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kamel mennour
60 rue mazarine
paris 75006 france
tel +33 1 56 24 03 63
fax +33 1 40 46 80 20
kamelmennour.com
NOBUYOSHI ARAKI
MUSES
Kamel Mennour est heureux de présenter « Muses », la quatrième
exposition personnelle de l’artiste japonais Nobuyoshi Araki à la galerie
(60 rue mazarine). Cette dernière regroupe un ensemble récent de
photographies peintes de plusieurs de ses muses, dont Kaori et Lady
Gaga.
14 octobre – 26 novembre 2011
Nobuyoshi Araki « Muses » est présentée à la galerie kamel
mennour du mardi au samedi, de 14h à 19h.
Pour toute information complémentaire, vous pouvez contacter
Marie-Sophie Eiché, Jessy Mansuy-Leydier et Emma-Charlotte GobryLaurencin par tél: +33 1 56 24 03 63 ou par email:
[email protected].
Nobuyoshi Araki est né en 1940 dans un quartier populaire de Tokyo.
A douze ans, il reçoit, de son père photographe amateur, un appareil
photo « Baby Pearl », avec lequel il fera ses premières prises de vues.
Il exerce le métier de cameraman pendant 10 ans pour l'agence
Dentsu, puis décide d'orienter son travail dans une direction plus
personnelle au début des années 70. En 1971, il épouse Yoko Aoki et
publie « A sentimental journey », compilant des photos prises pendant
sa lune de miel.
Fasciné par la trilogie indissociable et fondatrice du sexe, de la vie et
de la mort (on lui doit ces mots « A peine sorti du vagin de ma mère,
je me suis retourné pour le photographier »), Nobuyoshi Araki est un
inlassable photographe obsédé par la femme, souvent ligotée et les
fleurs, captées au plus intime de leurs plis colorés.
« Je veux ficeler le réel, parce que je ne peux rien ficeler d'autre. Ni le
cœur de Yoko, la femme que j'aime, ni celui de personne. On ne peut
pas ficeler les âmes. Elles sont intouchables. Et c'est parce que les
âmes sont intouchables que je veux ficeler le visible. En prendre
possession pour moi seul. »
« Aujourd'hui, il y a trop de robots et moins de voix venant de la chair.
Ce que je veux photographier est en train de disparaître. Lorsque le
monde va mal, il en va de même pour les photographies. Elles
deviennent inintéressantes. Ceci est mon épitaphe pour la fin du
monde. »

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