Quarante-six artistes arméniens d`Est et d`Ouest s`arrêtent à Beyrouth
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Quarante-six artistes arméniens d`Est et d`Ouest s`arrêtent à Beyrouth
Quarante-six artistes arméniens d’Est et d’Ouest s’arrêtent à Beyrouth - ... 1 of 2 http://www.lorientlejour.com/article/917203/quarante-six-artistes-arme... CULTURE Quarante-six artistes arméniens d’Est et d’Ouest s’arrêtent à Beyrouth EXPOSITION S. A. T. | OLJ 24/03/2015 Pour marquer son 60e anniversaire, l'Université Haigazian présente l'exposition East and West, Modern to Post-Modern, en collaboration avec la Fondation Makhzoumi et sous le patronage de l'ambassade d'Arménie au Liban. Avec pour ambition de faire « le tour du monde avec les plus belles pièces réalisées par des artistes d'origine arménienne », le BardzrArvest Fine Art Center d'Erevan a monté cette exposition qui garnit les cimaises de l'université jusqu'au 25 mars.* C'est la première escale des œuvres à Beyrouth, dans un clin d'œil à l'importante diaspora arménienne présente au sein du pays. L'exposition comprend 64 œuvres et rassemble 46 artistes arméniens issus des quatre coins du monde. Une manifestation au caractère assez éclectique et particulier, proposant un panel de genres et de courants artistiques riche et diversifié. Du surréalisme à l'expressionnisme, en passant par l'abstrait ou... des statues de bronze, « l'événement témoigne de l'intérêt pour l'art et la culture qu'a toujours eu la communauté arménienne », explique Mira Yardemian, directrice des relations publiques de Haigazian. Certaines pièces phares de la collection, telles que Yellow Mask de Leon Tutundjian, une œuvre surréaliste qui date de 1930, Still Life, conçue en 1960 par Jean Jansem, et Versailles Park, de Jean Carzou, réalisée en 1979, sont dévoilées pour la première fois. À signaler également des œuvres d'Edgar Chahine, de Martiros Saryan, de Robert Elibekyan et de Henrik Elibekian, entre autres. Avant d'habiter, d'Est en Ouest, les murs d'autres galeries... S. A. T. * « East to West, Modern to Post-Modern », Université Haigazian, rue du Mexique, Kantari, de 10h à 19h. RETOUR À LA PAGE "CULTURE" 3/24/2015 8:04 AM Culture 15 mardi 24 mars 2015 Rencontre Scène Exodes, spiritualité, souffle de la nuit et élégie de la nature sous le pinceau de Joseph Matar (galerie Surface libre*) qui, à 80 ans, reste d’une débordante vitalité. Colette KHALAF Sept décennies de couleurs Rire comme un gamin et de perspectives aux « Fourberies de Scapin » Edgar DAVIDIAN Cinquante œuvres (huile sur toile et masonite) de Joseph Matar à la galerie Surface libre pour illustrer le parcours de plus d’un demi-siècle d’intarissable inspiration. Élève de Omar Ounsi, de Georges Corm et de Rachid Wehbé (pour cette touche d’un rigoureux impressionnisme), formé à Paris pour ses études supérieures en beauxarts et vivant en retrait des mondanités dans le silence de ses ateliers, entre Byblos et Eddé, Joseph Matar est de ces artistes qui ne jurent que par le labeur. Intense et productif. Et délibérément à contre-courant de toute abstraction... « C’est depuis l’âge de dix ans que je me bats et fusionne avec le chevalet, la palette, les couleurs, les pinceaux et les perspectives... Tout compte fait, cela fait presque soixantedix ans de travail, dit cet octogénaire avec un sourire au coin des lèvres, et je suis toujours amoureux, comme au premier jour, de capter la lumière et de faire surgir des images... » Péplum biblique Révélation qui va de pair avec le tourbillon de tableaux de toute dimension qui tapissent à