna- far l'ate en demandant que forçat incsnnn qui avait traîné son nom pendant des aeées sur les barns des s d'assises et dans I,,s maisons cen- tua des e, face,,.- épouvantable et il fallut pour le cliente, que l'employé de la mairie allât lui ehereherle registre g les lette lois il n'y actes de datés. plus à douter : t Loie Alfred hnt ,,ait ,,ait parfaitement crut dans la nomenclature funèbre, e et cela en vertu d'un acte de réels dressé an bague de Toulon ara transcrit sur les registres de a ommune natale, , c i les 1'ormatitéa exigées par les règlevments. aut - Je les ai perdus au jeu t Un ami Le tribunal civil de Toulon fait droit à nette juste requête. 11 a ordonné rées cuit_ nête homme, - Dans la journée d'hier, un sieur Engane C,.., :lgé de 29 ans, employé à l'Imprimerie Natinele, domicilié rue 0,,, loup f, éhmt allé rue Tournel'ort, chez sa femme, de laquelle il st sépaa Lronvé dans la chambre de celleci deux,jeunes gens d, 17 et 18 ans, dont l'atitndc le mit deus nie forte eulère, S'armant d'une ara fan qai il prit m meuble, le sieur C... s'est mis b frapper à tour de bras sur les deux jeu- z grièvmnnt blessés par les éclats do verre. L'un d'eu, a en l'ancre de la main gauche coupée; l'autre a reçu au visage des contusions tués-sérieuses. Des agents, attirés par les cris 'les victimes t par le bruit de la lute, t emmené eu com- ci missariat de police. Après lev canslala. fions nécessaires, la femme C.,. a été re- lâchée et le sieur C.,. maintenu en état d'arrestation. Quant aux deux blessés, ils ont reçu les prnmters sains dans une pharmacie et ont ensuite été reconduits gistral - Le Fiyura signale une nouvelle attaque nocturne. M. Gustave Laval, demeurant passage Tocanier, no 23, passait la .rit dernière sur le boulevard Matas pour rentrer à sou domicile, individu, déboo. chant justement du passage, lui demanlorsqu'on de quelle heure il était, habitudes rôdeurs de nuit parisiens ; laisser des nssi, sans le quidam s'appracbrr de.trop près - Dons heures du matin, lui répond--il. L'homme fit nn pas eu avant. M. La- attirée en .vont, deux aulres individus le saisirent par derrière et, comme il an débattait désespérément, l'un d'eux le frappa d'un coup de couteau à laencuisse. Puis ils partirent eu lai emportt sis porte-monnaie .-tenant 129 francs. Ce n'est qu'une heure après qu'il e été trouvé par les gardiens de la paix, qui l'ont porté an poste comtat, et de là b l'hôpital Saiut-Aatnine. Sou état est très. grave. e et viW si bleu qui Voulaient p t presque aussi ite a le neveu,.. Dans la diplomatie ! - Rem !.,. ju crois que lu le mo- ques de moi.-. Voyons lors histoire, Mais elle n'est pas bonne, tu atome i rien t - C'est entendu, mon oncle, Vous pouvez payer d'avance. L'oncle alla à n eorétaire, de banque et la posa sur la table, près de lui. ! elle net mauvaise, je les garde. Va ! ; si Il ny avait une fois un oncle excellent, mais ou peu avare, - comme comme vous.,. - HéQui ! fi t l'oncle, - charmant, - avait un neveu comme moi, - mais nn peu quia,.. - Comme toi, dit l'oncle, Ton histoire efplalt. Cmtiuue. - Cet oncle et ait trés-riche, mais d'urne avarice telle que jamais son pai re neveu n'avait vu la couleur de ses dons : tout su plus en avait-il reçu une timbale ait un em,,vert, Injecte de son entrée dans cette vallée de larmes. En vingt-cinq ans, c'était peu, ¢t nmee neveu rêvait ans moyens d'en obtenir davantage. Il envoyait du gibier dea cigares, la Renoue d'a Deux-monde,, l'oncle mangeait l'un, fumait les antres, upait la troisième, remeiaiy et ne donnait rie... Le neveu t as, ses pré. espérant nneexplication; peine pardbe ! l'oncle ne semblait pas seulement s'en apercevoir. Do reste, oncle aimable, jovial, faisant homo chère, lié. bergeant au besoin non neveu tout le long de l'année, mais ne lui donnant pas un rang lard. Il t raison, interrompit le per. mier oncle ; comme ça, son ne en l'amusait toute l'année pour rien. J'esauieai de es système. Conti,meavait. - Mais cet anale an défaut, le plus grand de tons... 11 émit... comment exprimer cela 1 d'eu oncle sans lui manquer de rnpect 1I1 élai4 un peu., il était absolument stupide. - Tu n'y vos pas de main morte, quand tu habilles les oncles ! - C'est que, voyez-vous, mon oncle, celui-là n'était pus lu oncle ardi, vu qu'il était extraordinairement bIte... sa bêtise émit connue à ,mijote- te sertiea à la ronde et tl n'y avait pas propriétaire dans le voisinage qui es lui cul jasé quelque ton,. Mais notre tomme était excellent' de sorte qu'il un Il Laichot reçoit le méme accueil an,ilIsge, un le regards comme nn revenant, conduite, son livret parfaitement en ce- - C'est un oncle comme ça qu'il Vaurait fallu, peiu ? - Je perdrais top au change! répondit le neveu de l'air le plus aima- neq on Anne fsta Ip e,traordinaire qu Ce c fut as mort, et mort forçat. e ne fat au'- près de Ligues re- cherchas, des démerdes sans tin, des aeées tort à fait déssnérxntes que l'inpue la qui se trouvait ne pas avoir, de fiarturné la loi, loi, le droit de