Identité nationale : le débat est ouvert

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Identité nationale : le débat est ouvert
Identité nationale : le débat est ouvert
Pas sûr que Jean-François Copé apprécie que le ministre de l'Immigration lance un
débat sur un thème qu'il porte lui-même depuis des mois…
Anne Rovan – Le Figaro - 26/10/2009 | Mise à jour : 22:29
Peu importe. Éric Besson est satisfait. Après les tests ADN, la fermeture de Calais, le
livre publié par son ex-épouse, Sylvie Brunel, le voilà encore dans la lumière. «Ce
débat ne me fait pas peur, confie-t-il. Je le trouve même passionnant.» Passionnant,
mais très critiqué dans l'opposition. Des Verts au Front national, beaucoup dénoncent
une opération destinée à récupérer les voix des électeurs d'extrême droite à
quelques mois des régionales.
Le ministre de l'Immigration, de l'Intégration et
de l'Identité nationale Éric Besson prévoit trois
mois de discussions qui placent le Parti socialiste
sur la défensive.
Eric Besson. Crédits photo : Le Figaro
Trois mois pour réfléchir à ce qu'est l'identité nationale de la France. Le ministre de
l'Immigration, Éric Besson, a dévoilé, lundi, dans un communiqué, le calendrier et les
modalités du «grand débat» sur l'identité nationale qu'il a annoncé la veille au
«Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI». Cette réflexion nationale, qui associera les forces
vives de la nation (associations, syndicats, enseignants, parents, élèves, élus locaux),
s'ouvrira le 2 janvier pour s'achever le 28 février par la présentation d'une synthèse.
Les participants devront répondre à deux questions générales - «Pour vous, qu'est-ce
qu'être français aujourd'hui ?» et «Quel est l'apport de l'immigration à l'identité
nationale ?» - et à de nombreux points précis. Au programme et dans le désordre :
la définition de «notre nation», la solidarité nationale, la laïcité, l'opportunité d'obliger
les jeunes à chanter au moins une fois par an La Marseillaise, etc. Comme prévu, les
réunions se dérouleront «dans chacune des 100 préfectures de départements et des
350 sous-préfectures» et seront animées par le corps préfectoral, mais aussi par les
parlementaires nationaux et européens.
Après la polémique sur les tests ADN, Éric Besson a donc mis les formes vis-à-vis de
la majorité en informant préalablement les présidents des groupes UMP de
l'Assemblée et du Sénat, Jean-François Copé et Gérard Longuet, ainsi que
l'eurodéputé Michel Barnier. Manière pour l'ex-PS, cité comme «premier ministrable»,
de montrer qu'il souhaite dorénavant travailler main dans la main avec la majorité.
«L'opposition est gênée»
Le ministre s'en défend, arguant que ce débat «figure dans (la) lettre de mission»
qu'il a reçue après sa nomination à l'Immigration en janvier 2009. Dans ce concert
de critiques, le PS semble un peu en retrait et mal à l'aise. Certes, quelques
socialistes ont réagi. Le député Jean-Christophe Cambadélis dénonce une «grosse
ficelle». Le porte-parole Benoît Hamon ironise sur le fait que le débat sur l'identité
nationale soit «posé par le gouvernement de la Ve République qui se situe le moins
dans la tradition républicaine». L'ancienne garde des Sceaux Élisabeth Guigou estime
qu'Éric Besson cherche à «détourner l'attention» après l'évacuation de la jungle de
Calais et l'expulsion des trois Afghan s. Et Vincent Peillon assure que la burqa «ne
menace pas l'identité nationale» et que «jamais la France ne s'est pensée par
rapport à ses étrangers».
En revanche, ni la première secrétaire du PS Martine Aubry - en congé en Chine -, ni
Ségolène Royal, qui avait proposé en 2007 que tous les Français aient un drapeau
tricolore chez eux, n'ont réagi. Ce qui ne surprend guère l'UMP. «L'opposition est très
gênée, décrypte Gérard Longuet. Elle n'a pas envie d'ouvrir ce débat, parce qu'elle
est divisée». Le ministre de l'Immigration, de son côté, ne serait pas mécontent de
voir les deux dames du PS se confronter sur la question. Mais, dit-il, «Ségolène est
tellement pavlovienne qu'elle peut se saisir du débat, mais elle est tellement
imprévisible qu'elle peut aussi ne pas y prendre part ».