profusion les cimaises des lieux. Sans liens apparents ou secrètement soudées par leurs thèmes diversifiés, les images ont pris ici en toute péremption les rênes du pouvoir. Pouvoir de l’imaginaire, de l’imagination, mais aussi celui du lyrisme échevelé où les pay- Molière revisité par Alain Plisson est un antidote à la mauvaise humeur. Robert Arab, Jacques Mokhbat, Étienne Kupélian et Plisson himself ne diront certainement pas le contraire ! À l’heure du 3D, de la 4G et autres chiffres et lettres, la littérature a des difficultés à se tailler une place au soleil. Pourtant, diantre, que cette époque révolue était bien plus éclairée que la nôtre. S’il est vrai que de nos jours il est plus difficile de distinguer Racine de Corneille que de connaître la vie des Kardashian, Les Fourberies de Scapin* sont une occasion pour faire un tour du côté non de chez Swann, mais du théâtre Tournesol. Qu’en pensent certains acteurs de la pièce ainsi que le metteur en scène ? * L’indémodable et universelle pièce de Molière se joue encore au Tournesol jeudi, vendredi, samedi et dimanche. Joseph Matar se bat depuis l’âge de dix ans avec le chevalet et les pinceaux... sages, la nature, l’incantation de la nuit et surtout les scènes d’exode, en foules massives et affolées, ont des allures de péplum échappé de l’âge biblique... Si les exodes marquent et hantent les esprits aujourd’hui plus que jamais, dans un monde qui a mal et qui va mal, les toiles de Matar ont naturellement une résonance d’une brûlante actualité. Avec des personnages en panique devant le drame qui les poursuit et les devance, forcés de fuir la mère patrie et d’abandonner derrière eux biens et sédentarité, l’histoire, dans sa version tragique, est ici une représentation d’un éternel recommen- cement. Qu’on n’a pas fini de dénoncer et de subir. Dans des toiles architecturées comme un cri de secours et un lamento contre l’adversité, mouvements amples et gestuelles de la misère humaine cohabitent dans un élan tissé de frayeur et de désarroi. Dans des déserts poussiéreux, sous des soleils implacables, des clairs de lune assassins ou des villages brusquement vidés de leurs âmes. Bonjour, Kfar ! À côté de ce chahut et de ces déplacements houleux insoutenables se dressent, dans la quiétude et la sérénité, des hameaux à flanc de colline ou entre deux vallons serrés comme une rigole (bonjour, Kfar !) ou s’équilibrent en maisons paysannes aux toitures en paille sèche qui se télescopent tel un ensemble de boîtes d’allumettes délicatement entreposées en monticule... Bourgs heureux et paisibles perdus entre sourire de végétation luxuriante et amandiers en fleurs. La nuit les surprend parfois avec sa clarté argentée, alors les ombres s’allongent, les esprits volent en toute liberté et le mystère s’épaissit. Mais aussi jaillit une lumière particulière, celle qui nourrit les rêves, porte aux épanchements nocturnes et irradie les toiles... Dans ce pinceau, paradoxalement fiévreux et paisible à la fois, les toiles sont bien un miroir de la réalité. Des toiles certes décoratives, riches de couleurs vibrantes, habitées en douce (même si cela parfois frise le mélodramatique « gibranien » ) de fraternité humaine, mais des toiles qui traversent les espaces et les horizons avec la notion d’un certain message. Derrière cette exubérance et ce maniérisme grandiloquent, il y a dans le pinceau de Joseph Matar l’héritage de tout âge vénérable, du chroniqueur, du témoin du temps, de l’historien qui traque la vérité, du croyant qui se plie à la mansuétude de Dieu, de l’amant de la nature, du poète, du