n'é.tre pas mort, put obtenir la clef de l'éutgmeOn sait, dit le Figaro, qu'Alfred Loichnt avait été soldat. Or, pendent qu'il ss trouvait en garnison à toi oein, ua malfow, resté inconnu Irai v la, une nuit, sa montre, sonqu'a argent, sa halte et taus Ica papiers avait avec Irai, soit comme militaire, soit eumnne 'enr horloger. Le voleur,s'salait sans qu'a. pua retrouver sa trace, et, tort bloc, as de pouvoir se refaire un état civil et ou canine judiciaire vraismnbla. III, il arbora carrément le nom de Loichnt. Il s'en vil à Marseille, ail la polie, lui mt n t ôt ,:l a main .. ollel, à raison ' e ""'lot l'ou d'uinebies méfaits divees, acte qae vol?, eu d mde confiance rouemurs pece rratgorie. nltreerrogé Notree balcon, immq elle son irlen lité, ue broncha pie. D déduira quil se mail Alfred Laichot, montra ses papiers et compm ut devant la cor d';s ae des Dooches J n --Rhone, qui lui infli- gea aix anodes Je eé.lusion, sons le lauz om qu'il avait pris, Os, le dirige:, sur la nmison ,calculs de N l ncundaLmrad d à, a ou, boutasde des années, la ,,fiou, st os doit ile'lapso lh an, sn délaear,almt et d aller fie e es colonies pénitentiaires, 1 en d ,chan 1 bI Un riche seigneur russe s ennuyait des ses terres; pendant, comma la plupart des propriétaires campagnI aimait mieux s'ennuyer ,1,,,.,'r,',,', de s'amuser votre part. Oie eûl.il pis, dis este, trouver une cuisine aussi puefaite, des firails aussi s: oureux, de la crème aussi franche, et, en toute saison, la liberté d'agir o sa guise. Mais, précisément parce qu'il était le maître dura lai, il ne délestait pas u pan de coatrnverse, et, par dessus tant, il aimait les histoires. Il )es aimait tant, yu'il sérail fait raconter te qu'il y Idoles au monde, : il eu savait de russes, bien entendu, de finnoises, de toungouses, de chinoises, d'américaines, d'indoues... je ne parle pas des anecdotes françaises, celles-là sont les plus nombreuses, et, il fout bien l'avouer, souvent les meilleures. Uut jour qu'il s'ennnyail, comme à l'ordinaire, il vit arriver s jeune homme du plus bel avenir, dipl., mata en herbe, mais d'eue herbe ai commence à pousser dru ; et ce neveu, qui n èreloqnr-là ù a court d'or. gaisI aie rnmlrgtt d'une prévenance extraordinaire. - Q,,'est-ce q mander ? fit l'on J le thé, pendant q piros, tu . me 1 g d t Is allomaiuut des pa- L'oncle sourit - A force de faire des cadeaux inuti. les à son oncle, outre panure garçon se trouva si pauvre, lie il résolut de r ttraper eu une fois toutes ses mises de fonds, avec en poli, intérêt, et ce n'était quejoste, depuis le Lmnps qu il... - Non, conélu il poil jnste ! interrompit l'oncle aaditenr; n'introduis pas de masinnes diplomatiques dans un maison honnête! - Juste ou .en, continua le jeune .,est 'oui,pourquoi faire ? fait toujours dans orle cave ! Depuis Hermès Trismégiste, 'a jamais fait l'or ailleurs que dans (son d'ordonner, un bon déjouer IL un excellent cigare l'avaient disposé à toutes les anse,,,atone qui ne seraient pas de pis dons, - Qui là ? dit-il en voyant "ene déballeravec nn tus d'herl es odorifératueset ana gnantihi de petits papiers co serie de noms latins, - en latin de pharmmcie, qui, vous le touez, n'est autre close que du lotin de cuisine. - Ce que j'apporte, m p.. dit 1 nl 1 e Vu ourle? réa sa ,lier. le s, voir. Il faut q, i ssaire, sana allons nous enrnêmer ! -- Si vers vans laissez arrter par de vez la liste et les proportions, et la formule... Je noublia rien ? A jeun, vous savez ? - 0ai, ona, anis tranquille. - Non, il crois que c'est bien tout.., je n'ai rien sbllé,,, Eh hieu, adieu, cher oncle, bonne chance 1 m il se fit amena sou cheval, l'enfourcha et partit. L'oncle collé, seul s'allongea 'dans un pectives so muaient désormais devant Luit Il ferait l'or jusqu'à ce qu'il eu et,t caves plein tous ses quoi plaisir d'avoir tant d'or ! toutes ses plein Il ferait hilir une no velle maison, les ligue; les frais de douane seraient énor- lais qu'importe à celui dont le mes, capital est inépuisable !... Aptes avoir neublé le rez-de-chaussée de la maison il passait à l'aménagement du premier élage, 50mimaginaire, puériles naidéeations... d'un air offensé, n aH - Non, fat le neveu esvais mettre le. anmaunet ds paluc galoches. "I t'engage même à eu faire autant, cinq minutes après, trois domesti- ques, plus étonnés l'un que l'autre, des. endaient dans la cave l'attirail du seu et un petit louer eau eu briques, pas commode du tout, dont on se servait parfois pour faire des - Sortes ! qu'il collectif, retentir sue le sol, durci par les preaidres gelée,, las subtils d'mi cheval lancé à toute vitesse. - Qui diable est cela ? se di4Jl. Avant qu'il eût le temps de se mets ses pieds, son neveu entra, p51e, hagard, les cheveux eu coup de tre vent. .Mon oncle, s'écria-t-il, vous n'avez. confitures, leur dit le neveu d'en air théâtral. Les trois domestiques nue fois sortis, il ferma la porte et ouvrit le soupirail - Mais en. I tu sais bien, que uu qu'il faut étceà jeun, pour donner de l'air. La