Intégration :
les affaires qui ont créé le débat
Agnès Leclair – Le Figaro 26/10/2009 | Mise à jour : 23:12
d'identité. En 2005, la justice a interdit à un sikh de garder son turban sur la photo
de son permis de conduire.
Les piscines réservées
En 2001, les horaires réservés aux femmes à la piscine municipale de Lille-sud font
scandale. Ils sont finalement supprimés tout comme ceux d'autres piscines comme
celle de La Verpillère (Isère). En 2008, le maire de Vigneux-sur-Seine (Essonne)
refuse de prêter un gymnase pour une compétition de basket-ball féminin
«intermosquées» ouverte seulement aux femmes.
L'hymne sifflé
Marseillaise sifflée, joueurs français hués… En octobre 2008, le match amical FranceTunisie au Stade de France se déroule dans une ambiance chahutée. Tout comme les
matchs France-Algérie et France-Maroc, en octobre 2001 et novembre 2007. Les
politiques s'interrogent : faut-il suspendre les matchs, doivent-ils quitter les tribunes
comme Jacques Chirac en 2002 en réponse aux sifflements des supporteurs corses
lors d'un Bastia -Lorient ?
En 1997, deux jeunes musulmanes demandent de pouvoir porter le
voile sur leur carte d'identité. Crédits photo : AFP
Burqa, ségrégation hommes-femmes, Marseillaise
sifflée : retour sur les cas les plus frappants de
dérives communautaires.
Le voile
La première «affaire» du foulard éclate en 1989 à Creil, dans l'Oise. Deux
adolescentes d'origine marocaine souhaitant se rendre à l'école voilées se voient
refuser l'accès de leur collège. Les cas se multiplient jusqu'à la loi de 2004 sur
l'interdiction des signes religieux ostensibles à l'école. À l'université, le foulard n'est
pas interdit mais certaines candidates refusant de montrer leur visage sont refusées
lors d'examens. Dans la fonction publique, le port du voile a aussi fait l'actualité. En
2003, une assistante sociale de la mairie de Paris portant le voile a été exclue pour
plusieurs mois.
Les papiers d'identité
En 1997, deux jeunes musulmanes demandent de pouvoir porter le voile sur leur
carte d'identité. Une Bigouden avait fait la même requête à la préfecture du
Finistère. Aujourd'hui, la loi exige des photos «tête nue» pour les documents
La burqa
Environ 2 000 femmes porteraient ce voile intégral en France. En 2008, plusieurs
propositions de loi ont voulu l'interdire dans les lieux publics mais sont restées lettre
morte. Le débat a refait surface cet été avec la constitution d'une mission
d'information parlementaire. Tous les politiques se positionnent actuellement pour ou
contre son interdiction, totale ou «locale». Fin juillet, le «burkini» s'est invité dans la
discussion. Une femme voulant se baigner dans cette version islamique de la tenue
de bain a été interdite de piscine en Seine-et-Marne.
L'école n'est plus le creuset
des valeurs françaises
Natacha Polony - 26/10/2009 | Mise à jour : 22:49
«La Marseillaise», qu'Éric Besson voudrait entendre chantée une fois
par an dans les écoles, est déjà présente dans les programmes,
notamment de CP et CE1. Crédits photo : Le Figaro
Malgré la place accordée aux symboles de la
république dans les programmes scolaires,
certains élèves préfèrent afficher le détachement.
Ils ont passé douze ou treize ans sur les bancs de l'école et, malgré leur carte
d'identité française, préfèrent se dire sénégalais ou algérien que français. Le creuset
républicain pensé par Condorcet et conçu par Jules Ferry ne remplit plus son rôle, et
l'on n'en finit pas de se demander pourquoi.