chantre de la vie. *L’exposition, intitulée « Instants d’évasion », de Joseph Matar, à la galerie Surface libre (Jal el-Dib), se prolongera jusqu’au 28 mars. « L’intrus », une toile d’une brûlante actualité sur l’exode. Robert Arab, cet ancien diplomate qu’on retrouve dans le rôle de Géronte scandant comme un tempo « Mais qu’est-il allé faire dans cette galère ? » (citation devenue désormais proverbiale), se considère comme un vétéran des planches. « Je jouais depuis 1950 avec Yvette Sursock, mais le théâtre a toujours été un hobby dans ma vie. Je retrouve avec Plisson un terrain de détente. » La joyeuse sarabande des « Fourberies » d’Alain Plisson. C’est en 2005 que le Dr Jacques Mokhbat, alias Argente, a rejoint la troupe d’Alain Plisson. « La scène est une possibilité de vivre une vie dédoublée puisque je me glisse d’abord dans la peau d’un acteur et puis d’un personnage. Pour moi, le théâtre est relaxant et Alain Plisson est un metteur en scène très novateur, à l’esprit très jeune, qui facilite le travail des acteurs. » Étienne Kupélian, qui parallèlement aux harmonies musicales réussit ses accords théâtraux, peut, lui aussi, être fier de sa prestation de Scapin. Sorte de pivot de la pièce, le personnage haut en couleur porte la pièce à bout de bras. Alain Plisson s’est dit content que ce spectacle ait plu à la fois aux enfants et aux grands. « J’espère que ces derniers se conduiront comme des adultes et les adultes comme des enfants », a-t-il dit au début d’une représentation. Ayant surfé entre le cinéma et le théâtre, il est lui-même un cœur d’enfant. Tout en parvenant à installer un rire franc et naïf, « chose » en voie de disparition, le metteur en scène se bat bec et ongle afin de sauvegarder la francophonie qui se réduit comme peau de chagrin au pays du Cèdre. Exposition Quarante-six artistes arméniens d’Est et d’Ouest s’arrêtent à Beyrouth Pour marquer son 60e anniversaire, l’Université Haigazian présente l’exposition East and West, Modern to Post-Modern, en collaboration avec la Fondation Makhzoumi et sous le patronage de l’ambassade d’Arménie au Liban. Avec pour ambition de faire « le tour du monde avec les plus belles pièces réalisées par des artistes d’origine arménienne », le BardzrArvest Fine Art Center d’Erevan a monté cette exposition qui garnit les cimaises de l’université jusqu’au 25 mars.* C’est la première escale des œuvres à Beyrouth, dans un clin d’œil à l’importante diaspora arménienne présente au sein du pays. L’exposition comprend 64 œuvres et rassemble 46 artistes arméniens issus des quatre coins du monde. Une toujours eu la communauté arménienne », explique Mira Yardemian, directrice des relations publiques de Haigazian. Certaines pièces phares de la collection, telles que Yellow Mask de Leon Tutundjian, une œuvre surréaliste qui date de 1930, Still Life, conçue en 1960 par Jean Jansem, et Versailles Park, de Jean Carzou, réalisée en 1979, sont dévoilées pour la première fois. À signaler également des œuvres d’Edgar Chahine, de Martiros Saryan, de Robert Elibekyan et de Henrik Elibekian, entre autres. Avant d’habiter, d’Est en Ouest, les murs d’autres galeries... manifestation au caractère assez éclectique et particulier, proposant un panel de genres et de courants artistiques riche et diversifié. Du sur- réalisme à l’expressionnisme, en passant par l’abstrait ou... des statues de bronze, « l’événement témoigne de l’intérêt pour l’art et la culture qu’a Deir el-Qamar jusqu’au 25 avril. Tél. : 05/510016 LEILA NSEIR à la galerie Mark Hachem centre-ville rue Salloum jusqu’au 5 