cave, au fard, n'était gniun sous.sol, pas trop désagréable, mais sentant ou peu le moisi, Au rand ébahissement de sou o clé, le jgeune homme mélangea las ],lefils et les petits paquets, ajouta un peu Que Seigneur à temps. Ah sous de remords, raon clé, si roua saviez 1 - Quoi donc ? -J'avais oublié ,le vous dire,,. Mais puisqu ï1 e est encore temps, il n'y a d'eau, mit te tout sur le t'en, et, faut ont du clef, mon rien de perdu. A. en remuant le mélange avec une cuillère oncle, quand vous ferez de l'or, ne pensez ,jamais à leurs blanc, sans quoi l'opération ne pourrait pas réas. à pundu, il lut à demi-voix une formule sous abracadabrante qu'il avait copiés je ne où. Le mélange exhalait une remonte commencé ?dDites.moi que pas venons de dise, et r, veau abo- IL mmal le. L'oncle se bouchait le nez pet - L'ours blanc ! - Oui ; l'ours blanc a oe inllueee restait près du soupirail, tort en aloi. vant des yeux la fantastique cuisine de ,,alchimiste. contraire à celle des planètes, et la simple évocation de son image maths à trou- - C'est fait, mou ..clef dit celui-ci bler la maoipnlalion des métaux dans le creuset. Ainsi, ne pensez pas à ,et lui passant la cuillère à punch, Cherchez vous-même le précieux métal. L'oncle, non sans se brûler les doigts, plongea dans le mélange puauy et, après quelques recherches, amena deux en ou trois grains d'or,- de l'or, pas douter, - De l'art à ours fatal. -Le diable t'emporte avec n ours blanc !grommela l'avare ; o5ÿ ai pas plue penséILLI yen, me pendre. Tu ra.. fait fine frayeur ! Pourquoi veux-tu que je pense à l'ours blanc ? On agi sait pas ! le hasard est si grand! Enfin, vous voilà prévenu ; mainje m'en relonrne... e. '6crta.til. Va-t'en me chercher mon éprouvette dans l'armoire de mon cabinet. Il sortit sans ernpérhe.lot.', et fut cinq ans sans reparaître dans les environs. Cinq ans après, pensant qu'il y aéit prescription pour lui, il se hasarda à Le neveu disparut et revint au bout d'un moment; l'or cnsay6 à l'épronvctle donna le meilleur résultat Il y avait bien un peu d'alliage, mais le nover expliqua a aou oncle que son pou de taireir à ses pénates ; chez un propribUte voisin, il se rencontra avec son oncle. IL s'attendait à de cruels repro, ressources Cavait obligé à prendre dea air chendises de seconde. qualité, Avec vues,., point ! un choix plus séides, on obtiendrait de l'or - Te voilà ? lui dit son oncle d'un air triste. ntif. - C'est mens, tri's-curieux, mur- - Oui, j'ai fait le tour do monde,,, - Tu sais ? je n'ai pas en de murait l'oncle d'un air absorbé. Et,,. ça coûte cher? ,ban,... - No., eu comparais.. des résultats obtenus, c'est une simple bagatelle. - Comment cela, mm oncle ? - da n'ai jamais P. réussir l'opération 1 je l'ai pourtant bien recommencée deux crus lois... Mais c' est ta faute, - Ah!... Et d'où tiens-tu ce secret? S'il y a lb-dedans quelque infiumce de l'esprit malin? je ne voudrais pas, pour aussi ! Qu sIsa tt besoin de me parler blanc de l'ours c ? De ma vie je n'y avais songé, et maintenant il ne me sort plus de la tête ! Le jeune diplomate avait fini sou histone. Son oncle, sans mot dire, lui passa la liasse des billets de barque. des biens après tout périssables.,- - Rassurez-vous, me cher-one, c - Mais n'y reviens pas, dit-il, car la plus prochaine histoire me trouverait jeùne et la prière,,, exigeant pour le même prix. - Mais avais déjeuné t - Mais, j'étais à jouit, aloi l Et moi qui ai fait l'opération ! (Le Temps). c'est mois, bu grand ,.mur, mon ami ; remon- L M, le vicomte de Melun, par li. le Camus. - II. Les finis an 1' ape, il deux cents ans (suite et fia), par Ch, Y, Darthélemy. - III, La Réforme sociale tons, Nos deux alchimistes fermèrent à clef la porte de leur laboratoire, et le jeune l la foi catholique. Conférences de l'0raloire, uc' Conférence, par le IL P. Lesemur, prêtre de l'Oratoire. - IV. Wuishanpt, on l'école des espions (lait. homme se vit bientôt en l'ace d'un lunch des mieuxcomposés. Tu veut donc rien me taira part de tao secret ? dit l'oncle de l'air le plus ,a. - t ()ai, L bien te), par Mathieu (Pilche. - V. Les te I t nes au siècle. Ihsto le .her .acte ; ,o ms le mévotre bonté -- veto, canctu i uesnv nntvmte. Voici le grammaire do armé,,. do 1-, juillet du Cnnlemporairc, revue d'économie chrétienne, paraissant tous les - C'estjustc. - Et même, mon oncle, si vous vouliez lie me faire servir une petite collation.,, ara S parti. dsNote, p Puehcs neveu orphelin. ] Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés e P. besoin de moi. meubles viendraient de Paris en droite j'ai là un creuset, les ingrédients né- 1 vans aune bien tendrement pore vous - Vous u Vous avez vis comment je m'y prends; je vt vous ai laissé des mstériaux,; d'ailleurs ocave; selon son ,mur et m a, révélé ce secret veilleur. il faut se préparer par le lui-ci était do belle humeur; 1'.d..". uce ter pn.. nafder ? - l'a ace cave. Ftites-y descendre un fourneau ; joutier, puis chez chez ,,il marchand de poêlons en terre ; ayant