Les récents programmes, pourtant, ceux du primaire comme ceux du collège, ont
pris en compte ce rôle intégrateur de l'école et l'importance dans la formation des
citoyens d'une instruction civique et d'une culture historique commune. La
Marseillaise, qu'Éric Besson voudrait entendre chantée une fois par an dans les
écoles, est déjà présente dans les programmes, notamment de CP et CE1 où les
élèves «apprennent à reconnaître et à respecter les emblèmes et les symboles de la
République (La Marseillaise, drapeau tricolore, buste de Marianne et devise “Liberté,
Égalité, Fraternité”)». Des valeurs qui sont ensuite approfondies, particulièrement en
4e et 3e. Les programmes d'histoire, quant à eux, déclinent la construction,
l'invention de la France depuis la Gaule romaine jusqu'au XXe siècle, en passant par
la monarchie centralisatrice et la Révolution, les plus petits ayant désormais des
dates-clés à mémoriser.
«Les programmes sont finalement très riches, analyse Iannis Roder, professeur
d'histoire-géographie et auteur de Tableau noir, la défaite de l'école (Denoël). Mais il
y a les programmes et ceux qui les appliquent. J'entendais l'autre jour une collègue
dire : “La Marseillaise, je m'en fous, et le drapeau français, je le brûlerais.” Ils ne
savent pas ce que signifie être un représentant de l'État. Les élèves, pourtant,
adorent apprendre La Marseillaise. Ils se croient au Stade de France. Certains
mettent même la main sur le cœur, comme les footballeurs.» Claire Mazeron,
également professeur d'histoire-géographie, et vice-présidente du Snalc, déplore
pour sa part «l'instrumentalisation de l'histoire de France qui peut inciter certains
collègues à la présenter systématiquement comme une longue succession
d'oppressions contre les étrangers». Géographe de formation, elle souligne à quel
point cette discipline, fondamentale pour l'apprentissage de ce qu'est la France, ses
paysages et ses produits, est le parent pauvre du système ; et la géographie
française noyée dans les chapitres sur la mondialisation, les grands ensembles
planétaires… «Mes élèves ne savent pas situer Saint-Denis par rapport à Paris,
confirme Iannis Roder. Ils n'ont jamais vu la campagne.Comment voulez-vous qu'ils
aiment un pays qu'ils ne connaissent pas ?»
Cours de civisme
Et telle est bien la nature d'une confusion qui incite à multiplier les cours de civisme,
quand le problème est visiblement ailleurs. Pour Alain Finkielkraut, «cette insistance
mise sur l'hymne national a quelque chose de dérisoire et relève d'un alignement sur
un modèle qui n'est pas le nôtre, car la France, contrairement aux États-Unis, ne
s'est pas construite autour de cet hymne.» D'autant que la connaissance des règles
et des rites ne signifie pas qu'on se les approprie. «Les élèves, souligne Claire
Mazeron, intègrent très vite qu'il y a un gouffre entre ce qu'on leur enseigne, les
droits et les devoirs, et la réalité du collège où ils n'ont que des droits.»
«Plutôt que par des symboles, plaide Alain Finkielkraut, l'amour de la France
s'acquiert par la familiarité avec la langue portée par la littérature française. L'amour
de la France n'est pas un but, il est une conséquence possible de la connaissance de
la civilisation française.» Et cette civilisation française se nourrit de la précision des
mots et de la fréquentation des œuvres.
LIRE AUSSI :
» Identité nationale : le débat est ouvert
» DONNEZ VOTRE AVIS : Faut-il chanter davantage La Marseillaise à l'école ?
Cornibert
Comprenez vous les responsabilités
27/10/2009 à 12:19
de nos élus, Présidents en tête depuis
trente ans.
Ou bien c'est une volonté supérieur de
détruire la France ou alors une
incapacité à gouverner.
Ne pas respecter le pays d'accueil,
mordre la main qui vous donne le pain et
ficher le feu autour de soi est un crime.
Et nous continuons à laisser faire.
La France rurale est encore, pour
combien de temps, en marge de ces
boulversements mais cette même France
rurale, arrivée à Lyon, à Paris ou dans le
Var ne pige plus rien.
Se retrouver dans un métro bondé
comme seul blanc fiche un sacré choc
.... croyez moi... mais nos ministres
circulent en voiture ... au dessus .... ils
ne savent pas ou ne veulent pas savoir.
Est ce politiquement correct ?
Fred T
Comment faire ?