avril. Tél. : 01/999313 JANET HAGOPIAN : A MOMENT SUSPENDED IN TIME à Art Lounge Quarantaine jusqu’au 11 avril. Tél. : 03/997676 NAJI MATTA : MONNAJI à la galerie Zamaan rue Sadate Hamra jusqu’au 28 mars. Tél : 01/745571 SARAH KHAYAT : DELVE à Artwork rue Adonis près rue Sadate Hamra jusqu’au 28 mars. Tél. : 01/749646 MARC FAYAD : ESPRIT PÊLE-MÊLE au Lycée libano-allemand Jounieh jusqu’au 27 mars. Tél. : 09/835826 WATERCOLOR II à l’Association des artistes libanais Verdun imm. waqf druze jusqu’au 26 mars. Tél. : 01/738522 BARDZR ARVEST : EAST TO WEST, MODERN TO POSTMODERN à l’Université Haïgazian rue du Mexique Kantari jusqu’au 25 mars. Tél. : 01/353010-1 JOSEPH MATAR : INSTANTS D’ÉVASION à la galerie Surface libre jardin Dadour Jal el-Dib jusqu’au 28 mars. Tél. : 04/715500 ASSUMPCIO MATEU : NATURE – RÉFLEXIONS ARBITRAIRES à la galerie Alwane Saifi Village jusqu’au 31 mars. Tél. : 01/975250 ANATOLY GRIGORIAN à la galerie Hamazkayin Bourj Hammoud centre Shaghzoyan jusqu’au 28 mars. Tél. : 01/241262 EXPOSITION PERMANENTE D’ARTISTES CONTEMPORAINS INTERNATIONAUX à la galerie Les Plumes Elsie Braidi Tabaris rue Zeidan Les jardins de Tabaris jusqu’au 15 septembre. Tél. : 01/333537 MONA KFOURY MOUAWAD : SOLO « POUR TOI MAMAN » à la galerie Exode rue Accaoui face à la Banque libano-française jusqu’au 26 mars. Tél. : 01/336464 MOJÉ ASSEFJAH : ON THE OTHER SIDE OF THE GRAPEGARDENS à la galerie Tanit après EDL imm. East Village jusqu’au 18 avril. Tél. : 01/562812 LINA YOUNIS TALIH : PACE OF LIFE à SV Gallery jusqu’au 25 mars. Tél. : 01/975655 AL-MUSAWWIRUN : ARTISTS BEFORE ART à l’AUB jusqu’au 30 janvier 2016. Tél. : 01/350000 ext. : 2685 LAURE GHORAYEB ET MAZEN KERBAGE : L’ABÉCÉDAIRE à la galerie Janine Rubeiz imm. Majdalani Raouché jusqu’au 3 avril. Tél. : 01/805061 TANYA TRABOULSI : LOST STRANGE THINGS ON NOT FINDING HOME à Art Factum Gallery après Sleep Comfort Quarantaine jusqu’au 11 avril. Tél. : 01/443263 JABER ALWAN à Aïda Cherfan Fine Art place d’Antélias jusqu’au 26 mars. Tél. : 04/444111 TAREK BTAYHI : WOMEN ON CANVAS à Art on 56th rue Youssef Hayeck Gemmayzé jusqu’au 28 mars. Tél. : 01/570331 OPEN RHAPSODY : A JOURNEY INTO PHOTOGRAPHY AND VIDEO COLLECTIONS au Beirut Exhibition Center jusqu’au 19 avril. Tél. : 01/962000 ext. : 2883 UNFINISHED CONVERSATIONS au Beirut Art Center Jisr el-Wati rue 97 Adlieh jusqu’au 2 mai. Tél. : 01/397018 FADIA HADDAD : OUVERTURE(S)’ à la galerie Alice Mogabgab Achrafieh jusqu’au 27 mars. Tél. : 03/210424 S.A.T. * « East to West, Modern to Post-Modern », Université Haigazian, rue du Mexique, Kantari, de 10h à 19h. Agenda CINÉMA Premières visions ★★ BLACK OR WHITE de Mike Bibnder, avec Kevin Costner et Octavia Spencer. Kevin Costner se bat pour la garde de sa petite fille métisse. Grand Cinemas ABC Achrafieh/Dbayeh/Saïda Mall/ Galaxy, Vox B.C. Center, Cinemall ★ INSURGENT science-fiction. Suite de Divergent de Robert Schwentke. On aime bien ce nouveau couple du cinéma que forme Miles Teller et Shailene Woodley. Grand Cinemas ABC Achrafieh/Dbayeh/Concorde/Las Salinas/ Saïda Mall/Galaxy, CinemaCity (Beirut Souks et Dora), Empire Dunes/Première, Espace, Vox B.C. Center, Planète Abraj/City Complex Tripoli, Cinemall THEEB de Naji Bou Nowar. L’aventure d’un petit garçon dans l’Arabie de 1916. Vox B.C. Center ❍ THE GUNMAN de Pierre Morel, avec Sean Penn et Idriss Alba. Un ancien ■ Pour connaître les horaires du CIRCUIT EMPIRE, appeler le 1 269. PLANÈTE ABRAJ 01/292 192 GRAND CINEMAS ABC ACHRAFIEH 01/209 109 GRAND CINEMAS ABC DBAYEH 04/444 650 GRAND CONCORDE 01/343 143 GRAND LAS SALINAS 06/540 