colis terminé ses mnplètes, il les o tgn eusemenl dans sa valise otse dirigea vers la maison de son oncle, Le neveu dinn avec ana gicle, empachi l'argent, et prit congé. - Comment, tu t'en vas ! lit l'oncle dépaysé. Je croyais que tu allais res- coffras.,. et C'est on visu. moine do Kief qui m'a confié ce secret. Il faisait un pèlerinage et s'est reposé chez moi. Il m'a trouvé n herboriste, puis traité lourdes que les précédentes. Le reçut son exécuflou. fauteuil et se mit à rêver. douillet pers- v scélérat, antre rare ,e résolut à frapper un grand coup, Il more son unique cheval, prit une petite valise et se. alla à la ville. (tenta d'abord eh,, un bi- blea comptant, et promit de eccommener l'expérience le lendemain mutin. La rende épreuve on fut, pas moins m illefaisentegne la premiseeb,ciau pepltes et p!ns l'or étaimst mé me i pplas facile. Vous avez c - Oslo l'or ça s rit : an fâchait de rien, et puis il était si simple, qu'il n'y entendait peut.étra pas malice. n lui lit très-mauvaise fi'urq et il eut beau montrer son :provint de bonne prRien e 'enfonça dans son fauteuil et çus,mmon, il e déLaOtt question dus lin Inngnemerl et lirait pur os ouipeamun. I e neveu as contcnla de dix milles rou- du Le nove ponsssa un soupir de rési- - Bique rival ? La mea, hile, cette idée-là ne pouvait pas passer o digtsotrop empressés de son neveu. Si e extraordinairement ! ! - On s'est moqué de toi, man pauvre dit-il, - et il allongea l'histire est bonne, tu Is auras Cela prend du temps ! EL anis, il faut être à ,jeun, vis s laver, N'aver,nspas honte de marchander la pnesession d'en secret qui fera do vous ai, ami ! dit il, plein de pitié. - Mon bnm out inoculerait, neveu, qui saisit entre homme parle poignet d'en air fatidique, j'ai fat,,, j'.L fait aie or l - Se voudrais bien voir ça ! fit l'oncle d'un air goguenard, pendant six ciel que de l'or taira Ôexion : coup de sa cnillére à thé sur les gnation le peu enfin que me 11 avait bran être fit une liasse de billets - Les voilà copte 1 - Saine dente ! Mais je ne pal Pas ne avec effroi, croyant que son neveu parlait dans un accès de fièvre chaude. - Non, merci, m on le. En un mot, j'ai la pierre philosophale, L'oncle regarda le noves, la bouche béante, puis la referma sérieusement et réfléchit. Après une demi-minute de me- ! - Oh ! men oncle, dl pudiquement charmant d'usurper l'état civil d'an hon- lits deux gens et les époux ts. imbécilen1 m aurais pu t'amtrors pgéconnaissance de dans ;ou trois letila a que l'acte de décès et les a aie damnation inscrits au nam d'Alfred Laichot s:appligeraient dorenavanf au malfaiteur anonyme qui avait trouvé es gens, qui ont été a prêtés pour payer dans les heures, mais il eu a besoin ç caà, aie de quoi foire Inc mmutalfnc d'or, puisque lu dis que cela l evicnl à ai lino - Veux-tu un verre d'eau ? fit l'oncle Et qu'on mens-m taire ? mangé - Mais aval vingt mille maltas, tu pacifique, l'Afrique ou môme l'Améri- histoire failli' neuve. Cinq mille roubles, malheureux ! tralea, fut complélemeut rectifié. profitant de ce que son attention était Il l courage. - - Et les m fières premières ? Il faut de quoi les acheter, =a- cinq mille roubles, pt- Donnmoi man cher mole, et je vus raconterai d'ici ront d'or qu'il te plaira ? F:h bien, aujourd'hui, il c'est mieux que tant le reste que vous apporte, est le pouvoir absolu, c'est la Lice de monde entier, c'est la forme anus autres bernes que votre caprice!... Vans pouvee désormais scheler les mines de diamants de l'Inde, les lies du n avait, eu disant Ira mots, une si dente de n , que Concis n'y pot tenir, et se mit Ià rire. Voyant qu'il gagnait du terrain, le jeune homme ce- de décès dis puisque tu possèdes le moyen de !aire, au- - C'est vrai, tus un bon garçon 1 etiùre ! nue les vi - Oui, mon cher oncle. - Que veux-lu faire ,le non oignit, nourtours l'oncle tués-touché. Le 1e u pose enr d'un ace de décès anticipé et, qui plus est, d'au casier judiciaire des plot ,loquets. heureux Loicis plaisanterie. se Vingt mille roubles ! L'avare bondit jusqu'au plafond. permettaient mes faibles ressources ? oncle adoré... je viendrai gratis la prochaine fuis, et je resterai nue Voilà par quel onchat,ieinet de cirmnstances biaarecs le véei!able Alfred Laichot se tronvoit, l'année, dernière, Le jeune homme n 1vait «mm chose à foire : prouver sou identité, son hune. rabilité, qui est parfaite, et se présenter devant le Iribanal civil de 'Cordon, café, des livresj, mille - Vous allez me compter onbles argent. vous ai-e pas envoyé du thé, du noyer. -Mou sur les doléen ; lies tion pour tentative d'assassinat. Le malcrut à une détestable L'avant-dernière fois, c'était cinq ccots roubles, la dernière mille ; je Irouv.. la prngressinn trop rapide.'l'n maux t'en retourner ; j'aime enroue d u- onde. cher - Laquelle? 