27/10/2009 à 12:18
Quand un pays passe son temps à s'auto
flageler sur son passé, comment peut'il
donner envie à de nouveaux arrivant de
devenir français ?
Les pays arabo musulmans se sont 'ils
excusés pour leur 1200 ans de
colonialisme, d'esclavage, de ségrégation
par la dhimitude ? Non !!
Alors cessons de nous excuser pour des
faits que nos ancètres réels n'ont pas
commis. Lors de l'esclavage ou de la
colonisation européenne, nos ancètres
étaient paysans à 98%, donc les français
sont majoritairement non coupable de
ces faits et n'ont jamais profités de ces
exactions historiques.
réaliste11
COMME SI C'était
27/10/2009 à 12:17
auX élèves de DECIDER!!! n'y-a-t-il PLUS
DE profs en FRANCE ? LAMENTABLE
comme d'habitude!!!
charlie_g
qui ne fait pas son boulot : les profs , les
parents ????
27/10/2009 à 12:03
les DEUX ; mais quel plaisir de se perdre
dans des circonvolutions pseudo intello .
qui osera demander aux participants (
profs , parents ) de se regarder au lieu d
accuser la société
souris grise
heureusement que c'est une journaliste
du FIGARO qui le dit !!!!!
27/10/2009 à 11:53
parce que ,j'vous dis pas ........
endouceur
Les premiers responsables...
27/10/2009 à 11:53
Sont ceux qui sont en charge de
l'enseignement de son contenu et de ses
orientations. Les politiques, les
administrations et enfin et surtout les
enseignants qui fuient leurs
responsabilités derière un nuage
d'incapacité. Dans tout ça les devoirs de
citoyens ne sont même pas cités.
Lamentable!
alherv
Les valeurs françaises ?
27/10/2009 à 11:51
Réduire les valeurs françaises à la
Marseillaise et au drapeau : laissons cela
aux simples d'esprit !
Parlons plutôt de cette volonté du vivre
ensemble et du partage des valeurs de
solidarité et de coopération qui font
notre spécificité mais qui sont
actuellement ébranlées par les valeurs
opposées de l'individualisme et de la
compétition que cultivent le monde
anglo-saxon ainsi que la mondialisation
ou même l'Europe qu'on cherche à nous
imposer.
tozzz12
la marseillaise c'est un chant guerrier
colonial
27/10/2009 à 11:31
rien a faire a l'ecole......
loquace
n'importe quoi n'importe quoi
27/10/2009 à 12:18
Un chant colonial? C'est n'importe
quoi. Un chant guerrier oui, à l'image
de la lutte qu'il faut menner pour
conserver sa liberté. Certaine culture
présentes en france veullent enfermer
notre liberté, d'expression,
d'humour...(cf les caricatures
célèbres), alors oui chantons la certte
marseillaise qui sonne les homages
aux soldats morts pour nous qui
doivent se retourner dans la tombe
d'entendre autant de connerie et la
honte de l'irrespect qui nous frappe.
J'ai honte de ce qu'on laisse faire chez
nous.
tiago
n'importe quoi n'importe quoi
27/10/2009 à 12:14
C'est un chant révolutionaire. Il a
toute sa place à l'école. Le considérer
comme colonial montre que vous
devriez retourner prendre des cours.
anaoka
Ils sont le résultat d'une certaine
éducation
27/10/2009 à 11:29
Comment s'en plaindre ?
Puisque la France se veut
"multicultiriste", qu'on permet que nos
valeurs soient bafouées, quoi d'étonnant
?
Oui, la Marseillaise doit être chantée
souvent et fort
Et ceux qui refusent, alors qu'ils portent
nos couleurs, n'ont rien à faire chez nous
geolion16
Derrière les enfants : les parents !
27/10/2009 à 11:21
Ce sont les parents qui poussent leur
rejetons à refuser leur intégration et leur
adhésion aux valeurs françaises...Ces
mêmes parents qui touchent le RMI et
toutes les autres prestations, et qui
possèdent écran plat et chaîne HiFi...A
force de ne donner que des droits et ne
pas imposer de devoirs, on en arrive à
une décadence chronique et qui semble
irréversible, sauf si, par réaction
désespérée et un ras le bol généralisé
qui se profilent, il y avait un retour vers
un régime autoritaire. On a trop oublié,
depuis longtemps, que la démocratie
doit se défendre et être défendue à tout
prix pour se maintenir !
le robert du t1
Pas seulement l'école !
