AXELLE RED - Communiqué - SIX media marketing inc.

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AXELLE RED - Communiqué - SIX media marketing inc.
Communiqué
Pour diffusion immédiate
AXELLE RED
Rouge Ardent
Le nouvel album en magasin le 26 mars
« Je voulais un grand disque. Avec de grandes chansons. Je ne parle pas de prétention, mais
d’un grand son, avec des cuivres et des violons, même s’il y a aussi des morceaux plus
dépouillés. J’étais décidée à évoluer, mais j’ai aussi réécouté tout ce que j’avais fait ».
Vingt ans après son premier album,
plutôt que de refourbir ses plus grands succès réarrangés,
remixés, en duo ou filmés en concert au bout du monde,
Axelle Red a fait plus juste pour célébrer cet anniversaire :
écrire 40 chansons, en enregistrer 16 et en livrer 10 sur ce
nouvel album qui revisitent les différents styles jusque-là
embrassés par sa carrière très diverse, tout en réussissant un
album semblable à aucun autre, ruisselant de cette French
Soul si particulière qu’elle conjugue de manière unique et
avec panache depuis déjà deux décennies.
Montréal, mars 2013 -
Réalisé par Mark Plati (Bowie, The Cure, Rita Mitsouko,
Françoise Hardy, Bashung, Gaëtan Roussel), Rouge Ardent
marque pour les fans d’Axelle Red un retour à la soul pop de
ses plus grands succès. « Je me suis mise au piano, contrairement à Un cœur comme le mien,
album très engagé où la musique était au service de ce que je voulais raconter, et que j’avais
écrit à la guitare. Je voulais des chansons ramassées, courtes. J’ai travaillé avec une grande
liberté. Je me suis beaucoup amusée. » Elle les a ensuite enregistrées en anglais pour
dynamiser la métrique et les sonorités, avant de passer au stade le plus délicat, celui des
paroles, en français. « Il faut que j’attende le dernier moment pour ne pas risquer de perdre le
feeling nécessaire. C’est un très grand travail, qui me prend beaucoup de temps. J’aime l’idée
d’appartenir à cette tradition de la chanson française, initiée par Gainsbourg, Nino Ferrer,
Véronique Sanson, Michel Berger. »
Il fallait donc que l’inspiration vienne d’ailleurs. Pour se donner une perspective globale et à
l’album un propos éditorial, Axelle s’est alors projetée dans le rôle de l’amour d’enfance du héros
de Into The Wild, film de Sean Penn chroniquant l’histoire vraie de Christopher McCandless,
américain de 22 ans parti éprouver la solitude de la Nature en Alaska. Présents sur l’album
précédent, Gérard Manset (auteur de « Je te l’avais dit »), Christophe Miossec et Stefan Eicher
(co-écriture pour « De mieux en mieux ») contribuent également, tout comme Albert Hammond
(« Ce cœur en or », « Je te l’avais dit »), avec lequel elle avait co-composé quelques-uns de ses
principaux tubes.
Axelle s’est ressourcée auprès de ses Memphis Boys: Steve Potts (batterie – Booker T), Lester
Snell (claviers - Isaac Hayes, Albert King, Zucchero, Rod Stewart, John Mayer), Teenie Hodges
(guitare - co-auteur de « Take Me To the River » et de « Love and Happiness » avec Al Green) et
les Memphis Horns. Au Royal Studios du légendaire producteur et arrangeur Willie Mitchell, « je
suis amie avec toute la famille : Ann Peebles vient m’encourager pendant mes prises de voix,
tout le monde passe. » Stu Kimball, guitariste de Dylan, est descendu de Nashville, comme les a
rejoint Jack Ashford percussionniste des Funk Brothers, pour donner naissance à ce syncrétisme
musical singulier d’Axelle, jamais mieux exprimé que dans « Amour profond », synthèse entre la
deep soul memphisienne et la black pop de Détroit.
SIX media marketing Inc. 70, Molière #201 Montréal (Québec) H2R 1N8 | (514) 544-7013
Si Axelle n’existait pas, il faudrait l’inventer. Le Rouge Ardent de sa chevelure et de sa
personnalité, elle les promène partout sur la planète, du Stade de France où elle a interprété « La
cour des grands » en duo avec Youssou N’Dour pour l’ouverture de la Coupe du monde de
football 98 au Sportpaleis d’Anvers et au Palais des Congrès de Paris où elle se produisait en
compagnie des légendes soul Wilson Pickett, Sam Moore, Eddie Floyd, Percy Sledge et Ann
Peebles, du parvis du château de Versailles où elle chantait pour Live 8 à celui du Palais Royal
de Bruxelles à l’occasion du concert 0110 pour la tolérance, jusqu’au Sénégal pour Oxfam, en
Haïti, au Laos, en Thaïlande, au Cambodge, au Niger, au Congo, au Libéria, au Sri Lanka, en
Sierra Leone, pour l’UNICEF dont elle est ambassadrice depuis 1997, et aussi à Memphis,
berceau de la musique américaine qui l’a nourrie, où elle est retournée pour ce nouvel album, à
la recherche « de ce qui est devenu mon son ».
Limbourgeoise, Flamande, Belge, titulaire d’une maitrise en droit, élevée au son d’Elvis, de Stax,
Motown, d’Isaac Hayes et du Tapestry de Carole King, détentrice d’une Victoire de la Musique
(meilleure artiste féminine 1999) et d’un NRJ Music Award pour son duo emblématique avec
Renaud (« Manhattan-Kaboul »), chevalier des Arts et Lettres, décorée de l’ordre de la
Couronne, icône de la mode (contemporaine notamment des 6 d’Anvers, elle est le sujet d’une
exposition au Musée de la mode d’Hasselt, sa ville natale), Axelle Red n’a cesse de transposer
et de faire partager cette musique américaine qu’elle aime tant, de la soul pop qui a fait sa gloire
à une bossa aux accents Burt Bacharach et à un certain folk rock, de Woodstock en Californie,
que ne renieraient pas les Eagles, ni Fleetwood Mac. « La musique, c’est très physique », dit-elle
au téléphone depuis la ferme de Bruxelles où elle vit et travaille. « Je le vois avec mes enfants.
Ça ne s’explique pas. » C’est Rouge. Ardent. Yves Bigot.
http://www.axelle-red.com/
ROUGE ARDENT : http://www.youtube.com/watch?v=hIjCUnzRY_8
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Informations
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Naïve
Simon Fauteux | SIX media marketing Inc.
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