1 - Je ne bénis pas ! dit l'once d'en qui avait adopté In défet et dont ¢npie fut envoyée, c'am'e, nnns lavoas vil, au maire de Ilicol, lequel le lit trans' registres fit l'oncle on dressant l'oreille, a ir froid. o- - De grand ,, c Ir, n .Oui j'ai grandi, et mes smdimmds cle... le mevlenr agis menus pénilentiflires, quant il m neuf au commencement da 1671. D nuU rc'tait plus qu'a émhlir l'acte do éeés, qu'on dressa bien art-la, sa,us 4! Peso naja val recula pour conserver sa distance et se préparer en cas d'attaque. Mais, il - Eh ! t .on, 't mat e , . Eh I n c a , Alois il y a aue I mIite condition. cet geanuli avec n . J'ai appris, ces plats derniers, un see,'et d'une telle importance, qu'il renouvelle la face dà culotte, et je amuis venu vous en faite part. - Ah ! boit ht l'oncle très-surpris, - Cola vuuel étonne de ma part ? Ah ! llollt clos ingrat, m oncle ! Depuis que j'ai nage de ris tour ai-je manqué. fois à vous souhaiter votre tété, t si elle est trop belle, je ne bénirai rien du tout Combien Y - Cinq mille roubles, mon cher on- es M. Laval caveau les Un étrange accueil l'attendait à la mairie. L'employé auquel il sadassuit Loi répondit ails de travaux Il chez leurs parents, par ordre du ma- Voilà une singulière aventure qui .,i-douer. "' veines. F.- de remercier belle occasion it ne-mm ta -cils. - Mon sim m, que tu émis petit ! Interrompit Fauche attendri par ces sait - Eh bien, mai ,hou oncle, fit nove diplomatq en ment comme ,sil le taureau per les ,.cars, voici fa 11, x, les parés du Czrd le '".dame?. reol, taujom's sons sais fan, non, à dix t d d t l va e pl .... ert onargea,.. tai le benls secretamont les debmres qui l'amculot ici. pa s n J,4 toujours térnméné J 'tonifié, dep Is le J cor o vous z fat i t radia l d'une ti ubale et d'un - m - d'assises, etsnivant c e'rmflan 161 1l n'y a pas de quoi te ficher, re- t dle noyée, suis qui on ait jamais sa pour quoi. Des daines eharitables s'etlnrcécenL de remplacer auprès de l'orpheline ' Ine que le malte ce toi avait enlevée. da vantea D,urllmr, a villes qu'il sé III sep tau e, conterais -cet d 011 1 mon .elle ! s'écria le neveu d un air vexé. eNe s st comme res dis mariage rat comment il a été à le conclnrn, croyant Marie 1rchmmui, venue Courtois, eu possession tombées I . Cie ae rassoit ris 1970. On n'eut pas Il loisir, ce diriger immédiatement le e,nd:,orné s r m destinafion d'cntre.mre qu'il avait r . Ilref, fan fnrçx attendait Imjar u dépôt ,le 'ru n fis dé ndépa4 par ]'ancien logea ravière le 15 mai dernier, ào Meulas, ré- yn L; mariage. Elle pand que, sil y a en taus, reIL son I a sont a,,,,,;,, d: travauv (accès. Cet dan, cet ordre devant la cour sous l'impressiml d'un drame donluureux et émouvant dont les journaux de la localité nouo s apportent le récit: savoir, qae de pue c'étaaituà l'égard de que treize jours après la eéléhraliun du snarmge, lcragn'on est venu arrêta I é cI contre quel pieu sanniee Irai perla, un soir q,i d frisait sa onde. Le prbteudil Loichnt reparut Travail, hier devant le jury de la rétquelle avait por contracter an s cond mariage à c'ar'ter ,an identité. M, lo président lui Lut observer que c' tait là un faux, quelle devait bien le Je nature à i satins ir dis coup de contéom que Seine, Marie Percheron explique tinté- mari rue frde e. Elle . Ice t à I ma'issu ccntial e, l e lne t L n ll i l à vingt ans de travaux faecé5 nouveau g,lat les quatre années de se, RDef m ultd. Vl. Mme du Delfand. Cor Prpignan, veuve Carlin, 70 ans, à SI- ;.Rpondunce, de )trac du Deffand avec VII se, ods, p I! d L y 1 C VOI1 ls d'I a,ft I L 1. t D { I t le g ipl e lu 1. { r TI 1 lie ,e. _ IF:. ej SC lo. L I ooo t 1 1 Ili s mm i ..I d M t l' I I t I t Bi I A'. l l - i d , Sd.d. t T 71- t p ps, 1 l'es I lolo.t 0. file peu, St Se In de SC I l H t l' 1 boudé d, d fins I -L l' 00 u 4 {/H O,U a. lt fie t 1 d 1 I! i Le l'il Ab0ndou. Mutinée.... Noth. - F 70 10 100 2d 106 :15I 69 70 69 00 +9 95 l 711101 gnen. 106 10 106 UU ! 106 8 1 CG 92 1 lis OV I n ff ': 11 I s t l I It I la.Il , f lia r0- ou Il o,r -sa M1I tl,., li ll , :t et l Il l':, I I ,. q Loto, J aa [,. l et IIJU i ! o-,. 40 lue zi l l 1 11 Lu co ra accuA o. 600 'lors sets Bleue I1 Po liste tles fr. t da 10 n suloard'hui, vend 1 t D A y et Ce, 26, pl P } dd R 1 2 . dut liauets J 1 D. gaorlté . S M1 t d,1 d o1 l' d et qua nd vi- I use, rue des ont M T Lois; 23. de d i ci usm e utilisée p., Urdon'tribunal flot 1nd do I nlmse, eire,çisleé 011 p Cia compt nt et 1; 010 en sus aé t L d. M G.elrue dos I I 1 Goua000a FtlaGe3rs; {t sn 1 g0 R Prit savs enavgen eut mbl l t ire, b lie 1. c t d.p vif ; Lbrayuerie, 19, rue des tua bJ t lion d. A .O Utz, 2, . juillet, peintures, mobile, Lon)5 XVI, glaces et Dl à Bernard Ils D 1 17 1 M L id0. 91, dans d de i p 6 t t p. 1, nous bAor do la l11, 1 oe, il sera Me s P la verbe ans, enchères de pl d 1 m bl Tables, de0000irs, tableaux, gravures, Il r. des Ai 4la9,; Frédéric Nérac , rue Rlbenne; Dc ygaese, suer,. r e le P. oc SI. nx ; Rouhichml, Jeune, 500, r g> 19, rem S[-Étienne , coi', lio llan 00 0 00 F ±3 5 fr-o 0 , 46, rue des Ch a olioi s ; MM. sas i ez _t v an s 1r iis, Par ta deh - ! Pallér et 0i ce Du at f s ; Emmanuel Aaulcigldrac ci0050 Lüine de Sauté dite : - ! peu-'tell 1C Jnluet, - uC,nue ont du, 'nue des Couteliers c, hl t d. l b q -IIl q 1 o) a.. .tome e nlveaGHs t cers du LtareJ, sur li s éliq 1}re, de 9 à l0 k 100, fr. Les 50 ktos. sb as p Vente Judiciaire Reaa7esaère, ne La Soeslcelioee 3 fr. 25 ; de d ! beiy , 1 rosper P é r i -.