27/10/2009 à 09:51
Il n'y a plus de creuset du tout, c'est
aussi simple que cela. Pour au moins
deux raisons, d'abord une sorte de
mépris généralisé des politiques qui nous
gouvernent, ensuite le fait que la vie
devient plus difficile chaque jour pour un
grand nombre de Francais. Alors les
"valeurs" et autres fadaises pour intellos
de tous poils, on s'en tape éperdument !
Se raccrocher au passé alors que rien ne
va plus dans le présent, cela n'a pas
grand sens et cela, chacun le sent bien
minuitmoinsune
Ouvrir les yeux
27/10/2009 à 09:49
"Le creuset républicain ne remplit plus
son rôle, et l'on n'en finit pas de se
demander pourquoi".
Mais si on sait pourquoi ! Seulement le
dire est devenu impossible. La vérité est
que certaine population sont inintégrable.
Le meilleur moulin du monde ne peux
produire de la farine à partir de caillou.
thor001001001
minorités minorités
27/10/2009 à 11:44
Personnellement, j'aurais tendance à
reformuler votre propos : Certaines
minorités (et non pas populations)
sont devenues inintégrables, ce sont
les minorités prosélytes et militantes,
fanatisées et dont le but est
justement de reproduire à l'étranger
leur propres valeurs culturelles et
cultuelles et surtout pas d'absorber les
notres. De ce fait, elles sont
activement ou simplement
passivement hermétiques à nos
valeurs.
jp195191
Les valeurs françaises ne sont pas
boudées par les élèves
27/10/2009 à 09:07
Un élève c'est un élève.
Il est à l'écoute, il apprend.
Ce sont les profs et les parents qui
incitent les élèves.
Qu'il y ait un "passage" difficile pour
ceux qui immigrent, je comprends bien
qu'ils ne savent plus qui ils sont.
Mais maintenant, après( x ) générations
ces jeunes sont entièrement français.
Pour qu'ils ne soient pas aussi pommés
que les parents, il faut leur dire qu'ils
sont chez eux.
Et quand on est chez soit, il faut sortir
pour faire pipi.
paulcool
Mdr
27/10/2009 à 08:43
Finkielkraut devrait aller proner l'amour
de la France dans les cités à coup de
Balzac, Victor Hugo ou Ctendhal... Ca va
caillasser dur...
lambertine
Certains le font
27/10/2009 à 11:05
Certains le font. Voir l'article du Figaro
(est-il encore en ligne ?) sur le
témoignage de ce professeur de grec.
Il doit être possible de faire la même
chose avec Stendhal ou Balzac.
VIVOLO
?La Marseillaise, je m'en fous, et le
drapeau français, je le brûlerais.?
27/10/2009 à 08:42
Je crois qu'aprés des messages comme
celui là il est temps de reparler de
l'identité nationale et d'en refixer les
règles !!!
cathare 09
SALUT GLADIATEUR..
10/2009 à 11:36
Personne ne fera rien ....par contre
j'en suis certain on finira par enlever
les Gaulois des livres d'histoire...et les
Rois chrétiens etc....bon je m'arrête la
pour éviter la "trappe". @+
tara001001
?La Marseillaise, je m'en fous, et le
drapeau français, je le brûlerais.?
27/10/2009 à 08:32
ce que mon conjoint entend à lingueurs
d'années.
Tout est dit!
je ne vois pas ce qu'un débat pourrait
changer dans l'affaire!
Il faudrait remettre au goût du jour les
leçons de morale, avoir une épreuve de
"morale et civilisation occidentale" à
chaque passage dans la classe
supérieure avec note éliminatoire de
5/20) .
Et surtout une épreuve de civisme et de
langue française à TOUS ceux qui
briguent un cerficat de nationalité ou
même de séjour pour travail!
cela se fait aux USA (obligation de
passer un examen d'anglais pour avoir
une carte de séjour pour travailler) et au
Canada.
Et personne hurle à la discrimination

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