970 GRAND SAÏDA MALL 07/723 026 CINEMACITY DORA 01/899 993 CINEMACITY BEIRUT SOUKS 01/995 195 METROPOLIS CINÉMA01/204 080 VOX B.C. CENTER 01/285 582 À voir absolument À voir À voir à la rigueur Ne pas se déranger Pas vu ★★★ ★★ ★ ❍ ■ tueur à gages est rattrapé par son passé. Sujet éculé. Grand Cinemas ABC Achrafieh/Dbayeh/Concorde/Las Salinas/ Saïda Mall, CinemaCity (Beirut Souks et Dora), Empire Dunes/Première,Espace, Vox B.C. Center, Planète Abraj/City Complex Tripoli, Cinemall THE LAZARUS EFFECT de David Gelb, avec Mark Duplass et Olivia Wilde. Film d’horreur qui raconte comment une femme revenue d’entre les morts est possédée par le mal. Pourquoi ce sont toujours des femmes ? Grand Concorde/Saïda Mall/ ❍ Galaxy, CinemaCity (Beirut Souks et Dora), Vox B.C. Center, Cinemall ★★ THE SECOND BEST MARIGOLD HOTEL de John Madden, avec Dev Patel, Judi Dench et Maggie Smith. On reprend les mêmes et on recommence en ajoutant Richard Gere l’intrus mais ça marche. CinemaCity (Beirut Souks et Dora), Empire Dunes/Première, Grand Cinemas ABC Achrafieh/Dbayeh, Vox B.C. Center, Cinemall ★★★ THE VALLEY de Ghassan Salhab, avec Carlos Chahine et Fadi Abi Samra. Un inconnu est recueilli par une ferme dans la Békaa après un accident de voiture. Qui est-il ? Que veut-il ? Une atmosphère angoissante et tendue et de très belles images pour ce film qui, après le calme, annonce la tempête. Metropolis Empire Sofil. En salle ★★★ BIRDMAN d’Alejandro González Iñárritu, avec Michael Keaton et Emma Stone. Empire Première ★★ CINDERELLA film fantastique de Kenneth Branagh, avec Lily James et Cate Blanchett. Il a été présente à la Berlinale. Grand Cinemas ABC Achrafieh/ Dbayeh/Concorde/Las Salinas/Saïda Mall, Planète Abraj/City Complex Tripoli, CinemaCity (Beirut Souks et Dora), Empire Dunes/ Première, Espace, Vox B.C. Center, Cinemall ■ FIFTY SHADES OF GREY de Sam Taylor-Wood, avec Jamie Dornan et Dakota Johnson. C’est l’adaptation du best-seller homonyme d’E.L. James. L’histoire d’une romance passionnelle, et sexuelle, entre Christian Grey, un jeune homme riche amateur de femmes, et une étudiante vierge de 22 ans. CinemaCity (Beirut Souks), Vox B.C. Center FOCUS une comédie romantique noire de Glenn Ficarra avec Will Smith. Grand Cinemas ABC Achrafieh/ ■ Dbayeh/Concorde/Galaxy, CinemaCity (Beirut Souks et Dora), Espace, Vox B.C. Center, Cinemall, Planète Abraj ★★ KINGSMAN de Matthew Vaughn. Comédie pleine d’humour sur les agents secrets et, plus particulièrement, un vétéran qui prend sous son aile un jeune agent pour l’éduquer. Avec Colin Firth et Samuel L. Jackson. CinemaCity (Beirut Souks et sans dialogues, très drôle et fraîche pour petits et grands. Grand Galaxy ★★★ SONG OF THE SEA film animé de Tom Moore. Deux enfants vivent dans un phare. Leur grand-mère décide de les emmener vers la ville. Ils devront braver les dangers de la mer. Un très beau film nominé aux oscars. Grand N.B. : Les programmes ci-dessus sont donnés sous toute réserve. ■ CINÉ-CLUB SOU’ TAFAHOM film libanais, avec Sirine Abdelnour et Sharif Salama. Grand Concorde/Galaxy, Vox B.C. Center ❍ THE DUFF film pour ados, d’Ari Sandell, avec Mae Whitman. Désignée comme grosse moche de la classe, c’est un choc. Comment le dépasser ? CinemaCity (Beirut Souks), Vox B.C. Center THE SPONGEBOB MOVIE (3D) animé de Paul Tibbitt. La recette de la célèbre pâte de crabes a été volée. Bob l’éponge prend les choses en main et suit la piste du voleur. Grand ■ Dora), Vox B.C. Center ■ ❍ Grand Cinemas ABC Achrafieh/Dbayeh/ Concorde/Las Salinas/Galaxy, Planète Abraj, CinemaCity (Beirut Souks