-_ NA I. huissier, olor. des Carmes, 17. I, L 576 fissal 60 P y ' 111 Fluide de M SIRY, rurccnl v b lie d 4, 7 et 60 f Ch ai 1 n boit . d m n. 1 I t Il,t et Les %i Gil le, - d I Af;dïJDLIC' S- Léga(Pl n Plns leu tissante quo la viande, elle ee 50 fo sun pris en m Icmnes. Cnb !t s 1 114 kd., 2 te, 25; 1'3 k,1 , b fr. ; 1 kd. 7 l'e, `. 12 7 ai S t .t des 11 n looie, é f anlce.poalrr, ) Looornoni ..r dt Lullyer e f nls pcr_ 1 J s f valrms. . spéciale. est en yé. gia- It sl A L t' 1 't- l----. i nes 1 C {, t 61.719. t IlrnnomsiH, nu on nt EII guérit 1 l y1 1 lit Icb i la(0) d Cat01 y !L . 1 11 bics. b. 1101 dal toit, Sd i 81 326 0.-325 50 S. 1 d CCllfisTf . 1 116001 60 UChe sir I d 'dp U o, a veado .. 1016 25 I.afay l bill G 1c b .,,. Oo1 rems ci rnaox i ù If 1 . i nn PARIS, 45, RUE VI IFNNE, 45, (PARIS f if A. a, s , l 0 Ide 51 t, ,P n. h le I ;o r C, 1 40, t l1., fil. auua at 207 50 h Il 7 1. tuit p L d Wst. - -U finmri7,re.i Bdalvs. blé. Les me- 1 Cure ii- 62170 d Il (S Lt. a .,,., Les 50 kilo,. 207 I, 5ç i3. fr t l I"v a _ Ilsenhc c+lme. 0 n In .1 sl. nT IVB at,realni,. 1, G de J_ 1 i n 1, 1 t lOJ .t p oe ANlievue lie la Bourse. Re AN d fer. Chronique, d, Ch M' p d dos .Jours. C d ne Dya- 11 ('nos m0J° 5 v in e, vlds 814 F 1A ilions fna lire colt lui don',Gel, pin que q000. I l t 1 nFt 1 IC t II al I I, il,. F t. 12 !J ttz finit I pP 11,1..101 Ild n "r 1 ! i n IL 65! I il L nruhno: a: f 1 7 etc. t Hr Il, IgFr D Cnr [ al ., a l Deets, pair ii'Angl le 1 .: i<r a .. lia l aLyon-M6diterra.é,, Midi .............. r e vii 10, I lI'. 1 10G 90-107 , OB PHa anéo ...... t ao 1, e e .OS 1 1 1: ..r 9 m lu,100011 ee I 1058 50 1247 50 472 50 205 t !k Iltc s 155 . . 1016 r l t a e wl ?, lo, I tin r 880. .... .. 5 010............ Cillai'3 ans 112, rue Dorés (llarms-Cugane), Ilourepos, 12, l u oc a st u i" t '1.. I f i l ` a t - 0. fie r iU lèIIIII 1 M AB Courra,. P. lop g BOURSE DE TOULOUSE DU 12 JUILLET Eoux (Do n nique), ans, rue Saio62 le Jennoe, 7 llestri ;n v e005 "i4 ans, rue dl, Tact, t rt L t'I g mn 0. .pense Escribo, 27 ans, roule l l' 1 L -o LI. de 1101 lalbull, l- p Parait sous et sang, lï 1.. ielavilefl e 010.00!, !e duc de I Inalcow, Mad:,me la mar n b e de Perron , lord Stuart de Bo,000 .elle ds 'IO J n o -s fi, anci ras. 51, t J .fit I L'ÉCLAIREUR FINANCIER s rllmanebes 1 eins. , C q iB à 11, f13 I d 'Il 1re. 0a I Iv,. d tr hs Lr 109 N 9 lia 0 p01. u,w;s ou 9 I-LET t t9 J , r J 1 0 tins hl én, a sera t d' r I e d.I poitrine, g l histoire IRa FT Pral!% d t il I le tl IP 'll 1 t t l,l.1110111 1.1 (aÎ I fil plus I dé b M d N t'fr. 9Y I I fi. L Fil 31 Il d ll J 11 n l i t - 1 A u l'outil, se I kav-r , .1 111 U t :U ,. 123 76 / 77 50 CoHUtee 'u Feu. 6gyptnenncs unifiées d Ali. f I4 t' le0 No , 1 %' UI 'I t.x : I 6F 9U 1 Autrichiens........ A l ol 1 Nord .............. 1250 , L77on .............. °... Aulieu ............ ... .. l'Dgalito ts, Vanit6 punie, Par il. Fau-à tD 61 90 100 25 8 110 Orléans ........... IeItre ; eou- Port d +am uv L Il c 2 1100 Mobilier espag I 68 41, Suez.......... prend de 11)ge, :1s i, I :. mmaire ; 1 8, p I L fit. .L s; I 1 1 1 roi ars..... 5 0/0 die cours..... 5 0,0 dahen ...... 5 0/0 turc d° duns. 1`00- ms, Par Béuc I 'Coi hommes ; Laryade. 1 ! Y P+ I 5 00 4., cents ... 8 OD d^ conte..... 5 Oi0 il9 , 1 @rire' 8 ' Il 8 DE 1 8 JUILLET 5 0/0 .............. 1nG 80 A lotos Petit g rdi-malade i le 1 An f. rTa U.............. ie L y S Morses, par Th. Rl' li n name, I 3 O, Icb mains dde mn lcmoi 1 i, i do ; lo os, e madciuui 71 . II' 1tv 1 les ymix d ni, I Il, F Uop n de Sali, t.Audr6 I t., Tauiissrobe de rendre,, de 'ré1' oil 110 1 :o IIIII, foi, p . I "[I 0 f l 1 DérCmps, r u e Rignepels, 3f ; J. Beyy ue t es Lois oi, 1 S DL PAlLIS BOURSE L II 1t ap . F ,, 1. Il L f 100 1 I. Il "Il.,, lo, { nt; p I f I ,1 e des bois, 5 ; Panl Loiloine B.yt C,i t tt- 1 dç !In. ll t 10 en ml kIl l o b 1111 Îi ûa spU g a - II , A}r , L, lI I Ct i I "- m il I L n J f. pl olé I ,,,, ,., l ,1I J l II Il 0 5 le Cri 0100i2n dl al d. A II I suli rs du em i .a d la mal o U r én él Ire dru Lois, 27 L: I g Joli, Il 8 -r fcin I c Y s ohsty0 .,'.......... P a'It 2h MIt I ph L Lgg le 1 lie font, le du 1, 1111 L Can- 0. Re ard t l' 1 Mdee.tell Le a ne Blavelte, rus sueeeseur 1 t ai 1354 "r, N dl é « e Il ° I O dv ii i,re d l d t a qui g . le anr ils dans ail pore, us do FlceJieh. 1111, h i , Il rr p i- 4 d Poète et t p t priés de o slus,dorer le Presen. asis roo n s eu y Ph I pp deauz. - sur lu d 4 réal dose pas 000 putIl SCrvadaq VnM1nges al a,cotne I d loieq Par Iu { I es de ta famille hl Prs 7 Péans,.,, 1. P'ut, a pa t, 8 liane, t CONIl01 FQlNCRRE L m b.2 d lie Nos i d u tub, I 0. d r (l s ! 1.h11vr5 ' -- y!! a 14 !11 a'00 , o Bs .,,... 7''Tesawzur:rau n r + , 000àvg UPlvnd 116 25 .... ! Fontaines. li Ph'I1p to I Ch 1,;7 10 oa rme: _ 00111- _ t me XXV d7npaspa l Io d 6dneal ue et da [é 'fi' e lun. LeLetome XXV terme, na jean, volume gland n eo , illustré de 121h de L 5 1l I ... Thél ése, Ib.^ " rue Ba Ud V 2 Boup00agliet (Jean), 65 ai,,, tue 501e- [ p e. 9aragosse ........... ..... Ra0001, 6 010 ............... .asT WOCion l 31 Pal dié, tlp0050 Maurice, 24 chem u de A,Imlle. XI h ged Blanc (Jean-Piert e), 72 ans, lanboorg C. Levé. XII. Bnlh lui uai. 4 A 00 nefoy. 1 de Il' bi6logrvph' 0 s bon Masser (Je u) 71 Pari', ools burcauz, ne des lion 25. Jilifs, 4U. t u III I me h) . 1 M 1 Nord Espagne priorité,,... des 74 ans , rue Masn+p (Pierre), p e 1X t 11 1 394 Sf8 oucàs le R nul, Ha 1877 f , 5so, im irve>._o,maa ula9N Ville de Pneis (1869)......... (1874) ....... D° la -ver y e. X. Note 0 1 7 1 d (d t 8iuon. L. Jonaw_ Lc Dareoleur Gm'ant Tnulouae. Cyp. Ph Monpu,tiu, petite eu. Saisi-0005, 1 s,r?r19PëX'. CHEMINS DE FER DU MIDI III' P'ORLliANS IiEGRES DES DEPARTS ET DES ARRI'IJES DES TRAINS DES JIUNE DE BORDCAGX p) (axp.).. S o fi, 9 as .. ti ares, rai ... S._ a s"i'........ .... 1 n (dite (0x11.) ..... r .... I Mi l 0 MalIl, (L M 1 10 ce MTI" Il .. ...... ..... 1{I Mal (.:1) t ri 00 5 e ;+3500 Stl...... , nn SO r. ! 0 a r, #b.. d I ail R P 1 Deru. d 1M es I 1 ......... f. c 18 030 d N eu qu C J f. c. roo 01 J janv..... pl. b J 5000 .. lmllet..... (. e. ... Pt. Jou ss ao ept. - « >o ua ton nu soc sa 1. P ....... pt JUniaaance Janvier JUillal..... f, o. JangF iety t ` Pl nn ..... 11 f pl e Fnco ra H a Joo isavnce nu et septembre... f. c. Romptmr d'%scons00e soûl e.., - o ra I . s .-Jou J 8010 ... üT 1 Gré l t ..... art 4aa 500 f- J. lézner-aodt. op{. r ne sr d A l ... Crédit mobif cr 8007 . -JUU . 800 /r.-loU I. 1 ..... c Pl. ] ll t. L. 0 6 1 ` . ..... ... 4¢U ... as .. Sta- rrn .. Sa (00 .. . , sao .. uni, .. 800 fr. - louiesanae mu..... /. a.. .. 800 ... .. .. .. 1 I' p Portugais....................: et, 890 !r. -Jouis,. janv. lN fiB ., f . Il Romaine,.-l. ocre re {885.... ept. (r o...... s jeovie . ....... Or!.... ................ 000 Orléans Chaton ICt, t. c. j ....... cpt f. o. 800 (r. -JOUis.jwvier-Juillet. - t, 6 P r U titi os Il - 1% L....... . - va> zsz sa aaa a+n .. es .. -une ................ .. aa4 . 152 ' dus no Roinams ................... Jan.73 don s Il sUa au Saragosse.................. janvier F n soo .. toi so ua ;î; ............. mai... 1 + U .. sz, . sun une nu 1' ae , 000 .. 14agasms eenlraux ............... 000 ab -(q r 8 re .. Charentea........ .......... oalob. sao f. o. E Parisienne do Gaz........., pt. Isa, bo tuer 950 tr.-Jbuiasetse ocIeNce. (. a. lare . 1200 100fr.-Jnoiseaace o0104es [ Immobitiérc ................ c lit. 601 (r., t. p. J. janvier 1887. 5. 0. Pe Teineillante...-........ cpt. 500 le -05015. janvlervjldllet. (. o. . ... .. ... .. rf .. . . - /800, 3 0,5. 7..400 sus .. suez, délégations.................., 110 junte 1071,3010. e. 400. Janvier (8 75, 4 0 '011. D aaa Osa 7878 .11, pay6.... +004 , . . .. .. Ret, gae. par 10505 .......... décem, .. 4x5 es 450 .. Ardennes, gar. 050 fn roo .. Lyon, 3 010 ................ octoh. .. usa 4 90 . .. 7d. Roua henlenairev ........... ,V O M -0nus t d'A utnc ha 00x+ .. usa .. Nord, asn ae aae .. Oriéaun, usa no Oneet -- - ................. ................. iP . éd. la f p,F P T y f - 000 tils 035 .. na> n sas .. .. .. ... sis e pi t l 1t I iKYPtie car . I `ut 10 0,0. a as - n id 4 510 .. J tau . . 5 0)0 . t -- 001 0020 - .. SBBa ..... - Honduras .. . ... Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés le 3010 et 10611 'L,_ t fait" t I ` ooillevtes. 3010 6990, s a t1.a I: i 1000t Iec B 1,3010 t1 13,011 de 'édit dl, sous ev lé- I. t s ap. t 61 ;rad, 71 -_ 1 f ml-z I. i 1 , f t' 111, . e cilié, .a 1. le L i,t I , 3! g adent ' L L. L I 1,210 , I Lombal la n DonquC .. Bons Loa fie s ses .. ........, IJJ e tes seul foie .,, . L, . la . m/linraticn : ','Fouille reste A 890, er masse de 17 lianes, le Mobilier à 123. I .s 0.,.,.1473, CIO Pég il, i 010 0;101 4 '01 .. . Les oldéti, , .. tarda autrichienne ;l iJ O...... 'a n,s Plu. pl 9111. 6p L10s r. 500... srism dodu nglts aiennent en 1146 5J I 11111 sil ta, .. Emprunt danubie, ... 4100 os. )e mnnnles utric po'tions t t Le d b td l ' . .97 - ONDS $ TRANGERS ., ie 1 (- sid. f 1 p co rnjna s. 7 liquident d 0. t os [es Photos étrangère, sont ,aimes sans libores. tSfhh tp 00, r. 053 (r. l t part d es cap tilistas rfaLscut immcdiate- J011,re nb. 00_0[ rono bout.a431 ire d ).,b 6010, r. 350 f. (t g d set due de b n 1 Emprunt 0000eol G .. ... .. nombre d'alloires B G dinla la p 6 S IU f' ..... tp od. 30 d d ), ( g G g P de .. Transe;: tn.igt s, ,1. 20015 , r. à 8001 a , lot . SS fr ., a . à 500 tr ........ . BwN. Peiu àu MamlK-St BULLETIN FINANCIER .... ... :: Ea p ars .............. ... .. .............. ................. 