et Dora), Empire Dunes/Première, Espace, Vox B.C. Center, Cinemall ★★ SHAUN THE SHEEP série télévisée britannique réalisée en film animé (Beirut Souks et Dora), Vox B.C. Center. Cinemas ABC Achrafieh, CinemaCity (Beirut Souks) Cinemas ABC Achrafieh/Dbayeh/Saïda Mall/ Galaxy, CinemaCity (Beirut Souks et Dora), Empire Dunes, Espace, Vox B.C. Center, Planète Abraj, Cinemall PADDINGTON de Paul King, avec Ben Wishaw. L’histoire d’un jeune ours péruvien fraîchement débarqué à Londres, à la recherche d’un foyer et d’une vie meilleure. Il réalise vite que la ville de ses rêves n’est pas aussi accueillante qu’il croyait. Vox B.C. Center ★ RUN ALL NIGHT de Jaume Collet Serra, avec Liam Neeson. Un criminel à qui on doit la mission de tuer son fils qu’il n’a pas vu depuis longtemps. Quatre femmes, à l’approche de la quarantaine, mènent leur vie avec liberté et humour. À l’esprit moderne, elles voudraient bien trouver l’âme sœur. Une comédie rafraîchissante et intelligente, à ne pas rater. CinemaCity THE WEDDING RINGER de Jeremy Garelick, avec Kevin Hart et Josh Gad. Un homme solitaire se voit dans l’obligation de rémunérer un inconnu pour lui servir de témoin lors de son prochain mariage. Quoi de plus banal ? Grand Cinemas ABC Achrafieh, CinemaCity (Beirut Souks et Dora), Espace ★★★ WHIPLASH de Damien Chazelle avec Miles Teller, et J.K. Simmons. Andrew, 19 ans, rêve de devenir l’un des meilleurs batteurs de jazz . Il est confronté à un maître sévère et brutal. Empire Première ★★ YALLAH 3A’BELKON d’Élie Khalifé, avec Darine Hamzé, Nada Abou Farhat, Nibal Arakji, Marwa Khalil, Badih Abou Chacra et Julia Kassar. FRENCH CANCAN de Jean Renoir au théâtre de l’Institut français du Liban rue de Damas à 19h30. Tél. : 01/420200. CONFÉRENCES ALEXIS BOUTROS, UN GÉANT VISIONNAIRE par Henri Eid et Edmond Rizk à l’église SaintGrégoire et Saint-Élie des Arméniens catholiques place Debbas à 19h00. Tél. : 01/502370 NINAR : LE LIBAN DEVANT LES DÉFIS DE LA MONDIALISATION par Walid Kassir à l’hôtel Le Gabriel Achrafieh à 18h30. Tél. : 01/203700. CONCERT ZAKI NASSIF PROGRAM MUSIC FESTIVAL : WHEN OPERA MEETS BROADWAY à l’Assembly Hall AUB à 20h00. Tél. : 01/353228. EXPOS GLM : A WALK THROUGH LEBANON’S HISTORY à Art Society Metropolitan Sin el-Fil jusqu’au 24 avril. Tél. : 70/366969 PAUL WAKIM à l’Institut français de DIDIER L’HONOREY : HAPPY FLOWERS à la galerie Alice Mogabgab Achrafieh jusqu’au 27 mars. Tél. : 01/204984 SALIM AZZAM : DAY’AET JESR ELJAWZ à Tawlet Mar Mikhaël Nahr face à Spoiled Center jusqu’au 15 avril. Tél. : 01/448129 QUAND LA TERRE GRONDE : EXPOSITION SUR LES VOLCANS à la Planète de la découverte jusqu’au 30 avril. Tél. : 01/980650 YOUSSEF BASBOUS : THE AGE OF WOOD à Macam Alita Jbeil jusqu’au 30 avril. Tél. : 03/271500. THÉÂTRE LEILA SE MEURT au théâtre al-Madina Hamra à 20h30 jusqu’au 29 mars. Tél. : 01/753010 THE RAPE au théâtre Irwin LAU Beyrouth à 20h30 jusqu’au 28 mars. Tél. : 01/786464 LES FOURBERIES DE SCAPIN au théâtre Tournesol Tayyouneh à 20h30 jusqu’au 29 mars. Tél. : 01/391290 VÉNUS au théâtre Monnot rue de l’USJ à 20h30 jusqu’au 26 avril. Tél. : 01/202422 THE INVITATION au théâtre Béryte à 20h30 tous les vendredis, samedis et dimanches jusqu’au 31 mars. Tél. : 01/218078 LES DISEURS : COME BACK à l’Olympia de Kaslik, les vendredis et samedis à 21h00 jusqu’au 4 avril. Tél. : 09/644202-03 MARIONNETTES : TINE ET ZBIB présentées par Nayla Khayath tous les vendredis, samedis et dimanches à 16h30 à la Planète de la découverte et FORMULA FUN les samedis et dimanches à 16h30 rue Ayass, Souks de Beyrouth. Tél. : 01/980650.