110,7, éeb. 0. +aaeaf eA lM1aala M de COMPTA"'T b( (1f t sas .. Ras, sol. joule,ancs ................. tes es vra 7e fimprunt hongr anr ao 250 no Midi, I [131/1 d) (( Pm +, sao .. 000 Allurr00iico chm 2uea ............... ion .. .. 500 Ir.-Joma.Janvier-Juillet. f. c. sain .. .... .. . tons, r. 225 te., lot 9fr..... mars.. 500 .. nos eo Messageries........................ cas .. cou .. Seléms ....................... cpt. 5040 .. rua n¢ Ville de Pane, 1885.60,r3. 010.'a""' 5858, 4070, 5110. 0000.. ara .. nt7 n+ VUilutes ........................... sus sn 000 . 0005e.-JUnioeoote octobre.. f. c. 30055 ........................ ept é ll sion .... Docès de. Morse Ils ...............:: eau .. aaa .. lao Nard ......................... apte tuer .. taie .. Trésor, r. 50075., note °.0 free II, PLI . de Par a na b O lmmobwére.... .0 s K L 11 ' I: tee .. I I Coi!............ VALEURS AC COMPTANT 000 .. Crédit tonner colonial.............. F R dN G sa P . p ool ... . oc t . 67 .. i' ampel se .. portugais .................. janvier Si, .. sou le Fanci4res,400 3 010............ uovam don ,. Wi1Ra6L'°, GtIPB v&m P^r f7ROP a PATE.Û 8LAJ6 ux t MOI, C oo, (U M es de Garmau r. x+ s a re .. .'Iv., ...... cars, v pt oui, d C 8 .. m La .111 ci lalou déjà Leu nombrensc se 004 sas a s Nord do P%a pagne MALA(DJE eiI Vr W-L nlPnl I sa Se Mines de JJalfidan réa ao 27, . . 00 S 21 a u y , I VALEURS \1 . s a U .. Crédit --- ....... oatcb. - "a .. é eau... aeplea. z A trirh'. ,euvaan t é sea u Javvi lot Lombardes'....,, ., sr OBLIGATIONS - --- sn loi +7 en axa . a f so lu ... 6 (sert. S u dI .. Orléans Rua o ne I 'Iln odo 7 de a a , M ti Ir 4: 'I ;le St l'ontnli cn, 1 Silo ,,,,, oceob. Nord ................. .... .. Phono. 6 ..a tu, M1,é.:e ................. .... Janvier so S. C. j M Janv ar -i- (cria LYoO Midi. 14uaionl .. oa en ICI lit, i 7EME 1 Préaéd, Dern. f Clétura.l Cous,. _ . D 1,! In o- ânes loi, e1- Las .. cp(. 400 .. 4eo .. Grand Centrai............... 1 ' G 16 aa c pi. I ., I- i«1r. ses n barrots .............. gar. P ISI L.... ...... 135 7 ... .. < 1888 98 gar ... fie .I e b 1374, 'PI Lu: pt .i.r JUdlot I 'pl. .. Parapet 'W Et Barctl. 7. )collet .... .. .. .. dans-LyOn-Méditeeeanés........ apr. rota - loua .. 505 G. -Jonis.lanviee.juillet. 1. c. g tas 8 OBLIGATIONS 0 U f .. f J U i9 ns s G M a C I l 1 6dem11eda,Olra7osItivade Pade Iel( d I UU et h fille. [SAIT) e sol, .. Cpi. 1 i i. bron Oo te 0001 Précéd. clôture. pi h L sil UN tout pt 5 010 y p 50üfr.-200f os, 81010.-100 slanca ma..... (. o. t Eidi. . ....................... ept. pt - Aulnchmns... +rT eo f G ton ¢a ltah en. 5 0iG......... 3000. J I t'J :J 11 t 2400 873 II t 1 1 0 op, il .......................... opte . tI L: 1 â r .1000 n t 1111 O saeeeaee i l taaasition 001708 7871 77 Innnas t isla t L VENDRE pp 2" d plana. 1 L PI 33 S4 Gr- f, o . I tioe j itovie, 5573 .. cp t . S00 550 an 0 0 t U .......... (. e. roc loi lo i,visev uns .. 000 no - Jomes.JUillet er... 1.. f. a. lot... tes. n.J cs vol ... .. sel .. fie so au E p g . générale ............... 5.0. SI (t. - 280 fr. p. - J. rot. t. a. .1 ET p1YfLDN3 sud A f0 -!o 610 fr. -JUnisaanae sciât.... (. Il. ............. opte 500 fr.-Jou aa bus es kédit (nr..-..... Fonds jeans. Janvier lnillet. Lr. aaa ao sst 900 lvold de LEspa' 4 5D -Je nt! op, an .. rII5 fa mpe!Os iileI5 ... ., 0.0. Sredit 800 fr. , 7011 h e du 0 nlry à R&NT&5 800 R4 mare.. cpt. f. V U 0 J rsla f'{:été ................. J Joi LI p,.., \II d d 31 t) Canal de 3o,'. r ups ....................... apte ° n 1 I ,noua. Ce sri 7ce d, la roi, -,m.evm d 7 a. ,lu ,aa(fn e( fil,, d N A da 2007 1 t (' PILOIIIS1l td 1 lite d os. RENTES ET ACTIONS . t 00005 Cek 1l 1 4817 Bourde do 1f juillet 7977 /fi A Id 0 ] Mai la aa rOp aü CiRroes de Peu 1 I do 0 mana Dépens siipléueuIaIrce pour La`deone, 1o h lis rte.... bene IVdh rr.., osa n aa mman0hea s 400 r9 f ,scy au Pltl 1 (. I 1 st 5 pl t lit M Alibi) ... 51 COUPE INFIYilli-1 N ara sa l0 àToulon,, JS !m I f M INFRMS'SIGÉLES o-.,,unn e 9 .. R{ t , r i saut I 7J1, lia' i U ..... .7 umi, d', ON tl td 9'001 CHCNiISEÿ . rl R i] G 05 sort' ......... CHEMISIER COLVEllu AE a ........ .. s 5 b Soir......... a on soir............ s 004 00 Soi ............ 10 a. if 2r Il G 10 S.: ...... ... LIGNE DE )ION 111RJ EAO LUi.1100G la 115 mat, 0 1! I ilà S Rl l0 se ...... d 01 ira.- .. 5 P) LIGNE DE NOIX Moto, ......... u ro nrmiri.......... 9 os as .si os Ml PARIS tL01 4 001 a P c 1 00 Mt 1 t 11,r . .. .. IU 0 _o Soir... ML ( I1 il f0 6 Sv..... r1Y 10 Soir. ., Us 400 Sov. .......... 11 Sri aa l aa usa M Soir l...... LIGNE DE CETTE 91 10 4A s 5 .l . Il uesraa Motot Matin Soiir G aM .. Mat n . 5 'on r 1 Dép. 550 001....... u 5 . 1, ar (.",P, d2aunibaax do Ban.:eu,e Ixarvfce s2 elel LIGNE DE BAYONNE Arnvéee: l- Sou' ............ M' I n (Aloi...... P2 (Aé SOV. 9c 10 M in 'diesel) 1 (- Dép D'ÉTÉ) (SERVICL' dal- de u 5000 c0nt eiee I Aii- t c (mes à a d'au matins,, Ira 001100 ail. 9 11111 lo , Il, mémés qühier, le 8,90; l'1lT00.0098 rn G 010 à 201; ; chemins '. ' hangn]' sur Londres 25,18. 1:0 O)10 es Dnorer, 3 OIO009,9